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Calendrier des rendez-vous du collège Audiovisuel – 1er trimestre 2024

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21 décembre 2023Actus-Adhérentsactus-adherents
🇺🇦Solidarité Ukraine🇺🇦

🇺🇦 Note générale

Téléchargez ici la note complète sur toutes les modalités d’aide à l’Ukraine et au peuple ukrainien, ou cliquez sur le lien suivant : https://lespi.org/wp-content/uploads/2022/04/Soutien-CISA-Ukrain-V2.pdf

🇺🇦 Coordonnées pour l’hébergement des artistes exilés Ukrainiens
“L’Atelier des Artistes en Exil” se charge de trouver des hébergements pour les artistes arrivant en France
Site Internet : https://aa-e.org/fr
Email : contact@aa-e.org
Adresse : 6 rue d’Aboukir – 75002 Paris
Téléphone : +33 1 53 41 65 96

🇺🇦 Sites permettant de coordonner les dons et besoins concrets
https://www.jaime-lukraine.fr/euro-maidan/maidan-de-a-a-z/babylon13

https://b2bdoc.se

https://dae-europe.org/

🇺🇦 Solidarity action for filmmakers and journalists in and out of Ukraine

Here is a list of emails / emergency contact forms
The person can write to as many as relevant

Each time, mention :
ID
Last employer / production
Current location
Destination
Where about & specific assistance needs
Secure contact

FILMMAKERS – NOT JOURNALISTS :

Support for those in Ukraine :
contact@icfr.international
https://www.icfr.international/ ICFR acts only upon immediate risk, which is literally what we’re talking about

For those outside Ukraine :
mail@filmmakers-for-ukraine
https://filmmakers-for-ukraine.com/

JOURNALISTS in UKRAINE & RUSSIA

assistance@rsfsecure.org

JOURNALISTS FROM UKR – RU in need of relocation funding
Free Press Unlimited : Via the emergency programme Reporters Respond they are able to provide financial support so that journalists are able to relocate to another country
emergency contact form : 
https://www.freepressunlimited.org/en/application-form-reporters-respond

JOURNALISTS & media staff OUTSIDE Ukraine / Russia
The Committee to Protect Journalists and RSF say it’s very important that Russian journalists fleeing because of the war contact :

emergencies@cpj.org
assistance@rsfsecure.org

+ For journalists in Turkey, include :

rakyavas@ipi.media  Renan Akyavas – International Press Institute, Turkey Programme Coordinator

Pour les demandes de visas émanant du secteur cinématographique et audiovisuel, de personnalités ou professionnels cherchant à quitter la Russie, il faut adresser les demandes à l’attachée audiovisuelle : emmanuelle.faucilhon@diplomatie.gouv.fr

🇺🇦 Informations à destination des ressortissants ukrainiens souhaitant accéder ou séjourner en France

🇺🇦 Information for Ukrainian citizens wishing to enter French territory and/or stay here : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/information-for-ukrainian-citizens-wishing-to-enter-french

🇺🇦 Інформація для громадян України, які бажають приїхати до Франції та/або перебувати на її території : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/informaciya-dlya-gromadyan-ukraini-yaki-bazhayut-priikhati

🇺🇦 Nos collègues du syndicat des producteurs polonais et de la film Academy polonaise sont confrontés à des besoins de matériels très concrets pour pouvoir continuer à alimenter les ukrainiens et toutes les équipes qui doivent filmer en Ukraine. 

Si vous souhaitez envoyer du matériel, contactez-les à cette adresse : HelpUA@pnf.pl

🇺🇦 Communiqué de Presse de la CEPI – Coordination Européenne des Producteurs Indépendants
du 3 mars 2022

🇺🇦 Communiqué de Presse de la CISA Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel

Communiqué de presse 1 mars 2022

LA CISA SOLIDAIRE AVEC LE PEUPLE UKRAINIEN

La CISA, Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel, qui regroupe producteurs et distributeurs internationaux français, tient à exprimer son émotion et sa solidarité avec le peuple d’Ukraine.

Nous savons, notamment au travers de nombreux témoignages vus dans les médias ou sur les réseaux sociaux, que la manifestation d’un soutien sans faille de la communauté internationale conforte sa détermination à se défendre et à rester libre.

Aussi, nous, les professionnels de l’audiovisuel, affirmons à la fois notre admiration et notre soutien total envers nos confrères et nos consœurs ukrainiens. Certains parmi nous travaillent avec eux, connaissent leurs qualités professionnelles et humaines. Notre soutien va également aux sphères culturelles russes qui sont chaque jour plus nombreuses à prendre leurs distances avec le pouvoir moscovite.

Au-delà de l’accueil d’éventuels réfugiés ukrainiens, nous aiderons les professionnels de l’audiovisuel ukrainiens à se construire un nouvel avenir, en France ou chez eux, une fois le conflit terminé.

Enfin, à l’heure des nombreuses fake news, nous tenons également à saluer l’engagement sans faille des journalistes, des documentaristes, des techniciens qui couvrent cette guerre effroyable, en freelance, au sein des agences de presse, ou pour le compte des médias français. Ils sont les garants d’une information libre et indépendante, véritable clé de voûte de la démocratie.

Plus que jamais, les paroles de l’hymne national ukrainien ont un sens : « ni la gloire ni la liberté ne sont mortes en Ukraine ».

Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 15 – s.lebars@uspa.fr
Florence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.fr
Emmanuelle Jouanole – SEDPA – 06 33 68 36 54 – ejouanole@terranoa.com
Vincent Gisbert – SPECT – 01 45 05 72 03 – vincentgisbert@spect.fr
Emmanuelle Mauger – SPI – 01 44 70 70 44 – emauger@lespi.org

🇺🇦 Note générale Téléchargez ici la note complète sur toutes les modalités d’aide à l’Ukraine et au peuple ukrainien, ou cliquez sur le lien suivant : https://lespi.org/wp-content/uploads/2022/04/Soutien-CISA-Ukrain-V2.pdf 🇺🇦 Coordonnées pour l’hébergement des artistes exilés Ukrainiens“L’Atelier des Artistes en Exil” se charge de trouver des hébergements pour les artistes arrivant en France Site Internet : https://aa-e.org/frEmail : contact@aa-e.orgAdresse : 6 rue d’Aboukir – 75002 Paris Téléphone : +33 1 53 41 65 96 🇺🇦 Sites permettant de coordonner les dons et besoins concrets https://www.jaime-lukraine.fr/euro-maidan/maidan-de-a-a-z/babylon13 https://b2bdoc.se https://dae-europe.org/ 🇺🇦 Solidarity action for filmmakers and journalists in and out of Ukraine Here is a list of emails / emergency contact formsThe person can write to as many as relevant Each time, mention :IDLast employer / productionCurrent locationDestinationWhere about & specific assistance needsSecure contact FILMMAKERS – NOT JOURNALISTS : Support for those in Ukraine : contact@icfr.internationalhttps://www.icfr.international/ ICFR acts only upon immediate risk, which is literally what we’re talking about For those outside Ukraine : mail@filmmakers-for-ukrainehttps://filmmakers-for-ukraine.com/ JOURNALISTS in UKRAINE & RUSSIA assistance@rsfsecure.org JOURNALISTS FROM UKR – RU in need of relocation fundingFree Press Unlimited : Via the emergency programme Reporters Respond they are able to provide financial support so that journalists are able to relocate to another countryemergency contact form : https://www.freepressunlimited.org/en/application-form-reporters-respond JOURNALISTS & media staff OUTSIDE Ukraine / RussiaThe Committee to Protect Journalists and RSF say it’s very important that Russian journalists fleeing because of the war contact : emergencies@cpj.orgassistance@rsfsecure.org + For journalists in Turkey, include : rakyavas@ipi.media  Renan Akyavas – International Press Institute, Turkey Programme Coordinator Pour les demandes de visas émanant du secteur cinématographique et audiovisuel, de personnalités ou professionnels cherchant à quitter la Russie, il faut adresser les demandes à l’attachée audiovisuelle : emmanuelle.faucilhon@diplomatie.gouv.fr 🇺🇦 Informations à destination des ressortissants ukrainiens souhaitant accéder ou séjourner en France 🇺🇦 Information for Ukrainian citizens wishing to enter French territory and/or stay here : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/information-for-ukrainian-citizens-wishing-to-enter-french 🇺🇦 Інформація для громадян України, які бажають приїхати до Франції та/або перебувати на її території : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/informaciya-dlya-gromadyan-ukraini-yaki-bazhayut-priikhati 🇺🇦 Nos collègues du syndicat des producteurs polonais et de la film Academy polonaise sont confrontés à des besoins de matériels très concrets pour pouvoir continuer à alimenter les ukrainiens et toutes les équipes qui doivent filmer en Ukraine.  Si vous souhaitez envoyer du matériel, contactez-les à cette adresse : HelpUA@pnf.pl 🇺🇦 Communiqué de Presse de la CEPI – Coordination Européenne des Producteurs Indépendantsdu 3 mars 2022 🇺🇦 Communiqué de Presse de la CISA Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel Communiqué de presse 1 mars 2022 LA CISA SOLIDAIRE AVEC LE PEUPLE UKRAINIEN La CISA, Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel, qui regroupe producteurs et distributeurs internationaux français, tient à exprimer son émotion et sa solidarité avec le peuple d’Ukraine. Nous savons, notamment au travers de nombreux témoignages vus dans les médias ou sur les réseaux sociaux, que la manifestation d’un soutien sans faille de la communauté internationale conforte sa détermination à se défendre et à rester libre. Aussi, nous, les professionnels de l’audiovisuel, affirmons à la fois notre admiration et notre soutien total envers nos confrères et nos consœurs ukrainiens. Certains parmi nous travaillent avec eux, connaissent leurs qualités professionnelles et humaines. Notre soutien va également aux sphères culturelles russes qui sont chaque jour plus nombreuses à prendre leurs distances avec le pouvoir moscovite. Au-delà de l’accueil d’éventuels réfugiés ukrainiens, nous aiderons les professionnels de l’audiovisuel ukrainiens à se construire un nouvel avenir, en France ou chez eux, une fois le conflit terminé. Enfin, à l’heure des nombreuses fake news, nous tenons également à saluer l’engagement sans faille des journalistes, des documentaristes, des techniciens qui couvrent cette guerre effroyable, en freelance, au sein des agences de presse, ou pour le compte des médias français. Ils sont les garants d’une information libre et indépendante, véritable clé de voûte de la démocratie. Plus que jamais, les paroles de l’hymne national ukrainien ont un sens : « ni la gloire ni la liberté ne sont mortes en Ukraine ». Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 15 – s.lebars@uspa.frFlorence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.frEmmanuelle Jouanole – SEDPA – 06 33 68 36 54 – ejouanole@terranoa.comVincent Gisbert – SPECT – 01 45 05 72 03 – vincentgisbert@spect.frEmmanuelle Mauger – SPI – 01 44 70 70 44 …

27 avril 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Kit de prévention des Violences, du Harcèlement sexuel et du Sexisme (VHSS) dans l’audiovisuel et le cinéma

Les CCHSCT* de la Production audiovisuelle et de la Production cinématographique et publicitaire ont présenté, jeudi 31 mars dernier, le kit de prévention des violences, du harcèlement sexuel et du sexisme (VHSS) co-édité avec Le Collectif 50/50, au Silencio des Prés.

Issu d’un travail paritaire et collectif, ce kit adapté à l’audiovisuel et au cinéma est conçu comme une boîte à outils pour :

  • Prévenir les VHSS,
  • Signaler ou réagir à des VHSS,
  • Traiter les situations et signalements de faits pouvant relever de VHSS.

A destination de tou·te·s, employeur·euse·s comme salarié·e·s, victimes comme témoins, ce kit a vocation à permettre à chacun·e de se l’approprier et d’y trouver des repères pour agir à son niveau.

Le CNC, Audiens et l’AFdas sont également intervenus pour présenter les dispositifs de lutte contre les VHSS qu’ils ont mis en place au niveau de leurs institutions.

* Comité Central d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail

⬇ Téléchargez le kit de prévention des VHSS ci-dessous ⬇

⬇ Téléchargez la présentation de l’offre de service de l’AFDAS ci-dessous ⬇

⬇ Téléchargez la présentation de le cellule juridique et psychologique opérée par AUDIENS ci-dessous ⬇

6 avril 2022Actus-SPI, Non classéactus-spi non-classe
bureau à louer paris août

Chère communauté, nous avons un bureau à louer 1 mois août 2024 dans un bel immeuble au cœur d’une impasse, au calme, dans le 9ème arrondissement de Paris. Le bureau est situé rue Ambroise Thomas, entre la rue du faubourg poissonnière et la rue des Petites Écuries avec ascenseur.
Les locaux regroupent cinq bureaux indépendants.
Ils bénéficient en commun d’une cuisine aménagée, équipée d’un micro-onde, d’une plaque de cuisson, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine.
Il y a deux WC ainsi qu’un accès à l’extérieur avec un balcon filant qui dessert les différents bureaux.

Disponibilité : à partir du 27 juillet jusqu’au 24 août.

Prix : 400 euros HT / semaine .

Bureau à louer à la semaine ou au mois.

Charges Locatives comprises. Internet et ménage compris.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations et de photos  à xmaingot@eauxvivesproductions.com

Bonne journée.

Chère communauté, nous avons un bureau à louer 1 mois août 2024 dans un bel immeuble au cœur d’une impasse, au calme, dans le 9ème arrondissement de Paris. Le bureau est situé rue Ambroise Thomas, entre la rue du faubourg poissonnière et la rue des Petites Écuries avec ascenseur. Les locaux regroupent cinq bureaux indépendants. Ils bénéficient en commun d’une cuisine aménagée, équipée d’un micro-onde, d’une plaque de cuisson, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine. Il y a deux WC ainsi qu’un accès à l’extérieur avec un balcon filant qui dessert les différents bureaux. Disponibilité : à partir du 27 juillet jusqu’au 24 août. Prix : 400 euros HT / semaine . Bureau à louer à la semaine ou au mois. Charges Locatives comprises. Internet et ménage compris. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations et de photos  à xmaingot@eauxvivesproductions.com Bonne …

10 juillet 2024Annoncesannonces
Prise de parole du SPI au Sunny Side of the Doc 2024 – 10 propositions et un appel à des Assises de toute la filière

APPEL DU 26 JUIN
Sunny Side of the Doc 2024

10   PROPOSITIONS DU SPI, 1ER SYNDICAT DE PRODUCTION DOCUMENTAIRE

1.     Défendre l’exception culturelle

Conserver l’exception culturelle dans les accords de libre-échange (Europe-Etats-Unis) actuellement en négociation pour résister au lobbying de l’industrie hollywoodienne et soutenir les entreprises indépendantes européennes.

2.     Sauver l’audiovisuel public …

Ni fusion, ni privatisation : le service public audiovisuel doit bénéficier d’un financement dédié, pérenne et dynamique. La budgétisation ne peut être qu’une transition vers la mise en place indispensable d’une taxe affectée.

 3.  … Et le doter d’une vraie ambition numérique

Se démarquer des grandes plateformes de divertissement en donnantaccès aux contenus documentaires, d’information, de décryptage ; tout ce qui fait la spécificité du service public.

4.     Garantir l’indépendance d’Arte

Garantir l’indépendance de son financement et pérenniser sa ligne éditoriale.

5.     Préserver l’autonomie du CNC par son financement, pour la diversité de la création

Conserver la perception de ses taxes et l’intégralité de son budget.

Remettre au cœur de sa politique le soutien à la diversité de la création, en premier lieu celle du documentaire.

6.   Relancer la dynamique de soutien du CNC pour le documentaire

Pour améliorer le financement de tous les documentaires aidés par le CNC face à l’inflation et à la diminution de certains fonds.

Pour accompagner des mesures en faveur du pouvoir d’achat des réalisateur.ices et des technicien.nes.

7.    Sanctuariser le système de l’intermittence

Seul un régime d’intermittence permet de construire une œuvre tout en préservant le statut des artistes et des technicien.nes qui y contribuent.

8.     Lutter contre les VHSS et toutes formes de violences au travail

Accompagner les producteur.ice.s sur leurs responsabilités en la matière.

Garantir la formation de l’ensemble de la filière pour une meilleure prévention.

9.     Diffuser une charte des bonnes pratiques en matière d’Intelligence Artificielle

Pour une transparence du recours à l’intelligence artificielle dès lors que son usage impacte une œuvre audiovisuelle ou cinématographique présentée au public.

10.     Garantir les dispositifs anti-concentration et le pluralisme des médias, de la création.

APPEL À DES ASSISES DE LA FILIÈRE

APPEL DU 26 JUINSunny Side of the Doc 2024 10   PROPOSITIONS DU SPI, 1ER SYNDICAT DE PRODUCTION DOCUMENTAIRE 1.     Défendre l’exception culturelle Conserver l’exception culturelle dans les accords de libre-échange (Europe-Etats-Unis) actuellement en négociation pour résister au lobbying de l’industrie hollywoodienne et soutenir les entreprises indépendantes européennes. 2.     Sauver l’audiovisuel public … Ni fusion, ni privatisation : le service public audiovisuel doit bénéficier d’un financement dédié, pérenne et dynamique. La budgétisation ne peut être qu’une transition vers la mise en place indispensable d’une taxe affectée.  3.  … Et le doter d’une vraie ambition numérique Se démarquer des grandes plateformes de divertissement en donnantaccès aux contenus documentaires, d’information, de décryptage ; tout ce qui fait la spécificité du service public. 4.     Garantir l’indépendance d’Arte Garantir l’indépendance de son financement et pérenniser sa ligne éditoriale. 5.     Préserver l’autonomie du CNC par son financement, pour la diversité de la création Conserver la perception de ses taxes et l’intégralité de son budget. Remettre au cœur de sa politique le soutien à la diversité de la création, en premier lieu celle du documentaire. 6.   Relancer la dynamique de soutien du CNC pour le documentaire Pour améliorer le financement de tous les documentaires aidés par le CNC face à l’inflation et à la diminution de certains fonds. Pour accompagner des mesures en faveur du pouvoir d’achat des réalisateur.ices et des technicien.nes. 7.    Sanctuariser le système de l’intermittence Seul un régime d’intermittence permet de construire une œuvre tout en préservant le statut des artistes et des technicien.nes qui y contribuent. 8.     Lutter contre les VHSS et toutes formes de violences au travail Accompagner les producteur.ice.s sur leurs responsabilités en la matière. Garantir la formation de l’ensemble de la filière pour une meilleure prévention. 9.     Diffuser une charte des bonnes pratiques en matière d’Intelligence Artificielle Pour une transparence du recours à l’intelligence artificielle dès lors que son usage impacte une œuvre audiovisuelle ou cinématographique présentée au public. 10.     Garantir les dispositifs anti-concentration et le pluralisme des médias, de la création. APPEL À DES ASSISES DE LA …

26 juin 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi

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Calendrier des rendez-vous du collège Audiovisuel – 1er trimestre 2024

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21 décembre 2023Actus-Adhérentsactus-adherents
🇺🇦Solidarité Ukraine🇺🇦

🇺🇦 Note générale

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🇺🇦 Coordonnées pour l’hébergement des artistes exilés Ukrainiens
“L’Atelier des Artistes en Exil” se charge de trouver des hébergements pour les artistes arrivant en France
Site Internet : https://aa-e.org/fr
Email : contact@aa-e.org
Adresse : 6 rue d’Aboukir – 75002 Paris
Téléphone : +33 1 53 41 65 96

🇺🇦 Sites permettant de coordonner les dons et besoins concrets
https://www.jaime-lukraine.fr/euro-maidan/maidan-de-a-a-z/babylon13

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🇺🇦 Solidarity action for filmmakers and journalists in and out of Ukraine

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Last employer / production
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FILMMAKERS – NOT JOURNALISTS :

Support for those in Ukraine :
contact@icfr.international
https://www.icfr.international/ ICFR acts only upon immediate risk, which is literally what we’re talking about

For those outside Ukraine :
mail@filmmakers-for-ukraine
https://filmmakers-for-ukraine.com/

JOURNALISTS in UKRAINE & RUSSIA

assistance@rsfsecure.org

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Free Press Unlimited : Via the emergency programme Reporters Respond they are able to provide financial support so that journalists are able to relocate to another country
emergency contact form : 
https://www.freepressunlimited.org/en/application-form-reporters-respond

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The Committee to Protect Journalists and RSF say it’s very important that Russian journalists fleeing because of the war contact :

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rakyavas@ipi.media  Renan Akyavas – International Press Institute, Turkey Programme Coordinator

Pour les demandes de visas émanant du secteur cinématographique et audiovisuel, de personnalités ou professionnels cherchant à quitter la Russie, il faut adresser les demandes à l’attachée audiovisuelle : emmanuelle.faucilhon@diplomatie.gouv.fr

🇺🇦 Informations à destination des ressortissants ukrainiens souhaitant accéder ou séjourner en France

🇺🇦 Information for Ukrainian citizens wishing to enter French territory and/or stay here : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/information-for-ukrainian-citizens-wishing-to-enter-french

🇺🇦 Інформація для громадян України, які бажають приїхати до Франції та/або перебувати на її території : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/informaciya-dlya-gromadyan-ukraini-yaki-bazhayut-priikhati

🇺🇦 Nos collègues du syndicat des producteurs polonais et de la film Academy polonaise sont confrontés à des besoins de matériels très concrets pour pouvoir continuer à alimenter les ukrainiens et toutes les équipes qui doivent filmer en Ukraine. 

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🇺🇦 Communiqué de Presse de la CEPI – Coordination Européenne des Producteurs Indépendants
du 3 mars 2022

🇺🇦 Communiqué de Presse de la CISA Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel

Communiqué de presse 1 mars 2022

LA CISA SOLIDAIRE AVEC LE PEUPLE UKRAINIEN

La CISA, Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel, qui regroupe producteurs et distributeurs internationaux français, tient à exprimer son émotion et sa solidarité avec le peuple d’Ukraine.

Nous savons, notamment au travers de nombreux témoignages vus dans les médias ou sur les réseaux sociaux, que la manifestation d’un soutien sans faille de la communauté internationale conforte sa détermination à se défendre et à rester libre.

Aussi, nous, les professionnels de l’audiovisuel, affirmons à la fois notre admiration et notre soutien total envers nos confrères et nos consœurs ukrainiens. Certains parmi nous travaillent avec eux, connaissent leurs qualités professionnelles et humaines. Notre soutien va également aux sphères culturelles russes qui sont chaque jour plus nombreuses à prendre leurs distances avec le pouvoir moscovite.

Au-delà de l’accueil d’éventuels réfugiés ukrainiens, nous aiderons les professionnels de l’audiovisuel ukrainiens à se construire un nouvel avenir, en France ou chez eux, une fois le conflit terminé.

Enfin, à l’heure des nombreuses fake news, nous tenons également à saluer l’engagement sans faille des journalistes, des documentaristes, des techniciens qui couvrent cette guerre effroyable, en freelance, au sein des agences de presse, ou pour le compte des médias français. Ils sont les garants d’une information libre et indépendante, véritable clé de voûte de la démocratie.

Plus que jamais, les paroles de l’hymne national ukrainien ont un sens : « ni la gloire ni la liberté ne sont mortes en Ukraine ».

Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 15 – s.lebars@uspa.fr
Florence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.fr
Emmanuelle Jouanole – SEDPA – 06 33 68 36 54 – ejouanole@terranoa.com
Vincent Gisbert – SPECT – 01 45 05 72 03 – vincentgisbert@spect.fr
Emmanuelle Mauger – SPI – 01 44 70 70 44 – emauger@lespi.org

🇺🇦 Note générale Téléchargez ici la note complète sur toutes les modalités d’aide à l’Ukraine et au peuple ukrainien, ou cliquez sur le lien suivant : https://lespi.org/wp-content/uploads/2022/04/Soutien-CISA-Ukrain-V2.pdf 🇺🇦 Coordonnées pour l’hébergement des artistes exilés Ukrainiens“L’Atelier des Artistes en Exil” se charge de trouver des hébergements pour les artistes arrivant en France Site Internet : https://aa-e.org/frEmail : contact@aa-e.orgAdresse : 6 rue d’Aboukir – 75002 Paris Téléphone : +33 1 53 41 65 96 🇺🇦 Sites permettant de coordonner les dons et besoins concrets https://www.jaime-lukraine.fr/euro-maidan/maidan-de-a-a-z/babylon13 https://b2bdoc.se https://dae-europe.org/ 🇺🇦 Solidarity action for filmmakers and journalists in and out of Ukraine Here is a list of emails / emergency contact formsThe person can write to as many as relevant Each time, mention :IDLast employer / productionCurrent locationDestinationWhere about & specific assistance needsSecure contact FILMMAKERS – NOT JOURNALISTS : Support for those in Ukraine : contact@icfr.internationalhttps://www.icfr.international/ ICFR acts only upon immediate risk, which is literally what we’re talking about For those outside Ukraine : mail@filmmakers-for-ukrainehttps://filmmakers-for-ukraine.com/ JOURNALISTS in UKRAINE & RUSSIA assistance@rsfsecure.org JOURNALISTS FROM UKR – RU in need of relocation fundingFree Press Unlimited : Via the emergency programme Reporters Respond they are able to provide financial support so that journalists are able to relocate to another countryemergency contact form : https://www.freepressunlimited.org/en/application-form-reporters-respond JOURNALISTS & media staff OUTSIDE Ukraine / RussiaThe Committee to Protect Journalists and RSF say it’s very important that Russian journalists fleeing because of the war contact : emergencies@cpj.orgassistance@rsfsecure.org + For journalists in Turkey, include : rakyavas@ipi.media  Renan Akyavas – International Press Institute, Turkey Programme Coordinator Pour les demandes de visas émanant du secteur cinématographique et audiovisuel, de personnalités ou professionnels cherchant à quitter la Russie, il faut adresser les demandes à l’attachée audiovisuelle : emmanuelle.faucilhon@diplomatie.gouv.fr 🇺🇦 Informations à destination des ressortissants ukrainiens souhaitant accéder ou séjourner en France 🇺🇦 Information for Ukrainian citizens wishing to enter French territory and/or stay here : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/information-for-ukrainian-citizens-wishing-to-enter-french 🇺🇦 Інформація для громадян України, які бажають приїхати до Франції та/або перебувати на її території : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/dossiers/situation-en-ukraine/informaciya-dlya-gromadyan-ukraini-yaki-bazhayut-priikhati 🇺🇦 Nos collègues du syndicat des producteurs polonais et de la film Academy polonaise sont confrontés à des besoins de matériels très concrets pour pouvoir continuer à alimenter les ukrainiens et toutes les équipes qui doivent filmer en Ukraine.  Si vous souhaitez envoyer du matériel, contactez-les à cette adresse : HelpUA@pnf.pl 🇺🇦 Communiqué de Presse de la CEPI – Coordination Européenne des Producteurs Indépendantsdu 3 mars 2022 🇺🇦 Communiqué de Presse de la CISA Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel Communiqué de presse 1 mars 2022 LA CISA SOLIDAIRE AVEC LE PEUPLE UKRAINIEN La CISA, Coordination InterSyndicale de l’Audiovisuel, qui regroupe producteurs et distributeurs internationaux français, tient à exprimer son émotion et sa solidarité avec le peuple d’Ukraine. Nous savons, notamment au travers de nombreux témoignages vus dans les médias ou sur les réseaux sociaux, que la manifestation d’un soutien sans faille de la communauté internationale conforte sa détermination à se défendre et à rester libre. Aussi, nous, les professionnels de l’audiovisuel, affirmons à la fois notre admiration et notre soutien total envers nos confrères et nos consœurs ukrainiens. Certains parmi nous travaillent avec eux, connaissent leurs qualités professionnelles et humaines. Notre soutien va également aux sphères culturelles russes qui sont chaque jour plus nombreuses à prendre leurs distances avec le pouvoir moscovite. Au-delà de l’accueil d’éventuels réfugiés ukrainiens, nous aiderons les professionnels de l’audiovisuel ukrainiens à se construire un nouvel avenir, en France ou chez eux, une fois le conflit terminé. Enfin, à l’heure des nombreuses fake news, nous tenons également à saluer l’engagement sans faille des journalistes, des documentaristes, des techniciens qui couvrent cette guerre effroyable, en freelance, au sein des agences de presse, ou pour le compte des médias français. Ils sont les garants d’une information libre et indépendante, véritable clé de voûte de la démocratie. Plus que jamais, les paroles de l’hymne national ukrainien ont un sens : « ni la gloire ni la liberté ne sont mortes en Ukraine ». Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 15 – s.lebars@uspa.frFlorence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.frEmmanuelle Jouanole – SEDPA – 06 33 68 36 54 – ejouanole@terranoa.comVincent Gisbert – SPECT – 01 45 05 72 03 – vincentgisbert@spect.frEmmanuelle Mauger – SPI – 01 44 70 70 44 …

27 avril 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Kit de prévention des Violences, du Harcèlement sexuel et du Sexisme (VHSS) dans l’audiovisuel et le cinéma

Les CCHSCT* de la Production audiovisuelle et de la Production cinématographique et publicitaire ont présenté, jeudi 31 mars dernier, le kit de prévention des violences, du harcèlement sexuel et du sexisme (VHSS) co-édité avec Le Collectif 50/50, au Silencio des Prés.

Issu d’un travail paritaire et collectif, ce kit adapté à l’audiovisuel et au cinéma est conçu comme une boîte à outils pour :

  • Prévenir les VHSS,
  • Signaler ou réagir à des VHSS,
  • Traiter les situations et signalements de faits pouvant relever de VHSS.

A destination de tou·te·s, employeur·euse·s comme salarié·e·s, victimes comme témoins, ce kit a vocation à permettre à chacun·e de se l’approprier et d’y trouver des repères pour agir à son niveau.

Le CNC, Audiens et l’AFdas sont également intervenus pour présenter les dispositifs de lutte contre les VHSS qu’ils ont mis en place au niveau de leurs institutions.

* Comité Central d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail

⬇ Téléchargez le kit de prévention des VHSS ci-dessous ⬇

⬇ Téléchargez la présentation de l’offre de service de l’AFDAS ci-dessous ⬇

⬇ Téléchargez la présentation de le cellule juridique et psychologique opérée par AUDIENS ci-dessous ⬇

6 avril 2022Actus-SPI, Non classéactus-spi non-classe
bureau à louer paris août

Chère communauté, nous avons un bureau à louer 1 mois août 2024 dans un bel immeuble au cœur d’une impasse, au calme, dans le 9ème arrondissement de Paris. Le bureau est situé rue Ambroise Thomas, entre la rue du faubourg poissonnière et la rue des Petites Écuries avec ascenseur.
Les locaux regroupent cinq bureaux indépendants.
Ils bénéficient en commun d’une cuisine aménagée, équipée d’un micro-onde, d’une plaque de cuisson, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine.
Il y a deux WC ainsi qu’un accès à l’extérieur avec un balcon filant qui dessert les différents bureaux.

Disponibilité : à partir du 27 juillet jusqu’au 24 août.

Prix : 400 euros HT / semaine .

Bureau à louer à la semaine ou au mois.

Charges Locatives comprises. Internet et ménage compris.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations et de photos  à xmaingot@eauxvivesproductions.com

Bonne journée.

Chère communauté, nous avons un bureau à louer 1 mois août 2024 dans un bel immeuble au cœur d’une impasse, au calme, dans le 9ème arrondissement de Paris. Le bureau est situé rue Ambroise Thomas, entre la rue du faubourg poissonnière et la rue des Petites Écuries avec ascenseur. Les locaux regroupent cinq bureaux indépendants. Ils bénéficient en commun d’une cuisine aménagée, équipée d’un micro-onde, d’une plaque de cuisson, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine. Il y a deux WC ainsi qu’un accès à l’extérieur avec un balcon filant qui dessert les différents bureaux. Disponibilité : à partir du 27 juillet jusqu’au 24 août. Prix : 400 euros HT / semaine . Bureau à louer à la semaine ou au mois. Charges Locatives comprises. Internet et ménage compris. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations et de photos  à xmaingot@eauxvivesproductions.com Bonne …

10 juillet 2024Annoncesannonces
Prise de parole du SPI au Sunny Side of the Doc 2024 – 10 propositions et un appel à des Assises de toute la filière

APPEL DU 26 JUIN
Sunny Side of the Doc 2024

10   PROPOSITIONS DU SPI, 1ER SYNDICAT DE PRODUCTION DOCUMENTAIRE

1.     Défendre l’exception culturelle

Conserver l’exception culturelle dans les accords de libre-échange (Europe-Etats-Unis) actuellement en négociation pour résister au lobbying de l’industrie hollywoodienne et soutenir les entreprises indépendantes européennes.

2.     Sauver l’audiovisuel public …

Ni fusion, ni privatisation : le service public audiovisuel doit bénéficier d’un financement dédié, pérenne et dynamique. La budgétisation ne peut être qu’une transition vers la mise en place indispensable d’une taxe affectée.

 3.  … Et le doter d’une vraie ambition numérique

Se démarquer des grandes plateformes de divertissement en donnantaccès aux contenus documentaires, d’information, de décryptage ; tout ce qui fait la spécificité du service public.

4.     Garantir l’indépendance d’Arte

Garantir l’indépendance de son financement et pérenniser sa ligne éditoriale.

5.     Préserver l’autonomie du CNC par son financement, pour la diversité de la création

Conserver la perception de ses taxes et l’intégralité de son budget.

Remettre au cœur de sa politique le soutien à la diversité de la création, en premier lieu celle du documentaire.

6.   Relancer la dynamique de soutien du CNC pour le documentaire

Pour améliorer le financement de tous les documentaires aidés par le CNC face à l’inflation et à la diminution de certains fonds.

Pour accompagner des mesures en faveur du pouvoir d’achat des réalisateur.ices et des technicien.nes.

7.    Sanctuariser le système de l’intermittence

Seul un régime d’intermittence permet de construire une œuvre tout en préservant le statut des artistes et des technicien.nes qui y contribuent.

8.     Lutter contre les VHSS et toutes formes de violences au travail

Accompagner les producteur.ice.s sur leurs responsabilités en la matière.

Garantir la formation de l’ensemble de la filière pour une meilleure prévention.

9.     Diffuser une charte des bonnes pratiques en matière d’Intelligence Artificielle

Pour une transparence du recours à l’intelligence artificielle dès lors que son usage impacte une œuvre audiovisuelle ou cinématographique présentée au public.

10.     Garantir les dispositifs anti-concentration et le pluralisme des médias, de la création.

APPEL À DES ASSISES DE LA FILIÈRE

APPEL DU 26 JUINSunny Side of the Doc 2024 10   PROPOSITIONS DU SPI, 1ER SYNDICAT DE PRODUCTION DOCUMENTAIRE 1.     Défendre l’exception culturelle Conserver l’exception culturelle dans les accords de libre-échange (Europe-Etats-Unis) actuellement en négociation pour résister au lobbying de l’industrie hollywoodienne et soutenir les entreprises indépendantes européennes. 2.     Sauver l’audiovisuel public … Ni fusion, ni privatisation : le service public audiovisuel doit bénéficier d’un financement dédié, pérenne et dynamique. La budgétisation ne peut être qu’une transition vers la mise en place indispensable d’une taxe affectée.  3.  … Et le doter d’une vraie ambition numérique Se démarquer des grandes plateformes de divertissement en donnantaccès aux contenus documentaires, d’information, de décryptage ; tout ce qui fait la spécificité du service public. 4.     Garantir l’indépendance d’Arte Garantir l’indépendance de son financement et pérenniser sa ligne éditoriale. 5.     Préserver l’autonomie du CNC par son financement, pour la diversité de la création Conserver la perception de ses taxes et l’intégralité de son budget. Remettre au cœur de sa politique le soutien à la diversité de la création, en premier lieu celle du documentaire. 6.   Relancer la dynamique de soutien du CNC pour le documentaire Pour améliorer le financement de tous les documentaires aidés par le CNC face à l’inflation et à la diminution de certains fonds. Pour accompagner des mesures en faveur du pouvoir d’achat des réalisateur.ices et des technicien.nes. 7.    Sanctuariser le système de l’intermittence Seul un régime d’intermittence permet de construire une œuvre tout en préservant le statut des artistes et des technicien.nes qui y contribuent. 8.     Lutter contre les VHSS et toutes formes de violences au travail Accompagner les producteur.ice.s sur leurs responsabilités en la matière. Garantir la formation de l’ensemble de la filière pour une meilleure prévention. 9.     Diffuser une charte des bonnes pratiques en matière d’Intelligence Artificielle Pour une transparence du recours à l’intelligence artificielle dès lors que son usage impacte une œuvre audiovisuelle ou cinématographique présentée au public. 10.     Garantir les dispositifs anti-concentration et le pluralisme des médias, de la création. APPEL À DES ASSISES DE LA …

26 juin 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche Chargé.e de production et Administrateur.trice de production

SaNoSi Productions

2 route du parc 28130 Maintenon

Candidature à envoyer par mail à contact@sanosi-productions.com

Secteur : Audiovisuel/Cinéma

Description de l’entreprise/de l’organisme

SaNoSi Productions a produit depuis 2012 près de 80 films, des programmes courts, des documentaires et des fictions pour la télévision et le cinéma. Plus de la moitié sont des premières œuvres, portées par des auteurs et des autrices du monde entier. Depuis 2018, plusieurs films ont été sélectionnés au Festival de Cannes, dont les documentaires Libre de Michel Toesca, Le Grand Bal de Laetitia Carton, nommé aux César, H6 de Ye Ye, Pierre Feuille Pistolet (In the rearview) de Maciek Hamela (sélection ACID), sorti en salle le 8 novembre 2023 et Freda 1er long-métrage de fiction de Gessica Généus.

SaNoSi Productions, c’est aussi une plateforme, SaNoSi.live.

Description du poste

En intégrant l’équipe de SaNoSi Productions, vous travaillerez essentiellement avec Jean-Marie Gigon, producteur et fondateur de la société, ainsi qu’avec un directeur de production, une administratrice et une apprentie assistante de production. Vous aurez également des échanges avec les personnes de l’équipe en charge de la communication, de la post-production et des festivals / ventes internationales.

Le poste à pourvoir est à double casquette avec une partie production pour le suivi des documentaires en audiovisuel et une partie gestion de la société.

Missions :

Administratif : 

-Accueil et réception du public

-Réception des appels téléphoniques

-Traitement du courrier

-Suivi de la trésorerie

-Gestion des fournitures

-Classer et archiver documents

-Prendre en charge, de façon autonome, certaines activités liées au fonctionnement du service

-Facturation

-Traitement des notes de frais

-Traitement des notes de droit d’auteur

-Établir les contrats des auteurs, des réalisateurs, des techniciens

En collaboration avec l’administratrice

-Gestion du personnel permanent (médecine du travail, congés, mutuelle, absences)

-Gestion des variables de paies

-Établir les fiches de paie des permanents et des intermittents, suivi des DPAE et des contrats

-Déclaration des charges

Production :

-Identifier et analyser les besoins de l’auteur, du réalisateur, du producteur pour clarifier les enjeux et besoins du projet.

-Recherches et demandes de financements privés et publics

-Échanges avec les diffuseurs (rencontres en amont, présentation des projets, suivi lors des phases de contractualisations, échanges pendant les productions, et suivi des livraisons à l’issue des productions)

-Suivi des budgets des films

-Gestion des plannings

-Organisation des tournages de documentaires

-Réservation des lieux de tournage et de post-production, suivi avec les studios, les laboratoires et les fournisseurs

Expériences et formations requises

Une personne méthodique et organisée, avec des qualités de management.

Une première expérience de 5 ans en production audiovisuelle.

Compétences requises

-Maîtrise du Pack Office

-Connaissance du logiciel sPAIEctacle

-Quelques connaissances de matériel de tournage

-Quelques connaissances des logiciels de montage/post-production

-Bonne connaissance de l’anglais

Profil du candidat 

-Autonome / appréciant le travail d’équipe

-Polyvalent.e

Avantages : 

Prise en charge du titre de transport à hauteur de 50%

Date de prise de fonction

La plus tôt possible

Type de poste : 

CDI

Rémunération envisagée :

A discuter selon expérience

SaNoSi Productions 2 route du parc 28130 Maintenon Candidature à envoyer par mail à contact@sanosi-productions.com Secteur : Audiovisuel/Cinéma Description de l’entreprise/de l’organisme SaNoSi Productions a produit depuis 2012 près de 80 films, des programmes courts, des documentaires et des fictions pour la télévision et le cinéma. Plus de la moitié sont des premières œuvres, portées par des auteurs et des autrices du monde entier. Depuis 2018, plusieurs films ont été sélectionnés au Festival de Cannes, dont les documentaires Libre de Michel Toesca, Le Grand Bal de Laetitia Carton, nommé aux César, H6 de Ye Ye, Pierre Feuille Pistolet (In the rearview) de Maciek Hamela (sélection ACID), sorti en salle le 8 novembre 2023 et Freda 1er long-métrage de fiction de Gessica Généus. SaNoSi Productions, c’est aussi une plateforme, SaNoSi.live. Description du poste En intégrant l’équipe de SaNoSi Productions, vous travaillerez essentiellement avec Jean-Marie Gigon, producteur et fondateur de la société, ainsi qu’avec un directeur de production, une administratrice et une apprentie assistante de production. Vous aurez également des échanges avec les personnes de l’équipe en charge de la communication, de la post-production et des festivals / ventes internationales. Le poste à pourvoir est à double casquette avec une partie production pour le suivi des documentaires en audiovisuel et une partie gestion de la société. Missions : Administratif :  -Accueil et réception du public -Réception des appels téléphoniques -Traitement du courrier -Suivi de la trésorerie -Gestion des fournitures -Classer et archiver documents -Prendre en charge, de façon autonome, certaines activités liées au fonctionnement du service -Facturation -Traitement des notes de frais -Traitement des notes de droit d’auteur -Établir les contrats des auteurs, des réalisateurs, des techniciens En collaboration avec l’administratrice -Gestion du personnel permanent (médecine du travail, congés, mutuelle, absences) -Gestion des variables de paies -Établir les fiches de paie des permanents et des intermittents, suivi des DPAE et des contrats -Déclaration des charges Production : -Identifier et analyser les besoins de l’auteur, du réalisateur, du producteur pour clarifier les enjeux et besoins du projet. -Recherches et demandes de financements privés et publics -Échanges avec les diffuseurs (rencontres en amont, présentation des projets, suivi lors des phases de contractualisations, échanges pendant les productions, et suivi des livraisons à l’issue des productions) -Suivi des budgets des films -Gestion des plannings -Organisation des tournages de documentaires -Réservation des lieux de tournage et de post-production, suivi avec les studios, les laboratoires et les fournisseurs Expériences et formations requises Une personne méthodique et organisée, avec des qualités de management. Une première expérience de 5 ans en production audiovisuelle. Compétences requises -Maîtrise du Pack Office -Connaissance du logiciel sPAIEctacle -Quelques connaissances de matériel de tournage -Quelques connaissances des logiciels de montage/post-production -Bonne connaissance de l’anglais Profil du candidat  -Autonome / appréciant le travail d’équipe -Polyvalent.e Avantages :  Prise en charge du titre de transport à hauteur de 50% Date de prise de fonction La plus tôt possible Type de poste :  CDI Rémunération envisagée : A discuter selon …

24 juin 2024Annoncesannonces
Tribune – Privatiser les télés et les radios publiques : un projet dangereux pour les français

Fierté nationale, l’audiovisuel public dont les succès sont avérés, est un pilier de notre démocratie et de notre culture.  

Lundi 10 juin, M. Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national (RN), a réitéré que « la privatisation du service public de l’audiovisuel, c’est trois milliards d’euros d’économies ». Cette intention de privatisation a été confirmée le 16 juin dernier par M. Jordan Bardella.

Ce type de décision peut détruire directement des centaines de milliers d’emplois et un pan entier de l’économie. La télé et la radio publiques sont, entre autres, les premiers partenaires d’une filière qui compte plus de 300.000 salariés, devant le secteur de l’agriculture et de la pêche (273.000 salariés) et l’industrie pharmaceutique (100.000 salariés). L’onde de choc d’une telle décision, entraînera également vers les abîmes nombre de chaînes et radios privées confrontées à un marché publicitaire déjà saturé.

Comme l’éducation nationale, la santé, ou la police, il s’agit d’un service public qui joue un rôle essentiel. Il assure une information indépendante et non soumise aux pressions politiques et commerciales, garantissant un pluralisme des points de vue. Il offre un accès gratuit et universel à l’information, au cinéma, au spectacle vivant, aux événements sportifs majeurs, réduisant les inégalités sociales et permettant à chaque citoyen de participer pleinement au débat et à la vie démocratique. Il remplit une mission éducative et culturelle cruciale, y compris dans ses émissions de divertissement et programmes pour les enfants, diffusés sans publicité.Il renforce la cohésion sociale du pays et participe au rayonnement de la culture française.

Radio France et France Télévisions assurent un rôle essentiel en proposant aussi surtout une information et des programmes de proximité, dans toutes les régions, sur tout le territoire métropolitain et ultramarin. Elles sont régies par des normes éthiques strictes, garantissant la confiance du public. 

Aucun pays européen ne s’est risqué à privatiser l’audiovisuel public.

Le RN, agissant à visage découvert, propose une mesure qui laisserait un marché de l’information et de la création soumis aux seuls intérêts privés au détriment de la recherche de la vérité, du contradictoire et de la diversité des récits, en l’absence du contrepoids d’un pôle audiovisuel public fort et indépendant.

Est-ce la France que nous voulons ?

Le 30 juin et le 7 juillet prochain, nous avons toutes et tous le droit fondamental de nous exprimer.

AAFA – Actrices & acteurs de France associés

ADEFI – Association pour le Développement de la Fiction en Pays de la Loire

AGRAF – Les  Auteurs groupés de l’animation française

ALATAC – Collectif des techniciens de post-production en Hauts-de-France

AnimFrance – Association des producteurs d’animation

APAGE – Association des Producteurs Audiovisuels du Grand Est

APARR – Association des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel de Bourgogne-Franche-Comté

APIFA – Association des Producteurs Indépendants d’Occitanie

ARDA – Association des directrices et directeurs de casting

ARP – Société civile des auteurs-réalisateurs-producteurs

DIRE – Distributeurs Indépendants Réunis Européens

E.A.T. – Écrivaines et écrivains Associés du Théâtre

F3C-CFDT – Communication conseil culture

FNSAC-CGT – Fédération Nationale des Syndicats du Spectacle, du Cinéma, de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle

GARRD – Guilde des Auteurs Réalisateurs de Reportages et Documentaires

GNCR – Groupement National des Cinémas de Recherche

La Boucle documentaire

La CGT Radio France

La PEÑA – Produire en Nouvelle-Aquitaine

La SCAM – Société civile des auteurs multimédia

La SRF – Société des réalisatrices et réalisateurs de films

LPA – Les Producteur.trice.s Associé.e.s de la Région Sud

Normandie Films

PARC – Association des Producteurs associés en région Centre

RHIZOM – Association des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en Hauts-de-France

SATEV – Syndicat des agences de presse audiovisuelles

SCA – Scénaristes de Cinéma Associés

SEDPA – Syndicat de Distribution de Programmes Audiovisuels

SFA-CGT – Syndicat Français des Artistes interprètes

SFR-CGT – Syndicat français des Réalisateurs

SDI – Syndicat des Distributeurs Indépendants

SNAC – Syndicat National des auteurs et des compositeurs

SNME-CFDT – Syndicat National des Médias et de l’Écrit

SNMS – Syndicat National des Metteuses et metteurs en scène

SNRT-CGT – Syndicat National de Radiodiffusion et de Télévision audiovisuel

SNTPCT – Syndicat National des Techniciens et Travailleurs de la Production  Cinématographique et de Télévision

SPECT – Syndicat des producteurs créateurs de programmes audiovisuels

SPI – Le syndicat des Producteurs Indépendants

SPIAC-CGT – Syndicat des Professionnel.les des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma CGT

U2R – Union des réalisatrices et réalisateurs

UPC – Union des Producteurs de cinéma

USPA – Union syndicale de la Production Audiovisuelle

Fierté nationale, l’audiovisuel public dont les succès sont avérés, est un pilier de notre démocratie et de notre culture.   Lundi 10 juin, M. Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national (RN), a réitéré que « la privatisation du service public de l’audiovisuel, c’est trois milliards d’euros d’économies ». Cette intention de privatisation a été confirmée le 16 juin dernier par M. Jordan Bardella. Ce type de décision peut détruire directement des centaines de milliers d’emplois et un pan entier de l’économie. La télé et la radio publiques sont, entre autres, les premiers partenaires d’une filière qui compte plus de 300.000 salariés, devant le secteur de l’agriculture et de la pêche (273.000 salariés) et l’industrie pharmaceutique (100.000 salariés). L’onde de choc d’une telle décision, entraînera également vers les abîmes nombre de chaînes et radios privées confrontées à un marché publicitaire déjà saturé. Comme l’éducation nationale, la santé, ou la police, il s’agit d’un service public qui joue un rôle essentiel. Il assure une information indépendante et non soumise aux pressions politiques et commerciales, garantissant un pluralisme des points de vue. Il offre un accès gratuit et universel à l’information, au cinéma, au spectacle vivant, aux événements sportifs majeurs, réduisant les inégalités sociales et permettant à chaque citoyen de participer pleinement au débat et à la vie démocratique. Il remplit une mission éducative et culturelle cruciale, y compris dans ses émissions de divertissement et programmes pour les enfants, diffusés sans publicité.Il renforce la cohésion sociale du pays et participe au rayonnement de la culture française. Radio France et France Télévisions assurent un rôle essentiel en proposant aussi surtout une information et des programmes de proximité, dans toutes les régions, sur tout le territoire métropolitain et ultramarin. Elles sont régies par des normes éthiques strictes, garantissant la confiance du public.  Aucun pays européen ne s’est risqué à privatiser l’audiovisuel public. Le RN, agissant à visage découvert, propose une mesure qui laisserait un marché de l’information et de la création soumis aux seuls intérêts privés au détriment de la recherche de la vérité, du contradictoire et de la diversité des récits, en l’absence du contrepoids d’un pôle audiovisuel public fort et indépendant. Est-ce la France que nous voulons ? Le 30 juin et le 7 juillet prochain, nous avons toutes et tous le droit fondamental de nous exprimer. AAFA – Actrices & acteurs de France associés ADEFI – Association pour le Développement de la Fiction en Pays de la Loire AGRAF – Les  Auteurs groupés de l’animation française ALATAC – Collectif des techniciens de post-production en Hauts-de-France AnimFrance – Association des producteurs d’animation APAGE – Association des Producteurs Audiovisuels du Grand Est APARR – Association des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel de Bourgogne-Franche-Comté APIFA – Association des Producteurs Indépendants d’Occitanie ARDA – Association des directrices et directeurs de casting ARP – Société civile des auteurs-réalisateurs-producteurs DIRE – Distributeurs Indépendants Réunis Européens E.A.T. – Écrivaines et écrivains Associés du Théâtre F3C-CFDT – Communication conseil culture FNSAC-CGT – Fédération Nationale des Syndicats du Spectacle, du Cinéma, de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle GARRD – Guilde des Auteurs Réalisateurs de Reportages et Documentaires GNCR – Groupement National des Cinémas de Recherche La Boucle documentaire La CGT Radio France La PEÑA – Produire en Nouvelle-Aquitaine La SCAM – Société civile des auteurs multimédia La SRF – Société des réalisatrices et réalisateurs de films LPA – Les Producteur.trice.s Associé.e.s de la Région Sud Normandie Films PARC – Association des Producteurs associés en région Centre RHIZOM – Association des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en Hauts-de-France SATEV – Syndicat des agences de presse audiovisuelles SCA – Scénaristes de Cinéma Associés SEDPA – Syndicat de Distribution de Programmes Audiovisuels SFA-CGT – Syndicat Français des Artistes interprètes SFR-CGT – Syndicat français des Réalisateurs SDI – Syndicat des Distributeurs Indépendants SNAC – Syndicat National des auteurs et des compositeurs SNME-CFDT – Syndicat National des Médias et de l’Écrit SNMS – Syndicat National des Metteuses et metteurs en scène SNRT-CGT – Syndicat National de Radiodiffusion et de Télévision audiovisuel SNTPCT – Syndicat National des Techniciens et Travailleurs de la Production  Cinématographique et de Télévision SPECT – Syndicat des producteurs créateurs de programmes audiovisuels SPI – Le syndicat des Producteurs Indépendants SPIAC-CGT – Syndicat des Professionnel.les des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma CGT U2R – Union des réalisatrices et réalisateurs UPC – Union des Producteurs de cinéma USPA – Union syndicale de la Production …

18 juin 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
RETOUR A MAMANVILLE de Stéphane Rizzi – Grand Prix Essai/ Art Video à Côté Court 2024

Le film de Stéphane Rizzi, RETOUR A MAMANVILLE, produit par Les Films de la Nuit, a reçu le Grand Prix Essai / Art Video au Festival Côté Court de Pantin 2024.

Il sera projeté le Mercredi 19 juin à 21h au Cinéma l’Archipel dans le cadre de la reprise de films primés à Pantin.

Le film de Stéphane Rizzi, RETOUR A MAMANVILLE, produit par Les Films de la Nuit, a reçu le Grand Prix Essai / Art Video au Festival Côté Court de Pantin 2024. Il sera projeté le Mercredi 19 juin à 21h au Cinéma l’Archipel dans le cadre de la reprise de films primés à …

17 juin 2024Actus-Adhérentsactus-adherents
Communiqué – France Télévisions, AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA signent un accord sur l’engagement financier et l’exposition des œuvres patrimoniales audiovisuelles dans les offres de France Télévisions

En présence de Mme Rachida Dati, ministre de la Culture, France Télévisions, AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA ont signé le 17 juin à Paris un accord portant sur l’engagement financier et l’exposition des oeuvres audiovisuelles dans les offres de France Télévisions, en vue de renouveler leur partenariat au service d’une ambition partagée pour la création.

Cet accord, qui succède à l’accord signé en 2019, traduit une volonté partagée par les signataires de maintenir un haut niveau d’investissement de France Télévisions dans la création, et de permettre à France Télévisions de poursuivre sa transition numérique pour accompagner l’évolution des usages des téléspectateurs.

Cet accord d’une durée de trois ans pouvant être portée à cinq par volonté commune des signataires pérennise l’investissement de 440M€ par an de France Télévisions dans la création.

Il détermine également des niveaux d’investissement par genre, en hausse par rapport à l’accord précédent.

Au moins 105 M€ par an seront investis dans le documentaire dont 14 M€ dans le documentaire régional et ultramarin (101M€ et 12,2M€ dans l’accord précédent). France Télévisions s’engage également à revaloriser significativement les offres documentaires les moins bien financées.

Pour accompagner l’objectif stratégique de mieux s’adresser aux jeunes publics, France Télévisions porte son investissement dans l’animation de 32M€ en 2024 à 35M€ en 2025, 36M€ en 2026 et 37M€ en 2027.

Au moins 17M€ par an seront consacrés au spectacle vivant (15,75M€ dans l’accord précédent), et pour la première fois, un engagement spécifique dans le court métrage de 1,5M€ est pris, France Télévisions affirmant ainsi son soutien à la jeune création.

Enfin, 20 % de cet investissement pourront être réservés aux filiales de France Télévisions.

En contrepartie de son investissement, France Télévisions pourra disposer de « droits 360° » pendant des durées allant de 30 à 42 mois, déterminées pour chaque œuvre en fonction du niveau de financement de France Télévisions.

L’accord étend également à France Télévisions les conditions d’accès aux mandats et aux parts de coproduction auxquelles sont soumis les autres éditeurs.

En signant cet accord, France Télévisions renforce sa première place de financeur de la production indépendante française et confirme son attachement profond à la création.

France Télévisions, AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA se réjouissent de cet accord au service d’un meilleur financement et d’une meilleure exposition des œuvres dans toute leur diversité, adaptée aux nouveaux usages, pour tous les publics.


Contacts :

France Télévisions : Véronique Borel –  veronique.borel@francetv.fr / 06 27 89 64 57

AnimFrance / USPA : Stéphane Le Bars – s.lebars@animfrance.fr / 06 60 23 53 96

SATEV : Florence Braka – f.braka@ffap.fr / 01 42 47 01 00

SEDPA : 
Emmanuelle Jouanole – ejouanole@terranoa.com / 06 33 68 36 54
Raphaëlle Mathieu – rmathieu@cybergroupestudios.com / 06 88 06 28 73

SPECT : Vincent Gisbert – vincentgisbert@spect.fr / 06 18 01 54 34

SPI : Emmanuelle Mauger – emauger@lespi.org / 01 44 70 70 44 

En présence de Mme Rachida Dati, ministre de la Culture, France Télévisions, AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA ont signé le 17 juin à Paris un accord portant sur l’engagement financier et l’exposition des oeuvres audiovisuelles dans les offres de France Télévisions, en vue de renouveler leur partenariat au service d’une ambition partagée pour la création. Cet accord, qui succède à l’accord signé en 2019, traduit une volonté partagée par les signataires de maintenir un haut niveau d’investissement de France Télévisions dans la création, et de permettre à France Télévisions de poursuivre sa transition numérique pour accompagner l’évolution des usages des téléspectateurs. Cet accord d’une durée de trois ans pouvant être portée à cinq par volonté commune des signataires pérennise l’investissement de 440M€ par an de France Télévisions dans la création. Il détermine également des niveaux d’investissement par genre, en hausse par rapport à l’accord précédent. Au moins 105 M€ par an seront investis dans le documentaire dont 14 M€ dans le documentaire régional et ultramarin (101M€ et 12,2M€ dans l’accord précédent). France Télévisions s’engage également à revaloriser significativement les offres documentaires les moins bien financées. Pour accompagner l’objectif stratégique de mieux s’adresser aux jeunes publics, France Télévisions porte son investissement dans l’animation de 32M€ en 2024 à 35M€ en 2025, 36M€ en 2026 et 37M€ en 2027. Au moins 17M€ par an seront consacrés au spectacle vivant (15,75M€ dans l’accord précédent), et pour la première fois, un engagement spécifique dans le court métrage de 1,5M€ est pris, France Télévisions affirmant ainsi son soutien à la jeune création. Enfin, 20 % de cet investissement pourront être réservés aux filiales de France Télévisions. En contrepartie de son investissement, France Télévisions pourra disposer de « droits 360° » pendant des durées allant de 30 à 42 mois, déterminées pour chaque œuvre en fonction du niveau de financement de France Télévisions. L’accord étend également à France Télévisions les conditions d’accès aux mandats et aux parts de coproduction auxquelles sont soumis les autres éditeurs. En signant cet accord, France Télévisions renforce sa première place de financeur de la production indépendante française et confirme son attachement profond à la création. France Télévisions, AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA se réjouissent de cet accord au service d’un meilleur financement et d’une meilleure exposition des œuvres dans toute leur diversité, adaptée aux nouveaux usages, pour tous les publics. Contacts : France Télévisions : Véronique Borel –  veronique.borel@francetv.fr / 06 27 89 64 57 AnimFrance / USPA : Stéphane Le Bars – s.lebars@animfrance.fr / 06 60 23 53 96 SATEV : Florence Braka – f.braka@ffap.fr / 01 42 47 01 00 SEDPA : Emmanuelle Jouanole – ejouanole@terranoa.com / 06 33 68 36 54Raphaëlle Mathieu – rmathieu@cybergroupestudios.com / 06 88 06 28 73 SPECT : Vincent Gisbert – vincentgisbert@spect.fr / 06 18 01 54 34 SPI : Emmanuelle Mauger – emauger@lespi.org / 01 44 70 70 …

17 juin 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Accord SACD – SCAM – AnimFrance – SATEV – SPI – USPA – SEDPA – GROUPE TF1 sur les engagements du Groupe TF1 dans le financement d’oeuvres audiovisuelles d’animation, et de la chaine TFX dans la diffusion de programmes jeunesse et d’animation

La SACD, la SCAM, AnimFrance, le SATEV, le SPECT, le SPI, l’USPA et le SEDPA d’une part, et le Groupe TF1 d’autre part, se félicitent d’avoir conclu un accord définissant les engagements du Groupe TF1 en faveur de l’exposition de programmes jeunesse et d’animation et de financement d’œuvres audiovisuelles d’animation.

Les organisations signataires de cet accord sont convenues de mettre en œuvre, dès maintenant, une amélioration significative des droits acquis par le Groupe TF1 dans les œuvres d’animation, notamment en vue de leur exploitation par TF1+, en contrepartie d’un investissement financier unitaire renforcé.

Le Groupe TF1 par ailleurs a pris les engagements suivants :

-L’offre des émissions de TFX destinées à la jeunesse aux jours et heures où ce public est disponible est portée à compter de 2025 à un volume annuel d’au moins 300 heures, contre 150 heures actuellement.
TFX prend l’engagement nouveau qu’une part de ce volume horaire soit consacrée à des œuvres d’animation à hauteur d’au moins 200 heures par an.

-Le Groupe TF1 s’engage à porter son obligation contribuant au développement de la production d’œuvres audiovisuelles d’animation européennes ou d’expression originale française à compter de 2025 à hauteur de 6,0% de la contribution globale du Groupe TF1 au développement de la production d’œuvres audiovisuelles patrimoniales (contre 5,2% de cette dernière aujourd’hui),

  • dont au moins 5,6 % pour des œuvres audiovisuelles d’animation relevant de la production inédite (contre 4,8% aujourd’hui),
  • dont au moins 4,2 % de cette même obligation pour des œuvres audiovisuelles d’animation inédites relevant de la production indépendante (contre 3,6 % aujourd’hui).

La SACD, la SCAM, AnimFrance, le SATEV, le SPECT, le SPI, l’USPA, le SEDPA sont heureuses de ce partenariat ambitieux qui s’inscrit dans la continuité des relations constructives qu’elles ont avec le Groupe TF1 depuis de nombreuses années et qui se sont traduites encore dernièrement avec la signature d’un nouvel accord interprofessionnel le 15 décembre 2022.
Elles rappellent que le Groupe TF1 est le premier acteur privé en clair en termes de financement de la création d’œuvres audiovisuelles patrimoniales.

A propos du Groupe TF1
Le Groupe TF1 est un acteur majeur dans la production, l’édition et la distribution de contenus en France et en Europe.
Les activités du Groupe TF1 sont réparties en deux pôles :
Le pôle Média, rassemble ses chaînes en clair (TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI), ses chaînes thématiques (Ushuaia TV, Histoire TV, TV Breizh, Série Club), sa plateforme de streaming gratuite pour le divertissement familial et l’information TF1+, sa plateforme à la demande dédiée à la jeunesse TFOU MAX et la régie TF1 PUB. Il constitue un écosystème unique, capable de répondre aux envies de tous les publics, et aux besoins de tous les annonceurs. Le Groupe est également présent avec Muzeek One dans la production musicale et de spectacles.
Le pôle Production, avec Newen Studios, regroupe plus de 50 sociétés et labels créatifs en France et à l’international. Il crée et distribue des programmes dans tous les genres et pour tous les acteurs du secteur, des chaînes publiques et privées aux plateformes digitales, grâce à un savoir-faire unique, à la diversité de ses marques et de ses talents.
Présent dans 11 pays, le Groupe TF1 compte 2 882 collaborateurs au 31.12.2023. En 2023, il a réalisé un chiffre d’affaires de 2 297 M€ (Euronext Paris, compartiment A : ISIN FR0000054900).


CONTACTS

GROUPE TF1
Maylis Carçabal – Directrice de la Communication & des Marques – mcarcabal@tf1.fr
Sophie Danis – Directrice de la Communication Programmes, Business & RSE – sdanis@tf1.fr

AnimFrance / Union Syndicale de la Production Audiovisuelle
Stéphane Le Bars – Délégué Général – s.lebars@uspa.fr

SPI
Céline Hautier – Déléguée Animation – chautier@lespi.org

SATEV
Florence Braka – Déléguée Générale – f.braka@ffap.fr

SPECT
Vincent Gisbert – Délégué Général – vincentgisbert@spect.fr

SEDPA
Raphaëlle Mathieu – Coprésidente – rmathieu@cybergroupstudios.com

SACD
Chloé Rayneauchloe.rayneau@sacd.fr

SCAM
Cristina Campodonico cristina.campodonico@scam.fr

La SACD, la SCAM, AnimFrance, le SATEV, le SPECT, le SPI, l’USPA et le SEDPA d’une part, et le Groupe TF1 d’autre part, se félicitent d’avoir conclu un accord définissant les engagements du Groupe TF1 en faveur de l’exposition de programmes jeunesse et d’animation et de financement d’œuvres audiovisuelles d’animation. Les organisations signataires de cet accord sont convenues de mettre en œuvre, dès maintenant, une amélioration significative des droits acquis par le Groupe TF1 dans les œuvres d’animation, notamment en vue de leur exploitation par TF1+, en contrepartie d’un investissement financier unitaire renforcé. Le Groupe TF1 par ailleurs a pris les engagements suivants : -L’offre des émissions de TFX destinées à la jeunesse aux jours et heures où ce public est disponible est portée à compter de 2025 à un volume annuel d’au moins 300 heures, contre 150 heures actuellement.TFX prend l’engagement nouveau qu’une part de ce volume horaire soit consacrée à des œuvres d’animation à hauteur d’au moins 200 heures par an. -Le Groupe TF1 s’engage à porter son obligation contribuant au développement de la production d’œuvres audiovisuelles d’animation européennes ou d’expression originale française à compter de 2025 à hauteur de 6,0% de la contribution globale du Groupe TF1 au développement de la production d’œuvres audiovisuelles patrimoniales (contre 5,2% de cette dernière aujourd’hui), La SACD, la SCAM, AnimFrance, le SATEV, le SPECT, le SPI, l’USPA, le SEDPA sont heureuses de ce partenariat ambitieux qui s’inscrit dans la continuité des relations constructives qu’elles ont avec le Groupe TF1 depuis de nombreuses années et qui se sont traduites encore dernièrement avec la signature d’un nouvel accord interprofessionnel le 15 décembre 2022.Elles rappellent que le Groupe TF1 est le premier acteur privé en clair en termes de financement de la création d’œuvres audiovisuelles patrimoniales. A propos du Groupe TF1Le Groupe TF1 est un acteur majeur dans la production, l’édition et la distribution de contenus en France et en Europe.Les activités du Groupe TF1 sont réparties en deux pôles :Le pôle Média, rassemble ses chaînes en clair (TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI), ses chaînes thématiques (Ushuaia TV, Histoire TV, TV Breizh, Série Club), sa plateforme de streaming gratuite pour le divertissement familial et l’information TF1+, sa plateforme à la demande dédiée à la jeunesse TFOU MAX et la régie TF1 PUB. Il constitue un écosystème unique, capable de répondre aux envies de tous les publics, et aux besoins de tous les annonceurs. Le Groupe est également présent avec Muzeek One dans la production musicale et de spectacles.Le pôle Production, avec Newen Studios, regroupe plus de 50 sociétés et labels créatifs en France et à l’international. Il crée et distribue des programmes dans tous les genres et pour tous les acteurs du secteur, des chaînes publiques et privées aux plateformes digitales, grâce à un savoir-faire unique, à la diversité de ses marques et de ses talents.Présent dans 11 pays, le Groupe TF1 compte 2 882 collaborateurs au 31.12.2023. En 2023, il a réalisé un chiffre d’affaires de 2 297 M€ (Euronext Paris, compartiment A : ISIN FR0000054900). CONTACTS GROUPE TF1Maylis Carçabal – Directrice de la Communication & des Marques – mcarcabal@tf1.fr Sophie Danis – Directrice de la Communication Programmes, Business & RSE – sdanis@tf1.fr AnimFrance / Union Syndicale de la Production Audiovisuelle Stéphane Le Bars – Délégué Général – s.lebars@uspa.fr SPICéline Hautier – Déléguée Animation – chautier@lespi.org SATEVFlorence Braka – Déléguée Générale – f.braka@ffap.fr SPECTVincent Gisbert – Délégué Général – vincentgisbert@spect.fr SEDPARaphaëlle Mathieu – Coprésidente – rmathieu@cybergroupstudios.com SACDChloé Rayneau– chloe.rayneau@sacd.fr SCAMCristina Campodonico – …

12 juin 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche bureaux à louer en colocation

Nous développons des séries de fiction.
Nous sommes 3 personnes aujourd’hui (5 dans les prochains mois) en mode flexible (nous nous retrouvons sur Paris une semaine sur deux).

Nous sommes à la recherche d’un espace qui comprendrait :
– une pièce de bureau 5 postes / 20 m2 environ fermée/isolée
– une salle de réunion à partager
– un espace cuisine à partager
– une petite pièce de call/visio en plus serait idéal

Lieu : nord-est parisien, intra-muros, sur la ligne 4 idéalement

Date : nous avons 2 mois de préavis, septembre serait pas mal

Julien Aubert, producteur chez Bigger Than Fiction
Contactez-nous à hello@biggerthanfiction.com

Nous développons des séries de fiction. Nous sommes 3 personnes aujourd’hui (5 dans les prochains mois) en mode flexible (nous nous retrouvons sur Paris une semaine sur deux). Nous sommes à la recherche d’un espace qui comprendrait : – une pièce de bureau 5 postes / 20 m2 environ fermée/isolée – une salle de réunion à partager – un espace cuisine à partager – une petite pièce de call/visio en plus serait idéal Lieu : nord-est parisien, intra-muros, sur la ligne 4 idéalement Date : nous avons 2 mois de préavis, septembre serait pas mal Julien Aubert, producteur chez Bigger Than Fiction Contactez-nous à …

5 juin 2024Annoncesannonces
Recherche SOUS LOC Festival d’Annecy

Bonjour,  dans le cadre du festival d’Annecy nous recherchons une chambre à sous louer dans le centre d’Annecy disponible si possible du lundi 10 Juin au vendredi 14 Juin.

N’hésitez pas à nous contacter à : production@baganfilms.com

Bonjour,  dans le cadre du festival d’Annecy nous recherchons une chambre à sous louer dans le centre d’Annecy disponible si possible du lundi 10 Juin au vendredi 14 Juin. N’hésitez pas à nous contacter à : …

29 mai 2024Annoncesannonces
Palmarès du 77ème Festival de Cannes : Le SPI exprime sa joie et sa fierté

28 mai 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Discours de Cannes sur les grands enjeux des producteurs indépendants – Simon Arnal, Président du SPI – 20 mai 2024

Bonjour à toutes et tous,

J’ai souhaité profiter de ce traditionnel cocktail du SPI pour que nous prenions la parole sur nos enjeux essentiels en cette édition 2024, qui restera une édition marquante à plusieurs titres.

Je tiens tout d’abord à remercier Gilles Sacuto dont j’ai la lourde charge de prendre la suite à la Présidence du syndicat depuis le mois dernier,

Je tiens à remercier chaleureusement l’équipe des permanents du SPI qui se bat tous les jours avec force et persévérance, un peu comme un producteur ou une productrice le ferait.

1/ Cette année est une année marquante pour le SPI d’abord avec les 53 œuvres produites par nos adhérents et présentées dans toutes les sélections cannoises.

33 en sélection officielle dont 7 en compétition long métrage et 4 en courts métrage,
9 à Un certain regard,
9 à La Semaine de la Critique,
7 à la Quinzaine des Cinéastes
et enfin 4 à l’ACID.

J’ai déjà eu l’occasion d’en découvrir certaines ces derniers jours et je suis impressionné par leur force et leur variété, que ce soit en fiction, en documentaire ou en animation.

Ces œuvres, vos œuvres, d’une incroyable diversité, confirment la vitalité et qualité de la production indépendante en France. Ce sont elles qui font rayonner notre pays à l’international comme en atteste la liste impressionnante de prix obtenus ces deux dernières années dans les plus grandes manifestations. Bravo à vous toutes et tous, on peut espérer encore de nombreux prix à l’issue de cette quinzaine.

2/ Marquante ensuite, par un accord historique signé entre France Télévisions et les organisations du Cinéma ce vendredi 17 mai à Cannes,

C’est un accord structurant pour toute la filière pour les 5 prochaines années par lequel France Télévisions s’engage notamment à :

  • Investir au moins 80 M€ par an dans les œuvres cinématographiques, dont au moins 65 M€ en préfinancement dans 60 films minimum.
  • Et pour la première fois, France Télévisions s’engage à financer au moins 25 films d’animation sur la durée de 5 ans de l’accord ; J’insiste sur ce point car cela a été un combat essentiel pour le SPI.

Cet accord est le fruit de plusieurs mois de négociation et survient dans un contexte de réforme à grande vitesse de l’audiovisuel public. 

A ce sujet, le SPI s’interroge sur le fond du projet : Une fusion, mais pour quoi faire ?

Pour le moment, beaucoup de questions se posent et restent sans réponse claire. Il faudra veiller à ce que la diversité éditoriale soit préservée.

D’ores et déjà, nous voulons remercier les parlementaires qui lors de l’examen de la proposition de loi de M. Lafon, ont écarté la deuxième partie de cette proposition de loi qui réouvrait notamment la définition de la production indépendante.

Nous remercions également vivement les députés M. Gaultier, M. Bataillon pour leur PPLO qui prévoit de pérenniser le système de financement de l’audiovisuel public par un Prélèvement sur recettes de l’Etat, c’est à dire à la source, sans nécessité de passer par le budget de l’Etat. C’est un élément central de l’indépendance du financement du service public. Nous espérons vivement que cette proposition prospère avec le soutien de Mme Isabelle Roche, la présidente de la commission culture et du Gouvernement. 

Le SPI demeurera extrêmement attentif à ce que le financement de l’audiovisuel public demeure dynamique de manière pluriannuelle.

3/ 2024 sera marquante enfin et surtout par le combat que le SPI mène avec l’ensemble de la filière contre les Violences sexistes et sexuelles. Là encore, après des mois de travail nous avons pu signer vendredi 17 mai des avenants à la convention collective qui devraient totalement changer le paradigme de la lutte contre les VHSS. Ces mesures très concrètes s’inscrivent dans une lutte que nous menons depuis des années et qui impose une mobilisation sans faille. Pour exprimer cet engagement des productrices et producteurs du SPI dans ce combat je laisse la parole à Carine Ruzniewski, productrice et élue du bureau long métrage.

Simon Arnal – Président du SPI

👉 lire la Tribune VHSS

Bonjour à toutes et tous, J’ai souhaité profiter de ce traditionnel cocktail du SPI pour que nous prenions la parole sur nos enjeux essentiels en cette édition 2024, qui restera une édition marquante à plusieurs titres. Je tiens tout d’abord à remercier Gilles Sacuto dont j’ai la lourde charge de prendre la suite à la Présidence du syndicat depuis le mois dernier, Je tiens à remercier chaleureusement l’équipe des permanents du SPI qui se bat tous les jours avec force et persévérance, un peu comme un producteur ou une productrice le ferait. 1/ Cette année est une année marquante pour le SPI d’abord avec les 53 œuvres produites par nos adhérents et présentées dans toutes les sélections cannoises. 33 en sélection officielle dont 7 en compétition long métrage et 4 en courts métrage,9 à Un certain regard,9 à La Semaine de la Critique,7 à la Quinzaine des Cinéasteset enfin 4 à l’ACID. J’ai déjà eu l’occasion d’en découvrir certaines ces derniers jours et je suis impressionné par leur force et leur variété, que ce soit en fiction, en documentaire ou en animation. Ces œuvres, vos œuvres, d’une incroyable diversité, confirment la vitalité et qualité de la production indépendante en France. Ce sont elles qui font rayonner notre pays à l’international comme en atteste la liste impressionnante de prix obtenus ces deux dernières années dans les plus grandes manifestations. Bravo à vous toutes et tous, on peut espérer encore de nombreux prix à l’issue de cette quinzaine. 2/ Marquante ensuite, par un accord historique signé entre France Télévisions et les organisations du Cinéma ce vendredi 17 mai à Cannes, C’est un accord structurant pour toute la filière pour les 5 prochaines années par lequel France Télévisions s’engage notamment à : Cet accord est le fruit de plusieurs mois de négociation et survient dans un contexte de réforme à grande vitesse de l’audiovisuel public.  A ce sujet, le SPI s’interroge sur le fond du projet : Une fusion, mais pour quoi faire ? Pour le moment, beaucoup de questions se posent et restent sans réponse claire. Il faudra veiller à ce que la diversité éditoriale soit préservée. D’ores et déjà, nous voulons remercier les parlementaires qui lors de l’examen de la proposition de loi de M. Lafon, ont écarté la deuxième partie de cette proposition de loi qui réouvrait notamment la définition de la production indépendante. Nous remercions également vivement les députés M. Gaultier, M. Bataillon pour leur PPLO qui prévoit de pérenniser le système de financement de l’audiovisuel public par un Prélèvement sur recettes de l’Etat, c’est à dire à la source, sans nécessité de passer par le budget de l’Etat. C’est un élément central de l’indépendance du financement du service public. Nous espérons vivement que cette proposition prospère avec le soutien de Mme Isabelle Roche, la présidente de la commission culture et du Gouvernement.  Le SPI demeurera extrêmement attentif à ce que le financement de l’audiovisuel public demeure dynamique de manière pluriannuelle. 3/ 2024 sera marquante enfin et surtout par le combat que le SPI mène avec l’ensemble de la filière contre les Violences sexistes et sexuelles. Là encore, après des mois de travail nous avons pu signer vendredi 17 mai des avenants à la convention collective qui devraient totalement changer le paradigme de la lutte contre les VHSS. Ces mesures très concrètes s’inscrivent dans une lutte que nous menons depuis des années et qui impose une mobilisation sans faille. Pour exprimer cet engagement des productrices et producteurs du SPI dans ce combat je laisse la parole à Carine Ruzniewski, productrice et élue du bureau long métrage. Simon Arnal – Président du SPI 👉 lire la Tribune …

20 mai 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Tribune du SPI sur les VHSS- 20 mai 2024

Nous, productrices et producteurs du SPI, sommes engagé·e·s dans le combat contre les Violences et Harcèlements Sexistes et Sexuelles (VHSS), contre toute atteinte à la dignité morale et physique d’une personne, intimidations, chantages, harcèlements verbal et physique, agressions sexuelles.

Trop longtemps, la parole des victimes n’a pas reçu l’écho et les réponses qui s’imposaient.

Nous sommes convaincu·e·s que nous devons assumer un rôle moteur, avec une stratégie adaptée aux spécificités de notre milieu, où le réseautage, la cooptation, le culte de la personnalité, l’attrait de la célébrité et la capillarité entre les sphères professionnelles et privées font partie, trop souvent, des rapports humains.

Le cinéma, les visages qui l’incarnent et les conditions de sa production ont une charge d’exemplarité. Cette exemplarité nous oblige.  

Il y a urgence à poser des mots sur des comportements, à apprendre à accueillir la parole et à y répondre correctement, à intervenir lorsque l’on est témoin d’un comportement abusif, même et surtout lorsqu’on se trouve en situation d’infériorité hiérarchique.

Nous avons œuvré pour que la formation obligatoire à la prévention des VHSS qui était réservée uniquement aux gérant·e·s des sociétés soit étendue à toutes et tous. Aujourd’hui, c’est l’ensemble de la filière qui s’engage dès cet été dans un processus de formation à grande échelle unique en Europe.

Imaginez qu’avant chaque décollage d’un avion, la question de « faire équipe entre ciel et terre » se repose inéluctablement. Chaque équipage repense, définit ses modalités de coopération. A chaque nouveau départ, de nouveaux visages, de nouvelles personnalités, de nouvelles manières d’assurer des tâches qui sont pourtant toujours les mêmes. Il faut ainsi à chaque fois composer, coopérer, s’ajuster.

Nous considérons que chaque tournage est une expérience similaire. Nous sommes engagé·e·s à offrir à l’équipe de technicien·ne·s et d’artistes avec lesquel·le·s nous travaillons un cadre sécurisant et sécurisé minimisant au mieux les risques de violences sexistes et sexuelles.

Les formations nous permettront de faire intervenir, sur nos tournages, des organismes et des intervenant·e·s spécialisé·e·s dans les collectifs de travail, extérieur·e·s à notre industrie, notamment des juristes et des psychosociologues cliniciens. Nous sommes convaincu·e·s que c’est aussi à eux que nous devrons confier les interventions lors de la survenance d’une violence.

La formation se présente en deux modules obligatoires.
Le premier est un parcours de formation en ligne qui se validera par un bilan, à la façon d’un permis de conduire.
Le deuxième module se répètera à chaque film. Il s’agit d’une réunion menée par un·e formateur·rice avec toute l’équipe du film, au début de chaque tournage. Elle permet de co-construire un cadre de travail adapté : quels sont les modes de relations professionnelles, quelle place est accordée à la bienveillance et au non-jugement ? Quels sont les comportements interdits, les formes plurielles de sexisme, leur impact sur l’organisation du travail ?

Reposer les notions clefs sur les VHSS, identifier les rôles des interlocuteurs possibles et les risques psychosociaux en présence : rumeurs, emprise psychique, situations festives en marge du tournage, etc.

Nous nous félicitons que la convention collective conditionne l’embauche au suivi de ces formations, novatrices par rapport à tous les autres secteurs. C’est le sens des avenants que nous avons signés unanimement vendredi dernier. Elle fait suite à plusieurs mois de mobilisation collective de toutes les organisations syndicales du cinéma et de l’audiovisuel, du CNC, de l’AFDAS ainsi que du Collectif 50/50, dont nous saluons particulièrement le travail.

La prise de parole récente de Judith Godrèche attire également l’attention sur la présence des mineur·e·s sur nos plateaux. Depuis les années 1970, les conditions de travail des enfants ont été soigneusement réglementées et aucun n’est engagé sans autorisation préalable du préfet de département. La présence de responsables des enfants sur les plateaux était presque systématique au cours des dernières années, mais aujourd’hui, nous la rendons obligatoire en l’inscrivant dans la convention collective.

A l’horizon 2025, aucun film français ne pourra voir le jour sans que l’ensemble des personnes engagées sur les tournages n’ait suivi ces formations ni qu’un·e mineur·e n’ait pu être laissé seul en casting ou en tournage.

Nous nous félicitons du dialogue constructif que nous avons avec les équipes du CNC malgré la mise en examen de son Président pour agression sexuelle. Comme nous l’avions exprimé en 2021, nous respectons la présomption d’innocence et considérons que la fonction de Président du CNC, très exposée, exige l’exemplarité. Nous en appelons donc à la responsabilité du Président de la République.

La redéfinition des rapports de pouvoir dans notre secteur, et en leur sein des rapports femmes/hommes, est une entreprise de longue haleine qui ne doit, certes, pas se réduire à des leviers institutionnels, mais qui ne se fera pas sans eux.

Nous ne prétendons pas que ce dispositif aura raison de tous les comportements abusifs.

Il nous reste de nombreux chantiers : en premier chef, étendre ces actions à la postproduction, à l’audiovisuel et à l’animation. Mais aussi, systématiser les référent·e·s VHSS dans les entreprises et sur les tournages, celle des coordinateur·rice·s d’intimité ainsi que leur certification. Nous travaillons aussi avec les assureurs pour que des garanties nous permettent de suspendre un tournage et de remplacer toute personne mise en cause. Il arrive encore trop souvent que des victimes se taisent pour ne pas mettre en péril la solidarité d’une équipe ou la réussite d’un film. Quel genre d’industrie serions-nous, si nous acceptions encore d’être protégé·e·s par le silence des victimes ? C’est à nous que revient la charge de la protection.

Nous ne pouvons pas conclure sans nous adresser à toutes les victimes de violences sexistes et sexuelles, dans leur immense majorité des femmes, visibles ou invisibles, actrices célèbres, assistantes de production anonymes, techniciennes, employées de bureau et de festivals.

Vos témoignages vont probablement se multiplier et nous nous engageons à vous apporter tout le soutien qui vous est dû, aux victimes comme aux témoins.

Nous vous entendons, nous agissons.

Nous, productrices et producteurs du SPI, sommes engagé·e·s dans le combat contre les Violences et Harcèlements Sexistes et Sexuelles (VHSS), contre toute atteinte à la dignité morale et physique d’une personne, intimidations, chantages, harcèlements verbal et physique, agressions sexuelles. Trop longtemps, la parole des victimes n’a pas reçu l’écho et les réponses qui s’imposaient. Nous sommes convaincu·e·s que nous devons assumer un rôle moteur, avec une stratégie adaptée aux spécificités de notre milieu, où le réseautage, la cooptation, le culte de la personnalité, l’attrait de la célébrité et la capillarité entre les sphères professionnelles et privées font partie, trop souvent, des rapports humains. Le cinéma, les visages qui l’incarnent et les conditions de sa production ont une charge d’exemplarité. Cette exemplarité nous oblige.   Il y a urgence à poser des mots sur des comportements, à apprendre à accueillir la parole et à y répondre correctement, à intervenir lorsque l’on est témoin d’un comportement abusif, même et surtout lorsqu’on se trouve en situation d’infériorité hiérarchique. Nous avons œuvré pour que la formation obligatoire à la prévention des VHSS qui était réservée uniquement aux gérant·e·s des sociétés soit étendue à toutes et tous. Aujourd’hui, c’est l’ensemble de la filière qui s’engage dès cet été dans un processus de formation à grande échelle unique en Europe. Imaginez qu’avant chaque décollage d’un avion, la question de « faire équipe entre ciel et terre » se repose inéluctablement. Chaque équipage repense, définit ses modalités de coopération. A chaque nouveau départ, de nouveaux visages, de nouvelles personnalités, de nouvelles manières d’assurer des tâches qui sont pourtant toujours les mêmes. Il faut ainsi à chaque fois composer, coopérer, s’ajuster. Nous considérons que chaque tournage est une expérience similaire. Nous sommes engagé·e·s à offrir à l’équipe de technicien·ne·s et d’artistes avec lesquel·le·s nous travaillons un cadre sécurisant et sécurisé minimisant au mieux les risques de violences sexistes et sexuelles. Les formations nous permettront de faire intervenir, sur nos tournages, des organismes et des intervenant·e·s spécialisé·e·s dans les collectifs de travail, extérieur·e·s à notre industrie, notamment des juristes et des psychosociologues cliniciens. Nous sommes convaincu·e·s que c’est aussi à eux que nous devrons confier les interventions lors de la survenance d’une violence. La formation se présente en deux modules obligatoires.Le premier est un parcours de formation en ligne qui se validera par un bilan, à la façon d’un permis de conduire.Le deuxième module se répètera à chaque film. Il s’agit d’une réunion menée par un·e formateur·rice avec toute l’équipe du film, au début de chaque tournage. Elle permet de co-construire un cadre de travail adapté : quels sont les modes de relations professionnelles, quelle place est accordée à la bienveillance et au non-jugement ? Quels sont les comportements interdits, les formes plurielles de sexisme, leur impact sur l’organisation du travail ? Reposer les notions clefs sur les VHSS, identifier les rôles des interlocuteurs possibles et les risques psychosociaux en présence : rumeurs, emprise psychique, situations festives en marge du tournage, etc. Nous nous félicitons que la convention collective conditionne l’embauche au suivi de ces formations, novatrices par rapport à tous les autres secteurs. C’est le sens des avenants que nous avons signés unanimement vendredi dernier. Elle fait suite à plusieurs mois de mobilisation collective de toutes les organisations syndicales du cinéma et de l’audiovisuel, du CNC, de l’AFDAS ainsi que du Collectif 50/50, dont nous saluons particulièrement le travail. La prise de parole récente de Judith Godrèche attire également l’attention sur la présence des mineur·e·s sur nos plateaux. Depuis les années 1970, les conditions de travail des enfants ont été soigneusement réglementées et aucun n’est engagé sans autorisation préalable du préfet de département. La présence de responsables des enfants sur les plateaux était presque systématique au cours des dernières années, mais aujourd’hui, nous la rendons obligatoire en l’inscrivant dans la convention collective. A l’horizon 2025, aucun film français ne pourra voir le jour sans que l’ensemble des personnes engagées sur les tournages n’ait suivi ces formations ni qu’un·e mineur·e n’ait pu être laissé seul en casting ou en tournage. Nous nous félicitons du dialogue constructif que nous avons avec les équipes du CNC malgré la mise en examen de son Président pour agression sexuelle. Comme nous l’avions exprimé en 2021, nous respectons la présomption d’innocence et considérons que la fonction de Président du CNC, très exposée, exige l’exemplarité. Nous en appelons donc à la responsabilité du Président de la République. La redéfinition des rapports de pouvoir dans notre secteur, et en leur sein des rapports femmes/hommes, est une entreprise de longue haleine qui ne doit, certes, pas se réduire à des leviers institutionnels, mais qui ne se fera pas sans eux. Nous ne prétendons pas que ce dispositif aura raison de tous les comportements abusifs. Il nous reste de nombreux chantiers : en premier chef, étendre ces actions à la postproduction, à l’audiovisuel et à l’animation. Mais aussi, systématiser les référent·e·s VHSS dans les entreprises et sur les tournages, celle des coordinateur·rice·s d’intimité ainsi que leur certification. Nous travaillons aussi avec les assureurs pour que des garanties nous permettent de suspendre un tournage et de remplacer toute personne mise en cause. Il arrive encore trop souvent que des victimes se taisent pour ne pas mettre en péril la solidarité d’une équipe ou la réussite d’un film. Quel genre d’industrie serions-nous, si nous acceptions encore d’être protégé·e·s par le silence des victimes ? C’est à nous que revient la charge de la protection. Nous ne pouvons pas conclure sans nous adresser à toutes les victimes de violences sexistes et sexuelles, dans leur immense majorité des femmes, visibles ou invisibles, actrices célèbres, assistantes de production anonymes, techniciennes, employées de bureau et de festivals. Vos témoignages vont probablement se multiplier et nous nous engageons à vous apporter tout le soutien qui vous est dû, aux victimes comme aux témoins. Nous vous entendons, nous …

20 mai 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué : France Télévisions et le cinéma français signent un accord historique, sur 5 ans

COMMUNIQUE DE PRESSE

le 17 mai 2024 à Cannes

France Télévisions et le cinéma français signent un accord historique, sur 5 ans, en faveur de la création et de l’exposition du cinéma dans toute sa diversité

France Télévisions, le BLIC, le BLOC et L’ARP ont signé ce 17 mai à Cannes, en présence de la Ministre de la Culture, un accord portant sur les années 2024-2028, sur l’engagement financier et l’exposition du cinéma dans les offres de France Télévisions, au service d’une ambition partagée pour le cinéma.

 Cet accord, qui succède à celui signé en 2020 avec le BLOC et L’ARP, traduit une volonté partagée par les signataires de renforcer le financement de la création et de la diffusion cinématographique par le groupe audiovisuel public et d’assurer une meilleure exposition des œuvres sur les offres linéaires et non linéaires de France Télévisions, tout en préservant la valeur du « rendez-vous cinéma » et en permettant au groupe de poursuivre sa transition numérique pour accompagner l’évolution des usages des téléspectateurs. 

Ainsi, par le biais de cet accord, France Télévisions s’engage notamment à :

  • Investir au moins 80 M€ par an dans les œuvres cinématographiques européennes ou françaises, dont au moins 65 M€ en préfinancement dans au moins 60 films, et dont au moins 75% dédiés à la production indépendante ;  
  • Poursuivre sa politique de soutien au cinéma dans toute sa diversité, avec une attention particulière aux premiers et seconds films, ainsi qu’aux différents genres de cinéma ; à cet égard, France Télévisions s’engage à financer au moins 25 films d’animation sur la durée de l’accord ;
  • Poursuivre son objectif de bonne exposition du cinéma sur ses antennes linéaires qui se concrétisera notamment par une éditorialisation importante du cinéma à travers des rendez-vous identifiés et des émissions consacrées au cinéma : promotion des films préfinancés sur ses antennes, dans les émissions d’accueil et les journaux télévisés, nationaux comme régionaux et locaux, mise en valeur du cinéma via des émissions de bandes-annonces, et programmation dédiée autour d’événements exceptionnels.

Concernant l’accompagnement des nouveaux usages en non linéaire et en contrepartie des engagements énoncés ci-dessus, France Télévisions pourra bénéficier de 30 jours de télévision de rattrapage (TVR) pour le cinéma de fiction ou de documentaire européen et EOF, et de 30 jours de TVR et 7 jours de preview pour le cinéma d’animation européen et EOF (au lieu de 7 jours dans le précédent accord). 

En signant cet accord, France Télévisions renforce sa première place de financeur du cinéma français et européen en clair et confirme son profond attachement au cinéma.

France Télévisions, le BLIC, le BLOC et L’ARP se réjouissent de cet accord au service d’une meilleure exposition du cinéma dans toute sa diversité, adaptée aux nouveaux usages, pour tous les publics.

COMMUNIQUE DE PRESSE le 17 mai 2024 à Cannes France Télévisions et le cinéma français signent un accord historique, sur 5 ans, en faveur de la création et de l’exposition du cinéma dans toute sa diversité France Télévisions, le BLIC, le BLOC et L’ARP ont signé ce 17 mai à Cannes, en présence de la Ministre de la Culture, un accord portant sur les années 2024-2028, sur l’engagement financier et l’exposition du cinéma dans les offres de France Télévisions, au service d’une ambition partagée pour le cinéma.  Cet accord, qui succède à celui signé en 2020 avec le BLOC et L’ARP, traduit une volonté partagée par les signataires de renforcer le financement de la création et de la diffusion cinématographique par le groupe audiovisuel public et d’assurer une meilleure exposition des œuvres sur les offres linéaires et non linéaires de France Télévisions, tout en préservant la valeur du « rendez-vous cinéma » et en permettant au groupe de poursuivre sa transition numérique pour accompagner l’évolution des usages des téléspectateurs.  Ainsi, par le biais de cet accord, France Télévisions s’engage notamment à : Concernant l’accompagnement des nouveaux usages en non linéaire et en contrepartie des engagements énoncés ci-dessus, France Télévisions pourra bénéficier de 30 jours de télévision de rattrapage (TVR) pour le cinéma de fiction ou de documentaire européen et EOF, et de 30 jours de TVR et 7 jours de preview pour le cinéma d’animation européen et EOF (au lieu de 7 jours dans le précédent accord).  En signant cet accord, France Télévisions renforce sa première place de financeur du cinéma français et européen en clair et confirme son profond attachement au cinéma. France Télévisions, le BLIC, le BLOC et L’ARP se réjouissent de cet accord au service d’une meilleure exposition du cinéma dans toute sa diversité, adaptée aux nouveaux usages, pour tous les …

18 mai 2024Actus-SPIactus-spi
Recherches bureaux de productions

Bonjour,

Nous quittons la rue Meslay et recherchons de nouveaux bureaux de production, pièce privée pour 4 postes de travail et le reste à partager, salle de réunion, cuisine… idéalement 75010, 75003, 75002, 75011 à partir du 1er juillet 2024.

contact : Clarisse 0621101170 – Elda Productions

Bonjour, Nous quittons la rue Meslay et recherchons de nouveaux bureaux de production, pièce privée pour 4 postes de travail et le reste à partager, salle de réunion, cuisine… idéalement 75010, 75003, 75002, 75011 à partir du 1er juillet 2024. contact : Clarisse 0621101170 – Elda …

17 mai 2024Annoncesannonces
Communiqué de presse – Nous entendons et nous agissons. Nous sommes solidaires des voix qui s’élèvent pour combattre, ensemble, les violences et harcèlements sexistes et sexuels dans la production cinématographique

Ce vendredi 17 mai à Cannes, deux avenants à la convention collective visant la prévention des VHSS et encadrant les conditions d’engagement des mineurs ont été signés unanimement par les partenaires sociaux.

Les violences et les harcèlements sexistes et sexuels (VHSS) sont des réalités subies par de trop nombreux·ses salarié·e·s dans le monde du travail, toutes branches d’activités confondues.

Dans la production de films cinématographiques, des témoignages de victimes et leur exposition médiatique ont permis leur mise en lumière. La parole se libère progressivement, ce dont nous nous félicitons. Notre secteur se doit de l’entendre et d’y répondre en assumant un rôle moteur. Nous sommes convaincu·e·s de la nécessité de faire évoluer nos pratiques professionnelles vers plus de responsabilité et d’égalité.

Depuis plusieurs années, nous y travaillons. En témoignent, dès 2020, la mise en place par les partenaires sociaux de la cellule d’écoute psychologique et d’accompagnement juridique dédiée aux victimes et témoins de VHSS gérée par Audiens, puis, en 2022, la diffusion du kit de prévention des VHSS par les branches de la production cinématographique et de la production audiovisuelle.

Pour prolonger nos actions, nous avons voulu inscrire dans la convention collective des dispositions engageantes qui, notamment :

  • Renforcent la prévention des VHSS à tous les stades de la production d’un film (clauses spécifiques dans les contrats de travail, formation des équipes techniques et artistiques sur chaque tournage…) ;
  • Créent les conditions facilitant l’émergence et le traitement des signalements de VHSS le plus tôt possible (formation obligatoire et désignation de référent·e·s VHSS, renforcement du rôle du comité d’hygiène et de sécurité de la branche…) ;
  • Améliorent la sécurité des comédien·ne·s (préconisations pour l’organisation des castings et pour le tournage des scènes d’intimité, recours à des coordinateur·rice·s d’intimité…) ;
  • Rendent obligatoire l’engagement d’un·e responsable des enfants,salarié·e qualifié pour encadrer les artistes de moins de 16 ans.

Au cours des prochains mois, l’efficacité de ces dispositions sera attentivement suivie par les partenaires sociaux et pourra être renforcée de mesures complémentaires sur lesquelles les nous avons d’ores et déjà engagé des réflexions paritaires : certification des coordinateur·rice·s d’intimité, intégration de la prévention des VHSS dans les cursus d’enseignement supérieurs, meilleures couvertures assurantielles, etc.

Ces dispositions doivent contribuer à la sécurisation de toutes et tous, sans distinction de genre, de fonction ou de niveau de salaire, et participeront à l’évolution de nos relations de travail et des rapports de pouvoir dans nos professions.

Contacts presse :

  • Syndicat des producteurs Indépendants (SPI) :
    Nathalie Iund 06 10 96 30 08
  • Union des Producteurs de Cinéma (UPC) :
    Valérie Lépine 06 62 58 96 95
  • Association des Producteurs Indépendants (API) :
    Hortense de Labriffe 06 80 20 52 25
  • Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma (SPIAC-CGT) :
    Laurent Blois 07 69 06 04 28
  • Syndicat Français des Artistes-interprètes (SFA-CGT) :
    Jimmy Shuman 06 07 14 77 42
  • Syndicat National des Techniciens de la Production Cinématographique et de Télévision (SNTPCT) :
    Jean-Loup Chirol 06 86 88 84 48

Ce vendredi 17 mai à Cannes, deux avenants à la convention collective visant la prévention des VHSS et encadrant les conditions d’engagement des mineurs ont été signés unanimement par les partenaires sociaux. Les violences et les harcèlements sexistes et sexuels (VHSS) sont des réalités subies par de trop nombreux·ses salarié·e·s dans le monde du travail, toutes branches d’activités confondues. Dans la production de films cinématographiques, des témoignages de victimes et leur exposition médiatique ont permis leur mise en lumière. La parole se libère progressivement, ce dont nous nous félicitons. Notre secteur se doit de l’entendre et d’y répondre en assumant un rôle moteur. Nous sommes convaincu·e·s de la nécessité de faire évoluer nos pratiques professionnelles vers plus de responsabilité et d’égalité. Depuis plusieurs années, nous y travaillons. En témoignent, dès 2020, la mise en place par les partenaires sociaux de la cellule d’écoute psychologique et d’accompagnement juridique dédiée aux victimes et témoins de VHSS gérée par Audiens, puis, en 2022, la diffusion du kit de prévention des VHSS par les branches de la production cinématographique et de la production audiovisuelle. Pour prolonger nos actions, nous avons voulu inscrire dans la convention collective des dispositions engageantes qui, notamment : Au cours des prochains mois, l’efficacité de ces dispositions sera attentivement suivie par les partenaires sociaux et pourra être renforcée de mesures complémentaires sur lesquelles les nous avons d’ores et déjà engagé des réflexions paritaires : certification des coordinateur·rice·s d’intimité, intégration de la prévention des VHSS dans les cursus d’enseignement supérieurs, meilleures couvertures assurantielles, etc. Ces dispositions doivent contribuer à la sécurisation de toutes et tous, sans distinction de genre, de fonction ou de niveau de salaire, et participeront à l’évolution de nos relations de travail et des rapports de pouvoir dans nos professions. Contacts …

17 mai 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – AnimFrance et le SPI se félicitent de la place accordée à l’animation dans la sélection du Festival de Cannes 2024

AnimFrance et le Syndicat des Producteurs Indépendants se réjouissent de la sélection en compétition officielle de La plus précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius, de Flow de Gints Zilbalodis à Un Certain Regard, d’Anzu, Chat-fantôme de Yôko Kuno et Nobuhiro Yamashita à la Quinzaine des Cinéastes, de Sauvages de Claude Barras, Angelo dans la forêt mystérieuse de Vincent Paronnaud et Alexis Ducord en Séances Spéciales, ainsi que Slocum et moi de Jean-François Laguionie et Silex and the city de Jul au Cinéma de la Plage. Citons également les courts métrages en sélection officielle : Volcelest d’Eric Briche et Les belles cicatrices de Raphaël Jouzeau, Supersilly de Veronica Martiradonna à la Semaine de la Critique ou encore Extremely Short de Koji Yamamura à la Quinzaine des Cinéastes.

Enfin, le Studio Ghibli recevra cette année une Palme d’or d’honneur pour son empreinte historique dans l’animation mondiale.

Les organisations de producteurs tiennent particulièrement à saluer l’attention portée à l’animation par la Quinzaine des Cinéastes qui a nommé en début d’année un consultant dédié en la personne d’Alex Dudok de Wit.

AnimFrance et le SPI s’étaient émus, à l’issue de l’édition 2023 du Festival de Cannes, de constater une fois encore l’invisibilité des œuvres d’animation dans la sélection officielle. Depuis Valse avec Bachir d’Ari Folman en 2008, aucun long métrage d’animation n’avait été sélectionné en compétition officielle. Régulièrement, un film d’animation était projeté au Cinéma de la Plage ou en Séance Spéciale, comme si l’animation était un art mineur.

Et pourtant, la vitalité de la filière n’est plus à prouver. Son dynamisme tient à l’excellence de ses talents, auteurs et autrices, techniciens et techniciennes. Le cinéma d’animation met en lumière des regards singuliers de cinéastes sur notre monde, des univers graphiques et narratifs uniques qui touchent tous les publics.

Le chemin reste, néanmoins, long à parcourir et les professionnels sont plus que jamais mobilisés pour défendre les auteurs et autrices et leurs projets, pour faire entendre les besoins en financement des longs métrages d’animation permettant leur fabrication sur le territoire français et les nécessaires adaptations des dispositifs à leurs spécificités, pour que, désormais, la sélection cannoise soit toujours plus riche de ces œuvres singulières qui nourrissent le patrimoine cinématographique.

Contact Presse :
Amanda Borghino, Déléguée générale adjointe – AnimFrance : 06 02 01 84 38
Sébastien Colin, Délégué général – SPI : 01 44 70 70 44

AnimFrance et le Syndicat des Producteurs Indépendants se réjouissent de la sélection en compétition officielle de La plus précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius, de Flow de Gints Zilbalodis à Un Certain Regard, d’Anzu, Chat-fantôme de Yôko Kuno et Nobuhiro Yamashita à la Quinzaine des Cinéastes, de Sauvages de Claude Barras, Angelo dans la forêt mystérieuse de Vincent Paronnaud et Alexis Ducord en Séances Spéciales, ainsi que Slocum et moi de Jean-François Laguionie et Silex and the city de Jul au Cinéma de la Plage. Citons également les courts métrages en sélection officielle : Volcelest d’Eric Briche et Les belles cicatrices de Raphaël Jouzeau, Supersilly de Veronica Martiradonna à la Semaine de la Critique ou encore Extremely Short de Koji Yamamura à la Quinzaine des Cinéastes. Enfin, le Studio Ghibli recevra cette année une Palme d’or d’honneur pour son empreinte historique dans l’animation mondiale. Les organisations de producteurs tiennent particulièrement à saluer l’attention portée à l’animation par la Quinzaine des Cinéastes qui a nommé en début d’année un consultant dédié en la personne d’Alex Dudok de Wit. AnimFrance et le SPI s’étaient émus, à l’issue de l’édition 2023 du Festival de Cannes, de constater une fois encore l’invisibilité des œuvres d’animation dans la sélection officielle. Depuis Valse avec Bachir d’Ari Folman en 2008, aucun long métrage d’animation n’avait été sélectionné en compétition officielle. Régulièrement, un film d’animation était projeté au Cinéma de la Plage ou en Séance Spéciale, comme si l’animation était un art mineur. Et pourtant, la vitalité de la filière n’est plus à prouver. Son dynamisme tient à l’excellence de ses talents, auteurs et autrices, techniciens et techniciennes. Le cinéma d’animation met en lumière des regards singuliers de cinéastes sur notre monde, des univers graphiques et narratifs uniques qui touchent tous les publics. Le chemin reste, néanmoins, long à parcourir et les professionnels sont plus que jamais mobilisés pour défendre les auteurs et autrices et leurs projets, pour faire entendre les besoins en financement des longs métrages d’animation permettant leur fabrication sur le territoire français et les nécessaires adaptations des dispositifs à leurs spécificités, pour que, désormais, la sélection cannoise soit toujours plus riche de ces œuvres singulières qui nourrissent le patrimoine cinématographique. Contact Presse :Amanda Borghino, Déléguée générale adjointe – AnimFrance : 06 02 01 84 38Sébastien Colin, Délégué général – SPI : 01 44 70 70 …

7 mai 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Location bureau non-meublé – Place des Fêtes (2/3 postes de travail)

Nous sous-louons un bureau non-meublé de 10m2 avec accès aux espaces communs à savoir : salle de réunion, WC (x2), salle de douche, petite cuisine. Il est possible d’y installer jusqu’a 3 postes de travail dans cet espace lumineux.
Le bureau se trouve à quelques minutes de Place des Fêtes, des Buttes Chaumont et de Jourdain.

Il s’agit de bureaux plain pieds qui donnent sur une petite ruelle pavée privée. C’est très calme et très agréable. On a table et chaises dehors pour profiter du soleil au moment du déjeuner ou de l’apéro ! Nous cherchons un colocataire pour partager avec nous ce petit coin de tranquillité.
Nous proposons donc un bureau non-meublé de 10m2 disponible dès maintenant.

Le loyer est de 500€HT / mois (600€TTC / mois) tout compris (Internet, assurance, ménage, électricité) et est facturé au trimestre (1 800€TTC pour les trois mois).
Une caution équivalente à un mois sans charge est demandée.

Vous pouvez nous contacter si vous êtes intéressés en nous précisant votre activité, à l’adresse mail ou au numéro suivant :
contact@quivive.pro
0631464033
Possibilité d’envoyer plus de photos et de venir visiter dès que vous le souhaitez

Nous sous-louons un bureau non-meublé de 10m2 avec accès aux espaces communs à savoir : salle de réunion, WC (x2), salle de douche, petite cuisine. Il est possible d’y installer jusqu’a 3 postes de travail dans cet espace lumineux. Le bureau se trouve à quelques minutes de Place des Fêtes, des Buttes Chaumont et de Jourdain. Il s’agit de bureaux plain pieds qui donnent sur une petite ruelle pavée privée. C’est très calme et très agréable. On a table et chaises dehors pour profiter du soleil au moment du déjeuner ou de l’apéro ! Nous cherchons un colocataire pour partager avec nous ce petit coin de tranquillité. Nous proposons donc un bureau non-meublé de 10m2 disponible dès maintenant. Le loyer est de 500€HT / mois (600€TTC / mois) tout compris (Internet, assurance, ménage, électricité) et est facturé au trimestre (1 800€TTC pour les trois mois). Une caution équivalente à un mois sans charge est demandée. Vous pouvez nous contacter si vous êtes intéressés en nous précisant votre activité, à l’adresse mail ou au numéro suivant : contact@quivive.pro 0631464033 Possibilité d’envoyer plus de photos et de venir visiter dès que vous le …

7 mai 2024Annoncesannonces
Communiqué – Le SPI félicite chaleureusement ses adhérent.e.s pour leurs 26 sélections au Festival international du film d’animation d’Annecy 2024 !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérent.e.s pour leurs 26 sélections au Festival international du film d’animation d’Annecy 2024, qui mettent à l’honneur toute la diversité de la production d’animation française. Le SPI est fier d’incarner la richesse de la création indépendante d’animation.

Le SPI donne rendez-vous à Annecy pour sa conférence de presse le mercredi 12 juin à 16h, et sur son stand du MIFA (G21).

LONGS METRAGES – COMPÉTITION OFFICIELLE

La plus Précieuse des marchandises (film d’ouverture) de Michel Hazanavicius
produit par Ex Nihilo

Anzu, Chat-fantôme de Yoko Kuno et Nobuhiro Yamashita – coproduit par Miyu Productions

Angelo dans la forêt mystérieuse deVincent Paronnaud (Winshluss) et Alexis Ducord
produit Gao Shan Pictures, en coproduction avec Amopix

Flow de Gints Zilbalodis – produit par Sacrebleu Productions

Sauvages de Claude Barras – produit par Haut et Court

Slocum et moi de Jean-François Laguionie – produit par JPL Films

LONGS METRAGES – CONTRECHAMP

La vie, en gros (Living Large) de Kristina Dufková – coproduit par Novanima

COURTS MÉTRAGES – COMPÉTITION OFFICIELLE

Beautiful Men de Nicolas Keppens – coproduit par Miyu Productions

Hurikán de Jan Saska – produit par Laïdak Films

KaminhuLe chemin de Marie Vieillevie – produit par Les Astronautes

La voix des sirènes de Gianluigi Toccafondocoproduit par Miyu Productions

Misérable miracle de Ryo Orikasacoproduit par Miuy Productions

Mont noir de Erika Haglund et Jean-Baptiste Peltier
produit par La Clairière Ouest et Les Astronautes

Papillon de Florence Miailheproduit par Sacrebleu Productions et Xbo films

Percebes d’Alexandra Ramires et Laura Gonçalvescoproduit par Ikki Films

Plus douce est la nuit de Fabienne Wagenaarproduit par JPL Films

COURTS METRAGES – PERSPECTIVES

GiGi de Cynthia Calviproduit par Xbo films

Pie dan lo de Kim Yip Tong – produit par Gao Shan PicturesGao Shan Animation Studio Maurice et We Film

COURT METRAGES – JEUNE PUBLIC

Beurk ! de Loïc Espucheproduit par Ikki Films et Iliade et Films

FILMS DE TELEVISION

La vie de château « Le Fantôme de Versailles »
de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi – produit par Films Grand Huit

Lola et le piano à bruits d’Augusto Zanovello – produit par Komadoli Studio

Petite Casbah « La Gifle » d’Antoine Colomb – produit par Darjeeling

Une guitare à la mer de Sophie Roze – produit par JPL Films

FILMS DE COMMANDE

Short Cuts « Rivière sans retour » de David Stora – produit par Caïmans Productions

ŒUVRES VR

Flow d’Adriaan Lokman – produit par Lucid Realities (CLPB Media)

ANNECY PRÉSENTE

Le Grand Noël des animaux de Camille Alméras, Caroline Attia Larivière,
Ceylan Beyoğlu, Haruna Kishi, Natalia Chernisheva et Olesya Shchukina
produit par Les Valseurs

Contact :
Sébastien Colin – Délégué Général
Céline Hautier – Déléguée Animation
Tél. : 01 44 70 70 44 – info@lespi.org – 4, Cité Griset, 75011 Paris

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérent.e.s pour leurs 26 sélections au Festival international du film d’animation d’Annecy 2024, qui mettent à l’honneur toute la diversité de la production d’animation française. Le SPI est fier d’incarner la richesse de la création indépendante d’animation. Le SPI donne rendez-vous à Annecy pour sa conférence de presse le mercredi 12 juin à 16h, et sur son stand du MIFA (G21). LONGS METRAGES – COMPÉTITION OFFICIELLE La plus Précieuse des marchandises (film d’ouverture) de Michel Hazanaviciusproduit par Ex Nihilo Anzu, Chat-fantôme de Yoko Kuno et Nobuhiro Yamashita – coproduit par Miyu Productions Angelo dans la forêt mystérieuse deVincent Paronnaud (Winshluss) et Alexis Ducordproduit Gao Shan Pictures, en coproduction avec Amopix Flow de Gints Zilbalodis – produit par Sacrebleu Productions Sauvages de Claude Barras – produit par Haut et Court Slocum et moi de Jean-François Laguionie – produit par JPL Films LONGS METRAGES – CONTRECHAMP La vie, en gros (Living Large) de Kristina Dufková – coproduit par Novanima COURTS MÉTRAGES – COMPÉTITION OFFICIELLE Beautiful Men de Nicolas Keppens – coproduit par Miyu Productions Hurikán de Jan Saska – produit par Laïdak Films Kaminhu – Le chemin de Marie Vieillevie – produit par Les Astronautes La voix des sirènes de Gianluigi Toccafondo – coproduit par Miyu Productions Misérable miracle de Ryo Orikasa – coproduit par Miuy Productions Mont noir de Erika Haglund et Jean-Baptiste Peltierproduit par La Clairière Ouest et Les Astronautes Papillon de Florence Miailhe – produit par Sacrebleu Productions et Xbo films Percebes d’Alexandra Ramires et Laura Gonçalves – coproduit par Ikki Films Plus douce est la nuit de Fabienne Wagenaar – produit par JPL Films COURTS METRAGES – PERSPECTIVES GiGi de Cynthia Calvi – produit par Xbo films Pie dan lo de Kim Yip Tong – produit par Gao Shan Pictures, Gao Shan Animation Studio Maurice et We Film COURT METRAGES – JEUNE PUBLIC Beurk ! de Loïc Espuche – produit par Ikki Films et Iliade et Films FILMS DE TELEVISION La vie de château « Le Fantôme de Versailles »de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi – produit par Films Grand Huit Lola et le piano à bruits d’Augusto Zanovello – produit par Komadoli Studio Petite Casbah « La Gifle » d’Antoine Colomb – produit par Darjeeling Une guitare à la mer de Sophie Roze – produit par JPL Films FILMS DE COMMANDE Short Cuts « Rivière sans retour » de David Stora – produit par Caïmans Productions ŒUVRES VR Flow d’Adriaan Lokman – produit par Lucid Realities (CLPB Media) ANNECY PRÉSENTE Le Grand Noël des animaux de Camille Alméras, Caroline Attia Larivière, Ceylan Beyoğlu, Haruna Kishi, Natalia Chernisheva et Olesya Shchukinaproduit par Les Valseurs Contact :Sébastien Colin – Délégué GénéralCéline Hautier – Déléguée AnimationTél. : 01 44 70 70 44 – info@lespi.org – 4, Cité Griset, 75011 …

3 mai 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérent.e.s pour leurs 53 sélections au 77ème Festival de Cannes.

Le SPI se réjouit de retrouver toute la diversité des œuvres produites par ses membres, en sélection officielle (Compétition officielle, Un Certain Regard, Cannes Premières, Séances Spéciales, Cinéma de la Plage, Cannes Classics, Compétition immersive) et dans les sections parallèles (La Quinzaine des Cinéastes, La Semaine de la Critique et la Sélection ACID).

SÉLECTION OFFICIELLE

Compétition officielle

Longs métrages

All We Imagine as Light de Payal Kapadia, produit par petit chaos

Diamant brut d’Agathe Riedinger, produit par Silex Films

Emilia Perez de Jacques Audiard, produit par Why Not Productions

Grand Tour de Miguel Gomes, coproduit par Shellac et Cinéma Defacto

La plus précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius, produit par Ex Nihilo

Marcello mio de Christophe Honoré, produit par Les Films Pelléas

Motel Destino de Karim Aïnouz, coproduit par Maneki Films

Courts métrages

Volcelest d’Éric Briche, produit par Miyu Productions

Les belles cicatrices de Raphaël Jouzeau, produit par Balade Sauvage

L’homme qui ne se taisait pas de Nebojša Slijepčević, produit par Les Films Norfolk

Across the Waters de Viv Li, coproduit par Tripode Productions

Un Certain Regard

Film d’ouverture

When the Light Breaks de Rúnar Rúnarsson, coproduit par Eaux Vives Productions

Flow de Gints Zilbalodis, coproduit par Sacrebleu Productions

L’histoire de Souleymane de Boris Lojkine, produit par Unité

My Sunshine de Hiroshi Okuyama, coproduit par Comme des Cinémas

Santosh de Sandhya Suri, produit par Haut et Court

The Shameless, de Konstantin Bojanov, coproduit par Urban Factory etHouse on fire

The Village Next to Paradise de Mo Harawe, produit par Kazak Productions

Viêt and Nam de Trương Minh Quý, coproduit par Deuxième Ligne Films

Vingt dieux de Louise Courvoisier, produit par Ex Nihilo

Cannes Première

C’est pas moi de Leos Carax, produit par CG Cinéma

En fanfare d’Emmanuel Courcol, produit par Agat Films

Miséricorde d’Alain Guiraudie, produit par CG Cinéma

Maria de Jessica Palud produit par Les Films de Mina

Séances spéciales

Apprendre de Claire Simon, produit par Les Films Hatari

Ernest Cole, photographe de Raoul Peck, produit par Velvet Film

La belle de Gaza de Yolande Zauberman, produit par Unité

Spectateurs ! d’Arnaud Desplechin, produit parCG Cinéma

Sauvages de Claude Barras, produit par Haut et Court

Angelo dans la forêt mystérieuse de Vincent Paronnaud (Winshluss) et Alexis Ducord, produit par Gao Shan Pictures, en coproduction avec Amopix

Cannes Classics

Jacques Demy, le rose et le noir de Florence Platarets, produit parEx Nihilo et Ciné Tamaris

Cinéma de la Plage

Slocum et moi deJean-François Laguionie, produit par JPL Films

Compétition immersive

Maya : naissance d’une super héroïne de Poulomi Basu et CJ Clarke, produit par Floréal

SEMAINE DE LA CRITIQUE

Film d’ouverture

Les Fantômes de Jonathan Millet, produit par Films Grand Huit

Film de clôture

Animale d’Emma Benestan, produit par June Films

Compétition

Longs métrages

La Pampa d’Antoine Chevrollier, produit par Agat Films

Rafaat einy il sama de Nada Riyadh et Ayman El Amir, coproduit par Dolce Vita Films

Courts métrages

Alazar de Beza Hailu Lemma, coproduit par Kidam

Ce qu’on demande à une statue c’est qu’elle ne bouge pas deDaphné Hérétakis, produit par

Bocalupo Films et Quartett Production

Supersilly de Veronica Martiradonna, produit par Sacrebleu Productions

Séances spéciales

Longs métrages

Les reines du drame d’Alexis Langlois, produit par Les Films du Poisson

Courts métrages

1996 ou les Malheurs de Solveig de Lucie Borleteau, produit par Apsara Films

LA QUINZAINE DES CINÉASTES

Longs métrages

À son image de Thierry de Peretti, produit par Les Films Velvet

Anzu, chat-fantôme de Yôko Kuno et Nobuhiro Yamashita, produit par Miyu Productions

Eat the night de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, produit par Agat Films

Mongrel de Chiang Wei Liang et You Qiao Yin, coproduit par Deuxième Ligne Films

The Falling Sky d’Eryk Rocha et Gabriela Carneiro da Cunha, coproduit par Les Films d’Ici

To a Land Unknown de Mahdi Fleifel, coproduit par Salaud Morisset

Courts métrages

Après le soleil de Rayane Mcirdi, produit par Malfamé

SÉLECTION ACID

Château rouge de Hélène Milano, produit par TS Productions

Fotogenico de Marcia Romano et Benoît Sabatier,produit par Envie de Tempête

Mi Bestia de Camila Beltrán, produit par Film Grand Huit

Un pays en flammes de Mona Convert, produit par Triptyque Films

Le SPI se réjouit de retrouver toute la diversité des œuvres produites par ses membres, en sélection officielle (Compétition officielle, Un Certain Regard, Cannes Premières, Séances Spéciales, Cinéma de la Plage, Cannes Classics, Compétition immersive) et dans les sections parallèles (La Quinzaine des Cinéastes, La Semaine de la Critique et la Sélection ACID). SÉLECTION OFFICIELLE Compétition officielle Longs métrages All We Imagine as Light de Payal Kapadia, produit par petit chaos Diamant brut d’Agathe Riedinger, produit par Silex Films Emilia Perez de Jacques Audiard, produit par Why Not Productions Grand Tour de Miguel Gomes, coproduit par Shellac et Cinéma Defacto La plus précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius, produit par Ex Nihilo Marcello mio de Christophe Honoré, produit par Les Films Pelléas Motel Destino de Karim Aïnouz, coproduit par Maneki Films Courts métrages Volcelest d’Éric Briche, produit par Miyu Productions Les belles cicatrices de Raphaël Jouzeau, produit par Balade Sauvage L’homme qui ne se taisait pas de Nebojša Slijepčević, produit par Les Films Norfolk Across the Waters de Viv Li, coproduit par Tripode Productions Un Certain Regard Film d’ouverture When the Light Breaks de Rúnar Rúnarsson, coproduit par Eaux Vives Productions Flow de Gints Zilbalodis, coproduit par Sacrebleu Productions L’histoire de Souleymane de Boris Lojkine, produit par Unité My Sunshine de Hiroshi Okuyama, coproduit par Comme des Cinémas Santosh de Sandhya Suri, produit par Haut et Court The Shameless, de Konstantin Bojanov, coproduit par Urban Factory etHouse on fire The Village Next to Paradise de Mo Harawe, produit par Kazak Productions Viêt and Nam de Trương Minh Quý, coproduit par Deuxième Ligne Films Vingt dieux de Louise Courvoisier, produit par Ex Nihilo Cannes Première C’est pas moi de Leos Carax, produit par CG Cinéma En fanfare d’Emmanuel Courcol, produit par Agat Films Miséricorde d’Alain Guiraudie, produit par CG Cinéma Maria de Jessica Palud produit par Les Films de Mina Séances spéciales Apprendre de Claire Simon, produit par Les Films Hatari Ernest Cole, photographe de Raoul Peck, produit par Velvet Film La belle de Gaza de Yolande Zauberman, produit par Unité Spectateurs ! d’Arnaud Desplechin, produit parCG Cinéma Sauvages de Claude Barras, produit par Haut et Court Angelo dans la forêt mystérieuse de Vincent Paronnaud (Winshluss) et Alexis Ducord, produit par Gao Shan Pictures, en coproduction avec Amopix Cannes Classics Jacques Demy, le rose et le noir de Florence Platarets, produit parEx Nihilo et Ciné Tamaris Cinéma de la Plage Slocum et moi deJean-François Laguionie, produit par JPL Films Compétition immersive Maya : naissance d’une super héroïne de Poulomi Basu et CJ Clarke, produit par Floréal SEMAINE DE LA CRITIQUE Film d’ouverture Les Fantômes de Jonathan Millet, produit par Films Grand Huit Film de clôture Animale d’Emma Benestan, produit par June Films Compétition Longs métrages La Pampa d’Antoine Chevrollier, produit par Agat Films Rafaat einy il sama de Nada Riyadh et Ayman El Amir, coproduit par Dolce Vita Films Courts métrages Alazar de Beza Hailu Lemma, coproduit par Kidam Ce qu’on demande à une statue c’est qu’elle ne bouge pas deDaphné Hérétakis, produit par Bocalupo Films et Quartett Production Supersilly de Veronica Martiradonna, produit par Sacrebleu Productions Séances spéciales Longs métrages Les reines du drame d’Alexis Langlois, produit par Les Films du Poisson Courts métrages 1996 ou les Malheurs de Solveig de Lucie Borleteau, produit par Apsara Films LA QUINZAINE DES CINÉASTES Longs métrages À son image de Thierry de Peretti, produit par Les Films Velvet Anzu, chat-fantôme de Yôko Kuno et Nobuhiro Yamashita, produit par Miyu Productions Eat the night de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, produit par Agat Films Mongrel de Chiang Wei Liang et You Qiao Yin, coproduit par Deuxième Ligne Films The Falling Sky d’Eryk Rocha et Gabriela Carneiro da Cunha, coproduit par Les Films d’Ici To a Land Unknown de Mahdi Fleifel, coproduit par Salaud Morisset Courts métrages Après le soleil de Rayane Mcirdi, produit par Malfamé SÉLECTION ACID Château rouge de Hélène Milano, produit par TS Productions Fotogenico de Marcia Romano et Benoît Sabatier,produit par Envie de Tempête Mi Bestia de Camila Beltrán, produit par Film Grand Huit Un pays en flammes de Mona Convert, produit par Triptyque …

30 avril 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Bravo à nos producteurs et productrices sélectionné.e.s au FIGRA 2024 !

COMPÉTITION INTERNATIONALE – Plus de 40 minutes

Au nom du maintien de l’ordre
de Paul Moreira
Premières Lignes Télévision

Covid 19, la quête des origines
de Gwenlaouen Le Gouil et Brice Lambert
StudioFact Media

Crimes de guerre en Ukraine, la justice en marche
d’Élizabeth Drevillon
Babel Doc

Le parrain des océans
de Hugo Van Offel et Martin Boudot
Premières Lignes Télévision

Un village en résistance
de Catherine Catella et Shu Aiello
Les Films du Tambour de Soie

COMPETITION INTERNATIONALE – Moins de 40 minutes

Les passeurs de la liberté
d’Ingrid Piponiot et Alex Gohari
Babel Doc

TERRE(S) D’HISTOIRE

Homosexuels et lesbiennes face au nazisme
de Michel Viotte
Ladybirds Films

La honte et l’oubli – Travailleuses françaises en Allemagne nazie
de Barbara Necek
Bonne Pioche Télévision

La tragique histoire de Fritz l’éléphant
de Camille Menager
13 Prods

Liban 1982, radiographie d’un massacre
de Nicolas Jallot
Day for Night

OK, Joe
de Philippe Baron
Les Films du Sillage

Une française à Kaboul, l’aventure d’une vie
de Charlotte Erlih et Marie-Pierre Camus
Kepler 22 Productions

Vers l’Europe, loin de Moscou
d’Alain de Halleux
Zorn Production International

AUTREMENT VU

Et si on levait les yeux ? une classe face aux écrans
de Gilles Vernet
Wake Up Production

Les doléances
d’Hélène Desplanques
13 Prods

Mémé
de Camille Juza
Compagnie des Phares et Balises (CPB Films)

Survivantes
d’Eric Gueret
Haut et Court Doc

COMPÉTITION INTERNATIONALE – Plus de 40 minutes Au nom du maintien de l’ordrede Paul MoreiraPremières Lignes Télévision Covid 19, la quête des originesde Gwenlaouen Le Gouil et Brice LambertStudioFact Media Crimes de guerre en Ukraine, la justice en marched’Élizabeth DrevillonBabel Doc Le parrain des océansde Hugo Van Offel et Martin BoudotPremières Lignes Télévision Un village en résistancede Catherine Catella et Shu AielloLes Films du Tambour de Soie COMPETITION INTERNATIONALE – Moins de 40 minutes Les passeurs de la libertéd’Ingrid Piponiot et Alex GohariBabel Doc TERRE(S) D’HISTOIRE Homosexuels et lesbiennes face au nazismede Michel ViotteLadybirds Films La honte et l’oubli – Travailleuses françaises en Allemagne naziede Barbara NecekBonne Pioche Télévision La tragique histoire de Fritz l’éléphantde Camille Menager13 Prods Liban 1982, radiographie d’un massacrede Nicolas JallotDay for Night OK, Joede Philippe BaronLes Films du Sillage Une française à Kaboul, l’aventure d’une viede Charlotte Erlih et Marie-Pierre CamusKepler 22 Productions Vers l’Europe, loin de Moscoud’Alain de HalleuxZorn Production International AUTREMENT VU Et si on levait les yeux ? une classe face aux écransde Gilles VernetWake Up Production Les doléancesd’Hélène Desplanques13 Prods Méméde Camille JuzaCompagnie des Phares et Balises (CPB Films) Survivantesd’Eric GueretHaut et Court …

25 avril 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Planning des réunions du Collège Audiovisuel du 2ème Trimestre 2024

Télécharger le planning

 

Collège Audiovisuel

Planning des réunions du 2ème trimestre 2024

Avril

05-04 – 15h : Réunion collège Outre-mer documentaire et fiction (visio)

Vacances scolaires du 08-04 au 22-04

30-04 : Rencontre avec Michel Field à France TV

Mai

15-05 – 10h : Commission spectacle vivant

22-05 – 10h : collège CNC – direction de l’audiovisuel

23-05 – 15h : Commission numérique : Impact de l’IA sur le métier de producteur

Juin

05-06 : Commission documentaire

06-06 – 15h : Collège France TV Fiction

Du 24 au 27 juin Sunny Side of the doc – La Rochelle  

Juillet :

10-07 : Commission fiction  

Télécharger le planning   Collège Audiovisuel Planning des réunions du 2ème trimestre 2024 Avril 05-04 – 15h : Réunion collège Outre-mer documentaire et fiction (visio) Vacances scolaires du 08-04 au 22-04 30-04 : Rencontre avec Michel Field à France TV Mai 15-05 – 10h : Commission spectacle vivant 22-05 – 10h : collège CNC – direction de l’audiovisuel 23-05 – 15h : Commission numérique : Impact de l’IA sur le métier de producteur Juin 05-06 : Commission documentaire 06-06 – 15h : Collège France TV Fiction Du 24 au 27 juin Sunny Side of the doc – La Rochelle   Juillet : 10-07 : Commission fiction …

24 avril 2024Actus-Adhérentsactus-adherents
Sortie Cinéma “Même si tu vas sur la lune” – Les Beaux Docs

Très heureux de vous annoncer la sortie au cinéma le 1er Mai du dernier long métrage documentaire des Beaux Docs “Même si tu vas sur la lune”. Je vous joins une invitation pour une séance le 29 avril à 20.00 au cinéma l’Arlequin 76, rue de Rennes. Le lien de la bande annonce : https://vimeo.com/901134434?share=copy. Si vous êtes intéressé pour la projection. Envoyez moi un mail à olivier@lesbeauxdocs.fr

Très heureux de vous annoncer la sortie au cinéma le 1er Mai du dernier long métrage documentaire des Beaux Docs “Même si tu vas sur la lune”. Je vous joins une invitation pour une séance le 29 avril à 20.00 au cinéma l’Arlequin 76, rue de Rennes. Le lien de la bande annonce : https://vimeo.com/901134434?share=copy. Si vous êtes intéressé pour la projection. Envoyez moi un mail à …

24 avril 2024Actus-Adhérents, Non classéactus-adherents non-classe
Logements à sous louer à Cannes pendant le Festival

Nous sous louons deux appartements sur Cannes pendant le Festival :

  • Le premier (Suquet) : Adresse : 30 Boulevard Vallombrosa, 06400, Cannes
    – Une chambre avec un lit double et le salon dispose d’un canapé lit
    – Disponibilités : de la nuit du 16 mai à la nuit du 22 mai incluse.
  • Le second (Riviera) : Adresse : 6 avenue Branly, 06400, Cannes
    Une chambre avec deux lits simples et le salon dispose d’un canapé lit
    Dispo : de la nuit du 20 mai au 24 mai incluse.

> Nous pouvons vous envoyer des photos si besoin.

Tarif pour les deux logements : 450 € la nuit 

Pour toute information complémentaire, contactez Louis Nefti : louis@silexfilms.com / 06 66 58 02 55

Nous sous louons deux appartements sur Cannes pendant le Festival : Le premier (Suquet) : Adresse : 30 Boulevard Vallombrosa, 06400, Cannes – Une chambre avec un lit double et le salon dispose d’un canapé lit – Disponibilités : de la nuit du 16 mai à la nuit du 22 mai incluse. Le second (Riviera) : Adresse : 6 avenue Branly, 06400, Cannes Une chambre avec deux lits simples et le salon dispose d’un canapé lit Dispo : de la nuit du 20 mai au 24 mai incluse. > Nous pouvons vous envoyer des photos si besoin. Tarif pour les deux logements : 450 € la nuit  Pour toute information complémentaire, contactez Louis Nefti : louis@silexfilms.com / 06 66 58 02 …

23 avril 2024Annoncesannonces
Le SPI est fier et félicite ses membres primés au Festival National d’Animation de Rennes 2024 !

Grand prix du court métrage professionnel
Les Pieds dans l’eau d’Eloïc Gimenez Yoon
Produit par Girelle Production

Prix du public pour un court métrage professionnel
Gigi de Cynthia Calvi
Produit par XBO Films

Prix André-Martin pour un long métrage
Interdit aux chiens et aux italiens d’Alain Ughetto
Produit par Les Films du Tambour de Soie et coproduit par Foliascope

Coup de cœur Les Femmes s’Animent pour une production audiovisuelle (ex aequo)
Inside Kaboul de Caroline Gillet et Denis Walgenwitz
Produit par Les Films du Poisson et Tchack

Coup de cœur des scolaires pour un court métrage jeune public
Beurk ! de Loïc Espuche,
Produit par Ikki Films et Iliade & Films

Grand prix du court métrage professionnelLes Pieds dans l’eau d’Eloïc Gimenez Yoon Produit par Girelle Production Prix du public pour un court métrage professionnelGigi de Cynthia CalviProduit par XBO Films Prix André-Martin pour un long métrageInterdit aux chiens et aux italiens d’Alain UghettoProduit par Les Films du Tambour de Soie et coproduit par Foliascope Coup de cœur Les Femmes s’Animent pour une production audiovisuelle (ex aequo)Inside Kaboul de Caroline Gillet et Denis WalgenwitzProduit par Les Films du Poisson et Tchack Coup de cœur des scolaires pour un court métrage jeune publicBeurk ! de Loïc Espuche,Produit par Ikki Films et Iliade & …

18 avril 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Chambre à sous-louer Cannes du 22 au 24 mai

Nous sous-louons une chambre libre 3 nuits (22, 23 et 24 mai)  dans un appartement de 63 m2 situé au 41 rue Felix Faure.

Il s’agit d’une chambre avec un lit double.

Tarif : 175€/Nuit.

Contactez Valentine à l’adresse suivante : valentinemoussa@eauxvivesproductions.com

Nous sous-louons une chambre libre 3 nuits (22, 23 et 24 mai)  dans un appartement de 63 m2 situé au 41 rue Felix Faure. Il s’agit d’une chambre avec un lit double. Tarif : 175€/Nuit. Contactez Valentine à l’adresse suivante : …

17 avril 2024Annoncesannonces
Communiqué de Presse – Le SPI a renouvelé son Comité Directeur

L’Assemblée Générale annuelle du Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) qui s’est tenue le 2 avril 2024 a élu son nouveau Comité Directeur, représentatif de la diversité des 530 sociétés de production audiovisuelle et cinématographique adhérentes.

Simon Arnal (Haut et Court TV) a été élu Président du SPI. Il succède à Gilles Sacuto (TS Productions),

Cyrille Perez (13 Prods) a été réélu au poste de Trésorier.

Eduardo Sosa Soria (La Féline) a été élu Vice-président en charge du collège Court-métrage et prend la suite d’Anaïs Bertrand (Insolence Productions).

Ils seront aux côtés de Sébastien Onomo (Special Touch Studio), Nora Melhli (Alef One) et Édouard Mauriat (Mille et Une Productions) qui poursuivent leurs mandats de Vice-président.e.s en charge respectivement des collèges Animation, Audiovisuel et Long-métrage.

Le SPI remercie chaleureusement Gilles Sacuto pour ses quatre années de présidence, pour sa disponibilité et son engagement constant en faveur de la production indépendante et de la diversité.
Le SPI remercie également Anaïs Bertrand pour ses trois années de vice-présidence, sa détermination à défendre les œuvres de court-métrage et le renouvellement des talents.

La nouvelle composition du Comité Directeur pour l’année 2024-2025 est :

PRÉSIDENT : Simon ARNAL – Haut et Court TV

TRÉSORIER : Cyrille PEREZ – 13 Prods

VICE-PRÉSIDENT ANIMATION : Sébastien ONOMO (SPECIAL TOUCH STUDIOS)

Membres du Bureau Animation :
– Joëlle CAROLINE (GODO FILMS)
– Raphaël CATHELAND (COSMIC PRODUCTIONS)
– Catherine ESTEVES (LES FILMS DU POISSON ROUGE)
– Marc FAYE (NOVANIMA PRODUCTIONS)
– Virginie GIACHINO (DONCVOILÀ PRODUCTIONS)
– Emmanuel-Alain RAYNAL (MIYU PRODUCTIONS)
– Noam ROUBAH (DARJEELING)
– Sophie SAGET (ANDARTA PICTURES)

VICE-PRÉSIDENTE AUDIOVISUEL : Nora MELHLI (ALEF ONE)

Membres du Bureau Audiovisuel :
– Caroline ADRIAN (DELANTE PRODUCTIONS)
– Simon ARNAL (HAUT ET COURT TV)
– Olivier de BANNES (O2B FILMS)
– Sébastien BORIVENT (TETRA MEDIA STUDIO)
– Julie COUDRY (MEGARA PRODUCTIONS)
– Brigitte DUCOTTET (SUPERMOUCHE PRODUCTIONS)
– Laurent DURET (BACHIBOUZOUK)
– Antonin EHRENBERG (PATAFILM)
– Théo LABOULANDINE (MELOCOTON FILMS)
– Maël MAINGUY (LES NOUVEAUX JOURS PRODUCTIONS)
– Margaux MISSIKA (UPIAN)
– Valérie MONTMARTIN (LITTLE BIG STORY)
– Cyrille PEREZ (13 PRODS)

VICE-PRÉSIDENT COURT MÉTRAGE : Eduardo SOSA SORIA (LA FÉLINE)

Membres du Bureau Court Métrage :
– Camille CHANDELLIER (LA PETITE PROD)
– Anne BERJON (MONDINA FILMS)
– Clémence CRÉPIN NEEL (MODERATO)
– Jeanne EZVAN (APACHES FILMS)
– Camille GENAUD (PARAISO PRODUCTION)
– Arthur GOISSET (TOPSHOT FILMS)
– Damien MEGHERBI (LES VALSEURS)
– Laurine PELASSY (LES FILMS DE LA CAPITAINE)

VICE-PRÉSIDENT LONG MÉTRAGE :Édouard MAURIAT (MILLE ET UNE PRODUCTIONS)

 Membres du Bureau Long Métrage :
– Gaëlle BAYSSIERE (EVERYBODY ON DECK)
– Anaïs BERTRAND (INSOLENCE PRODUCTIONS)
– Julie BILLY (JUNE FILMS)
– Marc BORDURE (AGAT FILMS & CIE)
– Florence BORELLY (SÉSAME FILMS)
– Camille DELEAU (LIGNE 2)
– Didar DOMEHRI (MANEKI FILMS)
– Marielle DUIGOU (FIN AOÛT PRODUCTIONS)
– Marie MASMONTEIL (ELZÉVIR FILMS)
– Caroline NATAF (UNITÉ)
– Carine RUSZNIEWSKI (GOGOGO FILMS)
– Gilles SACUTO (TS PRODUCTIONS)
– Candice ZACCAGNINO (ELIANEANTOINETTE)

L’Assemblée Générale annuelle du Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) qui s’est tenue le 2 avril 2024 a élu son nouveau Comité Directeur, représentatif de la diversité des 530 sociétés de production audiovisuelle et cinématographique adhérentes. Simon Arnal (Haut et Court TV) a été élu Président du SPI. Il succède à Gilles Sacuto (TS Productions), Cyrille Perez (13 Prods) a été réélu au poste de Trésorier. Eduardo Sosa Soria (La Féline) a été élu Vice-président en charge du collège Court-métrage et prend la suite d’Anaïs Bertrand (Insolence Productions). Ils seront aux côtés de Sébastien Onomo (Special Touch Studio), Nora Melhli (Alef One) et Édouard Mauriat (Mille et Une Productions) qui poursuivent leurs mandats de Vice-président.e.s en charge respectivement des collèges Animation, Audiovisuel et Long-métrage. Le SPI remercie chaleureusement Gilles Sacuto pour ses quatre années de présidence, pour sa disponibilité et son engagement constant en faveur de la production indépendante et de la diversité.Le SPI remercie également Anaïs Bertrand pour ses trois années de vice-présidence, sa détermination à défendre les œuvres de court-métrage et le renouvellement des talents. La nouvelle composition du Comité Directeur pour l’année 2024-2025 est : PRÉSIDENT : Simon ARNAL – Haut et Court TV TRÉSORIER : Cyrille PEREZ – 13 Prods VICE-PRÉSIDENT ANIMATION : Sébastien ONOMO (SPECIAL TOUCH STUDIOS) Membres du Bureau Animation :– Joëlle CAROLINE (GODO FILMS)– Raphaël CATHELAND (COSMIC PRODUCTIONS)– Catherine ESTEVES (LES FILMS DU POISSON ROUGE)– Marc FAYE (NOVANIMA PRODUCTIONS)– Virginie GIACHINO (DONCVOILÀ PRODUCTIONS)– Emmanuel-Alain RAYNAL (MIYU PRODUCTIONS)– Noam ROUBAH (DARJEELING)– Sophie SAGET (ANDARTA PICTURES) VICE-PRÉSIDENTE AUDIOVISUEL : Nora MELHLI (ALEF ONE) Membres du Bureau Audiovisuel :– Caroline ADRIAN (DELANTE PRODUCTIONS)– Simon ARNAL (HAUT ET COURT TV)– Olivier de BANNES (O2B FILMS)– Sébastien BORIVENT (TETRA MEDIA STUDIO)– Julie COUDRY (MEGARA PRODUCTIONS)– Brigitte DUCOTTET (SUPERMOUCHE PRODUCTIONS)– Laurent DURET (BACHIBOUZOUK)– Antonin EHRENBERG (PATAFILM)– Théo LABOULANDINE (MELOCOTON FILMS)– Maël MAINGUY (LES NOUVEAUX JOURS PRODUCTIONS)– Margaux MISSIKA (UPIAN)– Valérie MONTMARTIN (LITTLE BIG STORY)– Cyrille PEREZ (13 PRODS) VICE-PRÉSIDENT COURT MÉTRAGE : Eduardo SOSA SORIA (LA FÉLINE) Membres du Bureau Court Métrage :– Camille CHANDELLIER (LA PETITE PROD)– Anne BERJON (MONDINA FILMS)– Clémence CRÉPIN NEEL (MODERATO)– Jeanne EZVAN (APACHES FILMS)– Camille GENAUD (PARAISO PRODUCTION)– Arthur GOISSET (TOPSHOT FILMS)– Damien MEGHERBI (LES VALSEURS)– Laurine PELASSY (LES FILMS DE LA CAPITAINE) VICE-PRÉSIDENT LONG MÉTRAGE :Édouard MAURIAT (MILLE ET UNE PRODUCTIONS)  Membres du Bureau Long Métrage :– Gaëlle BAYSSIERE (EVERYBODY ON DECK)– Anaïs BERTRAND (INSOLENCE PRODUCTIONS)– Julie BILLY (JUNE FILMS)– Marc BORDURE (AGAT FILMS & CIE)– Florence BORELLY (SÉSAME FILMS)– Camille DELEAU (LIGNE 2)– Didar DOMEHRI (MANEKI FILMS)– Marielle DUIGOU (FIN AOÛT PRODUCTIONS)– Marie MASMONTEIL (ELZÉVIR FILMS)– Caroline NATAF (UNITÉ)– Carine RUSZNIEWSKI (GOGOGO FILMS)– Gilles SACUTO (TS PRODUCTIONS)– Candice ZACCAGNINO …

3 avril 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
BUREAU (2 postes) à louer Paris 11

Blick Productions (www.blickproductions.fr , Producteurs : Maria Blicharska-Lacroix et Damien Mc Donald), propose à la location un petit bureau lumineux d’ une superficie d’environ 12m2, dans un espace refait à neuf, calme, dans le 11ème arrondissement de Paris.

Avec accès à une cuisine équipée d’un micro-onde, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine.

Disponibilité : à partir du 1er mai 2024.

Conditions juridiques et financières :
Type de bail : Sous Location / Prestations de services
Dépôt de garantie : 1 mois
Loyer mensuel : 650-750 € HT
Charges locatives comprises, ménage compris.

Possibilité de location d’un deuxième bureau de prépa pendant la période estivale ( juillet-août).

Pour toute demande ou question, n’hésitez pas à nous contacter à info@blickproductions.fr
Tél. : 06 99 30 85 17

BUREAU à Louer – Rue des Trois Bornes 75011 Paris Blick Productions (www.blickproductions.fr , Producteurs : Maria Blicharska-Lacroix et Damien Mc Donald), propose à la location un petit bureau lumineux d’ une superficie d’environ 12m2, dans un espace refait à neuf, calme, dans le 11ème arrondissement de Paris. Avec accès à une cuisine équipée d’un micro-onde, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine. Disponibilité : à partir du 1er mai 2024. Conditions juridiques et financières : Type de bail : Sous Location / Prestations de services Dépôt de garantie : 1 mois Loyer mensuel : 650-750 € HT Charges locatives comprises, ménage compris. Possibilité de location d’un deuxième bureau de prépa pendant la période estivale ( juillet-août). Pour toute demande ou question, n’hésitez pas à nous contacter à info@blickproductions.fr Tél. : 06 99 30 85 …

3 avril 2024Annoncesannonces
Communiqué de Presse – Commission IA : les secteurs créatifs et culturels accueillent avec soulagement un rapport équilibré

Commission IA : les secteurs créatifs et culturels accueillent avec soulagement un rapport équilibré

Le collectif de la création et des industries culturelles réunit les voix des arts graphiques et plastiques, de l’audiovisuel, du cinéma, du jeu, du livre, de la musique et de la presse dans le contexte du développement des applications génératives de l’intelligence artificielle.

C’est avec soulagement que nous avons pris connaissance du rapport de la Commission IA et, tout particulièrement de sa recommandation de mise en œuvre et d’évaluation des obligations de transparence des bases d’entraînement des modèles à usage général, notamment avec l’objectif d’en garantir la robustesse au regard des évolutions technologiques et des usages.

Nous saluons l’attention significative que le rapport consacre aux sujets culturels et remercions la ministre de la Culture pour son expression positive à cet égard, ainsi que plus généralement, pour son engagement marqué en faveur de la défense du droit d’auteur et des droits voisins à l’heure où se dessine le cadre d’un marché de l’IA à fort potentiel.

Au lendemain de l’adoption du règlement sur l’intelligence artificielle par le Parlement européen et dans l’attente de sa validation formelle par les Etats membres, l’enjeu est désormais de travailler à sa mise en œuvre effective. Nous sommes résolument prêts à participer à toutes réflexions qui permettraient d’éclairer les travaux de la Commission européenne, en particulier sur le format du résumé suffisamment détaillé que les modèles d’IA à usage général seront tenus de fournir sur leurs sources.

En effet, nous souhaitons participer à la construction d’un marché de l’IA éthique et compétitif qui pourra s’appuyer sur des solutions de licences adaptées à chaque secteur et permettre aux ayants droit de conserver le contrôle de leurs œuvres et objets protégés dans le contexte de leur usage massif. Comme nous l’avons toujours fait, nous continuerons à embrasser les innovations techniques et les opportunités qui en découlent en tenant compte des réalités économiques de nos partenaires.

Organisations

ADAGPSociété des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques
ADAMISociété Civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes
AGrAFAuteurs Groupés de l’Animation Française
Alliance de la PresseAlliance de la Presse
AnimFranceSyndicat exclusivement dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animation
APIAssociation des Producteurs Indépendants
CEMFChambre syndicale des Éditeurs de Musique de France
Coalition Française pour la Diversité Culturelle
CPEConseil Permanent des Ecrivains
CSDEMChambre Syndicale de L’Edition Musicale
DIREDistributeurs Indépendants Réunis Européens
EIFEILFédération des Editeurs Indépendants en France
EUROCINEMAAssociation de Producteurs, de Cinéma et de Télévision
F3C-CFDTFédération Conseil, Communication, Culture – Confédération Française Démocratique du Travail
FASAP-FOFédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse – Force Ouvrière
FCCS-CFE-CGCFédération Culture Communication Spectacle – Confédération Française de l’Encadrement – Confédération Générale des Cadres
FFAPFédération Française des Agences de Presse
FNAPPIFédération Nationale des Agences de Presse Photo et d’Information
FNCFFédération Nationale des Cinémas Français
FNEFFédération Nationale des Editeurs de Films
FNPSFédération nationale de la presse d’information spécialisée
GESTELes Editeurs de Contenus et Services en ligne
GNCRGroupement National des Cinémas de Recherche
La Charte des Auteurs et Illustrateurs jeunesse
LA GAMLa Guilde des Artistes de la Musique
La Guilde Française des Scénaristes
La Maison de Poésie 
LAPLigue des Auteurs Professionnels
L’ARPSociété Civile des Auteurs, Réalisateurs et Producteurs
LES VOIXAssociation Professionnelles des Comédiens Artistes-Interprètes de la Voix Enregistrée
PEN CLUB 
PROCIREPSociété des Producteurs de Cinéma et de Télévision
SACDSociété des Auteurs et Compositeurs Dramatiques
SacemSociété des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique
SAIFSociété des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe
SAJSociété des Auteurs de Jeux
SAMVA CFE-CGCSyndicat des Artistes Musiciens de Variétés et Arrangeurs – Confédération Française de l’Encadrement – Confédération Générale des Cadres
SAPHIRSyndicat des Agences de Presse Photographiques
SAPISyndicat des Agences de Presse d’Informations
SATEVSyndicat des Agences de Presse Audiovisuelles
SCAScénaristes de cinéma associés
SCAMSociété Civile des Auteurs Multimédia
SCPFPSyndicat des Catalogues de Films de Patrimoine
SCPPSociété Civile des Producteurs Phonographiques
SDISyndicat des Distributeurs Indépendants
SDLCSyndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels
SEAMSociété des Éditeurs et Auteurs de Musique
SELFSyndicat des écrivains de langue française
SEPMSyndicat des Éditeurs de la Presse Magazine
SGDLSociété des Gens de Lettres
SLFSyndicat de la Librairie Française
SMASyndicat des Musiques Actuelles
SN3M-FOSyndicat National des Musiciens et du Monde de la Musique – Force Ouvrière
SNACSyndicat National des Auteurs et des Compositeurs
SNAPSA CFE-CGCSyndicat National des Artistes, des Professions du spectacle et de l’Audiovisuel – Confédération Française de l’Encadrement – Confédération Générale des Cadres
SNESyndicat national de l’Edition
SNEPSyndicat National de l’Edition Phonographique
SNPEP-FOSyndicat national de la Presse, de l’édition et de la Publicité – Force Ouvrière
SOFIASociété Française des Intérêts des Auteurs de l’écrit
SPECTSyndicat des Producteurs et Créateurs de Programmes Audiovisuels
SPISyndicat des Producteurs Indépendants
SPPFSociété Civile des Producteurs de Phonogrammes en France
SudAnimAssociation des Professionnels de l’Animation en région Sud
U2CUnion des Compositrices et Compositeurs
U2RUnion des Réalisatrices et des Réalisateurs
ULMUnion des Librairies Musicales
UNACUnion Nationale des Auteurs et Compositeurs
UNIFABUnion des Fabricants
Union des Poètes et Cie
UPADUnion Professionnelle des Auteurs de Doublage
UPCUnion des Producteurs de Cinéma
UPFIUnion des Producteurs Phonographiques Français Indépendants
UPPUnion des Photographes Professionnels
USPAUnion Syndicale de la Production Audiovisuelle

Commission IA : les secteurs créatifs et culturels accueillent avec soulagement un rapport équilibré Le collectif de la création et des industries culturelles réunit les voix des arts graphiques et plastiques, de l’audiovisuel, du cinéma, du jeu, du livre, de la musique et de la presse dans le contexte du développement des applications génératives de l’intelligence artificielle. C’est avec soulagement que nous avons pris connaissance du rapport de la Commission IA et, tout particulièrement de sa recommandation de mise en œuvre et d’évaluation des obligations de transparence des bases d’entraînement des modèles à usage général, notamment avec l’objectif d’en garantir la robustesse au regard des évolutions technologiques et des usages. Nous saluons l’attention significative que le rapport consacre aux sujets culturels et remercions la ministre de la Culture pour son expression positive à cet égard, ainsi que plus généralement, pour son engagement marqué en faveur de la défense du droit d’auteur et des droits voisins à l’heure où se dessine le cadre d’un marché de l’IA à fort potentiel. Au lendemain de l’adoption du règlement sur l’intelligence artificielle par le Parlement européen et dans l’attente de sa validation formelle par les Etats membres, l’enjeu est désormais de travailler à sa mise en œuvre effective. Nous sommes résolument prêts à participer à toutes réflexions qui permettraient d’éclairer les travaux de la Commission européenne, en particulier sur le format du résumé suffisamment détaillé que les modèles d’IA à usage général seront tenus de fournir sur leurs sources. En effet, nous souhaitons participer à la construction d’un marché de l’IA éthique et compétitif qui pourra s’appuyer sur des solutions de licences adaptées à chaque secteur et permettre aux ayants droit de conserver le contrôle de leurs œuvres et objets protégés dans le contexte de leur usage massif. Comme nous l’avons toujours fait, nous continuerons à embrasser les innovations techniques et les opportunités qui en découlent en tenant compte des réalités économiques de nos partenaires. Organisations ADAGP Société des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques ADAMI Société Civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes AGrAF Auteurs Groupés de l’Animation Française Alliance de la Presse Alliance de la Presse AnimFrance Syndicat exclusivement dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animation API Association des Producteurs Indépendants CEMF Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de France Coalition Française pour la Diversité Culturelle CPE Conseil Permanent des Ecrivains CSDEM Chambre Syndicale de L’Edition Musicale DIRE Distributeurs Indépendants Réunis Européens EIFEIL Fédération des Editeurs Indépendants en France EUROCINEMA Association de Producteurs, de Cinéma et de Télévision F3C-CFDT Fédération Conseil, Communication, Culture – Confédération Française Démocratique du Travail FASAP-FO Fédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse – Force Ouvrière FCCS-CFE-CGC Fédération Culture Communication Spectacle – Confédération Française de l’Encadrement – Confédération Générale des Cadres FFAP Fédération Française des Agences de Presse FNAPPI Fédération Nationale des Agences de Presse Photo et d’Information FNCF Fédération Nationale des Cinémas Français FNEF Fédération Nationale des Editeurs de Films FNPS Fédération nationale de la presse d’information spécialisée GESTE Les Editeurs de Contenus et Services en ligne GNCR Groupement National des Cinémas de Recherche La Charte des Auteurs et Illustrateurs jeunesse LA GAM La Guilde des Artistes de la Musique La Guilde Française des Scénaristes La Maison de Poésie   LAP Ligue des Auteurs Professionnels L’ARP Société Civile des Auteurs, Réalisateurs et Producteurs LES VOIX Association Professionnelles des Comédiens Artistes-Interprètes de la Voix Enregistrée PEN CLUB   PROCIREP Société des Producteurs de Cinéma et de Télévision SACD Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques Sacem Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique SAIF Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe SAJ Société des Auteurs de Jeux SAMVA CFE-CGC Syndicat des Artistes Musiciens de Variétés et Arrangeurs – Confédération Française de l’Encadrement – Confédération Générale des Cadres SAPHIR Syndicat des Agences de Presse Photographiques SAPI Syndicat des Agences de Presse d’Informations SATEV Syndicat des Agences de Presse Audiovisuelles SCA Scénaristes de cinéma associés SCAM Société Civile des Auteurs Multimédia SCPFP Syndicat des Catalogues de Films de Patrimoine SCPP Société Civile des Producteurs Phonographiques SDI Syndicat des Distributeurs Indépendants SDLC Syndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels SEAM Société des Éditeurs et Auteurs de Musique SELF Syndicat des écrivains de langue française SEPM Syndicat des Éditeurs de la Presse Magazine SGDL Société des Gens de Lettres SLF Syndicat de la Librairie Française SMA Syndicat des Musiques Actuelles SN3M-FO Syndicat National des Musiciens et du Monde de la Musique – Force Ouvrière SNAC Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs SNAPSA CFE-CGC Syndicat National des Artistes, des Professions du spectacle et de l’Audiovisuel – Confédération Française de l’Encadrement – Confédération Générale des Cadres SNE Syndicat national de l’Edition SNEP Syndicat National de l’Edition Phonographique SNPEP-FO Syndicat national de la Presse, de l’édition et de la Publicité – Force Ouvrière SOFIA Société Française des Intérêts des Auteurs de l’écrit SPECT Syndicat des Producteurs et Créateurs de Programmes Audiovisuels SPI Syndicat des Producteurs Indépendants SPPF Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France SudAnim Association des Professionnels de l’Animation en région Sud U2C Union des Compositrices et Compositeurs U2R Union des Réalisatrices et des Réalisateurs ULM Union des Librairies Musicales UNAC Union Nationale des Auteurs et Compositeurs UNIFAB Union des Fabricants Union des Poètes et Cie UPAD Union Professionnelle des Auteurs de Doublage UPC Union des Producteurs de Cinéma UPFI Union des Producteurs Phonographiques Français Indépendants UPP Union des Photographes Professionnels USPA Union Syndicale de la Production …

26 mars 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse – Intelligence artificielle générative, ouvrons une discussion collective des bonnes pratiques

Au lendemain des rencontres de Lille consacrées à l’intelligence artificielle, nous voulons saluer à nouveau les avancées du règlement européen (IA Act) qui a consacré la nécessité d’une transparence du recours à l’intelligence artificielle en matière de création audiovisuelle et cinématographique.

Les producteurs indépendants qui innovent au quotidien dans leur travail de création sont conscients des opportunités de l’intelligence artificielle générative comme de la nécessité de réguler ce nouvel outil.

Leur expérience des outils d’IA déjà existants les conforte dans l’idée que l’intelligence artificielle générative ne sera pertinente pour la création audiovisuelle et cinématographique que si elle intègre la diversité de la création européenne. À défaut, c’est un risque d’appauvrissement créatif et culturel qui est à craindre.

Cela ne pourra se faire que dans le respect des lois, du droit d’auteur et de notre régulation culturelle et sociale.

Les engagements de transparence adoptés au sein de l’IA Act sont une première étape indispensable. Outre la question de la rémunération liée au recours à l’intelligence artificielle, de nombreuses questions doivent être envisagées et en premier lieu celle de la responsabilité des différentes parties prenantes. La responsabilité du recours à l’IAG doit être traité vis-à-vis des citoyens, vis-à-vis des ayants droits, vis-à-vis des talents et des professionnels de toute la filière tant par un encadrement juridique approprié que dans le cadre du dialogue social et notamment par la création de formations adaptées.

Le SPI, en accord avec les recommandations de la commission interministérielle de l’intelligence artificielle, appelle auteurs, producteurs, diffuseurs, distributeurs, agents, partenaires sociaux à engager sans attendre un travail autour d’une charte des bonnes pratiques en matière d’intelligence artificielle.

Contact :
Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe
SPI – 4, Cité Griset – 75011 Paris – Tél. : 01 44 70 70 44

Au lendemain des rencontres de Lille consacrées à l’intelligence artificielle, nous voulons saluer à nouveau les avancées du règlement européen (IA Act) qui a consacré la nécessité d’une transparence du recours à l’intelligence artificielle en matière de création audiovisuelle et cinématographique. Les producteurs indépendants qui innovent au quotidien dans leur travail de création sont conscients des opportunités de l’intelligence artificielle générative comme de la nécessité de réguler ce nouvel outil. Leur expérience des outils d’IA déjà existants les conforte dans l’idée que l’intelligence artificielle générative ne sera pertinente pour la création audiovisuelle et cinématographique que si elle intègre la diversité de la création européenne. À défaut, c’est un risque d’appauvrissement créatif et culturel qui est à craindre. Cela ne pourra se faire que dans le respect des lois, du droit d’auteur et de notre régulation culturelle et sociale. Les engagements de transparence adoptés au sein de l’IA Act sont une première étape indispensable. Outre la question de la rémunération liée au recours à l’intelligence artificielle, de nombreuses questions doivent être envisagées et en premier lieu celle de la responsabilité des différentes parties prenantes. La responsabilité du recours à l’IAG doit être traité vis-à-vis des citoyens, vis-à-vis des ayants droits, vis-à-vis des talents et des professionnels de toute la filière tant par un encadrement juridique approprié que dans le cadre du dialogue social et notamment par la création de formations adaptées. Le SPI, en accord avec les recommandations de la commission interministérielle de l’intelligence artificielle, appelle auteurs, producteurs, diffuseurs, distributeurs, agents, partenaires sociaux à engager sans attendre un travail autour d’une charte des bonnes pratiques en matière d’intelligence artificielle. Contact :Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointeSPI – 4, Cité Griset – 75011 Paris – Tél. : 01 44 70 70 …

25 mars 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse – Le SPI est fier et félicite chaleureusement ses adhérents et adhérentes pour leurs prix obtenus au Festival Séries Mania 2024

Nous saluons le travail des producteurs indépendants qui s’attachent sans relâche à porter au plus haut niveau international la création de fiction et à accompagner la jeune génération si nécessaire à la bonne santé de notre filière.

Unité
Rematch

Compétition Internationale – Grand Prix

Créée par Yan England, André Gulluni et Bruno Nahon 
Écrite par André Gulluni et Yan England 
Réalisée par Yan England

Melocoton Films
Ceux qui rougissent

Compétition Formats Courts – Meilleure série

Écrite par Julien Gaspar-Oliveri, Johan Rouveyre et Louise Silverio
Réalisée par Julien Gaspar-Oliveri

Contact :
Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe 
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset – 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Nous saluons le travail des producteurs indépendants qui s’attachent sans relâche à porter au plus haut niveau international la création de fiction et à accompagner la jeune génération si nécessaire à la bonne santé de notre filière. UnitéRematch Compétition Internationale – Grand Prix Créée par Yan England, André Gulluni et Bruno Nahon Écrite par André Gulluni et Yan England Réalisée par Yan England Melocoton FilmsCeux qui rougissent Compétition Formats Courts – Meilleure série Écrite par Julien Gaspar-Oliveri, Johan Rouveyre et Louise SilverioRéalisée par Julien Gaspar-Oliveri Contact : Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset – 75011 Paris – 01 44 70 70 …

25 mars 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI, membre de la CEPI et d’Eurocinema, se félicite de l’adoption hier par le Parlement européen de l’IA act

14 mars 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
César / Berlin : Le SPI est fier et félicite chaleureusement ses membres pour leurs prestigieux prix

28 février 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
200 organisations, dont le SPI, expriment auprès de l’UE leur attachement à la régulation de l’intelligence artificielle et à l’obligation de transparence du recours à l’IA 

Ce courrier est adressé aux différents ambassadeurs des états membres qui composent le conseil de l’Europe pour les appeler à faire preuve de leadership mondial et à approuver la loi sur l’IA lors de la réunion du COREPER (dernière réunion de validation) du 2 février.

Ce courrier est adressé aux différents ambassadeurs des états membres qui composent le conseil de l’Europe pour les appeler à faire preuve de leadership mondial et à approuver la loi sur l’IA lors de la réunion du COREPER (dernière réunion de validation) du 2 février. …

1 février 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI est fier et félicite chaleureusement ses membres lauréats au FIPADOC 2024

29 janvier 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Nominations aux César 2024 : bravo à nos membres !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 39 nominations aux César 2024 !

Anatomie d’une Chute de Justine Triet, produit par Les Films Pelléas :

• Meilleur film

• Meilleure réalisation, Justine Triet  

• Meilleur scénario original, Justine Triet et Arthur Harari

• Meilleure actrice, Sandra Hüller

• Meilleur acteur dans un second rôle, Swann Arlaud

• Meilleur acteur dans un second rôle, Antoine Reinartz

• Meilleure révélation masculine, Milo Machado-Graner

• Meilleur son, Julien Sicart, Fanny Martin, Jeanne Delplancq et Olivier Goinard

• Meilleure photo, Simon Beaufils

• Meilleur montage, Laurent Sénéchal

• Meilleurs décors, Emmanuelle Duplay

Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand, produit par Insolence Productions :

• Meilleur film

• Meilleur premier film

• Meilleur scénario original, Jean-Baptiste Durand

• Meilleure révélation masculine, Raphaël Quenard

• Meilleure actrice dans un second rôle, Galatéa Bellugi

• Meilleur acteur dans un second rôle, Anthony Bajon

• Meilleure musique originale, Delphine Malausséna

Little Girl Blue de Mona Achache, produit par Les Films du Poisson :

• Meilleur film documentaire

• Meilleure actrice, Marion Cotillard

• Meilleur montage, Valérie Loiseleux

Sur l’Adamant de Nicolas Philibert, produit par TS Productions :

• Meilleur film documentaire

Interdit aux chiens et aux italiens d’Alain Ughetto, produit par Les Films du Tambour de Soie et coproduit par Foliascope :

• Meilleur film d’animation

Linda veut du poulet ! de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach, produit par Dolce Vita Films et Miyu Productions :

• Meilleur film d’animation

Mars Express de Jérémie Périn, produit par Everybody On Deck :

• Meilleur film d’animation

Vincent doit Mourir de Stéphan Castang, produit par Capricci et Bobi Lux :

• Meilleur premier film

Le Théorème de Marguerite d’Anna Novion, produit par TS Productions :

• Meilleure révélation féminine, Ella Rumpf

• Meilleure révélation masculine, Julien Frison

Jeanne du Barry de Maïwenn, produit par Why Not Productions :

• Meilleurs costumes, Jürgen Doering

• Meilleurs décors, Angelo Zamparutti

De Grandes Espérances de Sylvain Desclous, produit par Sésame Films :

• Meilleure révélation féminine, Rebecca Marder

Disco Boy de Giacomo Abbruzzese, produit par Films Grand Huit :

• Meilleure musique originale, Vitalic

Acide de Just Philippot, produit par Bonne Pioche Cinéma :

• Meilleurs effets visuels, Thomas Duval

L’acteur, ou la surprenante vertu de l’incompréhension d’Hugo David et Raphaël Quenard, produit par Insolence Productions :

• Meilleur film de court-métrage documentaire

Drôles d’oiseaux de Charlie Belin, produit par Doncvoilà Productions et Camera Lucida Productions :

• Meilleur film de court-métrage d’animation

Été 96 de Mathilde Bédouet, produit par Tita B Productions :

• Meilleur film de court-métrage d’animation

La Forêt de Mademoiselle Tang de Denis Do, produit par Special Touch Studios :

• Meilleur film de court-métrage d’animation

Boléro de Nans Laborde-Jourdaà, produit par Wrong Films :

• Meilleur court métrage de fiction

Les Silencieux de Basile Vuillemin, produit par Blue Hour Films :  

• Meilleur film de court-métrage de fiction

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 39 nominations aux César 2024 ! Anatomie d’une Chute de Justine Triet, produit par Les Films Pelléas : • Meilleur film • Meilleure réalisation, Justine Triet   • Meilleur scénario original, Justine Triet et Arthur Harari • Meilleure actrice, Sandra Hüller • Meilleur acteur dans un second rôle, Swann Arlaud • Meilleur acteur dans un second rôle, Antoine Reinartz • Meilleure révélation masculine, Milo Machado-Graner • Meilleur son, Julien Sicart, Fanny Martin, Jeanne Delplancq et Olivier Goinard • Meilleure photo, Simon Beaufils • Meilleur montage, Laurent Sénéchal • Meilleurs décors, Emmanuelle Duplay Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand, produit par Insolence Productions : • Meilleur film • Meilleur premier film • Meilleur scénario original, Jean-Baptiste Durand • Meilleure révélation masculine, Raphaël Quenard • Meilleure actrice dans un second rôle, Galatéa Bellugi • Meilleur acteur dans un second rôle, Anthony Bajon • Meilleure musique originale, Delphine Malausséna Little Girl Blue de Mona Achache, produit par Les Films du Poisson : • Meilleur film documentaire • Meilleure actrice, Marion Cotillard • Meilleur montage, Valérie Loiseleux Sur l’Adamant de Nicolas Philibert, produit par TS Productions : • Meilleur film documentaire Interdit aux chiens et aux italiens d’Alain Ughetto, produit par Les Films du Tambour de Soie et coproduit par Foliascope : • Meilleur film d’animation Linda veut du poulet ! de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach, produit par Dolce Vita Films et Miyu Productions : • Meilleur film d’animation Mars Express de Jérémie Périn, produit par Everybody On Deck : • Meilleur film d’animation Vincent doit Mourir de Stéphan Castang, produit par Capricci et Bobi Lux : • Meilleur premier film Le Théorème de Marguerite d’Anna Novion, produit par TS Productions : • Meilleure révélation féminine, Ella Rumpf • Meilleure révélation masculine, Julien Frison Jeanne du Barry de Maïwenn, produit par Why Not Productions : • Meilleurs costumes, Jürgen Doering • Meilleurs décors, Angelo Zamparutti De Grandes Espérances de Sylvain Desclous, produit par Sésame Films : • Meilleure révélation féminine, Rebecca Marder Disco Boy de Giacomo Abbruzzese, produit par Films Grand Huit : • Meilleure musique originale, Vitalic Acide de Just Philippot, produit par Bonne Pioche Cinéma : • Meilleurs effets visuels, Thomas Duval L’acteur, ou la surprenante vertu de l’incompréhension d’Hugo David et Raphaël Quenard, produit par Insolence Productions : • Meilleur film de court-métrage documentaire Drôles d’oiseaux de Charlie Belin, produit par Doncvoilà Productions et Camera Lucida Productions : • Meilleur film de court-métrage d’animation Été 96 de Mathilde Bédouet, produit par Tita B Productions : • Meilleur film de court-métrage d’animation La Forêt de Mademoiselle Tang de Denis Do, produit par Special Touch Studios : • Meilleur film de court-métrage d’animation Boléro de Nans Laborde-Jourdaà, produit par Wrong Films : • Meilleur court métrage de fiction Les Silencieux de Basile Vuillemin, produit par Blue Hour Films :   • Meilleur film de court-métrage de …

26 janvier 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Chambres à sous-louer – Clermont-Ferrand – 3 au 8 février 2024

Nous sous-louons 2 chambres dans un appartement d’une rue piétonne du centre historique près de la cathédrale.

  • 1 chambre double (lit double 140×190) du 3 au 8 février.
  • 1 chambre double (lit double 140×200) du 4 au 8 février.

Tarif à négocier

L’appartement familial de 90 m² est composé de :

  • Un grand séjour avec un coin cuisine équipé
  • 3 chambres desservies par un couloir
  • Une salle de bain
  • Wifi | Chauffage | sèche-cheveux
  • Lave-linge et lave-vaisselle

Pour toute information, contacter Jean Charloux : jcharloux@theliving.fr ‭+33 6 70 15 70 49‬.

Nous sous-louons 2 chambres dans un appartement d’une rue piétonne du centre historique près de la cathédrale. 1 chambre double (lit double 140×190) du 3 au 8 février. 1 chambre double (lit double 140×200) du 4 au 8 février. Tarif à négocier L’appartement familial de 90 m² est composé de : Un grand séjour avec un coin cuisine équipé 3 chambres desservies par un couloir Une salle de bain Wifi | Chauffage | sèche-cheveux Lave-linge et lave-vaisselle Pour toute information, contacter Jean Charloux : jcharloux@theliving.fr ‭+33 6 70 15 70 …

23 janvier 2024Annoncesannonces
Communiqué de Presse – Conclusion de l’avenant n°17 à la convention collective nationale de la production audiovisuelle

Dans le cadre du mouvement social que connait le secteur de la production audiovisuelle depuis novembre 2023 et à la suite de la dernière réunion avec les syndicats de salariés représentatifs qui s’est tenue le 10 janvier dernier, les organisations professionnelles de producteurs ont mis à signature un avenant à la convention collective de la production audiovisuelle le 11 janvier dernier.

Cet accord est signé par trois des quatre organisations syndicales de salariés (SNTPCT, SNAJ-CFTC et F3C-CFDT), dont le taux cumulé de représentativité dans la branche atteint 62,3%.

Dès le 1er février 2024, l’accord prévoit une revalorisation de l’ensemble des grilles de salaires minima conventionnels des techniciens de niveaux I à VI de catégorie B engagés en CDD d’usage à hauteur de 5% lorsque ce salaire minimum est égal ou inférieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine et de 3% lorsqu’il est supérieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine. Elles font suite à une revalorisation comprise entre 2,5 et 3,5% des salaires minima conventionnels des techniciens engagés en CDD d’usage intervenue en 2023.

Deux autres revalorisations sont d’ores et déjà garanties au 1er juillet 2024 puis au 1er juillet 2025, pour les fonctions spécifiques à la fiction et au flux.

Aux termes de ces revalorisations, les rémunérations des salariés engagés en CDD d’usage pour les œuvres de fiction, dont le salaire minimum est égal ou inférieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine, seront revalorisées de 10% et de près de 6% pour ceux dont le salaire minimum est supérieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine.

En parallèle, l’accord acte un calendrier resserré de négociations pour l’année 2024 sur la distinction des genres de programmes audiovisuels, la définition d’une liste de fonctions propres à chacun d’entre eux et sur certaines thématiques de la convention collective telles que la durée du travail.

Les organisations professionnelles de producteurs saluent cette issue favorable du dialogue social et poursuivront leur travail en commun avec les représentants des salariés afin de parvenir, par la voie de la négociation collective, à faire évoluer la convention collective dans les prochains mois.

Dans le cadre du mouvement social que connait le secteur de la production audiovisuelle depuis novembre 2023 et à la suite de la dernière réunion avec les syndicats de salariés représentatifs qui s’est tenue le 10 janvier dernier, les organisations professionnelles de producteurs ont mis à signature un avenant à la convention collective de la production audiovisuelle le 11 janvier dernier. Cet accord est signé par trois des quatre organisations syndicales de salariés (SNTPCT, SNAJ-CFTC et F3C-CFDT), dont le taux cumulé de représentativité dans la branche atteint 62,3%. Dès le 1er février 2024, l’accord prévoit une revalorisation de l’ensemble des grilles de salaires minima conventionnels des techniciens de niveaux I à VI de catégorie B engagés en CDD d’usage à hauteur de 5% lorsque ce salaire minimum est égal ou inférieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine et de 3% lorsqu’il est supérieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine. Elles font suite à une revalorisation comprise entre 2,5 et 3,5% des salaires minima conventionnels des techniciens engagés en CDD d’usage intervenue en 2023. Deux autres revalorisations sont d’ores et déjà garanties au 1er juillet 2024 puis au 1er juillet 2025, pour les fonctions spécifiques à la fiction et au flux. Aux termes de ces revalorisations, les rémunérations des salariés engagés en CDD d’usage pour les œuvres de fiction, dont le salaire minimum est égal ou inférieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine, seront revalorisées de 10% et de près de 6% pour ceux dont le salaire minimum est supérieur à 1 100 euros pour 35 heures/semaine. En parallèle, l’accord acte un calendrier resserré de négociations pour l’année 2024 sur la distinction des genres de programmes audiovisuels, la définition d’une liste de fonctions propres à chacun d’entre eux et sur certaines thématiques de la convention collective telles que la durée du travail. Les organisations professionnelles de producteurs saluent cette issue favorable du dialogue social et poursuivront leur travail en commun avec les représentants des salariés afin de parvenir, par la voie de la négociation collective, à faire évoluer la convention collective dans les prochains …

19 janvier 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Clermont-Ferrand 2024 : voici les films de nos membres sélectionnés !

Le SPI félicite et souhaite bonne chance à ses membres sélectionnés au Festival International du court métrage de Clermont-Ferrand.

COMPÉTITION NATIONALE

27 de Flóra Anna Buda – Miyu Productions

Apnées de Nicolas Panay – Les Films Norfolk

Après l’aurore de Yohann Kouam – Alta Rocca Films

Avec l’humanité qui convient de Kacper Checinski – Takami Productions

Crave (Sève) de Mark Middlewick – Jabu Jabu

Dans la tête un orage de Clément Pérot – Jonas Films

Et si le soleil plongeait dans l’océan des nues de Wissam Charaf –Aurora Films

Father’s letters (lettres du père) d’Alexey Evstigneev – Moderato

Hiver de Jean-Benoît Ugeux – Piano Sano Films

Ici en silence tout hurle de Akaki Popkhadze – Piano Sano Films

L’âge acrobatique de Mathieu Barbet – Pictor

L’envoûtement de Nicolas Giuliani– Les Films Hatari

Maurice’s Bar de Tom Prezman et Tzor Edery– Sacrebleu Productions

Na Marei (L’Invinsible) de Léa-Jade Horlier– Piano Sano Films

Nothing Special (Rien de Spécial) de Efrat Berger– Ikki Films

Pavane de Pauline Gay– The Living

Pleure pas Gabriel de Mathilde Chavanne– Apaches Films

Qu’importe la distance de Léo Fontaine– Offshore

Queen Size de Avril Besson – Topshot Films

Rentrons de Nasser Bessalah – Les Valseurs

Supernova de Leslie LagierTripode Productions

There is no friend’s house (où est mon amie ?) de Abbad TaheriEnvie de Tempête

Toute sortie est définitive de Frédéric Bélier-GarciaFolle Allure

Vamnora (Allons-Y !) de Laurier Fourniau– Paraiso Production

COMPÉTITION INTERNATIONALE

Avec l’humanité qui convient de Kacper Checinski – Takami Productions

Beutiful Men de Nicolas Keppens – Miyu Productions

Une orange de Jaffa de Mohammed Almughanni – Synecdoche

COMPÉTITION LABO

Miserable Miracle de Ryo Orikasa – Miyu Productions

Via Dolorosa de Rachel Gutgarts – Miyu Productions

Le SPI félicite et souhaite bonne chance à ses membres sélectionnés au Festival International du court métrage de Clermont-Ferrand. COMPÉTITION NATIONALE 27 de Flóra Anna Buda – Miyu Productions Apnées de Nicolas Panay – Les Films Norfolk Après l’aurore de Yohann Kouam – Alta Rocca Films Avec l’humanité qui convient de Kacper Checinski – Takami Productions Crave (Sève) de Mark Middlewick – Jabu Jabu Dans la tête un orage de Clément Pérot – Jonas Films Et si le soleil plongeait dans l’océan des nues de Wissam Charaf –Aurora Films Father’s letters (lettres du père) d’Alexey Evstigneev – Moderato Hiver de Jean-Benoît Ugeux – Piano Sano Films Ici en silence tout hurle de Akaki Popkhadze – Piano Sano Films L’âge acrobatique de Mathieu Barbet – Pictor L’envoûtement de Nicolas Giuliani– Les Films Hatari Maurice’s Bar de Tom Prezman et Tzor Edery– Sacrebleu Productions Na Marei (L’Invinsible) de Léa-Jade Horlier– Piano Sano Films Nothing Special (Rien de Spécial) de Efrat Berger– Ikki Films Pavane de Pauline Gay– The Living Pleure pas Gabriel de Mathilde Chavanne– Apaches Films Qu’importe la distance de Léo Fontaine– Offshore Queen Size de Avril Besson – Topshot Films Rentrons de Nasser Bessalah – Les Valseurs Supernova de Leslie Lagier – Tripode Productions There is no friend’s house (où est mon amie ?) de Abbad Taheri – Envie de Tempête Toute sortie est définitive de Frédéric Bélier-Garcia – Folle Allure Vamnora (Allons-Y !) de Laurier Fourniau– Paraiso Production COMPÉTITION INTERNATIONALE Avec l’humanité qui convient de Kacper Checinski – Takami Productions Beutiful Men de Nicolas Keppens – Miyu Productions Une orange de Jaffa de Mohammed Almughanni – Synecdoche COMPÉTITION LABO Miserable Miracle de Ryo Orikasa – Miyu Productions Via Dolorosa de Rachel Gutgarts – Miyu …

17 janvier 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse – Nomination de Madame Rachida Dati

Le Syndicat des producteurs indépendants et ses 500 sociétés de production adhérentes souhaitent la bienvenue à Madame Rachida Dati dans ses nouvelles fonctions pour défendre à leurs côtés une création audiovisuelle et cinématographique indépendante, diverse et libre. 

Nous remercions Madame Rima Adbul Malak pour le travail accompli au cours des deux dernières années et pour son engagement à défendre l’exception culturelle qui fut attaquée très fortement au niveau européen. Sur ce point, nous saluons la promesse faite par Madame Rachida Dati lors de son discours de passation du 12 janvier dernier, de défendre avec énergie ce bien commun.

Nous appelons de nos vœux le déploiement d’une politique culturelle ambitieuse, seule capable de répondre aux grands enjeux de nos secteurs notamment ceux liés aux garanties de transparence et de protection opérationnelle des ayants droit dans le recours à l’intelligence artificielle générative. C’est un défi majeur pour la préservation de notre patrimoine audiovisuel et cinématographique. C’est la garantie de son avenir : le réinvestissement et le renouveau d’un écosystème créatif et professionnel reconnu et envié dans le monde. Nous réaffirmons également notre attachement à un audiovisuel public fort, consubstantiel à une création française diverse et dynamique.

Les productrices et les producteurs du SPI travaillent, inlassablement, partout en métropole et en outre-mer, à offrir au plus grand nombre une création riche de la diversité de ses regards. Pour cela, elles, ils ont construit depuis des années un partenariat fort et évolutif avec les auteurs, les artistes, les techniciens et diffuseurs historiques ainsi qu’avec les nouveaux acteurs du numérique.

Cet écosystème est à la fois fragile et très performant. Il repose sur une politique culturelle puissante et audacieuse, sans cesse défendue avec le ministère de la culture. Pour ces raisons les producteurs et productrices du SPI seront à ses côtés afin de faire rayonner la création indépendante et la culture française sur les écrans du monde entier.

Contact Presse :
Sébastien Colin – Délégué général – 01 44 70 70 44

Le Syndicat des producteurs indépendants et ses 500 sociétés de production adhérentes souhaitent la bienvenue à Madame Rachida Dati dans ses nouvelles fonctions pour défendre à leurs côtés une création audiovisuelle et cinématographique indépendante, diverse et libre.  Nous remercions Madame Rima Adbul Malak pour le travail accompli au cours des deux dernières années et pour son engagement à défendre l’exception culturelle qui fut attaquée très fortement au niveau européen. Sur ce point, nous saluons la promesse faite par Madame Rachida Dati lors de son discours de passation du 12 janvier dernier, de défendre avec énergie ce bien commun. Nous appelons de nos vœux le déploiement d’une politique culturelle ambitieuse, seule capable de répondre aux grands enjeux de nos secteurs notamment ceux liés aux garanties de transparence et de protection opérationnelle des ayants droit dans le recours à l’intelligence artificielle générative. C’est un défi majeur pour la préservation de notre patrimoine audiovisuel et cinématographique. C’est la garantie de son avenir : le réinvestissement et le renouveau d’un écosystème créatif et professionnel reconnu et envié dans le monde. Nous réaffirmons également notre attachement à un audiovisuel public fort, consubstantiel à une création française diverse et dynamique. Les productrices et les producteurs du SPI travaillent, inlassablement, partout en métropole et en outre-mer, à offrir au plus grand nombre une création riche de la diversité de ses regards. Pour cela, elles, ils ont construit depuis des années un partenariat fort et évolutif avec les auteurs, les artistes, les techniciens et diffuseurs historiques ainsi qu’avec les nouveaux acteurs du numérique. Cet écosystème est à la fois fragile et très performant. Il repose sur une politique culturelle puissante et audacieuse, sans cesse défendue avec le ministère de la culture. Pour ces raisons les producteurs et productrices du SPI seront à ses côtés afin de faire rayonner la création indépendante et la culture française sur les écrans du monde entier. Contact Presse :Sébastien Colin – Délégué général – 01 44 70 70 …

15 janvier 2024Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche bureaux à louer

Nous recherchons de nouveaux locaux, précisément 3 bureaux, dont 1 pour une salle de montage + espaces à partager : salle de réunion et/ou cuisine. Sur Paris Nord-Est (10e, 11, 18e, 19e et 20e) ou toute proche banlieue (Pantin, Aubervilliers). Nous devons avoir quitté nos locaux actuels entre février et cet été.

Vincent (Look at sciences)

vincent@lookatsciences.com / 06 60 42 56 22

Nous recherchons de nouveaux locaux, précisément 3 bureaux, dont 1 pour une salle de montage + espaces à partager : salle de réunion et/ou cuisine. Sur Paris Nord-Est (10e, 11, 18e, 19e et 20e) ou toute proche banlieue (Pantin, Aubervilliers). Nous devons avoir quitté nos locaux actuels entre février et cet été. Vincent (Look at sciences) vincent@lookatsciences.com / 06 60 42 56 …

10 janvier 2024Annoncesannonces
A vendre – Société de production audiovisuelle – Riddim Productions

RIDDIM PRODUCTION est une société de production audiovisuelle qui produit principalement des documentaires pour la télévision, dont une majorité sur l’outremer :  www.riddimproduction.com

Nous disposons d’un catalogue d’une soixantaine de documentaires et un compte automatique de soutien au CNC d’environ 300 000 €.

Pour d’avantage d’infos, merci de nous contacter ici :

contact@riddimproduction.com

RIDDIM PRODUCTION est une société de production audiovisuelle qui produit principalement des documentaires pour la télévision, dont une majorité sur l’outremer :  www.riddimproduction.com Nous disposons d’un catalogue d’une soixantaine de documentaires et un compte automatique de soutien au CNC d’environ 300 000 €. Pour d’avantage d’infos, merci de nous contacter ici : …

26 décembre 2023Annoncesannonces
Communiqué de Presse – France Télévisions, La Guilde des Scénaristes, La SACD, Le SPI, l’USPA et U2R étendent les dispositions de la Charte relative au développement de la Fiction à l’ensemble des Fictions de France Télévisions

Dans le prolongement de la Charte de développement de la fiction signée en 2011, France Télévisions, la Guilde française des scénaristes, la SACD, le SPI, l’USPA et U2R ont signé en 2017 une Annexe à la Charte relative au développement de la fiction, avec pour objectif de développer davantage de projets de séries. Cette Charte témoignait de la volonté commune des auteurs (scénaristes et réalisateurs), des producteurs et de France Télévisions d’œuvrer en faveur d’une fiction française diverse, originale et de qualité.

Pour y parvenir, la Charte met en place une procédure précise et formalisée d’accueil et de développement des projets, unique dans le paysage audiovisuel, favorisant le dialogue entre France Télévisions, les auteurs et les producteurs tout en assouplissant les processus de développement.

Son objectif est de favoriser le développement de davantage de projets et d’accompagner ainsi l’ambition de France Télévisions dans la mise en œuvre de son « Plan création » dont la fiction représente un pan essentiel.

La Charte a permis à la fiction de France Télévisions de se renouveler profondément depuis 2017, et de rencontrer de nombreux succès.

Afin de soutenir France Télévisions dans sa politique volontariste de développement d’une offre de programmes nouvelle, notamment destinée aux publics jeunes, France Télévisions, la Guilde française des scénaristes, la SACD, le SPI, l’USPA et l’U2R ont souhaité conjointement étendre le dispositif de la Charte à l’ensemble des fictions préfinancées par France Télévisions : coproductions internationales, fictions jeunes adultes, fictions jeunesse.

Par ailleurs, la Charte prévoit désormais que les développements financés par France Télévisions qui n’auraient pas été mis en production peuvent être cédés à un diffuseur tiers, avec remboursement, au 1er jour de tournage, à France Télévisions des sommes qu’elle a investies.

La signature de cette nouvelle Annexe à la Charte du développement de la fiction impliquant les auteurs, les producteurs et France Télévisions -qui représente aujourd’hui plus de 50% des investissements dans la création française- est une chance pour renforcer le dynamisme et le renouveau de la création, augmenter le volume de la production et l’emploi dans le secteur, accélérer la diversification de la fiction et accompagner les talents.

Contacts presse :

France Télévisions : Muriel Attal / muriel.attal@francetv.fr / 01 56 22 67 09 
et Jennifer Armand / jennifer.armand@francetv.fr / 01 56 22 23 53

Guilde française des scénaristes : Camille Bouvelot / camille.bouvelot@guildedesscenaristes.org / 06 48 25 97 25

SACD :  Chloé Rayneau / chloe.rayneau@sacd.fr / 06 85 12 29 59

SPI : Emmanuelle Mauger / emauger@lespi.org / 01 44 70 70 44

USPA : Stéphane Le Bars / s.lebars@uspa.fr / 06 60 23 53 96

U2R : Dominique Attal/ contactu2r@orange.fr  /01 42 50 64 30 / 06 07 78 97 60

Dans le prolongement de la Charte de développement de la fiction signée en 2011, France Télévisions, la Guilde française des scénaristes, la SACD, le SPI, l’USPA et U2R ont signé en 2017 une Annexe à la Charte relative au développement de la fiction, avec pour objectif de développer davantage de projets de séries. Cette Charte témoignait de la volonté commune des auteurs (scénaristes et réalisateurs), des producteurs et de France Télévisions d’œuvrer en faveur d’une fiction française diverse, originale et de qualité. Pour y parvenir, la Charte met en place une procédure précise et formalisée d’accueil et de développement des projets, unique dans le paysage audiovisuel, favorisant le dialogue entre France Télévisions, les auteurs et les producteurs tout en assouplissant les processus de développement. Son objectif est de favoriser le développement de davantage de projets et d’accompagner ainsi l’ambition de France Télévisions dans la mise en œuvre de son « Plan création » dont la fiction représente un pan essentiel. La Charte a permis à la fiction de France Télévisions de se renouveler profondément depuis 2017, et de rencontrer de nombreux succès. Afin de soutenir France Télévisions dans sa politique volontariste de développement d’une offre de programmes nouvelle, notamment destinée aux publics jeunes, France Télévisions, la Guilde française des scénaristes, la SACD, le SPI, l’USPA et l’U2R ont souhaité conjointement étendre le dispositif de la Charte à l’ensemble des fictions préfinancées par France Télévisions : coproductions internationales, fictions jeunes adultes, fictions jeunesse. Par ailleurs, la Charte prévoit désormais que les développements financés par France Télévisions qui n’auraient pas été mis en production peuvent être cédés à un diffuseur tiers, avec remboursement, au 1er jour de tournage, à France Télévisions des sommes qu’elle a investies. La signature de cette nouvelle Annexe à la Charte du développement de la fiction impliquant les auteurs, les producteurs et France Télévisions -qui représente aujourd’hui plus de 50% des investissements dans la création française- est une chance pour renforcer le dynamisme et le renouveau de la création, augmenter le volume de la production et l’emploi dans le secteur, accélérer la diversification de la fiction et accompagner les talents. Contacts presse : France Télévisions : Muriel Attal / muriel.attal@francetv.fr / 01 56 22 67 09 et Jennifer Armand / jennifer.armand@francetv.fr / 01 56 22 23 53 Guilde française des scénaristes : Camille Bouvelot / camille.bouvelot@guildedesscenaristes.org / 06 48 25 97 25 SACD :  Chloé Rayneau / chloe.rayneau@sacd.fr / 06 85 12 29 59 SPI : Emmanuelle Mauger / emauger@lespi.org / 01 44 70 70 44 USPA : Stéphane Le Bars / s.lebars@uspa.fr / 06 60 23 53 96 U2R : Dominique Attal/ contactu2r@orange.fr  /01 42 50 64 30 / 06 07 78 97 …

20 décembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Règlement Géoblocage : les producteurs indépendants saluent le vote des parlementaires européens.

Les producteurs indépendants saluent le vote des parlementaires européens qui ont réaffirmé l’exception culturelle et la territorialité des droits audiovisuels et cinématographiques en Europe.

Après plus de trois mois d’une puissante et retentissante mobilisation de l’ensemble de la filière, le Parlement européen a voté en faveur de la territorialité des droits audiovisuels. Ce mercredi 13 décembre, lors de l’adoption du rapport d’initiative sur la mise en œuvre du Règlement sur le Géoblocage, les députés européens se sont rangés du côté de la culture en écartant la tentative d’intégration du secteur audiovisuel dans son champ d’application.

Le SPI se réjouit du résultat du vote du Parlement qui envoie un message politique fort en direction de la prochaine Commission européenne. La fin du Géoblocage, et par conséquent, celle de l’exclusivité territoriale des droits, aurait des conséquences économiques désastreuses sur le financement des œuvres et la diversité culturelle européenne, les Parlementaires l’ont compris.

Nous saluons le rôle essentiel de l’ensemble des parlementaires qui ont œuvré pour maintenir les services audiovisuels hors du champ du Règlement et tout particulièrement M. Geoffroy Didier, M. Emmanuel Maurel et Mme Laurence Farreng.

Le SPI remercie infiniment l’ensemble de ses adhérents et les cinéastes qui se sont fortement mobilisés, et plus particulièrement M. David Thion producteur d’« Anatomie d’une chute » qui a su porter la voix des producteurs dans son discours aux European Film Awards, M. Simon Arnal producteur de « Perfect days » et M. Wim Wenders pour son intervention auprès des parlementaires allemands.

Producteurs, cinéastes, distributeurs, vendeurs internationaux, exploitants, diffuseurs. Tous se sont battus pour la défense de la création. La solidarité et l’unité des professionnels des industries culturelles a été fructueuse et montre la force de notre secteur.

La SPI restera particulièrement vigilant sur la mise en œuvre du programme de travail de la prochaine Commission européenne et apportera tout soutien à la défense de la création indépendante et de la diversité en Europe. 

Contact Presse :
Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe – 01 44 70 70 44

Les producteurs indépendants saluent le vote des parlementaires européens qui ont réaffirmé l’exception culturelle et la territorialité des droits audiovisuels et cinématographiques en Europe. Après plus de trois mois d’une puissante et retentissante mobilisation de l’ensemble de la filière, le Parlement européen a voté en faveur de la territorialité des droits audiovisuels. Ce mercredi 13 décembre, lors de l’adoption du rapport d’initiative sur la mise en œuvre du Règlement sur le Géoblocage, les députés européens se sont rangés du côté de la culture en écartant la tentative d’intégration du secteur audiovisuel dans son champ d’application. Le SPI se réjouit du résultat du vote du Parlement qui envoie un message politique fort en direction de la prochaine Commission européenne. La fin du Géoblocage, et par conséquent, celle de l’exclusivité territoriale des droits, aurait des conséquences économiques désastreuses sur le financement des œuvres et la diversité culturelle européenne, les Parlementaires l’ont compris. Nous saluons le rôle essentiel de l’ensemble des parlementaires qui ont œuvré pour maintenir les services audiovisuels hors du champ du Règlement et tout particulièrement M. Geoffroy Didier, M. Emmanuel Maurel et Mme Laurence Farreng. Le SPI remercie infiniment l’ensemble de ses adhérents et les cinéastes qui se sont fortement mobilisés, et plus particulièrement M. David Thion producteur d’« Anatomie d’une chute » qui a su porter la voix des producteurs dans son discours aux European Film Awards, M. Simon Arnal producteur de « Perfect days » et M. Wim Wenders pour son intervention auprès des parlementaires allemands. Producteurs, cinéastes, distributeurs, vendeurs internationaux, exploitants, diffuseurs. Tous se sont battus pour la défense de la création. La solidarité et l’unité des professionnels des industries culturelles a été fructueuse et montre la force de notre secteur. La SPI restera particulièrement vigilant sur la mise en œuvre du programme de travail de la prochaine Commission européenne et apportera tout soutien à la défense de la création indépendante et de la diversité en Europe.  Contact Presse :Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe – 01 44 70 70 …

15 décembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse des syndicats de producteurs audiovisuels

Paris, le 14 décembre 2023

COMMUNIQUE DE PRESSE

Les organisations de producteurs (SATEV, SPECT, SPI et USPA) ont reçu le 12 décembre les organisations de salariés dans le cadre de la réouverture de la négociation annuelle des salaires minima conventionnels dans la production audiovisuelle.

Malgré les cinq réunions tenues en trois semaines au cours desquelles les organisations de producteurs ont rapidement présenté des propositions et cherché des pistes de travail pour résoudre le conflit, les organisations de salariés ont fermé la porte à toute négociation.

Le dialogue social est donc aujourd’hui dans une impasse.

Le découplage des grilles de fonctions et de salaires pour chacune des branches d’activité de la convention collective (fiction, flux, documentaire, captation de spectacle vivant), qui répondent à des réalités économiques différentes et complexes, est la seule voie qui permet de structurer la convention collective de façon pérenne et de répondre rapidement aux revendications exprimées par les salariés.

Après les ouvertures formalisées par certaines organisations le 7 décembre, les revirements de position exprimés en séance mardi dernier ferment la porte à ce découplage et à la prise en compte de l’impact de l’inflation plus significatif sur les plus bas salaires. Ils anéantissent les travaux des organisations de producteurs visant à proposer des revalorisations supplémentaires destinées d’une part aux salariés travaillant pour la fiction et d’autre part à ceux travaillant pour les programmes de flux.

Pour rappel, les propositions déjà mises sur la table par les organisations de producteurs et qui s’appliqueraient à partir de 2024 représentent :

  • Pour la fiction, des augmentations des minimas conventionnels comprises entre 163 et 484 euros par mois (base 39h).
  • Pour les autres genres, des augmentations des minimas conventionnels comprises entre 107 et 379 euros par mois (base 39h).

Celles-ci s’ajoutent aux augmentations des salaires minima d’ores et déjà opérés en 2023, allant de 75 euros à 393 euros par mois, suite à un accord avec la CFDT, le SNTPCT et la CFTC.

L’USPA, le SPI, le SATEV et le SPECT ne peuvent plus accepter une communication qui tend à faire croire qu’ils ne font aucune proposition dans ces négociations afin de mieux bloquer les plateaux de tournage. Ils attendent des organisations de salariés une négociation sur des bases qui soient autre chose que des slogans de tribune irréalistes.

Paris, le 14 décembre 2023 COMMUNIQUE DE PRESSE Les organisations de producteurs (SATEV, SPECT, SPI et USPA) ont reçu le 12 décembre les organisations de salariés dans le cadre de la réouverture de la négociation annuelle des salaires minima conventionnels dans la production audiovisuelle. Malgré les cinq réunions tenues en trois semaines au cours desquelles les organisations de producteurs ont rapidement présenté des propositions et cherché des pistes de travail pour résoudre le conflit, les organisations de salariés ont fermé la porte à toute négociation. Le dialogue social est donc aujourd’hui dans une impasse. Le découplage des grilles de fonctions et de salaires pour chacune des branches d’activité de la convention collective (fiction, flux, documentaire, captation de spectacle vivant), qui répondent à des réalités économiques différentes et complexes, est la seule voie qui permet de structurer la convention collective de façon pérenne et de répondre rapidement aux revendications exprimées par les salariés. Après les ouvertures formalisées par certaines organisations le 7 décembre, les revirements de position exprimés en séance mardi dernier ferment la porte à ce découplage et à la prise en compte de l’impact de l’inflation plus significatif sur les plus bas salaires. Ils anéantissent les travaux des organisations de producteurs visant à proposer des revalorisations supplémentaires destinées d’une part aux salariés travaillant pour la fiction et d’autre part à ceux travaillant pour les programmes de flux. Pour rappel, les propositions déjà mises sur la table par les organisations de producteurs et qui s’appliqueraient à partir de 2024 représentent : Celles-ci s’ajoutent aux augmentations des salaires minima d’ores et déjà opérés en 2023, allant de 75 euros à 393 euros par mois, suite à un accord avec la CFDT, le SNTPCT et la CFTC. L’USPA, le SPI, le SATEV et le SPECT ne peuvent plus accepter une communication qui tend à faire croire qu’ils ne font aucune proposition dans ces négociations afin de mieux bloquer les plateaux de tournage. Ils attendent des organisations de salariés une négociation sur des bases qui soient autre chose que des slogans de tribune …

14 décembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Prix du Producteur Procirep 2023 – Le SPI félicite chaleureusement 13 Prods et Tchack

A l’occasion de la cérémonie de remise des 29ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 11 décembre 2023,

le Syndicat des Producteurs Indépendants
est fier et félicite très chaleureusement

13 PRODS

POUR LE PRIX PROCIREP DU
PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE

Cyrille Perez – Gilles Perez – Dominique Monteiro
Claire Feinstein – Chantal Fischer – Justine Perez

***

TCHACK

POUR LE PRIX PROCIREP DU
PRODUCTEUR FRANÇAIS D’ANIMATION

Matthieu Liégois

Ces prix récompensent les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, l’audace et l’engagement des producteurs délégués au travers des projets de proximité mais également à dimension internationale. Ils représentent tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante.

Le SPI félicite également tous les nommés à la 29ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée.

Contact Presse :
Sébastien Colin – 01 44 70 70 44

A l’occasion de la cérémonie de remise des 29ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 11 décembre 2023, le Syndicat des Producteurs Indépendantsest fier et félicite très chaleureusement 13 PRODS POUR LE PRIX PROCIREP DUPRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE Cyrille Perez – Gilles Perez – Dominique MonteiroClaire Feinstein – Chantal Fischer – Justine Perez *** TCHACK POUR LE PRIX PROCIREP DUPRODUCTEUR FRANÇAIS D’ANIMATION Matthieu Liégois Ces prix récompensent les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, l’audace et l’engagement des producteurs délégués au travers des projets de proximité mais également à dimension internationale. Ils représentent tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante. Le SPI félicite également tous les nommés à la 29ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée. Contact Presse :Sébastien Colin – 01 44 70 70 …

12 décembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse des syndicats de producteurs audiovisuels

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Les organisations de producteurs (SATEV, SPECT, SPI et USPA) ont reçu les 15 et 30 novembre les organisations de salariés dans le cadre de la réouverture de la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle.

Dans le cadre de cette seconde réunion, les organisations de producteurs ont proposé une revalorisation générale des salaires au 1er janvier 2024, qui fait suite à deux revalorisations intervenues au 1er janvier et 1er juillet 2023, de :

  • + 5 % sur l’ensemble des salaires minima des salariés de catégorie B engagés sous contrat de travail à durée déterminée d’usage (CDDU) dont le montant du salaire minimum hebdomadaire défini pour 35 heures de travail effectif est inférieur ou égal à 1.000,00 euros bruts par semaine ;
  • + 3 % sur l’ensemble des salaires minima des salariés de catégorie B engagés sous contrat de travail à durée déterminée d’usage (CDDU)dont le montant du salaire minimum hebdomadaire défini pour 35 heures de travail effectif est supérieur à 1.000,00 euros bruts par semaine.

Par ailleurs, les organisations de producteurs ont proposé aux syndicats de salariés d’entamer des négociations propres à la fiction dès le 7 décembre prochain, dans le cadre de la mise en place de grilles de fonctions et de salaires pour chacune des branches d’activité relevant de la convention collective de la production audiovisuelle.

Dans son communiqué en date du 2 décembre 2023, faisant suite à la réunion de négociations du 30 novembre dernier, le SNTPCT demande « instamment une réunion d’urgence dès le lundi 4 décembre 2023 », afin d’entamer ces négociations propres à la fiction.

Les syndicats de producteurs réitèrent leur volonté de parvenir par la négociation à sortir de cette situation et ont donc décidé de répondre favorablement à cette demande.

Ils proposent aux organisations de salariés de se retrouver le 4 décembre à 17h00 pour entamer une discussion relative à la fiction, qui devra prendre en compte la diversité de celle-ci (des séries quotidiennes ou numériques aux séries et unitaires pour les plateformes étrangères en passant par la fiction pour le prime des éditeurs français). Cette seconde phase des négociations aura pour objet d’établir un calendrier de travail et de définir les modalités d’une revalorisation complémentaire propre au genre.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Les organisations de producteurs (SATEV, SPECT, SPI et USPA) ont reçu les 15 et 30 novembre les organisations de salariés dans le cadre de la réouverture de la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle. Dans le cadre de cette seconde réunion, les organisations de producteurs ont proposé une revalorisation générale des salaires au 1er janvier 2024, qui fait suite à deux revalorisations intervenues au 1er janvier et 1er juillet 2023, de : Par ailleurs, les organisations de producteurs ont proposé aux syndicats de salariés d’entamer des négociations propres à la fiction dès le 7 décembre prochain, dans le cadre de la mise en place de grilles de fonctions et de salaires pour chacune des branches d’activité relevant de la convention collective de la production audiovisuelle. Dans son communiqué en date du 2 décembre 2023, faisant suite à la réunion de négociations du 30 novembre dernier, le SNTPCT demande « instamment une réunion d’urgence dès le lundi 4 décembre 2023 », afin d’entamer ces négociations propres à la fiction. Les syndicats de producteurs réitèrent leur volonté de parvenir par la négociation à sortir de cette situation et ont donc décidé de répondre favorablement à cette demande. Ils proposent aux organisations de salariés de se retrouver le 4 décembre à 17h00 pour entamer une discussion relative à la fiction, qui devra prendre en compte la diversité de celle-ci (des séries quotidiennes ou numériques aux séries et unitaires pour les plateformes étrangères en passant par la fiction pour le prime des éditeurs français). Cette seconde phase des négociations aura pour objet d’établir un calendrier de travail et de définir les modalités d’une revalorisation complémentaire propre au …

4 décembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse des syndicats de producteurs audiovisuels

Paris, le 30 novembre 2023

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Les organisations de producteurs (SATEV, SPECT, SPI et USPA) ont reçu ce jour, jeudi 30 novembre, les organisations de salariés dans le cadre de la réouverture de la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle.

Aux termes des échanges, elles ont proposé une revalorisation générale des salaires au 1er janvier 2024 de :

  • + 5 % sur l’ensemble des salaires minima des salariés de catégorie B engagés sous contrat de travail à durée déterminée d’usage (CDDU) dont le montant du salaire minimum hebdomadaire défini pour 35 heures de travail effectif est inférieur ou égal à 1.000,00 euros bruts par semaine ;
  • + 3 % sur l’ensemble des salaires minima des salariés de catégorie B engagés sous contrat de travail à durée déterminée d’usage (CDDU)dont le montant du salaire minimum hebdomadaire défini pour 35 heures de travail effectif est supérieur à 1.000,00 euros bruts par semaine.

En tenant compte des revalorisations intervenues au 1er janvier 2023 et 1er juillet 2023, les minima salariaux auront donc progressé de :

  • + 8,7 % sur l’ensemble des salaires minima des salariés de catégorie B engagés sous contrat de travail à durée déterminée d’usage (CDDU) dont le montant du salaire minimum hebdomadaire défini pour 35 heures de travail effectif est inférieur ou égal à 1.000,00 euros bruts par semaine ;
  • + 5,6 % sur l’ensemble des salaires minima des salariés de catégorie B engagés sous contrat de travail à durée déterminée d’usage (CDDU)dont le montant du salaire minimum hebdomadaire défini pour 35 heures de travail effectif est supérieur à 1.000,00 euros bruts par semaine.

Les organisations de producteurs ont réaffirmé la nécessité de travailler avec les organisations de salariés à la mise en place de grilles de fonctions et de salaires propres à chacune des branches d’activité relevant aujourd’hui de la convention collective de la production audiovisuelle : fiction, documentaire, flux et captation de spectacle vivant.

Ces différents genres répondent à des modèles économiques, des métiers, des tailles d’équipe et des modalités d’organisation du travail très différents les uns des autres.

Si ce principe est accepté par les organisations de salariés, cela permettra aux organisations de producteurs de proposer rapidement une revalorisation complémentaire pour les techniciens travaillant en fiction.

Les organisations de producteurs ont proposé aux syndicats de salariés d’entamer ces négociations propres à la fiction dès le 7 décembre prochain. Elles s’engagent à établir un calendrier contraint avec une date butoir de négociations. Dans ce cadre, outre la revalorisation des salaires, elles proposent de définir des thèmes de négociation pour faire évoluer la convention collective sur un certain nombre de sujets.

Paris, le 30 novembre 2023 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Les organisations de producteurs (SATEV, SPECT, SPI et USPA) ont reçu ce jour, jeudi 30 novembre, les organisations de salariés dans le cadre de la réouverture de la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle. Aux termes des échanges, elles ont proposé une revalorisation générale des salaires au 1er janvier 2024 de : En tenant compte des revalorisations intervenues au 1er janvier 2023 et 1er juillet 2023, les minima salariaux auront donc progressé de : Les organisations de producteurs ont réaffirmé la nécessité de travailler avec les organisations de salariés à la mise en place de grilles de fonctions et de salaires propres à chacune des branches d’activité relevant aujourd’hui de la convention collective de la production audiovisuelle : fiction, documentaire, flux et captation de spectacle vivant. Ces différents genres répondent à des modèles économiques, des métiers, des tailles d’équipe et des modalités d’organisation du travail très différents les uns des autres. Si ce principe est accepté par les organisations de salariés, cela permettra aux organisations de producteurs de proposer rapidement une revalorisation complémentaire pour les techniciens travaillant en fiction. Les organisations de producteurs ont proposé aux syndicats de salariés d’entamer ces négociations propres à la fiction dès le 7 décembre prochain. Elles s’engagent à établir un calendrier contraint avec une date butoir de négociations. Dans ce cadre, outre la revalorisation des salaires, elles proposent de définir des thèmes de négociation pour faire évoluer la convention collective sur un certain nombre de …

30 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Soutien à l’équipe du film « Avant que les flammes ne s’éteignent » de Mehdi Fikri

Les productrices et producteurs du SPI et de l’UPC expriment tout leur soutien à l’équipe du film « Avant que les flammes ne s’éteignent » de Mehdi Fikri, produit par les sociétés Topshot Films et The Film, qui fait l’objet depuis plus d’une semaine d’une violente campagne de dénigrement, dans certains médias et sur les réseaux sociaux.

Le SPI et l’UPC s’associent aux voix qui se sont élevées pour dénoncer cet acharnement et tiennent à alerter contre cette nouvelle forme de censure, diffuse et complexe à identifier mais d’une dangerosité inédite. Tout cinéaste doit pouvoir exprimer sereinement son point de vue sur un sujet d’actualité, aussi sensible soit-il (les violences policières dans le cas présent), et en proposer librement un traitement artistique.

La propagande orchestrée par des groupes organisés, notamment sur le site Allociné, cherche à manipuler les opinions et à atteindre la réputation des œuvres et de leurs auteurs avec un effet immédiat et irréversible sur les entrées en salles.

Le SPI et l’UPC rappellent avec force leur attachement à la liberté de la création, à la liberté d’expression et au pluralisme des opinions.

Contacts presse :
SPI : Sébastien Colin, délégué général – 01 44 70 70 44
UPC : Valérie Lépine-Karnik, déléguée générale – 01 53 89 01 30

Les productrices et producteurs du SPI et de l’UPC expriment tout leur soutien à l’équipe du film « Avant que les flammes ne s’éteignent » de Mehdi Fikri, produit par les sociétés Topshot Films et The Film, qui fait l’objet depuis plus d’une semaine d’une violente campagne de dénigrement, dans certains médias et sur les réseaux sociaux. Le SPI et l’UPC s’associent aux voix qui se sont élevées pour dénoncer cet acharnement et tiennent à alerter contre cette nouvelle forme de censure, diffuse et complexe à identifier mais d’une dangerosité inédite. Tout cinéaste doit pouvoir exprimer sereinement son point de vue sur un sujet d’actualité, aussi sensible soit-il (les violences policières dans le cas présent), et en proposer librement un traitement artistique. La propagande orchestrée par des groupes organisés, notamment sur le site Allociné, cherche à manipuler les opinions et à atteindre la réputation des œuvres et de leurs auteurs avec un effet immédiat et irréversible sur les entrées en salles. Le SPI et l’UPC rappellent avec force leur attachement à la liberté de la création, à la liberté d’expression et au pluralisme des opinions. Contacts presse :SPI : Sébastien Colin, délégué général – 01 44 70 70 44UPC : Valérie Lépine-Karnik, déléguée générale – 01 53 89 01 …

29 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse des syndicats d’employeurs de la production audiovisuelle – SATEV-SPECT-SPI-USPA

Paris, le 27 novembre 2023

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Dans le cadre de l’appel à grève relative à la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle, les organisations patronales ont reçu le 15 novembre dernier une délégation de salariés et de techniciens du SPIAC-CGT et du SNTPCT. A cette occasion, elles ont proposé d’ouvrir des négociations à compter du 5 décembre prochain.

Cette date avait été choisie pour assurer un processus efficace, permettant le développement de propositions concrètes, mûrement réfléchies et partagées entre les syndicats de producteurs et leurs partenaires.

Ce travail demande nécessairement du temps mais il est essentiel de ne pas négliger cette période indispensable d’échanges et de consultations pour sortir de la crise actuelle.

Nous serons en mesure de faire une proposition aux organisations de salariés représentatifs de la production audiovisuelle et souhaitons ainsi avancer la rencontre initialement prévue le 5 décembre, au 30 novembre prochain.

Nous confirmons qu’à cette occasion une proposition d’augmentation des minima salariaux de la convention collective sera faite.

De plus, les syndicats de producteurs réaffirment leur souhait d’un découplage du traitement de ces minimas salariaux par genre pour tenir compte des spécificités économiques des différentes activités couvertes par la Convention collective de la production audiovisuelle et pouvoir, en matière de fiction, permettre une revalorisation complémentaire.

Paris, le 27 novembre 2023 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Dans le cadre de l’appel à grève relative à la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle, les organisations patronales ont reçu le 15 novembre dernier une délégation de salariés et de techniciens du SPIAC-CGT et du SNTPCT. A cette occasion, elles ont proposé d’ouvrir des négociations à compter du 5 décembre prochain. Cette date avait été choisie pour assurer un processus efficace, permettant le développement de propositions concrètes, mûrement réfléchies et partagées entre les syndicats de producteurs et leurs partenaires. Ce travail demande nécessairement du temps mais il est essentiel de ne pas négliger cette période indispensable d’échanges et de consultations pour sortir de la crise actuelle. Nous serons en mesure de faire une proposition aux organisations de salariés représentatifs de la production audiovisuelle et souhaitons ainsi avancer la rencontre initialement prévue le 5 décembre, au 30 novembre prochain. Nous confirmons qu’à cette occasion une proposition d’augmentation des minima salariaux de la convention collective sera faite. De plus, les syndicats de producteurs réaffirment leur souhait d’un découplage du traitement de ces minimas salariaux par genre pour tenir compte des spécificités économiques des différentes activités couvertes par la Convention collective de la production audiovisuelle et pouvoir, en matière de fiction, permettre une revalorisation …

27 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Soutien au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

Soutien au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

Le SPI témoigne tout son soutien au Festival de Clermont-Ferrand qui vient d’annoncer la réduction du nombre de films sélectionnés dans ses programmations nationale et internationale pour l’édition 2024, en raison de ses difficultés financières.

Les conséquences du désengagement de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, partenaire public historique de la manifestation et l’incertitude d’autres financements locaux majeurs affectent gravement la pérennité du festival, fortement fragilisé par ailleurs par l’inflation des coûts et l’héritage d’années difficiles marquées par la gestion de la crise sanitaire. Et la création en est la première impactée. 

Les productrices et producteurs du SPI sont inquiets pour l’avenir de la manifestation.

Un festival français majeur qui réunit des milliers de personnes du monde entier (160 000 personnes lors de la dernière édition en février 2023), fait vivre l’économie locale en conséquence (autour de 11 M€ de retombées économiques pour la région chaque année) et révèle les plus grands cinéastes français et étrangers, est en train de se poser la question de sa survie.

Le Festival de Clermont-Ferrand, à travers Sauve Qui Peut le Court métrage, est un lieu déterminant pour l’émergence des talents du cinéma et de l’audiovisuel mais aussi un acteur essentiel de diffusion de la culture auprès de tous les publics et particulièrement auprès des jeunes.

Nous ne pouvons laisser faire. Le SPI appelle les pouvoirs publics au niveau national et local, ainsi que l’ensemble du secteur, à mettre tout en œuvre pour préserver le Festival de Clermont-Ferrand, ainsi que toutes les autres manifestations, indispensables à la vie de nos œuvres, soumises actuellement à de fortes tensions budgétaires.

Contact Presse :
Sébastien Colin – 01 44 70 70 44

Soutien au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand Le SPI témoigne tout son soutien au Festival de Clermont-Ferrand qui vient d’annoncer la réduction du nombre de films sélectionnés dans ses programmations nationale et internationale pour l’édition 2024, en raison de ses difficultés financières. Les conséquences du désengagement de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, partenaire public historique de la manifestation et l’incertitude d’autres financements locaux majeurs affectent gravement la pérennité du festival, fortement fragilisé par ailleurs par l’inflation des coûts et l’héritage d’années difficiles marquées par la gestion de la crise sanitaire. Et la création en est la première impactée.  Les productrices et producteurs du SPI sont inquiets pour l’avenir de la manifestation. Un festival français majeur qui réunit des milliers de personnes du monde entier (160 000 personnes lors de la dernière édition en février 2023), fait vivre l’économie locale en conséquence (autour de 11 M€ de retombées économiques pour la région chaque année) et révèle les plus grands cinéastes français et étrangers, est en train de se poser la question de sa survie. Le Festival de Clermont-Ferrand, à travers Sauve Qui Peut le Court métrage, est un lieu déterminant pour l’émergence des talents du cinéma et de l’audiovisuel mais aussi un acteur essentiel de diffusion de la culture auprès de tous les publics et particulièrement auprès des jeunes. Nous ne pouvons laisser faire. Le SPI appelle les pouvoirs publics au niveau national et local, ainsi que l’ensemble du secteur, à mettre tout en œuvre pour préserver le Festival de Clermont-Ferrand, ainsi que toutes les autres manifestations, indispensables à la vie de nos œuvres, soumises actuellement à de fortes tensions budgétaires. Contact Presse :Sébastien Colin – 01 44 70 70 …

21 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
BUREAUX à Louer – Rue Ambroise Thomas 75009 Paris

Eaux vives Productions, dirigée par Xénia Maingot, propose à la location plusieurs bureaux dans un bel immeuble au cœur d’une impasse, au calme, dans le 9ème arrondissement de Paris.
Les bureaux sont situés au 9 rue Ambroise Thomas, entre la rue du faubourg poissonnière et la rue des Petites Écuries au 4ème étage avec ascenseur.

Les bureaux ont une superficie d’environ 20m2 chacun.

Les locaux regroupent cinq bureaux indépendants.
Ils bénéficient en commun d’une cuisine aménagée, équipée d’un micro-onde, d’une plaque de cuisson, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine.
Il y a deux WC ainsi qu’un accès à l’extérieur avec un balcon filant qui dessert les différents bureaux.

Disponibilité : à partir de mi-novembre 2023.

Conditions juridiques et financières :
Type de bail : Sous Location / Prestations de services
Dépôt de garantie : 1 mois
Loyer mensuel : 1750 € HT pour les bureaux les plus grands. 1500 € HT le plus petit.
Charges Locatives comprises. Internet et ménage compris.

Un des bureaux peut-être également loué comme bureau de prépa.

BUREAU 1 = 1750 euros HT

Le bureau peut se louer vide ou meublé (actuellement c’est une salle de réunion).

BUREAU 2 = 1750 euros HT

Le bureau peut se louer vide ou meublé.

BUREAU 3= 1500 euros HT

Le bureau peut se louer vide ou meublé.

Pour toute demande ou question, n’hésitez pas à nous contacter à info@eauxvivesproductions.com
Tél. : 06 61 49 78 37

Eaux vives Productions, dirigée par Xénia Maingot, propose à la location plusieurs bureaux dans un bel immeuble au cœur d’une impasse, au calme, dans le 9ème arrondissement de Paris. Les bureaux sont situés au 9 rue Ambroise Thomas, entre la rue du faubourg poissonnière et la rue des Petites Écuries au 4ème étage avec ascenseur. Les bureaux ont une superficie d’environ 20m2 chacun. Les locaux regroupent cinq bureaux indépendants. Ils bénéficient en commun d’une cuisine aménagée, équipée d’un micro-onde, d’une plaque de cuisson, frigo, machine à café et d’ustensiles de cuisine. Il y a deux WC ainsi qu’un accès à l’extérieur avec un balcon filant qui dessert les différents bureaux. Disponibilité : à partir de mi-novembre 2023. Conditions juridiques et financières : Type de bail : Sous Location / Prestations de services Dépôt de garantie : 1 mois Loyer mensuel : 1750 € HT pour les bureaux les plus grands. 1500 € HT le plus petit. Charges Locatives comprises. Internet et ménage compris. Un des bureaux peut-être également loué comme bureau de prépa. BUREAU 1 = 1750 euros HT Le bureau peut se louer vide ou meublé (actuellement c’est une salle de réunion). BUREAU 2 = 1750 euros HT Le bureau peut se louer vide ou meublé. BUREAU 3= 1500 euros HT Le bureau peut se louer vide ou meublé. Pour toute demande ou question, n’hésitez pas à nous contacter à info@eauxvivesproductions.com Tél. : 06 61 49 78 …

21 novembre 2023Annoncesannonces
COMMUNIQUE – Intelligence artificielle : la transparence, condition fondamentale d’un modèle européen éthique

Le 17 novembre 2023

Intelligence artificielle :
la transparence, condition fondamentale d’un modèle européen éthique

Alors que l’Union européenne se détermine dans les jours à venir sur les grands principes de l’intelligence artificielle, nous réaffirmons l’absolue nécessité de placer l’éthique au cœur de l’action des pouvoirs publics dans l’encadrement de ces nouvelles technologies. Notre avenir en dépend. À ce titre et s’agissant en particulier des modèles d’intelligences artificielles génératives, seul le principe intangible d’une transparence sur les données d’entraînement et sur les contenus générés pourra apporter des garanties aux citoyens et aux créateurs sur le respect de leurs droits.

Nous soutenons pleinement l’émergence de champions européens vertueux qui seront demain des acteurs de notre souveraineté et des partenaires de notre rayonnement. L’innovation et la création ont besoin l’une de l’autre pour grandir au bénéfice de tous. La transparence est un prérequis, pas un frein. Elle est même une condition du développement serein des jeunes pousses françaises et européennes qui pourraient sinon être confrontées à la multiplication de contentieux juridiques. Cette transparence fait partie de l’ADN des développeurs : l’argument selon lequel ce serait un obstacle technique ou un fardeau disproportionné n’est pas crédible.

Dans ce contexte, la position de la France, dont la presse se fait le relais et qui s’opposerait à toute réglementation des modèles d’IA entraînés sur de vastes volumes de données (dits de fondation), nous étonne tant elle est contraire aux propos du président de la République à Villers-Cotterêts rappelant que « nous avons raison de défendre le droit d’auteur dans l’intelligence artificielle ». Il n’y aura pas d’IA générative qualitative sans industries créatives fortes ! Garantir la transparence, c’est non seulement protéger nos industries qui représentent une économie de la création durablement pourvoyeuse d’emplois et une part importante du PIB de notre pays ; mais c’est aussi assurer la fiabilité des contenus qui façonnent le développement des IA génératives pour éviter les comportements manipulatoires menaçant nos libertés fondamentales et nos principes démocratiques. 

La position de la France nous oblige donc à réagir. D’abord parce que, même sans une réglementation spécifique des modèles de fondation, on ne peut pas sacrifier une obligation de transparence sans laquelle rien de solide ne peut être construit. Ensuite parce qu’on ne saurait imaginer une seule seconde que la France renonce à préserver les acquis communautaires auxquels elle a elle-même œuvré, en matière de soutien à l’innovation, de respect du droit d’auteur et des données personnelles ou de lutte contre les fausses informations.

Dans la dernière ligne droite des débats à Bruxelles, nous demandons au Gouvernement de retrouver une position claire, équilibrée et ambitieuse, garante des intérêts partagés des Européens, des créateurs et des entreprises innovantes.

Liste des 80 signataires :

ACID      Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion
ADAGP Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques
ADAMI Société Civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes
AGrAF   Auteurs Groupés de l’Animation Française
AnimFrance Syndicat exclusivement dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animation
API        Association des Producteurs Indépendants
ATAA    Association des Traducteurs Adaptateurs de l’Audiovisuel
ATLF      Association des traducteurs littéraires de France
CEMF    Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de France
CFC        Centre Français d’exploitation du droit de Copie
CFDC     Coalition Française pour la Diversité Culturelle
CISA      Coordination Inter-Syndicale de l’Audiovisuel
COSE-CALCRE    Information et Défense des Auteurs
CPE        Conseil Permanent des Écrivains
CSDEM Chambre Syndicale de L’Edition Musicale
DIRE      Distributeurs Indépendants Réunis Européens
DVP       Droits Voisins de la Presse
EAT        Écrivains Associés du Théâtre
EIFEIL    Fédération des éditeurs indépendants en France
EUROCINEMA   Association de Producteurs, de Cinéma et de Télévision
F3C-CFDT Fédération Conseil, Communication, Culture CFDT (F3C-CFDT)
FASAP-FO Fédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse Force Ouvrière
FCCS CFE-CGC Fédération Culture Communication Spectacle (CFE-CGC)
FFAP      Fédération Française des Agences de Presse
FNAPPI Fédération Nationale des Agences de Presse Photo et d’Information
FNSAC-CGT Fédération Nationale des Syndicats du Spectacle, de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle
GESTE Les Éditeurs de Contenus et Services en ligne
GFS        La Guilde Française des Scénaristes
LA GAM Guilde des Artistes de la Musique
LA MAISON DE POESIE  La Maison de Poésie
LAP        Ligue des Auteurs Professionnels
L’ARP    Société Civile des Auteurs, Réalisateurs et Producteurs
LES VOIX Association Professionnelles des Comédiens Artistes-Interprètes de la Voix Enregistrée
PEN CLUB Pen Club
PROCIREP Société des Producteurs de Cinéma et de Télévision
SACD     Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques
SACEM Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique
SAIF       Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe
SAJ        Société des Auteurs de Jeux
SAMVA CFE-CGC  Syndicat des Artistes Musiciens de Variétés et Arrangeurs (CFE-CGC)
SAPHIR Syndicat des Agences de Presse Photographiques
SAPIG   Syndicat des Agences de Presse d’Informations (Générales)
SATEV   Syndicat des Agences de Presse Audiovisuelles
SCA       Scénaristes de cinéma associés
SCAM   Société Civile des Auteurs Multimédia
SCFP      Syndicat des Catalogues de Films de Patrimoine
SCPP     Société Civile des Producteurs Phonographiques
SDI         Syndicat des Distributeurs Indépendants
SDLC     Syndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels
SEAM    Société des Éditeurs et Auteurs de Musique
SEDPA Syndicat des Distributeurs de Programmes Audiovisuels
SELF      Syndicat des écrivains de langue française
SEPM    Le Syndicat des Éditeurs de la Presse Magazine
SFA-CGT Syndicat français des artistes-interprètes
SGDL     Société des Gens de Lettres
SLF         Syndicat de la Librairie Française
SN3M   Syndicat National des Musiciens et du Monde de la Musique
SNAC    Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs
SNAM-CGT Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens de France
SNAPSA CFE-CGC Syndicat National des Artistes, des Professions du spectacle et de l’Audiovisuel (CFE-CGC)
SNE       Syndicat national de l’Edition 
SNEP     Syndicat National de l’Edition Phonographique
SOFIA    Société Française des Intérêts des Auteurs de l’écrit
SPCS     Syndicat de la Presse Culturelle et scientifique
SPECT   Syndicat des Producteurs et Créateurs de Programmes Audiovisuels
SPI         Syndicat des Producteurs Indépendants
SPIAC-CGT Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma
SPIIL      Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne
SPPF      Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France
SRF        Société des réalisatrices et réalisateurs de films
U2C       Union des Compositrices et Compositeurs
U2R       Union des réalisatrices et des réalisateurs
ULM      Union des Librairies Musicales
UNAC    Union Nationale des Auteurs et Compositeurs
UNIFAB Union des Fabricant
Union des Poètes et Cie                
UPC       Union des Producteurs de Cinéma
UPFI      Union des Producteurs Phonographiques Français Indépendants
UPP       Union des Photographes ProfessionnelsUSPA    Union Syndicale de la Production Audiovisuelle

Contact presse SPI :
Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe – Tél. : 01 44 70 70 44

Le 17 novembre 2023 Intelligence artificielle : la transparence, condition fondamentale d’un modèle européen éthique Alors que l’Union européenne se détermine dans les jours à venir sur les grands principes de l’intelligence artificielle, nous réaffirmons l’absolue nécessité de placer l’éthique au cœur de l’action des pouvoirs publics dans l’encadrement de ces nouvelles technologies. Notre avenir en dépend. À ce titre et s’agissant en particulier des modèles d’intelligences artificielles génératives, seul le principe intangible d’une transparence sur les données d’entraînement et sur les contenus générés pourra apporter des garanties aux citoyens et aux créateurs sur le respect de leurs droits. Nous soutenons pleinement l’émergence de champions européens vertueux qui seront demain des acteurs de notre souveraineté et des partenaires de notre rayonnement. L’innovation et la création ont besoin l’une de l’autre pour grandir au bénéfice de tous. La transparence est un prérequis, pas un frein. Elle est même une condition du développement serein des jeunes pousses françaises et européennes qui pourraient sinon être confrontées à la multiplication de contentieux juridiques. Cette transparence fait partie de l’ADN des développeurs : l’argument selon lequel ce serait un obstacle technique ou un fardeau disproportionné n’est pas crédible. Dans ce contexte, la position de la France, dont la presse se fait le relais et qui s’opposerait à toute réglementation des modèles d’IA entraînés sur de vastes volumes de données (dits de fondation), nous étonne tant elle est contraire aux propos du président de la République à Villers-Cotterêts rappelant que « nous avons raison de défendre le droit d’auteur dans l’intelligence artificielle ». Il n’y aura pas d’IA générative qualitative sans industries créatives fortes ! Garantir la transparence, c’est non seulement protéger nos industries qui représentent une économie de la création durablement pourvoyeuse d’emplois et une part importante du PIB de notre pays ; mais c’est aussi assurer la fiabilité des contenus qui façonnent le développement des IA génératives pour éviter les comportements manipulatoires menaçant nos libertés fondamentales et nos principes démocratiques.  La position de la France nous oblige donc à réagir. D’abord parce que, même sans une réglementation spécifique des modèles de fondation, on ne peut pas sacrifier une obligation de transparence sans laquelle rien de solide ne peut être construit. Ensuite parce qu’on ne saurait imaginer une seule seconde que la France renonce à préserver les acquis communautaires auxquels elle a elle-même œuvré, en matière de soutien à l’innovation, de respect du droit d’auteur et des données personnelles ou de lutte contre les fausses informations. Dans la dernière ligne droite des débats à Bruxelles, nous demandons au Gouvernement de retrouver une position claire, équilibrée et ambitieuse, garante des intérêts partagés des Européens, des créateurs et des entreprises innovantes. Liste des 80 signataires : ACID      Association du Cinéma Indépendant pour sa DiffusionADAGP Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiquesADAMI Société Civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens InterprètesAGrAF   Auteurs Groupés de l’Animation FrançaiseAnimFrance Syndicat exclusivement dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animationAPI        Association des Producteurs IndépendantsATAA    Association des Traducteurs Adaptateurs de l’AudiovisuelATLF      Association des traducteurs littéraires de FranceCEMF    Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de FranceCFC        Centre Français d’exploitation du droit de CopieCFDC     Coalition Française pour la Diversité CulturelleCISA      Coordination Inter-Syndicale de l’AudiovisuelCOSE-CALCRE    Information et Défense des AuteursCPE        Conseil Permanent des ÉcrivainsCSDEM Chambre Syndicale de L’Edition MusicaleDIRE      Distributeurs Indépendants Réunis EuropéensDVP       Droits Voisins de la PresseEAT        Écrivains Associés du ThéâtreEIFEIL    Fédération des éditeurs indépendants en FranceEUROCINEMA   Association de Producteurs, de Cinéma et de TélévisionF3C-CFDT Fédération Conseil, Communication, Culture CFDT (F3C-CFDT)FASAP-FO Fédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse Force OuvrièreFCCS CFE-CGC Fédération Culture Communication Spectacle (CFE-CGC)FFAP      Fédération Française des Agences de PresseFNAPPI Fédération Nationale des Agences de Presse Photo et d’InformationFNSAC-CGT Fédération Nationale des Syndicats du Spectacle, de l’Audiovisuel et de l’Action CulturelleGESTE Les Éditeurs de Contenus et Services en ligneGFS        La Guilde Française des ScénaristesLA GAM Guilde des Artistes de la MusiqueLA MAISON DE POESIE  La Maison de PoésieLAP        Ligue des Auteurs ProfessionnelsL’ARP    Société Civile des Auteurs, Réalisateurs et ProducteursLES VOIX Association Professionnelles des Comédiens Artistes-Interprètes de la Voix EnregistréePEN CLUB Pen ClubPROCIREP Société des Producteurs de Cinéma et de TélévisionSACD     Société des Auteurs et Compositeurs DramatiquesSACEM Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de MusiqueSAIF       Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image FixeSAJ        Société des Auteurs de JeuxSAMVA CFE-CGC  Syndicat des Artistes Musiciens de Variétés et Arrangeurs (CFE-CGC)SAPHIR Syndicat des Agences de Presse PhotographiquesSAPIG   Syndicat des Agences de Presse d’Informations (Générales)SATEV   Syndicat des Agences de Presse AudiovisuellesSCA       Scénaristes de cinéma associésSCAM   Société Civile des Auteurs MultimédiaSCFP      Syndicat des Catalogues de Films de PatrimoineSCPP     Société Civile des Producteurs PhonographiquesSDI         Syndicat des Distributeurs IndépendantsSDLC     Syndicat des Distributeurs de Loisirs CulturelsSEAM    Société des Éditeurs et Auteurs de MusiqueSEDPA Syndicat des Distributeurs de Programmes AudiovisuelsSELF      Syndicat des écrivains de langue françaiseSEPM    Le Syndicat des Éditeurs de la Presse MagazineSFA-CGT Syndicat français des artistes-interprètesSGDL     Société des Gens de LettresSLF         Syndicat de la Librairie FrançaiseSN3M   Syndicat National des Musiciens et du Monde de la MusiqueSNAC    Syndicat National des Auteurs et des CompositeursSNAM-CGT Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens de FranceSNAPSA CFE-CGC Syndicat National des Artistes, des Professions du spectacle et de l’Audiovisuel (CFE-CGC)SNE       Syndicat national de l’Edition SNEP     Syndicat National de l’Edition PhonographiqueSOFIA    Société Française des Intérêts des Auteurs de l’écritSPCS     Syndicat de la Presse Culturelle et scientifiqueSPECT   Syndicat des Producteurs et Créateurs de Programmes AudiovisuelsSPI         Syndicat des Producteurs IndépendantsSPIAC-CGT Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du CinémaSPIIL      Syndicat de la presse indépendante d’information en ligneSPPF      Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en FranceSRF        Société des réalisatrices et réalisateurs de filmsU2C       Union des Compositrices et CompositeursU2R       Union des réalisatrices et des réalisateursULM      Union des Librairies MusicalesUNAC    Union Nationale des Auteurs et CompositeursUNIFAB Union des FabricantUnion des Poètes et Cie                UPC       Union des Producteurs de CinémaUPFI      Union des Producteurs Phonographiques Français IndépendantsUPP       Union des Photographes ProfessionnelsUSPA    Union Syndicale de la Production Audiovisuelle Contact presse SPI :Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe – Tél. : 01 44 70 70 …

17 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse : grève sur les plateaux de tournage de fiction

Paris, le 16 novembre 2023

Dans le cadre de l’appel à grève relative à la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle, les organisations de producteurs signataires de la convention collective (USPA, SPI, SPECT et SATEV) ont reçu mercredi 15 novembre à 15h00 une délégation du SPIAC-CGT et du SNTPCT.

Au cours de cette réunion, les organisations patronales ont proposé d’avancer le calendrier et d’ouvrir des négociations dès le 5 décembre prochain.

A cette occasion, l’USPA et le SPI formuleront une proposition d’augmentation des minima salariaux.

Dans ce cadre, l’USPA et le SPI proposeront un découplage des minima salariaux par genre pour tenir compte des spécificités économiques et d’exercice professionnel de la fiction et permettre à la négociation de s’ouvrir.

L’USPA et le SPI appellent les éditeurs de services historiques, principaux financeurs des programmes de fiction, documentaire, flux et captations de spectacles vivants régis par la convention de la production audiovisuelle, à prendre toute la mesure de la situation actuelle. La réponse économique aux revendications des salariés ne pourra se faire sans des efforts partagés par l’ensemble des parties contribuant au financement des œuvres.

Contact Presse SPI :
Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe – Tél. 01 44 70 7044

Paris, le 16 novembre 2023 Dans le cadre de l’appel à grève relative à la négociation annuelle des salaires dans la production audiovisuelle, les organisations de producteurs signataires de la convention collective (USPA, SPI, SPECT et SATEV) ont reçu mercredi 15 novembre à 15h00 une délégation du SPIAC-CGT et du SNTPCT. Au cours de cette réunion, les organisations patronales ont proposé d’avancer le calendrier et d’ouvrir des négociations dès le 5 décembre prochain. A cette occasion, l’USPA et le SPI formuleront une proposition d’augmentation des minima salariaux. Dans ce cadre, l’USPA et le SPI proposeront un découplage des minima salariaux par genre pour tenir compte des spécificités économiques et d’exercice professionnel de la fiction et permettre à la négociation de s’ouvrir. L’USPA et le SPI appellent les éditeurs de services historiques, principaux financeurs des programmes de fiction, documentaire, flux et captations de spectacles vivants régis par la convention de la production audiovisuelle, à prendre toute la mesure de la situation actuelle. La réponse économique aux revendications des salariés ne pourra se faire sans des efforts partagés par l’ensemble des parties contribuant au financement des œuvres. Contact Presse SPI :Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe – Tél. 01 44 70 …

16 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse
TERRITORIALITE DES DROITS / EXCEPTION DE GEOBLOCAGE :
LE CINEMA ET L’AUDIOVISUEL ALERTENT SUR LES DANGER D’UNE REOUVERTURE DES DISCUSSIONS AU PARLEMENT EUROPEEN.

Nous, auteurs, réalisateurs, producteurs, éditeurs-distributeurs de films, détenteurs de catalogues, industries techniques, vendeurs internationaux, exploitants de cinéma, éditeurs vidéo, diffuseurs télévisuels, appelons unanimement les députés européens à se mobiliser en faveur de la diversité de la création, et par conséquent à freiner toute remise en question de l’exception existante pour les services audiovisuels dans le Règlement de 2018 sur le Géoblocage.

La territorialité des droits, pilier du droit d’auteur, est garante de la diversité de la création, ainsi que de la vitalité de l’économie de notre filière. Elle permet en effet aux ayants-droit d’accorder une exclusivité à chaque diffuseur d’une zone géographique européenne donnée. En excluant les services audiovisuels du Règlement de 2018, l’Europe remplit ainsi un objectif essentiel de politique culturelle, sans pour autant empêcher les Européens d’accéder aux œuvres, grâce notamment à la portabilité des abonnements lorsqu’un citoyen d’un pays se déplace dans un autre pays membre de l’Union.

Les rapports d’initiative et pour avis sur la mise en œuvre du Règlement européen Géoblocage, adoptés par la Commission des affaires juridiques et la Commission du marché intérieur du Parlement européen, se trompent de combat.

L’exclusivité territoriale est garante de la diversité culturelle européenne : diversité des financements, diversité des œuvres, diversité des rémunérations pour les auteurs, diversité des supports de diffusion, diversité des publics. Elle permet aux distributeurs locaux européens, qui contribuent grandement au financement en amont, de diffuser les œuvres de façon organisée et séquencée sur tous les territoires, au plus près des publics et de leurs spécificités.

C’est pourquoi, dans la perspective du vote en séance plénière du rapport d’initiative de la Commission Marché intérieur, nous demandons aux députés européens de soutenir les amendements qui préservent l’exclusivité territoriale actuellement accordée aux diffuseurs. La remettre en question serait une grave erreur politique, économique et culturelle.

Contact Presse SPI :
Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe : 01 44 70 70 44

TERRITORIALITE DES DROITS / EXCEPTION DE GEOBLOCAGE : LE CINEMA ET L’AUDIOVISUEL ALERTENT SUR LES DANGER D’UNE REOUVERTURE DES DISCUSSIONS AU PARLEMENT EUROPEEN. Nous, auteurs, réalisateurs, producteurs, éditeurs-distributeurs de films, détenteurs de catalogues, industries techniques, vendeurs internationaux, exploitants de cinéma, éditeurs vidéo, diffuseurs télévisuels, appelons unanimement les députés européens à se mobiliser en faveur de la diversité de la création, et par conséquent à freiner toute remise en question de l’exception existante pour les services audiovisuels dans le Règlement de 2018 sur le Géoblocage. La territorialité des droits, pilier du droit d’auteur, est garante de la diversité de la création, ainsi que de la vitalité de l’économie de notre filière. Elle permet en effet aux ayants-droit d’accorder une exclusivité à chaque diffuseur d’une zone géographique européenne donnée. En excluant les services audiovisuels du Règlement de 2018, l’Europe remplit ainsi un objectif essentiel de politique culturelle, sans pour autant empêcher les Européens d’accéder aux œuvres, grâce notamment à la portabilité des abonnements lorsqu’un citoyen d’un pays se déplace dans un autre pays membre de l’Union. Les rapports d’initiative et pour avis sur la mise en œuvre du Règlement européen Géoblocage, adoptés par la Commission des affaires juridiques et la Commission du marché intérieur du Parlement européen, se trompent de combat. L’exclusivité territoriale est garante de la diversité culturelle européenne : diversité des financements, diversité des œuvres, diversité des rémunérations pour les auteurs, diversité des supports de diffusion, diversité des publics. Elle permet aux distributeurs locaux européens, qui contribuent grandement au financement en amont, de diffuser les œuvres de façon organisée et séquencée sur tous les territoires, au plus près des publics et de leurs spécificités. C’est pourquoi, dans la perspective du vote en séance plénière du rapport d’initiative de la Commission Marché intérieur, nous demandons aux députés européens de soutenir les amendements qui préservent l’exclusivité territoriale actuellement accordée aux diffuseurs. La remettre en question serait une grave erreur politique, économique et culturelle. Contact Presse SPI : Emmanuelle Mauger – Déléguée générale adjointe : 01 44 70 70 …

15 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – L’Assemblée générale de la CEPI élit un nouveau Conseil d’administration et définit sa vision pour l’avenir de l’industrie audiovisuelle européenne

10 novembre 2023, Lisbonne  – La CEPI, l’association européenne de production audiovisuelle, a tenu son Assemblée générale à Lisbonne les 9 et 10 novembre. L’assemblée a été marquée par l’élection d’un nouveau conseil d’administration et des discussions productives sur des questions clés de l’industrie.

Le 9 novembre, la CEPI a élu un nouveau président et de nouveaux membres du conseil d’administration.

Mme Susana Gato, Présidente exécutive de l’APIT, Portugal, a été réélue Présidente de la CEPI pour un second mandat.

Mme Antonella Barbieri (APA, Italie), M. Filip Bobiňski (APA, République tchèque), Mme Monique Goeschl (FAMA, Autriche), M. Søren Jørgensen (Producent Foreningen, Danemark), Mme Emmanuelle Mauger (SPI, France) et M. Anthony Muldoon (SPI, Irlande) ont été élus membres du Conseil d’administration.  

M. Jérôme Dechesne (USPA, France), Mme Alicja Grawon-Jaksik  (KIPA, Pologne),  M. Boštjan Ikovic (SPF, Slovénie) et M. Mario Mauri (APA, Italie) ont été cooptés au sein du Conseil d’administration. Un accueil particulier a été réservé à M. Boštjan Ikovic, représentant la Slovénie, qui rejoint le conseil d’administration, renforçant ainsi la diversité et l’expertise de l’association.

« Nous sommes très heureux d’accueillir la Slovénie au sein du conseil d’administration. Nous nous réjouissons des nouvelles perspectives et contributions que Boštjan Ikovic apportera alors que nous travaillons collectivement à un avenir meilleur pour l’industrie audiovisuelle européenne. » – Susana Gato, présidente de la CEPI.

Nous exprimons également notre sincère gratitude à Mme An Jacobs (VOFTP, Belgique) et Mme Chiara Sbarigia (APA, Italie) pour leurs services dévoués au sein du Conseil d’administration au cours des dernières années. Leurs précieuses contributions ont été grandement appréciées et ont considérablement enrichi notre association.

En plus des élections, l’Assemblée générale a fourni à la CEPI une plate-forme pour aborder les importantes discussions en cours à Bruxelles, en se concentrant sur des questions politiques clés telles que le géo-blocage, l’intelligence artificielle, la législation européenne sur la liberté des médias (EMFA) et la directive sur les services de médias audiovisuels (SMA). L’assemblée a été l’occasion d’identifier et de clarifier la vision de la CEPI pour le prochain mandat de la Commission. La CEPI s’est engagée dans une discussion approfondie afin d’identifier et de prioriser les domaines clés dans lesquels l’association concentrera ses efforts dans les années à venir.

« Ces débats sont cruciaux pour l’industrie audiovisuelle et pour la légitimité de la CEPI à façonner l’avenir de l’industrie audiovisuelle et cinématographique européenne. Notre association se consacre à la promotion des intérêts de nos membres et de l’industrie dans son ensemble. » – Susana Gato, présidente de la CEPI.

La CEPI tient à remercier l’équipe de l’APIT pour son excellent accueil lors de l’accueil de l’Assemblée Générale à Lisbonne et pour son organisation exceptionnelle. Nous remercions également tous les participants pour leur précieuse contribution aux discussions passionnantes.

Le SPI est membre de la CEPI

10 novembre 2023, Lisbonne  – La CEPI, l’association européenne de production audiovisuelle, a tenu son Assemblée générale à Lisbonne les 9 et 10 novembre. L’assemblée a été marquée par l’élection d’un nouveau conseil d’administration et des discussions productives sur des questions clés de l’industrie. Le 9 novembre, la CEPI a élu un nouveau président et de nouveaux membres du conseil d’administration. Mme Susana Gato, Présidente exécutive de l’APIT, Portugal, a été réélue Présidente de la CEPI pour un second mandat. Mme Antonella Barbieri (APA, Italie), M. Filip Bobiňski (APA, République tchèque), Mme Monique Goeschl (FAMA, Autriche), M. Søren Jørgensen (Producent Foreningen, Danemark), Mme Emmanuelle Mauger (SPI, France) et M. Anthony Muldoon (SPI, Irlande) ont été élus membres du Conseil d’administration.   M. Jérôme Dechesne (USPA, France), Mme Alicja Grawon-Jaksik  (KIPA, Pologne),  M. Boštjan Ikovic (SPF, Slovénie) et M. Mario Mauri (APA, Italie) ont été cooptés au sein du Conseil d’administration. Un accueil particulier a été réservé à M. Boštjan Ikovic, représentant la Slovénie, qui rejoint le conseil d’administration, renforçant ainsi la diversité et l’expertise de l’association. « Nous sommes très heureux d’accueillir la Slovénie au sein du conseil d’administration. Nous nous réjouissons des nouvelles perspectives et contributions que Boštjan Ikovic apportera alors que nous travaillons collectivement à un avenir meilleur pour l’industrie audiovisuelle européenne. » – Susana Gato, présidente de la CEPI. Nous exprimons également notre sincère gratitude à Mme An Jacobs (VOFTP, Belgique) et Mme Chiara Sbarigia (APA, Italie) pour leurs services dévoués au sein du Conseil d’administration au cours des dernières années. Leurs précieuses contributions ont été grandement appréciées et ont considérablement enrichi notre association. En plus des élections, l’Assemblée générale a fourni à la CEPI une plate-forme pour aborder les importantes discussions en cours à Bruxelles, en se concentrant sur des questions politiques clés telles que le géo-blocage, l’intelligence artificielle, la législation européenne sur la liberté des médias (EMFA) et la directive sur les services de médias audiovisuels (SMA). L’assemblée a été l’occasion d’identifier et de clarifier la vision de la CEPI pour le prochain mandat de la Commission. La CEPI s’est engagée dans une discussion approfondie afin d’identifier et de prioriser les domaines clés dans lesquels l’association concentrera ses efforts dans les années à venir. « Ces débats sont cruciaux pour l’industrie audiovisuelle et pour la légitimité de la CEPI à façonner l’avenir de l’industrie audiovisuelle et cinématographique européenne. Notre association se consacre à la promotion des intérêts de nos membres et de l’industrie dans son ensemble. » – Susana Gato, présidente de la CEPI. La CEPI tient à remercier l’équipe de l’APIT pour son excellent accueil lors de l’accueil de l’Assemblée Générale à Lisbonne et pour son organisation exceptionnelle. Nous remercions également tous les participants pour leur précieuse contribution aux discussions passionnantes. Le SPI est membre de la …

13 novembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
RECHERCHE RESPONSABLE CNC

FICHE DE POSTE

Flair production, société de production de documentaire, spectacle vivant, fiction, magazine

https://www.flairmedia.fr/

Recherche Un.e responsable CNC

Coordination avec le pôle de production pour la récupération des documents nécessaires à la constitution des dossiers de demandes d’aides (AP et AD pour le CNC, dossier pour les Régions, Procirep);

Le suivi de l’élaboration des rendus de compte pour le CNC et les chaines (maîtrise d’Excel et de la comptabilité analytique) et connaissance des méthodes de production audiovisuelle (dont crédit d’impôt CIA)

 

La vérification et l’adaptation des rendus de comptes des œuvres en fin de production.

Gestion et l’optimisation du compte de soutien CNC. Relationnel avec les chargés de comptes.

Anticipation des problématiques de financement et d’adéquation avec les règles du CNC pour accompagner les producteurs et le pôle production

Déclaration de diffusion trimestrielle

Le nombre de projets par an : environ 20 dossiers d’AP et 20 dossiers d’AD + dossiers Procirep (3 ou 4 par an) et dossiers Région (5-6 par an)

Contact

Morgane Plantard

06 83 99 62 70

morgane@flairproduction.com

 

Flair Production

241 Boulevard Pereire

75017 Paris

 

FICHE DE POSTE Flair production, société de production de documentaire, spectacle vivant, fiction, magazine https://www.flairmedia.fr/ Recherche Un.e responsable CNC Coordination avec le pôle de production pour la récupération des documents nécessaires à la constitution des dossiers de demandes d’aides (AP et AD pour le CNC, dossier pour les Régions, Procirep); Le suivi de l’élaboration des rendus de compte pour le CNC et les chaines (maîtrise d’Excel et de la comptabilité analytique) et connaissance des méthodes de production audiovisuelle (dont crédit d’impôt CIA)   La vérification et l’adaptation des rendus de comptes des œuvres en fin de production. Gestion et l’optimisation du compte de soutien CNC. Relationnel avec les chargés de comptes. Anticipation des problématiques de financement et d’adéquation avec les règles du CNC pour accompagner les producteurs et le pôle production Déclaration de diffusion trimestrielle Le nombre de projets par an : environ 20 dossiers d’AP et 20 dossiers d’AD + dossiers Procirep (3 ou 4 par an) et dossiers Région (5-6 par an) Contact Morgane Plantard 06 83 99 62 70 morgane@flairproduction.com   Flair Production 241 Boulevard Pereire 75017 Paris …

25 octobre 2023Annoncesannonces
Offre d’emploi chargé.e de programme DocMonde- Lussas (07)

Télécharger l’annonce

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17 octobre 2023Annoncesannonces
TOURNAGE LONG METRAGE A STRASBOURG

Chers collègues, je cherche à entrer en contact avec un producteur de long du Grand Est afin d’échanger sur une coproduction franco-italienne dont une partie du tournage aurait lieu à Strasbourg.

Merci

François pour Gorilla Group Marseille

0699246960

Chers collègues, je cherche à entrer en contact avec un producteur de long du Grand Est afin d’échanger sur une coproduction franco-italienne dont une partie du tournage aurait lieu à Strasbourg. Merci François pour Gorilla Group Marseille …

16 octobre 2023Annoncesannonces
Courrier à la première ministre de 73 organisations de la culture sur l’AI ACT

Construisons maintenant une IA de rang mondial respectueuse de la
propriété littéraire et artistique

Construisons maintenant une IA de rang mondial respectueuse de lapropriété littéraire et …

29 septembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI au Festival de la Fiction TV – La Rochelle 2023

Notre conférence de presse s’est tenue le jeudi 14 septembre à 15h au Bar André. Comme chaque année, les invités étaient très nombreux à souhaiter connaître la position du SPI sur les sujets d’actualité.

Le lendemain s’est tenu le “Grand Débat” sur le thème
“Plateformisation : Comment réinventer la circulation des oeuvres ?”,
en présence de Nora Melhli, Présidente du collège audiovisuel du SPI

Vous pouvez retrouver le “Grande Débat” à ce lien : https://vimeo.com/865070405?share=copy

Le grand débat a été suivi de la signature d’un double accord avec les réalisateurs et réalisatrices de fiction audiovisuelle, en présence des négociateur.ice.s – Louise Lebecq pour le SPI.

Notre conférence de presse s’est tenue le jeudi 14 septembre à 15h au Bar André. Comme chaque année, les invités étaient très nombreux à souhaiter connaître la position du SPI sur les sujets d’actualité. Le lendemain s’est tenu le “Grand Débat” sur le thème “Plateformisation : Comment réinventer la circulation des oeuvres ?”, en présence de Nora Melhli, Présidente du collège audiovisuel du SPI Vous pouvez retrouver le “Grande Débat” à ce lien : https://vimeo.com/865070405?share=copy Le grand débat a été suivi de la signature d’un double accord avec les réalisateurs et réalisatrices de fiction audiovisuelle, en présence des négociateur.ice.s – Louise Lebecq pour le …

25 septembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Signature d’un double accord pour les réalisatrices et les réalisateurs de fiction audiovisuelle

A l’occasion du 25ème festival de la fiction de la Rochelle, un double accord entre les organisations de producteurs audiovisuels et de réalisateurs et réalisatrices de fiction audiovisuelle a été conclu, mettant fin à 27 ans de vide juridique et fixant un cadre minimum pour les rémunérations des réalisatrices et réalisateurs.

La réalisation d’une œuvre audiovisuelle se singularise par le fait qu’elle comprend deux dimensions qui ne peuvent pas se distinguer :

  • l’exécution matérielle de la conception artistique, comprenant notamment la fonction de direction des équipes de tournage, qui s’effectue dans le cadre d’un lien de subordination à l’égard de la société de production et qui relève d’une rémunération en salaire ;
  • le statut de co-auteur de l’œuvre audiovisuelle, en vertu de l’article L. 113-7 du Code de la propriété intellectuelle, qui relève du droit d’auteur.

La singularité de ce statut a mené à un vide juridique, les réalisatrices et les réalisateurs étant les derniers salariés de plateau à ne pas avoir de salaire minimum fixé dans le cadre de la Convention Collective de la Production Audiovisuelle.

Pour la première fois, une négociation économique globale a permis d’aboutir à la signature de deux accords complémentaires propres aux deux régimes sociaux concernés.

  • D’une part, l’annexe A d’un nouvel accord réalisateur, lui-même annexé à la convention collective de la production audiovisuelle, fixe un salaire minimum journalier, hebdomadaire et mensuel s’appliquant à toutes les réalisatrices et réalisateurs d’œuvres de fiction. Cet accord est signé par les syndicats de producteurs (SPI, USPA, SPECT, SATEV) et trois syndicats représentatifs de salariés (SFR-CGT, SPIAC- CGT, F3C-CFDT).
    Ce salaire minimum est complété par la rémunération en droit d’auteur, qui s’ajoute à la rémunération salariale.
  • D’autre part, un accord interprofessionnel conclu avec les syndicats de producteurs (SPI, USPA, SPECT, SATEV), U2R, la SACD, et trois syndicats représentatifs de salariés (SFR-CGT, SPIAC-CGT, F3C-CFDT) fixe une enveloppe de rémunération globale minimale (salaire + droits d’auteur) en fonction des formatsdes œuvres considérées (90’, séries 52’, séries 26’).
    Cet accord s’applique à toutes les fictions destinées à être diffusées aux heures de grande écoute sur France 2, France 3, TF1 et M6 ainsi qu’à celles produites pour les principales plateformes et pour Canal+.
    Les tournages de pilotes et/ou 1er épisode d’une première saison sont valorisés.

Ces deux accords (annexe A de la convention collective de la production audiovisuelle et accord interprofessionnel ou Enveloppe minimum de réalisation – EMR) sont dépendants l’un de l’autre.
Ils s’appliqueront à tout contrat signé à compter du 1er novembre 2023. Ces accords auront vocation à être accompagnés par des commissions de suivi annuelles qui pourront proposer des modifications, notamment en raison des évolutions de marché constatées.

La Rochelle

Le 15 septembre 2023

Contacts presse

SATEV : Juliette BIMBAUD / j.bimbaud@satev.fr
SPECT : Vincent GISBERT / vincent@spect.fr / 06 18 01 54 34
SPI : Emmanuelle MAUGER – Louise LEBECQ / emauger@lespi.org – llebecq@lespi.org / 06 63 01 83 06 – 06 99 26 07 17
USPA : Jérôme DECHESNE / j.dechesne@uspa.fr / 06 21 22 43 84

SACD : Martin DAWANCE / martin.dawance@sacd.fr / 06 85 12 29 59
U2R : Dominique ATTAL / contactu2r@orange.fr / 06 07 78 97 60

F3C-CFDT : Christophe PAULY / cpauly@f3c.cfdt.fr / 06 63 58 69 35
SFR-cgt : Jean LASSAVE /sfr@sfr-cgt.fr / 06 86 27 40 15
SPIAC-cgt : Laurent BLOIS / dg@spiac-cgt.org / 07 69 06 04 28

A l’occasion du 25ème festival de la fiction de la Rochelle, un double accord entre les organisations de producteurs audiovisuels et de réalisateurs et réalisatrices de fiction audiovisuelle a été conclu, mettant fin à 27 ans de vide juridique et fixant un cadre minimum pour les rémunérations des réalisatrices et réalisateurs. La réalisation d’une œuvre audiovisuelle se singularise par le fait qu’elle comprend deux dimensions qui ne peuvent pas se distinguer : La singularité de ce statut a mené à un vide juridique, les réalisatrices et les réalisateurs étant les derniers salariés de plateau à ne pas avoir de salaire minimum fixé dans le cadre de la Convention Collective de la Production Audiovisuelle. Pour la première fois, une négociation économique globale a permis d’aboutir à la signature de deux accords complémentaires propres aux deux régimes sociaux concernés. Ces deux accords (annexe A de la convention collective de la production audiovisuelle et accord interprofessionnel ou Enveloppe minimum de réalisation – EMR) sont dépendants l’un de l’autre.Ils s’appliqueront à tout contrat signé à compter du 1er novembre 2023. Ces accords auront vocation à être accompagnés par des commissions de suivi annuelles qui pourront proposer des modifications, notamment en raison des évolutions de marché constatées. La Rochelle Le 15 septembre 2023 Contacts presse SATEV : Juliette BIMBAUD / j.bimbaud@satev.frSPECT : Vincent GISBERT / vincent@spect.fr / 06 18 01 54 34SPI : Emmanuelle MAUGER – Louise LEBECQ / emauger@lespi.org – llebecq@lespi.org / 06 63 01 83 06 – 06 99 26 07 17USPA : Jérôme DECHESNE / j.dechesne@uspa.fr / 06 21 22 43 84 SACD : Martin DAWANCE / martin.dawance@sacd.fr / 06 85 12 29 59U2R : Dominique ATTAL / contactu2r@orange.fr / 06 07 78 97 60 F3C-CFDT : Christophe PAULY / cpauly@f3c.cfdt.fr / 06 63 58 69 35SFR-cgt : Jean LASSAVE /sfr@sfr-cgt.fr / 06 86 27 40 15SPIAC-cgt : Laurent BLOIS / dg@spiac-cgt.org / 07 69 06 04 …

15 septembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Signature du 1er accord avec Netflix relatif aux engagements en production audiovisuelle en France

14 septembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Tribune des représentants d’organisations syndicales et professionnelles, de sociétés d’auteurs et d’associations de l’audiovisuel et du cinéma

PÉRENNISONS ET DÉVELOPPONS UN AUDIOVISUEL PUBLIC FORT

Nos organisations regroupent des salariés travaillant directement ou indirectement pour les entreprises de l’Audiovisuel Public, des autrices et auteurs, des journalistes, des réalisatrices et réalisateurs, des entreprises de création, de production et de diffusion d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles.

Depuis plus de dix-huit mois, nous avons alerté, mobilisé, proposé et argumenté pour décrire les dangers d’une déstabilisation de l’Audiovisuel Public, à commencer par la suppression de son mode de financement.  

Nous avons démontré la nécessité de conforter l’Audiovisuel Public, dont l’indépendance de financement par une ressource affectée constitue la meilleure base de l’indépendance éditoriale, pour assumer ses missions : informer, éduquer, divertir.

Nous avons fait des propositions constructives pour adapter la Contribution à l’Audiovisuel Public aux nouveaux usages et la moderniser. Le législateur n’en a pas tenu compte.

Nous avons montré que les entreprises de l’audiovisuel public, France Télévisions, Radio France, l’INA, France Médias Monde, TV5Monde, Arte, dont les audiences n’ont jamais été aussi bonnes, jouent un rôle essentiel de soutien à l’investigation, au pluralisme des idées, à la création et à la diffusion du cinéma de long et de court métrage, de la fiction, du documentaire, du film d’animation, du spectacle vivant, dudivertissement et de la musique.

Que faut-il démontrer de plus sur l’utilité indéniable du service public ? Les assertions « rassurantes » lors des débats parlementaires de l’été 2022 se sont-elles déjà évaporées dans la chaleur de l’été 2023 ? 

Toutes nos organisations vont dans le même sens, celui de la nécessité d’une ressource affectée, pérenne et dynamique assurant l’indépendance éditoriale des médias publics sans dépendre de décisions annuelles faisant courir en permanence un risque de déstabilisation et de fragilisation. Son financement ne peut provenir directement du budget général de l’Etat.

En Europe, les pays qui ont conforté le financement par une ressource affectée ont aussi conforté leurs services publics audiovisuels. A contrario, pour ceux qui ont fait le choix de la budgétisation, le délitement est arrivé rapidement, avec le train des économies et parfois des attaques contre l’indépendance et la liberté, portées par l’extrême droite quand elle est au pouvoir. Ce qui reste pleinement d’actualité en France.

Aujourd’hui, au-delà de nos différences, nous refusons que l’Audiovisuel Public continue d’être maintenu dans une incertitude financière très préjudiciable à son fonctionnement, ses investissements et son avenir, dans un contexte de recomposition complexe du secteur et de concurrence internationale nouvelle sur le marché français.

L’Audiovisuel Public a besoin de visibilité et de moyens pérennes et dynamiques pour faire face aux enjeux majeurs de notre temps, répondre aux besoins des citoyens et assurer son indépendance.

L’Audiovisuel Public a besoin d’une trajectoire financière pluriannuelle solide et à la hauteur de l’ambition que nous voulons pour assurer les missions de service public, conforter et de développer les œuvres et les programmes que nous concevons, fabriquons et diffusons pour et sur nos services publics et affirmer notre culture audiovisuelle.

L’Audiovisuel Public a besoin de moyens pour renforcer le nécessaire débat démocratique sur ses antennes, assurer son développement sur le numérique et permettre de répondre aux enjeux de diversité culturelle, d’information et de lutte prioritaire contre la désinformation de masse.

Première urgence : les arbitrages budgétaires imminents pour le projet de loi de finance 2024 et les Contrats d’Objectifs et de Moyens 2024/2028 doivent pérenniser et renforcer les budgets des entreprises de l’Audiovisuel Public. Sans une décision politique forte, c’est toute la filière audiovisuelle qui s’en trouverait affaiblie.

Signataires :

– ADAMI : ADMINISTRATION DES DROITS DES ARTISTES MUSICIENS INTERPRÈTES
BOUTLEUX Bruno, directeur général de l’ADAMI

– AnimFrance :
KAMINKA Samuel, Président
LE BARS Stéphane, délégué général

AGrAF – AUTEURS GROUPÉS DE L’ANIMATION FRANÇAISE
GAMBRELLE Fabienne, co-présidente scénariste
HÉNOT-LEFÈVRE Gabriel, co-président auteurs graphiques
MOUSCADET Jérôme, co-président réalisateurs

– ARP : SOCIÉTÉ CIVILE DES AUTEURS-RÉALISATEURS-PRODUCTEURS,
HERRY Jeanne, co-présidente
NAKACHE Olivier, co-président
GIRRE Lucie, Déléguée Générale

– CFDT
F3C CFDT – Christophe Pauly, secrétaire national
SNME CFDT – Alexis MORTELETTE, secrétaire général
CFDT Journalistes – Elise DESCAMPS, secrétaire générale
CFDT ARTE FRANCE – Audrey Kamga, déléguée syndicale
CFDT ARTE GEIE – Samuel Bernardeau, délégué syndical
CFDT FMM – Rodolphe Paccard, délégué syndical
CFDT FTV – Yvonne Roehrig, déléguée syndicale centrale
CFDT FTV RFO – Majid Bensmail, délégué syndical central
CFDT INA – Christophe Barbier, délégué syndical
CFDT RADIO FRANCE – Renaud Dalmar, délégué syndical central
CFDT TV5MONDE – Béatrice Combe, déléguée syndicale

– CFE-CGC : FÉDÉRATION CULTURE COMMUNICATION SPECTACLE CFE-CGC
FCCS CFE-CGC : LOUET Pascal, Secrétaire Fédéral CFE-CGC Spectacle Action Culturelle
SAMVA CFE-CGC :  ICARD Jean-Luc, Président
SNAPSA CFE-CGC : HEURTAULT Yannick, Président
SNCAMTC CFE-CGC :  GLEIZE Marc, Président
CFE-CGC  TV5 MONDE : LEGRAS  Cécile, Déléguée Syndicale

– CGT SPECTACLE
CGT SPECTACLE : GRAVOUIL Denis, Secrétaire général de la fédération nationale des syndicats du spectacle, du cinéma, de l’audiovisuel et de l’action culturelle
SNRT CGT France Télévisions :  MOUCHEL Pierre, Secrétaire général
SNRT-CGT Audiovisuel : MAUNIER William, Secrétaire Général
SPIAC CGT : DABRY Claire, Secrétaire générale du Syndicat des professionnels des industries de l’Audiovisuel et du Cinéma CGT
SFR-CGT : LASSAVE JEAN, Secrétaire Général du Syndicat Français des Réalisateurs CGT
INA : PEGURRI Isabelle, déléguée Syndicale CGT de l’Institut National de l’Audiovisuel
CGT Radio France : DURAND Bertrand, Délégué Syndical Central
SNAM CGT : GAUTIER Philippe, Secrétaire général de l’Union nationale des artistes musiciens de France CGT
SFA CGT : SORIN Lucie, pour la délégation du Syndicat français des artistes interprètes

– DIRE – DISTRIBUTEURS INDÉPENDANTS RÉUNIS EUROPÉENS
 
SCOTTA Carole, coprésidente
 LAGESSE Éric, coprésident

– FO : FÉDÉRATION DES ARTS, DU SPECTACLE, DE L’AUDIOVISUEL ET DE LA PRESSE FORCE OUVRIÈRE
CHAZAUD Françoise, Secrétaire générale

– FO MÉDIAS : ENTREPRISES DE MÉDIAS FRANÇAIS DE LA RADIO, TÉLÉVISION, DIFFUSION AUDIOVISUEL, PRODUCTION AUDIOVISUEL, MULTIMÉDIA ET JOURNALISTES DE LA PRESSE ÉCRITE FORCE OUVRIÈRE.
DEMANGE Bruno, Secrétaire national
AFONFO Maria :  FO FRANCE MÉDIAS MONDE
CHAMOIS  Isabelle : FO RADIO FRANCE
HUBERT Hervé :  INA FO
CHAPEAU Bertrand : DSC FO FRANCETV
DROXLER Emeline : DSC FO FRANCETV
LAURET  Claude : DSC FO FRANCETV
BERNARD Renaud : DSC FO

FMM : les sections SNJ-CGT et SNRT-CGT de France Médias Monde

– LA BOUCLE DOCUMENTAIRE
CIBIEN Laurent

Le BAAR, auteur·trices et réalisateur·trices en région Centre-Val de Loire
ROJO Charlie, réalisateur 
PROUX Sophie, réalisatrice 
DA COSTA David, réalisateur 
ARIN PILLOT Gabriel, réalisateur 
AUBRY Nicolas, réalisateur 
VAYRON Isabelle, réalisatrice.

– LMA : LES MONTEURS ASSOCIÉS
MOUTON Camille, co-Présidente
RODINO Giulia, co-Présidente
TOURRES Charlotte, co-Présidente

– SACD : SOCIÉTÉ DES AUTEURS COMPOSITEURS DRAMATIQUES
JALLOT Virginie, présidente
ROGARD Pascal, directeur général

– SATEV : SYNDICAT DES AGENCES DE PRESSE AUDIOVISUELLES
GERIN Christian, Président
BRAKA Florence, déléguée générale

– SCA : SCÉNARISTES DE CINÉMA ASSOCIÉS
BRODY Cyril, Co-président
PEYR Julie, Co-présidente

– SCAM : SOCIÉTÉ CIVILE DES AUTEURS MULTIMÉDIA
LAINÉ Rémi, Président
RONY Hervé, directeur général

– SCFP : SYNDICAT DES CATALOGUES DE FILMS DE PATRIMOINE
JOUTARD Sabrina, présidente

– SNAC : SYNDICAT NATIONAL DES AUTEURS ET DES COMPOSITEURS
DE RENGERVÉ Emmanuel, secrétaire général

– SNAJ-CFTC
DE LIBERA Maximilien – Secrétaire général
Sélim FARES – Négociateur de branche pour l’audiovisuel et le spectacle vivant

– CFTC France Médias Monde
BEKKAR Fatéma – Déléguée syndicale
DE LIBERA Maximilien – Délégué syndical, Secrétaire du CSE
ERRAMI Soufiane – Délégué syndical

– SNJ : SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTES
POUPARD Emmanuel, premier secrétaire général

– SNJ CGT : SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTES CGT
VIRE Emmanuel, secrétaire général

– SPECT : SYNDICAT DES PRODUCTEURS ET CRÉATEURS DE PROGRAMMES AUDIOVISUELS
CAZA Jérôme, président
GISBERT Vincent, délégué général

– SPI : SYNDICAT DES PRODUCTEURS INDÉPENDANTS
SACUTO Gilles, Président, Producteur-TS production

– SRF : SOCIÉTÉ DES RÉALISATRICES ET RÉALISATEURS DE FILMS
FRANCEN Marine, co-présidente
ROPERT Axelle, co-présidente
WALGENWITZ Denis, co-président
BRUN Rosalie, déléguée générale

– SUD MEDIAS TELEVISION
MARIANI Béatrice, secrétaire générale

– SUD RADIO FRANCE
GASPARD Benoît, délégué syndical central

– UNDIA   
LABBÉ Damien, Président – Chef Monteur, Chargé de Post-Production
JOCTEUR-MONROZIER Lauren, Vice-Présidente – Productrice post-production
TEJADO Delphine, Trésorière – Directrice de Production
FREMONT Alexis, Vice-Président – Réalisateur
DEVILLE DUC Vincent, Vice-Président – Chef Opérateur
CHIARETTO Julien, Vice-Président – Chef Monteur

–  UNSA SPECTACLE ET COMMUNICATION
ZEKRI Fouzia, secrétaire générale de la Fédération UNSA Spectacle et Communication 
ATENCIA François, secrétaire général du syndicat UNSA Radio France
CLAIR Alain, secrétaire général du Syndicat Indépendant des Artistes interprètes (SIA-Unsa)
MAETZ Jean-Luc, secrétaire général du Syndicat des Réalisateurs, Créateurs et Collaborateurs du Cinéma, de la Télévision et de l’Audiovisuel (SRCTA)

– USPA : UNION SYNDICALE DE LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE
BUCHER Iris, Productrice, PDG de Quad Drama, Présidente
LE BARS Stéphane, délégué général

– U2R – UNION DES RÉALISATRICES ET RÉALISATEURS
JAOUI  Laurent, Président
[…]

PÉRENNISONS ET DÉVELOPPONS UN AUDIOVISUEL PUBLIC FORT Nos organisations regroupent des salariés travaillant directement ou indirectement pour les entreprises de l’Audiovisuel Public, des autrices et auteurs, des journalistes, des réalisatrices et réalisateurs, des entreprises de création, de production et de diffusion d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles. Depuis plus de dix-huit mois, nous avons alerté, mobilisé, proposé et argumenté pour décrire les dangers d’une déstabilisation de l’Audiovisuel Public, à commencer par la suppression de son mode de financement.   Nous avons démontré la nécessité de conforter l’Audiovisuel Public, dont l’indépendance de financement par une ressource affectée constitue la meilleure base de l’indépendance éditoriale, pour assumer ses missions : informer, éduquer, divertir. Nous avons fait des propositions constructives pour adapter la Contribution à l’Audiovisuel Public aux nouveaux usages et la moderniser. Le législateur n’en a pas tenu compte. Nous avons montré que les entreprises de l’audiovisuel public, France Télévisions, Radio France, l’INA, France Médias Monde, TV5Monde, Arte, dont les audiences n’ont jamais été aussi bonnes, jouent un rôle essentiel de soutien à l’investigation, au pluralisme des idées, à la création et à la diffusion du cinéma de long et de court métrage, de la fiction, du documentaire, du film d’animation, du spectacle vivant, dudivertissement et de la musique. Que faut-il démontrer de plus sur l’utilité indéniable du service public ? Les assertions « rassurantes » lors des débats parlementaires de l’été 2022 se sont-elles déjà évaporées dans la chaleur de l’été 2023 ?  Toutes nos organisations vont dans le même sens, celui de la nécessité d’une ressource affectée, pérenne et dynamique assurant l’indépendance éditoriale des médias publics sans dépendre de décisions annuelles faisant courir en permanence un risque de déstabilisation et de fragilisation. Son financement ne peut provenir directement du budget général de l’Etat. En Europe, les pays qui ont conforté le financement par une ressource affectée ont aussi conforté leurs services publics audiovisuels. A contrario, pour ceux qui ont fait le choix de la budgétisation, le délitement est arrivé rapidement, avec le train des économies et parfois des attaques contre l’indépendance et la liberté, portées par l’extrême droite quand elle est au pouvoir. Ce qui reste pleinement d’actualité en France. Aujourd’hui, au-delà de nos différences, nous refusons que l’Audiovisuel Public continue d’être maintenu dans une incertitude financière très préjudiciable à son fonctionnement, ses investissements et son avenir, dans un contexte de recomposition complexe du secteur et de concurrence internationale nouvelle sur le marché français. L’Audiovisuel Public a besoin de visibilité et de moyens pérennes et dynamiques pour faire face aux enjeux majeurs de notre temps, répondre aux besoins des citoyens et assurer son indépendance. L’Audiovisuel Public a besoin d’une trajectoire financière pluriannuelle solide et à la hauteur de l’ambition que nous voulons pour assurer les missions de service public, conforter et de développer les œuvres et les programmes que nous concevons, fabriquons et diffusons pour et sur nos services publics et affirmer notre culture audiovisuelle. L’Audiovisuel Public a besoin de moyens pour renforcer le nécessaire débat démocratique sur ses antennes, assurer son développement sur le numérique et permettre de répondre aux enjeux de diversité culturelle, d’information et de lutte prioritaire contre la désinformation de masse. Première urgence : les arbitrages budgétaires imminents pour le projet de loi de finance 2024 et les Contrats d’Objectifs et de Moyens 2024/2028 doivent pérenniser et renforcer les budgets des entreprises de l’Audiovisuel Public. Sans une décision politique forte, c’est toute la filière audiovisuelle qui s’en trouverait affaiblie. Signataires : – ADAMI : ADMINISTRATION DES DROITS DES ARTISTES MUSICIENS INTERPRÈTESBOUTLEUX Bruno, directeur général de l’ADAMI – AnimFrance :KAMINKA Samuel, PrésidentLE BARS Stéphane, délégué général – AGrAF – AUTEURS GROUPÉS DE L’ANIMATION FRANÇAISEGAMBRELLE Fabienne, co-présidente scénaristeHÉNOT-LEFÈVRE Gabriel, co-président auteurs graphiquesMOUSCADET Jérôme, co-président réalisateurs – ARP : SOCIÉTÉ CIVILE DES AUTEURS-RÉALISATEURS-PRODUCTEURS,HERRY Jeanne, co-présidenteNAKACHE Olivier, co-présidentGIRRE Lucie, Déléguée Générale – CFDTF3C CFDT – Christophe Pauly, secrétaire nationalSNME CFDT – Alexis MORTELETTE, secrétaire généralCFDT Journalistes – Elise DESCAMPS, secrétaire généraleCFDT ARTE FRANCE – Audrey Kamga, déléguée syndicaleCFDT ARTE GEIE – Samuel Bernardeau, délégué syndicalCFDT FMM – Rodolphe Paccard, délégué syndicalCFDT FTV – Yvonne Roehrig, déléguée syndicale centraleCFDT FTV RFO – Majid Bensmail, délégué syndical centralCFDT INA – Christophe Barbier, délégué syndicalCFDT RADIO FRANCE – Renaud Dalmar, délégué syndical centralCFDT TV5MONDE – Béatrice Combe, déléguée syndicale – CFE-CGC : FÉDÉRATION CULTURE COMMUNICATION SPECTACLE CFE-CGCFCCS CFE-CGC : LOUET Pascal, Secrétaire Fédéral CFE-CGC Spectacle Action CulturelleSAMVA CFE-CGC :  ICARD Jean-Luc, PrésidentSNAPSA CFE-CGC : HEURTAULT Yannick, PrésidentSNCAMTC CFE-CGC :  GLEIZE Marc, PrésidentCFE-CGC  TV5 MONDE : LEGRAS  Cécile, Déléguée Syndicale – CGT SPECTACLECGT SPECTACLE : GRAVOUIL Denis, Secrétaire général de la fédération nationale des syndicats du spectacle, du cinéma, de l’audiovisuel et de l’action culturelleSNRT CGT France Télévisions :  MOUCHEL Pierre, Secrétaire généralSNRT-CGT Audiovisuel : MAUNIER William, Secrétaire GénéralSPIAC CGT : DABRY Claire, Secrétaire générale du Syndicat des professionnels des industries de l’Audiovisuel et du Cinéma CGTSFR-CGT : LASSAVE JEAN, Secrétaire Général du Syndicat Français des Réalisateurs CGTINA : PEGURRI Isabelle, déléguée Syndicale CGT de l’Institut National de l’AudiovisuelCGT Radio France : DURAND Bertrand, Délégué Syndical CentralSNAM CGT : GAUTIER Philippe, Secrétaire général de l’Union nationale des artistes musiciens de France CGTSFA CGT : SORIN Lucie, pour la délégation du Syndicat français des artistes interprètes – DIRE – DISTRIBUTEURS INDÉPENDANTS RÉUNIS EUROPÉENS SCOTTA Carole, coprésidente LAGESSE Éric, coprésident – FO : FÉDÉRATION DES ARTS, DU SPECTACLE, DE L’AUDIOVISUEL ET DE LA PRESSE FORCE OUVRIÈRECHAZAUD Françoise, Secrétaire générale – FO MÉDIAS : ENTREPRISES DE MÉDIAS FRANÇAIS DE LA RADIO, TÉLÉVISION, DIFFUSION AUDIOVISUEL, PRODUCTION AUDIOVISUEL, MULTIMÉDIA ET JOURNALISTES DE LA PRESSE ÉCRITE FORCE OUVRIÈRE.DEMANGE Bruno, Secrétaire nationalAFONFO Maria :  FO FRANCE MÉDIAS MONDECHAMOIS  Isabelle : FO RADIO FRANCEHUBERT Hervé :  INA FOCHAPEAU Bertrand : DSC FO FRANCETVDROXLER Emeline : DSC FO FRANCETVLAURET  Claude : DSC FO FRANCETVBERNARD Renaud : DSC FO – FMM : les sections SNJ-CGT et SNRT-CGT de France Médias Monde – LA BOUCLE DOCUMENTAIRECIBIEN Laurent – Le BAAR, auteur·trices et réalisateur·trices en région Centre-Val de LoireROJO Charlie, réalisateur PROUX Sophie, réalisatrice DA COSTA David, réalisateur ARIN PILLOT Gabriel, réalisateur AUBRY Nicolas, réalisateur VAYRON Isabelle, réalisatrice. – LMA : LES MONTEURS ASSOCIÉSMOUTON Camille, co-PrésidenteRODINO Giulia, co-PrésidenteTOURRES Charlotte, co-Présidente – SACD : SOCIÉTÉ DES AUTEURS COMPOSITEURS DRAMATIQUESJALLOT Virginie, présidenteROGARD Pascal, directeur général – SATEV : SYNDICAT DES AGENCES DE PRESSE AUDIOVISUELLESGERIN Christian, PrésidentBRAKA Florence, déléguée générale – SCA : SCÉNARISTES DE CINÉMA ASSOCIÉSBRODY Cyril, Co-présidentPEYR Julie, Co-présidente – SCAM : SOCIÉTÉ CIVILE DES AUTEURS MULTIMÉDIALAINÉ Rémi, PrésidentRONY Hervé, directeur général – SCFP : SYNDICAT DES CATALOGUES DE FILMS DE PATRIMOINEJOUTARD Sabrina, présidente – SNAC : SYNDICAT NATIONAL DES AUTEURS ET DES COMPOSITEURSDE RENGERVÉ Emmanuel, secrétaire général – SNAJ-CFTCDE LIBERA Maximilien – Secrétaire généralSélim FARES – Négociateur de branche pour l’audiovisuel et le spectacle vivant – CFTC France Médias MondeBEKKAR Fatéma – Déléguée syndicaleDE LIBERA Maximilien – Délégué syndical, Secrétaire du CSEERRAMI Soufiane – Délégué syndical – SNJ : SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTESPOUPARD Emmanuel, premier secrétaire général – SNJ CGT : SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTES CGTVIRE Emmanuel, secrétaire général – SPECT : SYNDICAT DES PRODUCTEURS ET CRÉATEURS DE PROGRAMMES AUDIOVISUELSCAZA Jérôme, présidentGISBERT Vincent, délégué général – SPI : SYNDICAT DES PRODUCTEURS INDÉPENDANTSSACUTO Gilles, Président, Producteur-TS production – SRF : SOCIÉTÉ DES RÉALISATRICES ET RÉALISATEURS DE FILMSFRANCEN Marine, co-présidenteROPERT Axelle, co-présidenteWALGENWITZ Denis, co-présidentBRUN Rosalie, déléguée générale – SUD MEDIAS TELEVISIONMARIANI Béatrice, secrétaire générale – SUD RADIO FRANCEGASPARD Benoît, délégué syndical central – UNDIA   LABBÉ Damien, Président – Chef Monteur, Chargé de Post-ProductionJOCTEUR-MONROZIER Lauren, Vice-Présidente – Productrice post-productionTEJADO Delphine, Trésorière – Directrice de ProductionFREMONT Alexis, Vice-Président – RéalisateurDEVILLE DUC Vincent, Vice-Président – Chef OpérateurCHIARETTO Julien, Vice-Président – Chef Monteur –  UNSA SPECTACLE ET COMMUNICATIONZEKRI Fouzia, secrétaire générale de la Fédération UNSA Spectacle et Communication ATENCIA François, secrétaire général du syndicat UNSA Radio FranceCLAIR Alain, secrétaire général du Syndicat Indépendant des Artistes interprètes (SIA-Unsa)MAETZ Jean-Luc, secrétaire général du Syndicat des Réalisateurs, Créateurs et Collaborateurs du Cinéma, de la Télévision et de l’Audiovisuel (SRCTA) – USPA : UNION SYNDICALE DE LA PRODUCTION AUDIOVISUELLEBUCHER Iris, Productrice, PDG de Quad Drama, PrésidenteLE BARS Stéphane, délégué général – U2R – UNION DES RÉALISATRICES ET RÉALISATEURSJAOUI  Laurent, …

11 septembre 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Bureaux à louer – Métro Père Lachaise

28 août 2023Annoncesannonces
Loue bureau 20 m2

Nous sous louons dans le 9eme ( métro Saint Georges, Cadet ou Anvers) un bureau de 20m2 équipé et fraichement repeint. Bureaux, fauteuils de bureaux et canapé. 4 postes de travail possibles. Lumineux. Balcon.

Courte ou longue durée.

980 € / mois (eau, électricité, internet et ménage compris). Accès aux espace commun ( café, frigo, micro-ondes etc..).

Contact : Julien ou Emilie 01 42 93 56 64 / emilie@takami-productions.com

Nous sous louons dans le 9eme ( métro Saint Georges, Cadet ou Anvers) un bureau de 20m2 équipé et fraichement repeint. Bureaux, fauteuils de bureaux et canapé. 4 postes de travail possibles. Lumineux. Balcon. Courte ou longue durée. 980 € / mois (eau, électricité, internet et ménage compris). Accès aux espace commun ( café, frigo, micro-ondes etc..). Contact : Julien ou Emilie 01 42 93 56 64 / …

21 août 2023Annoncesannonces
Le SPI au Sunny Side of the Doc 2023

Cette année encore, il y avait foule sur le stand du SPI. Nous avons été heureux d’accueillir nos membres et mettre notre espace à leur disposition pour l’organisation de leurs rencontres professionnelles.

Notre conférence de presse – dans le cadre de l’année du Documentaire – s’est tenue le mercredi 21 juin devant une salle comble.

Et comme tout moment se termine par le verre de l’amitié, notre cocktail était baigné par le soleil de La Rochelle.

Cliquez sur le visuel ci-dessous pour découvrir le diaporama des affiches des productions de nos membres

Catalogue des productions de nos membres présents au Sunny Side of the Doc 👇

Cette année encore, il y avait foule sur le stand du SPI. Nous avons été heureux d’accueillir nos membres et mettre notre espace à leur disposition pour l’organisation de leurs rencontres professionnelles. Notre conférence de presse – dans le cadre de l’année du Documentaire – s’est tenue le mercredi 21 juin devant une salle comble. Et comme tout moment se termine par le verre de l’amitié, notre cocktail était baigné par le soleil de La Rochelle. Cliquez sur le visuel ci-dessous pour découvrir le diaporama des affiches des productions de nos membres Catalogue des productions de nos membres présents au Sunny Side of the Doc …

22 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses membres pour leurs Étoiles de la SCAM 2023 décernées au cours du Sunny Side of the Doc – La Rochelle

America de Giacomo Abbruzzese
La Luna Productions

Austral de Benjamin Colaux
Little Big Story

Chaylla de Paul Pirritano et Clara Teper
Novanima

Colette et Justin, une histoire congolaise d’Alain Kassanda
L’Image d’après

Et j’aime à la fureur d’André Bonzel
Les Films du Poisson

Far West, l’histoire oubliée de Mathilde Damoisel et Tomas van Houtryve
Les Films d’Ici

Ghost song
de Nicolas Peduzzi, écrit par Aude Thuries en collaboration avec Léon Chatiliez
GoGoGo Films

Inner lines de Pierre-Yves Vanderweerd
Les Films d’Ici

Issac Asimov, l’étrange testament du père des robots de Mathias Théry
Kepler22 Productions

Les 54 premières années : manuel abrégé d’occupation militaire
d’Avi Mograbi
Les Films d’Ici – 24 Images

Les années Super 8 de David Ernaux-Briot, écrit par Annie Ernaux
Les Films Pelléas

Tranchées de Loup Bureau
Unité

Solid de Marius Vanmalle
13 Prods

Les producteurs indépendants mènent un travail d’accompagnement de toute la diversité du documentaire. Ces films étoilés sont destinés à tous types de diffuseurs : linéaires, nationaux, locaux, internationaux et plateformes. Ils portent une attention particulière à l’émergence, à l’exigence et au renouveau de la création française dont nous sommes fiers.

America de Giacomo AbbruzzeseLa Luna Productions Austral de Benjamin ColauxLittle Big Story Chaylla de Paul Pirritano et Clara TeperNovanima Colette et Justin, une histoire congolaise d’Alain KassandaL’Image d’après Et j’aime à la fureur d’André BonzelLes Films du Poisson Far West, l’histoire oubliée de Mathilde Damoisel et Tomas van HoutryveLes Films d’Ici Ghost songde Nicolas Peduzzi, écrit par Aude Thuries en collaboration avec Léon ChatiliezGoGoGo Films Inner lines de Pierre-Yves VanderweerdLes Films d’Ici Issac Asimov, l’étrange testament du père des robots de Mathias ThéryKepler22 Productions Les 54 premières années : manuel abrégé d’occupation militaired’Avi MograbiLes Films d’Ici – 24 Images Les années Super 8 de David Ernaux-Briot, écrit par Annie ErnauxLes Films Pelléas Tranchées de Loup BureauUnité Solid de Marius Vanmalle13 Prods Les producteurs indépendants mènent un travail d’accompagnement de toute la diversité du documentaire. Ces films étoilés sont destinés à tous types de diffuseurs : linéaires, nationaux, locaux, internationaux et plateformes. Ils portent une attention particulière à l’émergence, à l’exigence et au renouveau de la création française dont nous sommes …

20 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Palmarès du Festival d’Annecy : Bravo à nos membres pour leurs films primés !

19 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communqué de presse – ADN, AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI, l’USPA et la SACD signent un premier accord en faveur de l’animation française

14 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse – Proposition de loi relative à la réforme de l’audiovisuel public et à la souveraineté culturelle : le retour des vieilles lunes.

12 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse – Mission sur l’avenir de l’audiovisuel public : de nombreux constats et préconisations partagés, hormis la suppression du parrainage et la création d’une holding

Nous saluons sans réserve les constats posés par messieurs les députés Jean Jacques Gaultier et Quentin Bataillon :

« Nous sommes arrivés au terme de l’exercice de contrainte budgétaire, les entités devant faire face à leurs engagements et à leurs besoins dans de bonnes conditions, sans restreindre les budgets de programmes.

Si la tendance se poursuivait, elle engendrerait de vrais risques pour le financement de la création et le niveau de l’emploi ».

L’audiovisuel public offre aujourd’hui une programmation diversifiée et différenciante, qui remporte des succès d’audience. L’enjeu est de tenir ces exigences. Face au contexte d’élargissement du marché de la diffusion commerciale, au développement des fausses informations, notre audiovisuel public sous financé de manière chronique depuis des décennies, doit absolument être renforcé pour tenir ses ambitions.

Le SPI se réjouit des préconisations du rapport de l’Assemblée nationale en matière de financement du service public :

  • Quote-part de TVA fléchée dans un compte de concours financier spécifique assortie d’une proposition de loi d’ores et déjà déposée pour réformer la loi organique des lois de finances ; 
  • Prélèvement sur recettes au bénéfice de la société européenne ARTE

Deux mesures essentielles voulues par les parlementaires, fortement soutenues par le SPI dès l’été 2022.

En revanche, nous nous élevons avec force contre une suppression des programmes de parrainage en soirée qui représente immédiatement un manque à gagner estimé à plus de 140 millions d’euros pour France Télévisions.

Nous rappelons à cet égard qu’en 2009 la suppression de la publicité en soirée devait être compensée par une nouvelle taxe sur le chiffre d’affaires des opérateurs (TOCE) pour un montant d’environ 400M€. Cette compensation a entièrement disparu au fil des années.

Nous voulons redire avec constance que le financement d’une suppression de recettes par une taxation de ses concurrents n’est pas une solution.

De plus, dans le contexte actuel de mutation très rapide de nos secteurs, il est fondamental que les entreprises publiques s’orientent vers encore plus d’agilité de gestion et non vers plus de verticalisation de leur centre de décision. Nous croyons à la nécessité des logiques de coopérations en matière de développement des outils et des bases de données numériques. Il faut développer une offre numérique de service public puissante.

Mais la création d’une holding n’est pas de nature selon nous à favoriser une meilleure adaptation du service public de l’audiovisuel à son environnement concurrentiel en mutation rapide. Il faut plutôt d’avantage de coopération et de prévisibilité au travers de contrats d’objectifs et de moyens renforcés et surtout respectés.

Il faut de la souplesse, de l’agilité, de l‘adaptabilité, au travers de partenariats au plus près des projets renforçant des missions d’éducation aux médias, notamment des plus jeunes, de diffusion de la culture à des heures d’écoute significative sur toutes les offres, de promotion de la diversité des territoires, des regards, des talents, de créations innovantes.

A l’heure où le Gouvernement consacre plus de 350M€ dans un plan France 2030 visant à déployer des lieux de tournage et à renforcer la formation de nos filières, la priorité est d’investir dans le renforcement de notre premier partenaire, celui de la création : l’audiovisuel public. 

Contact Presse :
Sébastien Colin – Délégué général : 01 44 70 70 44

Le SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset – 75011 Paris

Nous saluons sans réserve les constats posés par messieurs les députés Jean Jacques Gaultier et Quentin Bataillon : « Nous sommes arrivés au terme de l’exercice de contrainte budgétaire, les entités devant faire face à leurs engagements et à leurs besoins dans de bonnes conditions, sans restreindre les budgets de programmes. Si la tendance se poursuivait, elle engendrerait de vrais risques pour le financement de la création et le niveau de l’emploi ». L’audiovisuel public offre aujourd’hui une programmation diversifiée et différenciante, qui remporte des succès d’audience. L’enjeu est de tenir ces exigences. Face au contexte d’élargissement du marché de la diffusion commerciale, au développement des fausses informations, notre audiovisuel public sous financé de manière chronique depuis des décennies, doit absolument être renforcé pour tenir ses ambitions. Le SPI se réjouit des préconisations du rapport de l’Assemblée nationale en matière de financement du service public : Quote-part de TVA fléchée dans un compte de concours financier spécifique assortie d’une proposition de loi d’ores et déjà déposée pour réformer la loi organique des lois de finances ;  Prélèvement sur recettes au bénéfice de la société européenne ARTE Deux mesures essentielles voulues par les parlementaires, fortement soutenues par le SPI dès l’été 2022. En revanche, nous nous élevons avec force contre une suppression des programmes de parrainage en soirée qui représente immédiatement un manque à gagner estimé à plus de 140 millions d’euros pour France Télévisions. Nous rappelons à cet égard qu’en 2009 la suppression de la publicité en soirée devait être compensée par une nouvelle taxe sur le chiffre d’affaires des opérateurs (TOCE) pour un montant d’environ 400M€. Cette compensation a entièrement disparu au fil des années. Nous voulons redire avec constance que le financement d’une suppression de recettes par une taxation de ses concurrents n’est pas une solution. De plus, dans le contexte actuel de mutation très rapide de nos secteurs, il est fondamental que les entreprises publiques s’orientent vers encore plus d’agilité de gestion et non vers plus de verticalisation de leur centre de décision. Nous croyons à la nécessité des logiques de coopérations en matière de développement des outils et des bases de données numériques. Il faut développer une offre numérique de service public puissante. Mais la création d’une holding n’est pas de nature selon nous à favoriser une meilleure adaptation du service public de l’audiovisuel à son environnement concurrentiel en mutation rapide. Il faut plutôt d’avantage de coopération et de prévisibilité au travers de contrats d’objectifs et de moyens renforcés et surtout respectés. Il faut de la souplesse, de l’agilité, de l‘adaptabilité, au travers de partenariats au plus près des projets renforçant des missions d’éducation aux médias, notamment des plus jeunes, de diffusion de la culture à des heures d’écoute significative sur toutes les offres, de promotion de la diversité des territoires, des regards, des talents, de créations innovantes. A l’heure où le Gouvernement consacre plus de 350M€ dans un plan France 2030 visant à déployer des lieux de tournage et à renforcer la formation de nos filières, la priorité est d’investir dans le renforcement de notre premier partenaire, celui de la création : l’audiovisuel public.  Contact Presse :Sébastien Colin – Délégué général : 01 44 70 70 44 Le SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset – 75011 …

9 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Cannes 2023 : Le SPI exprime sa joie, sa fierté et sa solidarité avec toute l’équipe d’Anatomie d’une chute.

Communiqué de presse

Paris, le 31 mai

Festival de Cannes 2023 : Le SPI exprime sa joie, sa fierté et sa solidarité avec toute l’équipe d’Anatomie d’une chute.

Deux Palmes d’Or et une Caméra d’Or pour les productrices et producteurs du SPI !

Un immense bravo pour la Palme d’Or attribuée au film Anatomie d’une chute réalisé par Justine Triet, produit par David Thion (Les Films Pelléas) et Marie-Ange Luciani (Les Films de Pierre). Ce prix met en lumière le parcours remarquable de ces deux producteurs indépendants, qui ont à cœur, depuis de nombreuses années, de défendre l’émergence de nouveaux talents et ont ainsi permis à des œuvres singulières, porteuses d’une véritable exigence artistique, de voir le jour. 

Le SPI apporte son soutien entier et total à l’équipe du film Anatomie d’une Chute réalisé par Justine Triet face aux attaques dont elle fait l’objet depuis la Cérémonie de Clôture. Le SPI souhaite rappeler à cet égard son attachement indéfectible à la liberté d’expression et à la préservation de l’exception culturelle.

Le SPI félicite par ailleurs Emmanuel-Alain Raynal et Pierre Baussaron (Miyu Productions) pour la Palme d’Or du Court-Métrage décernée au film d’animation 27 réalisé par Flora Anna Buda. Cette Palme récompense le travail de la société de production, depuis quinze ans, pour les autrices et auteurs d’animation et en faveur de la visibilité de l’animation dans le secteur.

Enfin, le Syndicat se réjouit de la Caméra d’Or attribuée à L’Arbre aux papillons d’or de Tien An Pham coproduit par Marie Dubas (Deuxième Ligne Films).

Ces prestigieuses récompenses nous encouragent plus que jamais à poursuivre notre combat pour garantir et pérenniser l’existence d’un écosystème vertueux, emblématique de l’exception culturelle, fondé sur la liberté de création, seule à même de garantir l’excellence, la diversité des œuvres et leur rayonnement dans le monde.

Bravo Marie-Ange, Bravo David, Bravo Emmanuel-Alain, Bravo Pierre et Bravo Marie !

6 juin 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
À louer : bureaux en open space (préparation)
Nous avons des grands bureaux en open space de prépa à louer dès maintenant et pour tout l’été dont 2 salles de réunion
 
– Superficie 150 m2
– Possibilité de stocker dru matériel, costumes …
– salle de visionnage avec 2 écrans et un vidéo projecteur
– Une dizaine de postes de travail, internet fibre, photocopieur couleur…
– 42 Rue Sedaine Paris 11 au premier étage, possibilité de rentrer une voiture dans la cour pour décharger le matériel.
– Prix au mois à discuter sur place.
 
Contact Ludovic HENRY : 06 80 66 37 01
 
 

Nous avons des grands bureaux en open space de prépa à louer dès maintenant et pour tout l’été dont 2 salles de réunion   – Superficie 150 m2 – Possibilité de stocker dru matériel, costumes … – salle de visionnage avec 2 écrans et un vidéo projecteur – Une dizaine de postes de travail, internet fibre, photocopieur couleur… – 42 Rue Sedaine Paris 11 au premier étage, possibilité de rentrer une voiture dans la cour pour décharger le matériel. – Prix au mois à discuter sur place.   Contact Ludovic HENRY : 06 80 66 37 01   …

5 juin 2023Annoncesannonces
Cannes 2023 : Bravo à nos membres récompensés !

Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs et productrices pour les nombreuses et prestigieuses récompenses obtenues lors de la 76ème édition du Festival de Cannes

Le SPI salue ainsi l’engagement des producteurs indépendants qui ont à cœur de créer des œuvres singulières, porteuses de sens pour le public et qui participent du rayonnement de la France dans le monde.

FESTIVAL DE CANNES

SÉLECTION OFFICIELLE – COMPÉTITION

Palme d’or

Anatomie d’une chute de Justine Triet, produit par Les Films Pelléas et Les Films de Pierre

Palme d’or du court métrage

27 de Flóra Anna Buda, produit par Miyu Productions

*    *    *

Caméra d’or

L’Arbre aux papillons d’or de Tien An Pham, coproduit par Deuxième Ligne Films

SÉLECTION OFFICIELLE – UN CERTAIN REGARD

Prix de la Nouvelle Voix

Augure de Baloji, coproduit par Special Touch Studios

Prix de la Liberté

Goodbye Julia de Mohamed Kordofani, coproduit par Dolce Vita Films

Prix FIPRESCI

Les Colons de Felipe Galvez, coproduit par Ciné-Sud Promotion

SEMAINE DE LA CRITIQUE

Prix French Touch du jury

Il pleut dans la maison de Paloma Sermon-Daï, coproduit par Kidam

Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation

Jovan Ginić pour Lost Country de Vladimir Perišić, produit par KinoElektron

Prix Découverte Leitz Cine du court métrage

Prix Canal+ du court métrage






Boléro de Nans Laborde-Jourdàa, produit par Wrong Films

Prix FIPRESCI

Levante de Lillah Halla coproduit par In Vivo Films

PRIX ECOPROD

Prix Ecoprod France

Acide de Just Philippot, produit par Bonne Pioche Cinéma

Prix Ecoprod International

La Chimera d’Alice Rohrwacher, coproduit par Ad Vitam Production

PRIX DE l’AFCAE

La Chimera d’Alice Rohrwacher, coproduit par Ad Vitam Production

PRIX DE LA CST

Prix de la jeune technicienne de cinéma

Anne-Sophie Delseries, cheffe décoratrice du film Le Théorème de Marguerite d’Anna Novion, produit par TS Productions

PRIX UNIFRANCE DU COURT MÉTRAGE

Prix Grand Action

Cœur béton d’Enrika Panero, produit par Takami Productions

Prix d’interprétation féminine

 Lou Deleuze dans Les Dents du bonheur de Joséphine Darcy Hopkins, produit par To Be Continued (TBC)

Prix d’interprétation masculine

Théo Augier Bonaventure dans Coupeur de route de Christophe Granger, produit par Haïku Films

Prix RTBF (Belgique)

Les Dents du bonheur de Joséphine Darcy Hopkins, produit par To Be Continued (TBC)

PRIX PIERRE CHEVALIER

Jean-Baptiste Durand (réalisateur)et Anaïs Bertrand (productrice) pour Chien de la Casse produit par Insolence Productions

Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs et productrices pour les nombreuses et prestigieuses récompenses obtenues lors de la 76ème édition du Festival de Cannes Le SPI salue ainsi l’engagement des producteurs indépendants qui ont à cœur de créer des œuvres singulières, porteuses de sens pour le public et qui participent du rayonnement de la France dans le monde. FESTIVAL DE CANNES SÉLECTION OFFICIELLE – COMPÉTITION Palme d’or Anatomie d’une chute de Justine Triet, produit par Les Films Pelléas et Les Films de Pierre Palme d’or du court métrage 27 de Flóra Anna Buda, produit par Miyu Productions *    *    * Caméra d’or L’Arbre aux papillons d’or de Tien An Pham, coproduit par Deuxième Ligne Films SÉLECTION OFFICIELLE – UN CERTAIN REGARD Prix de la Nouvelle Voix Augure de Baloji, coproduit par Special Touch Studios Prix de la Liberté Goodbye Julia de Mohamed Kordofani, coproduit par Dolce Vita Films Prix FIPRESCI Les Colons de Felipe Galvez, coproduit par Ciné-Sud Promotion SEMAINE DE LA CRITIQUE Prix French Touch du jury Il pleut dans la maison de Paloma Sermon-Daï, coproduit par Kidam Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation Jovan Ginić pour Lost Country de Vladimir Perišić, produit par KinoElektron Prix Découverte Leitz Cine du court métrage Prix Canal+ du court métrage




 Boléro de Nans Laborde-Jourdàa, produit par Wrong Films Prix FIPRESCI Levante de Lillah Halla coproduit par In Vivo Films PRIX ECOPROD Prix Ecoprod France Acide de Just Philippot, produit par Bonne Pioche Cinéma Prix Ecoprod International La Chimera d’Alice Rohrwacher, coproduit par Ad Vitam Production — PRIX DE l’AFCAE La Chimera d’Alice Rohrwacher, coproduit par Ad Vitam Production — PRIX DE LA CST Prix de la jeune technicienne de cinéma Anne-Sophie Delseries, cheffe décoratrice du film Le Théorème de Marguerite d’Anna Novion, produit par TS Productions — PRIX UNIFRANCE DU COURT MÉTRAGE Prix Grand Action Cœur béton d’Enrika Panero, produit par Takami Productions Prix d’interprétation féminine  Lou Deleuze dans Les Dents du bonheur de Joséphine Darcy Hopkins, produit par To Be Continued (TBC) Prix d’interprétation masculine Théo Augier Bonaventure dans Coupeur de route de Christophe Granger, produit par Haïku Films Prix RTBF (Belgique) Les Dents du bonheur de Joséphine Darcy Hopkins, produit par To Be Continued (TBC) — PRIX PIERRE CHEVALIER Jean-Baptiste Durand (réalisateur)et Anaïs Bertrand (productrice) pour Chien de la Casse produit par Insolence …

31 mai 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
CANNES – sous-Location chambre d’Hotel (triple) – la nuit du 17 mai

Bonjour à toutes et tous,

Nous sous-louons une chambre triple à l’hotel Anna Livia pour la nuit du 17 mai 2023 au prix de 365€ suite à un désistement.

Pour toutes infos complémentaires ou si vous êtes intéressé.e vous pouvez me contacter au 06 79 95 74 47

Bonne journée,

Bien à vous,

Julia Gondoux

LILIES FILMS

Bonjour à toutes et tous, Nous sous-louons une chambre triple à l’hotel Anna Livia pour la nuit du 17 mai 2023 au prix de 365€ suite à un désistement. Pour toutes infos complémentaires ou si vous êtes intéressé.e vous pouvez me contacter au 06 79 95 74 47 Bonne journée, Bien à vous, Julia Gondoux LILIES …

16 mai 2023Annoncesannonces
CANNES – 2 pièces 16-28 MAI

Très agréable 2 pièces de 55m2, situé rue du 14 juillet (angle rue Pasteur), à 5 minutes à pied du Carlton et du Miramar. Disponible dès le 16 mai, pour toute la durée du festival.
Contacter la propriétaire Madame Olga Mouchabac au 06 03 97 36 54.

Photos : https://www.dropbox.com/sh/xj3vr3qpry842ta/AABPU7y_PA8cnDFL2MsNPgDba?dl=0

 

Très agréable 2 pièces de 55m2, situé rue du 14 juillet (angle rue Pasteur), à 5 minutes à pied du Carlton et du Miramar. Disponible dès le 16 mai, pour toute la durée du festival. Contacter la propriétaire Madame Olga Mouchabac au 06 03 97 36 54. Photos : https://www.dropbox.com/sh/xj3vr3qpry842ta/AABPU7y_PA8cnDFL2MsNPgDba?dl=0 …

14 mai 2023Annoncesannonces
CANNES – TGV Paris / Cannes mercredi 17 MAI

Bonjour à toutes et tous,

Il nous reste 3 places sur notre billet groupé Paris/Cannes du mercredi 17 mai à 06h29.

Départ 06h29 à Gare de Lyon / Arrivée 12h26 à Cannes (correspondance à Marseille)

Billet en première – tarif à 185€/pers.

Me contacter au 06 79 95 74 47 ou à julia@liliesfilms.com si intéressé.e

Bien à vous,

Julia Gondoux

LILIES FILMS

Bonjour à toutes et tous, Il nous reste 3 places sur notre billet groupé Paris/Cannes du mercredi 17 mai à 06h29. Départ 06h29 à Gare de Lyon / Arrivée 12h26 à Cannes (correspondance à Marseille) Billet en première – tarif à 185€/pers. Me contacter au 06 79 95 74 47 ou à julia@liliesfilms.com si intéressé.e Bien à vous, Julia Gondoux LILIES …

13 mai 2023Annoncesannonces
Location Chambres Cannes

Bonjour à tous

Un  petit signe pour vous dire qu’Eaux Vives loue à nouveau un appartement à Cannes cette année.

Je vous écris afin de vous donner quelques informations sur la chambre dans l’appartement que nous occupons durant toute la durée du Festival de Cannes, situé au 41, rue Félix Faure, 06400 Cannes.

Petite précision, la chambre est sans fenêtre mais l’appartement est très ouvert. Il y a deux lits séparés. Elle sera disponible du 16 au 18 au soir, puis à nouveau du 23 au 26 au soir. Le tarif est de 80 euros/personne, soit 160 euros/nuit.

N’hésitez pas à me contacter au 06 61 49 78 37

Bien à vous,

Xénia Maingot

Bonjour à tous Un  petit signe pour vous dire qu’Eaux Vives loue à nouveau un appartement à Cannes cette année. Je vous écris afin de vous donner quelques informations sur la chambre dans l’appartement que nous occupons durant toute la durée du Festival de Cannes, situé au 41, rue Félix Faure, 06400 Cannes. Petite précision, la chambre est sans fenêtre mais l’appartement est très ouvert. Il y a deux lits séparés. Elle sera disponible du 16 au 18 au soir, puis à nouveau du 23 au 26 au soir. Le tarif est de 80 euros/personne, soit 160 euros/nuit. N’hésitez pas à me contacter au 06 61 49 78 37 Bien à vous, Xénia …

11 mai 2023Annoncesannonces
Cannes 2023 : 48 films produits par des membres du SPI parmi les sélections.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) félicite chaleureusement ses adhérent.e.s pour leurs 48 sélections au 76ème Festival de Cannes.

Le SPI se réjouit de retrouver toute la diversité des œuvres produites par ses membres, en sélection officielle (Compétition officielle, Un Certain Regard, Cannes Premières, Séances Spéciales) et dans les sélections parallèles (La Quinzaine des Cinéastes, La Semaine de la Critique et la Sélection ACID).

– SÉLECTION OFFICIELLE –

Compétition officielle

Longs métrages 

Film d’Ouverture (hors compétition) : Jeanne du Barry de Maïwenn, produit par Why Not Productions

Anatomie d’une chute de Justine Triet, produit par Les Films Pelléas et Les Films de Pierre

Le Retour de Catherine Corsini,produit par CHAZ Productions

Jeunesse de Wang Bing,produit par Gladys Glover Films et House on Fire

La Chimera d’Alice Rohrwacher, coproduit par Ad Vitam Production

Rapito de Marco Bellocchio, coproduit par Ad Vitam Production

The Old Oak de Ken Loach, coproduit par Why Not Productions

Courts métrages

27 de Flóra Anna Buda, coproduit par Miyu Productions

Aunque es de Noche (Malgré la nuit) de Guillermo García López, coproduit par Les Valseurs

Un Certain Regard

Film de clôture (hors compétition) : Une nuit d’Alex Lutz, produit par Maneki Films

Salem de Jean-Bernard Marlin, produit par Unité 

Augure de Baloji, coproduit par Special Touch Studios

Goodbye Julia de Mohamed Kordofani, coproduit par Dolce Vita Films

Les Colons de Felipe Gálvez, coproduit par Ciné-Sud Promotion

Rien à perdre de Delphine Deloget, coproduit par Unité

Si seulement je pouvais hiberner de Zoljargal Purevdash, coproduit par Urban Group

Séances de minuit

Acide de Just Philippot, produit par Bonne Pioche Cinéma

Cannes Première

Eureka de Lisandro Alonso, produit par Slot Machine

Le temps d’aimer de Katell Quillévéré, produit par Les Films du Bélier et Les Films Pelléas

Séances spéciales

Le théorème de Marguerite d’Anna Novion, produit par TS Productions

Little Girl Blue de Mona Achache, produit par Les Films du Poisson

Man in Black de Wang Bing, produit par Gladys Glover Films

Cannes Classics

Godard par Godard de Florence Platarets, produit par Ex Nihilo

Viva Varda ! de Pierre-Henri Gibert, coproduit par Ciné-Tamaris

Le Cinéma de la Plage

Avant-première mondiale : Mars Express de Jérémie Périn, produit par Everybody on Deck

– SEMAINE DE LA CRITIQUE –

Compétition

Longs métrages 

Film d’Ouverture

Ama Gloria de Marie Amachoukeli, produit par Lilies Films

Lost Country de Vladimir Perišić, produit par KinoElektron

Il pleut dans la maison de Paloma Sermon-Daï, coproduit par Kidam

Levante de Lillah Halla, coproduit par In Vivo Films

Courts métrages

Boléro de Nans Laborde-Jourdàa, produit par Wrong Films

I promise you paradise de Morad Mostafa, produit par Wrong Films

Via Dolorosa de Rachel Gutgarts, produit par Miyu Productions

Séances spéciales

Longs-métrages

Vincent doit mourir de Stéphan Castang, produit par Capricci et Bobi Lux

Le Syndrome des amours passées de Ann Sirot & Raphaël Balboni

coproduit par Tripode Productions

Courts métrages

Midnight Skin de Manolis Mavris, produit par Paraíso Production

Pleure pas Gabriel de Mathilde Chavanne, produit par Apaches Films

– LA QUINZAINE DES CINÉASTES –

Longs métrages 

Conann de Bertrand Mandico, produit par Floréal Films

L’autre Laurens de Claude Schmitz, produit par Chevaldeuxtrois

Agra de Kanu Behl, coproduit par UFO Production

Inside the Yellow Cocoon Shell dePham Thien An, coproduit par Deuxième Ligne Films

Courts métrages 

Dans la tête un orage de Clément Pérot, produit par Jonas Films

Il Compleanno di Enrico de Francesco Sossai, coproduit par Kidam

– SÉLECTION ACID –

Caiti Blues de Justine Harbonnier, produit par Sister Productions

État Limite de Nicolas Peduzzi produit par GoGoGo Films

Linda veut du poulet ! de Chiara Malta & Sébastien Laudenbach produit par Dolce Vita Films et Miyu Productions

In the rearview de Maciek Hamela coproduit par SaNoSi Productions

Laissez-moi de Maxime Rappaz, coproduit par Paraíso Production

Machtat de Sonia Ben Slama, coproduit par Alter Ego Production

Contact : Sébastien COLIN – Délégué général – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44 – info@lespi.org

Le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) félicite chaleureusement ses adhérent.e.s pour leurs 48 sélections au 76ème Festival de Cannes. Le SPI se réjouit de retrouver toute la diversité des œuvres produites par ses membres, en sélection officielle (Compétition officielle, Un Certain Regard, Cannes Premières, Séances Spéciales) et dans les sélections parallèles (La Quinzaine des Cinéastes, La Semaine de la Critique et la Sélection ACID). – SÉLECTION OFFICIELLE – Compétition officielle Longs métrages  Film d’Ouverture (hors compétition) : Jeanne du Barry de Maïwenn, produit par Why Not Productions Anatomie d’une chute de Justine Triet, produit par Les Films Pelléas et Les Films de Pierre Le Retour de Catherine Corsini,produit par CHAZ Productions Jeunesse de Wang Bing,produit par Gladys Glover Films et House on Fire La Chimera d’Alice Rohrwacher, coproduit par Ad Vitam Production Rapito de Marco Bellocchio, coproduit par Ad Vitam Production The Old Oak de Ken Loach, coproduit par Why Not Productions Courts métrages 27 de Flóra Anna Buda, coproduit par Miyu Productions Aunque es de Noche (Malgré la nuit) de Guillermo García López, coproduit par Les Valseurs Un Certain Regard Film de clôture (hors compétition) : Une nuit d’Alex Lutz, produit par Maneki Films Salem de Jean-Bernard Marlin, produit par Unité  Augure de Baloji, coproduit par Special Touch Studios Goodbye Julia de Mohamed Kordofani, coproduit par Dolce Vita Films Les Colons de Felipe Gálvez, coproduit par Ciné-Sud Promotion Rien à perdre de Delphine Deloget, coproduit par Unité Si seulement je pouvais hiberner de Zoljargal Purevdash, coproduit par Urban Group Séances de minuit Acide de Just Philippot, produit par Bonne Pioche Cinéma Cannes Première Eureka de Lisandro Alonso, produit par Slot Machine Le temps d’aimer de Katell Quillévéré, produit par Les Films du Bélier et Les Films Pelléas Séances spéciales Le théorème de Marguerite d’Anna Novion, produit par TS Productions Little Girl Blue de Mona Achache, produit par Les Films du Poisson Man in Black de Wang Bing, produit par Gladys Glover Films Cannes Classics Godard par Godard de Florence Platarets, produit par Ex Nihilo Viva Varda ! de Pierre-Henri Gibert, coproduit par Ciné-Tamaris Le Cinéma de la Plage Avant-première mondiale : Mars Express de Jérémie Périn, produit par Everybody on Deck – SEMAINE DE LA CRITIQUE – Compétition Longs métrages  Film d’Ouverture Ama Gloria de Marie Amachoukeli, produit par Lilies Films Lost Country de Vladimir Perišić, produit par KinoElektron Il pleut dans la maison de Paloma Sermon-Daï, coproduit par Kidam Levante de Lillah Halla, coproduit par In Vivo Films Courts métrages Boléro de Nans Laborde-Jourdàa, produit par Wrong Films I promise you paradise de Morad Mostafa, produit par Wrong Films Via Dolorosa de Rachel Gutgarts, produit par Miyu Productions Séances spéciales Longs-métrages Vincent doit mourir de Stéphan Castang, produit par Capricci et Bobi Lux Le Syndrome des amours passées de Ann Sirot & Raphaël Balboni coproduit par Tripode Productions Courts métrages Midnight Skin de Manolis Mavris, produit par Paraíso Production Pleure pas Gabriel de Mathilde Chavanne, produit par Apaches Films – LA QUINZAINE DES CINÉASTES – Longs métrages  Conann de Bertrand Mandico, produit par Floréal Films L’autre Laurens de Claude Schmitz, produit par Chevaldeuxtrois Agra de Kanu Behl, coproduit par UFO Production Inside the Yellow Cocoon Shell dePham Thien An, coproduit par Deuxième Ligne Films Courts métrages  Dans la tête un orage de Clément Pérot, produit par Jonas Films Il Compleanno di Enrico de Francesco Sossai, coproduit par Kidam – SÉLECTION ACID – Caiti Blues de Justine Harbonnier, produit par Sister Productions État Limite de Nicolas Peduzzi produit par GoGoGo Films Linda veut du poulet ! de Chiara Malta & Sébastien Laudenbach produit par Dolce Vita Films et Miyu Productions In the rearview de Maciek Hamela coproduit par SaNoSi Productions Laissez-moi de Maxime Rappaz, coproduit par Paraíso Production Machtat de Sonia Ben Slama, coproduit par Alter Ego Production Contact : Sébastien COLIN – Délégué général – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44 – …

9 mai 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Cannes – Logement disponible du 23 au 28 mai – Près de la Place Gambetta

Nous sous-louons notre appartement situé avenue Marceau (tout près de la place du Marché Gambetta)  du 23 au 28 mai. Il s’agit d’un 2 pièces très propre (1 chambre) avec Canapé lit dans le salon et lit d’appoint possible. Tarif à discuter, mais raisonnable.

Contact : alexandre@lesfilmsducygne.com

Nous sous-louons notre appartement situé avenue Marceau (tout près de la place du Marché Gambetta)  du 23 au 28 mai. Il s’agit d’un 2 pièces très propre (1 chambre) avec Canapé lit dans le salon et lit d’appoint possible. Tarif à discuter, mais raisonnable. Contact : …

9 mai 2023Annoncesannonces
Chambres à sous-louer FESTIVAL DE CANNES 22/28 mai
Sous-location dans un appartement 8 couchages du 22/05 au 28/05.
A coté du Carlton.
Tarif à discuter.
Contactez David – david@tbcprod.com

Sous-location dans un appartement 8 couchages du 22/05 au 28/05. A coté du Carlton. Tarif à discuter. Contactez David – …

9 mai 2023Annoncesannonces
CANNES – logement 2ch (du 23 au 27 mai)

Nous sous-louons notre logement à partir du 23 mai, jusqu’au 27 mai.

Situé boulevard de Lorraine , à 13min à pied du Palais des Festivals.

2 chambres / 1 SDB / 2 balcons /  80m2

“Appartement lumineux soigneusement décoré, idéalement situé à quelques pas des plages et des commerces. Il est composé d’un grand séjour, deux balcon, grande cuisine luxueusement équipée, de deux grandes chambres avec salle de bain attenante, Tv et dressing.”

Prix abordable

Si intéressé, veuillez contacter antoine@lesfilmsdubelier.fr

 

Nous sous-louons notre logement à partir du 23 mai, jusqu’au 27 mai. Situé boulevard de Lorraine , à 13min à pied du Palais des Festivals. 2 chambres / 1 SDB / 2 balcons /  80m2 “Appartement lumineux soigneusement décoré, idéalement situé à quelques pas des plages et des commerces. Il est composé d’un grand séjour, deux balcon, grande cuisine luxueusement équipée, de deux grandes chambres avec salle de bain attenante, Tv et dressing.” Prix abordable Si intéressé, veuillez contacter antoine@lesfilmsdubelier.fr …

5 mai 2023Annoncesannonces
Premier Long-métrage de Pablo Cotten et Joseph Rozé produit par Cowboys Films

Le premier long-métrage de Joseph Rozé (22 ans) et Pablo Cotten (25 ans) avec en personnage principaux Andranic Manet, Alassane Diong, Noée Abita, Alba-Gaïa Bellugi, Nina Zem est en cours de post-production.

Synopsis : Suite à la mort de sa soeur jumelle, Gaspard, jeune professeur de musique, réunit ses cinq anciens meilleurs amis dans le collège désert de leur enfance, en plein mois de juillet. Dans cet endroit rempli de souvenirs qu’ils investissent comme un nouveau lieu de vie, les amis retombent progressivement en enfance. Mais, rattrapés par la réalité, une lourde vérité éclate et met à mal cette parenthèse de naïveté.

Le premier long-métrage de Joseph Rozé (22 ans) et Pablo Cotten (25 ans) avec en personnage principaux Andranic Manet, Alassane Diong, Noée Abita, Alba-Gaïa Bellugi, Nina Zem est en cours de post-production. Synopsis : Suite à la mort de sa soeur jumelle, Gaspard, jeune professeur de musique, réunit ses cinq anciens meilleurs amis dans le collège désert de leur enfance, en plein mois de juillet. Dans cet endroit rempli de souvenirs qu’ils investissent comme un nouveau lieu de vie, les amis retombent progressivement en enfance. Mais, rattrapés par la réalité, une lourde vérité éclate et met à mal cette parenthèse de …

4 mai 2023Annoncesannonces
Cannes – Logement disponible
Le logement que j’occuperai à Cannes sera libre à partir du 23  mai au soir et jusqu’à la fin du festival. C’est une chambre indépendante avec salle de bains et coin cuisine, dans une maison avec jardin. Il coûte 150 euros la nuit et se situe à 20min à pieds du palais.
Egalement un appartement entier de 40 m2 avec une chambre, une cuisine et un salon indépendant (avec couchage) dans une résidence calme à l’autre bout de la plage, quartier des Hespérides.
Si vous cherchez un logement sur ces dates, n’hésitez pas à me contacter : Nicolas Bissardon 06 58 73 57 07

Le logement que j’occuperai à Cannes sera libre à partir du 23  mai au soir et jusqu’à la fin du festival. C’est une chambre indépendante avec salle de bains et coin cuisine, dans une maison avec jardin. Il coûte 150 euros la nuit et se situe à 20min à pieds du palais. Egalement un appartement entier de 40 m2 avec une chambre, une cuisine et un salon indépendant (avec couchage) dans une résidence calme à l’autre bout de la plage, quartier des Hespérides. Si vous cherchez un logement sur ces dates, n’hésitez pas à me contacter : Nicolas Bissardon 06 58 73 57 …

3 mai 2023Annoncesannonces
Le SPI recherche un·e ASSISTANT.E ADMINISTRATIF.VE ET COMPTABLE

Le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) fédère et représente des producteurs d’œuvres audiovisuelles, cinématographiques et d’animation et compte plus de 480 adhérents installés sur l’ensemble du territoire français. Il a pour mission l’information, le conseil et la défense des intérêts économiques et juridiques de ses adhérents.

Partie prenante de l’ensemble des négociations relatives à la régulation de l’écosystème cinématographique et audiovisuel, le SPI s’attache, dans ce cadre, à défendre les principes d’indépendance, de diversité culturelle et de liberté de création.

Missions

Placé·e sous l’autorité du Délégué Général, et en collaboration avec les autres membres de l’équipe et le Trésorier, l’assistant.e administratif.ve et comptable aura notamment les missions suivantes :

1) Gestion administrative, comptable et budgétaire

  • Tenir la comptabilité générale et analytique (classement et enregistrement des pièces, vérification des comptes) jusqu’à la préparation des états de clôture. Assurer le suivi et le paiement des factures ;
  • Participer à l’élaboration et l’actualisation du budget prévisionnel ;
  • Assurer le suivi de la trésorerie et la gestion des banques ;
  • Établir les fiches de paie du personnel (10 salariés) et les déclarations afférentes ;
  • Assurer la gestion opérationnelle de la campagne d’adhésion, le suivi et le contrôle des versements de cotisations, l’édition des reçus….
  • Suivre les conventions de financement et de partenariat ainsi que les contrats de maintenance, de fournitures et de prestation ;
  • Assurer la gestion administrative et comptable de l’association pour le paritarisme de la production audiovisuelle.

2) Autres missions

  • Participer à la gestion du secrétariat de la Commission Paritaire Dérogatoire (Annexe 3 de la convention collective de la production cinématographique).

Formation et expérience

  • Titulaire d’un bac +2/3 en comptabilité et gestion (CGO / DCG) ;
  • Vous bénéficiez d’une expérience professionnelle de 2 ans minimum (stages et alternance compris) dans ce domaine.

Description des conditions de travail

  • CDI basé à Paris, dans le 11ème arrondissement entre la Place de La République et Ménilmontant ;
  • Avantages sociaux : tickets restaurant, prise en charge à 100% de la complémentaire santé et du pass Navigo ;
  • Télétravail possible (1 jour par semaine) ;
  • Rémunération temps plein : entre 25 000 et 30 000 euros bruts annuels ;
  • Temps plein : 39 heures/semaine (4/5ème possible) ;
  • Statut non cadre.

Compétences

  • Maîtrise de l’informatique, des logiciels comptables
  • Connaissance du secteur culturel, idéalement de la filière audiovisuelle et cinématographique
  • Rigueur, sens de l’organisation, autonomie et curiosité
  • Appétence pour la transition numérique et les outils liés
  • Bon relationnel et très bonne capacité à travailler en équipe.

Modalités

Prise de poste : juillet 2023 (possibilités de congés par anticipation en août)
Entretiens d’embauche : juin 2023

Envoi des candidatures (CV et lettre de motivation) uniquement par mail
à l’attention de Sébastien Colin : scolin@lespi.org

Date limite de candidature : le 5 Juin 2023

3 mai 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Chambres à sous-louer Cannes 18-27 mai

Nous sous-louons 3 chambres dans un appartement climatisé, proche des commerces et de la gare, à 5 min à pied du Palais du Festival.

  • 1 chambre double (lit queen size 160 cm) du 18 au 27 mai
  • 1 chambre twin (2 lits simples) du 18 au 27 mai
  • 1 chambre simple du 23 au 27 mai.

Tarif à négocier.

L’appartement de 80 m² est composé de :
– une pièce de séjour lumineuse et colorée,
– une chambre double,
– une chambre avec un lit simple,
– une chambre avec deux lits simples,
– une chambre avec lits superposés,
– une cuisine parfaitement équipée (bouilloire, machine à café, grille-pain, four, micro-ondes, plaques de cuisson, lave-vaisselle, réfrigérateur, congélateur),
– une salle de bain avec douche,
– une salle de bain avec baignoire,
– Wi-Fi, TV, air conditionné,
– aspirateur, lave-linge, sèche-cheveux, matériel de repassage.

Pour toute information, contacter Jean Charloux : jcharloux@theliving.fr ‭+33 6 70 15 70 49‬.

Nous sous-louons 3 chambres dans un appartement climatisé, proche des commerces et de la gare, à 5 min à pied du Palais du Festival. 1 chambre double (lit queen size 160 cm) du 18 au 27 mai 1 chambre twin (2 lits simples) du 18 au 27 mai 1 chambre simple du 23 au 27 mai. Tarif à négocier. L’appartement de 80 m² est composé de : – une pièce de séjour lumineuse et colorée, – une chambre double, – une chambre avec un lit simple, – une chambre avec deux lits simples, – une chambre avec lits superposés, – une cuisine parfaitement équipée (bouilloire, machine à café, grille-pain, four, micro-ondes, plaques de cuisson, lave-vaisselle, réfrigérateur, congélateur), – une salle de bain avec douche, – une salle de bain avec baignoire, – Wi-Fi, TV, air conditionné, – aspirateur, lave-linge, sèche-cheveux, matériel de repassage. Pour toute information, contacter Jean Charloux : jcharloux@theliving.fr ‭+33 6 70 15 70 …

24 avril 2023Annoncesannonces
POEC Administration de production 2023- CV des stagiaires

La deuxième POEC (Préparation Opérationnelle à l’Emploi Collective) Administration de production touche à sa fin. Mise en place par Pôle emploi, l’Afdas et la CPNEF de l’Audiovisuel, cette session visait à répondre aux tensions de recrutement identifiées par les professionnels sur les métiers de l’administration de production.

Formés durant 12 semaines, les stagiaires sont opérationnels et prêts à travailler sur des tournages ou au sein de vos entreprises dès la mi-avril.

Vous trouverez ci-dessous les CV actualisés des 14 stagiaires de la POEC à l’écoute d’opportunités professionnelles. N’hésitez pas à prendre contact avec eux en fonction de vos besoins de recrutement.

 

CV Ulrich BREN

CV Thymiane DUCHAUFOUR

CV Thomas BENHAMOU

CV Stéphanie Benoist

CV Rose OK

CV Robin Roxane

CV Pascale Scharff

CV Manuela-Salamanca 2023

CV FLORIAN DUGRAVOT

CV Constance BELLOY

CV Christine ARZUR

CV BROYELLE Alice

CV Béatrice AKAKPO

CV Auriane DelGatto

19 avril 2023Annoncesannonces
Administrateur de production films

Chers collègues du SPI,

A force d’entendre parler de pénurie d’administrateurs de productions dans notre filière et suite à une reprise assez compliquée de mon activité de producteur depuis la crise du Covid, j’ai décidé de faire une formation d’administrateur de production auprès de l’organisme Courts On. J’ai achevé cette formation il y a quelques semaines et je suis disponible dès maintenant pour vos tournages, idéalement en qualité d’administrateur adjoint.

Vous pouvez me contacter par mail : nicolas@mauvaisegrainefilms.fr ou par tel au 0650999841

Au plaisir de travailler ensemble!

Bonne journée à tous

Nicolas DJIAN

Chers collègues du SPI, A force d’entendre parler de pénurie d’administrateurs de productions dans notre filière et suite à une reprise assez compliquée de mon activité de producteur depuis la crise du Covid, j’ai décidé de faire une formation d’administrateur de production auprès de l’organisme Courts On. J’ai achevé cette formation il y a quelques semaines et je suis disponible dès maintenant pour vos tournages, idéalement en qualité d’administrateur adjoint. Vous pouvez me contacter par mail : nicolas@mauvaisegrainefilms.fr ou par tel au 0650999841 Au plaisir de travailler ensemble! Bonne journée à tous Nicolas …

18 avril 2023Annoncesannonces
CANNES – 2 pièces face Martinez 23-28 mai 2023
Nous sous-louons pour la période du 23 au 28 mai l’appartement de 2 pièces dans lequel nous logeons habituellement à Cannes. Idéalement situé au début de la rue Latour-Maubourg, face au Martinez, il dispose d’un balcon, d’1 salle de bain, de 2 cabinets de toilette et de 3 couchages (1 chambre + un sofa dans le salon/salle à manger). Connexion internet (box Bouygues). Machine à laver le linge. Cuisine toute équipée. L’appartement sera accessible en fin d’après-midi le 23 mai. Tarif : 1000€.

17 avril 2023Annoncesannonces
Assemblée générale du SPI – 12 avril 2023

Communiqué de Presse

L’Assemblée Générale annuelle du Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) qui s’est tenue le 12 avril 2023 à la FEMIS, a élu son nouveau Comité directeur, représentatif de toute la diversité de la production audiovisuelle et cinématographique française.

A noter l’élection de Sébastien Onomo (Special Touch Studios) en tant que nouveau président du collège Animation. Il remplace Emmanuel-Alain Raynal (Miyu Productions) qui terminait son second et dernier mandat.

Nora Melhli (Alef One), Anaïs Bertrand (Insolence Productions), Édouard Mauriat (Mille et une Productions) sont de leur côté reconduits respectivement à la tête des collèges Audiovisuel, Court Métrage et Long Métrage.

Le SPI est présidé par Gilles Sacuto (TS Productions).

La nouvelle composition du Comité Directeur pour l’année 2023-2024 est :

PRÉSIDENT : Gilles SACUTO – TS Productions

Trésorier : Cyrille PEREZ – 13 Prods

VICE-PRÉSIDENT ANIMATION : Sébastien ONOMO (SPECIAL TOUCH STUDIOS)

Membres du Bureau Animation :
Joëlle CAROLINE (GODO FILMS)
Raphaël CATHELAND (COSMIC PRODUCTIONS)
Catherine ESTEVES (LES FILMS DU POISSON ROUGE)
Marc FAYE (NOVANIMA PRODUCTIONS)
Virginie GIACHINO (DONCVOILÀ PRODUCTIONS)
Emmanuel-Alain RAYNAL (MIYU PRODUCTIONS)
Noam ROUBAH (DARJEELING)
Sophie SAGET (ANDARTA PICTURES)

VICE-PRÉSIDENTE AUDIOVISUEL : Nora MELHLI (ALEF ONE)

Membres du Bureau Audiovisuel :
Caroline ADRIAN (DELANTE PRODUCTIONS)
Simon ARNAL (HAUT ET COURT TV)
Olivier de BANNES (O2B FILMS)
Sébastien BORIVENT (TETRA MEDIA STUDIO)
Julie COUDRY (MEGARA PRODUCTIONS)
Sébastien DEGENNE (BONNE PIOCHE)
Laurent DURET (BACHIBOUZOUK)
Antonin EHRENBERG (PATAFILM)
Théo LABOULANDINE (MELOCOTON FILMS)
Maël MAINGUY (LES NOUVEAUX JOURS PRODUCTIONS)
Margaux MISSIKA (UPIAN)
Valérie MONTMARTIN (LITTLE BIG STORY)
Cyrille PEREZ (13 PRODS)

VICE-PRÉSIDENTE COURT MÉTRAGE : Anaïs BERTRAND (INSOLENCE PRODUCTIONS)

Membres du Bureau Court Métrage :
Camille CHANDELLIER (LA PETITE PROD)
Jeanne EZVAN (APACHES FILMS)
Camille GENAUD (PARAISO PRODUCTION)
Arthur GOISSET (TOPSHOT FILMS)
Damien MEGHERBI (LES VALSEURS)
Laurine PELASSY (LES FILMS DE LA CAPITAINE)
Stéphane ROCHE (ARTS FILMS)
Edouardo SOSA SORIA (VAGABUNDO FILMS)

VICE-PRÉSIDENT LONG MÉTRAGE :  Édouard MAURIAT (MILLE ET UNE PRODUCTIONS)

Membres du Bureau Long Métrage :
Gaëlle BAYSSIERE (EVERYBODY ON DECK)
Marc BORDURE (AGAT FILMS & CIE)
Florence BORELLY (SÉSAME FILMS)
Didar DOMEHRI (MANEKI FILMS)
Marielle DUIGOU (FIN AOÛT PRODUCTIONS)
Marie MASMONTEIL (ELZÉVIR FILMS)
Muriel MERLIN (3B PRODUCTIONS)
Caroline NATAF (UNITÉ)
Valéry du PELOUX (ARTISANS DU FILM)
Élisabeth PEREZ (CHAZ PRODUCTIONS)
Carine RUSZNIEWSKI (GOGOGO FILMS)
Gilles SACUTO (TS PRODUCTIONS)
Candice ZACCAGNINO (ELIANEANTOINETTE)

Communiqué de Presse L’Assemblée Générale annuelle du Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) qui s’est tenue le 12 avril 2023 à la FEMIS, a élu son nouveau Comité directeur, représentatif de toute la diversité de la production audiovisuelle et cinématographique française. A noter l’élection de Sébastien Onomo (Special Touch Studios) en tant que nouveau président du collège Animation. Il remplace Emmanuel-Alain Raynal (Miyu Productions) qui terminait son second et dernier mandat. Nora Melhli (Alef One), Anaïs Bertrand (Insolence Productions), Édouard Mauriat (Mille et une Productions) sont de leur côté reconduits respectivement à la tête des collèges Audiovisuel, Court Métrage et Long Métrage. Le SPI est présidé par Gilles Sacuto (TS Productions). La nouvelle composition du Comité Directeur pour l’année 2023-2024 est : PRÉSIDENT : Gilles SACUTO – TS Productions Trésorier : Cyrille PEREZ – 13 Prods VICE-PRÉSIDENT ANIMATION : Sébastien ONOMO (SPECIAL TOUCH STUDIOS) Membres du Bureau Animation :Joëlle CAROLINE (GODO FILMS)Raphaël CATHELAND (COSMIC PRODUCTIONS)Catherine ESTEVES (LES FILMS DU POISSON ROUGE)Marc FAYE (NOVANIMA PRODUCTIONS)Virginie GIACHINO (DONCVOILÀ PRODUCTIONS)Emmanuel-Alain RAYNAL (MIYU PRODUCTIONS)Noam ROUBAH (DARJEELING)Sophie SAGET (ANDARTA PICTURES) VICE-PRÉSIDENTE AUDIOVISUEL : Nora MELHLI (ALEF ONE) Membres du Bureau Audiovisuel :Caroline ADRIAN (DELANTE PRODUCTIONS)Simon ARNAL (HAUT ET COURT TV)Olivier de BANNES (O2B FILMS)Sébastien BORIVENT (TETRA MEDIA STUDIO)Julie COUDRY (MEGARA PRODUCTIONS)Sébastien DEGENNE (BONNE PIOCHE)Laurent DURET (BACHIBOUZOUK)Antonin EHRENBERG (PATAFILM)Théo LABOULANDINE (MELOCOTON FILMS)Maël MAINGUY (LES NOUVEAUX JOURS PRODUCTIONS)Margaux MISSIKA (UPIAN)Valérie MONTMARTIN (LITTLE BIG STORY)Cyrille PEREZ (13 PRODS) VICE-PRÉSIDENTE COURT MÉTRAGE : Anaïs BERTRAND (INSOLENCE PRODUCTIONS) Membres du Bureau Court Métrage :Camille CHANDELLIER (LA PETITE PROD)Jeanne EZVAN (APACHES FILMS)Camille GENAUD (PARAISO PRODUCTION)Arthur GOISSET (TOPSHOT FILMS)Damien MEGHERBI (LES VALSEURS)Laurine PELASSY (LES FILMS DE LA CAPITAINE)Stéphane ROCHE (ARTS FILMS)Edouardo SOSA SORIA (VAGABUNDO FILMS) VICE-PRÉSIDENT LONG MÉTRAGE :  Édouard MAURIAT (MILLE ET UNE PRODUCTIONS) Membres du Bureau Long Métrage :Gaëlle BAYSSIERE (EVERYBODY ON DECK)Marc BORDURE (AGAT FILMS & CIE)Florence BORELLY (SÉSAME FILMS)Didar DOMEHRI (MANEKI FILMS)Marielle DUIGOU (FIN AOÛT PRODUCTIONS)Marie MASMONTEIL (ELZÉVIR FILMS)Muriel MERLIN (3B PRODUCTIONS)Caroline NATAF (UNITÉ)Valéry du PELOUX (ARTISANS DU FILM)Élisabeth PEREZ (CHAZ PRODUCTIONS)Carine RUSZNIEWSKI (GOGOGO FILMS)Gilles SACUTO (TS PRODUCTIONS)Candice ZACCAGNINO …

13 avril 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche collocataires

Une pièce vient de se libérer dans nos locaux rue de la tour d’Auvergne et nous sommes à la recherche de colocataires 🙂

1 pièce de 22 m2 environ avec balcon filant, entièrement refaite à neuf (avec canapé, étagères et trois postes de travail) + accès aux parties communes

990 €HT ( électricité et wifi inclus)

Ménage en option 30 €

plus d’infos : contact@takami-productions.com

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29 mars 2023Annoncesannonces
Le SPI à Séries Mania Forum 2023 (21-22-23 mars)

Les producteurs et productrices du SPI étaient encore plus nombreux que l’année dernière, présent.e.s sur le stand SPI, pour organiser leurs rendez-vous au centre du Business Lounge de Lille Grand Palais.

Mardi 21 mars Cécile Prévost, responsable des relations avec les professionnels et les pouvoirs public de Audiens était présente sur notre stand pour répondre aux questions de nos membres.

Mardi 21 mars, la CEPI (European Audiovisual Production) organisait sa table ronde sur le thème “Défendez la propriété intellectuelle Européenne!“, avec la participation de
🌟Nora Melhli – Alef One – Présidente du collège audiovisuel du SPI
🌟Mary Callery – Shinawill (Irlande)
🌟Jérémie Kessler – CNC
🌟Alice Willison – Rhapsody Films (Australie)
modérée par Mathilde Fiquet – Secrétaire générale de la CEPI

Mercredi 22 mars, La Guilde des scénaristes, la SACD, l‘USPA et le SPI ont signé un accord interprofessionnel majeur (cf communiqué de presse) sur les pratiques contractuelles entre scénaristes et producteur.ice.s de fictio

Le SPI félicite Patafilm qui a été récompensé par le prix du meilleur acteur remis à Carel Brown en compétition française avec 𝐀𝐬𝐩𝐞𝐫𝐠𝐢𝐫𝐥, une série créée et écrite par Judith Godinot et Hadrien Cousin, réalisée par Lola Roqueplo.

Les producteurs et productrices du SPI étaient encore plus nombreux que l’année dernière, présent.e.s sur le stand SPI, pour organiser leurs rendez-vous au centre du Business Lounge de Lille Grand Palais. Mardi 21 mars Cécile Prévost, responsable des relations avec les professionnels et les pouvoirs public de Audiens était présente sur notre stand pour répondre aux questions de nos membres. Mardi 21 mars, la CEPI (European Audiovisual Production) organisait sa table ronde sur le thème “Défendez la propriété intellectuelle Européenne!“, avec la participation de🌟Nora Melhli – Alef One – Présidente du collège audiovisuel du SPI🌟Mary Callery – Shinawill (Irlande)🌟Jérémie Kessler – CNC🌟Alice Willison – Rhapsody Films (Australie)modérée par Mathilde Fiquet – Secrétaire générale de la CEPI Mercredi 22 mars, La Guilde des scénaristes, la SACD, l‘USPA et le SPI ont signé un accord interprofessionnel majeur (cf communiqué de presse) sur les pratiques contractuelles entre scénaristes et producteur.ice.s de fictio Le SPI félicite Patafilm qui a été récompensé par le prix du meilleur acteur remis à Carel Brown en compétition française avec 𝐀𝐬𝐩𝐞𝐫𝐠𝐢𝐫𝐥, une série créée et écrite par Judith Godinot et Hadrien Cousin, réalisée par Lola …

29 mars 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Nouvel accord interprofessionnel majeur entre scénaristes et producteur.ice.s de fiction

Lille le 22 mars 2023

A la suite d’une négociation menée depuis plusieurs années, la Guilde française des scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA viennent de conclure un nouvel accord interprofessionnel majeur et innovant.

Avec le désir de poursuivre l’écriture de leur histoire commune, les organisations représentant les scénaristes et les producteurs vont plus loin que les précédents accords sur les pratiques contractuelles de 2012 et 2015 afin d’apporter des réponses aux nouveaux défis de la fiction.

Prenant appui sur l’accord transparence de 2017, ce nouveau cadre de relations entre scénaristes et producteurs tire les conséquences d’un univers de la fiction qui a profondément évolué et de nouvelles logiques de production qui se sont imposées.

Il poursuit 4 objectifs communs, essentiels pour construire l’avenir de la fiction française et mieux financer l’écriture :

  • Mieux encadrer les usages entre auteurs et producteurs dans des modèles de fabrication de la fiction plus collaboratifs ;
  • Mieux partager des définitions communes, à travers l’instauration d’un lexique exhaustif de l’écriture de fiction ; 

A travers cet accord, les parties se sont entendues sur les différentes étapes d’écriture, avec un encadrement du nombre de pages et du nombre de versions successives, et sur les échanges correctifs entre scénaristes et producteurs.

Une définition modernisée de la bible de série originale, adaptée aux nécessités des nouveaux modes de production, a également été actée.

Le lexique est également complété, pour la première fois, par une définition de l’atelier d’écriture structuré (ADES) et des conditions de sa mise en œuvre, démontrant que ce cadre d’écriture collaboratif provenant des usages anglo-saxons peut s’adapter aux impératifs du droit d’auteur français.

  • Mieux protéger les auteurs, via l’instauration d’une rémunération minimale des travaux d’écriture ; 

Les auteurs et autrices bénéficieront d’un double niveau inédit de protection.

D’une part, l’accord innove avec la mise en place d’une enveloppe minimale d’écriture (EME). Il garantit ainsi qu’une proportion minimale de dépenses en droits d’auteur, renforcée quand la production se fait dans le cadre des ADES, sera affectée à la rémunération des travaux d’écriture de l’œuvre concernée.

D’autre part, cette garantie d’un investissement minimal dans l’écriture est accompagnée d’une protection individuelle. Dans le cadre d’un contrat de commande de texte et de cession de droits relatif à une œuvre dont le processus d’écriture s’élabore en dehors d’un ADES, l’accord prévoit qu’au moins 70% de la rémunération totale du scénariste sera versée au titre des étapes d’écriture successives ayant conduit à la remise de la première version de la continuité dialoguée de l’épisode de série ou de l’unitaire objet de ce contrat.

Enfin, la modernisation de la définition de la bible de série originale s’enrichit d’un encadrement nouveau des conditions financières de l’écriture d’une bible, en instaurant là aussi une rémunération minimale, au bénéfice des auteurs et autrices. Son montant sera augmenté dès lors qu’une convention de développement sera conclue avec un éditeur de services. 

  • Mieux associer les auteurs au succès des œuvres, notamment à l’international, grâce à la mise en place d’un intéressement après amortissement

L’accord définit et rend désormais obligatoire, au bénéfice des scénaristes entrant dans son champ d’application, un mécanisme automatique de rémunération complémentaire après amortissement du coût de l’œuvre.

Au terme de cette longue concertation, que le ministère de la Culture et le CNC ont facilitée et accompagnée favorablement jusqu’à sa conclusion, l’ensemble des parties signataires souligne l’apport essentiel de cet accord au renforcement du lien primordial entre les scénaristes et les producteurs délégués. Elles estiment que face aux mutations que continue à vivre la fiction française et à la nécessité de toujours la renforcer, cet accord marque une nouvelle étape essentielle et indispensable. 

Naturellement, elles sollicitent la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, pour prendre rapidement un arrêté d’extension de cet accord afin de le rendre incontournable pour l’ensemble des professionnels de la fiction française.

*****

Marie Roussin, présidente de la Guilde française des scénaristes : « Cet accord est la preuve que seule l’union de tous les scénaristes peut faire aboutir des négociations aussi ambitieuses. »

Pierre-Yves Mora, élu fiction de la Guilde française des scénaristes : « Dans un paysage audiovisuel en mutation, cet accord ambitieux constitue une base précieuse et sans précédent afin de consolider le rôle fondamental des scénaristes dans la fiction française. »

Anne Rambach, présidente de la SACD : « Jamais des organisations d’autrices et d’auteurs en France n’ont négocié un accord d’une telle ampleur, d’un point de vue contractuel et financier. Il constitue un espoir pour les autrices et auteurs de tous les répertoires qui ont, aujourd’hui, à défendre leurs droits et leur rémunération. »

Pascal Rogard, directeur général de la SACD : « Renforcer le financement de l’écriture et l’encadrement des relations entre auteurs et producteurs sont des enjeux majeurs pour préparer l’avenir de la fiction. Cet accord y apporte une très utile contribution. »

Nora Melhli, présidente du bureau audiovisuel du SPI : « Cet accord est l’aboutissement de cinq années de réflexion et de discussions durant lesquelles nous avons interrogé nos pratiques et trouvé un cadre reflétant une relation constructive et de confiance entre les producteurs et les auteurs scénaristes de fiction. Je me réjouis de ce lien renforcé et modernisé qui va nous permettre ensemble de faire face aux défis engendrés par la mutation de notre secteur ».

Iris Bucher, présidente de l’USPA : « Nous nous félicitons de ce nouvel accord conclu avec les scénaristes de fiction, qui scelle un nécessaire et vertueux partenariat entre auteurs et producteurs. Cet accord ambitieux illustre notre capacité conjointe à accompagner les mutations de la fiction française, pour faire face aux défis d’une compétition accrue tant au niveau national qu’international. »

Contacts :

Guilde française des scénaristes
Laëtitia KULYK Laetitia.kulyk@guildedesscenaristes.org
06 99 35 77 20  
SACD
Marie BORGEN marie.borgen@sacd.fr
06 85 12 29 59  
SPI
Emmanuelle MAUGER
emauger@lespi.org
06 63 01 83 06
USPA
Stéphane LE BARS s.lebars@uspa.fr
06 60 23 53 96

Lille le 22 mars 2023 A la suite d’une négociation menée depuis plusieurs années, la Guilde française des scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA viennent de conclure un nouvel accord interprofessionnel majeur et innovant. Avec le désir de poursuivre l’écriture de leur histoire commune, les organisations représentant les scénaristes et les producteurs vont plus loin que les précédents accords sur les pratiques contractuelles de 2012 et 2015 afin d’apporter des réponses aux nouveaux défis de la fiction. Prenant appui sur l’accord transparence de 2017, ce nouveau cadre de relations entre scénaristes et producteurs tire les conséquences d’un univers de la fiction qui a profondément évolué et de nouvelles logiques de production qui se sont imposées. Il poursuit 4 objectifs communs, essentiels pour construire l’avenir de la fiction française et mieux financer l’écriture : Mieux encadrer les usages entre auteurs et producteurs dans des modèles de fabrication de la fiction plus collaboratifs ; Mieux partager des définitions communes, à travers l’instauration d’un lexique exhaustif de l’écriture de fiction ;  A travers cet accord, les parties se sont entendues sur les différentes étapes d’écriture, avec un encadrement du nombre de pages et du nombre de versions successives, et sur les échanges correctifs entre scénaristes et producteurs. Une définition modernisée de la bible de série originale, adaptée aux nécessités des nouveaux modes de production, a également été actée. Le lexique est également complété, pour la première fois, par une définition de l’atelier d’écriture structuré (ADES) et des conditions de sa mise en œuvre, démontrant que ce cadre d’écriture collaboratif provenant des usages anglo-saxons peut s’adapter aux impératifs du droit d’auteur français. Mieux protéger les auteurs, via l’instauration d’une rémunération minimale des travaux d’écriture ;  Les auteurs et autrices bénéficieront d’un double niveau inédit de protection. D’une part, l’accord innove avec la mise en place d’une enveloppe minimale d’écriture (EME). Il garantit ainsi qu’une proportion minimale de dépenses en droits d’auteur, renforcée quand la production se fait dans le cadre des ADES, sera affectée à la rémunération des travaux d’écriture de l’œuvre concernée. D’autre part, cette garantie d’un investissement minimal dans l’écriture est accompagnée d’une protection individuelle. Dans le cadre d’un contrat de commande de texte et de cession de droits relatif à une œuvre dont le processus d’écriture s’élabore en dehors d’un ADES, l’accord prévoit qu’au moins 70% de la rémunération totale du scénariste sera versée au titre des étapes d’écriture successives ayant conduit à la remise de la première version de la continuité dialoguée de l’épisode de série ou de l’unitaire objet de ce contrat. Enfin, la modernisation de la définition de la bible de série originale s’enrichit d’un encadrement nouveau des conditions financières de l’écriture d’une bible, en instaurant là aussi une rémunération minimale, au bénéfice des auteurs et autrices. Son montant sera augmenté dès lors qu’une convention de développement sera conclue avec un éditeur de services.  Mieux associer les auteurs au succès des œuvres, notamment à l’international, grâce à la mise en place d’un intéressement après amortissement L’accord définit et rend désormais obligatoire, au bénéfice des scénaristes entrant dans son champ d’application, un mécanisme automatique de rémunération complémentaire après amortissement du coût de l’œuvre. Au terme de cette longue concertation, que le ministère de la Culture et le CNC ont facilitée et accompagnée favorablement jusqu’à sa conclusion, l’ensemble des parties signataires souligne l’apport essentiel de cet accord au renforcement du lien primordial entre les scénaristes et les producteurs délégués. Elles estiment que face aux mutations que continue à vivre la fiction française et à la nécessité de toujours la renforcer, cet accord marque une nouvelle étape essentielle et indispensable.  Naturellement, elles sollicitent la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, pour prendre rapidement un arrêté d’extension de cet accord afin de le rendre incontournable pour l’ensemble des professionnels de la fiction française. ***** Marie Roussin, présidente de la Guilde française des scénaristes : « Cet accord est la preuve que seule l’union de tous les scénaristes peut faire aboutir des négociations aussi ambitieuses. » Pierre-Yves Mora, élu fiction de la Guilde française des scénaristes : « Dans un paysage audiovisuel en mutation, cet accord ambitieux constitue une base précieuse et sans précédent afin de consolider le rôle fondamental des scénaristes dans la fiction française. » Anne Rambach, présidente de la SACD : « Jamais des organisations d’autrices et d’auteurs en France n’ont négocié un accord d’une telle ampleur, d’un point de vue contractuel et financier. Il constitue un espoir pour les autrices et auteurs de tous les répertoires qui ont, aujourd’hui, à défendre leurs droits et leur rémunération. » Pascal Rogard, directeur général de la SACD : « Renforcer le financement de l’écriture et l’encadrement des relations entre auteurs et producteurs sont des enjeux majeurs pour préparer l’avenir de la fiction. Cet accord y apporte une très utile contribution. » Nora Melhli, présidente du bureau audiovisuel du SPI : « Cet accord est l’aboutissement de cinq années de réflexion et de discussions durant lesquelles nous avons interrogé nos pratiques et trouvé un cadre reflétant une relation constructive et de confiance entre les producteurs et les auteurs scénaristes de fiction. Je me réjouis de ce lien renforcé et modernisé qui va nous permettre ensemble de faire face aux défis engendrés par la mutation de notre secteur ». Iris Bucher, présidente de l’USPA : « Nous nous félicitons de ce nouvel accord conclu avec les scénaristes de fiction, qui scelle un nécessaire et vertueux partenariat entre auteurs et producteurs. Cet accord ambitieux illustre notre capacité conjointe à accompagner les mutations de la fiction française, pour faire face aux défis d’une compétition accrue tant au niveau national qu’international. » Contacts : Guilde française des scénaristes Laëtitia KULYK Laetitia.kulyk@guildedesscenaristes.org 06 99 35 77 20   SACD Marie BORGEN marie.borgen@sacd.fr 06 85 12 29 59   SPI Emmanuelle MAUGER emauger@lespi.org 06 63 01 83 06 USPA Stéphane LE BARS s.lebars@uspa.fr 06 60 23 53 …

22 mars 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Les membres du SPI aux palmarès des César et de Berlin

Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs et productrices pour leurs nombreux films récompensés, en France comme à l’International, lors de la 48ème cérémonie des César et du 73ème festival de Berlin.

Le SPI salue ainsi l’engagement des producteurs indépendants qui ont à cœur de créer des œuvres singulières, porteuses de sens pour le public et qui participent du rayonnement de la France dans le monde.

César 2023 –

La Nuit du 12 de Dominik Moll, produit par Haut et Court 

César du Meilleur film 

produit par Caroline Benjo, Barbara Letellier, Carole Scotta et Simon Arnal

César de la Meilleure réalisation pour Dominik Moll

César de la Meilleure adaptation pour Gilles Marchand et Dominik Moll

César du Meilleur espoir masculin pour Bastien Bouillon

César du Meilleur acteur dans un second rôle pour Bouli Lanners

César du Meilleur son pour François Maurel, Olivier Mortier et Luc Thomas

Ma Famille Afghane de Michaela Pavlátová, produit par Sacrebleu Productions

César du Meilleur film d’animation

produit par Ron Dyens

Retour à Reims [Fragments] de Jean-Gabriel Périot, produit par Les Films de Pierre

César du Meilleur film documentaire

produit par Marie-Ange Luciani

La Vie sexuelle de Mamie d’Urška Djukić et Émilie Pigeard, produit par Ikki Films 

César du Meilleur film de court métrage d’animation

produit par Olivier Catherin, Edwina Liard et Nidia Santiago

Partir un Jour d’Amélie Bonnin, produit par Topshot Films

César du Meilleur film de court métrage de fiction

produit par Bastien Daret, Arthur Goisset et Robin Robles

À Plein Temps d’Éric Gravel, produit par Novoprod Cinéma

César de la Meilleure musique originale pour Irène Drésel 

César du Meilleur montage pour Mathilde Van De Moortel

Les Amandiers de Valéria Bruni-Tedeschi, produit par Ad Vitam et Agat films – Ex Nihilo

César du Meilleur espoir féminin pour Nadia Tereszkiewicz 

Berlinale 2023 –

Sur l’Adamant de Nicolas Philibert, produit par TS Productions

Ours d’Or du Meilleur Film

produit par Céline Loiseau, Gilles Sacuto et Miléna Poylo

Mention spéciale du jury œcuménique

Disco Boy de Giacomo Abbruzzese, produit par Les Films Grand Huit

Ours d’Argent de la Meilleure contribution artistique pour Hélène Louvart

Mal Viver (Bad Living) de João Canijo coproduit par Les Films de l’Après-Midi

Ours d’Argent Prix du Jury

Music d’Angela Schanelec, coproduit par Les Films de l’Après-Midi 

Ours d’Argent du Meilleur scénario pour Angela Schanelec

Orlando, ma biographique politique de Paul B. Preciado produit par Les Films du Poisson et 24 Images

Prix spécial du jury « Ecounters » (ex-aequo)

Mention spéciale du Jury « Berlinale Documentary »

Teddy Awards du Meilleur film documentaire 

Prix du jury des lecteurs du Tagesspiegel

Seven Winter in Teheran de Steffi Niederzoll, coproduit par Gloria Films Production et TS Productions

Meilleur film de la sélection « Perspektive Deutsches Kino »

Prix du film sur la paix

Contact : Sébastien Colin – Délégué général

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants / 4 Cité Griset, 75011 Paris / 01 44 70 70 44

Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs et productrices pour leurs nombreux films récompensés, en France comme à l’International, lors de la 48ème cérémonie des César et du 73ème festival de Berlin. Le SPI salue ainsi l’engagement des producteurs indépendants qui ont à cœur de créer des œuvres singulières, porteuses de sens pour le public et qui participent du rayonnement de la France dans le monde. César 2023 – La Nuit du 12 de Dominik Moll, produit par Haut et Court  César du Meilleur film  produit par Caroline Benjo, Barbara Letellier, Carole Scotta et Simon Arnal César de la Meilleure réalisation pour Dominik Moll César de la Meilleure adaptation pour Gilles Marchand et Dominik Moll César du Meilleur espoir masculin pour Bastien Bouillon César du Meilleur acteur dans un second rôle pour Bouli Lanners César du Meilleur son pour François Maurel, Olivier Mortier et Luc Thomas Ma Famille Afghane de Michaela Pavlátová, produit par Sacrebleu Productions César du Meilleur film d’animation produit par Ron Dyens Retour à Reims [Fragments] de Jean-Gabriel Périot, produit par Les Films de Pierre César du Meilleur film documentaire produit par Marie-Ange Luciani La Vie sexuelle de Mamie d’Urška Djukić et Émilie Pigeard, produit par Ikki Films  César du Meilleur film de court métrage d’animation produit par Olivier Catherin, Edwina Liard et Nidia Santiago Partir un Jour d’Amélie Bonnin, produit par Topshot Films César du Meilleur film de court métrage de fiction produit par Bastien Daret, Arthur Goisset et Robin Robles À Plein Temps d’Éric Gravel, produit par Novoprod Cinéma César de la Meilleure musique originale pour Irène Drésel  César du Meilleur montage pour Mathilde Van De Moortel Les Amandiers de Valéria Bruni-Tedeschi, produit par Ad Vitam et Agat films – Ex Nihilo César du Meilleur espoir féminin pour Nadia Tereszkiewicz  Berlinale 2023 – Sur l’Adamant de Nicolas Philibert, produit par TS Productions Ours d’Or du Meilleur Film produit par Céline Loiseau, Gilles Sacuto et Miléna Poylo Mention spéciale du jury œcuménique Disco Boy de Giacomo Abbruzzese, produit par Les Films Grand Huit Ours d’Argent de la Meilleure contribution artistique pour Hélène Louvart Mal Viver (Bad Living) de João Canijo coproduit par Les Films de l’Après-Midi Ours d’Argent Prix du Jury Music d’Angela Schanelec, coproduit par Les Films de l’Après-Midi  Ours d’Argent du Meilleur scénario pour Angela Schanelec Orlando, ma biographique politique de Paul B. Preciado produit par Les Films du Poisson et 24 Images Prix spécial du jury « Ecounters » (ex-aequo) Mention spéciale du Jury « Berlinale Documentary » Teddy Awards du Meilleur film documentaire  Prix du jury des lecteurs du Tagesspiegel Seven Winter in Teheran de Steffi Niederzoll, coproduit par Gloria Films Production et TS Productions Meilleur film de la sélection « Perspektive Deutsches Kino » Prix du film sur la paix Contact : Sébastien Colin – Délégué général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants / 4 Cité Griset, 75011 Paris / 01 44 70 70 …

27 février 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse – La CEPI publie sa mesure de représentativité 2022

Depuis sa création en 1990, la CEPI est une association qui coordonne et regroupe les intérêts des producteurs indépendants européens d’œuvres audiovisuelles et cinématographiques.

Au cours de ses 32 années d’existence, la CEPI a élargi sa représentativité qui s’étend désormais à 19 syndicats et associations nationales représentatives de producteurs indépendants, établis dans 17 pays. Avec l’intégration parmi ses membres de l’association pan-européenne Animation in Europe, elle a étendu son champ d’action à 24 pays en Europe et représente désormais plus de 2600 (chiffres 2022) producteurs indépendants.

Au travers de ses activités, la CEPI défend les producteurs de cinéma et de télévision en les informant et en les impliquant dans l’élaboration des politiques publiques européennes et leur transposition dans les politiques publiques nationales. Elle promeut l’importance d’une croissance durable culturelle et économique pour le secteur audiovisuel Européen.

L’extraordinaire représentativité ainsi que l’engagement international de la CEPI fait de l’organisation, la voix légitime de la production indépendante européenne.

La défense de la croissance du marché européen de la production à l’intérieur de l’Europe et au-delà dans le monde est l’un de ses principaux objectifs pour accentuer le rayonnement et la compétitivité des entreprises de production indépendantes de films et d’œuvres audiovisuelles.

Pour toutes ces raisons, la CEPI et ses membres encouragent les autres organisations de producteurs indépendants en Europe à rejoindre notre réseau.

The press release is also available on the CEPI website. 

Contacts :

CEPI : Mathilde Fiquet – Tel: +32 485 413 720 (mathilde.fiquet@europe-analytica.com)

Le SPI : Emmanuelle Mauger – Tel : 01 44 70 70 44 (emauger@lespi.org)

USPA : Jérôme Dechesne – Tel : 06 21 22 43 84 (j.dechesne@uspa.fr)

Représentativité de la CEPI par Pays :

L’annuaire complet des membres de la CEPI est reservé aux adhérents, dans l'”espace membre” de ce site.

Depuis sa création en 1990, la CEPI est une association qui coordonne et regroupe les intérêts des producteurs indépendants européens d’œuvres audiovisuelles et cinématographiques. Au cours de ses 32 années d’existence, la CEPI a élargi sa représentativité qui s’étend désormais à 19 syndicats et associations nationales représentatives de producteurs indépendants, établis dans 17 pays. Avec l’intégration parmi ses membres de l’association pan-européenne Animation in Europe, elle a étendu son champ d’action à 24 pays en Europe et représente désormais plus de 2600 (chiffres 2022) producteurs indépendants. Au travers de ses activités, la CEPI défend les producteurs de cinéma et de télévision en les informant et en les impliquant dans l’élaboration des politiques publiques européennes et leur transposition dans les politiques publiques nationales. Elle promeut l’importance d’une croissance durable culturelle et économique pour le secteur audiovisuel Européen. L’extraordinaire représentativité ainsi que l’engagement international de la CEPI fait de l’organisation, la voix légitime de la production indépendante européenne. La défense de la croissance du marché européen de la production à l’intérieur de l’Europe et au-delà dans le monde est l’un de ses principaux objectifs pour accentuer le rayonnement et la compétitivité des entreprises de production indépendantes de films et d’œuvres audiovisuelles. Pour toutes ces raisons, la CEPI et ses membres encouragent les autres organisations de producteurs indépendants en Europe à rejoindre notre réseau. The press release is also available on the CEPI website.  Contacts : CEPI : Mathilde Fiquet – Tel: +32 485 413 720 (mathilde.fiquet@europe-analytica.com) Le SPI : Emmanuelle Mauger – Tel : 01 44 70 70 44 (emauger@lespi.org) USPA : Jérôme Dechesne – Tel : 06 21 22 43 84 (j.dechesne@uspa.fr) Représentativité de la CEPI par Pays : L’annuaire complet des membres de la CEPI est reservé aux adhérents, dans l’”espace membre” de ce …

22 février 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite ses membres lauréats du Syndicat de la Critique

PALMARÈS CINÉMA

Meilleur premier film français
Bruno Reidal, confession d’un meurtrier de Vincent Le Port
Capricci

Meilleur film de court-métrage
Drôles d’oiseaux de Chalie Belin
Caméra Lucida et Doncvoilà Productions

PALMARÈS TÉLÉVISION

Meilleure série française
Le monde de demain de Katell Quillévéré et Hélier Cisterne
Les Films du Bélier

Meilleure oeuvre française de fiction
Clèves de Rodolphe Tissot
Avenue B Productions

PALMARÈS DVD – Blu-ray

Meilleur DVD Blu-ray récent
Enquête sur un scandale d’État de Thierry de Peretti et Jeanne Aptekman
Les Films Velvet

PALMARÈS CINÉMA Meilleur premier film françaisBruno Reidal, confession d’un meurtrier de Vincent Le PortCapricci Meilleur film de court-métrageDrôles d’oiseaux de Chalie BelinCaméra Lucida et Doncvoilà Productions PALMARÈS TÉLÉVISION Meilleure série françaiseLe monde de demain de Katell Quillévéré et Hélier CisterneLes Films du Bélier Meilleure oeuvre française de fictionClèves de Rodolphe TissotAvenue B Productions PALMARÈS DVD – Blu-ray Meilleur DVD Blu-ray récentEnquête sur un scandale d’État de Thierry de Peretti et Jeanne AptekmanLes Films …

10 février 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Félicitations à nos membres primés au Festival TV de Luchon 2023 !

COMPÉTITION FICTION

Grand Prix de la fiction unitaire
Prix de la meilleure interprétation masculine pour Olivier Chantereau
Le colosse aux pieds d’argile de Stéphanie Murat
Shoot Again Productions

Grand prix de la série
Des gens bien de Matthieu Donck
Unité

Prix du public de la série fiction
Les petits meurtres d’Agatha Christie 70’sMortel karma
de Béatrice Fournera et Panayotis Pascot
Escazal Films

Prix du programme court
Prix du meilleur espoir féminin pour Tracy Gotoas et Manda Touré
Afropolitaine de Soraya Milla
BKE

Prix de la musique originale
Alexandre Lessertisseur pour Le Horla de Marion Desseigne Ravel
CPB Films

Prix de l’éco-production
Je suis né à 17 ans de Juilen Seri
Daigoro Films

COMPÉTITION DOCUMENTAIRE

Prix de la meilleure réalisation – montage
La dernière sentinelle de Camille Le Pomellec
O2B Films

Prix de l’originalité du sujet
Marcus Klinberg, un pur espion de Rémi Lainé et Yaël Vidan
Little Big Story

Prix spécial découverte/environnement
Cobalt, l’envers du rêve électrique de Quentin Noirfalisse et Arnaud Zajtman
Les Films du Tambour de Soie

Prix spécial culture
Zahia, un temps d’avance d’Émilie Théront et Antonin Boutinard Rouelle
Estello Films

Prix du personnage préféré – catégorie écran jeunesse
Géraldine Tamet (enseignante)dans Les enfants de la lanterne de Sylvie Perrin
Cocottesminute Productions

COMPÉTITION FICTION Grand Prix de la fiction unitairePrix de la meilleure interprétation masculine pour Olivier ChantereauLe colosse aux pieds d’argile de Stéphanie MuratShoot Again Productions Grand prix de la sérieDes gens bien de Matthieu DonckUnité Prix du public de la série fictionLes petits meurtres d’Agatha Christie 70’s – Mortel karmade Béatrice Fournera et Panayotis PascotEscazal Films Prix du programme courtPrix du meilleur espoir féminin pour Tracy Gotoas et Manda TouréAfropolitaine de Soraya MillaBKE Prix de la musique originaleAlexandre Lessertisseur pour Le Horla de Marion Desseigne RavelCPB Films Prix de l’éco-productionJe suis né à 17 ans de Juilen SeriDaigoro Films COMPÉTITION DOCUMENTAIRE Prix de la meilleure réalisation – montageLa dernière sentinelle de Camille Le PomellecO2B Films Prix de l’originalité du sujetMarcus Klinberg, un pur espion de Rémi Lainé et Yaël VidanLittle Big Story Prix spécial découverte/environnementCobalt, l’envers du rêve électrique de Quentin Noirfalisse et Arnaud ZajtmanLes Films du Tambour de Soie Prix spécial cultureZahia, un temps d’avance d’Émilie Théront et Antonin Boutinard RouelleEstello Films Prix du personnage préféré – catégorie écran jeunesseGéraldine Tamet (enseignante)dans Les enfants de la lanterne de Sylvie PerrinCocottesminute …

3 février 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Félicitation à nos membres primés au Fipadoc 2023 !

3 février 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche emploi – Hugo Boudsocq

CV Hugo Boudsocq

Lettre de motivation – Hugo Boudsocq

CV Hugo Boudsocq Lettre de motivation – Hugo …

1 février 2023Annoncesannonces
Jeanne Taupin – Étudiante en cinéma (Paris 3 Sorbonne Nouvelle) recherche un Stage

CV-Jeanne TAUPIN

lettre de recommandation Jeanne

CV-Jeanne TAUPIN lettre de recommandation …

1 février 2023Annoncesannonces
Le SPI au FIPADOC 2023 (20-28 janvier)

L’édition 2023 des journées PRO du FIPADOC a commencé le 23 janvier avec le lancement de l’année du Documentaire, en présence de Madame Rima Abdul Malak, Ministre de la culture.

Le même jour, les organisations d’auteurs et de producteurs : La SCAM, La GARRD, La Boucle Documentaire, le SATEV, le SPECT, l’USPA et le SPI ont signé le premier accord européen sur la rémunération des auteurs, entérinant pour la première fois les bases d’une rémunération minimale pour l’écriture d’un projet documentaire.

Le mardi 24, s’est tenue la table ronde “Audiens” sur le thème
Les tendances de l’emploi dans la production documentaire
avec la participation de :
Louise Lebecq, Déléguée aux affaires sociales du SPI
François Caillé, Délégué aux affaires sociales de l’USPA
Philippe Degardin, Responsable pilotage et statistiques chez Audiens
Caroline Rogard, Responsable de la communication chez Audiens

Le mercredi 25 janvier, le SPI a tenu sa table ronde dans la Rotonde de l’Espace Bellevue de Biarritz, sur le thème

“Documentaire : rêvons en vrai !”

  • Rêvons d’un écosystème harmonieux et cohérent !
  • Rêvons d’une ambition éditoriale audacieuse !
  • Rêvons d’une visibilité réelle pour les documentaires !
  • Rêvons d’une diversité réaffirmée !
  • Rêvons d’une production responsable, écologique et sociale !
  • Rêvons d’un financement ambitieux !

Avec (de gauche à droite) :

L’édition 2023 des journées PRO du FIPADOC a commencé le 23 janvier avec le lancement de l’année du Documentaire, en présence de Madame Rima Abdul Malak, Ministre de la culture. Le même jour, les organisations d’auteurs et de producteurs : La SCAM, La GARRD, La Boucle Documentaire, le SATEV, le SPECT, l’USPA et le SPI ont signé le premier accord européen sur la rémunération des auteurs, entérinant pour la première fois les bases d’une rémunération minimale pour l’écriture d’un projet documentaire. Le mardi 24, s’est tenue la table ronde “Audiens” sur le thème “Les tendances de l’emploi dans la production documentaire“avec la participation de :Louise Lebecq, Déléguée aux affaires sociales du SPIFrançois Caillé, Délégué aux affaires sociales de l’USPAPhilippe Degardin, Responsable pilotage et statistiques chez AudiensCaroline Rogard, Responsable de la communication chez Audiens Le mercredi 25 janvier, le SPI a tenu sa table ronde dans la Rotonde de l’Espace Bellevue de Biarritz, sur le thème “Documentaire : rêvons en vrai !” Rêvons d’un écosystème harmonieux et cohérent ! Rêvons d’une ambition éditoriale audacieuse ! Rêvons d’une visibilité réelle pour les documentaires ! Rêvons d’une diversité réaffirmée ! Rêvons d’une production responsable, écologique et sociale ! Rêvons d’un financement ambitieux ! Avec (de gauche à droite) : Olivier de Bannes – O2B FILMS Maël Mainguy – Les Nouveaux Jours Productions, Valérie Montmartin – Little Big Story, Emmanuelle Mauger – SPI, Cyrille Perez – 13 Productions, Nora Melhli – Présidente du collège audiovisuel du SPI – Alef One, Sébastien Colin – SPI, Margaux Missika – Upian, Laurent Duret – …

30 janvier 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Clermont-Ferrand 2023 : voici les films de nos membres sélectionnés !

Le SPI félicite et souhaite bonne chance à ses membres sélectionnés au Festival International du court métrage de Clermont-Ferrand.

COMPÉTITION NATIONALE

9éme étage droite, d’Andrea Romano, coproduit par MOOD FILMS PRODUCTIONS et YUKUNKUN PRODUCTIONS

À trois, de Claudia Bottino, produit par MELOCOTON FILMS

Aaaah !, de Osman Cerfon, produit par MIYU PRODUCTIONS

Aban, d’Abbas Taheri et Mahdieh Toosi, coproduit par ENVIE DE TEMPETE

Big Bang, de Carlos Segundo, coproduit par LES VALSEURS

Bitume, de Léo Blandino, coproduit par VOIR LE JOUR

Bonne soirée, d’Antoine Giorgini, produit par DEUXIEME LIGNE FILMS

Calcutta 8:40 AM, d’Adriano Valerio, coproduit par FILMS GRAND HUIT

Cloche petite aux merveilles du pays, d’Anthony Brinig, produit par YSE PRODUCTIONS

Les créatures qui fondent au soleil, de Diego Céspedes, coproduit par LES VALSEURS

Cui cui cui, de Cécile Mille, produit par MONA FILMS

Les dents du bonheur, de Joséphine Darcy Hopkins, produit par TO BE CONTINUED (TBC)

Derrière la nuit, de Jean Decré, produit par ARTISANS DU FILM

Des jeunes filles enterrent leur vie, de Maïté Sonnet, produit par QUARTETT PRODUCTION

Le Dogsitter (maintenant que je suis un fantôme), de Frédéric Bélier-Garcia, produit par FOLLE ALLURE

Écorchée, de Joachim Hérissé, produit par KOMADOLI STUDIO

Fairplay, de Zoel Aeschbacher, coproduit par YUKUNKUN PRODUCTIONS

Le feu au Lac, de Pierre Menahem, produit par BARBEROUSSE FILMS

La Grande Arche, de Camille Authouart, produit par MIYU PRODUCTIONS

Invisibles, de Matthieu Salmon, coproduit par MONDINA FILMS

Matapang, de Léa-Jade Horlier, coproduit par PIANO SANO FILMS

Nos Amarres, de Valentine Caille, produit par CHAZ PRODUCTIONS

Sardine, de Jean-Sébastien Chauvin, produit par SISTER PRODUCTIONS

Sèt Lam, de Vincent Fontano, produit par DOBRO FILMS

Les Silencieux, de Basile Vuillemin, coproduit par BLUE HOUR FILMS

S’il vous plaît arrêtez tous de disparaître, de Laura Thomassaint, produit par ILLIADE ET FILMS

Sur la tombe de mon père, de Jawahine Zentar, produit par OFFSHORE

Swan dans le centre, de Iris Chassaigne, coproduit par LA LUNA PRODUCTIONS

Tom veut rentrer, d’Arthur Bacry et Marianne Gaudillère, produit par TONERRE DE L’OUEST

Un dernier été, de Xavier Debeir Lacaille, coproduit par FILMS GRAND HUIT

La vie au Canada, de Frédéric Rosset, produit par TOPSHOT FILMS

COMPÉTITION INTERNATIONALE et LABO

Des jeunes filles enterrent leur vie, de Maïté Sonnet, produit par QUARTETT PRODUCTION

Écorchée, de Joachim Hérissé, produit par KOMADOLI STUDIO

Ice Merchants, de Joao Gonzalez, produit par WILDSTREAM

Il faut tout un village, d’Ophelia Harutyunyan, produit par WOMBAT FILMS

Tsutsué, de Amartei Armar, produit par LA LUNA PRODUCTIONS

Las Visitantes, d’Enrique Buleo, produit par IKKI FILMS

Backflip, de Nikita Diakur, coproduit par MIYU PRODUCTIONS

Bird in the Peninsula, d’Atsushi Wada, coproduit par MIYU PRODUCTIONS

Scale, de Joesph Pierce, produit par MELOCOTON FILMS

SÉLECTION “JEUNE PUBLIC”

Aaaah !, de Osman Cerfon, produit par MIYU PRODUCTIONS

Bruit Rose, de Arthur Lemaître, Ulysse Lefort et Martin Wiklund, produit par MIYU PRODUCTIONS

Colocation Sauvage, d’Armelle Mercat-Junot, coproduit par GIRELLE et LES ASTRONAUTES

Le garçon et l’éléphant, de Sonia Gerbeaud, produit par XBO FILMS

Grosse colère, d’Arnaud Demuynck et Célia Tisserant, produit par LES FILMS DU NORD

Ice Merchants, de Joao Gonzalez, coproduit par WILD STREAM

Moules-Frites, de Nicolas Hu, produit par MIYU PRODUCTIONS

Pourquoi la neige est blanche ? , de Pascale Hecquet, produit par LES FILMS DU NORD
Pourquoi les arbres perdent leurs feuilles à l’automne ? de Pascale Hecquet, produit par LES FILMS DU NORD

SÉLECTION “FILMS EN RÉGIONS”

Banc de Touche, de Valérie Leroy, produit par PICTOR PRODUCTION

La charge mentale, de Colas Rifkiss et Mathias Rifkiss, coproduit par DUNO FILMS

Christopher At Sea, de Tom C J Brown, coproduit par MIYU PRODUCTIONS

Le SPI félicite et souhaite bonne chance à ses membres sélectionnés au Festival International du court métrage de Clermont-Ferrand. COMPÉTITION NATIONALE 9éme étage droite, d’Andrea Romano, coproduit par MOOD FILMS PRODUCTIONS et YUKUNKUN PRODUCTIONS À trois, de Claudia Bottino, produit par MELOCOTON FILMS Aaaah !, de Osman Cerfon, produit par MIYU PRODUCTIONS Aban, d’Abbas Taheri et Mahdieh Toosi, coproduit par ENVIE DE TEMPETE Big Bang, de Carlos Segundo, coproduit par LES VALSEURS Bitume, de Léo Blandino, coproduit par VOIR LE JOUR Bonne soirée, d’Antoine Giorgini, produit par DEUXIEME LIGNE FILMS Calcutta 8:40 AM, d’Adriano Valerio, coproduit par FILMS GRAND HUIT Cloche petite aux merveilles du pays, d’Anthony Brinig, produit par YSE PRODUCTIONS Les créatures qui fondent au soleil, de Diego Céspedes, coproduit par LES VALSEURS Cui cui cui, de Cécile Mille, produit par MONA FILMS Les dents du bonheur, de Joséphine Darcy Hopkins, produit par TO BE CONTINUED (TBC) Derrière la nuit, de Jean Decré, produit par ARTISANS DU FILM Des jeunes filles enterrent leur vie, de Maïté Sonnet, produit par QUARTETT PRODUCTION Le Dogsitter (maintenant que je suis un fantôme), de Frédéric Bélier-Garcia, produit par FOLLE ALLURE Écorchée, de Joachim Hérissé, produit par KOMADOLI STUDIO Fairplay, de Zoel Aeschbacher, coproduit par YUKUNKUN PRODUCTIONS Le feu au Lac, de Pierre Menahem, produit par BARBEROUSSE FILMS La Grande Arche, de Camille Authouart, produit par MIYU PRODUCTIONS Invisibles, de Matthieu Salmon, coproduit par MONDINA FILMS Matapang, de Léa-Jade Horlier, coproduit par PIANO SANO FILMS Nos Amarres, de Valentine Caille, produit par CHAZ PRODUCTIONS Sardine, de Jean-Sébastien Chauvin, produit par SISTER PRODUCTIONS Sèt Lam, de Vincent Fontano, produit par DOBRO FILMS Les Silencieux, de Basile Vuillemin, coproduit par BLUE HOUR FILMS S’il vous plaît arrêtez tous de disparaître, de Laura Thomassaint, produit par ILLIADE ET FILMS Sur la tombe de mon père, de Jawahine Zentar, produit par OFFSHORE Swan dans le centre, de Iris Chassaigne, coproduit par LA LUNA PRODUCTIONS Tom veut rentrer, d’Arthur Bacry et Marianne Gaudillère, produit par TONERRE DE L’OUEST Un dernier été, de Xavier Debeir Lacaille, coproduit par FILMS GRAND HUIT La vie au Canada, de Frédéric Rosset, produit par TOPSHOT FILMS COMPÉTITION INTERNATIONALE et LABO Des jeunes filles enterrent leur vie, de Maïté Sonnet, produit par QUARTETT PRODUCTION Écorchée, de Joachim Hérissé, produit par KOMADOLI STUDIO Ice Merchants, de Joao Gonzalez, produit par WILDSTREAM Il faut tout un village, d’Ophelia Harutyunyan, produit par WOMBAT FILMS Tsutsué, de Amartei Armar, produit par LA LUNA PRODUCTIONS Las Visitantes, d’Enrique Buleo, produit par IKKI FILMS Backflip, de Nikita Diakur, coproduit par MIYU PRODUCTIONS Bird in the Peninsula, d’Atsushi Wada, coproduit par MIYU PRODUCTIONS Scale, de Joesph Pierce, produit par MELOCOTON FILMS SÉLECTION “JEUNE PUBLIC” Aaaah !, de Osman Cerfon, produit par MIYU PRODUCTIONS Bruit Rose, de Arthur Lemaître, Ulysse Lefort et Martin Wiklund, produit par MIYU PRODUCTIONS Colocation Sauvage, d’Armelle Mercat-Junot, coproduit par GIRELLE et LES ASTRONAUTES Le garçon et l’éléphant, de Sonia Gerbeaud, produit par XBO FILMS Grosse colère, d’Arnaud Demuynck et Célia Tisserant, produit par LES FILMS DU NORD Ice Merchants, de Joao Gonzalez, coproduit par WILD STREAM Moules-Frites, de Nicolas Hu, produit par MIYU PRODUCTIONS Pourquoi la neige est blanche ? , de Pascale Hecquet, produit par LES FILMS DU NORDPourquoi les arbres perdent leurs feuilles à l’automne ? de Pascale Hecquet, produit par LES FILMS DU NORD SÉLECTION “FILMS EN RÉGIONS” Banc de Touche, de Valérie Leroy, produit par PICTOR PRODUCTION La charge mentale, de Colas Rifkiss et Mathias Rifkiss, coproduit par DUNO FILMS Christopher At Sea, de Tom C J Brown, coproduit par MIYU …

25 janvier 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Les organisations d’auteurs et de producteurs s’engagent sur une rémunération minimale pour l’écriture documentaire

23 janvier 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche stage – étudiante réalisation à l’Eicar

CV MAGNE OCÉANE EICAR 1ÈRE ANNÉE

CV MAGNE OCÉANE EICAR 1ÈRE …

20 janvier 2023Annoncesannonces
Le SPI félicite et souhaite bonne chance à ses membres sélectionnés au FIPADOC 2023

CATÉGORIE DOCUMENTAIRE INTERNATIONAL

Casa Susanna de Sébastien Lifshitz – Agat Films & cie

Les coulisses du pouvoir de Dror Moreh – Les Films du Poisson

Une sainte famille de A-Liang Elvis Lu – Coproduction Films de Force Majeure

CATÉGORIE DOCUMENTAIRE NATIONAL

Charlotte Salomon, la jeune fille et la vie de Muriel et Delphine Coulin – Les Films du Poisson

Chaylla de Clara Teper et Paul Pirritano – Novanima Productions

Exclusion, Rébellion, Affirmation – Newark États-Unis de Steve Faigenbaum – TS Productions

Journal d’une bonne de Valérie Manns – Compagnie des Phares et Balises (CPB Films)

La dernière sentinelle de Camille Le Pomellec – O2B Films

La valse des platanes de Bertrand Amiot et Laurie Pinon – Girelle Production

Les âmes perdues de Syrie de Stéphane Malterre et Garance Le Caisne – Les Films d’Ici

Moissons sanglantes, 1933 – La famine en Ukraine de Guillaume Ribot – Les Films du Poisson

Noor, le chœur d’Alep de Stéphanie Lebrun et Shaza Maddad – La Clairière Ouest

CATÉGORIE PANORAMA DE LA CRÉATION FRANCOPHONE

À nos corps excisés d’Anne Richard – Cie des Phares & Balises (CPB Films)

L’école est finie de Julie Chauvin – Keren Production

Le bégaiement fond au soleil de Mélissa Bronsart – La Clairière Ouest

Mendès la France d’Yves Jeuland et Alex Maurin – Zadig Productions

CATÉGORIE DOCUMENTAIRE MUSICAL

Les enfants de Las Brisas de Mariannela Maldonado – Les Films du Balibari

Zahia, Un temps d’avance d’Emilie Thérond et Antoine Boutinard Rouelle – Estello Films

CATÉGORIE COURTS-MÉTRAGES

Sauvage de Léonore Mercier – Paraiso Production

CATÉGORIE IMPACT DOCUMENTAIRE

Cobalt, l’envers du rêve électrique de Quentin Noirfalisse et Arnaud Zajtman Les Films du Tambour de Soie

CATÉGORIE INTELLIGENT

Champollion l’Égyptien de Gordon et Agnès Molia – Lucid Realities (Camera Lucida)

PITCHS INTERNATIONAUX

After the evil de Tamara Erde – Gloria Films
Documerica project de Pierre-François Didek – Les Films en Vrac
Texas soul sister de Pascale Lamche – Haut et Court Doc et Maneki Films

SERIES DOCUMENTAIRES

1942 de Véronique Lagarde-Segot et Marc Ball – Agat Films
L’affaire Outreau d’Olivier Ayache-Vidal et Agnès Pizzini – Les Films du Balibari
Le ventre de la bête de Dominique Baumard et Antoine Guerre – Tonnerre de l’Ouest

EN FAMILLE

Bande de skateuses de Marion Desquenne – Flair Production
Les enfants de la lanterne magique de Sylvie Perrin – Cocotteminutes Productions

GOÛT DU DOC

Planète pâtissier de Stéphane Carrel – Gédéon Communications

DANS LA MÊLEE

La jeune fille et le ballon ovale de Christophe Vindis – Les Docs du Nord

CATÉGORIE DOCUMENTAIRE INTERNATIONAL Casa Susanna de Sébastien Lifshitz – Agat Films & cie Les coulisses du pouvoir de Dror Moreh – Les Films du Poisson Une sainte famille de A-Liang Elvis Lu – Coproduction Films de Force Majeure CATÉGORIE DOCUMENTAIRE NATIONAL Charlotte Salomon, la jeune fille et la vie de Muriel et Delphine Coulin – Les Films du Poisson Chaylla de Clara Teper et Paul Pirritano – Novanima Productions Exclusion, Rébellion, Affirmation – Newark États-Unis de Steve Faigenbaum – TS Productions Journal d’une bonne de Valérie Manns – Compagnie des Phares et Balises (CPB Films) La dernière sentinelle de Camille Le Pomellec – O2B Films La valse des platanes de Bertrand Amiot et Laurie Pinon – Girelle Production Les âmes perdues de Syrie de Stéphane Malterre et Garance Le Caisne – Les Films d’Ici Moissons sanglantes, 1933 – La famine en Ukraine de Guillaume Ribot – Les Films du Poisson Noor, le chœur d’Alep de Stéphanie Lebrun et Shaza Maddad – La Clairière Ouest CATÉGORIE PANORAMA DE LA CRÉATION FRANCOPHONE À nos corps excisés d’Anne Richard – Cie des Phares & Balises (CPB Films) L’école est finie de Julie Chauvin – Keren Production Le bégaiement fond au soleil de Mélissa Bronsart – La Clairière Ouest Mendès la France d’Yves Jeuland et Alex Maurin – Zadig Productions CATÉGORIE DOCUMENTAIRE MUSICAL Les enfants de Las Brisas de Mariannela Maldonado – Les Films du Balibari Zahia, Un temps d’avance d’Emilie Thérond et Antoine Boutinard Rouelle – Estello Films CATÉGORIE COURTS-MÉTRAGES Sauvage de Léonore Mercier – Paraiso Production CATÉGORIE IMPACT DOCUMENTAIRE Cobalt, l’envers du rêve électrique de Quentin Noirfalisse et Arnaud Zajtman Les Films du Tambour de Soie CATÉGORIE INTELLIGENT Champollion l’Égyptien de Gordon et Agnès Molia – Lucid Realities (Camera Lucida) PITCHS INTERNATIONAUX After the evil de Tamara Erde – Gloria FilmsDocumerica project de Pierre-François Didek – Les Films en VracTexas soul sister de Pascale Lamche – Haut et Court Doc et Maneki Films SERIES DOCUMENTAIRES 1942 de Véronique Lagarde-Segot et Marc Ball – Agat FilmsL’affaire Outreau d’Olivier Ayache-Vidal et Agnès Pizzini – Les Films du BalibariLe ventre de la bête de Dominique Baumard et Antoine Guerre – Tonnerre de l’Ouest EN FAMILLE Bande de skateuses de Marion Desquenne – Flair ProductionLes enfants de la lanterne magique de Sylvie Perrin – Cocotteminutes Productions GOÛT DU DOC Planète pâtissier de Stéphane Carrel – Gédéon Communications DANS LA MÊLEE La jeune fille et le ballon ovale de Christophe Vindis – Les Docs du …

19 janvier 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le groupe TF1, ANIMFRANCE, le SATEV, le SPECT, le SPI, l’USPA, le SEDPA, la SACD et la SCAM signent un nouvel accord en faveur de la création

13 janvier 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI accueille son nouveau Délégué Général, Sébastien Colin

Sébastien Colin rejoint le SPI, après 11 années passées à diriger la politique cinéma, audiovisuelle et jeu vidéo de la Région Ile-de-France.

Durant ces années, il a su adapter et développer l’ensemble des soutiens régionaux à la filière audiovisuelle et cinématographique : écriture, production, exploitation, diffusion, éducation à l’image…

Sous sa responsabilité de nombreux dispositifs ont ainsi été initiés :  création d’une aide à l’écriture de scénario en 2012, Fonds d’aide à la création de jeu vidéo lancé en 2018, soutien aux postes de médiateurs pour les salles de cinéma ou encore la refonte du Fonds de soutien audiovisuel et cinéma en 2015 et 2020 avec la création de plusieurs Collèges, d’un système de bonification et d’un volet destiné aux coproductions minoritaires…


Sa connaissance globale du secteur, des grands enjeux et des nombreux interlocuteurs professionnels et institutionnels seront des atouts précieux pour défendre les intérêts de nos 480 adhérents et les valeurs qui nous sont chères.


Sébastien Colin prendra ses nouvelles fonctions dès le 16 janvier prochain.Nous lui souhaitons la bienvenue.


À cette occasion, le SPI souhaite rappeler qu’il demeure attaché à défendre la diversité du tissu d’entreprises de production et de la filière créative. Préserver l’indépendance des PME et TPE françaises c’est préserver notre souveraineté culturelle, l’émergence et le renouvellement des talents et structurer l’emploi dans tout le territoire pour faire rayonner notre culture partout, au-delà de nos frontières.

Sébastien Colin rejoint le SPI, après 11 années passées à diriger la politique cinéma, audiovisuelle et jeu vidéo de la Région Ile-de-France. Durant ces années, il a su adapter et développer l’ensemble des soutiens régionaux à la filière audiovisuelle et cinématographique : écriture, production, exploitation, diffusion, éducation à l’image… Sous sa responsabilité de nombreux dispositifs ont ainsi été initiés :  création d’une aide à l’écriture de scénario en 2012, Fonds d’aide à la création de jeu vidéo lancé en 2018, soutien aux postes de médiateurs pour les salles de cinéma ou encore la refonte du Fonds de soutien audiovisuel et cinéma en 2015 et 2020 avec la création de plusieurs Collèges, d’un système de bonification et d’un volet destiné aux coproductions minoritaires… Sa connaissance globale du secteur, des grands enjeux et des nombreux interlocuteurs professionnels et institutionnels seront des atouts précieux pour défendre les intérêts de nos 480 adhérents et les valeurs qui nous sont chères. Sébastien Colin prendra ses nouvelles fonctions dès le 16 janvier prochain.Nous lui souhaitons la bienvenue. À cette occasion, le SPI souhaite rappeler qu’il demeure attaché à défendre la diversité du tissu d’entreprises de production et de la filière créative. Préserver l’indépendance des PME et TPE françaises c’est préserver notre souveraineté culturelle, l’émergence et le renouvellement des talents et structurer l’emploi dans tout le territoire pour faire rayonner notre culture partout, au-delà de nos …

13 janvier 2023Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Location poste de travail

Mia productions propose :
Dans un grand bureau, nous mettons à disposition 2 postes de travail à partir du 1er février 2023.
250 euros HT / poste / mois
Internet / Imprimante / scanner / micro-onde / frigidaire
Toutes les charges sont comprises : électricité, chauffage, ménage.
Le bureau est situé au cœur des studios de la Montjoie à la plaine St-Denis
Info : contact@miaproductions.fr

Mia productions propose : Dans un grand bureau, nous mettons à disposition 2 postes de travail à partir du 1er février 2023. 250 euros HT / poste / mois Internet / Imprimante / scanner / micro-onde / frigidaire Toutes les charges sont comprises : électricité, chauffage, ménage. Le bureau est situé au cœur des studios de la Montjoie à la plaine St-Denis Info : …

22 décembre 2022Annoncesannonces
Recherche bureau de production

Nous recherchons 1 bureau de production (2 postes), idéalement avec espace commun à partager

Sur Paris

A  partir de janvier 2023

Petit bureau, Petit Prix mais Grand Bureau, Petit Prix c’est ok aussi !

Pour nous joindre : contact@monafilms.fr

Merci

MONA FILMS, Géraldine Michelot

Nous recherchons 1 bureau de production (2 postes), idéalement avec espace commun à partager Sur Paris A  partir de janvier 2023 Petit bureau, Petit Prix mais Grand Bureau, Petit Prix c’est ok aussi ! Pour nous joindre : contact@monafilms.fr Merci MONA FILMS, Géraldine …

8 décembre 2022Annoncesannonces
Signature du premier accord interprofessionnel avec Prime Video

2 décembre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Deutsch Französichen Filmtreffen / Rendez-vous franco-allemands du cinéma – Berlin 24 novembre 2022

Nous avons été ravis d’échanger avec l’Association des producteurs allemands sur la transposition de la directive AVMS et les obligations de production – Où en sommes-nous ? Jeune producteur, comment émerger ? En présence d’Emmanuelle Mauger, Déléguée générale

Nous avons été ravis d’échanger avec l’Association des producteurs allemands sur la transposition de la directive AVMS et les obligations de production – Où en sommes-nous ? Jeune producteur, comment émerger ? En présence d’Emmanuelle Mauger, Déléguée …

27 novembre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Poste COMPTABLE

Dans le cadre d’un remplacement pour cause de congé maternité, la société AGAT FILMS recherche un.e comptable à temps plein. La société est située dans le 11ème arrondissement, Paris.
Vous intégrerez une équipe comptable de 2 personnes et travaillerez en collaboration avec un service juridique et financier.

Type de Contrat

CDD remplacement congé maternité
Janv/Fév. 2023 – sept 2023

Rémunération en fonction de l’expérience
Ticket restaurant

Expérience / Compétence

Production Audiovisuelle et Cinématographique
Comptabilité générale et analytique
Déclaration sociale et fiscales
Connaissances des logiciels LOUMA et STUDIO de XOTIS
Très bonne maitrise d’Excel

Taches

Saisies de opérations comptables
Vérifications des comptes généraux et analytiques
Établissement des bulletins de paies permanents et intermittents du spectacle
Établissement des décomptes de Droits d’Auteur
Contrôles et déclarations des charges sociales

Profil recherché

Expérience : Minimum 2 ans d’expérience à un poste similaire.
Compétences personnelles : Autonomie, rigueur, organisation, polyvalence et esprit d’équipe sont des qualités indispensables pour ce poste.

Pour postuler à cette offre
Envoyer votre CV compta.ex@agatfilms.com

AGAT FILMS / EXNIHILO – http://www.agatfilmsetcie.com/

Dans le cadre d’un remplacement pour cause de congé maternité, la société AGAT FILMS recherche un.e comptable à temps plein. La société est située dans le 11ème arrondissement, Paris. Vous intégrerez une équipe comptable de 2 personnes et travaillerez en collaboration avec un service juridique et financier. Type de Contrat CDD remplacement congé maternité Janv/Fév. 2023 – sept 2023 Rémunération en fonction de l’expérience Ticket restaurant Expérience / Compétence Production Audiovisuelle et Cinématographique Comptabilité générale et analytique Déclaration sociale et fiscales Connaissances des logiciels LOUMA et STUDIO de XOTIS Très bonne maitrise d’Excel Taches Saisies de opérations comptables Vérifications des comptes généraux et analytiques Établissement des bulletins de paies permanents et intermittents du spectacle Établissement des décomptes de Droits d’Auteur Contrôles et déclarations des charges sociales Profil recherché Expérience : Minimum 2 ans d’expérience à un poste similaire. Compétences personnelles : Autonomie, rigueur, organisation, polyvalence et esprit d’équipe sont des qualités indispensables pour ce poste. Pour postuler à cette offre Envoyer votre CV compta.ex@agatfilms.com AGAT FILMS / EXNIHILO – …

14 novembre 2022Annoncesannonces
Le SPI est fier et félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus lors du 26ème American French Film Festival

Prix du public – cinéma
À PLEIN TEMPS d’Éric Gravel
Novoprod Cinéma

Prix du public – court métrage
LES VERTUEUSES de Stéphanie Halfon
Mondina Films et Delante Productions

Prix de la critique – court métrage
FAIRPLAY de Zoel Aeschbacher
Yukunkun

Prix de la série télévisée
SENTINELLES de Jean-Philippe Amar, Frédéric Krivine, Thibault Valetoux
Tetra Media Fiction

Prix du premier film
LES PIRES de Lise Akoka et Romane Gueret
Les Films Velvet

Prix des étudiants américains
EN CORPS de Cédric Klapish
Ce qui me meut

Prix du public – cinémaÀ PLEIN TEMPS d’Éric GravelNovoprod Cinéma Prix du public – court métrageLES VERTUEUSES de Stéphanie HalfonMondina Films et Delante Productions Prix de la critique – court métrageFAIRPLAY de Zoel AeschbacherYukunkun Prix de la série téléviséeSENTINELLES de Jean-Philippe Amar, Frédéric Krivine, Thibault ValetouxTetra Media Fiction Prix du premier filmLES PIRES de Lise Akoka et Romane GueretLes Films Velvet Prix des étudiants américainsEN CORPS de Cédric KlapishCe qui me …

14 novembre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Location bureau 45m2 – 9ème arrondissement – +accès espaces communs

Dans un grand bureau de 190 m2, rue La Fayette (au niveau du métro Cadet), nous louons un bureau de 45m2 séparable en deux par une double paroi vitrée.

Disponible début décembre.
Accès aux espaces communs (cuisine, salle détente, salle de réunion, 2 wc)

Bureau vide ou meublé au 5ème étage avec un petit balcon filant. Très lumineux et calme (double vitrage).

Contact : ambroise@sandgateproductions.com / 06 69 20 82 93

Visite possible dès aujourd’hui

Dans un grand bureau de 190 m2, rue La Fayette (au niveau du métro Cadet), nous louons un bureau de 45m2 séparable en deux par une double paroi vitrée. Disponible début décembre. Accès aux espaces communs (cuisine, salle détente, salle de réunion, 2 wc) Bureau vide ou meublé au 5ème étage avec un petit balcon filant. Très lumineux et calme (double vitrage). Contact : ambroise@sandgateproductions.com / 06 69 20 82 93 Visite possible dès …

9 novembre 2022Annoncesannonces
Le SPI est fier et félicite chaleureusement ses membres pour leurs prix obtenus au 44ème festival du cinéma méditerranéen de Montpellier – Cinémed

Antigone d’or de Montpellier Méditerranée Métropole
Prix de la critique BNP Paribas
à Ashkal de Youssef Chebbi
coproduit par Poetik Film

Prix du public du Midi Libre
à La nuit du verre d’eau de Carlos Chahine
coproduit par 13 Prods

Prix Ulysse Decipro – Montpellier Méditerranée Métrople
à Gardien des mondes de Leïla Chaïbi
produit par L’Image d’Après

Ces prix illustrent l’exigence et la diversité de la création tournée vers le monde. Ils honorent des cinématographies françaises et méditerranéennes indépendantes qui rayonnent ensemble.

Antigone d’or de Montpellier Méditerranée MétropolePrix de la critique BNP Paribasà Ashkal de Youssef Chebbicoproduit par Poetik Film Prix du public du Midi Libreà La nuit du verre d’eau de Carlos Chahinecoproduit par 13 Prods Prix Ulysse Decipro – Montpellier Méditerranée Métropleà Gardien des mondes de Leïla Chaïbiproduit par L’Image d’Après Ces prix illustrent l’exigence et la diversité de la création tournée vers le monde. Ils honorent des cinématographies françaises et méditerranéennes indépendantes qui rayonnent …

7 novembre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
“On a tous une bonne raison d’aller au cinéma” lancement de la campagne de communication !

« On a tous une bonne raison d’aller au cinéma »

Lancement le 26 octobre de la campagne de communication

Rire et pleurer ensemble, découvrir toute la diversité de la création grâce à des films venus du monde entier, partager des sensations uniques avec le meilleur de la technologie, échanger sur un film avec ses amis ou sa famille, et y amener ses enfants ou vivre un moment en amoureux… Autant de motivations mises en avant par la campagne de communication « On a tous une bonne raison d’aller au cinéma », #mabonneraison.

Sur un ton positif, joyeux et fédérateur, cette campagne, qui démarre ce mercredi 26 octobre jusqu’au 20 novembre 2022, invite tous les publics à se rendre au cinéma pour toutes les bonnes raisons qui sont les leurs. Objectif ? Inciter les Français à se rendre encore plus nombreux au cinéma, en mettant l’accent sur l’expérience inégalable de la salle de cinéma et l’émotion collective de la découverte d’un film sur grand écran.

Cette campagne, conçue par l’agence Mutant Paris, s’appuie sur une large diffusion de spots TV (notamment 20 et 30 secondes) y compris en préroll sur les sites de replay des chaînes TV, un spot radio et par un film annonce en salle de cinéma de 40 secondes, ainsi qu’une déclinaison en affichage dynamique dans les gares.

De nombreux talents s’engagent pour le cinéma en accompagnant cette opération notamment sur les réseaux sociaux.

Cette campagne est accompagnée par des partenariats médias : AlloCiné, Canal +, France Télévisions et Radio France.

Souhaitée par la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, pour inciter les Français à aller encore plus nombreux au cinéma, la campagne est soutenue par le Centre national du Cinéma et de l’Image animée (CNC), en appui de neuf organisations professionnelles et sociétés de gestion de droits, représentant les auteurs, les producteurs, les éditeurs distributeurs de films, ainsi que les exploitants de salles de cinéma (API, ARP, FNCF, FNEF, PROCIREP, SACD, SACEM, SPI, UPC), et avec le soutien de BNP PARIBAS et Rubini et associés.

« On a tous une bonne raison d’aller au cinéma », et vous quelle est la vôtre ? #mabonneraison

Pour voir le spot de la campagne :

Contact presse : Etienne Lerbret : 06 60 97 34 45/ etiennelerbret@orange.fr

Contact presse CNC : Vivien Plagnol : 06 85 51 66 81 / vivien.plagnol@cnc.fr

« On a tous une bonne raison d’aller au cinéma » Lancement le 26 octobre de la campagne de communication Rire et pleurer ensemble, découvrir toute la diversité de la création grâce à des films venus du monde entier, partager des sensations uniques avec le meilleur de la technologie, échanger sur un film avec ses amis ou sa famille, et y amener ses enfants ou vivre un moment en amoureux… Autant de motivations mises en avant par la campagne de communication « On a tous une bonne raison d’aller au cinéma », #mabonneraison. Sur un ton positif, joyeux et fédérateur, cette campagne, qui démarre ce mercredi 26 octobre jusqu’au 20 novembre 2022, invite tous les publics à se rendre au cinéma pour toutes les bonnes raisons qui sont les leurs. Objectif ? Inciter les Français à se rendre encore plus nombreux au cinéma, en mettant l’accent sur l’expérience inégalable de la salle de cinéma et l’émotion collective de la découverte d’un film sur grand écran. Cette campagne, conçue par l’agence Mutant Paris, s’appuie sur une large diffusion de spots TV (notamment 20 et 30 secondes) y compris en préroll sur les sites de replay des chaînes TV, un spot radio et par un film annonce en salle de cinéma de 40 secondes, ainsi qu’une déclinaison en affichage dynamique dans les gares. De nombreux talents s’engagent pour le cinéma en accompagnant cette opération notamment sur les réseaux sociaux. Cette campagne est accompagnée par des partenariats médias : AlloCiné, Canal +, France Télévisions et Radio France. Souhaitée par la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, pour inciter les Français à aller encore plus nombreux au cinéma, la campagne est soutenue par le Centre national du Cinéma et de l’Image animée (CNC), en appui de neuf organisations professionnelles et sociétés de gestion de droits, représentant les auteurs, les producteurs, les éditeurs distributeurs de films, ainsi que les exploitants de salles de cinéma (API, ARP, FNCF, FNEF, PROCIREP, SACD, SACEM, SPI, UPC), et avec le soutien de BNP PARIBAS et Rubini et associés. « On a tous une bonne raison d’aller au cinéma », et vous quelle est la vôtre ? #mabonneraison Pour voir le spot de la campagne : Contact presse : Etienne Lerbret : 06 60 97 34 45/ etiennelerbret@orange.fr Contact presse CNC : Vivien Plagnol : 06 85 51 66 81 / …

26 octobre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI au Festival de la Fiction TV – La Rochelle 2022 (13-18 septembre)

Comme chaque année, la conférence de presse du SPI était attendue !
Elle s’est tenue le jeudi 15 septembre à 15h, sur le thème
La souveraineté culturelle peut-elle survivre au bouleversement du marché“, avec :
Caroline Adrian (Delante Productions), Simon Arnal (Haut et Court TV), Augustin Bernard (Black Sheep Films), Antonin Ehrenberg (Patafilm), Emmanuelle Mauger (SPI), Nora Mehli (Alef One – Présidente du collège audiovisuel du SPI)

La conférence de presse était suivie d’un cocktail-goûter dans le salon-jardin de l’Hôtel de la Monnaie

Comme chaque année, la conférence de presse du SPI était attendue !Elle s’est tenue le jeudi 15 septembre à 15h, sur le thème “La souveraineté culturelle peut-elle survivre au bouleversement du marché“, avec : Caroline Adrian (Delante Productions), Simon Arnal (Haut et Court TV), Augustin Bernard (Black Sheep Films), Antonin Ehrenberg (Patafilm), Emmanuelle Mauger (SPI), Nora Mehli (Alef One – Présidente du collège audiovisuel du SPI) La conférence de presse était suivie d’un cocktail-goûter dans le salon-jardin de l’Hôtel de la …

21 septembre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI souhaite bonne chance à ses membres pour la présentation de leurs projets au Cartoon Forum 2022

Aquaworld, d’Agathe Zavaro et Quentin Letout, coproduit par JPL Films

Bergères guerrières, d’Eurydice Da Silva et Jonathan Garnier,
coproduit par L’Incroyable Studio

Biguden, de Stan Silas et Philippe Riche,
coproduit par Cosmic Productions

Mutante.e.s, de Pauline Ouvrard et Prisca Le Tandé,
coproduit par Paraiso Production et Ikki Films

Delu de la Jungle, de David Tromba et Adriano Morosetti,
coproduit par Nalu Animation

Graine et la Princesse Bilboquet, de Didier Sustrac, Baptiste Grosfilley, Santine Muñozet Édouard Guise, produit par Tchack

Gustave, de Jeremy Barlozzo et Douglas Cavanna,
coproduit par Andarta Pictures

Keiko et le monde flottant, de Florent Grattery, produit par Iliade et Films

La Cour des Animaux, de Jean-Baptiste Bach,
coproduit par Zadig Productions

Planthéon, les losers de l’Histoire, de David Freymond,
coproduit par Ikki Films

L’Atelier de Léo, de Jim Capobianco, coproduit par Foliascope

Le grand Voyage de Gouti, de Bénédicte Galup et Olivia Ruiz,
produit par Parmi les Lucioles Films

Le Chant des Orages, de Caroline Attia et Claire Sichez,
produit par Sacrebleu Productions

Lisa et Kolos, de David Maingault, Gael Becu, Florent Guimberteau,
Irwin Fustec et Kevin Païs,
coproduit par Melting Productions et Andarta Pictures

Mission magique au Mexique, de Hefang Wei,
produit par Kazak Productions

Marcel, le Père Noël (et le petit livreur de pizzas), de Julie Rembauville et Nicolas Bianco-Levrin, produit par XBO Films

Saisons d’oiseaux, d’Isis Leterrier, produit par Novanima Productions

Aquaworld, d’Agathe Zavaro et Quentin Letout, coproduit par JPL Films Bergères guerrières, d’Eurydice Da Silva et Jonathan Garnier, coproduit par L’Incroyable Studio Biguden, de Stan Silas et Philippe Riche, coproduit par Cosmic Productions Mutante.e.s, de Pauline Ouvrard et Prisca Le Tandé,coproduit par Paraiso Production et Ikki Films Delu de la Jungle, de David Tromba et Adriano Morosetti, coproduit par Nalu Animation Graine et la Princesse Bilboquet, de Didier Sustrac, Baptiste Grosfilley, Santine Muñozet Édouard Guise, produit par Tchack Gustave, de Jeremy Barlozzo et Douglas Cavanna, coproduit par Andarta Pictures Keiko et le monde flottant, de Florent Grattery, produit par Iliade et Films La Cour des Animaux, de Jean-Baptiste Bach, coproduit par Zadig Productions Planthéon, les losers de l’Histoire, de David Freymond, coproduit par Ikki Films L’Atelier de Léo, de Jim Capobianco, coproduit par Foliascope Le grand Voyage de Gouti, de Bénédicte Galup et Olivia Ruiz, produit par Parmi les Lucioles Films Le Chant des Orages, de Caroline Attia et Claire Sichez, produit par Sacrebleu Productions Lisa et Kolos, de David Maingault, Gael Becu, Florent Guimberteau, Irwin Fustec et Kevin Païs, coproduit par Melting Productions et Andarta Pictures Mission magique au Mexique, de Hefang Wei, produit par Kazak Productions Marcel, le Père Noël (et le petit livreur de pizzas), de Julie Rembauville et Nicolas Bianco-Levrin, produit par XBO Films Saisons d’oiseaux, d’Isis Leterrier, produit par Novanima …

21 septembre 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de Presse : “Que la fin de la redevance ne sonne pas le glas de l’audiovisuel public”.

5 août 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche Assistant.e de Production en CDD

LES FILMS EN VRAC située dans le 10ème arrondissement de Paris recherche un.e assistant.e de production pour les mois de septembre et octobre 2022.

Type de contrat : CDD.
Début de contrat : 1er septembre 2022
Domaine d’activité de la société : production de documentaires TV.

Expérience demandée : Solide expérience requise pour la préparation et l’organisation de tournages (équipe légère) et rédaction des dossiers de demande de subventions, des devis et plans de financement CNC, Procirep-Angoa, Régions, etc.

Assister les producteurs et la chargée de production.
Envoyer votre CV à Benoit Tschieret par mail btschieret@les-films-en-vrac.com (01 78 94 56 60)

Merci
La production

LES FILMS EN VRAC située dans le 10ème arrondissement de Paris recherche un.e assistant.e de production pour les mois de septembre et octobre 2022. Type de contrat : CDD. Début de contrat : 1er septembre 2022 Domaine d’activité de la société : production de documentaires TV. Expérience demandée : Solide expérience requise pour la préparation et l’organisation de tournages (équipe légère) et rédaction des dossiers de demande de subventions, des devis et plans de financement CNC, Procirep-Angoa, Régions, etc. Assister les producteurs et la chargée de production. Envoyer votre CV à Benoit Tschieret par mail btschieret@les-films-en-vrac.com (01 78 94 56 60) Merci La …

2 août 2022Annoncesannonces
Sauvons l’audiovisuel public !

Plus de 450 personnalités du cinéma et de l’audiovisuel
appellent à un débat sérieux.

Toute la filière de l’audiovisuel et du cinéma, avec la présence de Gilles Sacuto (TS Productions) Président du SPI, était réunie lundi 18 juillet au cinema l’Entrepôt pour défendre un financement affecté et indépendant de l’audiovisuel public, premier partenaire de la filière.
Retrouvez la vidéo de cette conférence à ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=QqBZ1RefrSY

La Tribune (ci-dessous) parue le 18 juillet dans “Le Monde” existe sous forme de pétition que vous pouvez signer directement en suivant ce lien : https://chng.it/LWb4xbsktw

Tribune de l’intersyndicale de l’audiovisuel public et des organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel.


L’AUDIOVISUEL PUBLIC MÉRITE UN DÉBAT SÉRIEUX !

Nos organisations regroupent des salarié·es travaillant directement ou indirectement pour les entreprises de l’audiovisuel public, des autrices et auteurs, des entreprises de création, de production et de diffusion d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles.

Nous avons, les unes et les autres, alerté, pétitionné, mobilisé, argumenté longuement pour décrire les dangers d’une suppression de la contribution à l’audiovisuel public (CAP, ex-redevance).

Nous avons dit et redit que le pouvoir d’achat était un problème trop sérieux pour se satisfaire de demies ou de fausses mesures qui n’amélioreront pas la vie de nos concitoyens et fragiliseront l’audiovisuel public.

Nous avons démontré la nécessité de conforter les entreprises de l’audiovisuel public, dont l’indépendance de financement par une taxe affectée constitue la base de l’indépendance éditoriale, pour assumer ses missions : informer, éduquer, divertir.

Nous avons rappelé l’utilité indéniable du service public, accrue par la crise sanitaire, permettant in extremis de pérenniser France 4 comme chaîne de la jeunesse et de la culture.

Nous avons montré que les entreprises de l’audiovisuel public, France Télévisions, Radio France, L’INA, France Médias Monde, TV5Monde, Arte jouent un rôle essentiel de soutien à l’investigation, à la création et à la diffusion du cinéma, de la fiction, du documentaire, du film d’animation, du spectacle vivant et de la musique.

Nous n’avons reçu en retour que des assertions se voulant « rassurantes » et aussitôt contredites par des projets de fusion et des propos dénigrant nos activités.

Nous avons été auditionnés par la mission IGAC–IGF (Inspection générale des Affaires Culturelles et Inspection générale des Finances) mandatée par le précédent Premier Ministre, mais nous venons à peine de prendre connaissance de ce rapport, la veille du 14 juillet, alors qu’il pointe un risque constitutionnel.

Nous avons fait des propositions constructives pour faire évoluer la CAP, pour l’adapter aux nouveaux usages et la moderniser, en changer l’assiette, la rendre plus juste par une progressivité selon les revenus, pour aller plus loin que la seule exonération touchant déjà les 4 millions de ménages les plus pauvres.  Et surtout ne pas faire dépendre son budget de décisions annuelles dans un contexte forcément tendu.

Nous avons constaté qu’en Europe, les pays (Allemagne, Italie, pays scandinaves, Suisse) qui ont conforté le financement par une taxe affectée ont aussi conforté leurs services publics, dans des contextes où bien souvent la lutte contre la désinformation de masse devient une priorité.

A contrario, dans les quelques pays qui ont fait le choix de la budgétisation et ont délaissé le financement de leur audiovisuel public par une taxe affectée, leur délitement est rapidement arrivé, avec le train des économies et parfois des attaques contre l’indépendance et la liberté, portées par l’extrême droite quand elle est au pouvoir.  

Sur l’ensemble de ces points, de ces travaux, nous n’avons été pour l’instant ni écoutés ni entendus par le Président de la République et son Gouvernement.

Aujourd’hui, au-delà de nos différences, nous, salarié·es, journalistes, autrices et auteurs, réalisatrices et réalisateurs, responsables de structures de production et de diffusion refusons, que le nécessaire débat sur l’audiovisuel public et son financement soit confisqué et escamoté au détour d’un projet de loi de finances rectificatif au cœur de l’été et au profit d’un tour de passe-passe budgétaire.

Il n’est pas raisonnable d’improviser ni de préempter l’avenir du service public de l’audiovisuel sans qu’une réflexion approfondie n’existe, sans que les forces vives de ce pays, sans que les parlementaires, n’aient le temps de participer à une réelle concertation et à un débat commun.

Un débat qui porte sur les missions de service public, le besoin de conforter et de développer les œuvres et programmes que nous concevons, fabriquons et diffusons pour et sur nos services publics.

Un débat qui porte sur l’indépendance et sur les enjeux de diversité culturelle et d’information.

Un débat qui porte sur la démocratie et le rôle que doit jouer en sa faveur l’audiovisuel public et tout l’écosystème dont nous sommes les actrices et acteurs.

Un débat qui porte sur un financement public, qui garantisse la justice fiscale et un rendement dynamique.

Nous exigeons ce vaste débat public à la rentrée de septembre, plutôt qu’un passage en force en plein mois d’août.

Un débat public, citoyen, essentiel, républicain.


Les organisations (intersyndicale de l’audiovisuel public et organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel) :

ADAMI : Administration des Droits des Artistes Musiciens Interprètes

BOUTLEUX Bruno, directeur général de l’ADAMI

AnimFrance : syndicat dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animation

KAMINKA Myriam, présidente AnimFrance

LE BARS Stéphane, délégué général

CFE-CGC :

LOUET Pascal, secrétaire Fédéral du Pôle CFE-CGC Spectacle Action Culturelle

CGT SPECTACLE :

GRAVOUIL Denis, Secrétaire général de la fédération nationale des syndicats du spectacle, du cinéma, de l’audiovisuel et de l’action culturelle – CGT SPECTACLE

MOUCHEL Pierre, Secrétaire général SNRT CGT France Télévisions

JABBAD Mohamed, Secrétaire général du Syndicat des professionnels des industries de l’Audiovisuel et du Cinéma CGT (Spiac-CGT)

LASSAVE JEAN, Secrétaire Général du Syndicat Français des Réalisateurs CGT (SFR-CGT)

PEGURRI Isabelle, déléguée Syndicale CGT de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA)

PICAN Jean-Marc, délégué Syndical CGT de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA)

DURAND Bertrand, CGT Radio France

VIRE Emmanuel, secrétaire général du Syndicat national des journalistes CGT

GAUTIER Philippe, Secrétaire général de l’Union nationale des artistes musiciens de France CGT

SORIN Lucie, pour la délégation du Syndicat français des artistes interprètes (SFA CGT)

FASAP-FO : Fédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse Force Ouvrière

CHAZAUD Françoise, Secrétaire générale

FICAM : Fédération des industries du Cinéma, de l’Audiovisuel et du Multimédia

HUCK Didier, Président

MIRSKI Jean-Yves, Délégué Général

GARRD : Guilde des Auteurs et Réalisateurs de Reportages et Documentaires

Vincent de Cointet, Président

JALLOT Nicolas, vice-président

LMA : Les Monteurs Associés

LMA – BERTRAND Thaddee, monteur, co-Président

MOUTON Camille, co-Présidente

RODINO Guila, co-Présidente

PROCIREP :

PEREZ Cyrille, Producteur, Président de la Commission Télévision de la Procirep

SACD : Société des auteurs compositeurs dramatiques

RAMBACH Anne, présidente

ROGARD Pascal, directeur général

LE PEZENNEC Marie-Anne, vice-présidente Télévision

DUSSEAUX Laurent vice-président Télévision

SCHOELLER Pierre, Vice-président Cinéma

SATEV : syndicat des agences de presse audiovisuelles

BRAKA Florence, déléguée générale

SCA : Scénaristes de Cinéma Associés

BRODY Cyril, Co-président

MAUD Ameline, vice-présidente du SCA

PEYR Julie, Co-présidente

SCAM : Société civile des auteurs multimédia

LAINÉ Rémi, Président

RONY Hervé, directeur général

SDI : SYNDICAT DES DISTRIBUTEURS INDEPENDANTS

ROGER Jane, co-présidente

SNAC : Syndicat national des auteurs et des compositeurs

DE RENGERVÉ Emmanuel, secrétaire général

SNAJ/CFTC : Syndicat National de l’Audiovisuel et des Journalistes CFTC

DE LIBERA Maximilien, secrétaire général

SPI : Syndicat des Producteurs Indépendants

MASMONTEIL Marie, productrice, co-présidente du Bureau de liaison des organisations du cinéma (BLOC)

SACUTO Gilles, Président

MELHLI Nora, Présidente du Bureau Audiovisuel

MAUGER Emmanuelle, déléguée générale adjointe

LEBECQ Louise, déléguée aux affaires sociales

GOLETTY Marion, déléguée cinéma

SPECT : Syndicat des producteurs et créateurs de programmes audiovisuels

CAZA Jérôme, président

GISBERT Vincent, délégué général

SRF : Société des Réalisatrices et Réalisateurs de Films

CORSINI Catherine, réalisatrice, présidente de la SRF, co-présidente du BLOC

BIDEGAIN Thomas, coprésident

BRUN Rosalie, déléguée générale

FARRUCCI Frédéric, coprésident

WITTOCK Zoé, coprésidente

SNJ : SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTES

POUPARD Emmanuel, premier secrétaire général

SUD MEDIAS TELEVISION :

MARIANI Béatrice, secrétaire générale

U2R : Union des réalisateurs et réalisatrices

JAOUI Laurent, président

UNSA SPECTACLE :

ZEKRI Fouzia, secrétaire générale

USPA : Union Syndicale de la Production Audiovisuelle

BUCHER Iris, Productrice, PDG de Quad Drama, Présidente

PREMIERS SIGNATAIRES :

ACOLAS Bénédicte, réalisatrice

ADOUTTE Virginie, productrice Société de production audiovisuelle documentaire Drôle de Trame

AFLALOU Thierry, Comic Strip Production

AGNELY Marie, productrice

ALANI Feurat, journaliste, écrivain

ALBAYATI Leila, réalisatrice, musicienne

ALBERT Fleur, réalisatrice et adhérente de la SRF

ALCOBA Laura, écrivaine

ALIX Anna, réalisatrice

ANDRE David, Prix Albert Londres Audiovisuel 2011, Scénariste et réalisateur

ANGEL Hélène, réalisatrice et scénariste

ANSQUER Laurence, productrice

ARNAC Elizabeth, LIZLAND FILMS

ARNAL Simon, producteur, Haut et Court

ARNOUX Stéphane, cinéaste

ARRIGHI Marine, productrice (Apsara films)

ARTHUS-BERTRAND Yann, réalisateur

AUBERT Julien, Producteur, Bigger Than Fiction

AVRIL Philippe, producteur

AZIZA Myriam, autrice réalisatrice

BAGNOL-ROY Julien, Producteur

BALESTAS KAZAZIAN Barbara, réalisatrice

BALIBAR Jeanne, comédienne

BARILLE HELENE, Productrice de Programme Tv Jeunesse. Séries Il Etait Une Fois…La Vie…

BARNAULT Jean Fabrice, Movie Da Productions

BARRA Muriel, productrice

BARRAUD Antoine, réalisateur

BARRAUD Marie, productrice

BARTHELEMY Jérôme, producteur

BATTIKH Sami, producteur

BAUMERDER Jean-Claude, FILMICA production

BAUSSARON Pierre, producteur

BAYSSIERE Gaëlle, productrice

BEFFA Claire, productrice La Clairière Ouest

BELMAHI Jamal, membre du conseil du SCA

BELONY MUSSEL Xavier, comédien

BENGUIGUI Alain, Producteur, Sombrero Fiction/ Sombrero Films

BENJO Caroline, productrice HAUT ET COURT

BERTRAND François, producteur

BERTUCCELLI Julie, cinéaste, présidente de la Cinémathèque du documentaire

BÉTÉ Marlise, comédienne, cinéaste

BISARO Julien, Picolo Pictures

BLANC Karine, productrice

BLANC Nicolas, producteur

BLANCHET Lise, journaliste

BLOC Jean-Pierre, monteur

BOHLER Olivier, producteur

BOMPOINT Mathieu, UTOPIE FILMS

BONIN Cédric, producteur SEPPIA

BONNELL Jérôme, réalisateur

BORLETEAU Lucie, Cinéaste

BOULARD Arnaud, producteur

BOURBEILLON Olivier, producteur

BOUTINARD Rouelle Patricia, Présidente, Nilaya Productions

BOUZGARROU Diane Sara, SRF

BOYER Jean-François, producteur TETRAMEDIA STUDIO

BOZON Serge, cinéaste

BRAC Guillaume, cinéaste

BREHAT Jean, producteur

BRETET Adrien, producteur

BRETON Pascale, scénariste, réalisatrice

BRIAND Laura, productrice

BRIAS Vanessa, productrice

BRUNETEAU Laurent, producteur

BRUSINI Hervé, journaliste, président du prix Albert Londres

BUCH Mikael, cinéaste

BUTTIN-LABARTHE Vanessa, productrice et présidente la société Les Astronautes

CALDERON Franck, Producteur

CAMOIRANO Christophe, producteur

CAROLINE Joëlle, producteur

CARR-BROWN COLCY Alexandra, Directrice De Production

CARRE Jean-Michel, réalisateur

CARRIERE Michel, réalisateur

CATTAN Pierre, producteur

CATTEAU Manuel, Producteur

CAYATTE Gilles, réalisateur

CHANAL Bertrand, producteur

CHANDELLIER Camille, productrice

CHATELIER Matthieu, réalisateur

CHIBANE Malik, cinéaste

CHICHKOWSKY Carine, productrice

CHIHA Patric, réalisateur

CHILLON Eva, productrice

CIBIEN Laurent, documentariste, La Boucle Documentaire

CISSÉ Anne, autrice-réalisatrice

CLEMENT Catherine, écrivaine philosophe

COAT Fabrice, Producteur

COGITORE Romain, auteur-réalisateur, membre du CA de la Société des Réalisateurs de Films (SRF)

COGITORE. Romain,

COGNET Christophe, membre de la SRF

COLCY Maximilien, Producteur, Allumage

COMMISSIONAT Thierry, producteur

COPANS Richard, Les Films d’Ici

CORDON Jun, auteur-réalisateur-producteur

COUJARD David, producteur

COULON Florent, Producteur VraiVrai Films

COUPY Seb, réalisateur

CRESPI Bérangère, Chargée de production

CSINIDIS Jean-Laurent, producteur

DA FONSECA Sandra, productrice

DALLIER VEGA Ael, monteuse

DALQUIE Delphine, Direction Juridique, Folivari

DAMOISEL Mathilde, réalisatrice

DAUCHEZ Florence, journaliste

DAVID Jules, Producteur

DE BANNES Olivier, producteur

DE COINTET Vincent, auteur-réalisateur

DE FRANCESCHI Emmanuel, Producteur Exécutif, Go-N Productions

DE LENCQUESAING Louis-Do, acteur, metteur-en-scène

DE ROQUEFEUIL Eric, producteur

DE SAINT-EXUPERY Patrick, journaliste

DE VESINNE Édouard   Producteur Délégué

DE WILDE Patricia,  Directrice Marketing , Teamto

DECOUFLE Pierre-François ,  Producteur

DEFOSSEZ Nathalie, Schuch Productions

DEGEORGES Isabelle, Productrice, Directrice de Gaumont Télévision

DEKEYSER Patrick, réalisateur

DELASSUS Jean-François, écrivain

DELMAS Sarah,  Directrice Des Développements

DELOCHE Sophie, productrice

DESCLOUS Sylvain, réalisateur

DIABY Aïssa, réalisatrice

DIAS Coralie, productrice

DJITLI Leila, journaliste, réalisatrice

DONAY Timothée, distributeur Les Alchimistes

DREVILLON Elizabeth, journaliste, réalisatrice

DROGUE Marie, Ma Drogue A Moi

DU PELOUX Valéry, producteur

DUBAS Marie, productrice

DUBOIN Clément, producteur

DUBOST Cécile, scénariste – réalisatrice – productrice

DUBREUIL Frédéric, producteur Envie de Tempête productions

DUCOTTET Brigitte, productrice

DUGUET Claire, autrice et réalisatrice de documentaires

DUMAS Sandrine, Réalisatrice

DUMOULIN Marie, productrice

DUPIN Valérie, productrice

DUPUIS Philip, TANDEM IMAGES

DURAND Pierre-Nicolas, réalisateur

DURET Laurent, Producteur

EDE Victor, producteur

EHRENBERG Antonin, producteur

EL FANI Nadia, réalisatrice

EL KHOURY Tania, productrice

ELIEL CHOURAQUI Marc, réalisateur

EMINENTI Licia, Development & Co-production Expert, Director Scriptwriter – Script Consultant

ENGLE Liam, réalisateur

EON  Pauline,  Productrice

ESCALLIER Barthélémy, Chargé de production

ESCRIVA Amalia, réalisatrice

ESTEVE Fabrice,  Producteur, Yuzu Productions

ETTORI Maga, auteur-réalisateur

FABRE-LUCE Guillaume, scénariste et réalisateur

FARASSE Vincent, auteur

FAUCON Philippe, ISTIQLAL FILMS

FAUDEL Sophie, productrice

FELLOUS Colette, écrivaine, productrice radio

FERAL Vladimir, Producteur, ASM FILMS

FERRAN Pascale, cinéaste

FERRAND Adrien, producteur, Vents Contraires

FLACCOMIO Jean-Claude, producteur

FLORENTIN Bruno, producteur

FONTAINE Juliette, directrice juridique du groupe CLPB Media

FORNI Jérémy, producteur

FOSSIER Maxime, producteur

FRANCOIS Emmanuel,  Producteur

FRENKEL David, producteur

FREYD Denis, Producteur, Archipel 35

GACHET Laurence, Distributrice

GACHET Laurence, PANAME DISTRIBUTION

GADEA Claire, productrice

GAILLEURD Céline, productrice

GANS Lola, productrice

GARCIA-FONS Pablo, producteur

GARNIER Sidonie, productrice La Clairière Ouest

GAUTHIER Perrine, La Cabane Productions

GAUTIER Cyril, producteur

GAY Amandine, réalisatrice et autrice

GEORGES Aurélia, réalisatrice

GEORGES Emmanuel, producteur

GEORGES Ninon, productrice

GEORGET Anne, réalisatrice, présidente du Fipadoc

GHANASSIA Camille, Productrice, réalisatrice, scénariste

GIACCHERO Lisa, réalisatrice et adhérente à la Société des Réalisateurs de Films (SRF)

GINTZBURGER Anne, Productrice – Réalisatrice

GIRAULT Mickael, producteur

GLIMOIS Nicolas, réalisateur

GOBLOT Pascal, réalisateur

GOLDENBERG Tania, réalisatrice

GONZALEZ Annie, productrice

GONZALEZ Eric, producteur

GORE Bertrand, producteur

GOSSELIN Marion, responsable juridique Bonne Pioche

GRAF Jacques, photographe

GRAFF Julien, producteur

GRANJON Jean-Charles, Bluearth Production – Bluearth Studio

GRUDZINSKA Joanna, réalisatrice

GUEDJ Lionel et Ariel, cinéaste et producteur

GUEDJ Mikael, producteur

GUERIN Annouk, productrice

GUERIN Dominique, Productrice, Ping&Pong Productions

GUERRIN Pascal, Directeur Général de Bonne Pioche

GUESNON Julie, Amarante Productrice

GUEZ Serge, producteur

GUICHENEY Geneviève, journaliste

GUICHOU Blanche, Productrice – Agat Films & Cie

GUIRAUDIE Alain, réalisateur, scénariste, écrivain

GUTMANN Marie, productrice

HACHMI Mariam, Productrice, La Chouette Compagnie

HAGUENAUER Sébastien, gérant de société de production

HAKIM Thomas, producteur

HAMET Camille, réalisatrice

HARCHIN Violaine, distributrice Les Alchimistes

HARDY-CARNAC Ted, réalisateur et scénariste

HAZAN Jonathan, Les Films du Cygne

HENRY Ludovic, producteur

HERMANN Luc, Producteur, réalisateur

HERNANDEZ Patrick, producteur

HURARD Oriane, SPI

HURST David, La PEÑA – “Produire en Nouvelle Aquitaine”

HUVELIN Maurice, auteur réalisateur

HUYNH Maud, DRÔLE DE TRAME

IMBAULT-HUART Diane, Productrice

IRMER Marc, producteur

ISNARD Aymeric, producteur Futur Antérieur production

ISOARDI Elsa, productrice

JAEGER Thomas, producteur

JAEGGI Danielle, cinéaste

JAEGGI Danielle, réalisatrice

JAQUET Delphine, productrice

JARRY Isabelle, écrivain

JAWAD Salam, producteur

JÉHANNIN William, Producteur, UFO Production

JEUDY Patrick, réalisateur

JONES Gaëlle, productrice

JONNIAUX Elisabeth, réalisatrice

JOURDAIN Pierre-Yves, producteur

JUBAN Pierre-Martin,  Producteur

KAPNIST Elisabeth, réalisatrice

KEATON Vergine, réalisatrice

KERVADEC Aurane, productrice

KETZ Samy, journaliste AFP

KLAPISCH Cédric, réalisateur

KLOTZ Nicolas, cinéaste

KOENIG Baudouin, réalisateur

LABIB Jean, producteur

LADSOUS François, producteur

LAGOGUE Damien, producteur

LAGRANGE Jean-Pierre, producteur

LALOU Serge, producteur Les Films d’Ici et Les Films d’Ici Méditerranée

LANÇA Alexandre, cinéaste et ancien élu au Conseil d’administration de la Société des Réalisateurs de Films (SRF)

LANDAIS Nathalie, productrice

LANGLOIS Roméo, journaliste France 24

LAUDENBACH Sébastien, cinéaste

LAVANT Xavier, producteur

LAVOLE Laurent, producteur

LAZAREVSKI Georgi, réalisateur

LAZUECH Mathilde, réalisatrice

LE BAIL Karine, chercheuse CNRS, PRODUCTRICE RADIO

LE BORGNE Ronan, producteur

LE BOUCHER Damien, producteur

LE GOFF Pierre-Emmanuel, producteur

LE GOUIL Gwen, journaliste

LE PERON Serge, réalisateur

LECOT Olivier, scénariste, réalisateur

LEFRANC Jean-Martial, producteur

LEGRAND Thomas, journaliste éditorialiste France Inter

LEMESLE Nolwenn, auteure-réalisatrice

LENOIR Blandine, scénariste et réalisatrice

LENOIR Nathalie, réalisatrice et scénariste

LENOUVEL Thierry, producteur Ciné-Sud Promotion

LEPROUX Magalie, productrice

LESAGE Bénédicte, productrice

LESTRADE Cécile, Alter Ego Production

LEVIL Guillaume, Auteur Réalisateur

LIFSCHITZ Sébastien, réalisateur

LINHART Virginie, réalisatrice

LIORET Jean, producteur

LOMBARD Yves, producteur

LOU LEVY Judith, productrice

LUNEAU-DAURIGNAC Pierre-Emmanuel, Auteur-réalisateur

MAFFRE Marie, réalisatrice

MAHE Sylvie, Productrice

MANDY Marie, réalisatrice

MARANT Alexis, réalisateur

MARBOEUF Frédéric, producteur

MARI Jean-Paul, journaliste

MAROTEL Julia, Constructrice de décors

MARQUIS Xavier, auteur réalisateur

MARSCHAL Claudia, réalisatrice

MARTIN Antoine,  Producteur Audiovisuel

MARTIN Sophie, Directrice de Casting

MASSADIAN Valérie, cinéaste

MASSART Guillaume, Réalisateur et producteur

MASSOL Lionel, producteur

MATHON Clément, producteur

MAURY Delphine, Tant Mieux Prod

MEGHERBI Damien, Producteur chez Les Valseurs

MEILLON Garance, scénariste et réalisatrice

MERCIER Sandrine, autrice – réalisatrice

MERCURIO Stéphane, réalisatrice

MERLIN Muriel, productrice

MESSIANT Manon, productrice

MESSMER Raphaëlle, productrice La Clairière Ouest

MESURET Nathalie, Blue Monday Productions

MIGNON Mathilde, réalisatrice

MILLE Olivier,  Producteur de Films

MILLER Coralie, documentariste

MILLIERE Stéphane,  Producteur Audiovisuel

MILSHTEIN Oury, producteur

MINISINI Elsa, productrice

MISSIKA Margaux, productrice

MITJAVILE Hélène, productrice

MOLIA Agnès, productrice

MOLIA Christie, productrice

MOLL Dominik, réalisateur et scénariste

MONIN Camille, Directrice de Production

MONNIER Christian, membre de la SRF

MONNIER Damien, réalisateur et producteur

MONTHIEUX Jean-Louis, producteur, Eloa Prod

MORDILLAT Gérard, réalisateur

MOREAU Emmanuel, journaliste

MOREAU Laëtitia, réalisatrice

MOUCHEZ-ARMENDARIZ Marina, 

MOUTEL Samuel, producteur

NATAF Caroline, Productrice

NICK Christophe, producteur

NORA Judith, productrice

NOVANIMA Marc, réalisateur

NOVATI Valentina, productrice et distributrice

OCHRONOWICZ Igor, POINT DU JOUR – LES FILMS DU BALIBARI

OUDIN Jordane, productrice

PADOVANI Gilles, Mille et Une Films

PANH Rithy, réalisateur

PANNIER Laurent, Président de Normandie Films

PAOLETTI Claire,  Picolo Pictures

PARATIAN Julie, productrice

PARION Isabelle, membre du SPI et de l’observatoire de la liberté de création

PAWLOWSKI Elisabeth, productrice

PEFFERKORN Manuelle, assistante audiovisuel

PELASSY Laurine, productrice Les Films de la Capitaine

PERCEVAL Elisabeth, cinéaste

PEREZ Anita, monteuse

PERREARD Julie, réalisatrice

PERRIN Jean-Pierre, journaliste écrivain

PERVOLOVICI Eva, réalisatrice

PEYRON Olivier, réalisateur

PHAM Song, Productrice

PHILIBERT Nicolas, réalisateur

PHILIPPE Nora, autrice-réalisatrice, directrice d’EURODOC

PILHAN Marie, productrice

PIOUTAZ Sylvain, réalisateur

PLANCHAIS Corinne, DRÔLE DE TRAME

PLUMET Lucie, réalisatrice

POIRET Anne, réalisatrice

POMONTI Jean-Claude, journaliste, écrivain

PONCET Chrystel, productrice

POPP Christian, Producteur

POULET Anne-Laure, productrice

PREEL-CLEACH Fabrice, producteur

PRÉVOST Oscar, assistant de production,

PRIEUR Jérôme, réalisateur

PRIOU Emmanuel, Producteur Associé

PUJOL Philippe, journaliste, écrivain

QUÉRET Amélie, productrice

RADOVIC Véronique, productrice

RAKHMANOVA Tania, réalisatrice

RANC Marie Hélène, Productrice, Kuiv

RAULIN Mario, producteur

RAVASSARD Alban, Auteur-Réalisateur

RÈBRE Isabelle, Cinéaste et écrivaine

RENAUD Jean-Thomas, auteur-réalisateur

RENAUD Tiphaine, productrice

RENAUD Tiphaine, TS Productions

REY Isabelle, autrice

REYMOND Jean-Christophe, producteur

REZKALLAH Farid, producteur

ROBIN   Eve, productrice

ROBIN Marie-Monique, réalisatrice

ROBIN YOU Estelle, POINT DU JOUR – LES FILMS DU BALIBARI

ROCHE Stéphane, producteur

ROCHOT Philippe, journaliste

ROCQUE Loïs, producteur Les Alchimistes

ROMAND Françoise, réalisatrice

ROPERT Axelle, réalisatrice cinéaste

ROSENTHAL Bertrand, journaliste

ROSSET Christian, producteur de création

ROSSI Gabriele, réalisateur et membre de la SRF

ROUAUD Christian, réalisateur

ROUSSEL Caroline, productrice, société ARTURO MIO

ROUSSIN Marie, La Guilde des scénaristes

ROUVEURE Ivan,  Producteur De Films D’animation

RUBY Thibaut,  Producteur, Folivari

SACHS Irad, producteur

SAHEL Jérémy, producteur

SAID Marcela, réalisatrice

SAINT LÉGER France, Harbor Films

SAINT LEGER France, producteur

SALES Jean-Romain, producteur

SALVADOR Pierre, réalisateur 

SALVADOR Thomas, réalisateur

SAMIE Jean-Frédéric, producteur

SAMITIER Marie-Pierre, journaliste

SAPENA Nathalie, journaliste

SCHAETTEL Jean-Jacques, producteur

SCHAFF Gabrielle, autrice-réalisatrice

SCHMERKIN Nicolas, Producteur

SCHNEBELEN Grégory, producteur

SCIALOM Gabriel, producteur

SCOTTA Carole, HAUT ET COURT

SEGHEZZI Ina, réalisatrice

SEIGLAND Pauline, Films Grand Huit

SELCER Ethan, producteur

SELIGMANN Guy, réalisateur, ancien président de la Société civile des auteurs multimédia (SCAM)

SELLERON Julien, réalisateur SRF

SENEZ Guillaume, cinéaste

SEZILLE DE MAZANCOURT Nicolas, Décorateur Couleur

SIEGEL Véronique, productrice

SIMON Claire, cinéaste

SIRVIN Emmanuele, Productrice

SLIMAK Jonathan, producteur

SLOT Marianne, productrice

SOL Juliette, producteur

SOSA SORI Edouardo, producteur

SPAVONE Michel, Producteur Exécutif, Program33

SUBRAMANIYAM Virginia, productrice

TAMADON Mehran, réalisateur et membre de la Société des Réalisateurs de Films (SRF)

TARDIEU Carine, scénariste, réalisatrice

TAVARES Michel, producteur

THIEBAUT Samuel, producteur – réalisateur

THION David, Les Films Pelléas

TOINT Hubert, SRF

TONOLLI Frédéric, réalisateur

TOURRES Charlotte, monteuse

TRAUBE Nicolas, Producteur French Cancan Production et ancien responsable de la fiction de France 2

TREILHOU Marie-Claude, cinéaste

TRICARD Julien, producteur audiovisuel

TRINQUES Gilles, Cinéaste

TRIPOD Thierry, producteur, Brainworks

TRUCHAUD Marion, auteure-réalisatrice

TUBAN Dimitri,  Ceo Pole Production Groupe

UNGER Anja, réalisatrice

UNGER Anja, réalisatrice

VAN DER MAAR Bénédicte, photographe

VAN HOUTRYVE Tomas, photographe

VAN LEEUW Philippe, auteur-réalisateur

VAN VLASSELAER Laure, producteur

VARELA Pamela, cinéaste

VASAK Jan, Producteur, Day For Night

VERMILLARD Marie, réalisatrice

VERNHES-LERMUSIAUX Aurélien, réalisateur

VIALLET Jean-Robert, réalisateur

VIGNAL Vanina, cinéaste

VILLACÈQUE Anne, réalisatrice

VILLARD Pascal, Chef monteur son

VILLENEUVE Patrick, producteur

VINCENT Charlotte, productrice

VINCENT Guillaume, producteur

WALECKX Tristan, journaliste

WALGENWITZ Denis, réalisateur de films d’animation

WEBER Eléonore, réalisatrice

WERY Jean-Baptiste, Producteur

WILLIG François, producteur

WINTERNHEIMER Arthur, Chargé de productions

YVONNET Fanny, Trois Brigands Productions

ZACCAGNINO Candice, productrice

ZARDOYA Josianne, réalisatrice

ZILBERMANN Ruth, réalisatrice

ZOBDA France, productrice, Eloa Prod

ZOUHANI Hakim, auteur- réalisateur […]

Paris, le 18/07/2022.

Plus de 450 personnalités du cinéma et de l’audiovisuel appellent à un débat sérieux. Toute la filière de l’audiovisuel et du cinéma, avec la présence de Gilles Sacuto (TS Productions) Président du SPI, était réunie lundi 18 juillet au cinema l’Entrepôt pour défendre un financement affecté et indépendant de l’audiovisuel public, premier partenaire de la filière. Retrouvez la vidéo de cette conférence à ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=QqBZ1RefrSY La Tribune (ci-dessous) parue le 18 juillet dans “Le Monde” existe sous forme de pétition que vous pouvez signer directement en suivant ce lien : https://chng.it/LWb4xbsktw Tribune de l’intersyndicale de l’audiovisuel public et des organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel. L’AUDIOVISUEL PUBLIC MÉRITE UN DÉBAT SÉRIEUX ! Nos organisations regroupent des salarié·es travaillant directement ou indirectement pour les entreprises de l’audiovisuel public, des autrices et auteurs, des entreprises de création, de production et de diffusion d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles. Nous avons, les unes et les autres, alerté, pétitionné, mobilisé, argumenté longuement pour décrire les dangers d’une suppression de la contribution à l’audiovisuel public (CAP, ex-redevance). Nous avons dit et redit que le pouvoir d’achat était un problème trop sérieux pour se satisfaire de demies ou de fausses mesures qui n’amélioreront pas la vie de nos concitoyens et fragiliseront l’audiovisuel public. Nous avons démontré la nécessité de conforter les entreprises de l’audiovisuel public, dont l’indépendance de financement par une taxe affectée constitue la base de l’indépendance éditoriale, pour assumer ses missions : informer, éduquer, divertir. Nous avons rappelé l’utilité indéniable du service public, accrue par la crise sanitaire, permettant in extremis de pérenniser France 4 comme chaîne de la jeunesse et de la culture. Nous avons montré que les entreprises de l’audiovisuel public, France Télévisions, Radio France, L’INA, France Médias Monde, TV5Monde, Arte jouent un rôle essentiel de soutien à l’investigation, à la création et à la diffusion du cinéma, de la fiction, du documentaire, du film d’animation, du spectacle vivant et de la musique. Nous n’avons reçu en retour que des assertions se voulant « rassurantes » et aussitôt contredites par des projets de fusion et des propos dénigrant nos activités. Nous avons été auditionnés par la mission IGAC–IGF (Inspection générale des Affaires Culturelles et Inspection générale des Finances) mandatée par le précédent Premier Ministre, mais nous venons à peine de prendre connaissance de ce rapport, la veille du 14 juillet, alors qu’il pointe un risque constitutionnel. Nous avons fait des propositions constructives pour faire évoluer la CAP, pour l’adapter aux nouveaux usages et la moderniser, en changer l’assiette, la rendre plus juste par une progressivité selon les revenus, pour aller plus loin que la seule exonération touchant déjà les 4 millions de ménages les plus pauvres.  Et surtout ne pas faire dépendre son budget de décisions annuelles dans un contexte forcément tendu. Nous avons constaté qu’en Europe, les pays (Allemagne, Italie, pays scandinaves, Suisse) qui ont conforté le financement par une taxe affectée ont aussi conforté leurs services publics, dans des contextes où bien souvent la lutte contre la désinformation de masse devient une priorité. A contrario, dans les quelques pays qui ont fait le choix de la budgétisation et ont délaissé le financement de leur audiovisuel public par une taxe affectée, leur délitement est rapidement arrivé, avec le train des économies et parfois des attaques contre l’indépendance et la liberté, portées par l’extrême droite quand elle est au pouvoir.   Sur l’ensemble de ces points, de ces travaux, nous n’avons été pour l’instant ni écoutés ni entendus par le Président de la République et son Gouvernement. Aujourd’hui, au-delà de nos différences, nous, salarié·es, journalistes, autrices et auteurs, réalisatrices et réalisateurs, responsables de structures de production et de diffusion refusons, que le nécessaire débat sur l’audiovisuel public et son financement soit confisqué et escamoté au détour d’un projet de loi de finances rectificatif au cœur de l’été et au profit d’un tour de passe-passe budgétaire. Il n’est pas raisonnable d’improviser ni de préempter l’avenir du service public de l’audiovisuel sans qu’une réflexion approfondie n’existe, sans que les forces vives de ce pays, sans que les parlementaires, n’aient le temps de participer à une réelle concertation et à un débat commun. Un débat qui porte sur les missions de service public, le besoin de conforter et de développer les œuvres et programmes que nous concevons, fabriquons et diffusons pour et sur nos services publics. Un débat qui porte sur l’indépendance et sur les enjeux de diversité culturelle et d’information. Un débat qui porte sur la démocratie et le rôle que doit jouer en sa faveur l’audiovisuel public et tout l’écosystème dont nous sommes les actrices et acteurs. Un débat qui porte sur un financement public, qui garantisse la justice fiscale et un rendement dynamique. Nous exigeons ce vaste débat public à la rentrée de septembre, plutôt qu’un passage en force en plein mois d’août. Un débat public, citoyen, essentiel, républicain. Les organisations (intersyndicale de l’audiovisuel public et organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel) : ADAMI : Administration des Droits des Artistes Musiciens Interprètes BOUTLEUX Bruno, directeur général de l’ADAMI AnimFrance : syndicat dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animation KAMINKA Myriam, présidente AnimFrance LE BARS Stéphane, délégué général CFE-CGC : LOUET Pascal, secrétaire Fédéral du Pôle CFE-CGC Spectacle Action Culturelle CGT SPECTACLE : GRAVOUIL Denis, Secrétaire général de la fédération nationale des syndicats du spectacle, du cinéma, de l’audiovisuel et de l’action culturelle – CGT SPECTACLE MOUCHEL Pierre, Secrétaire général SNRT CGT France Télévisions JABBAD Mohamed, Secrétaire général du Syndicat des professionnels des industries de l’Audiovisuel et du Cinéma CGT (Spiac-CGT) LASSAVE JEAN, Secrétaire Général du Syndicat Français des Réalisateurs CGT (SFR-CGT) PEGURRI Isabelle, déléguée Syndicale CGT de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA) PICAN Jean-Marc, délégué Syndical CGT de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA) DURAND Bertrand, CGT Radio France VIRE Emmanuel, secrétaire général du Syndicat national des journalistes CGT GAUTIER Philippe, Secrétaire général de l’Union nationale des artistes musiciens de France CGT SORIN Lucie, pour la délégation du Syndicat français des artistes interprètes (SFA CGT) FASAP-FO : Fédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse Force Ouvrière CHAZAUD Françoise, Secrétaire générale FICAM : Fédération des industries du Cinéma, de l’Audiovisuel et du Multimédia HUCK Didier, Président MIRSKI Jean-Yves, Délégué Général GARRD : Guilde des Auteurs et Réalisateurs de Reportages et Documentaires Vincent de Cointet, Président JALLOT Nicolas, vice-président LMA : Les Monteurs Associés LMA – BERTRAND Thaddee, monteur, co-Président MOUTON Camille, co-Présidente RODINO Guila, co-Présidente PROCIREP : PEREZ Cyrille, Producteur, Président de la Commission Télévision de la Procirep SACD : Société des auteurs compositeurs dramatiques RAMBACH Anne, présidente ROGARD Pascal, directeur général LE PEZENNEC Marie-Anne, vice-présidente Télévision DUSSEAUX Laurent vice-président Télévision SCHOELLER Pierre, Vice-président Cinéma SATEV : syndicat des agences de presse audiovisuelles BRAKA Florence, déléguée générale SCA : Scénaristes de Cinéma Associés BRODY Cyril, Co-président MAUD Ameline, vice-présidente du SCA PEYR Julie, Co-présidente SCAM : Société civile des auteurs multimédia LAINÉ Rémi, Président RONY Hervé, directeur général SDI : SYNDICAT DES DISTRIBUTEURS INDEPENDANTS ROGER Jane, co-présidente SNAC : Syndicat national des auteurs et des compositeurs DE RENGERVÉ Emmanuel, secrétaire général SNAJ/CFTC : Syndicat National de l’Audiovisuel et des Journalistes CFTC DE LIBERA Maximilien, secrétaire général SPI : Syndicat des Producteurs Indépendants MASMONTEIL Marie, productrice, co-présidente du Bureau de liaison des organisations du cinéma (BLOC) SACUTO Gilles, Président MELHLI Nora, Présidente du Bureau Audiovisuel MAUGER Emmanuelle, déléguée générale adjointe LEBECQ Louise, déléguée aux affaires sociales GOLETTY Marion, déléguée cinéma SPECT : Syndicat des producteurs et créateurs de programmes audiovisuels CAZA Jérôme, président GISBERT Vincent, délégué général SRF : Société des Réalisatrices et Réalisateurs de Films CORSINI Catherine, réalisatrice, présidente de la SRF, co-présidente du BLOC BIDEGAIN Thomas, coprésident BRUN Rosalie, déléguée générale FARRUCCI Frédéric, coprésident WITTOCK Zoé, coprésidente SNJ : SYNDICAT NATIONAL DES JOURNALISTES POUPARD Emmanuel, premier secrétaire général SUD MEDIAS TELEVISION : MARIANI Béatrice, secrétaire générale U2R : Union des réalisateurs et réalisatrices JAOUI Laurent, président UNSA SPECTACLE : ZEKRI Fouzia, secrétaire générale USPA : Union Syndicale de la Production Audiovisuelle BUCHER Iris, Productrice, PDG de Quad Drama, Présidente PREMIERS SIGNATAIRES : ACOLAS Bénédicte, réalisatrice ADOUTTE Virginie, productrice Société de production audiovisuelle documentaire Drôle de Trame AFLALOU Thierry, Comic Strip Production AGNELY Marie, productrice ALANI Feurat, journaliste, écrivain ALBAYATI Leila, réalisatrice, musicienne ALBERT Fleur, réalisatrice et adhérente de la SRF ALCOBA Laura, écrivaine ALIX Anna, réalisatrice ANDRE David, Prix Albert Londres Audiovisuel 2011, Scénariste et réalisateur ANGEL Hélène, réalisatrice et scénariste ANSQUER Laurence, productrice ARNAC Elizabeth, LIZLAND FILMS ARNAL Simon, producteur, Haut et Court ARNOUX Stéphane, cinéaste ARRIGHI Marine, productrice (Apsara films) ARTHUS-BERTRAND Yann, réalisateur AUBERT Julien, Producteur, Bigger Than Fiction AVRIL Philippe, producteur AZIZA Myriam, autrice réalisatrice BAGNOL-ROY Julien, Producteur BALESTAS KAZAZIAN Barbara, réalisatrice BALIBAR Jeanne, comédienne BARILLE HELENE, Productrice de Programme Tv Jeunesse. Séries Il Etait Une Fois…La Vie… BARNAULT Jean Fabrice, Movie Da Productions BARRA Muriel, productrice BARRAUD Antoine, réalisateur BARRAUD Marie, productrice BARTHELEMY Jérôme, producteur BATTIKH Sami, producteur BAUMERDER Jean-Claude, FILMICA production BAUSSARON Pierre, producteur BAYSSIERE Gaëlle, productrice BEFFA Claire, productrice La Clairière Ouest BELMAHI Jamal, membre du conseil du SCA BELONY MUSSEL Xavier, comédien BENGUIGUI Alain, Producteur, Sombrero Fiction/ Sombrero Films BENJO Caroline, productrice HAUT ET COURT BERTRAND François, producteur BERTUCCELLI Julie, cinéaste, présidente de la Cinémathèque du documentaire BÉTÉ Marlise, comédienne, cinéaste BISARO Julien, Picolo Pictures BLANC Karine, productrice BLANC Nicolas, producteur BLANCHET Lise, journaliste BLOC Jean-Pierre, monteur BOHLER Olivier, producteur BOMPOINT Mathieu, UTOPIE FILMS BONIN Cédric, producteur SEPPIA BONNELL Jérôme, réalisateur BORLETEAU Lucie, Cinéaste BOULARD Arnaud, producteur BOURBEILLON Olivier, producteur BOUTINARD Rouelle Patricia, Présidente, Nilaya Productions BOUZGARROU Diane Sara, SRF BOYER Jean-François, producteur TETRAMEDIA STUDIO BOZON Serge, cinéaste BRAC Guillaume, cinéaste BREHAT Jean, producteur BRETET Adrien, producteur BRETON Pascale, scénariste, réalisatrice BRIAND Laura, productrice BRIAS Vanessa, productrice BRUNETEAU Laurent, producteur BRUSINI Hervé, journaliste, président du prix Albert Londres BUCH Mikael, cinéaste BUTTIN-LABARTHE Vanessa, productrice et présidente la société Les Astronautes CALDERON Franck, Producteur CAMOIRANO Christophe, producteur CAROLINE Joëlle, producteur CARR-BROWN COLCY Alexandra, Directrice De Production CARRE Jean-Michel, réalisateur CARRIERE Michel, réalisateur CATTAN Pierre, producteur CATTEAU Manuel, Producteur CAYATTE Gilles, réalisateur CHANAL Bertrand, producteur CHANDELLIER Camille, productrice CHATELIER Matthieu, réalisateur CHIBANE Malik, cinéaste CHICHKOWSKY Carine, productrice CHIHA Patric, réalisateur CHILLON Eva, productrice CIBIEN Laurent, documentariste, La Boucle Documentaire CISSÉ Anne, autrice-réalisatrice CLEMENT Catherine, écrivaine philosophe COAT Fabrice, Producteur COGITORE Romain, auteur-réalisateur, membre du CA de la Société des Réalisateurs de Films (SRF) COGITORE. Romain, COGNET Christophe, membre de la SRF COLCY Maximilien, Producteur, Allumage COMMISSIONAT Thierry, producteur COPANS Richard, Les Films d’Ici CORDON Jun, auteur-réalisateur-producteur COUJARD David, producteur COULON Florent, Producteur VraiVrai Films COUPY Seb, réalisateur CRESPI Bérangère, Chargée de production CSINIDIS Jean-Laurent, producteur DA FONSECA Sandra, productrice DALLIER VEGA Ael, monteuse DALQUIE Delphine, Direction Juridique, Folivari DAMOISEL Mathilde, réalisatrice DAUCHEZ Florence, journaliste DAVID Jules, Producteur DE BANNES Olivier, producteur DE COINTET Vincent, auteur-réalisateur DE FRANCESCHI Emmanuel, Producteur Exécutif, Go-N Productions DE LENCQUESAING Louis-Do, acteur, metteur-en-scène DE ROQUEFEUIL Eric, producteur DE SAINT-EXUPERY Patrick, journaliste DE VESINNE Édouard   Producteur Délégué DE WILDE Patricia,  Directrice Marketing , Teamto DECOUFLE Pierre-François ,  Producteur DEFOSSEZ Nathalie, Schuch Productions DEGEORGES Isabelle, Productrice, Directrice de Gaumont Télévision DEKEYSER Patrick, réalisateur DELASSUS Jean-François, écrivain DELMAS Sarah,  Directrice Des Développements DELOCHE Sophie, productrice DESCLOUS Sylvain, réalisateur DIABY Aïssa, réalisatrice DIAS Coralie, productrice DJITLI Leila, journaliste, réalisatrice DONAY Timothée, distributeur Les Alchimistes DREVILLON Elizabeth, journaliste, réalisatrice DROGUE Marie, Ma Drogue A Moi DU PELOUX Valéry, producteur DUBAS Marie, productrice DUBOIN Clément, producteur DUBOST Cécile, scénariste – réalisatrice – productrice DUBREUIL Frédéric, producteur Envie de Tempête productions DUCOTTET Brigitte, productrice DUGUET Claire, autrice et réalisatrice de documentaires DUMAS Sandrine, Réalisatrice DUMOULIN Marie, productrice DUPIN Valérie, productrice DUPUIS Philip, TANDEM IMAGES DURAND Pierre-Nicolas, réalisateur DURET Laurent, Producteur EDE Victor, producteur EHRENBERG Antonin, producteur EL FANI Nadia, réalisatrice EL KHOURY Tania, productrice ELIEL CHOURAQUI Marc, réalisateur EMINENTI Licia, Development & Co-production Expert, Director Scriptwriter – Script Consultant ENGLE Liam, réalisateur EON  Pauline,  Productrice ESCALLIER Barthélémy, Chargé de production ESCRIVA Amalia, réalisatrice ESTEVE Fabrice,  Producteur, Yuzu Productions ETTORI Maga, auteur-réalisateur FABRE-LUCE Guillaume, scénariste et réalisateur FARASSE Vincent, auteur FAUCON Philippe, ISTIQLAL FILMS FAUDEL Sophie, productrice FELLOUS Colette, écrivaine, productrice radio FERAL Vladimir, Producteur, ASM FILMS FERRAN Pascale, cinéaste FERRAND Adrien, producteur, Vents Contraires FLACCOMIO Jean-Claude, producteur FLORENTIN Bruno, producteur FONTAINE Juliette, directrice juridique du groupe CLPB Media FORNI Jérémy, producteur FOSSIER Maxime, producteur FRANCOIS Emmanuel,  Producteur FRENKEL David, producteur FREYD Denis, Producteur, Archipel 35 GACHET Laurence, Distributrice GACHET Laurence, PANAME DISTRIBUTION GADEA Claire, productrice GAILLEURD Céline, productrice GANS Lola, productrice GARCIA-FONS Pablo, producteur GARNIER Sidonie, productrice La Clairière Ouest GAUTHIER Perrine, La Cabane Productions GAUTIER Cyril, producteur GAY Amandine, réalisatrice et autrice GEORGES Aurélia, réalisatrice GEORGES Emmanuel, producteur GEORGES Ninon, productrice GEORGET Anne, réalisatrice, présidente du Fipadoc GHANASSIA Camille, Productrice, réalisatrice, scénariste GIACCHERO Lisa, réalisatrice et adhérente à la Société des Réalisateurs de Films (SRF) GINTZBURGER Anne, Productrice – Réalisatrice GIRAULT Mickael, producteur GLIMOIS Nicolas, réalisateur GOBLOT Pascal, réalisateur GOLDENBERG Tania, réalisatrice GONZALEZ Annie, productrice GONZALEZ Eric, producteur GORE Bertrand, producteur GOSSELIN Marion, responsable juridique Bonne Pioche GRAF Jacques, photographe GRAFF Julien, producteur GRANJON Jean-Charles, Bluearth Production – Bluearth Studio GRUDZINSKA Joanna, réalisatrice GUEDJ Lionel et Ariel, cinéaste et producteur GUEDJ Mikael, producteur GUERIN Annouk, productrice GUERIN Dominique, Productrice, Ping&Pong Productions GUERRIN Pascal, Directeur Général de Bonne Pioche GUESNON Julie, Amarante Productrice GUEZ Serge, producteur GUICHENEY Geneviève, journaliste GUICHOU Blanche, Productrice – Agat Films & Cie GUIRAUDIE Alain, réalisateur, scénariste, écrivain GUTMANN Marie, productrice HACHMI Mariam, Productrice, La Chouette Compagnie HAGUENAUER Sébastien, gérant de société de production HAKIM Thomas, producteur HAMET Camille, réalisatrice HARCHIN Violaine, distributrice Les Alchimistes HARDY-CARNAC Ted, réalisateur et scénariste HAZAN Jonathan, Les Films du Cygne HENRY Ludovic, producteur HERMANN Luc, Producteur, réalisateur HERNANDEZ Patrick, producteur HURARD Oriane, SPI HURST David, La PEÑA – “Produire en Nouvelle Aquitaine” HUVELIN Maurice, auteur réalisateur HUYNH Maud, DRÔLE DE TRAME IMBAULT-HUART Diane, Productrice IRMER Marc, producteur ISNARD Aymeric, producteur Futur Antérieur production ISOARDI Elsa, productrice JAEGER Thomas, producteur JAEGGI Danielle, cinéaste JAEGGI Danielle, réalisatrice JAQUET Delphine, productrice JARRY Isabelle, écrivain JAWAD Salam, producteur JÉHANNIN William, Producteur, UFO Production JEUDY Patrick, réalisateur JONES Gaëlle, productrice JONNIAUX Elisabeth, réalisatrice JOURDAIN Pierre-Yves, producteur JUBAN Pierre-Martin,  Producteur KAPNIST Elisabeth, réalisatrice KEATON Vergine, réalisatrice KERVADEC Aurane, productrice KETZ Samy, journaliste AFP KLAPISCH Cédric, réalisateur KLOTZ Nicolas, cinéaste KOENIG Baudouin, réalisateur LABIB Jean, producteur LADSOUS François, producteur LAGOGUE Damien, producteur LAGRANGE Jean-Pierre, producteur LALOU Serge, producteur Les Films d’Ici et Les Films d’Ici Méditerranée LANÇA Alexandre, cinéaste et ancien élu au Conseil d’administration de la Société des Réalisateurs de Films (SRF) LANDAIS Nathalie, productrice LANGLOIS Roméo, journaliste France 24 LAUDENBACH Sébastien, cinéaste LAVANT Xavier, producteur LAVOLE Laurent, producteur LAZAREVSKI Georgi, réalisateur LAZUECH Mathilde, réalisatrice LE BAIL Karine, chercheuse CNRS, PRODUCTRICE RADIO LE BORGNE Ronan, producteur LE BOUCHER Damien, producteur LE GOFF Pierre-Emmanuel, producteur LE GOUIL Gwen, journaliste LE PERON Serge, réalisateur LECOT Olivier, scénariste, réalisateur LEFRANC Jean-Martial, producteur LEGRAND Thomas, journaliste éditorialiste France Inter LEMESLE Nolwenn, auteure-réalisatrice LENOIR Blandine, scénariste et réalisatrice LENOIR Nathalie, réalisatrice et scénariste LENOUVEL Thierry, producteur Ciné-Sud Promotion LEPROUX Magalie, productrice LESAGE Bénédicte, productrice LESTRADE Cécile, Alter Ego Production LEVIL Guillaume, Auteur Réalisateur LIFSCHITZ Sébastien, réalisateur LINHART Virginie, réalisatrice LIORET Jean, producteur LOMBARD Yves, producteur LOU LEVY Judith, productrice LUNEAU-DAURIGNAC Pierre-Emmanuel, Auteur-réalisateur MAFFRE Marie, réalisatrice MAHE Sylvie, Productrice MANDY Marie, réalisatrice MARANT Alexis, réalisateur MARBOEUF Frédéric, producteur MARI Jean-Paul, journaliste MAROTEL Julia, Constructrice de décors MARQUIS Xavier, auteur réalisateur MARSCHAL Claudia, réalisatrice MARTIN Antoine,  Producteur Audiovisuel MARTIN Sophie, Directrice de Casting MASSADIAN Valérie, cinéaste MASSART Guillaume, Réalisateur et producteur MASSOL Lionel, producteur MATHON Clément, producteur MAURY Delphine, Tant Mieux Prod MEGHERBI Damien, Producteur chez Les Valseurs MEILLON Garance, scénariste et réalisatrice MERCIER Sandrine, autrice – réalisatrice MERCURIO Stéphane, réalisatrice MERLIN Muriel, productrice MESSIANT Manon, productrice MESSMER Raphaëlle, productrice La Clairière Ouest MESURET Nathalie, Blue Monday Productions MIGNON Mathilde, réalisatrice MILLE Olivier,  Producteur de Films MILLER Coralie, documentariste MILLIERE Stéphane,  Producteur Audiovisuel MILSHTEIN Oury, producteur MINISINI Elsa, productrice MISSIKA Margaux, productrice MITJAVILE Hélène, productrice MOLIA Agnès, productrice MOLIA Christie, productrice MOLL Dominik, réalisateur et scénariste MONIN Camille, Directrice de Production MONNIER Christian, membre de la SRF MONNIER Damien, réalisateur et producteur MONTHIEUX Jean-Louis, producteur, Eloa Prod MORDILLAT Gérard, réalisateur MOREAU Emmanuel, journaliste MOREAU Laëtitia, réalisatrice MOUCHEZ-ARMENDARIZ Marina,  MOUTEL Samuel, producteur NATAF Caroline, Productrice NICK Christophe, producteur NORA Judith, productrice NOVANIMA Marc, réalisateur NOVATI Valentina, productrice et distributrice OCHRONOWICZ Igor, POINT DU JOUR – LES FILMS DU BALIBARI OUDIN Jordane, productrice PADOVANI Gilles, Mille et Une Films PANH Rithy, réalisateur PANNIER Laurent, Président de Normandie Films PAOLETTI Claire,  Picolo Pictures PARATIAN Julie, productrice PARION Isabelle, membre du SPI et de l’observatoire de la liberté de création PAWLOWSKI Elisabeth, productrice PEFFERKORN Manuelle, assistante audiovisuel PELASSY Laurine, productrice Les Films de la Capitaine PERCEVAL Elisabeth, cinéaste PEREZ Anita, monteuse PERREARD Julie, réalisatrice PERRIN Jean-Pierre, journaliste écrivain PERVOLOVICI Eva, réalisatrice PEYRON Olivier, réalisateur PHAM Song, Productrice PHILIBERT Nicolas, réalisateur PHILIPPE Nora, autrice-réalisatrice, directrice d’EURODOC PILHAN Marie, productrice PIOUTAZ Sylvain, réalisateur PLANCHAIS Corinne, DRÔLE DE TRAME PLUMET Lucie, réalisatrice POIRET Anne, réalisatrice POMONTI Jean-Claude, journaliste, écrivain PONCET Chrystel, productrice POPP Christian, Producteur POULET Anne-Laure, productrice PREEL-CLEACH Fabrice, producteur PRÉVOST Oscar, assistant de production, PRIEUR Jérôme, réalisateur PRIOU Emmanuel, Producteur Associé PUJOL Philippe, journaliste, écrivain QUÉRET Amélie, productrice RADOVIC Véronique, productrice RAKHMANOVA Tania, réalisatrice RANC Marie Hélène, Productrice, Kuiv RAULIN Mario, producteur RAVASSARD Alban, Auteur-Réalisateur RÈBRE Isabelle, Cinéaste et écrivaine RENAUD Jean-Thomas, auteur-réalisateur RENAUD Tiphaine, productrice RENAUD Tiphaine, TS Productions REY Isabelle, autrice REYMOND Jean-Christophe, producteur REZKALLAH Farid, producteur ROBIN   Eve, productrice ROBIN Marie-Monique, réalisatrice ROBIN YOU Estelle, POINT DU JOUR – LES FILMS DU BALIBARI ROCHE Stéphane, producteur ROCHOT Philippe, journaliste ROCQUE Loïs, producteur Les Alchimistes ROMAND Françoise, réalisatrice ROPERT Axelle, réalisatrice cinéaste ROSENTHAL Bertrand, journaliste ROSSET Christian, producteur de création ROSSI Gabriele, réalisateur et membre de la SRF ROUAUD Christian, réalisateur ROUSSEL Caroline, productrice, société ARTURO MIO ROUSSIN Marie, La Guilde des scénaristes ROUVEURE Ivan,  Producteur De Films D’animation RUBY Thibaut,  Producteur, Folivari SACHS Irad, producteur SAHEL Jérémy, producteur SAID Marcela, réalisatrice SAINT LÉGER France, Harbor Films SAINT LEGER France, producteur SALES Jean-Romain, producteur SALVADOR Pierre, réalisateur  SALVADOR Thomas, réalisateur SAMIE Jean-Frédéric, producteur SAMITIER Marie-Pierre, journaliste SAPENA Nathalie, journaliste SCHAETTEL Jean-Jacques, producteur SCHAFF Gabrielle, autrice-réalisatrice SCHMERKIN Nicolas, Producteur SCHNEBELEN Grégory, producteur SCIALOM Gabriel, producteur SCOTTA Carole, HAUT ET COURT SEGHEZZI Ina, réalisatrice SEIGLAND Pauline, Films Grand Huit SELCER Ethan, producteur SELIGMANN Guy, réalisateur, ancien président de la Société civile des auteurs multimédia (SCAM) SELLERON Julien, réalisateur SRF SENEZ Guillaume, cinéaste SEZILLE DE MAZANCOURT Nicolas, Décorateur Couleur SIEGEL Véronique, productrice SIMON Claire, cinéaste SIRVIN Emmanuele, Productrice SLIMAK Jonathan, producteur SLOT Marianne, productrice SOL Juliette, producteur SOSA SORI Edouardo, producteur SPAVONE Michel, Producteur Exécutif, Program33 SUBRAMANIYAM Virginia, productrice TAMADON Mehran, réalisateur et membre de la Société des Réalisateurs de Films (SRF) TARDIEU Carine, scénariste, réalisatrice TAVARES Michel, producteur THIEBAUT Samuel, producteur – réalisateur THION David, Les Films Pelléas TOINT Hubert, SRF TONOLLI Frédéric, réalisateur TOURRES Charlotte, monteuse TRAUBE Nicolas, Producteur French Cancan Production et ancien responsable de la fiction de France 2 TREILHOU Marie-Claude, cinéaste TRICARD Julien, producteur audiovisuel TRINQUES Gilles, Cinéaste TRIPOD Thierry, producteur, Brainworks TRUCHAUD Marion, auteure-réalisatrice TUBAN Dimitri,  Ceo Pole Production Groupe UNGER Anja, réalisatrice UNGER Anja, réalisatrice VAN DER MAAR Bénédicte, photographe VAN HOUTRYVE Tomas, photographe VAN LEEUW Philippe, auteur-réalisateur VAN VLASSELAER Laure, producteur VARELA Pamela, cinéaste VASAK Jan, Producteur, Day For Night VERMILLARD Marie, réalisatrice VERNHES-LERMUSIAUX Aurélien, réalisateur VIALLET Jean-Robert, réalisateur VIGNAL Vanina, cinéaste VILLACÈQUE Anne, réalisatrice VILLARD Pascal, Chef monteur son VILLENEUVE Patrick, producteur VINCENT Charlotte, productrice VINCENT Guillaume, producteur WALECKX Tristan, journaliste WALGENWITZ Denis, réalisateur de films d’animation WEBER Eléonore, réalisatrice WERY Jean-Baptiste, Producteur WILLIG François, producteur WINTERNHEIMER Arthur, Chargé de productions YVONNET Fanny, Trois Brigands Productions ZACCAGNINO Candice, productrice ZARDOYA Josianne, réalisatrice ZILBERMANN Ruth, réalisatrice ZOBDA France, productrice, Eloa Prod ZOUHANI Hakim, auteur- réalisateur […] Paris, le …

19 juillet 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
PLUSIEURS POSTES A POURVOIR

Bonjour !

Vous souhaitez changer d’air 🌬️Vous travaillez dans le documentaire, la fiction et l’animation ? Vous êtes terriblement curieux et les projets ambitieux vous enthousiasment ?

N’hésitez plus ! Les équipes de cocottesminute productions et Parmi les lucioles films s’agrandissent, dans des locaux neufs et flamboyants, avec 4 postes à pourvoir :

•Un.e chargé.e de production animation (CDDU)
•Un.e chargé.e de développement documentaire (CDI)
•Un.e directeur.trice littéraire fiction et animation (CDI)
•Un.e stagiaire en production documentaire (6 mois)

Toutes les annonces sont à retrouver ici 👉 :
https://lnkd.in/eFESS8Zj

Rejoignez-nous au cœur de Valence et profitez des contreforts du Vercors et autres collines ardéchoises tout en travaillant sur des projets audacieux.
Pour toute question ou demande n’hésitez pas à nous contacter via la rubrique dédiée sur notre site web.

www.cocottesminute.fr

A très bientôt !
Jérôme Duc-Maugé

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30 juin 2022Annoncesannonces
Le SPI au Sunny Side of the Doc 2022 à La Rochelle (du 20 au 23 juin)

Le Sunny Side of the Doc s’est déroulé à La Rochelle, du 20 au 23 juin 2022, en présentiel, après 2 éditions numériques en raison de la crise sanitaire.

Le SPI a accueilli ses adhérent.e.s sur deux  stands.
Ainsi un large espace a été mis à disposition de nos adhérents pour y organiser leurs rendez-vous.

La conférence de presse du SPI s’est tenue le mercredi 22 juin à 17h30, au Lounge de l’Espace Encan, avec :
Olivier de Bannes (O2B Films), Laurent Duret (Bachibouzouk), Maël Mainguy (Les Nouveaux Jours Productions), Nora Melhli (Alef One – Présidente du bureau audiovisuel du SPI), Valérie Montmartin (Little Big Story), Cyrille Perez (13 Productions – Trésorier du SPI), Emmanuelle Mauger (Déléguée générale du SPI)

La conférence de presse était suivie d’un cocktail, pour le plus grand plaisir de se retrouver après deux années « virtuelles ».

Le Sunny Side of the Doc s’est déroulé à La Rochelle, du 20 au 23 juin 2022, en présentiel, après 2 éditions numériques en raison de la crise sanitaire. Le SPI a accueilli ses adhérent.e.s sur deux  stands. Ainsi un large espace a été mis à disposition de nos adhérents pour y organiser leurs rendez-vous. La conférence de presse du SPI s’est tenue le mercredi 22 juin à 17h30, au Lounge de l’Espace Encan, avec : Olivier de Bannes (O2B Films), Laurent Duret (Bachibouzouk), Maël Mainguy (Les Nouveaux Jours Productions), Nora Melhli (Alef One – Présidente du bureau audiovisuel du SPI), Valérie Montmartin (Little Big Story), Cyrille Perez (13 Productions – Trésorier du SPI), Emmanuelle Mauger (Déléguée générale du SPI) La conférence de presse était suivie d’un cocktail, pour le plus grand plaisir de se retrouver après deux années …

24 juin 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Félicitations à nos membres pour leurs Étoiles de la SCAM 2022

1996, Hold-up à Moscou
de Madeleine Leroyer, co-écrit avec Tim Toidze, création graphique de Léo Régeard
Arte
Point du Jour – Les films du Balibari, Arte France
Avec la participation de RTS Radio Télévision Suisse

Akeji, le souffle de la montagne
de Mélanie Schaan et Corentin Leconte
France 2
Mille et Une Films
Avec la participation de France Télévisions, TVR

L’Expérience Ungemach, une histoire de l’eugénisme
de Vincent Gaullier et Jean-Jacques Lonni, écrit par Vincent Gaullier,
dessiné par Jean-Jacques Lonni
Histoire TV
Look at Sciences, Sancho & Co, France Télévisions — France 3 Grand Est Avec la participation de Histoire TV

L’Hypothèse de Zimov
de Denis Sneguirev
Arte
Arturo Mio, 13 Productions, Arte France, Take Five, RTBF, Ethnofund Film Company
Avec la participation de Ushuaïa TV, VRT, RTS Radio Télévision Suisse, Planète+ Poland

Journal d’un médecin de ville
de Nicolas Mesdom
Arte
Camera lucida, Les Films du Bal

Kounachir
de Vladimir Kozlov
Vosges Télévision
Les Films du Temps Scellé, Les Docs du Nord
Avec la participationde Vosges Télévision

Marguerite Duras, l’écriture et la vie
de Lise Baron
France 5
Les Nouveaux Jours Productions
Avec la participation de France Télévisions

Préliminaires
de Julie Talon, écrit par Julie Talon et Mathieu Horeau
animation de Bérangère Lallemant
Arte
Les Films d’Ici, Arte France

Nuremberg, des images pour l’histoire
de Jean-Christophe Klotz
Arte
Zadig Productions, Schulberg Productions,
KG Productions Avec la participation de Arte France

Reconquérir l’école
d’Emmanuel Segaut,
écrit par Laetitia Kugler
et Emmanuel Segaut
LCN-La Chaine Normande Ekla Production, Vià93, LCN-La Chaine Normande

Vibrato, l’écoute
des victimes du Bataclan
de Jérémy Leroux
Public Sénat
Day For Night Productions, Public Sénat, Vosges Télévision
Avec la participation
de Alsace 20, Moselle TV, Canal 32, Vosges Télévision

1996, Hold-up à Moscoude Madeleine Leroyer, co-écrit avec Tim Toidze, création graphique de Léo RégeardArtePoint du Jour – Les films du Balibari, Arte FranceAvec la participation de RTS Radio Télévision Suisse Akeji, le souffle de la montagnede Mélanie Schaan et Corentin LeconteFrance 2Mille et Une FilmsAvec la participation de France Télévisions, TVR L’Expérience Ungemach, une histoire de l’eugénismede Vincent Gaullier et Jean-Jacques Lonni, écrit par Vincent Gaullier,dessiné par Jean-Jacques LonniHistoire TVLook at Sciences, Sancho & Co, France Télévisions — France 3 Grand Est Avec la participation de Histoire TV L’Hypothèse de Zimovde Denis SneguirevArteArturo Mio, 13 Productions, Arte France, Take Five, RTBF, Ethnofund Film CompanyAvec la participation de Ushuaïa TV, VRT, RTS Radio Télévision Suisse, Planète+ Poland Journal d’un médecin de villede Nicolas MesdomArteCamera lucida, Les Films du Bal Kounachirde Vladimir KozlovVosges TélévisionLes Films du Temps Scellé, Les Docs du NordAvec la participationde Vosges Télévision Marguerite Duras, l’écriture et la viede Lise BaronFrance 5Les Nouveaux Jours ProductionsAvec la participation de France Télévisions Préliminairesde Julie Talon, écrit par Julie Talon et Mathieu Horeauanimation de Bérangère LallemantArteLes Films d’Ici, Arte France Nuremberg, des images pour l’histoirede Jean-Christophe KlotzArteZadig Productions, Schulberg Productions,KG Productions Avec la participation de Arte France Reconquérir l’écoled’Emmanuel Segaut,écrit par Laetitia Kugleret Emmanuel SegautLCN-La Chaine Normande Ekla Production, Vià93, LCN-La Chaine Normande Vibrato, l’écoutedes victimes du Bataclan de Jérémy LerouxPublic SénatDay For Night Productions, Public Sénat, Vosges TélévisionAvec la participationde Alsace 20, Moselle TV, Canal 32, Vosges …

23 juin 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Annecy 2022 : Bravo à nos adhérents pour leurs prix !

21 juin 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
ROC : Publication de la charte de bonnes pratiques des structures d’accompagnement des auteurs et des cinéastes de court métrage

Consulter la charte

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17 juin 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse : Annecy 2022

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

                                                                  Paris, le 16 juin 2022

Festival d’Annecy 2022 : les chantiers et priorités du SPI Animation pour l’année à venir

Le SPI félicite ses adhérent.e.s pour leurs sélections au Festival international du film d’Annecy 2022. Les producteur.ices présentaient cette année en compétition 7 longs métrages, 14 courts métrages, 6 œuvres audiovisuelles, 3 films de commande, 2 œuvres VR, 5 Work in Progress et 12 pitchs. Cette sélection record reflète le dynamisme du collège Animation, créé en 2018 et représentatif depuis cette année au sein de la branche de la production de films d’animation. 

L’édition 2022 du Festival aura permis au SPI de confirmer sa place au sein du plus grand évènement mondial de l’animation. Le syndicat est présent, pour la première année, parmi les exposants au MIFA. Il renouvelle son partenariat avec « France in Shorts », dispositif dédié au court métrage d’animation, en collaboration avec l’AFCA, l’Agence du court métrage et AnimFrance. Et, comme chaque année, il a été présent pour ses adhérents notamment au travers de rencontres dédiées et d’un cocktail. 

Les producteurs indépendants sont, plus que jamais, mobilisés pour un meilleur financement des œuvres cinématographiques et audiovisuelles d’animation, grâce à des dispositifs de soutien adaptés aux professionnels confirmés comme aux nouveaux entrants et à un marché ouvert à la diversité des œuvres.

Le syndicat a mené une réflexion et émis des propositions, d’ores et déjà entendues par le CNC, parmi lesquelles :

  • Une réforme de l’aide à la création visuelle et sonore (CVS) qui favorise les spécificités de l’animation au travers d’une commission dédiée, la suppression de la majoration créée en 2018 et la réintégration de l’enveloppe correspondante de 1,5 M€ au sein de l’aide,
  • L’introduction d’une définition claire de l’œuvre d’animation dans le Règlement général des aides afin que les dispositifs puissent répondre aux besoins propres.

Nous continuerons à être force de proposition dans le cadre de la revue générale des soutiens du CNC.

L’année à venir doit également être l’occasion de renforcer le lien de confiance entre les auteur.ices et les producteur.ices. A cet égard, une discussion est en cours concernant l’organisation de nos relations.  Les soutiens au développement du CNC doivent mieux accompagner ce travail du tandem producteur.ices-auteur.ices d’animation. Nous demandons donc à présent au CNC de lancer une grande concertation autour du développement. Il en va de la diversité de nos œuvres, de la lutte contre la concentration de notre secteur et de la préservation d’un écosystème où chaque société, chaque créateur, doit avoir sa place.

Le SPI souhaite enfin s’engager sur la question de l’exposition des œuvres cinématographiques d’animation et de ses acteurs, ceci afin de renforcer la place de l’animation au sein du cinéma, en militant notamment pour que les grands festivals et évènements intègrent nos films sans plus les considérer comme des œuvres périphériques. Nous ne pouvons plus continuer de placer l’œuvre de fiction de prise de vue réelle comme unique centre de la création cinématographique au détriment du cinéma du réel et du cinéma d’animation.

Le SPI estime que les chaînes privées doivent davantage être au rendez-vous pour financer l’animation française reconnue internationalement. Les plateformes annoncent encore un intérêt timide à l’égard du genre tout en soulignant le grand professionnalisme de notre filière. Les clauses de diversité, négociées avec l’ARCOM en décembre dernier, ne sont pas à la hauteur du potentiel de notre filière. Une discussion doit être réenclenchée avec ces nouveaux partenaires.  La fusion à venir des chaînes TF1 et M6 doit également représenter une opportunité pour l’animation française et non une réduction des budgets et de la prise de risque éditoriale.

Quant à France Télévisions, elle investit chaque année au moins 32 M€ dans l’animation. C’est notre premier partenaire. Une stratégie de développement numérique parallèle au maintien d’une offre linéaire a été déployée depuis trois ans. Un travail en faveur de la diversité est amorcé, y compris en matière de visibilité ultra-marine. Ce renforcement éditorial passe par une garantie du financement de l’audiovisuel public, de manière pérenne et indépendante. Il s’agit d’un chantier prioritaire pour les producteurs indépendants. Nous serons aux côtés de Madame la ministre Rima Abdul Malak et des parlementaires pour défendre l’avenir de notre création, véritable actif stratégique pour la France.

Contact presse :

Emmanuelle Mauger – 01 44 70 70 44

Le SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset – 75011 Paris

COMMUNIQUÉ DE PRESSE                                                                   Paris, le 16 juin 2022 Festival d’Annecy 2022 : les chantiers et priorités du SPI Animation pour l’année à venir Le SPI félicite ses adhérent.e.s pour leurs sélections au Festival international du film d’Annecy 2022. Les producteur.ices présentaient cette année en compétition 7 longs métrages, 14 courts métrages, 6 œuvres audiovisuelles, 3 films de commande, 2 œuvres VR, 5 Work in Progress et 12 pitchs. Cette sélection record reflète le dynamisme du collège Animation, créé en 2018 et représentatif depuis cette année au sein de la branche de la production de films d’animation.  L’édition 2022 du Festival aura permis au SPI de confirmer sa place au sein du plus grand évènement mondial de l’animation. Le syndicat est présent, pour la première année, parmi les exposants au MIFA. Il renouvelle son partenariat avec « France in Shorts », dispositif dédié au court métrage d’animation, en collaboration avec l’AFCA, l’Agence du court métrage et AnimFrance. Et, comme chaque année, il a été présent pour ses adhérents notamment au travers de rencontres dédiées et d’un cocktail.  Les producteurs indépendants sont, plus que jamais, mobilisés pour un meilleur financement des œuvres cinématographiques et audiovisuelles d’animation, grâce à des dispositifs de soutien adaptés aux professionnels confirmés comme aux nouveaux entrants et à un marché ouvert à la diversité des œuvres. Le syndicat a mené une réflexion et émis des propositions, d’ores et déjà entendues par le CNC, parmi lesquelles : Une réforme de l’aide à la création visuelle et sonore (CVS) qui favorise les spécificités de l’animation au travers d’une commission dédiée, la suppression de la majoration créée en 2018 et la réintégration de l’enveloppe correspondante de 1,5 M€ au sein de l’aide, L’introduction d’une définition claire de l’œuvre d’animation dans le Règlement général des aides afin que les dispositifs puissent répondre aux besoins propres. Nous continuerons à être force de proposition dans le cadre de la revue générale des soutiens du CNC. L’année à venir doit également être l’occasion de renforcer le lien de confiance entre les auteur.ices et les producteur.ices. A cet égard, une discussion est en cours concernant l’organisation de nos relations.  Les soutiens au développement du CNC doivent mieux accompagner ce travail du tandem producteur.ices-auteur.ices d’animation. Nous demandons donc à présent au CNC de lancer une grande concertation autour du développement. Il en va de la diversité de nos œuvres, de la lutte contre la concentration de notre secteur et de la préservation d’un écosystème où chaque société, chaque créateur, doit avoir sa place. Le SPI souhaite enfin s’engager sur la question de l’exposition des œuvres cinématographiques d’animation et de ses acteurs, ceci afin de renforcer la place de l’animation au sein du cinéma, en militant notamment pour que les grands festivals et évènements intègrent nos films sans plus les considérer comme des œuvres périphériques. Nous ne pouvons plus continuer de placer l’œuvre de fiction de prise de vue réelle comme unique centre de la création cinématographique au détriment du cinéma du réel et du cinéma d’animation. Le SPI estime que les chaînes privées doivent davantage être au rendez-vous pour financer l’animation française reconnue internationalement. Les plateformes annoncent encore un intérêt timide à l’égard du genre tout en soulignant le grand professionnalisme de notre filière. Les clauses de diversité, négociées avec l’ARCOM en décembre dernier, ne sont pas à la hauteur du potentiel de notre filière. Une discussion doit être réenclenchée avec ces nouveaux partenaires.  La fusion à venir des chaînes TF1 et M6 doit également représenter une opportunité pour l’animation française et non une réduction des budgets et de la prise de risque éditoriale. Quant à France Télévisions, elle investit chaque année au moins 32 M€ dans l’animation. C’est notre premier partenaire. Une stratégie de développement numérique parallèle au maintien d’une offre linéaire a été déployée depuis trois ans. Un travail en faveur de la diversité est amorcé, y compris en matière de visibilité ultra-marine. Ce renforcement éditorial passe par une garantie du financement de l’audiovisuel public, de manière pérenne et indépendante. Il s’agit d’un chantier prioritaire pour les producteurs indépendants. Nous serons aux côtés de Madame la ministre Rima Abdul Malak et des parlementaires pour défendre l’avenir de notre création, véritable actif stratégique pour la France. Contact presse : Emmanuelle Mauger – 01 44 70 70 44 Le SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset – 75011 …

17 juin 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Recherche assistante de production

Production long métrage cinéma et télévision

Description du poste :

  • Assister la productrice
  • Mise en relation avec divers intervenants du secteur
  • Lecture de synopsis ou de résumés de livres
  • Suivi du courrier
  • Diverses tâches selon les besoins de la société, notamment dossiers de subventions
  • Aide auprès de la comptable et gestion des notes de frais entre autres

3/4 Temps ou plein temps – CDD 6 mois – poste évolutif en CDI

Description du profil recherché :

  • Grande polyvalence, rigueur, sens de l’organisation, autonomie, curiosité, notions d’anglais
  • Très bonne maîtrise du Pack Office Mac et PC (Word, Excel)
  • Cinéphilie

Date de prise de fonction : début juillet 2022

Rémunération envisagée : selon expérience

Lieu : Paris 75014

Envoyer CV et lettre de motivation : mazel@mazelproductions.com

Nelly Kafsky

Production long métrage cinéma et télévision Description du poste : Assister la productrice Mise en relation avec divers intervenants du secteur Lecture de synopsis ou de résumés de livres Suivi du courrier Diverses tâches selon les besoins de la société, notamment dossiers de subventions Aide auprès de la comptable et gestion des notes de frais entre autres 3/4 Temps ou plein temps – CDD 6 mois – poste évolutif en CDI Description du profil recherché : Grande polyvalence, rigueur, sens de l’organisation, autonomie, curiosité, notions d’anglais Très bonne maîtrise du Pack Office Mac et PC (Word, Excel) Cinéphilie Date de prise de fonction : début juillet 2022 Rémunération envisagée : selon expérience Lieu : Paris 75014 Envoyer CV et lettre de motivation : mazel@mazelproductions.com Nelly …

16 juin 2022Annoncesannonces
Bureaux de prod

Bonjour,

Nous sommes à la recherche de bureaux à partir de septembre 2022 pour une durée minimum de 6 mois (renouvelable si possible). Nous recherchons une pièce où nous pourrions mettre entre 2 et 4 postes.

N’hésitez pas à nous contacter au 06 58 58 95 77 ou wlproductions.sas@gmail.com, si vous avez des bureaux à nous proposer.

Merci d’avance, bien à vous,

Bonjour, Nous sommes à la recherche de bureaux à partir de septembre 2022 pour une durée minimum de 6 mois (renouvelable si possible). Nous recherchons une pièce où nous pourrions mettre entre 2 et 4 postes. N’hésitez pas à nous contacter au 06 58 58 95 77 ou wlproductions.sas@gmail.com, si vous avez des bureaux à nous proposer. Merci d’avance, bien à …

14 juin 2022Annoncesannonces
La présence du SPI au 75ème Festival international du Film de Cannes (du 17 au 28 mai)

Le Pavillon du SPI au Village International (Pantiero n° 205) a accueilli chaque jour des événements spécifiques réservés à nos adhérents, et des rendez-vous ou interviews presse pour les producteurs du SPI présents à Cannes.

Mercredi 18 mai : 16h – rencontre avec Eric Garandeau (Tik-Tok) : “Nouveaux modes de création, diffusion, distribution, promotion”, animée par Anaïs Bertrand (Vice-présidente court métrage du SPI, Insolence Productions), en présence de Marion Golléty (déléguée cinéma du SPI).

Jeudi 19 mai : 11h – rencontre avec Thierry Desmichelle et Rémi Jimenez (M6), animée par Marie Masmonteil (élue long métrage du SPI / Elzévir Films), en présence de Marion Golléty (déléguée cinéma du SPI)

14h – Table ronde “Agir concrètement contre les violences sexistes et sexuelles”. – En présence de Dominique Robert (SNTPCT), Laurent Blois (CGT), Nadia Mathern (UPC), Hortense de Labriffe (API) et Louise Lebecq (déléguée aux affaires sociales du SPI), animée par Camille Genaud (élue court-métrage du SPI).

Vendredi 20 mai : 11h – rencontre avec Bernard Tani, Boris Duchesnay, Guillaume Jouhet (OCS), animée par Florence Borélly (Élue long métrage du SPI / Sésame Films) et Marion Golléty (déléguée cinéma du SPI)

Dimanche 22 mai – Journée Européenne organisée en collaboration avec la CEPI

15h – table ronde des producteurs européens “La Chronologie des médias: Quel changement pour les films en Europe? “ En présence d’Edouard Mauriat (Vice-Président long métrage du SPI), Antoine Simkine (Président de ACE Producers et membre du SPI), Barbara Betteli (Conseillère juridique, APA Associazione Produttori Audiovisivi), Patrik O’Neil (Directeur général, Wildcard Distribution) et animée par Mathilde Fiquet (Secrétaire générale de la CEPI).

16h30 – cocktail des producteurs européens, organisée par la CEPI

Lundi 23 mai :

9h30 – Rencontre avec Nathalie Toulza Madar (TF1), animée par Gilles Sacuto ( Président du SPI / TS Productions), Marie Masmonteil (élue long métrage au SPI / Elzévir Films) et Marion Golléty (déléguée cinéma du SPI)

15h30 – Présentation de la Charte du court métrage avec les fonds régionaux, animée par Anaïs Bertrand (Vice présidente court métrage au SPI), les élus membres du bureau court métrage Lionel Massol (Films Grand Huit), Stéphane Roche (ARTS Films), Eduardo Sosa Soria (Vagabundo Films) et Binta Bah, chargée de mission court métrage au SPI.

17h – Cocktail du SPI

Mardi 24 mai : 10h – Rencontre avec Manuel Alduy, Cécile Négrier et Valérie Boyer (France Télévisions), animée par Gilles Sacuto (Président du SPI / TS Productions), Edouard Mauriat (Vice-président long métrage du SPI / Milles et Une Productions) et Marion Golléty (déléguée cinéma au SPI).

14h30 – Rencontre Laurent Hassid et Vincent Girerd (Canal+), animée par Edouard Mauriat (Vice-président long métrage du SPI / Milles et Une Productions), Candice Zaccagnino (Élue long métrage / ElianeAntoinette) et Marion Golléty (déléguée cinéma au SPI).

Mercredi 25 mai : 14h30 – Table ronde organisée par le bureau court métrage du SPI “Et demain, le cinéma ?

Modération : Anaïs Bertrand. Intervenants : Damien Megherbi (élu court métrage / Les Valseurs), Guillaume Dreyfus (Membre du SPI, Tripode Productions), Mathieu Robinet (Tandem Films) et Axel Scoffier (Unifrance).

Le pavillon et la terrasse du SPI

Le Pavillon et la terrasse ont également été ouverts pendant tout le Festival pour accueillir les producteurs présents à Cannes qui souhaitaient y organiser leurs rendez-vous professionnels ou rencontres avec des journalistes ou institutionnels. 

Un grand merci collectif à l’équipe SPI !

14 juin 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Cannes 2022 : félicitations à nos adhérents pour leurs prix !

31 mai 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
ADMIN de production et de distribution

OFFRE D’EMPLOI

Administrateur.rice de production et de distribution

CDDU évolutifs 2j /semaine

Basé à Paris – mobilité Lille et Marseille

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Les Alchimistes est une société de production et de distribution de films pour le cinéma et la télévision. Pensée comme un laboratoire, la société a pour but de créer de nouveaux espaces de création et de diffusion afin de répondre aux enjeux des nouveaux modes de visionnage des œuvres cinématographiques et audiovisuelles.

Côté production, nous fabriquons essentiellement des documentaires, dont les sujets nous permettent d’explorer les marges et les résistances de nos sociétés contemporaines.

Côté distribution, est essentiellement composé de documentaires d’auteur.e et de fictions québécoises, et nous nous ouvrons vers d’autres cinématographies.

Les Alchimistes sont établis à Lille et Marseille pour la distribution, et à Lille, Paris et Marseille pour la production.

——-

 

Nous recherchons un.e administrateur.rice de production et de distribution afin d’assurer :

  • GÉNÉRAL (société)
  • la supervision du suivi budgétaire général (avec les associé.es) ;
  • la gestion administrative et comptable quotidienne ;
  • la relation aux institutions sociales ;
  • la relation au cabinet comptable et la transmission mensuelle des états ;
  • la gestion des embauches intermittentes ;
  • la déclaration des droits d’auteurs ;
  • la supervision du social, des régimes intermittent et général.

 

  • PRODUCTION
  • le traitement des factures ;
  • le traitement et le suivi des paiements ;
  • le rendu de comptes aux financeurs ;
  • le rendu de comptes aux coproducteur.rices ;
  • le rendu de comptes aux auteur.rice.s.

 

  • DISTRIBUTION
  • le traitement et envoi des factures clients et fournisseurs ;
  • le suivi des paiements (encaissements) et des relances ;
  • les rendus de compte auprès des institutions ;
  • les rendus de compte aux ayant-droits..

——-

Nous recherchons un profil rigoureux et dynamique ; un intérêt pour le cinéma sera significatif.

L’enthousiasme, la bienveillance, la tolérance, sont des valeurs qui nous sont chères.

 

Le ou la candidat.e doit témoigner d’une expérience certaine en tant qu’administrateur.rice de production. Une vraie perspective d’évolution au sein de la société est possible, nous recherchons donc un profil qui aurait pour ambition d’évoluer de concert avec une société “jeune et dynamique”. 

——-

 

Durée : CDDU récurrent – intermittence – 2 jours par semaine évolutifs

Niveau Bac +5 idéalement, BTS et Bac +3 acceptés

L’anglais lu, parlé et écrit est également requis.

——-

 

Date d’entrée dans l’entreprise : 15 juilet 2022 idéalement

Rémunération : 200 euros brut par jour en cachet d’intermittence

Lieu de travail : Paris 10e arr. et déplacements ponctuels aux bureaux de Lille et Marseille

——-

 

Pour nous envoyer votre candidature :

– Merci de fournir une lettre de motivation en PDF et un CV en PDF, en pièces jointes de votre mail, à envoyer à lois@alchimistesfilms.com

– Fin des recrutements le 15 juin 2022

OFFRE D’EMPLOI Administrateur.rice de production et de distribution CDDU évolutifs 2j /semaine Basé à Paris – mobilité Lille et Marseille ——-   Les Alchimistes est une société de production et de distribution de films pour le cinéma et la télévision. Pensée comme un laboratoire, la société a pour but de créer de nouveaux espaces de création et de diffusion afin de répondre aux enjeux des nouveaux modes de visionnage des œuvres cinématographiques et audiovisuelles. Côté production, nous fabriquons essentiellement des documentaires, dont les sujets nous permettent d’explorer les marges et les résistances de nos sociétés contemporaines. Côté distribution, est essentiellement composé de documentaires d’auteur.e et de fictions québécoises, et nous nous ouvrons vers d’autres cinématographies. Les Alchimistes sont établis à Lille et Marseille pour la distribution, et à Lille, Paris et Marseille pour la production. ——-   Nous recherchons un.e administrateur.rice de production et de distribution afin d’assurer : GÉNÉRAL (société) la supervision du suivi budgétaire général (avec les associé.es) ; la gestion administrative et comptable quotidienne ; la relation aux institutions sociales ; la relation au cabinet comptable et la transmission mensuelle des états ; la gestion des embauches intermittentes ; la déclaration des droits d’auteurs ; la supervision du social, des régimes intermittent et général.   PRODUCTION le traitement des factures ; le traitement et le suivi des paiements ; le rendu de comptes aux financeurs ; le rendu de comptes aux coproducteur.rices ; le rendu de comptes aux auteur.rice.s.   DISTRIBUTION le traitement et envoi des factures clients et fournisseurs ; le suivi des paiements (encaissements) et des relances ; les rendus de compte auprès des institutions ; les rendus de compte aux ayant-droits.. ——- Nous recherchons un profil rigoureux et dynamique ; un intérêt pour le cinéma sera significatif. L’enthousiasme, la bienveillance, la tolérance, sont des valeurs qui nous sont chères.   Le ou la candidat.e doit témoigner d’une expérience certaine en tant qu’administrateur.rice de production. Une vraie perspective d’évolution au sein de la société est possible, nous recherchons donc un profil qui aurait pour ambition d’évoluer de concert avec une société “jeune et dynamique”.  ——-   Durée : CDDU récurrent – intermittence – 2 jours par semaine évolutifs Niveau Bac +5 idéalement, BTS et Bac +3 acceptés L’anglais lu, parlé et écrit est également requis. ——-   Date d’entrée dans l’entreprise : 15 juilet 2022 idéalement Rémunération : 200 euros brut par jour en cachet d’intermittence Lieu de travail : Paris 10e arr. et déplacements ponctuels aux bureaux de Lille et Marseille ——-   Pour nous envoyer votre candidature : – Merci de fournir une lettre de motivation en PDF et un CV en PDF, en pièces jointes de votre mail, à envoyer à lois@alchimistesfilms.com – Fin des recrutements le 15 juin …

27 mai 2022Annoncesannonces
Recherche d’un.e assistant.e de production

Les Films du Poisson, société de production de longs métrages et de documentaires (EN THERAPIE, LA COUR DE BABEL, THE GATEKEEPERS, TOURNEE, L’ARBRE, DEPUIS QU’OTAR EST PARTI, CARRE 35, LA DOULEUR, …) située dans le 10ème arrondissement de Paris recherche un.e assistant.e de production.

Missions :

Coordination et accueil des projets

Rédaction des dossiers de demande de subvention, des devis et plans de financement

Suivi des comptes, du crédit d’impôt et de la trésorerie

Suivi de la fabrication et de la Post-production

Livraison juridique, du matériel et des éléments marketing

Organisation d’événements : projections, festivals, voyages

Assistanat de direction : gestion des plannings et organisation des déplacements des productrices

Participation active dans la vie et l’organisation du bureau (logistique, suivi des tâches quotidiennes avec les stagiaires, anticipation des besoins du bureau et de l’équipe)

Profil recherché :

Au moins 2 ans d’expérience dans la production documentaire et /ou fiction

Organisé.e, rigoureux.euse, curieux.se et passionné.e

Sens de l’organisation et des priorités, fiabilité et autonomie

Très bonne maîtrise de l’anglais

Esprit d’initiative, bonne gestion du stress

Aisance relationnelle

Esprit de partage et de collectif, aimant le travail d’équipe

Le permis de conduire est un plus

Date de début : juillet 2022

Type de contrat : CDI

Envoyez CV et lettre de motivation à contact@filmsdupoisson.com

Les Films du Poisson, société de production de longs métrages et de documentaires (EN THERAPIE, LA COUR DE BABEL, THE GATEKEEPERS, TOURNEE, L’ARBRE, DEPUIS QU’OTAR EST PARTI, CARRE 35, LA DOULEUR, …) située dans le 10ème arrondissement de Paris recherche un.e assistant.e de production. Missions : Coordination et accueil des projets Rédaction des dossiers de demande de subvention, des devis et plans de financement Suivi des comptes, du crédit d’impôt et de la trésorerie Suivi de la fabrication et de la Post-production Livraison juridique, du matériel et des éléments marketing Organisation d’événements : projections, festivals, voyages Assistanat de direction : gestion des plannings et organisation des déplacements des productrices Participation active dans la vie et l’organisation du bureau (logistique, suivi des tâches quotidiennes avec les stagiaires, anticipation des besoins du bureau et de l’équipe) Profil recherché : Au moins 2 ans d’expérience dans la production documentaire et /ou fiction Organisé.e, rigoureux.euse, curieux.se et passionné.e Sens de l’organisation et des priorités, fiabilité et autonomie Très bonne maîtrise de l’anglais Esprit d’initiative, bonne gestion du stress Aisance relationnelle Esprit de partage et de collectif, aimant le travail d’équipe Le permis de conduire est un plus Date de début : juillet 2022 Type de contrat : CDI Envoyez CV et lettre de motivation à …

26 mai 2022Annoncesannonces
Cannes : Sous location Appartement 1 nuit pour 5/6 personnes / 23 mai

Bonjour,
Nous sous louons un appartement à Cannes du 23 au 24 mai.
Appartement 3 pièces pour 5 personnes (possibilité 6 pers) entièrement rénové :
A seulement 3 minutes à pied de la Croisette et 6 minutes du Palais des festivals.
Appartement de 60m² qui se compose d’une entrée donnant sur un séjour avec cuisine entièrement équipée, et bureau, de deux chambres avec salle de douche, d’un wc indépendant et d’une terrasse de 12m².

Prix : 540 euros la nuit.

Contact : fiction@filmsdupoisson.com

Téléphone : +33 1 42 02 54 80

Bonjour, Nous sous louons un appartement à Cannes du 23 au 24 mai. Appartement 3 pièces pour 5 personnes (possibilité 6 pers) entièrement rénové : A seulement 3 minutes à pied de la Croisette et 6 minutes du Palais des festivals. Appartement de 60m² qui se compose d’une entrée donnant sur un séjour avec cuisine entièrement équipée, et bureau, de deux chambres avec salle de douche, d’un wc indépendant et d’une terrasse de 12m². Prix : 540 euros la nuit. Contact : fiction@filmsdupoisson.com Téléphone : +33 1 42 02 54 …

9 mai 2022Annoncesannonces
POEC Administration de production 2022- CV des stagiaires

La première POEC (Préparation Opérationnelle à l’Emploi Collective) Administration de production touche à sa fin. Mise en place par Pôle emploi, l’Afdas et la CPNEF de l’Audiovisuel, cette session visait à répondre aux tensions de recrutement identifiées par les professionnels sur les métiers de l’administration de production.

Formés durant 12 semaines, les stagiaires sont opérationnels et prêts à travailler sur des tournages ou au sein de vos entreprises dès la mi-avril.

Vous trouverez ci-dessous les CV actualisés des 9 stagiaires de la POEC à l’écoute d’opportunités professionnelles. N’hésitez pas à prendre contact avec eux en fonction de vos besoins de recrutement.

ARKI Yann

CHAMPION Alice

CORDIER Charles

HUREL Virginie

LESCANNE Thibaut

MALET Olivier

PINSON Laetitia

YON Caroline

YVRAI Fabrice

 

6 mai 2022Annoncesannonces
Recherche d’une fixeur ou une fixeuse en Inde et au Bangladesh

Bonjour,

Pour les besoins d’un documentaire que nous produisons pour ARTE, nous recherchons un fixeur ou une fixeuse en Inde (secteur de Calcutta) et au Bangladesh pour une dizaine de jours fin mai.

Merci d’avance pour votre aide.

Magali Leproux

Les Films en Vrac

01  78 94 56 60

 

 

 

 

Bonjour, Pour les besoins d’un documentaire que nous produisons pour ARTE, nous recherchons un fixeur ou une fixeuse en Inde (secteur de Calcutta) et au Bangladesh pour une dizaine de jours fin mai. Merci d’avance pour votre aide. Magali Leproux Les Films en Vrac 01  78 94 56 60       …

29 avril 2022Annoncesannonces
Cannes 2022 : Le SPI félicite ses adhérents pour leurs 54 nominations !

Le SPI félicite ses adhérents pour leurs 54 nominations au 75ème Festival de Cannes, en sélection officielle (Compétition officielle, Un Certain Regard, Cannes Premières, Séances Spéciales) et dans les sélections parallèles (La Quinzaine des Réalisateurs, Sélection ACID et La Semaine de la Critique) !

SÉLECTION OFFICIELLE :

COMPÉTITION OFFICIELLE

Longs métrages 

Les Amandiers de Valérie Bruni-Tedeschi, produit par Ad Vitam et Agat films / Ex Nihilo

Tori et Lokita de Jean-Pierre et Luc Dardenne, coproduit par Archipel 35

Frère et Sœur de Arnaud Desplechin, produit par Why Not Productions  

Nostalgia de Mario Martone, coproduit par Rosebud Entertainment Pictures

Close de Lukas Dhont, coproduit par Diaphana  

Holy Spider (Les Nuits de Mashhad) de Ali Abbasi, coproduit par Why Not Productions

R.M.N. de Cristian Mungiu, coproduit par Why Not Productions

Un petit frère de Léonor Serraille, produit par Blue Monday Productions

Courts métrages 

Tsutsue de Amartei Armar, coproduit par La Luna Productions

Po sui tai yang zhi xin (A little Story) de Bi Gan, coproduit par CG Cinéma

Le Feu au lac de Pierre Menahem, produit par Barberousse Films

UN CERTAIN REGARD

Tirailleurs de Mathieu Vadepied produit par Unité (film d’ouverture)

Les pires de Lise Akoka et Romane Gueret, produit par Les Films Velvet  

Burning Days de Emin Alper, coproduit par Gloria Films Production

Metronom de Alexandru Belc, coporduit par Midralgar (Marmitafilms)

Retour à Séoul de Davy Chou, produit par Aurora Films

Plan 75 de Chie Hayakawa, coproduit par Urban Factory

Corsage de Marie Kreutzer, produit par Kazak Productions

Vanskabte Land (Godland) de Hlynur Pálmason, coproduit par Maneki Films

Rodéo de Lola Quivoron, produit par CG Cinéma

Plus que jamais de Emily Atef, produit par Eaux Vives Productions

Le bleu du Caftan de Maryam Touzani, coproduit par Velvet Films

CANNES PREMIERES

Dodo de Panos H. Koutras, produit par MPM Film

Nos Frangins de Rachid Bouchareb, produit par 3B Productions

Don Juan de Serge Bozon, produit par Les Films Pelléas

La nuit du 12 de Dominik Moll, produit par Haut et Court

SÉANCES SPÉCIALES

Restos do vento (Traces) de Tiago Guedes, produit par Alfama Films Productions

SÉLECTIONS PARALLÈLES :

LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS

Longs métrages 

L’Envol de Pietro Marcello, produit par CG Cinéma (film d’ouverture)

Les Harkis de Philippe Faucon, coproduit par Les Films Pelléas

Le Barrage de Ali Cherri produit par KinoElektron

Les Années Super 8 de Annie Ernaux et David Ernaux-Briot, produit par Les Films Pelléas

Ashkal de Youssef Chebbi, coproduit par Poetik Film

Les Cinq Diables de Léa Mysuis,, produit par Trois Brigands Productions

De Humani Corporis Farbica de Véréna Paravel et Lucien Castaing-Taylor, produit par Norte Productions et CG Cinéma

La Montagne de Thomas Salvador, produit par Christmas in July

Pamfir de Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk, produit par Les Films d’Ici

Under The Fig Trees (Sous les figues) de Erige Sehiri, produit par Maneki Films

Un beau matin de Mia Hansen-Love, produit par Les Films Pelléas

Un varon de Fabian Hernàndez, coproduit par In Vivo Films

Fogo-Fátuo (Feu Follet) de João Pedro Rodrigues, coproduit par House on Fire

Courts métrages 

Des Jeunes filles enterrent leur vie de Maïté Sonnet,produit par Quartett Production

SÉLECTION ACID

How to save a dead friend de Marusya Syroechkovskaya, produit par Les Films du Tambour de Soie

Jacky Caillou de Lucas Delangle, produit par Les Films du Clan

Polaris d’Ainara Vera, produit par Point du Jour, les Films du Balibari

Yamabuki de Juichiro Yamakasi, coproduit par Survivance

LA SEMAINE DE LA CRITIQUE

Compétition – longs métrages

Alma Viva de Cristèle Alves Meira, coproduit par Les Films Pelléas

Dalva de Emmanuelle Nicot, coproduit par Tripode Productions

Nos Cérémonies de Simon Rieth, produit par Les Films du Poisson

Compétition – courts métrages 

Ice Merchants de João Gonzalez, coproduit par Wild Stream

Les Créatures qui fondent au soleil de Diego Céspedes, produit par Les Valseurs

Raie Manta de Anton Bialas, produit par Apaches Films

Swan dans le Centre de Iris Chassaigne, produit par La Luna Production

Séances spéciales – longs métrages 

Goutte d’or de Clément Cogitore, produit par Kazak Productions

Séances spéciales – courts métrages 

Scale de Joseph Pierce, produit par Melocoton

Contact Presse :

Olivier Zegna Rata – Délégué général

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants

4 Cité Griset – 75011 Paris

Tél. : 01 44 70 70 44

Le SPI félicite ses adhérents pour leurs 54 nominations au 75ème Festival de Cannes, en sélection officielle (Compétition officielle, Un Certain Regard, Cannes Premières, Séances Spéciales) et dans les sélections parallèles (La Quinzaine des Réalisateurs, Sélection ACID et La Semaine de la Critique) ! SÉLECTION OFFICIELLE : COMPÉTITION OFFICIELLE Longs métrages  Les Amandiers de Valérie Bruni-Tedeschi, produit par Ad Vitam et Agat films / Ex Nihilo Tori et Lokita de Jean-Pierre et Luc Dardenne, coproduit par Archipel 35 Frère et Sœur de Arnaud Desplechin, produit par Why Not Productions   Nostalgia de Mario Martone, coproduit par Rosebud Entertainment Pictures Close de Lukas Dhont, coproduit par Diaphana   Holy Spider (Les Nuits de Mashhad) de Ali Abbasi, coproduit par Why Not Productions R.M.N. de Cristian Mungiu, coproduit par Why Not Productions Un petit frère de Léonor Serraille, produit par Blue Monday Productions Courts métrages  Tsutsue de Amartei Armar, coproduit par La Luna Productions Po sui tai yang zhi xin (A little Story) de Bi Gan, coproduit par CG Cinéma Le Feu au lac de Pierre Menahem, produit par Barberousse Films UN CERTAIN REGARD Tirailleurs de Mathieu Vadepied produit par Unité (film d’ouverture) Les pires de Lise Akoka et Romane Gueret, produit par Les Films Velvet   Burning Days de Emin Alper, coproduit par Gloria Films Production Metronom de Alexandru Belc, coporduit par Midralgar (Marmitafilms) Retour à Séoul de Davy Chou, produit par Aurora Films Plan 75 de Chie Hayakawa, coproduit par Urban Factory Corsage de Marie Kreutzer, produit par Kazak Productions Vanskabte Land (Godland) de Hlynur Pálmason, coproduit par Maneki Films Rodéo de Lola Quivoron, produit par CG Cinéma Plus que jamais de Emily Atef, produit par Eaux Vives Productions Le bleu du Caftan de Maryam Touzani, coproduit par Velvet Films CANNES PREMIERES Dodo de Panos H. Koutras, produit par MPM Film Nos Frangins de Rachid Bouchareb, produit par 3B Productions Don Juan de Serge Bozon, produit par Les Films Pelléas La nuit du 12 de Dominik Moll, produit par Haut et Court SÉANCES SPÉCIALES Restos do vento (Traces) de Tiago Guedes, produit par Alfama Films Productions SÉLECTIONS PARALLÈLES : LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS Longs métrages  L’Envol de Pietro Marcello, produit par CG Cinéma (film d’ouverture) Les Harkis de Philippe Faucon, coproduit par Les Films Pelléas Le Barrage de Ali Cherri produit par KinoElektron Les Années Super 8 de Annie Ernaux et David Ernaux-Briot, produit par Les Films Pelléas Ashkal de Youssef Chebbi, coproduit par Poetik Film Les Cinq Diables de Léa Mysuis,, produit par Trois Brigands Productions De Humani Corporis Farbica de Véréna Paravel et Lucien Castaing-Taylor, produit par Norte Productions et CG Cinéma La Montagne de Thomas Salvador, produit par Christmas in July Pamfir de Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk, produit par Les Films d’Ici Under The Fig Trees (Sous les figues) de Erige Sehiri, produit par Maneki Films Un beau matin de Mia Hansen-Love, produit par Les Films Pelléas Un varon de Fabian Hernàndez, coproduit par In Vivo Films Fogo-Fátuo (Feu Follet) de João Pedro Rodrigues, coproduit par House on Fire Courts métrages  Des Jeunes filles enterrent leur vie de Maïté Sonnet,produit par Quartett Production SÉLECTION ACID How to save a dead friend de Marusya Syroechkovskaya, produit par Les Films du Tambour de Soie Jacky Caillou de Lucas Delangle, produit par Les Films du Clan Polaris d’Ainara Vera, produit par Point du Jour, les Films du Balibari Yamabuki de Juichiro Yamakasi, coproduit par Survivance LA SEMAINE DE LA CRITIQUE Compétition – longs métrages Alma Viva de Cristèle Alves Meira, coproduit par Les Films Pelléas Dalva de Emmanuelle Nicot, coproduit par Tripode Productions Nos Cérémonies de Simon Rieth, produit par Les Films du Poisson Compétition – courts métrages  Ice Merchants de João Gonzalez, coproduit par Wild Stream Les Créatures qui fondent au soleil de Diego Céspedes, produit par Les Valseurs Raie Manta de Anton Bialas, produit par Apaches Films Swan dans le Centre de Iris Chassaigne, produit par La Luna Production Séances spéciales – longs métrages  Goutte d’or de Clément Cogitore, produit par Kazak Productions Séances spéciales – courts métrages  Scale de Joseph Pierce, produit par Melocoton Contact Presse : Olivier Zegna Rata – Délégué général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4 Cité Griset – 75011 Paris Tél. : 01 44 70 70 …

29 avril 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Sous location appartement Cannes

Appartement à louer rue Hoche à Cannes du mercredi 25 et jusqu’au dimanche 29 mai.

(3 chambres, 3 sdb) 

3400€ + draps et ménage

Pour plus d’informations contacter julie@agatfilms.com

Appartement à louer rue Hoche à Cannes du mercredi 25 et jusqu’au dimanche 29 mai. (3 chambres, 3 sdb)  3400€ + draps et ménage Pour plus d’informations …

28 avril 2022Annoncesannonces
Sous location appartement Festival de Cannes

Location du 17 mai au 28 mai

Coût total : 9376,96 €

Adresse : 4 rue Michel- Ange, Cannes : L’appartement est à 7 min à pied du palais, de la croisette, des plages.

Maximum de personnes pouvant venir : 11 personnes. Il y a 3 chambres et 8 lits. Il y a 2 lits doubles5 lits simples et 1 canapé convertible (3 salles de bain)

S’adresser à Cindy Guérineau : cindy@escazalfilms.fr

 

Location du 17 mai au 28 mai Coût total : 9376,96 € Adresse : 4 rue Michel- Ange, Cannes : L’appartement est à 7 min à pied du palais, de la croisette, des plages. Maximum de personnes pouvant venir : 11 personnes. Il y a 3 chambres et 8 lits. Il y a 2 lits doubles, 5 lits simples et 1 canapé convertible (3 salles de bain) S’adresser à Cindy Guérineau : cindy@escazalfilms.fr …

28 avril 2022Annoncesannonces
BLOC : Communiqué à la veille de l’élection présidentielle

7 avril 2022Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs Prix obtenus au 4ème Festival International Séries Mania

Grand Prix – Compétition internationale
Le Monde de demain de Katell Quillévéré et Hélier Cisterne
Les Films du Bélier

Meilleures actrices – Compétition Française à Inès Ouchaaou, Charlie Loiselier, et Assa Sylla
Reusss de Mohamed Chabane et Théo Jourdain
Lizland Films

Prix de la meilleure musique originale – Compétition Française à Feu ! Chatterton
Toutouyoutou de Julien Patry
Agat Films & Cie /Ex Nihilo

Mention Spéciale – Compétition Formats Courts
18h30 (Saison 2)de Maxime Chamoux et Sylvain Gouverneur
La Blogothèque Productions

A l’International comme en France, le travail des producteurs indépendants illustre la vitalité de la création française et nous honorent.

Grand Prix – Compétition internationaleLe Monde de demain de Katell Quillévéré et Hélier CisterneLes Films du Bélier Meilleures actrices – Compétition Française à Inès Ouchaaou, Charlie Loiselier, et Assa SyllaReusss de Mohamed Chabane et Théo JourdainLizland Films Prix de la meilleure musique originale – Compétition Française à Feu ! ChattertonToutouyoutou de Julien PatryAgat Films & Cie /Ex Nihilo Mention Spéciale – Compétition Formats Courts18h30 (Saison 2)de Maxime Chamoux et Sylvain GouverneurLa Blogothèque Productions A l’International comme en France, le travail des producteurs indépendants illustre la vitalité de la création française et nous …

29 mars 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI à Séries Mania Forum 2022 (du 22 au 24 mars)

Le stand du SPI sur le Business Lounge de Séries Mania a accueilli ses membres tout au long de ces trois jours, ainsi que leurs business-contacts, pour de nombreux échanges et collaborations.

Mardi 22 mars, nos adhérents ont rencontré les membres de l’APFC Alliance des Producteurs Francophones du Canada

Mercredi 23 mars, à la Table Ronde de la CEPI (European Audiovisual Production) – dont le SPI est membre- sur le thème “I chose to stay independent, ask my why”, est intervenue Caroline Benjo co-fondatrice de Haut et Court

Le stand du SPI sur le Business Lounge de Séries Mania a accueilli ses membres tout au long de ces trois jours, ainsi que leurs business-contacts, pour de nombreux échanges et collaborations. Mardi 22 mars, nos adhérents ont rencontré les membres de l’APFC Alliance des Producteurs Francophones du Canada Mercredi 23 mars, à la Table Ronde de la CEPI (European Audiovisual Production) – dont le SPI est membre- sur le thème “I chose to stay independent, ask my why”, est intervenue Caroline Benjo co-fondatrice de Haut et …

29 mars 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
OFFRE D’EMPLOI – ASSISTANT.E DE PRODUCTION

OFFRE D’EMPLOI – ASSISTANT.E DE PRODUCTION
Aux côtés du producteur et de l’équipe de production, vous participerez pleinement à l’activité de la Tonnerre de l’Ouest, notamment sur des séries documentaires et des projets de fiction.
Vous prendrez part aux actions suivantes :
o Préparation des tournages
o Suivi de la post-production image et son (archives, rushes, exports, backup, record comédiens.nes, mixage, titrages, étalonnage…)
o Gestion administrative (factures, déclaration et embauches des intermittents, suivi comptable des budgets des films…)
o Gestion du site Web de la société et des réseaux sociaux
o Participation à la diffusion des films en festival.
Profil recherché :
Nous cherchons à collaborer avec un.e assistant.e de production ayant le sens de la rigueur et de l’organisation dans son travail, un esprit d’initiative et une aisance relationnelle requis pour travailler avec l’ensemble de l’équipe des films et des partenaires alentours.
Vous avez des notions des logiciels de post production, de Indesign et/ou Photoshop et du Pack Office. Vous maitrisez l’anglais et avez une bonne maitrise du français rédactionnel. Vous avez des notions techniques en tournage et post production
Vous souhaitez évoluer professionnellement dans l’univers de la production audiovisuelle télévisuelle et cinématographique. Vous avez une motivation sans faille !
Description de l’activité de l’entreprise :
Tonnerre de l’Ouest produit des documentaires et des fictions pour la télévision (France Télévisions, Groupe Canal/Planète+, …)
Durée du contrat : du CDD au CDI, à pourvoir dès mai, selon profil.
Lieu : Région Normandie – Bureaux basés à Rouen – possibles déplacements à Nantes, Paris.
Type d’emploi : Temps plein Salaire : Selon profil
Télétravail: Eventuellement, mais minoritairement.
Envoyer candidature complète à prod@tonnerredelouest.fr

OFFRE D’EMPLOI – ASSISTANT.E DE PRODUCTION Aux côtés du producteur et de l’équipe de production, vous participerez pleinement à l’activité de la Tonnerre de l’Ouest, notamment sur des séries documentaires et des projets de fiction. Vous prendrez part aux actions suivantes : o Préparation des tournages o Suivi de la post-production image et son (archives, rushes, exports, backup, record comédiens.nes, mixage, titrages, étalonnage…) o Gestion administrative (factures, déclaration et embauches des intermittents, suivi comptable des budgets des films…) o Gestion du site Web de la société et des réseaux sociaux o Participation à la diffusion des films en festival. Profil recherché : Nous cherchons à collaborer avec un.e assistant.e de production ayant le sens de la rigueur et de l’organisation dans son travail, un esprit d’initiative et une aisance relationnelle requis pour travailler avec l’ensemble de l’équipe des films et des partenaires alentours. Vous avez des notions des logiciels de post production, de Indesign et/ou Photoshop et du Pack Office. Vous maitrisez l’anglais et avez une bonne maitrise du français rédactionnel. Vous avez des notions techniques en tournage et post production Vous souhaitez évoluer professionnellement dans l’univers de la production audiovisuelle télévisuelle et cinématographique. Vous avez une motivation sans faille ! Description de l’activité de l’entreprise : Tonnerre de l’Ouest produit des documentaires et des fictions pour la télévision (France Télévisions, Groupe Canal/Planète+, …) Durée du contrat : du CDD au CDI, à pourvoir dès mai, selon profil. Lieu : Région Normandie – Bureaux basés à Rouen – possibles déplacements à Nantes, Paris. Type d’emploi : Temps plein Salaire : Selon profil Télétravail: Eventuellement, mais minoritairement. Envoyer candidature complète à …

28 mars 2022Annoncesannonces
BLIC BLOC ARP : Premier accord entre le groupe M6 et les organisations du cinéma

22 mars 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Tribune Journal Le Monde – publiée le 16 mars 2022 à 17h

Suppression de la redevance : « Privé d’un financement autonome et pérenne, l’audiovisuel public n’aura d’indépendance que le nom »

Des personnalités du monde de l’audiovisuel et de la culture, parmi lesquelles, Dominique Besnehard, Jérôme Clément, Annie Ernaux, Pascale Ferran, Julie Gayet, Michel Hazanavicius, Agnès Jaoui, Bruno Solo, s’adressent dans une tribune au « Monde » à Emmanuel Macron pour exprimer leur opposition à la suppression de la redevance audiovisuelle qui promeut la culture et protège la démocratie.

Tribune. Albert Camus a écrit : « Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude. » La culture était, comme trop souvent, l’absente de la campagne présidentielle. Jusqu’à ce que le président de la République reprenne comme première proposition le seul mot d’ordre culturel des candidats d’extrême droite : « Il faut supprimer la redevance ».

Alors, oui, nous sommes en colère. La redevance n’est pas un impôt de plus. C’est le lien indéfectible qui nous unit au public. C’est un pivot de la vie artistique, culturelle et démocratique française.

La supprimer, c’est menacer le financement de quasiment tous les documentaires en France. C’est mettre en péril les deux tiers de nos séries et fictions françaises. C’est attenter à la grande majorité des dessins animés français que regardent nos enfants. Dans le monde entier, on jalouse nos films et notre industrie audiovisuelle, et le président-candidat veut la dégrader, voire la détruire ?

Des principes intangibles

Nous, femmes et hommes, journalistes, producteurs, acteurs, cinéastes, réalisateurs, écrivains et intellectuels, prenons la plume pour défendre des valeurs fondamentales. Pour nous, le public et le privé ce n’est pas pareil. Ce ne sera jamais pareil.

Grâce à la télé et à la radio publiques, et grâce à elles seules, nous pouvons écouter des heures de musique, nous pouvons voir des films différents, nous pouvons découvrir des écrivains, des artistes, débattre des idées, nous éveiller aux mystères des sciences. Combien de millions de Français sont entrés pour la première fois dans une salle de théâtre, d’opéra ou de concert grâce à la radio et à la télé publiques ? On peut faire plus – et on le souhaite. On ne doit pas faire moins.

Nous défendons des principes qu’on voudrait intangibles comme l’indépendance de l’information. Fournir une information fiable, de qualité, sans se soucier des pressions des pouvoirs économiques ou politiques, voilà la mission des journalistes du service public. On peut critiquer leur travail, mais à l’heure où la démocratie est partout mise à mal et où l’on met au pas les médias, quelles sont les rédactions qui demain seront libres de faire de l’investigation comme le font celles de Radio France ou de France Télévisions ?

Nous défendons l’âme de la démocratie. Informer, éduquer, divertir, telles sont les missions de l’audiovisuel public, ce secteur protégé et garanti depuis la seconde guerre mondiale par la redevance. De Matteo Salvini à Boris Johnson, en passant par l’Union démocratique du centre (UDC), en Suisse, tous les populistes ont pris pour cible cette redevance qui offre bien trop d’indépendance à l’audiovisuel public.

Une des plus faibles de toute l’Europe

Partout, les démocrates européens se sont levés pour défendre son intégrité et garantir sa pérennité. La redevance française est l’une des plus faibles de toute l’Europe (en Allemagne, par exemple, l’audiovisuel public est deux fois mieux financé). Justifier sa suppression par un gain de pouvoir d’achat est une piètre illusion, au moment où la hausse des prix avalera en quelques semaines ces euros gagnés.

Privé d’un financement autonome et pérenne, l’audiovisuel public sera soumis, année après année, aux régulations budgétaires des technocrates de Bercy. Ainsi devenu une administration, l’audiovisuel public n’aura d’indépendance que le nom. Quant au retour de la publicité, il n’est ni une garantie de financement, ni une chance d’améliorer la qualité de nos programmes.

Nous ne nous résignons pas à la remise en cause de l’indépendance du service public. Nous pouvons encore faire reculer les candidats. Dans une campagne hantée par la guerre, nous avons la folle audace de défendre la culture et l’information. Car, comme l’écrivait Sigmund Freud, « tout ce qui travaille à la culture travaille aussi contre la guerre ».

Liste des premiers signataires : Jean Achache, cinéaste ; Elisabeth Arnac, productrice ; Simon Arnal, producteur ; Nicolas Bary, cinéaste ; Georges-Marc Benamou, réalisateur, producteur ; Luc Beraud, réalisateur ; Dominique Besnehard, producteur ; Mathieu Bompoint, producteur ; Geneviève Brisac, écrivaine ; Rosalie Brun, productrice, déléguée générale de la Société des réalisateurs de film (SRF) ; Jean-Michel Carré, cinéaste ; Christian Carion, cinéaste ; Olivier Casas, cinéaste ; Hélène Cixous, écrivaine ; Françoise Chazaud, secrétaire générale de la Fédération des arts du spectacle, de l’audiovisuel et de la presse, (Fasap)-FO ; Jérôme Clément, cofondateur d’Arte ; Jean-Louis Comolli, cinéaste, écrivain ; Catherine Corsini, cinéaste ; Jean-Pierre Cottet, auteur, producteur ; Marie Desplechin, écrivaine ; Elizabeth Devrillon, présidente de la Guilde des auteurs-réalisateurs de reportages et documentaires (GARRD) ; Evelyne Dress, cinéaste ; Sandrine Dumas, réalisatrice, comédienne ; Annie Ernaux, écrivaine ; Jacques Fansten, réalisateur ; Pascale Ferran, cinéaste ; Pierre Filmon, cinéaste ; Denis Freyd, producteur ; Camille Ghanassia, actrice, réalisatrice ; Julie Gayet, actrice, productrice ; Alice Girard, productrice ; Denys Granier-Defferre, réalisateur ; Denis Gravouil, secrétaire général de la CGT Spectacle ; Michel Hazanavicius, cinéaste ; Jeanne Herry, cinéaste ; Laurent Heynemann, réalisateur ; Agnès Jaoui, réalisatrice, comédienne, scénariste ; Laurent Jaoui, réalisateur, président de l’Union des réalisateurs et réalisatrices (U2R) ; Lou Jeunet, réalisatrice ; Pierre Jolivet, cinéaste ; Baya Kasmi, cinéaste ; Sébastien Laudenbach, cinéaste ; Sandra Laugier, professeure de philosophie, université Paris-I-Panthéon-Sorbonne ; Anne Le Ny, cinéaste ; Michel Leclerc, cinéaste ; Nathalie Marchak, cinéaste ; Corinne Masiero, actrice ; Marie Masmonteil, productrice ; Edouard Mauriat, producteur ; Norah Melhli, productrice ; Radu Mihaileanu, cinéaste ; Gérard Mordillat, romancier, cinéaste ; Anna Mouglalis, actrice ; Elisabeth Perez, productrice ; Bruno Podalydès, réalisateur, acteur ; Emmanuel Priou, producteur ; Pascal Rogard, directeur général de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) ; Gilles Sacuto, producteur, président du Syndicat des producteurs indépendants (SPI) ; Lyes Salem, cinéaste ; Pierre Schoeller, cinéaste ; Carole Scotta, productrice et distributrice ; Patrick Sobelman, producteur ; Bruno Solo, acteur, réalisateur ; Cécile Telerman, cinéaste ; Charles Tordjman, dramaturge, metteur en scène ; Aurélien Vernhes-Lermusiaux, réalisateur ; Fouzia Zekri, secrétaire générale UNSA Spectacle et communication.

Lien vers l’article : cliquez ici

Suppression de la redevance : « Privé d’un financement autonome et pérenne, l’audiovisuel public n’aura d’indépendance que le nom » Des personnalités du monde de l’audiovisuel et de la culture, parmi lesquelles, Dominique Besnehard, Jérôme Clément, Annie Ernaux, Pascale Ferran, Julie Gayet, Michel Hazanavicius, Agnès Jaoui, Bruno Solo, s’adressent dans une tribune au « Monde » à Emmanuel Macron pour exprimer leur opposition à la suppression de la redevance audiovisuelle qui promeut la culture et protège la démocratie. Tribune. Albert Camus a écrit : « Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude. » La culture était, comme trop souvent, l’absente de la campagne présidentielle. Jusqu’à ce que le président de la République reprenne comme première proposition le seul mot d’ordre culturel des candidats d’extrême droite : « Il faut supprimer la redevance ». Alors, oui, nous sommes en colère. La redevance n’est pas un impôt de plus. C’est le lien indéfectible qui nous unit au public. C’est un pivot de la vie artistique, culturelle et démocratique française. La supprimer, c’est menacer le financement de quasiment tous les documentaires en France. C’est mettre en péril les deux tiers de nos séries et fictions françaises. C’est attenter à la grande majorité des dessins animés français que regardent nos enfants. Dans le monde entier, on jalouse nos films et notre industrie audiovisuelle, et le président-candidat veut la dégrader, voire la détruire ? Des principes intangibles Nous, femmes et hommes, journalistes, producteurs, acteurs, cinéastes, réalisateurs, écrivains et intellectuels, prenons la plume pour défendre des valeurs fondamentales. Pour nous, le public et le privé ce n’est pas pareil. Ce ne sera jamais pareil. Grâce à la télé et à la radio publiques, et grâce à elles seules, nous pouvons écouter des heures de musique, nous pouvons voir des films différents, nous pouvons découvrir des écrivains, des artistes, débattre des idées, nous éveiller aux mystères des sciences. Combien de millions de Français sont entrés pour la première fois dans une salle de théâtre, d’opéra ou de concert grâce à la radio et à la télé publiques ? On peut faire plus – et on le souhaite. On ne doit pas faire moins. Nous défendons des principes qu’on voudrait intangibles comme l’indépendance de l’information. Fournir une information fiable, de qualité, sans se soucier des pressions des pouvoirs économiques ou politiques, voilà la mission des journalistes du service public. On peut critiquer leur travail, mais à l’heure où la démocratie est partout mise à mal et où l’on met au pas les médias, quelles sont les rédactions qui demain seront libres de faire de l’investigation comme le font celles de Radio France ou de France Télévisions ? Nous défendons l’âme de la démocratie. Informer, éduquer, divertir, telles sont les missions de l’audiovisuel public, ce secteur protégé et garanti depuis la seconde guerre mondiale par la redevance. De Matteo Salvini à Boris Johnson, en passant par l’Union démocratique du centre (UDC), en Suisse, tous les populistes ont pris pour cible cette redevance qui offre bien trop d’indépendance à l’audiovisuel public. Une des plus faibles de toute l’Europe Partout, les démocrates européens se sont levés pour défendre son intégrité et garantir sa pérennité. La redevance française est l’une des plus faibles de toute l’Europe (en Allemagne, par exemple, l’audiovisuel public est deux fois mieux financé). Justifier sa suppression par un gain de pouvoir d’achat est une piètre illusion, au moment où la hausse des prix avalera en quelques semaines ces euros gagnés. Privé d’un financement autonome et pérenne, l’audiovisuel public sera soumis, année après année, aux régulations budgétaires des technocrates de Bercy. Ainsi devenu une administration, l’audiovisuel public n’aura d’indépendance que le nom. Quant au retour de la publicité, il n’est ni une garantie de financement, ni une chance d’améliorer la qualité de nos programmes. Nous ne nous résignons pas à la remise en cause de l’indépendance du service public. Nous pouvons encore faire reculer les candidats. Dans une campagne hantée par la guerre, nous avons la folle audace de défendre la culture et l’information. Car, comme l’écrivait Sigmund Freud, « tout ce qui travaille à la culture travaille aussi contre la guerre ». Liste des premiers signataires : Jean Achache, cinéaste ; Elisabeth Arnac, productrice ; Simon Arnal, producteur ; Nicolas Bary, cinéaste ; Georges-Marc Benamou, réalisateur, producteur ; Luc Beraud, réalisateur ; Dominique Besnehard, producteur ; Mathieu Bompoint, producteur ; Geneviève Brisac, écrivaine ; Rosalie Brun, productrice, déléguée générale de la Société des réalisateurs de film (SRF) ; Jean-Michel Carré, cinéaste ; Christian Carion, cinéaste ; Olivier Casas, cinéaste ; Hélène Cixous, écrivaine ; Françoise Chazaud, secrétaire générale de la Fédération des arts du spectacle, de l’audiovisuel et de la presse, (Fasap)-FO ; Jérôme Clément, cofondateur d’Arte ; Jean-Louis Comolli, cinéaste, écrivain ; Catherine Corsini, cinéaste ; Jean-Pierre Cottet, auteur, producteur ; Marie Desplechin, écrivaine ; Elizabeth Devrillon, présidente de la Guilde des auteurs-réalisateurs de reportages et documentaires (GARRD) ; Evelyne Dress, cinéaste ; Sandrine Dumas, réalisatrice, comédienne ; Annie Ernaux, écrivaine ; Jacques Fansten, réalisateur ; Pascale Ferran, cinéaste ; Pierre Filmon, cinéaste ; Denis Freyd, producteur ; Camille Ghanassia, actrice, réalisatrice ; Julie Gayet, actrice, productrice ; Alice Girard, productrice ; Denys Granier-Defferre, réalisateur ; Denis Gravouil, secrétaire général de la CGT Spectacle ; Michel Hazanavicius, cinéaste ; Jeanne Herry, cinéaste ; Laurent Heynemann, réalisateur ; Agnès Jaoui, réalisatrice, comédienne, scénariste ; Laurent Jaoui, réalisateur, président de l’Union des réalisateurs et réalisatrices (U2R) ; Lou Jeunet, réalisatrice ; Pierre Jolivet, cinéaste ; Baya Kasmi, cinéaste ; Sébastien Laudenbach, cinéaste ; Sandra Laugier, professeure de philosophie, université Paris-I-Panthéon-Sorbonne ; Anne Le Ny, cinéaste ; Michel Leclerc, cinéaste ; Nathalie Marchak, cinéaste ; Corinne Masiero, actrice ; Marie Masmonteil, productrice ; Edouard Mauriat, producteur ; Norah Melhli, productrice ; Radu Mihaileanu, cinéaste ; Gérard Mordillat, romancier, cinéaste ; Anna Mouglalis, actrice ; Elisabeth Perez, productrice ; Bruno Podalydès, réalisateur, acteur ; Emmanuel Priou, producteur ; Pascal Rogard, directeur général de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) ; Gilles Sacuto, producteur, président du Syndicat des producteurs indépendants (SPI) ; Lyes Salem, cinéaste ; Pierre Schoeller, cinéaste ; Carole Scotta, productrice et distributrice ; Patrick Sobelman, producteur ; Bruno Solo, acteur, réalisateur ; Cécile Telerman, cinéaste ; Charles Tordjman, dramaturge, metteur en scène ; Aurélien Vernhes-Lermusiaux, réalisateur ; Fouzia Zekri, secrétaire générale UNSA Spectacle et communication. 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17 mars 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
BLIC BLOC ARP : Maintenir un financement indépendant et pérenne pour un service public audiovisuel fort.

17 mars 2022Actus-SPIactus-spi
Communiqué de Presse – Stupéfaction et incrédulité face à une suppression brutale de la redevance

Le SPI exprime sa stupéfaction et son incrédulité après l’annonce démagogique par plusieurs candidats d’une « suppression de la redevance » qui priverait l’audiovisuel public, radio et télévision confondus, du financement stable, indépendant et pérenne dont il a besoin pour assurer ses missions. Dans un contexte d’hyper-concentration des médias, d’emprise croissante des plateformes numériques anglo-saxonnes et de vulnérabilité des opinions publiques face auxfakenews, le SPI tient à réaffirmer la place centrale de la télévision publique dans le fonctionnement démocratique, l’expression du pluralisme et l’affirmation de notre souveraineté culturelle.

Depuis plusieurs années, le SPI défend la nécessité impérieuse de réformer l’assiette et le montant de la contribution à l’audiovisuel public afin de la rendre plus juste, proportionnelle aux revenus des foyers, mais aussi plus moderne et plus efficace, ainsi que l’ont fait tous les grands pays européens au cours de la dernière décennie, comprenant tous l’impérieuse nécessité de garantir une ressource spécifique directement affectée au financement des médias publics, et indépendante des pressions politiques et des aléas du budget de l’État.  Il n’y a pas d’indépendance des médias publics sans une ressource spécifique, affectée, et pérenne, non sujette à des coupes arbitraires ou à des manipulations de la part de l’exécutif. Si la redevance doit être réformée, cela doit se faire en garantissant strictement ce principe, non de manière aventureuse et sans solution alternative.

Après 200 millions d’économies réalisées en 5 ans, l’audiovisuel public français ne doit surtout pas être affaibli, alors que l’enjeu essentiel est de renforcer notre capacité à produire et à diffuser des programmes, films, fictions, documentaires, animation, captations de spectacles vivants, qui puissent faire rayonner nos valeurs, notre création et notre vision d’un monde pluriel. Les chaînes publiques sont aujourd’hui le premier pilier de notre industrie de programmes, parce qu’elles en sont le premier financeur. Remettre en cause leur économie, c’est affaiblir la France dans la compétition mondiale des images. Alors que nous devrions nous servir des télévisions publiques pour investir plus, au contraire, et nous renforcer dans un univers de communication mondialisée.

Fragiliser le financement des médias publics, c’est en effet attaquer directement notre souveraineté audiovisuelle, à l’opposé de l’action menée sans défaillance depuis plus d’un demi-siècle par notre pays. Cela constituerait une rupture historique avec cette constante défense de notre spécificité, illustrée par les combats victorieusement livrés pour la défense de l’exception culturelle, dont les médias publics sont le premier rempart. 

Le SPI demande à tous les candidats à l’élection présidentielle de prendre des engagements clairs sur les modalités durables du financement des médias publics, par une ressource à la fois spécifique, indépendante du budget de l’État, et dont l’évolution soit garantie dans le temps, car c’est un élément intrinsèque du modèle de société démocratique et pluraliste européen, que seuls des régimes totalitaires et des tribuns populistes osaient jusque-là remettre en cause.

Contact presse :
Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général
SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset – 75011 Paris –
Tél. 01 44 70 70 44

Le SPI exprime sa stupéfaction et son incrédulité après l’annonce démagogique par plusieurs candidats d’une « suppression de la redevance » qui priverait l’audiovisuel public, radio et télévision confondus, du financement stable, indépendant et pérenne dont il a besoin pour assurer ses missions. Dans un contexte d’hyper-concentration des médias, d’emprise croissante des plateformes numériques anglo-saxonnes et de vulnérabilité des opinions publiques face auxfakenews, le SPI tient à réaffirmer la place centrale de la télévision publique dans le fonctionnement démocratique, l’expression du pluralisme et l’affirmation de notre souveraineté culturelle. Depuis plusieurs années, le SPI défend la nécessité impérieuse de réformer l’assiette et le montant de la contribution à l’audiovisuel public afin de la rendre plus juste, proportionnelle aux revenus des foyers, mais aussi plus moderne et plus efficace, ainsi que l’ont fait tous les grands pays européens au cours de la dernière décennie, comprenant tous l’impérieuse nécessité de garantir une ressource spécifique directement affectée au financement des médias publics, et indépendante des pressions politiques et des aléas du budget de l’État.  Il n’y a pas d’indépendance des médias publics sans une ressource spécifique, affectée, et pérenne, non sujette à des coupes arbitraires ou à des manipulations de la part de l’exécutif. Si la redevance doit être réformée, cela doit se faire en garantissant strictement ce principe, non de manière aventureuse et sans solution alternative. Après 200 millions d’économies réalisées en 5 ans, l’audiovisuel public français ne doit surtout pas être affaibli, alors que l’enjeu essentiel est de renforcer notre capacité à produire et à diffuser des programmes, films, fictions, documentaires, animation, captations de spectacles vivants, qui puissent faire rayonner nos valeurs, notre création et notre vision d’un monde pluriel. Les chaînes publiques sont aujourd’hui le premier pilier de notre industrie de programmes, parce qu’elles en sont le premier financeur. Remettre en cause leur économie, c’est affaiblir la France dans la compétition mondiale des images. Alors que nous devrions nous servir des télévisions publiques pour investir plus, au contraire, et nous renforcer dans un univers de communication mondialisée. Fragiliser le financement des médias publics, c’est en effet attaquer directement notre souveraineté audiovisuelle, à l’opposé de l’action menée sans défaillance depuis plus d’un demi-siècle par notre pays. Cela constituerait une rupture historique avec cette constante défense de notre spécificité, illustrée par les combats victorieusement livrés pour la défense de l’exception culturelle, dont les médias publics sont le premier rempart.  Le SPI demande à tous les candidats à l’élection présidentielle de prendre des engagements clairs sur les modalités durables du financement des médias publics, par une ressource à la fois spécifique, indépendante du budget de l’État, et dont l’évolution soit garantie dans le temps, car c’est un élément intrinsèque du modèle de société démocratique et pluraliste européen, que seuls des régimes totalitaires et des tribuns populistes osaient jusque-là remettre en cause. Contact presse :Olivier ZEGNA RATA – Délégué GénéralSPI – Syndicat des Producteurs Indépendants4, Cité Griset – 75011 Paris –Tél. 01 44 70 70 …

9 mars 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus lors de la 47ème cérémonie des César !

2 mars 2022Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus au 72ème Festival International de Berlin

Miyu Productions pour Birds in the Peninsula d’Atsushi Wada

  • Mention spéciale du jury – prix du court-métrage

Elda Productions pour No U-Turn d’Ike Nnaebue

  • Mention spéciale du jury – prix du documentaire

Cinéma Defacto pour sa coproduction de Rabiye contre Georges W.Bush de Leila Stieler

  • Ours d’argent pour le meilleur premier rôle à Meltem Kaptan
  • Ours d’argent pour le meilleur scénario

A l’International comme en France, les membres du SPI illustrent la vitalité de la création indépendante.

Miyu Productions pour Birds in the Peninsula d’Atsushi Wada Mention spéciale du jury – prix du court-métrage Elda Productions pour No U-Turn d’Ike Nnaebue Mention spéciale du jury – prix du documentaire Cinéma Defacto pour sa coproduction de Rabiye contre Georges W.Bush de Leila Stieler Ours d’argent pour le meilleur premier rôle à Meltem Kaptan Ours d’argent pour le meilleur scénario A l’International comme en France, les membres du SPI illustrent la vitalité de la création …

25 février 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Netflix et le Cinéma Français signent un premier accord historique

NETFLIX ET LE CINÉMA FRANÇAIS SIGNENT UN PREMIER ACCORD HISTORIQUE

Les organisations du cinéma français – représentées par le BLIC, le BLOC et L’ARP – et NETFLIX sont heureux d’annoncer la signature, aujourd’hui, du premier accord entre le cinéma et un service de vidéo à la demande par abonnement (SMAD). Il s’inscrit dans la continuité de la mise en place récente d’obligations de financement de la création cinématographique française et européenne pour ces opérateurs. Il s’agit d’une nouvelle avancée dans la modernisation de l’écosystème du cinéma français.

A travers cet accord, d’une durée de trois ans, NETFLIX s’engage à articuler sa contribution de 4% de son chiffre d’affaires annuel net réalisé en France, à travers :

  • Un minimum garanti de 30 millions d’euros par an dans la création cinématographique d’expression originale française ;
  • Une clause de diversité fléchant au moins 17% du montant des préfinancements dans le financement d’œuvres d’expression originale française dont le budget est inférieur ou égal à 4 millions d’euros ;
  • Une clause de volume prévoyant un minimum de dix films préfinancéschaque année.

Cela devrait représenter, pour l’année 2022, un investissement total d’environ 40 millions d’euros dans la création cinématographique française et européenne.

En devenant un partenaire privilégié du cinéma français, NETFLIX vient confirmer sa place dans la nouvelle chronologie des médias qui lui confère une première fenêtre de diffusion à 15 mois après la sortie des films en salles, pour une durée de 7 mois exclusifs.

NETFLIX et les organisations du cinéma français se félicitent des discussions fructueuses qui ont été menées ces derniers mois et qui bénéficieront à la création cinématographique, dans toute sa diversité.

Contacts presse :

Pour le BLIC (Bureau de Liaison des Industries Cinématographiques) 

Hélène Herschel – FNEF –  helene.herschel@fnef.fr / 07 76 97 38 22

Pour le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma) 

Rosalie Brun – SRF – rbrun@la-srf.fr / 06 80 53 45 84

Marion Golléty – SPI – mgollety@lespi.org / 06 14 74 58 82 

Pour L’ARP (Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs) 

Claire Vorger – clairevorger@gmail.com / 06 20 10 40 56

Pour NETFLIX

Joïakim Tuil – jtuil@netflix.com / 06 68 02 95 41

NETFLIX ET LE CINÉMA FRANÇAIS SIGNENT UN PREMIER ACCORD HISTORIQUE Les organisations du cinéma français – représentées par le BLIC, le BLOC et L’ARP – et NETFLIX sont heureux d’annoncer la signature, aujourd’hui, du premier accord entre le cinéma et un service de vidéo à la demande par abonnement (SMAD). Il s’inscrit dans la continuité de la mise en place récente d’obligations de financement de la création cinématographique française et européenne pour ces opérateurs. Il s’agit d’une nouvelle avancée dans la modernisation de l’écosystème du cinéma français. A travers cet accord, d’une durée de trois ans, NETFLIX s’engage à articuler sa contribution de 4% de son chiffre d’affaires annuel net réalisé en France, à travers : Un minimum garanti de 30 millions d’euros par an dans la création cinématographique d’expression originale française ; Une clause de diversité fléchant au moins 17% du montant des préfinancements dans le financement d’œuvres d’expression originale française dont le budget est inférieur ou égal à 4 millions d’euros ; Une clause de volume prévoyant un minimum de dix films préfinancéschaque année. Cela devrait représenter, pour l’année 2022, un investissement total d’environ 40 millions d’euros dans la création cinématographique française et européenne. En devenant un partenaire privilégié du cinéma français, NETFLIX vient confirmer sa place dans la nouvelle chronologie des médias qui lui confère une première fenêtre de diffusion à 15 mois après la sortie des films en salles, pour une durée de 7 mois exclusifs. NETFLIX et les organisations du cinéma français se félicitent des discussions fructueuses qui ont été menées ces derniers mois et qui bénéficieront à la création cinématographique, dans toute sa diversité. Contacts presse : Pour le BLIC (Bureau de Liaison des Industries Cinématographiques)  Hélène Herschel – FNEF –  helene.herschel@fnef.fr / 07 76 97 38 22 Pour le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma)  Rosalie Brun – SRF – rbrun@la-srf.fr / 06 80 53 45 84 Marion Golléty – SPI – mgollety@lespi.org / 06 14 74 58 82  Pour L’ARP (Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs)  Claire Vorger – clairevorger@gmail.com / 06 20 10 40 56 Pour NETFLIX Joïakim Tuil – jtuil@netflix.com / 06 68 02 95 …

23 février 2022Actus-SPIactus-spi
Location poste de travail – Paris 18e
Nous sous-louons une pièce au sein de nos locaux partagés (120 m²), dans le 18 arrondissement de Paris, à 5 minutes à pied de la station Jules Joffrin (Ligne 12).
– Meublé ou non au choix du futur locataire
– Connexion wifi
– Machine à café
350 EUR / mois tout compris (+ frais si utilisation de l’imprimante).
Disponible à partir de mars 2022.
Contact : contact@perspectivefilms.fr

Nous sous-louons une pièce au sein de nos locaux partagés (120 m²), dans le 18 arrondissement de Paris, à 5 minutes à pied de la station Jules Joffrin (Ligne 12). – Meublé ou non au choix du futur locataire – Connexion wifi – Machine à café 350 EUR / mois tout compris (+ frais si utilisation de l’imprimante). Disponible à partir de mars 2022. Contact : …

23 février 2022Annoncesannonces
Bravo à nos lauréats du Festival de Luchon !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2022

Prix de l’Originalité du Sujet Excellence Pyrénéenne 
Prix du Public Documentaire
Alfred et Lucie Dreyfus, je t’embrasse comme je t’aime de Delphine Morel
(France 5)
KEPLER 22 et NOVANIMA

Prix spécial Culture
Georges Pérec, l’homme qui ne voulait pas oublier de Pierre Lane
(France 5)
13 PRODUCTIONS et CAMERA LUCIDA PRODUCTIONS

Prix spécial Politique
Asie Pacifique, la nouvelle poudrière d’Anne Loussouarn
(Arte)
BONNE PIOCHE TELEVISION

Prix spécial Sciences
Le Message des papillons de Pierre Bressiant
(Ushuaïa TV, TV7Bordeaux, ZDF/Arte, NOVA/GBH et SVT)
CRESCENDO MEDIA FILMS

Prix spécial Histoire
Les Incorrectes, Alice Milliat et les débuts du sport au féminin 
d’Anne-Cécile Genre 
(Histoire TV)
LUCIEN TV

Prix du Public du Webdocumentaire
On ne tue jamais par amour, de Kevin Gay
(Arte)
TOURNEZ S’IL VOUS PLAIT

Prix de la meilleure Musique Originale à Philippe Sarde
Juliette dans son Bain de Jean-Paul Lilienfeld
(Arte)
SIECLE PRODUCTIONS

En fiction comme en documentaire,
les membres du SPI illustrent la vitalité de la création indépendante.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2022 Prix de l’Originalité du Sujet Excellence Pyrénéenne Prix du Public DocumentaireAlfred et Lucie Dreyfus, je t’embrasse comme je t’aime de Delphine Morel(France 5)KEPLER 22 et NOVANIMA Prix spécial CultureGeorges Pérec, l’homme qui ne voulait pas oublier de Pierre Lane(France 5)13 PRODUCTIONS et CAMERA LUCIDA PRODUCTIONS Prix spécial PolitiqueAsie Pacifique, la nouvelle poudrière d’Anne Loussouarn(Arte)BONNE PIOCHE TELEVISION Prix spécial SciencesLe Message des papillons de Pierre Bressiant(Ushuaïa TV, TV7Bordeaux, ZDF/Arte, NOVA/GBH et SVT)CRESCENDO MEDIA FILMS Prix spécial HistoireLes Incorrectes, Alice Milliat et les débuts du sport au féminin d’Anne-Cécile Genre (Histoire TV)LUCIEN TV Prix du Public du WebdocumentaireOn ne tue jamais par amour, de Kevin Gay(Arte)TOURNEZ S’IL VOUS PLAIT Prix de la meilleure Musique Originale à Philippe SardeJuliette dans son Bain de Jean-Paul Lilienfeld(Arte)SIECLE PRODUCTIONS En fiction comme en documentaire,les membres du SPI illustrent la vitalité de la création …

15 février 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
SALAUD MORISSET RECHERCHE SES FUTURS COLOCATAIRES À PARIS !
Nous proposons 3 postes de travail dans un bureau de 26m2 fermé et lumineux, à partager avec notre équipe parisienne !
Informations pratiques :
-> Métro Ménilmontant
-> Début de la location au 01/03/2022
-> Toutes les charges incluses (ménage, électricité, café, ect)
-> Meublé
-> Chaque poste peut être loué individuellement
-> Les bureaux sont en cours de travaux. Les locaux, grands et lumineux, seront partagés avec d’autres professionnels du cinéma. Visites possibles la semaine prochaine.
N’hésitez pas à contacter laura@salaudmorisset pour davantage de renseignements.

Nous proposons 3 postes de travail dans un bureau de 26m2 fermé et lumineux, à partager avec notre équipe parisienne ! Informations pratiques : -> Métro Ménilmontant -> Début de la location au 01/03/2022 -> Toutes les charges incluses (ménage, électricité, café, ect) -> Meublé -> Chaque poste peut être loué individuellement -> Les bureaux sont en cours de travaux. Les locaux, grands et lumineux, seront partagés avec d’autres professionnels du cinéma. Visites possibles la semaine prochaine. N’hésitez pas à contacter laura@salaudmorisset pour davantage de …

15 février 2022Annoncesannonces
Palmarès Clermont-Ferrand 2022 : Bravo à nos adhérents !

10 février 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué d’un collectif d’organisations professionnelles de la culture sur le Digital Services Act

Un collectif d’organisations professionnelles de la culture appelle à la mobilisation de la France pour éviter que le Digital Services Act ne marque un recul dans la régulation des plateformes et la protection des œuvres en ligne

DSA : l’Europe entre les mains des géants du numérique

Nous, acteurs de toutes les industries culturelles et créatives en France, ne pouvons assister en silence à la remise en cause des acquis obtenus depuis 20 ans en matière de protection de nos droits sur Internet en pleine Présidence française de l’Union européenne.

Le Digital Services Act ambitionne de renforcer la responsabilité et le devoir de diligence de tous les services numériques ; c’est-à-dire de réguler les contenus en ligne et de protéger les citoyens contre les contenus illicites.

Les intentions sont là. Et pour l’instant, les actes disent le contraire.

Quand le Parlement européen et le Conseil votent pour assouplir la responsabilité d’acteurs numériques majeurs et affaiblir les capacités de recours des ayants droit devant leurs contenus piratés, comment le comprendre ? La France, fer de lance dans la protection de nos œuvres et de nos contenus face aux géants du net, doit saisir, avec les autres Etats membres, cette occasion de mettre fin au « far west numérique ».

Les enjeux sont trop importants pour avancer à marche forcée au motif de régulation transverse ou de calendrier contraint. La législation sur les services numériques doit rester d’intérêt général, sans affaiblir la mise en œuvre du droit d’auteur, seul garant de la liberté d’expression et de la diversité culturelle.

C’est pourquoi nous demandons solennellement à notre Gouvernement, à nos élus, à nos représentants au sein des instances européennes, de créer les conditions d’un sursaut lors du trilogue afin de remettre de la cohérence entre l’esprit et la lettre du DSA, et notamment : mieux lutter contre les offres et contenus illicites y compris au- delà des seules places de marché, et éviter l’affaiblissement voire la remise en cause des acquis européens et nationaux en matière de respect des droits de propriété intellectuelle. Telle doit être l’ambition de la Présidence française de l’Union Européenne.

Nos secteurs ont déjà une longue histoire sur Internet : elle doit rester une force au bénéfice de tous.

Un collectif d’organisations professionnelles de la culture appelle à la mobilisation de la France pour éviter que le Digital Services Act ne marque un recul dans la régulation des plateformes et la protection des œuvres en ligne DSA : l’Europe entre les mains des géants du numérique Nous, acteurs de toutes les industries culturelles et créatives en France, ne pouvons assister en silence à la remise en cause des acquis obtenus depuis 20 ans en matière de protection de nos droits sur Internet en pleine Présidence française de l’Union européenne. Le Digital Services Act ambitionne de renforcer la responsabilité et le devoir de diligence de tous les services numériques ; c’est-à-dire de réguler les contenus en ligne et de protéger les citoyens contre les contenus illicites. Les intentions sont là. Et pour l’instant, les actes disent le contraire. Quand le Parlement européen et le Conseil votent pour assouplir la responsabilité d’acteurs numériques majeurs et affaiblir les capacités de recours des ayants droit devant leurs contenus piratés, comment le comprendre ? La France, fer de lance dans la protection de nos œuvres et de nos contenus face aux géants du net, doit saisir, avec les autres Etats membres, cette occasion de mettre fin au « far west numérique ». Les enjeux sont trop importants pour avancer à marche forcée au motif de régulation transverse ou de calendrier contraint. La législation sur les services numériques doit rester d’intérêt général, sans affaiblir la mise en œuvre du droit d’auteur, seul garant de la liberté d’expression et de la diversité culturelle. C’est pourquoi nous demandons solennellement à notre Gouvernement, à nos élus, à nos représentants au sein des instances européennes, de créer les conditions d’un sursaut lors du trilogue afin de remettre de la cohérence entre l’esprit et la lettre du DSA, et notamment : mieux lutter contre les offres et contenus illicites y compris au- delà des seules places de marché, et éviter l’affaiblissement voire la remise en cause des acquis européens et nationaux en matière de respect des droits de propriété intellectuelle. Telle doit être l’ambition de la Présidence française de l’Union Européenne. Nos secteurs ont déjà une longue histoire sur Internet : elle doit rester une force au bénéfice de …

10 février 2022Actus-SPIactus-spi
Retrouvez le live du colloque “La production indépendante au coeur de la révolution audiovisuelle” du 8 février 2022

10 février 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Chaleureuses félicitations à nos lauréats des Prix du producteur français de télévision, primés au cours de la cérémonie organisée le 8 février par la Procirep

A l’occasion de la cérémonie de remise des 27ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 8 février 2022,

le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement

BLACK SHEEP FILMS

Augustin Bernard

Mathieu Van de Velde

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE FICTION

 ***

MIYU PRODUCTIONS

Emmanuel-Alain Raynal

Pierre Baussaron

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS D’ANIMATION

Ces prix récompensent les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, l’audace et l’engagement des producteurs délégués au travers des projets de proximité mais également à dimension internationale. Ils représentent tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante.

Le SPI félicite également tous les nommés à la 27ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée. Nous vous invitons à retrouver les présentations des sociétés nommées au lien suivant https://www.procirep.fr/Les-Prix-du-Producteur-TV-2021-de-la-Procirep-decernes-a-MIYU-PRODUCTION.html

A l’occasion de la cérémonie de remise des 27ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 8 février 2022, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement BLACK SHEEP FILMS Augustin Bernard Mathieu Van de Velde POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE FICTION  *** MIYU PRODUCTIONS Emmanuel-Alain Raynal Pierre Baussaron POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS D’ANIMATION Ces prix récompensent les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, l’audace et l’engagement des producteurs délégués au travers des projets de proximité mais également à dimension internationale. Ils représentent tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante. Le SPI félicite également tous les nommés à la 27ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée. Nous vous invitons à retrouver les présentations des sociétés nommées au lien …

9 février 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Administratrice de production – Laurence Diaz

CV Laurence Diaz Admin

CV Laurence Diaz …

8 février 2022Annoncesannonces
Administrateur de production – Philippe Raimond

CV_Philippe RAIMOND_Administrateur

CV_Philippe …

8 février 2022Annoncesannonces
Rencontres CISA Mardi 8 février à 16h30 au Trianon

Colloque “La Production indépendante au coeur de la révolution audiovisuelle “

Colloque “La Production indépendante au coeur de la révolution audiovisuelle …

3 février 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
LOCATION BUREAU – MEUBLÉ – 2ÈME ARRONDISSEMENT – 13m2

Bonjour à tous,

Nous louons un bureau indépendant de 13m2, calme et lumineux. Loué meublé, 1 à 2 postes possibles.

Location: 850€/mois. La location comprend le ménage, internet fibre/téléphone, chauffage, électricité, accès a la cuisine équipée (frigo, micro onde, etc).

Il est bien placé, rue du sentier (75002). L’espace est disponible dès le 10 février.

N’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : assistant@strombolifilms.com

Bonjour à tous, Nous louons un bureau indépendant de 13m2, calme et lumineux. Loué meublé, 1 à 2 postes possibles. Location: 850€/mois. La location comprend le ménage, internet fibre/téléphone, chauffage, électricité, accès a la cuisine équipée (frigo, micro onde, etc). Il est bien placé, rue du sentier (75002). L’espace est disponible dès le 10 février. N’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : …

3 février 2022Annoncesannonces
Administratrice de production – Vesna Filipovski

CV Vesna Admin

CV Vesna …

27 janvier 2022Annoncesannonces
Nominations César 2022 : Bravo à nos adhérents !

26 janvier 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Présence du SPI au FIPADOC 2022 à Biarritz (du 17 au 23 janvier)

Pas moins de quatre évènements en quatre jours pour le SPI en cette édition 2022 en présentiel, sans compter les nombreuses rencontres à la “permanence” du SPI avec Olivier Zegna Rata, Emmanuelle Mauger et Sébastien Meunier

Mardi 18 janvier Table ronde commune avec l’USPA “Avenir du documentaire de création, ce qui se joue aujourd’hui” avec :
Olivier de Bannes (O2B Films) – Valérie Montmartin (Little Big Story) Membres du Bureau Audiovisuel du SPI
Patricia Boutinard Rouelle (Nilaya Productions) – Fabrice Coat (Programme 33) Co-présidents de la Commission Documentaire de l’USPA
Emmanuelle Mauger, Déléguée Générale Adjointe du SPI
Stéphane Le Bars, Délégué Général de l’USPA

Mercredi 19 janvierSignature de la “Charte de Bonnes Pratiques Documentaires” avec :
France Télévisions – L’Uspa – le Spect – Le Satev – La Scam – La Garrd et la Boucle Documentaire

Jeudi 20 janvier – Table ronde du SPI “Documentaire numérique : nouveaux supports, nouveaux publics”
animée par Andrès Jarach (Auteur, Réalisateur) avec :
Caroline Baldeyrou (Directrice adjointe du Développement Numérique, Arte)
Julie Grivaux (Directrice adjointe des Documentaires, France Télévisions)
Sylvain Louvet (Directeur Editorial, Responsable des Productions Originales, BrutX)
Margaux Missika (Upian, membre du Bureau Audiovisuel du SPI
Laurent Duret (Bachibouzouk, Président de PXN, membre du SPI)

Vendredi 21 janvier – Table ronde du groupe Audiens “Evolution de l’emploi dans la production documentaire”
avec la participation de Louise Lebecq, Déléguée aux affaires sociales du SPI

Retrouvez ici l’étude sur l’emploi dans la production documentaire : https://www.audiens.org/files/live/sites/siteAudiens/files/03_documents/groupe/Etudes/Etude-Audiens-Emploi-secteur-production-films-documentaires.pdf

Pas moins de quatre évènements en quatre jours pour le SPI en cette édition 2022 en présentiel, sans compter les nombreuses rencontres à la “permanence” du SPI avec Olivier Zegna Rata, Emmanuelle Mauger et Sébastien Meunier Mardi 18 janvier – Table ronde commune avec l’USPA “Avenir du documentaire de création, ce qui se joue aujourd’hui” avec :Olivier de Bannes (O2B Films) – Valérie Montmartin (Little Big Story) Membres du Bureau Audiovisuel du SPIPatricia Boutinard Rouelle (Nilaya Productions) – Fabrice Coat (Programme 33) Co-présidents de la Commission Documentaire de l’USPAEmmanuelle Mauger, Déléguée Générale Adjointe du SPIStéphane Le Bars, Délégué Général de l’USPA Mercredi 19 janvier – Signature de la “Charte de Bonnes Pratiques Documentaires” avec :France Télévisions – L’Uspa – le Spect – Le Satev – La Scam – La Garrd et la Boucle Documentaire Jeudi 20 janvier – Table ronde du SPI “Documentaire numérique : nouveaux supports, nouveaux publics”animée par Andrès Jarach (Auteur, Réalisateur) avec :Caroline Baldeyrou (Directrice adjointe du Développement Numérique, Arte)Julie Grivaux (Directrice adjointe des Documentaires, France Télévisions)Sylvain Louvet (Directeur Editorial, Responsable des Productions Originales, BrutX)Margaux Missika (Upian, membre du Bureau Audiovisuel du SPILaurent Duret (Bachibouzouk, Président de PXN, membre du SPI) Vendredi 21 janvier – Table ronde du groupe Audiens “Evolution de l’emploi dans la production documentaire”avec la participation de Louise Lebecq, Déléguée aux affaires sociales du SPI Retrouvez ici l’étude sur l’emploi dans la production documentaire : …

21 janvier 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Bravo à nos lauréats des Prix Lumières

Le SPI félicite vivement ses membres, et leurs équipes, récompensés à la 27ème cérémonie des Prix Lumières de la Presse Internationale 2002

CG Cinéma pour “Annette
Prix de la meilleure mise en scène – Leos Carax
Prix de la meilleure photographie – Caroline Champetier
Prix de la meilleur musique – Ron et Russel Mael

Haut et Court pour “Gagarine”
Prix du meilleur premier film – Fanny Liatard et Jérémy Trouilh

Kazak Productions pour “Titane”
Prix de la meilleure révélation féminine – Agathe Rouselle

Le SPI félicite vivement ses membres, et leurs équipes, récompensés à la 27ème cérémonie des Prix Lumières de la Presse Internationale 2002 CG Cinéma pour “Annette“Prix de la meilleure mise en scène – Leos CaraxPrix de la meilleure photographie – Caroline ChampetierPrix de la meilleur musique – Ron et Russel Mael Haut et Court pour “Gagarine”Prix du meilleur premier film – Fanny Liatard et Jérémy Trouilh Kazak Productions pour “Titane”Prix de la meilleure révélation féminine – Agathe …

20 janvier 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Signature de la “Charte de bonnes pratiques documentaires” au Fipadoc le 19 janvier 2022

19 janvier 2022Actus-SPIactus-spi
Recrutez des administrateurs de production sortant de formation !

19 janvier 2022Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué des syndicats de producteurs audiovisuels

12 janvier 2022Actus-SPIactus-spi
OFFRE – Sous-Location – Bureau de prépa / d’écriture – Meublé – 11ème arrondissement – 12m2
Au sein de nos locaux de 160m2 refait à neuf dans un style brut et chaleureux, nous sous-louons une pièce.
Idéal pour bureau d’écriture, réunions, castings.
Surface de 12m2 donnant sur le jardin. Très lumineux. Meublé (canapé, bureau, chaises, lampes).
Lieu :
idéalement situés dans le 11ème arrondissement de Paris, 1 min à pied du Métro Philippe Auguste (ligne 2) + Périph rapidement accessible (10-15min en voiture de la Porte de Montreuil)
• Meublé (bureaux, chaises, rangement individuel, canapé, lampes, …)
• Connexion wifi.
• Hauteur sous plafond & Grande luminosité.
• Digicode + Accès sécurisé avec badge et clés
• Machine à café à grains / fontaine à eau.
850EUR / mois tout compris (+ forfait suppl. si utilisation de l’imprimante).
Disponible dès le 14 décembre jusqu’à fin janvier 2022.
Espaces communs partagés.

Au sein de nos locaux de 160m2 refait à neuf dans un style brut et chaleureux, nous sous-louons une pièce. Idéal pour bureau d’écriture, réunions, castings. Surface de 12m2 donnant sur le jardin. Très lumineux. Meublé (canapé, bureau, chaises, lampes). Lieu : idéalement situés dans le 11ème arrondissement de Paris, 1 min à pied du Métro Philippe Auguste (ligne 2) + Périph rapidement accessible (10-15min en voiture de la Porte de Montreuil) • Meublé (bureaux, chaises, rangement individuel, canapé, lampes, …) • Connexion wifi. • Hauteur sous plafond & Grande luminosité. • Digicode + Accès sécurisé avec badge et clés • Machine à café à grains / fontaine à eau. 850EUR / mois tout compris (+ forfait suppl. si utilisation de l’imprimante). Disponible dès le 14 décembre jusqu’à fin janvier 2022. Espaces communs partagés. Contact …

14 décembre 2021Annoncesannonces
Table Ronde SPI – PERIPHERIE “Documentaire d’histoire et storytelling – les (r)évolutions d’un genre”

Retrouvez la table ronde animée par Olivier de Bannes du 26 novembre 2021 en suivant ce lien :
https://vimeo.com/651622967

Retrouvez la table ronde animée par Olivier de Bannes du 26 novembre 2021 en suivant ce lien …

7 décembre 2021Actus-SPIactus-spi
Le Groupe CANAL+ et les organisations du cinéma signent un nouvel accord

2 décembre 2021Actus-SPIactus-spi
Sous-Location – Bureaux de prépa / production – Meublé – 11ème arrondissement – 140m2
Actuellement en phase de développement et de post-production, nous sous-louons nos bureaux idéalement situés dans le 11ème arrondissement de Paris.
Lieu :
1 min à pied du Métro Philippe Auguste (ligne 2) + Périph rapidement accessible (10-15min en voiture de la Porte de Montreuil)
L’espace :
Superficie totale sous-louée de 140 m2 au RDC – refait à neuf dans un style brut et chaleureux.
> Un Open Space de 80m2 donnant sur un patio privé de 30m2 aménagé et arboré.
> 3 bureaux vitrés (7m2 + 12m2 + 12m2)
> 1 stock ou salle de montage (sans fenêtre) – 7m2
> 1 grande cuisine aménagée équipée (frigo, four, plaque de cuisson, lave-vaisselle)
> 1 place privé de parking souterrain avec bagde + des places souvent devant l’immeuble, idéal pour (dé)chargement matériel tournage, etc.
• Meublé (bureaux, chaises, rangement individuel, canapé, lampes, …)
• Connexion wifi.
• Hauteur sous plafond & Grande luminosité.
• Digicode + Accès sécurisé avec badge et clés
• Machine à café à grains / machine à glaçons
5 500EUR / mois tout compris.
Disponible dès le 1er janvier jusqu’au 31 mai 2022.
Nous gardons sur la période un bureau au fond comme pied-à-terre et partagerons donc les espaces communs.
Contact : kevin@ninja-associes.com

Actuellement en phase de développement et de post-production, nous sous-louons nos bureaux idéalement situés dans le 11ème arrondissement de Paris. Lieu : 1 min à pied du Métro Philippe Auguste (ligne 2) + Périph rapidement accessible (10-15min en voiture de la Porte de Montreuil) L’espace : Superficie totale sous-louée de 140 m2 au RDC – refait à neuf dans un style brut et chaleureux. > Un Open Space de 80m2 donnant sur un patio privé de 30m2 aménagé et arboré. > 3 bureaux vitrés (7m2 + 12m2 + 12m2) > 1 stock ou salle de montage (sans fenêtre) – 7m2 > 1 grande cuisine aménagée équipée (frigo, four, plaque de cuisson, lave-vaisselle) > 1 place privé de parking souterrain avec bagde + des places souvent devant l’immeuble, idéal pour (dé)chargement matériel tournage, etc. • Meublé (bureaux, chaises, rangement individuel, canapé, lampes, …) • Connexion wifi. • Hauteur sous plafond & Grande luminosité. • Digicode + Accès sécurisé avec badge et clés • Machine à café à grains / machine à glaçons 5 500EUR / mois tout compris. Disponible dès le 1er janvier jusqu’au 31 mai 2022. Nous gardons sur la période un bureau au fond comme pied-à-terre et partagerons donc les espaces communs. Contact : …

2 décembre 2021Annoncesannonces
Félicitations !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite Eloa Prod pour les scores d’audience de samedi 6 novembre sur France 3 avec “Meurtres à Marie-Galante” (4,4 millions de téléspectateurs) et “La Malédiction du Volcan”

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite Eloa Prod pour les scores d’audience de samedi 6 novembre sur France 3 avec “Meurtres à Marie-Galante” (4,4 millions de téléspectateurs) et “La Malédiction du …

8 novembre 2021Non classénon-classe
Bravo à nos lauréats de l’Association des Critiques de Séries

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix décernés par l’A.C.S., le 26 octobre 2021

Prix de la meilleure série de 52 minutes

Hippocrate (saison 2) de Thomas Lilti

(Canal +)

31 Juin Films

Prix de la meilleure actrice

pour Céleste Brunnquell dans

En Thérapie d’Eric Toledano, Olivier Nakache, Pierre Salvadori, Nicolas Pariser, Mathieu Vadepied

(Arte)

Les Films du Poisson

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix décernés par l’A.C.S., le 26 octobre 2021 Prix de la meilleure série de 52 minutes Hippocrate (saison 2) de Thomas Lilti (Canal +) 31 Juin Films Prix de la meilleure actrice pour Céleste Brunnquell dans En Thérapie d’Eric Toledano, Olivier Nakache, Pierre Salvadori, Nicolas Pariser, Mathieu Vadepied (Arte) Les Films du …

27 octobre 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
💡Une solution pour pallier à la problématique de recrutement des administrateurs de production : la POEC

L’administrateur(trice) de production assure la gestion administrative, comptable et sociale d’un film et, notamment, établit les bulletins de salaire. Il établit les données nécessaires au suivi du devis et aux prévisions de trésorerie. Il assure le contrôle des opérations et écritures comptables en référence au plan comptable des entreprises de production. Il vérifie leur régularité et fournit les éléments pour l’établissement des situations de dépenses.

Les producteurs et les productrices rencontrent des difficultés croissantes pour pourvoir les postes d’administrateur(trice) de production.  Il s’agit d’un métier qui rencontre des difficultés de recrutement depuis plusieurs années (métier dit « en tension »), dont la technicité s’accroît avec l’évolution de la règlemention comptable et sociale.

Pour répondre à cette problématique de recrutement, la CPNEF de l’audiovisuel, en partenariat avec l’AFDAS, Pôle emploi et les syndicats de producteurs, propose de lancer une POEC.

N’hésitez pas à nous faire part de votre intérêt à cette démarche en envoyant un mail à info@cpnef-av.fr !

Plus d’infos ci-dessous ⬇️

L’administrateur(trice) de production assure la gestion administrative, comptable et sociale d’un film et, notamment, établit les bulletins de salaire. Il établit les données nécessaires au suivi du devis et aux prévisions de trésorerie. Il assure le contrôle des opérations et écritures comptables en référence au plan comptable des entreprises de production. Il vérifie leur régularité et fournit les éléments pour l’établissement des situations de dépenses. Les producteurs et les productrices rencontrent des difficultés croissantes pour pourvoir les postes d’administrateur(trice) de production.  Il s’agit d’un métier qui rencontre des difficultés de recrutement depuis plusieurs années (métier dit « en tension »), dont la technicité s’accroît avec l’évolution de la règlemention comptable et sociale. Pour répondre à cette problématique de recrutement, la CPNEF de l’audiovisuel, en partenariat avec l’AFDAS, Pôle emploi et les syndicats de producteurs, propose de lancer une POEC. N’hésitez pas à nous faire part de votre intérêt à cette démarche en envoyant un mail à info@cpnef-av.fr ! Plus d’infos …

26 octobre 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Bravo à notre lauréat du FIFAC

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement Zycopolis Production et son équipe pour son prix obtenu au Festival International du Film documentaire Amazonie-Caraïbes qui s’est tenu du 12 au 16 octobre à Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane. Prix du public pour Big In Jazz Collective, de Marina Jallier.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement Zycopolis Production et son équipe pour son prix obtenu au Festival International du Film documentaire Amazonie-Caraïbes qui s’est tenu du 12 au 16 octobre à Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane. Prix du public pour Big In Jazz Collective, de Marina …

22 octobre 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
COMMUNIQUÉ : Altice Media, les syndicats de producteurs et de distributeurs audiovisuels ainsi que les sociétés d’auteurs signent les deux premiers accords interprofessionnels qui s’inscrivent dans le cadre du futur décret applicable à la TNT

24 septembre 2021Actus-SPIactus-spi
Bravo à nos lauréats du Festival de la Fiction !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival de la Fiction de La Rochelle – édition 2021. 

Prix de la meilleure série 26 minutes

Prix de la meilleure musique

Stalk (saison 2) de Simon Bouisson

(France Télévisions – Slash)

SILEX

Prix de la meilleure série de moins de 20 minutes

Patience mon amour de Camille Duvelleroy

(Arte)

BACHIBOUZOUK

Prix de la meilleure comédie

La vengeance au triple galop d’Alex Lutz

(Canal +)

SUPERMOUCHE PRODUCTIONS

Prix de la meilleure réalisation

Jeune espoir féminin : Louisiane Gouverneur

Clèves de Rodolphe Tissot

(Arte)

AVENUE B PRODUCTIONS

Prix de la meilleure interprétation masculine

Qu’est-ce qu’on va faire de Jacques ? de Marie Garel-Weiss

(Arte)

24 MAI PRODUCTION

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival de la Fiction de La Rochelle – édition 2021.  Prix de la meilleure série 26 minutes Prix de la meilleure musique Stalk (saison 2) de Simon Bouisson (France Télévisions – Slash) SILEX Prix de la meilleure série de moins de 20 minutes Patience mon amour de Camille Duvelleroy (Arte) BACHIBOUZOUK Prix de la meilleure comédie La vengeance au triple galop d’Alex Lutz (Canal +) SUPERMOUCHE PRODUCTIONS Prix de la meilleure réalisation Jeune espoir féminin : Louisiane Gouverneur Clèves de Rodolphe Tissot (Arte) AVENUE B PRODUCTIONS Prix de la meilleure interprétation masculine Qu’est-ce qu’on va faire de Jacques ? de Marie Garel-Weiss (Arte) 24 MAI …

20 septembre 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Webinaire Administrateurs de production – 24 septembre à 10h00

9 septembre 2021Actus-SPIactus-spi
Recherche Bureau dans espace partagé – 1 ou 2 postes

La société Keren Production recherche pour compléter son établissement caennais, un ou deux postes dans un espace partagé (ou petit bureau qui ferme). Idéalement 9ème, 10ème, 11ème, ligne 9…

Keren produit essentiellement des documentaires pour la télévision et le cinéma.

contact : samuel.moutel@keren-production.fr

La société Keren Production recherche pour compléter son établissement caennais, un ou deux postes dans un espace partagé (ou petit bureau qui ferme). Idéalement 9ème, 10ème, 11ème, ligne 9… Keren produit essentiellement des documentaires pour la télévision et le cinéma. contact : …

7 septembre 2021Annoncesannonces
Le SPI à Séries Mania : Retour en images

Le SPI a eu le plaisir de vous accueillir sur son stand au Business lounge !

Le SPI a tenu une réunion avec ses adhérent.e.s pour échanger sur l’indépendance et la concentration dans le secteur de la production.

Intervention du SPI avec la coordination des producteurs indépendants (CEPI) : “La directive SMA une bonne mesure pour les producteurs indépendants ?”

>> Oui, il faut poursuivre et favoriser la diversité des créations originales indépendantes.

Le SPI a eu le plaisir de vous accueillir sur son stand au Business lounge ! Le SPI a tenu une réunion avec ses adhérent.e.s pour échanger sur l’indépendance et la concentration dans le secteur de la production. Intervention du SPI avec la coordination des producteurs indépendants (CEPI) : “La directive SMA une bonne mesure pour les producteurs indépendants ?” >> Oui, il faut poursuivre et favoriser la diversité des créations originales …

2 septembre 2021Actus-SPIactus-spi
Archipel 33 recherche un.e Chef.fe Comptable

Archipel 33 recherche un.e Chef.fe Comptable

Domaines : Cinéma (Archipel 35) & Télévision (Archipel 33) – 5 permanents

 

Description du poste :

Préparation des bilans

Gestion des relations CAC et Expert Comptable

Gestion et prévisions de trésorerie

Gestion des relations bancaires

Gestion analytique des dépenses

Établissement des fiches de paie (permanents et intermittents)

DSN et autres charges sociales

Déclarations fiscales (TVA, CFE, CVAE, etc)

Situations des productions

Administration de la production des films en préparation et en finition

Certification des comptes des films

Gestion du crédit d’impôt des films

 

Profil recherché :

Expérience : 5 ans dans le secteur audiovisuel (Cinéma et TV)

Titulaire d’un diplôme bac +2 dans la comptabilité

Maîtrise des logiciels Xotis (Studio, Louma), Word et Excel

Bon niveau d’autonomie

 

Type de contrat et Date de prise de fonction :

Poste en CDI à pourvoir immédiatement

 

Infos complémentaires :

Rémunération envisagée : selon profil

Lieu: Paris 3ème

 

Modalités :

Merci d’envoyer CV+ LM à : archipel@archipel33.fr

Archipel 33 recherche un.e Chef.fe Comptable Domaines : Cinéma (Archipel 35) & Télévision (Archipel 33) – 5 permanents   Description du poste : Préparation des bilans Gestion des relations CAC et Expert Comptable Gestion et prévisions de trésorerie Gestion des relations bancaires Gestion analytique des dépenses Établissement des fiches de paie (permanents et intermittents) DSN et autres charges sociales Déclarations fiscales (TVA, CFE, CVAE, etc) Situations des productions Administration de la production des films en préparation et en finition Certification des comptes des films Gestion du crédit d’impôt des films   Profil recherché : Expérience : 5 ans dans le secteur audiovisuel (Cinéma et TV) Titulaire d’un diplôme bac +2 dans la comptabilité Maîtrise des logiciels Xotis (Studio, Louma), Word et Excel Bon niveau d’autonomie   Type de contrat et Date de prise de fonction : Poste en CDI à pourvoir immédiatement   Infos complémentaires : Rémunération envisagée : selon profil Lieu: Paris 3ème   Modalités : Merci d’envoyer CV+ LM …

31 août 2021Annoncesannonces
Bravo à nos adhérents pour leurs sélections obtenues à Séries Mania et au Festival de la Fiction !

Ces sélections illustrent la vitalité constante et le dynamisme de la production française indépendante en séries et unitaires de fiction.

Sélections Séries Mania :

>> Nouvelles saisons inédites :

Les Engagés : XAOC de Sullivan Le Postec

ASTHARTÉ ET COMPAGNIE

Mytho (saison 2) de Fabrice Gobert

UNITÉ

>> Nuits des comédies :

Les tribulations de Georges et Fernand de Olivier Riche, David Merlin-Dufey

DUNK FILMS

Sélections en compétition du Festival de la Fiction de La Rochelle :

>> Sélection Unitaires :

Clèves de Rodolphe Tissot

AVENUE B PRODUCTION

Qu’est-ce qu’on va faire de Jacques ? de Marie Garel-Weiss

24 MAI PRODUCTION

La vengeance en triple galop d’Alex Lutz

SUPERMOUCHE PRODUCTION

>> Sélection Séries de 26 minutes :

Stalk (Saison 2) de Rémi Silk Binisti

SILEX FILMS

>> Sélection Séries de 52 minutes :

Balthazar (Saison 4) de Franck Brett

BEAUBOURG STORIES

Ces sélections illustrent la vitalité constante et le dynamisme de la production française indépendante en séries et unitaires de fiction. Sélections Séries Mania : >> Nouvelles saisons inédites : Les Engagés : XAOC de Sullivan Le Postec ASTHARTÉ ET COMPAGNIE Mytho (saison 2) de Fabrice Gobert UNITÉ >> Nuits des comédies : Les tribulations de Georges et Fernand de Olivier Riche, David Merlin-Dufey DUNK FILMS Sélections en compétition du Festival de la Fiction de La Rochelle : >> Sélection Unitaires : Clèves de Rodolphe Tissot AVENUE B PRODUCTION Qu’est-ce qu’on va faire de Jacques ? de Marie Garel-Weiss 24 MAI PRODUCTION La vengeance en triple galop d’Alex Lutz SUPERMOUCHE PRODUCTION >> Sélection Séries de 26 minutes : Stalk (Saison 2) de Rémi Silk Binisti SILEX FILMS >> Sélection Séries de 52 minutes : Balthazar (Saison 4) de Franck Brett BEAUBOURG …

26 août 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite vivement ses adhérents pour le soutien obtenu à l’occasion du « Choc de modernisation » du CNC

Les studios d’animation Foliascope et Gao Shan Pictures ont reçu le soutien du CNC dans le cadre du « Choc de modernisation de l’appareil de production », respectivement pour leurs projets intitulés « Sustainable stopmotion studio 2.0 » et « Extension virtualisée d’un studio d’animation ».

Cette mesure mise en place par le CNC, dans le cadre du plan de relance, permet d’accompagner la modernisation numérique et durable de l’appareil de production, en Métropole et en Outre-mer. 

Le SPI est particulièrement sensible à l’égalité des chances données aux projets quel que soit leur lieu d’établissement. Les producteurs doivent être soutenus sur l’ensemble du territoire français afin de faire vivre les talents et le tissu industriel de notre secteur dans la perspective d’un rayonnement international renforcé.

Le SPI appuie par ailleurs la démarche du CNC en matière d’écoresponsabilité. Conscients des enjeux liés à la transition écologique et énergétique du secteur, qui nous concerne toutes et tous en tant que chefs d’entreprises et citoyens, les producteurs et productrices du SPI ont souhaité la mise en place d’un groupe de travail interne pour réfléchir à ces questions.  Ces travaux permettront aux quatre collèges du SPI (animation, audiovisuel, court métrage et long métrage) de formuler des propositions destinées à inciter les acteurs de la production à de meilleures pratiques et également à accompagner le plan “Action ! Pour une politique publique de transition écologique et énergétique dans les secteurs du cinéma, de l’audiovisuel et de l’image animée” du CNC. 

Les studios d’animation Foliascope et Gao Shan Pictures ont reçu le soutien du CNC dans le cadre du « Choc de modernisation de l’appareil de production », respectivement pour leurs projets intitulés « Sustainable stopmotion studio 2.0 » et « Extension virtualisée d’un studio d’animation ». Cette mesure mise en place par le CNC, dans le cadre du plan de relance, permet d’accompagner la modernisation numérique et durable de l’appareil de production, en Métropole et en Outre-mer.  Le SPI est particulièrement sensible à l’égalité des chances données aux projets quel que soit leur lieu d’établissement. Les producteurs doivent être soutenus sur l’ensemble du territoire français afin de faire vivre les talents et le tissu industriel de notre secteur dans la perspective d’un rayonnement international renforcé. Le SPI appuie par ailleurs la démarche du CNC en matière d’écoresponsabilité. Conscients des enjeux liés à la transition écologique et énergétique du secteur, qui nous concerne toutes et tous en tant que chefs d’entreprises et citoyens, les producteurs et productrices du SPI ont souhaité la mise en place d’un groupe de travail interne pour réfléchir à ces questions.  Ces travaux permettront aux quatre collèges du SPI (animation, audiovisuel, court métrage et long métrage) de formuler des propositions destinées à inciter les acteurs de la production à de meilleures pratiques et également à accompagner le plan “Action ! Pour une politique publique de transition écologique et énergétique dans les secteurs du cinéma, de l’audiovisuel et de l’image animée” du …

23 juillet 2021Actus-SPIactus-spi
La présence du SPI au 74ème Festival international du Film de Cannes (du 6 au 17 juillet 2021)

Le Pavillon du SPI au Village International (Riviera n° 103) a accueilli chaque jour des événements spécifiques réservés à nos adhérents, et des rendez-vous ou interviews presse pour les producteurs du SPI présents à Cannes. Programme chargé sur lequel nous revenons en photos…

Nous avons notamment reçu…

*Mercredi 7 juillet – à 14h30 : Rencontre du SPI avec les filiales Cinéma et Distribution de M6

*Jeudi 8 juillet – à 10h30 : Rencontre avec Manuel Alduy et filiales Cinéma de France Télévisions & à 14h30 rencontre avec Laurent Hassid pour CANAL +

*Vendredi 9 juillet – à 14h30 : Table-ronde du SPI sur la Transition écologique et énergétique de la filière Cinéma avec Mari Jo Winkler-Ioffreda et Corinne Weber (PGA Green, Poductrices de Stillwater), Michel Gomez (Mission Cinéma de la Ville de Paris), Baptiste Heynemann (CST, Ecoprod), Ilan Urroz (Foliascope) et Louise Lebecq (SPI)

*Samedi 10 juillet – à 14h30 : Rencontre du SPI avec l’équipe d’OCS

*Dimanche 11 juillet : Journée européenne

– 14h30 avec Juliette Prissard, Déléguée générale d’Eurocinéma

– à 15h30 : Rencontre avec Margaux Lacoste (Europe Creative et Programme Médias)

– à 16h30 : Rencontre avec Thierry Hugot et Iris Cadoux (Eurimages)

*Lundi 12 juillet – à 10h30 : Rencontre SPI Animation (table-ronde) “Le Financement spécifique de l’animation” et de 17h00 à 21h30 : Gros succès le lundi soir pour le traditionnel Cocktail du SPI, réalisé sur notre Pavillon… Qui a accueilli environ 200 personnes au total.

*Mardi 13 juillet – à 14h30 : Rencontre SPI-CNC (Magali Valente, Mathieu Fournet) et à 16h30 : Rencontre SPI Court-métrage : “Le passage du Court au Long”

La terrasse du SPI

Le Pavillon et la terrasse ont également été ouverts pendant tout le Festival pour accueillir les producteurs présents à Cannes qui souhaitaient y organiser leurs rendez-vous professionnels ou rencontres avec des journalistes ou institutionnels. Nous avons ainsi pu y recevoir de manière informelle les responsables du CNC, de France Télévisions, d’AUDIENS, des Syndicats de salariés, des autres Syndicats de Producteurs, du Ministère de la Culture, du Ministère de l’Europe et des affaires étrangères, du Ministère des Armées, de France Média Monde, d’Unifrance, de la SCAM, de la SACD, de l’Union Européenne… Et des films comme Freda ou H6, en compétition officielle, y ont organisé rencontres presse, photocall, interview télévisées…

Un grand merci collectif à l’équipe SPI – Cannes 2021, Equipe Billetterie Anne-Sophie et Laurie, Equipe Pavillon Brahim et Romain.

Le Pavillon du SPI au Village International (Riviera n° 103) a accueilli chaque jour des événements spécifiques réservés à nos adhérents, et des rendez-vous ou interviews presse pour les producteurs du SPI présents à Cannes. Programme chargé sur lequel nous revenons en photos… Nous avons notamment reçu… *Mercredi 7 juillet – à 14h30 : Rencontre du SPI avec les filiales Cinéma et Distribution de M6 *Jeudi 8 juillet – à 10h30 : Rencontre avec Manuel Alduy et filiales Cinéma de France Télévisions & à 14h30 rencontre avec Laurent Hassid pour CANAL + *Vendredi 9 juillet – à 14h30 : Table-ronde du SPI sur la Transition écologique et énergétique de la filière Cinéma avec Mari Jo Winkler-Ioffreda et Corinne Weber (PGA Green, Poductrices de Stillwater), Michel Gomez (Mission Cinéma de la Ville de Paris), Baptiste Heynemann (CST, Ecoprod), Ilan Urroz (Foliascope) et Louise Lebecq (SPI) *Samedi 10 juillet – à 14h30 : Rencontre du SPI avec l’équipe d’OCS *Dimanche 11 juillet : Journée européenne – 14h30 avec Juliette Prissard, Déléguée générale d’Eurocinéma – à 15h30 : Rencontre avec Margaux Lacoste (Europe Creative et Programme Médias) – à 16h30 : Rencontre avec Thierry Hugot et Iris Cadoux (Eurimages) *Lundi 12 juillet – à 10h30 : Rencontre SPI Animation (table-ronde) “Le Financement spécifique de l’animation” et de 17h00 à 21h30 : Gros succès le lundi soir pour le traditionnel Cocktail du SPI, réalisé sur notre Pavillon… Qui a accueilli environ 200 personnes au total. *Mardi 13 juillet – à 14h30 : Rencontre SPI-CNC (Magali Valente, Mathieu Fournet) et à 16h30 : Rencontre SPI Court-métrage : “Le passage du Court au Long” La terrasse du SPI Le Pavillon et la terrasse ont également été ouverts pendant tout le Festival pour accueillir les producteurs présents à Cannes qui souhaitaient y organiser leurs rendez-vous professionnels ou rencontres avec des journalistes ou institutionnels. Nous avons ainsi pu y recevoir de manière informelle les responsables du CNC, de France Télévisions, d’AUDIENS, des Syndicats de salariés, des autres Syndicats de Producteurs, du Ministère de la Culture, du Ministère de l’Europe et des affaires étrangères, du Ministère des Armées, de France Média Monde, d’Unifrance, de la SCAM, de la SACD, de l’Union Européenne… Et des films comme Freda ou H6, en compétition officielle, y ont organisé rencontres presse, photocall, interview télévisées… Un grand merci collectif à l’équipe SPI – Cannes 2021, Equipe Billetterie Anne-Sophie et Laurie, Equipe Pavillon Brahim et …

22 juillet 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire (version : juillet 2021)

Les partenaires sociaux de la production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire ont actualisé le « Guide de préconisations sanitaires pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » dans le cadre des comités centraux d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) de branche.

L’expérience a démontré que ce guide s’est avéré utile aux productions pour les accompagner dans l’organisation de leurs tournages. Cette nouvelle version tient compte des dernières évolutions des textes réglementaires, des recommandations du ministère du travail et des autorités sanitaires (notamment : décret n° 2021-699 du 1er juin 2021, dernière version : 20 juillet 2021, et protocole national, dernière version : 30 juin 2021)

Ce guide constitue un socle commun de prévention spécifique à l’activité de production ; il est une déclinaison opérationnelle de l’obligation de sécurité de l’employeur et complémentaire aux dispositions nationales (notamment le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise publié par le ministère du travail).

Ses différents chapitres vous proposent des recommandations organisationnelles et sanitaires et des pistes de réflexion vous permettant d’anticiper les questions que peuvent poser le lancement d’un nouveau projet ou la reprise d’une activité.

Toutes les préconisations doivent être adaptées au cas par cas à chaque projet en fonction des effectifs, de l’environnement de travail, de la nature des activités, etc. 

Un addendum complète cette nouvelle version du guide pour vous permettre d’identifier les évolutions majeures.

Ressources utiles :

Coordonnées des médecins du travail référents (CMB) :

Coordonnées des délégués des CCHSCT :

Les partenaires sociaux de la production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire ont actualisé le « Guide de préconisations sanitaires pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » dans le cadre des comités centraux d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) de branche. L’expérience a démontré que ce guide s’est avéré utile aux productions pour les accompagner dans l’organisation de leurs tournages. Cette nouvelle version tient compte des dernières évolutions des textes réglementaires, des recommandations du ministère du travail et des autorités sanitaires (notamment : décret n° 2021-699 du 1er juin 2021, dernière version : 20 juillet 2021, et protocole national, dernière version : 30 juin 2021).  Ce guide constitue un socle commun de prévention spécifique à l’activité de production ; il est une déclinaison opérationnelle de l’obligation de sécurité de l’employeur et complémentaire aux dispositions nationales (notamment le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise publié par le ministère du travail). Ses différents chapitres vous proposent des recommandations organisationnelles et sanitaires et des pistes de réflexion vous permettant d’anticiper les questions que peuvent poser le lancement d’un nouveau projet ou la reprise d’une activité. Toutes les préconisations doivent être adaptées au cas par cas à chaque projet en fonction des effectifs, de l’environnement de travail, de la nature des activités, etc.  Un addendum complète cette nouvelle version du guide pour vous permettre d’identifier les évolutions majeures. Ressources utiles : Coordonnées des médecins du travail référents (CMB) : Médecin coordinateur : Dr Claude David Markus CD.MARKUS@cmb.asso.fr Médecin référent cinéma : Dr Marie Christine Tran MC.TRAN@cmb.asso.fr Médecin référent audiovisuel : Dr Vy Sock V.SOCK@cmb.asso.fr Coordonnées des délégués des CCHSCT : CCHSCT Cinéma : M. Didier Carton didier.carton@cchscinema.org  CCHSCT Audiovisuel : Mme Ghania Tabourga …

20 juillet 2021Actus-SPIactus-spi
Palmarès Festival de Cannes 2021

Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus en Sélection Officielle du 74ème Festival de Cannes (6-17 juillet 2021), que ce soit en compétition ou hors compétition ainsi que dans les sélections parallèles.

COMPÉTITION OFFICIELLE :

  • Longs métrages :

*Palme d’or 

Titane de Julia Ducournau / KAZAK PRODUCTIONS

*Prix de la Mise en Scène

Annette de Leos Carax / CG CINÉMA

*Prix du Jury 

Ha’berech (Le Genou d’Ahed) de Nadav Lapid / LES FILMS DU BAL

COMPÉTITIONS PARALLÈLES :

  • Quinzaine des Réalisateurs 

*Label Europa Cinemas du meilleur film européen

A Chiara de Jonas Carpignano / HAUT ET COURT

  • Semaine de la Critique 

*Prix Fondation Gan à la Diffusion

Rien à foutre de Julie Lecoustre et Emmanuel Marre / KIDAM

*Prix SACD

Olga de Elie Grappe / CINEMA DEFACTO

  • Prix UniFrance du court métrage

*Prix spécial du jury

Horacio de Caroline Cherrier / IKKI FILMS

*Mention spéciale du jury et Mention spéciale du jury des jeunes professionnels

Haut les cœurs de Adrian Moyse Dullin / PUNCHLINE CINEMA

*Mention spéciale du jury

Le Bain d’Anissa Daoud / LA LUNA PRODUCTIONS

*Prix Grand Action et prix RTBF

L’Inspection de Caroline Brami et Frédéric Bas / GOGOGO FILMS

*Prix du jury des jeunes et Prix Movistar+

Le Monde en soi de Sandrine Stoïanov et Jean-Charles Finck / CAÏMANS PRODUCTIONS

Autres Prix :  

*Œil d’Or de la Scam

 A night of knowing nothing de Payal Kapadia / PETIT CHAOS

*Mention spéciale du jury du prix des cinémas Art et Essai décerné par l’AFCAE

La Fracture de Catherine Corsini / CHAZ PRODUCTIONS

*Prix du cinéma positif 

Haut et Fort de Nabil Ayouch / UNITÉ DE PRODUCTION

*Queer Palm

La Fracture de Catherine Corsini / CHAZ PRODUCTIONS

*Prix de la meilleure expérience interactive – CANNES XR

The Hangman at Home de Michelle et Uri Kranot / FLORÉAL FILMS & MIYU PRODUCTIONS

*25ème prix François Chalais, « Mention découverte»

Freda de Gessica Généus / SANOSI PRODUCTIONS

Tous ces prix remportés par les producteurs indépendants français nous honorent à l’issue d’une année si exceptionnellement difficile pour toute la filière de la création. 

Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus en Sélection Officielle du 74ème Festival de Cannes (6-17 juillet 2021), que ce soit en compétition ou hors compétition ainsi que dans les sélections parallèles. COMPÉTITION OFFICIELLE : Longs métrages : *Palme d’or  Titane de Julia Ducournau / KAZAK PRODUCTIONS *Prix de la Mise en Scène Annette de Leos Carax / CG CINÉMA *Prix du Jury  Ha’berech (Le Genou d’Ahed) de Nadav Lapid / LES FILMS DU BAL COMPÉTITIONS PARALLÈLES : Quinzaine des Réalisateurs  *Label Europa Cinemas du meilleur film européen A Chiara de Jonas Carpignano / HAUT ET COURT Semaine de la Critique  *Prix Fondation Gan à la Diffusion Rien à foutre de Julie Lecoustre et Emmanuel Marre / KIDAM *Prix SACD Olga de Elie Grappe / CINEMA DEFACTO Prix UniFrance du court métrage *Prix spécial du jury Horacio de Caroline Cherrier / IKKI FILMS *Mention spéciale du jury et Mention spéciale du jury des jeunes professionnels Haut les cœurs de Adrian Moyse Dullin / PUNCHLINE CINEMA *Mention spéciale du jury Le Bain d’Anissa Daoud / LA LUNA PRODUCTIONS *Prix Grand Action et prix RTBF L’Inspection de Caroline Brami et Frédéric Bas / GOGOGO FILMS *Prix du jury des jeunes et Prix Movistar+ Le Monde en soi de Sandrine Stoïanov et Jean-Charles Finck / CAÏMANS PRODUCTIONS Autres Prix :   *Œil d’Or de la Scam  A night of knowing nothing de Payal Kapadia / PETIT CHAOS *Mention spéciale du jury du prix des cinémas Art et Essai décerné par l’AFCAE La Fracture de Catherine Corsini / CHAZ PRODUCTIONS *Prix du cinéma positif  Haut et Fort de Nabil Ayouch / UNITÉ DE PRODUCTION *Queer Palm La Fracture de Catherine Corsini / CHAZ PRODUCTIONS *Prix de la meilleure expérience interactive – CANNES XR The Hangman at Home de Michelle et Uri Kranot / FLORÉAL FILMS & MIYU PRODUCTIONS *25ème prix François Chalais, « Mention découverte» Freda de Gessica Généus / SANOSI PRODUCTIONS Tous ces prix remportés par les producteurs indépendants français nous honorent à l’issue d’une année si exceptionnellement difficile pour toute la filière de la …

19 juillet 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
OFFRE D’EMPLOI COORDINATEUR DES PRODUCTIONS (H/F)

Sous la direction de la directrice administrative et financière, le coordinateur des productions aura pour principales missions transversales au groupe : La gestion et le suivi des Fonds de soutien CNC

Le dépôt des demandes d’autorisation préalable et définitive CNC et Crédit d’impôts Dépôt de dossiers de demande de subvention

La gestion et le suivi administratifs des appels d’offres Redditions de comptes RNPP aux ayants-droit : saisie dans le logiciel DABAZ des relevés d’exploitations des distributeurs et préparation des reversements aux ayants droits.

Déclarations Procirep, Angoa, Screenrights et autres sociétés de gestion collective internationales DABAZ : veille à la bonne tenue des projets et productions sur DABAZ Facturation clients du Groupe

5 ans d’expérience minimum dans le secteur audiovisuel Maîtrise de Word et Excel, la connaissance de Dabaz serait un plus.

Bon niveau d’anglais écrit Qualités d’organisation, de rigueur, de réactivité et de gestion des priorités

Aisance relationnelle, esprit d’équipe Appétence pour le documentaire, la fiction, le spectacle vivant et la réalité virtuelle.

Poste en CDI à pourvoir immédiatement, Rémunération envisagée : selon profil + 50% pass Navigo +TR Lieu : Paris 11ème

Merci d’envoyer CV + LM : cdelaunay@cameralucida.fr  

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Sous la direction de la directrice administrative et financière, le coordinateur des productions aura pour principales missions transversales au groupe : La gestion et le suivi des Fonds de soutien CNC Le dépôt des demandes d’autorisation préalable et définitive CNC et Crédit d’impôts Dépôt de dossiers de demande de subvention La gestion et le suivi administratifs des appels d’offres Redditions de comptes RNPP aux ayants-droit : saisie dans le logiciel DABAZ des relevés d’exploitations des distributeurs et préparation des reversements aux ayants droits. Déclarations Procirep, Angoa, Screenrights et autres sociétés de gestion collective internationales DABAZ : veille à la bonne tenue des projets et productions sur DABAZ Facturation clients du Groupe 5 ans d’expérience minimum dans le secteur audiovisuel Maîtrise de Word et Excel, la connaissance de Dabaz serait un plus. Bon niveau d’anglais écrit Qualités d’organisation, de rigueur, de réactivité et de gestion des priorités Aisance relationnelle, esprit d’équipe Appétence pour le documentaire, la fiction, le spectacle vivant et la réalité virtuelle. Poste en CDI à pourvoir immédiatement, Rémunération envisagée : selon profil + 50% pass Navigo +TR Lieu : Paris 11ème Merci d’envoyer CV + LM : cdelaunay@cameralucida.fr   TÉLÉCHARGER …

1 juillet 2021Annoncesannonces
Sous loue Bureaux partagés – Paris/Bastille – 40m2 + espaces communs

Dans grand espace partagé de 120 M2 avec belle hauteur sous plafond, entièrement rénové en 2020, au coeur du quartier de Bastille, nous sous-louons un espace de 40 m2 (4 à 6 postes) + espaces communs disponibles (entrée, salle de réunion, wc/point d’eau et kitchenette équipée). Loyer CC incluses (dont EDF, Assurance & Ménage) : 1 250 € HT. Possibilité de partager Internet Haut-débit, imprimante laser Samsung toutes fonctions. Contacter Les Films du Cygne : 01 47 00 17 03 – info@lesfilmsducygne.com (Jonathan ou Alexandre)  

Dans grand espace partagé de 120 M2 avec belle hauteur sous plafond, entièrement rénové en 2020, au coeur du quartier de Bastille, nous sous-louons un espace de 40 m2 (4 à 6 postes) + espaces communs disponibles (entrée, salle de réunion, wc/point d’eau et kitchenette équipée). Loyer CC incluses (dont EDF, Assurance & Ménage) : 1 250 € HT. Possibilité de partager Internet Haut-débit, imprimante laser Samsung toutes fonctions. Contacter Les Films du Cygne : 01 47 00 17 03 – info@lesfilmsducygne.com (Jonathan ou Alexandre) …

29 juin 2021Annoncesannonces
Bravo à nos lauréats du Sunny Side of the Doc et des Étoiles de la Scam !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus à la 32ème édition du Sunny Side of the Doc ainsi qu’aux Étoiles de la Scam.

En documentaire comme en narration immersive, les membres du SPI illustrent la vitalité de la création indépendante.

32ème édition du Sunny Side of the Doc :

> Prix du meilleur pitch Science

Music’s superpowers de Jacques Mitsch / CPB FILMS

> Grand Prix PIXII

Lady Sapiens, l’expérience (VR) de Camille Duvelleroy / LITTLE BIG STORY

> Meilleur Talent hub Women in doc

Faire corps de Noëlie Giraud / LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE

> Prix Jackson Wild

Our forest de Marc Dozier, Jérôme Bouvier, Quincy Russell, Hamid Sardar-Hafkhami, Mike Magidson / LATO SENSU PRODUCTIONS

Étoiles de la Scam 2021 :

Au-delà des mers, rêves de théâtre de Marie Maffre / DAY FOR NIGHT PRODUCTIONS

Celui qui danse d’Olivier Lemaire / AGAT FILMS & CIE

De cendres et de braises de Manon Ott / TS PRODUCTIONS

Il n’y aura plus de nuit d’Eléonore Weber / PERSPECTIVE FILMS

Invisibles, les travailleurs du clic d’Henri Poulain / STORY CIRCUS

Mille fois recommencer de Daniela de Felice / ALTER EGO PRODUCTION

Ne croyez surtout pas que je hurle de Frank Beauvais / LES FILMS DU BELIER & LES FILMS HATARI

Parler avec les morts de Taina Tervonen / TS PRODUCTIONS

Que l’amour de Laétitia Mikles / ALTER EGO PRODUCTION

Renault 12 de Mohamed El Khatib / LES FILMS D’ICI

Le Temps des ouvriers – 3. Le Temps à la chaîne (1880-1935) de Stan Neumann / LES FILMS D’ICI

Un été à la Garoupe de François Lévy-Kuentz / MELISANDE FILMS

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus à la 32ème édition du Sunny Side of the Doc ainsi qu’aux Étoiles de la Scam. En documentaire comme en narration immersive, les membres du SPI illustrent la vitalité de la création indépendante. 32ème édition du Sunny Side of the Doc : > Prix du meilleur pitch Science Music’s superpowers de Jacques Mitsch / CPB FILMS > Grand Prix PIXII Lady Sapiens, l’expérience (VR) de Camille Duvelleroy / LITTLE BIG STORY > Meilleur Talent hub Women in doc Faire corps de Noëlie Giraud / LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE > Prix Jackson Wild Our forest de Marc Dozier, Jérôme Bouvier, Quincy Russell, Hamid Sardar-Hafkhami, Mike Magidson / LATO SENSU PRODUCTIONS Étoiles de la Scam 2021 : Au-delà des mers, rêves de théâtre de Marie Maffre / DAY FOR NIGHT PRODUCTIONS Celui qui danse d’Olivier Lemaire / AGAT FILMS & CIE De cendres et de braises de Manon Ott / TS PRODUCTIONS Il n’y aura plus de nuit d’Eléonore Weber / PERSPECTIVE FILMS Invisibles, les travailleurs du clic d’Henri Poulain / STORY CIRCUS Mille fois recommencer de Daniela de Felice / ALTER EGO PRODUCTION Ne croyez surtout pas que je hurle de Frank Beauvais / LES FILMS DU BELIER & LES FILMS HATARI Parler avec les morts de Taina Tervonen / TS PRODUCTIONS Que l’amour de Laétitia Mikles / ALTER EGO PRODUCTION Renault 12 de Mohamed El Khatib / LES FILMS D’ICI Le Temps des ouvriers – 3. Le Temps à la chaîne (1880-1935) de Stan Neumann / LES FILMS D’ICI Un été à la Garoupe de François Lévy-Kuentz / MELISANDE …

25 juin 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI au Sunny Side – Conférence de presse : “Documentaire Année Zéro, la relance”

Ce midi s’est tenue la conférence de presse du SPI dans le cadre de l’édition numérique du Sunny Side of the Doc

Le SPI a fait des propositions pour lancer un plan de relance général du documentaire.

#DocumentaireAnneeZero C’est parti !

Ce midi s’est tenue la conférence de presse du SPI dans le cadre de l’édition numérique du Sunny Side of the Doc Le SPI a fait des propositions pour lancer un plan de relance général du documentaire. #DocumentaireAnneeZero C’est parti …

23 juin 2021Actus-SPIactus-spi
PRESENTATION SUPPORT – Conférence SPI et USPA au Sunny Side : “Alerte sur le Documentaire de Création !”

Téléchargez la présentation support de la conférence de presse SPI et USPA qui s’est tenue le mardi 22 juin 2021 dans le cadre du Sunny Side of the Doc en cliquant ici.

Téléchargez la présentation support de la conférence de presse SPI et USPA qui s’est tenue le mardi 22 juin 2021 dans le cadre du Sunny Side of the Doc en cliquant …

22 juin 2021Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs et productrices pour les prix obtenus à l’occasion du Festival international du film d’animation d’Annecy 2021
  • Longs métrages :

Prix du jury

Ma famille afghane de Michaela PAVLÁTOVÁ – SACREBLEU PRODUCTIONS 

Mention du jury

La Traversée de Florence MIAILHE –  XBO FILMS

  • Courts métrages :

Prix du jury

Easter Egg de Nicolas KEPPENSMIYU PRODUCTIONS

 Prix “Jean-Luc Xiberras” de la première œuvre

Hold Me Tight de Mélanie ROBERT-TOURNEURLA CLAIRIERE PRODUCTIONS

  • Films de télévision et de commande :

Prix du jury pour un spécial TV

Maman pleut des cordes de Hugo DE FAUCOMPRETLAÏDAK FILMS

  • Prix spéciaux :

Prix André-Martin pour un court métrage français

Maalbeek d’Ismaël Joffroy CHANDOUTISFILMS GRAND HUIT

Prix André-Martin pour un long métrage français

L’Extraordinaire Voyage de Marona d’Anca DAMIAN SACREBLEU PRODUCTIONS

Prix de la meilleure musique originale, avec le soutien de la SACEM, dans la catégorie courts métrages

Le Réveil des insectes de Stéphanie LANSAQUE et François LEROYOFFSHORE

Prix du jury junior CANAL+

Un caillou dans la chaussure d’Éric MONTCHAUD – XBO FILMS

Lauréats des pitchs MIFA

·      Longs métrages :

 Prix Cristal Publishing

Flow de Gints ZILBALODISSACREBLEU PRODUCTIONS

Prix Ciclic

In Waves de Phuong Mai NGUYENSILEX FILMS

Prix Ciclic

Porcelain Birds de Max PORTER et Ru KUWAHATAMIYU PRODUCTIONS

Prix TitraFilm

Sidi Kaba et la Porte du retour de Rony HOTINSPECIAL TOUCH STUDIOS

              

·      Courts métrages :

Prix Arte France

Gigi de Cynthia CALVIXBO FILMS

Prix SACD

Sulaimani de Vinnie BOSEGIRELLE PRODUCTION

          

·      Séries et spéciaux TV :

Prix Studios Alhambra

Prix TitraFilm

L’Ourse et l’Oiseau de Marie CAUDRYMIYU PRODUCTIONS

            

 Prix Ciclic

 Prix TitraFilm

Pour exister de Fabien CORRE et Kelsi PHUNG – LES ASTRONAUTES

Longs métrages : Prix du jury Ma famille afghane de Michaela PAVLÁTOVÁ – SACREBLEU PRODUCTIONS  Mention du jury La Traversée de Florence MIAILHE –  XBO FILMS Courts métrages : Prix du jury Easter Egg de Nicolas KEPPENS – MIYU PRODUCTIONS  Prix “Jean-Luc Xiberras” de la première œuvre Hold Me Tight de Mélanie ROBERT-TOURNEUR – LA CLAIRIERE PRODUCTIONS Films de télévision et de commande : Prix du jury pour un spécial TV Maman pleut des cordes de Hugo DE FAUCOMPRET – LAÏDAK FILMS Prix spéciaux : Prix André-Martin pour un court métrage français Maalbeek d’Ismaël Joffroy CHANDOUTIS – FILMS GRAND HUIT Prix André-Martin pour un long métrage français L’Extraordinaire Voyage de Marona d’Anca DAMIAN –  SACREBLEU PRODUCTIONS Prix de la meilleure musique originale, avec le soutien de la SACEM, dans la catégorie courts métrages Le Réveil des insectes de Stéphanie LANSAQUE et François LEROY – OFFSHORE Prix du jury junior CANAL+ Un caillou dans la chaussure d’Éric MONTCHAUD – XBO FILMS Lauréats des pitchs MIFA ·      Longs métrages :  Prix Cristal Publishing Flow de Gints ZILBALODIS – SACREBLEU PRODUCTIONS Prix Ciclic In Waves de Phuong Mai NGUYEN – SILEX FILMS Prix Ciclic Porcelain Birds de Max PORTER et Ru KUWAHATA – MIYU PRODUCTIONS Prix TitraFilm Sidi Kaba et la Porte du retour de Rony HOTIN – SPECIAL TOUCH STUDIOS                ·      Courts métrages : Prix Arte France Gigi de Cynthia CALVI – XBO FILMS Prix SACD Sulaimani de Vinnie BOSE – GIRELLE PRODUCTION            ·      Séries et spéciaux TV : Prix Studios Alhambra Prix TitraFilm L’Ourse et l’Oiseau de Marie CAUDRY – MIYU PRODUCTIONS               Prix Ciclic  Prix TitraFilm Pour exister de Fabien CORRE et Kelsi PHUNG – LES …

21 juin 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs 52 nominations en Sélection Officielle du 74ème Festival de Cannes (6-17 juillet 2021), que ce soit en Compétition ou Hors compétition (Un certain Regard, Cannes Premières, Le cinéma pour le climat), et dans les sélections parallèles, Semaine de la critique, Quinzaine des réalisateurs et ACID !

COMPETITION OFFICIELLE

Longs

Annette de Leos Carax (CG Cinéma)

Bergman Island de Mia Hansen-Love (CG Cinéma)

Ha’berech (Le Genou d’Ahed) de Nadav Lapid (Les Films du Bal)

Haut et Fort de Nabil Ayouch (Unité de Production)

La Fracture de Catherine Corsini (CHAZ Productions)

Lingui, les liens sacrés de Mahamat-Saleh Haroun (Pili Films)

France de Bruno Dumont (3B Productions) 

Titane de Julia Ducournau (Kazak Productions)

Courts

Haut les Cœurs d’Adrian Moyse Dullin (Punchline Cinéma)

Sidéral de Carlos Segundo (Les Valseurs)

UN CERTAIN REGARD

Onoda – 10 000 nuits dans la jungle d’Arthur Harari (To Be Continued)

Freda de Gessica Généus (SaNoSi Productions)

Et il y eut un matin d’Eran Kolirin (Les Films Du Poisson)

Séances spéciales

Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (Unité de Production)

CANNES PREMIERES

Serre-moi fort de Mathieu Amalric (Les Films Du Poisson)

Tromperie d’Arnaud Desplechin (Why Not Productions)

Séances spéciales

H6 de Yé Yé (SaNoSi Productions)

Le marin des montagnes de Karim Aïnouz (MPM Film)

Les Héroïques de Maxime Roy (TS Productions)

CINEMA POUR LE CLIMAT

La Croisade de Louis Garrel (Why Not Productions)

Marcher sur l’eau d’Aïssa Maïga (Bonne Pioche Cinéma)

I Am So Sorry de Zhao Liang (Les Films d’Ici)

Bigger Than Us de Flore Vasseur (Elzévir Films)

La Panthère des neiges de Marie Amiguet (Le Bureau Films)

SEMAINE DE LA CRITIQUE

Longs

Les amours d’Anaïs de Charline Bourgeois-Tacquet (LFP- Les Films Pelléas)

Olga de Elie Grappe (Cinéma Defacto)

Rien à foutre de Julie Lecoustre et Emmanuel Marre (Kidam)

Bruno Reidal de Vincent Le Port (Capricci Films)

Petite nature de Samuel Theis (Avenue B Productions)

Une histoire d’amour et de désir de Leïla Bouzid (Blue Monday Productions)

Courts

Noir Soleil de Marie Larrivé (Respiro Productions)

Soldat Noir de Limmy Laporal-Tresor (Agat Films)

QUINZAINE DES REALISATEURS

Longs

A Chiara de Jonas Carpignano (Haut et Court)

Clara Sola de Nathalie Alvarez Mesen (Laïdak Films)

De bas étage de Yassine Qnia (Why Not Productions)

L’employeur et l’employé de Manuel Nieto Zas (Paraiso Production)

Entre les vagues d’Anaïs Volpé (Unité de production)

La Colline où rugissent les lionnes de Luana Bajrami (Vents contraires)

La Légende du Roi Crabe d’Alessio Rigo de Righi & Matteo Zoppis (Shellac Sud)

Neptune Frost de Saul Williams (Lizland Films)

A Night of Knowing Nothing de Payal Kapadia (Petit Chaos)

Retour à Reims (Fragments) de Jean-Gabriel Périot (Les Films de Pierre)

Face à la mer d’Ely Dagher (Andolfi Production)

Mon légionnaire de Rachel Lang (ChevalDeuxTrois)

Courts

Anxious Body de Yoriko Mizushiri (Miyu Productions)

Simone est partie de Mathilde Chavanne (Yukunkun Productions)

SELECTION ACID

Aya de Simon Coulibaly Gillard (Kidam)

Down with the King de Diego Ongaro (Moteur S’il Vous Plaît)

Ghost Song de Nicolas Peduzzi (Gogogo films)

Little Palestine, journal d’un siège, d’Abdallah Al-Khatib (Films de Force Majeure)

Soy libre de Laure Portier (Perspective Films)

ACID 2020 – Retour vers le futur

Les Affluents de Jessé Miceli (Perspective Films)

COMPETITION OFFICIELLE Longs Annette de Leos Carax (CG Cinéma) Bergman Island de Mia Hansen-Love (CG Cinéma) Ha’berech (Le Genou d’Ahed) de Nadav Lapid (Les Films du Bal) Haut et Fort de Nabil Ayouch (Unité de Production) La Fracture de Catherine Corsini (CHAZ Productions) Lingui, les liens sacrés de Mahamat-Saleh Haroun (Pili Films) France de Bruno Dumont (3B Productions)  Titane de Julia Ducournau (Kazak Productions) Courts Haut les Cœurs d’Adrian Moyse Dullin (Punchline Cinéma) Sidéral de Carlos Segundo (Les Valseurs) UN CERTAIN REGARD Onoda – 10 000 nuits dans la jungle d’Arthur Harari (To Be Continued) Freda de Gessica Généus (SaNoSi Productions) Et il y eut un matin d’Eran Kolirin (Les Films Du Poisson) Séances spéciales Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (Unité de Production) CANNES PREMIERES Serre-moi fort de Mathieu Amalric (Les Films Du Poisson) Tromperie d’Arnaud Desplechin (Why Not Productions) Séances spéciales H6 de Yé Yé (SaNoSi Productions) Le marin des montagnes de Karim Aïnouz (MPM Film) Les Héroïques de Maxime Roy (TS Productions) CINEMA POUR LE CLIMAT La Croisade de Louis Garrel (Why Not Productions) Marcher sur l’eau d’Aïssa Maïga (Bonne Pioche Cinéma) I Am So Sorry de Zhao Liang (Les Films d’Ici) Bigger Than Us de Flore Vasseur (Elzévir Films) La Panthère des neiges de Marie Amiguet (Le Bureau Films) SEMAINE DE LA CRITIQUE Longs Les amours d’Anaïs de Charline Bourgeois-Tacquet (LFP- Les Films Pelléas) Olga de Elie Grappe (Cinéma Defacto) Rien à foutre de Julie Lecoustre et Emmanuel Marre (Kidam) Bruno Reidal de Vincent Le Port (Capricci Films) Petite nature de Samuel Theis (Avenue B Productions) Une histoire d’amour et de désir de Leïla Bouzid (Blue Monday Productions) Courts Noir Soleil de Marie Larrivé (Respiro Productions) Soldat Noir de Limmy Laporal-Tresor (Agat Films) QUINZAINE DES REALISATEURS Longs A Chiara de Jonas Carpignano (Haut et Court) Clara Sola de Nathalie Alvarez Mesen (Laïdak Films) De bas étage de Yassine Qnia (Why Not Productions) L’employeur et l’employé de Manuel Nieto Zas (Paraiso Production) Entre les vagues d’Anaïs Volpé (Unité de production) La Colline où rugissent les lionnes de Luana Bajrami (Vents contraires) La Légende du Roi Crabe d’Alessio Rigo de Righi & Matteo Zoppis (Shellac Sud) Neptune Frost de Saul Williams (Lizland Films) A Night of Knowing Nothing de Payal Kapadia (Petit Chaos) Retour à Reims (Fragments) de Jean-Gabriel Périot (Les Films de Pierre) Face à la mer d’Ely Dagher (Andolfi Production) Mon légionnaire de Rachel Lang (ChevalDeuxTrois) Courts Anxious Body de Yoriko Mizushiri (Miyu Productions) Simone est partie de Mathilde Chavanne (Yukunkun Productions) SELECTION ACID Aya de Simon Coulibaly Gillard (Kidam) Down with the King de Diego Ongaro (Moteur S’il Vous Plaît) Ghost Song de Nicolas Peduzzi (Gogogo films) Little Palestine, journal d’un siège, d’Abdallah Al-Khatib (Films de Force Majeure) Soy libre de Laure Portier (Perspective Films) ACID 2020 – Retour vers le futur Les Affluents de Jessé Miceli (Perspective …

18 juin 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
RECHERCHE LOCATION OU SOUS LOCATION BUREAUX

Nous cherchons de nouveaux locaux pour la société Elda productions. Nous avons besoin de 3 ou 4 postes de travail + accès partagé imprimante/scan et si possible espace cuisine et réunion à partir du 15 juillet 2021. Idéalement :  République, Oberkampf, bastille, Grands Boulevards. 75010 / 75009 / 75003 / 75011.

Contact Elda productions : codelpech23@gmail.com / 06 62 51 17 12

Nous cherchons de nouveaux locaux pour la société Elda productions. Nous avons besoin de 3 ou 4 postes de travail + accès partagé imprimante/scan et si possible espace cuisine et réunion à partir du 15 juillet 2021. Idéalement :  République, Oberkampf, bastille, Grands Boulevards. 75010 / 75009 / 75003 / 75011. Contact Elda productions : codelpech23@gmail.com / 06 62 51 17 …

9 juin 2021Annoncesannonces
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs nominations en Sélection Officielle du 74ème Festival de Cannes en Compétition ou Hors compétition (Un certain Regard, Cannes Premières)

Sélections Cannes 2021

COMPETITION OFFICIELLE

Annette de Leos Carax produit par CG Cinéma

Bergman Island de Mia Hansen-Love produit par CG Cinéma

Ha’berech (Le Genou d’Ahed) de Nadav Lapid produit par Les Films du Bal

Haut et Fort de Nabil Ayouch produit par Unité de Production

La Fracture de Catherine Corsini produit par CHAZ Productions

Lingui de Mahamat-Saleh Haroun produit par Pili Films

France de Bruno Dumont produit par 3B Productions 

Titane de Julia Ducournau produit par Kazak Productions

UN CERTAIN REGARD

Freda de Gessica Généus produit par SaNoSi Productions 

Et il y eut un matin d’Eran Kolirin produit par Les Films Du Poisson

CANNES PREMIERES

Serre-moi fort de Mathieu Amalric produit par Les Films Du Poisson

Tromperie d’Arnaud Desplechin produit par Why Not Production

SEANCES SPECIALES

H6 de Yé Yé, produit par SaNoSi Productions

Le marin des montagnes de Karim Aïnouz produit par MPM Film

Sélections Cannes 2021 COMPETITION OFFICIELLE Annette de Leos Carax produit par CG Cinéma Bergman Island de Mia Hansen-Love produit par CG Cinéma Ha’berech (Le Genou d’Ahed) de Nadav Lapid produit par Les Films du Bal Haut et Fort de Nabil Ayouch produit par Unité de Production La Fracture de Catherine Corsini produit par CHAZ Productions Lingui de Mahamat-Saleh Haroun produit par Pili Films France de Bruno Dumont produit par 3B Productions  Titane de Julia Ducournau produit par Kazak Productions UN CERTAIN REGARD Freda de Gessica Généus produit par SaNoSi Productions  Et il y eut un matin d’Eran Kolirin produit par Les Films Du Poisson CANNES PREMIERES Serre-moi fort de Mathieu Amalric produit par Les Films Du Poisson Tromperie d’Arnaud Desplechin produit par Why Not Production SEANCES SPECIALES H6 de Yé Yé, produit par SaNoSi Productions Le marin des montagnes de Karim Aïnouz produit par MPM …

4 juin 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Résultats de l’enquête “Diagnostic-action covid-19”

Au mois de février, deux enquêtes en ligne ont été lancées par la CPNEF de l’audiovisuel, l’Afdas et le Ministère du travail afin :

  • de mesurer les conséquences de la crise sanitaire sur notre secteur ;
  • d’identifier les stratégies de relance post-covid-19 possibles ;
  • de proposer aux entreprises et aux professionnels de l’audiovisuel et du cinéma des mesures de soutien adaptées.

540 entreprises et 1684 professionnels de l’audiovisuel ont répondu à ces enquêtes (production audiovisuelle, cinématographique et d’animation, prestation technique, radiodiffusion, télédiffusion).

Cette étude permet de disposer d’un état des lieux de la situation de l’emploi dans l’audiovisuel afin d’accompagner au mieux entreprises et salariés. Six pistes d’actions ont été identifiées pour faire face à la crise, accompagner les évolutions professionnelles et assurer l’avenir dans tous les secteurs de l’audiovisuel.

Consultez le rapport complet en cliquant ici.

Consultez la synthèse de l’étude en cliquant ici.

Au mois de février, deux enquêtes en ligne ont été lancées par la CPNEF de l’audiovisuel, l’Afdas et le Ministère du travail afin : de mesurer les conséquences de la crise sanitaire sur notre secteur ; d’identifier les stratégies de relance post-covid-19 possibles ; de proposer aux entreprises et aux professionnels de l’audiovisuel et du cinéma des mesures de soutien adaptées. 540 entreprises et 1684 professionnels de l’audiovisuel ont répondu à ces enquêtes (production audiovisuelle, cinématographique et d’animation, prestation technique, radiodiffusion, télédiffusion). Cette étude permet de disposer d’un état des lieux de la situation de l’emploi dans l’audiovisuel afin d’accompagner au mieux entreprises et salariés. Six pistes d’actions ont été identifiées pour faire face à la crise, accompagner les évolutions professionnelles et assurer l’avenir dans tous les secteurs de l’audiovisuel. Consultez le rapport complet en cliquant ici. Consultez la synthèse de l’étude en cliquant …

2 juin 2021Actus-SPIactus-spi
La CEPI accueille le SPI comme nouveau membre

La CEPI, la coordination européenne des producteurs indépendants, accueille le SPI, le Syndicat des Producteurs Indépendants comme nouveau membre.

Le SPI rejoint la communauté de la CEPI qui regroupe 21 membres issus de 17 pays européens, représentant des producteurs indépendants à travers l’Europe.

Le SPI existe depuis 40 ans et désormais il rassemble près de 450 sociétés de productions indépendantes françaises (longs métrages, courts métrages, documentaires, fictions, captations de spectacles vivants, animation, VR…)

En tant que syndicat professionnel, le SPI négocie des accords globaux avec l’ensemble des partenaires des producteurs indépendants.

« Notre but est de protéger l’indépendance, la diversité et la liberté de création de nos producteurs. En rejoignant la CEPI et la coordination européenne des producteurs indépendants, le SPI prendra part au débat européen en cours, ce qui renforcera notre mission. » Déclare Emmanuelle Mauger, Déléguée générale adjointe du SPI.

« Nous sommes très heureux d’accueillir le SPI au sein de la CEPI, une communauté européenne de producteurs indépendants grandissante. En ces temps difficiles, plus que jamais il est important que les producteurs aient une voix forte pour les représenter. En rejoignant la CEPI, le SPI contribue à renforcer la voix de tous les producteurs. » Déclare Mathilde Fiquet, Secrétaire générale de la CEPI.

Bruxelles, le 1er juin 2021

La CEPI, la coordination européenne des producteurs indépendants, accueille le SPI, le Syndicat des Producteurs Indépendants comme nouveau membre. Le SPI rejoint la communauté de la CEPI qui regroupe 21 membres issus de 17 pays européens, représentant des producteurs indépendants à travers l’Europe. Le SPI existe depuis 40 ans et désormais il rassemble près de 450 sociétés de productions indépendantes françaises (longs métrages, courts métrages, documentaires, fictions, captations de spectacles vivants, animation, VR…) En tant que syndicat professionnel, le SPI négocie des accords globaux avec l’ensemble des partenaires des producteurs indépendants. « Notre but est de protéger l’indépendance, la diversité et la liberté de création de nos producteurs. En rejoignant la CEPI et la coordination européenne des producteurs indépendants, le SPI prendra part au débat européen en cours, ce qui renforcera notre mission. » Déclare Emmanuelle Mauger, Déléguée générale adjointe du SPI. « Nous sommes très heureux d’accueillir le SPI au sein de la CEPI, une communauté européenne de producteurs indépendants grandissante. En ces temps difficiles, plus que jamais il est important que les producteurs aient une voix forte pour les représenter. En rejoignant la CEPI, le SPI contribue à renforcer la voix de tous les producteurs. » Déclare Mathilde Fiquet, Secrétaire générale de la CEPI. Bruxelles, le 1er juin …

1 juin 2021Actus-SPIactus-spi
Félicitations à nos adhérents pour leurs sélections aux sessions de pitch lors de la 32è édition du Sunny Side of the Doc !!!

Catégorie : GLOBAL ISSUES

> ASIE-PACIFIQUE, LA NOUVELLE POUDRIERE d’Anne Loussouarn / Produit par Bonne Pioche Télévision

> SWINGING FIELDS de Sareen Hairabedian / Produit par Sister Productions

Catégorie : EXPERIENCES IMMERSIVES

> BLOOD SPEAKS – MAYA – THE BIRTH OF A SUPERHERO de Poulomi Basu et CJ Clarke / Produit par Floréal Films

> JEANNE, L’EFFACEE de Régine Abadia / Produit par Little Big Story

Catégorie : SCIENCE

> LA SYMPHONIE NEURONALE de Jacques Mitsch / Produit par CPB Films

> LES SECRETS ENGLOUTIS DE LA BASILIQUE de Pascal Guerin / Produit par Les Batelières Productions

> BIG JOHN de Davide Ludovisi et Dorino Minigutti / Produit par Cocottesminute Productions

Catégorie : WILDLIFE

> GARDIENS DE LA FORÊT, L’APPEL DES PEUPLES RACINES de Marc Dozier, Jérôme Bouvier, Quincy Russell, Hamid Sardar-Hafkhami et Mike Magidson / Produit par Lato Sensu Productions

Catégorie : GLOBAL ISSUES > ASIE-PACIFIQUE, LA NOUVELLE POUDRIERE d’Anne Loussouarn / Produit par Bonne Pioche Télévision > SWINGING FIELDS de Sareen Hairabedian / Produit par Sister Productions Catégorie : EXPERIENCES IMMERSIVES > BLOOD SPEAKS – MAYA – THE BIRTH OF A SUPERHERO de Poulomi Basu et CJ Clarke / Produit par Floréal Films > JEANNE, L’EFFACEE de Régine Abadia / Produit par Little Big Story Catégorie : SCIENCE > LA SYMPHONIE NEURONALE de Jacques Mitsch / Produit par CPB Films > LES SECRETS ENGLOUTIS DE LA BASILIQUE de Pascal Guerin / Produit par Les Batelières Productions > BIG JOHN de Davide Ludovisi et Dorino Minigutti / Produit par Cocottesminute Productions Catégorie : WILDLIFE > GARDIENS DE LA FORÊT, L’APPEL DES PEUPLES RACINES de Marc Dozier, Jérôme Bouvier, Quincy Russell, Hamid Sardar-Hafkhami et Mike Magidson / Produit par Lato Sensu …

27 mai 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
Assemblée Générale du SPI 2021

Le 25 mai 2021 au Forum des images, l’Assemblée Générale du SPI a eu lieu. Bilan d’une année exceptionnelle et chantier pour la relance de la production du cinéma et de l’audiovisuel. Merci à tous les adhérents pour leurs présence, dans le respect des normes sanitaires !

Le 25 mai 2021 au Forum des images, l’Assemblée Générale du SPI a eu lieu. Bilan d’une année exceptionnelle et chantier pour la relance de la production du cinéma et de l’audiovisuel. Merci à tous les adhérents pour leurs présence, dans le respect des normes sanitaires …

26 mai 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI se réjouit de voir France 4 et Culturebox relancées !

Le SPI se félicite de la décision prise par le Président de la République du maintien de la chaîne France 4 en hertzien ainsi que de la poursuite de la diffusion de Culturebox en soirée.

Le SPI remercie vivement les députés et sénateurs qui se sont mobilisés ces dernières semaines aux côtés de multiples acteurs culturels : il est crucial que le service public continue de proposer en linéaire une offre alternative pour les enfants et jeunes adultes, défendant une création ancrée dans notre imaginaire collectif. Car c’est dès l’enfance que se prennent les réflexes culturels et que s’acquièrent les valeurs essentielles qui fondent une vision du monde, une pratique du vivre ensemble, et ses références de tolérance et d’ouverture.

Après des mois d’incertitude, il s’agit aussi d’un véritable soulagement pour les professionnels de l’animation, pour la production audiovisuelle, en particulier celle qui a œuvré depuis le début de la crise pour mettre en avant les captations audiovisuelles de spectacles et les artistes. Au-delà cette décision est un soulagement pour toute la création y compris cinématographique. Rappelons que France 4 est, et doit rester, une fenêtre de diffusion pour le documentaire, les captations de spectacle vivant et les longs métrages de cinéma.

France 4 a prouvé, ces derniers mois, son importance pour la jeunesse par sa dimension éducative et de divertissement. Elle doit continuer de proposer aux jeunes une offre de service public pertinente, créative, diversifiée et adaptée à chaque âge.

France 4 a réussi son pari d’être identifiée par les téléspectateurs comme une offre clairement différente de celle des chaînes privées. Nous nous réjouissons que le Président de la République reconnaisse cette réussite française.De même, la diffusion hertzienne de Culturebox constitue une chance pour soutenir durablement la création et la diffusion de spectacles vivants ! Une chance pour nos artistes de toucher un public démultiplié, répondant à un besoin dont la Pandémie a montré l’urgence. Il sera nécessaire en parallèle bien sûr que France 4 bénéficie d’un budget pérenne en adéquation avec ses missions.

Nous partageons la joie des équipes de France Télévisions qui voient leurs efforts reconnus et vont pouvoir poursuivre sereinement le formidable travail accompli jusqu’alors.

Le SPI se félicite de la décision prise par le Président de la République du maintien de la chaîne France 4 en hertzien ainsi que de la poursuite de la diffusion de Culturebox en soirée. Le SPI remercie vivement les députés et sénateurs qui se sont mobilisés ces dernières semaines aux côtés de multiples acteurs culturels : il est crucial que le service public continue de proposer en linéaire une offre alternative pour les enfants et jeunes adultes, défendant une création ancrée dans notre imaginaire collectif. Car c’est dès l’enfance que se prennent les réflexes culturels et que s’acquièrent les valeurs essentielles qui fondent une vision du monde, une pratique du vivre ensemble, et ses références de tolérance et d’ouverture. Après des mois d’incertitude, il s’agit aussi d’un véritable soulagement pour les professionnels de l’animation, pour la production audiovisuelle, en particulier celle qui a œuvré depuis le début de la crise pour mettre en avant les captations audiovisuelles de spectacles et les artistes. Au-delà cette décision est un soulagement pour toute la création y compris cinématographique. Rappelons que France 4 est, et doit rester, une fenêtre de diffusion pour le documentaire, les captations de spectacle vivant et les longs métrages de cinéma. France 4 a prouvé, ces derniers mois, son importance pour la jeunesse par sa dimension éducative et de divertissement. Elle doit continuer de proposer aux jeunes une offre de service public pertinente, créative, diversifiée et adaptée à chaque âge. France 4 a réussi son pari d’être identifiée par les téléspectateurs comme une offre clairement différente de celle des chaînes privées. Nous nous réjouissons que le Président de la République reconnaisse cette réussite française.De même, la diffusion hertzienne de Culturebox constitue une chance pour soutenir durablement la création et la diffusion de spectacles vivants ! Une chance pour nos artistes de toucher un public démultiplié, répondant à un besoin dont la Pandémie a montré l’urgence. Il sera nécessaire en parallèle bien sûr que France 4 bénéficie d’un budget pérenne en adéquation avec ses missions. Nous partageons la joie des équipes de France Télévisions qui voient leurs efforts reconnus et vont pouvoir poursuivre sereinement le formidable travail accompli …

20 mai 2021Actus-SPIactus-spi
[COMMUNIQUÉ COMMUN] Les Documentaires Européens de Création, les laissés pour compte du nouveau programme MEDIA

Nous, auteurs, producteurs et distributeurs européens, saluons l’adoption par le Parlement Européen de la base juridique du programme Europe Creative, et le soutien apporté à la création européenne. Nous espérons désormais que les appels à projets pourront commencer au plus vite. Cependant, le programme Media pour 2021 préparé par la Commission Européenne comporte des menaces pour le secteur documentaire et doit donc urgemment être changé. 

Plus que jamais, dans le contexte de crises économique, sociale et sanitaire que traverse l’Europe, le documentaire de création constitue un genre essentiel pour informer, faire comprendre, construire le sens critique des citoyens européens et lutter contre les fake news qui menacent nos démocraties et la construction européenne. 

Le Documentaire Européen de Création est un genre menacé car structurellement sous-financé. La prise de risque des créateurs européens y est très grande, ce qui explique leurs attentes vis-à-vis de la politique publique européenne. 

C’est avec consternation que nous constatons le net recul du soutien au Documentaire de Création par la Commission Européenne à la suite de l’adoption par le Parlement du cadre financier pluriannuel 2021-2027 du nouveau programme MEDIA et de la présentation des programmes de travail qui définissent les règles et les budgets pour chaque dispositif d’aide 2021. 

Alors que le budget MEDIA est en augmentation, dans son programme de travail Europe Creative 2021, la Commission Européenne enterre le documentaire unitaire de création en toute discrétion à travers trois modifications techniques aux grandes conséquences sous couvert de simplification et d’uniformisation de ses règles. 

En urgence au prétexte de lancer les appels dans les meilleurs délais, ces textes ont été imposés sans la nécessaire réflexion approfondie avec les États membres et l’ensemble des parties prenantes. 

Les trois changements techniques aux effets dramatiques immédiats : 

Les aides au développement ne seront dorénavant attribuées qu’aux seuls projets commençant leur tournage au plus tôt dix mois après la date limite de dépôt de la demande de soutien (contre huit mois à partir du dépôt précédemment)Ce délai fixé est tout simplement incompatible avec les cycles de production des documentaires de création unitaires, cycles par essence plus courts qu’en fiction et en animation, en raison d’une nécessaire réactivité aux mouvements qui agitent le monde. Alors même que la profession demandait sa réduction, la Commission européenne a fait le choix de le rallonger, provoquant ainsi l’exclusion d’une part croissante de documentaires de création du soutien de MEDIA ! 

En raison de la transformation de l’aide au développement individuel en aide au co-développement, toute société de production doit porter une demande avec au moins un autre producteur d’un autre pays. La société coordinatrice du projet doit avoir distribué depuis 2014 un projet dans au moins 3 pays différents du sien (contre un seul jusqu’à présent). Ce changement impacte injustement la capacité des producteurs venant de « pays à faible capacité » à coordonner un projet. Cela conduirait à des conséquences graves dans les pays à faible capacité, les petits pays européens, et les pays dont la langue n’est pas parlée ailleurs en Europe ou qui n’appartiennent pas à une zone géographique dans laquelle il existe des accords historiques de distribution. Ainsi, ce changement envisagé vient en contradiction avec les principes de base du programme Europe Creative lui-même : Créativité, Parité, et Pluralisme

L’aide à la production audiovisuelle (aide « programmation TV ») distinguait jusqu’ici logiquement compte tenu des budgets des œuvres d’un côté les genres de la fiction et de l’animation avec un plafond à 12,5% du financement de leur budget, et de l’autre le genre documentaire avec un plafond de 20%. Désormais, cette aide sera assujettie à un taux unique de plafonnement fixé à 15% qui est une augmentation bienvenue pour la fiction et l’animation. Mais, déjà sous-financé, le documentaire de création voit ainsi se réduire le soutien potentiel de MEDIA. 

Nous, auteurs, producteurs et distributeurs européens signataires de ce communiqué, tenons à faire part de notre profonde inquiétude face à ces signes d’indifférence que la Commission Européenne semble adresser au genre documentaire en Europe. Si la Commission s’entêtait à ne pas tenir compte des spécificités du genre, c’est tout un pan de la création européenne indépendante qui deviendrait, de fait, inéligible aux aides européennes et qui subirait encore une plus grande précarisation de son financement. 

Alors que tout le secteur est déjà pénalisé par un calendrier très tardif des appels cette année, nous appelons la Commission à renoncer à ces trois modifications et à conserver pour le documentaire des mesures adaptées au genre afin de garantir l’accès au dispositif pour ces œuvres essentielles pour les publics européens. 

Signataires : 

Nous, auteurs, producteurs et distributeurs européens, saluons l’adoption par le Parlement Européen de la base juridique du programme Europe Creative, et le soutien apporté à la création européenne. Nous espérons désormais que les appels à projets pourront commencer au plus vite. Cependant, le programme Media pour 2021 préparé par la Commission Européenne comporte des menaces pour le secteur documentaire et doit donc urgemment être changé.  Plus que jamais, dans le contexte de crises économique, sociale et sanitaire que traverse l’Europe, le documentaire de création constitue un genre essentiel pour informer, faire comprendre, construire le sens critique des citoyens européens et lutter contre les fake news qui menacent nos démocraties et la construction européenne.  Le Documentaire Européen de Création est un genre menacé car structurellement sous-financé. La prise de risque des créateurs européens y est très grande, ce qui explique leurs attentes vis-à-vis de la politique publique européenne.  C’est avec consternation que nous constatons le net recul du soutien au Documentaire de Création par la Commission Européenne à la suite de l’adoption par le Parlement du cadre financier pluriannuel 2021-2027 du nouveau programme MEDIA et de la présentation des programmes de travail qui définissent les règles et les budgets pour chaque dispositif d’aide 2021.  Alors que le budget MEDIA est en augmentation, dans son programme de travail Europe Creative 2021, la Commission Européenne enterre le documentaire unitaire de création en toute discrétion à travers trois modifications techniques aux grandes conséquences sous couvert de simplification et d’uniformisation de ses règles.  En urgence au prétexte de lancer les appels dans les meilleurs délais, ces textes ont été imposés sans la nécessaire réflexion approfondie avec les États membres et l’ensemble des parties prenantes.  Les trois changements techniques aux effets dramatiques immédiats :  Les aides au développement ne seront dorénavant attribuées qu’aux seuls projets commençant leur tournage au plus tôt dix mois après la date limite de dépôt de la demande de soutien (contre huit mois à partir du dépôt précédemment). Ce délai fixé est tout simplement incompatible avec les cycles de production des documentaires de création unitaires, cycles par essence plus courts qu’en fiction et en animation, en raison d’une nécessaire réactivité aux mouvements qui agitent le monde. Alors même que la profession demandait sa réduction, la Commission européenne a fait le choix de le rallonger, provoquant ainsi l’exclusion d’une part croissante de documentaires de création du soutien de MEDIA !  En raison de la transformation de l’aide au développement individuel en aide au co-développement, toute société de production doit porter une demande avec au moins un autre producteur d’un autre pays. La société coordinatrice du projet doit avoir distribué depuis 2014 un projet dans au moins 3 pays différents du sien (contre un seul jusqu’à présent). Ce changement impacte injustement la capacité des producteurs venant de « pays à faible capacité » à coordonner un projet. Cela conduirait à des conséquences graves dans les pays à faible capacité, les petits pays européens, et les pays dont la langue n’est pas parlée ailleurs en Europe ou qui n’appartiennent pas à une zone géographique dans laquelle il existe des accords historiques de distribution. Ainsi, ce changement envisagé vient en contradiction avec les principes de base du programme Europe Creative lui-même : Créativité, Parité, et Pluralisme.  L’aide à la production audiovisuelle (aide « programmation TV ») distinguait jusqu’ici logiquement compte tenu des budgets des œuvres d’un côté les genres de la fiction et de l’animation avec un plafond à 12,5% du financement de leur budget, et de l’autre le genre documentaire avec un plafond de 20%. Désormais, cette aide sera assujettie à un taux unique de plafonnement fixé à 15% qui est une augmentation bienvenue pour la fiction et l’animation. Mais, déjà sous-financé, le documentaire de création voit ainsi se réduire le soutien potentiel de MEDIA.  Nous, auteurs, producteurs et distributeurs européens signataires de ce communiqué, tenons à faire part de notre profonde inquiétude face à ces signes d’indifférence que la Commission Européenne semble adresser au genre documentaire en Europe. Si la Commission s’entêtait à ne pas tenir compte des spécificités du genre, c’est tout un pan de la création européenne indépendante qui deviendrait, de fait, inéligible aux aides européennes et qui subirait encore une plus grande précarisation de son financement.  Alors que tout le secteur est déjà pénalisé par un calendrier très tardif des appels cette année, nous appelons la Commission à renoncer à ces trois modifications et à conserver pour le documentaire des mesures adaptées au genre afin de garantir l’accès au dispositif pour ces œuvres essentielles pour les publics européens.  Signataires …

19 mai 2021Actus-SPIactus-spi
COMMUNIQUÉ CISA – “Négociations TNT : la CISA appelle la ministre de Culture à s’opposer au cavalier législatif adopté hier en Commission au Sénat”

Les syndicats de producteurs et de distributeurs audiovisuels, rassemblés au sein de la CISA, font part de leur profonde surprise suite à l’adoption hier par la Commission de la Culture du Sénat d’un amendement de Jean-Raymond Hugonet, rapporteur du texte, portant sur les relations entre producteurs et éditeurs de services dans le cadre du projet de loi relatif à la régulation et à la protection de l’accès aux œuvres culturelles à l’ère numérique.

En dépit des déclarations de la ministre de la Culture, qui souhaite un texte resserré, les éditeurs de services privés ont donc réussi une nouvelle fois à convaincre les sénateurs d’intervenir dans leurs relations avec les producteurs audiovisuels… et de revenir sur une rédaction de la loi du 30 septembre 1986 qu’ils avaient pourtant eux-mêmes portée à l’époque.

Cet amendement fait voler en éclat le processus de négociations interprofessionnelles et la révision du décret TNT dans les délais voulus par le gouvernement. Comment négocier et travailler sur un projet de décret alors même que le cadre législatif est remis en cause ?

Leurs intentions sont très claires au travers de cet amendement : renvoyer à la négociation de gré à gré la détermination des parts de coproduction et de l’attribution des mandats d’exploitation et droits secondaires de l’œuvre et profiter de leur position dominante (quatre acteurs et demain trois ?) pour garder à leur seul profit l’usufruit tout en laissant aux seuls producteurs les risques de production et la garantie de bonne fin.

C’est une attaque frontale et mortelle contre la production indépendante.  

Pour justifier cette dérégulation complète, ils font planer l’ombre des plateformes américaines qui bénéficieraient d’un régime plus favorable dans le cadre du décret SMAD qui doit être publié prochainement. Or le gouvernement a fait preuve d’ambition dans ce texte pour défendre les intérêts de l’industrie française. En effet, ce projet de décret prévoit que ces plateformes américaines ne détiendront que 36 mois de droits, pas de parts de coproduction ni de mandat d’exploitation et droits secondaires, sur les œuvres relevant de la part indépendante de leurs obligations.

Si l’objectif est de réduire l’asymétrie qui existe entre les chaînes historiques et nouvelles plateformes SVoD comme le souligne le rapporteur, son amendement aboutit à une situation totalement inverse. On pose un cadre réglementaire strict aux plateformes américaines d’un côté et on fait imploser le cadre réglementaire pour les éditeurs historiques de l’autre.

Ces interventions législatives répétées sur les relations entre producteurs et éditeurs de services perturbent la construction d’un cadre réglementaire cohérent pour l’ensemble des éditeurs de services, qu’ils soient chaînes historiques, chaines du câble et du satellite et plateformes SVoD dans un marché de plus en plus concurrentiel où les frontières s’estompent très rapidement.

Les producteurs et distributeurs audiovisuels indépendants demandent à la ministre de la Culture de déposer un amendement de suppression de ce cavalier législatif pour la séance publique.

Paris, le 6 mai 2021

CISA :

Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 15 – s.lebars@uspa.fr

Florence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.fr

Emmanuelle Bouilhaguet – SEDPA – 06 68 79 58 70 – emmanuelle.bouilhaguet@sedpa.info

Vincent Gisbert – SPECT – 01 45 05 72 03 – vincentgisbert@spect.fr

Emmanuelle Mauger – SPI – 01 44 70 70 44 – emauger@lespi.org

Les syndicats de producteurs et de distributeurs audiovisuels, rassemblés au sein de la CISA, font part de leur profonde surprise suite à l’adoption hier par la Commission de la Culture du Sénat d’un amendement de Jean-Raymond Hugonet, rapporteur du texte, portant sur les relations entre producteurs et éditeurs de services dans le cadre du projet de loi relatif à la régulation et à la protection de l’accès aux œuvres culturelles à l’ère numérique. En dépit des déclarations de la ministre de la Culture, qui souhaite un texte resserré, les éditeurs de services privés ont donc réussi une nouvelle fois à convaincre les sénateurs d’intervenir dans leurs relations avec les producteurs audiovisuels… et de revenir sur une rédaction de la loi du 30 septembre 1986 qu’ils avaient pourtant eux-mêmes portée à l’époque. Cet amendement fait voler en éclat le processus de négociations interprofessionnelles et la révision du décret TNT dans les délais voulus par le gouvernement. Comment négocier et travailler sur un projet de décret alors même que le cadre législatif est remis en cause ? Leurs intentions sont très claires au travers de cet amendement : renvoyer à la négociation de gré à gré la détermination des parts de coproduction et de l’attribution des mandats d’exploitation et droits secondaires de l’œuvre et profiter de leur position dominante (quatre acteurs et demain trois ?) pour garder à leur seul profit l’usufruit tout en laissant aux seuls producteurs les risques de production et la garantie de bonne fin. C’est une attaque frontale et mortelle contre la production indépendante.   Pour justifier cette dérégulation complète, ils font planer l’ombre des plateformes américaines qui bénéficieraient d’un régime plus favorable dans le cadre du décret SMAD qui doit être publié prochainement. Or le gouvernement a fait preuve d’ambition dans ce texte pour défendre les intérêts de l’industrie française. En effet, ce projet de décret prévoit que ces plateformes américaines ne détiendront que 36 mois de droits, pas de parts de coproduction ni de mandat d’exploitation et droits secondaires, sur les œuvres relevant de la part indépendante de leurs obligations. Si l’objectif est de réduire l’asymétrie qui existe entre les chaînes historiques et nouvelles plateformes SVoD comme le souligne le rapporteur, son amendement aboutit à une situation totalement inverse. On pose un cadre réglementaire strict aux plateformes américaines d’un côté et on fait imploser le cadre réglementaire pour les éditeurs historiques de l’autre. Ces interventions législatives répétées sur les relations entre producteurs et éditeurs de services perturbent la construction d’un cadre réglementaire cohérent pour l’ensemble des éditeurs de services, qu’ils soient chaînes historiques, chaines du câble et du satellite et plateformes SVoD dans un marché de plus en plus concurrentiel où les frontières s’estompent très rapidement. Les producteurs et distributeurs audiovisuels indépendants demandent à la ministre de la Culture de déposer un amendement de suppression de ce cavalier législatif pour la séance publique. Paris, le 6 mai 2021 CISA : Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 15 – s.lebars@uspa.fr Florence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.fr Emmanuelle Bouilhaguet – SEDPA – 06 68 79 58 70 – emmanuelle.bouilhaguet@sedpa.info Vincent Gisbert – SPECT – 01 45 05 72 03 – vincentgisbert@spect.fr Emmanuelle Mauger – SPI – 01 44 70 70 44 …

6 mai 2021Actus-SPIactus-spi
Décès de Michèle LERIDON

Le Syndicat des Producteurs Indépendants exprime ses profondes condoléances au Président Roch-Olivier MAISTRE, aux autres membres du Conseil supérieur de l’audiovisuel, aux services du Conseil ainsi qu’aux proches et à la famille de Michèle LERIDON, membre du CSA depuis janvier 2019, et brutalement décédée. 

Il salue en particulier son implication dans le combat pour la liberté et la rigueur de l’information, comme la justesse, l’intelligence et la sagesse de sa réflexion, au service du développement des médias, ainsi que sa haute conscience de l’importance de leur rôle dans la vie démocratique.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants exprime ses profondes condoléances au Président Roch-Olivier MAISTRE, aux autres membres du Conseil supérieur de l’audiovisuel, aux services du Conseil ainsi qu’aux proches et à la famille de Michèle LERIDON, membre du CSA depuis janvier 2019, et brutalement décédée.  Il salue en particulier son implication dans le combat pour la liberté et la rigueur de l’information, comme la justesse, l’intelligence et la sagesse de sa réflexion, au service du développement des médias, ainsi que sa haute conscience de l’importance de leur rôle dans la vie …

5 mai 2021Actus-SPIactus-spi
Palmarès du Festival National du film d’animation 2021

Le Syndicat des producteurs indépendants félicite ses adhérents récompensés lors du Festival National du film d’animation 2021 ! 🏆

Le Syndicat des producteurs indépendants félicite ses adhérents récompensés lors du Festival National du film d’animation 2021 ! …

23 avril 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Communiqué de presse L’ADRC, l’AFCAE et le BLOC

21 avril 2021Actus-SPIactus-spi
Communiqué BLIC, BLOC ARP : Nouvel accord sur la chronologie des médias.

7 avril 2021Actus-SPIactus-spi
Palmarès César 2021 : Bravo à nos adhérents !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents, dont les films ont été couronnés par 8 récompenses, lors de la 46ème cérémonie des César du cinéma, organisée par l’Académie des arts et techniques du cinéma. BRAVO !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents, dont les films ont été couronnés par 8 récompenses, lors de la 46ème cérémonie des César du cinéma, organisée par l’Académie des arts et techniques du cinéma. BRAVO …

16 mars 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
À l’occasion de la 26ème Cérémonie des Lauriers de l’Audiovisuel, des prix SFCC de la Critique 2020 et des Trophées du Film Français, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films et séries récompensés !

26ème Cérémonie des Lauriers de l’Audiovisuel :

Laurier d’interprétation Féminine : Sophie Breyer et Marie Colomb dans « Laëtitia » produit par CPB Films.

Laurier documentaire : « Vie et Destin du Livre noir, la destruction des juifs d’URSS » produit par Les Films du Poisson.

Laurier culture : « Un été à la Garoupe » produit par Mélisande Films.

Laurier musique Michel Portal dans « Un été à la Garoupe » produit par Mélisande Films.

Prix SFCC de la Critique :

Meilleur film français : «Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait » d’Emmanuel Mouret produit par Moby Dick Films.

Meilleur premier film français : « Josep » d’Aurel produit par Les Films d’Ici Méditerranée.

Meilleur court métrage français : « Maalbeek » d’Ismaël Joffroy Chandoutis produit par Films Grand Huit.

Meilleure série française : « Possessions » de Thomas Vincentproduit par Haut et Court TV.

Meilleur documentaire français : « Petite Fille » de Sébastien Lifshitz produit par Agat Films & Cie.

Trophées du Film Français :

Trophées duos réalisateur-producteur cinéma Sébastien Lifshitz et Muriel Meynard pour « Adolescentes » produit par Agat Films & Cie.

Trophées duo auteur-producteur télévision : Jean-Xavier de Lestrade et Antoine Lacomblez / Judith Louis et Jean Labib pour « Laëtitia » produit par CPB Films.

Trophée UniFrance : « Portrait de la jeune fille en feu » de Céline Sciamma produit par Hold Up Films.

26ème Cérémonie des Lauriers de l’Audiovisuel : Laurier d’interprétation Féminine : Sophie Breyer et Marie Colomb dans « Laëtitia » produit par CPB Films. Laurier documentaire : « Vie et Destin du Livre noir, la destruction des juifs d’URSS » produit par Les Films du Poisson. Laurier culture : « Un été à la Garoupe » produit par Mélisande Films. Laurier musique : Michel Portal dans « Un été à la Garoupe » produit par Mélisande Films. Prix SFCC de la Critique : Meilleur film français : «Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait » d’Emmanuel Mouret produit par Moby Dick Films. Meilleur premier film français : « Josep » d’Aurel produit par Les Films d’Ici Méditerranée. Meilleur court métrage français : « Maalbeek » d’Ismaël Joffroy Chandoutis produit par Films Grand Huit. Meilleure série française : « Possessions » de Thomas Vincentproduit par Haut et Court TV. Meilleur documentaire français : « Petite Fille » de Sébastien Lifshitz produit par Agat Films & Cie. Trophées du Film Français : Trophées duos réalisateur-producteur cinéma : Sébastien Lifshitz et Muriel Meynard pour « Adolescentes » produit par Agat Films & Cie. Trophées duo auteur-producteur télévision : Jean-Xavier de Lestrade et Antoine Lacomblez / Judith Louis et Jean Labib pour « Laëtitia » produit par CPB Films. Trophée UniFrance : « Portrait de la jeune fille en feu » de Céline Sciamma produit par Hold Up …

10 mars 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI félicite chaleureusement Caroline Bonmarchand lauréate du 14ème Prix Daniel Toscan du Plantier, distinguant le ou la producteur.trice qui a marqué l’année.

Caroline Bonmarchand a fondé en 2002 la société Avenue B Productions et a notamment produit plus d’une quinzaine de longs métrages dont, tout récemment, Enorme de Sophie Letourneur nommé pour les César 2021 (meilleur acteur pour Jonathan Cohen) et Seize Printemps de Suzanne Lindon.

Caroline Bonmarchand est actuellement en tournage pour la production du troisième long métrage de Sébastien Marnier, L’Origine du mal.  

Caroline Bonmarchand a fondé en 2002 la société Avenue B Productions et a notamment produit plus d’une quinzaine de longs métrages dont, tout récemment, Enorme de Sophie Letourneur nommé pour les César 2021 (meilleur acteur pour Jonathan Cohen) et Seize Printemps de Suzanne Lindon. Caroline Bonmarchand est actuellement en tournage pour la production du troisième long métrage de Sébastien Marnier, L’Origine du mal. …

4 mars 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI signataire de la tribune de la SRF parue dans Le Monde : “UN JOUR SANS FIN – Qu’est-ce qu’on attend exactement ?”

Cette tribune initiée par la Société des réalisateurs de film (SRF) est signée par plus de 800 professionnels du cinéma, parmi lesquels Yvan Attal, Jacques Audiard, Antoine Barraud, Bertrand Bonello, Louise Bourgoin, Guillaume Canet, Laurent Cantet, Marion Cotillard, Anaïs Demoustier, Claire Denis,  Sylvain Descloux, Valérie Donzelli, Philippe Faucon, Julie Gayet, Cédric Klapisch, Laurent Lafitte, Noémie Lvovsky, Chiara Mastroianni, Emmanuel Mouret, Pierre Niney,  Axelle Ropert, Jean-Paul Rouve, Jean-Paul Salomé, Léa Seydoux, Gaspard Ulliel, Karin Viard, Aurélien Vernhes-Lermusiaux…

UN JOUR SANS FIN
Qu’est-ce qu’on attend exactement ?
 

Aujourd’hui, et depuis de très longs mois, les 5 913 écrans des 2 046 cinémas de France sont maintenus fermés au nom d’un principe de précaution sanitaire pourtant contredit par un avis du Conseil scientifique du 26 octobre et par l’étude ComCor de l’Institut Pasteur du 10 décembre 2020.
 
Aujourd’hui nous pourrons donc, encore et toujours, faire la queue pour aller acheter des baskets ou une glace, nous entasser dans les supermarchés ou prendre le train, même bondé, mais nous ne pourrons pas aller au cinéma. Ni au théâtre. Et cela malgré la mise en place d’un protocole sanitaire des plus stricts et des plus fiables dès le premier jour du déconfinement.
  
Au gré des chiffres, des variants, des politiques d’image, d’annonce, de culpabilisation ou d’intimidation, nous avons le sentiment d’être éradiqués. Et alors quoi ? On reste fermé un an, deux ans ? Pour toujours ?
 
Monsieur le Président, nous voudrions préciser une chose que l’opinion publique ne sait pas, mais que, bien plus grave, vous ne semblez pas savoir non plus : le cauchemar que vit l’industrie du cinéma, ses travailleurs et travailleuses, n’est pas tant celui de l’année passée, certes extrêmement difficile, mais bel et bien celui des deux voire trois années à venir. Chaque semaine de fermeture ajoute à la catastrophe en marche.
  
C’est l’avenir d’une profession qui est hypothéqué, à mesure que les films terminés s’empilent chaque semaine sur les étagères des distributeurs. C’est le « tout plateforme » qui s’installe dans les habitudes et dévalorise nos ambitions et nos droits. C’est une filière industrielle économique forte de 340 000 emplois qui coule. C’est un monde de débats et d’idées qui s’appauvrit considérablement. Car le cinéma ne se préoccupe pas que du cinéma. Il se préoccupe de tout ce qui fait société, ouvre à la réflexion, à la discussion, amène la rencontre avec ce public qui nous manque à hurler. Et à qui l’on manque.
  
Quel gâchis.
Quelle violence.
Quelle injustice.
 
Combien de fois faudra-t-il répéter qu’aucun théâtre, lieu de culture ou salle de cinéma n’a été un cluster ? Combien de fois faudra-t-il répéter que nous ne sommes ni des troubadours égoïstes et déconnectés, ni des divas dans des tours d’ivoire mais bel et bien des femmes et des hommes responsables, conscients de la gravité de la situation ? Que le cinéma français est la troisième cinématographie la plus importante du monde, et que vous risquez de la faire s’effondrer en à peine un an.
 
Monsieur le Président, une étude allemande menée par l’Institut Hermann Rietschel (Université de Berlin) vient de conclure que les salles de cinéma sont deux fois plus sûres que les supermarchés et trois fois plus sûres que les voyages en train. Lisez-la !
 
Votre silence et celui de votre gouvernement sont en train de tuer le cinéma français, et plus généralement une grande partie de notre culture.
 
Dans le respect des gestes barrières, de la distanciation physique et d’une jauge qui permette à chacun d’être en sécurité : ré-ouvrez les salles ! Maintenant !

La tribune sur Le Monde : ici.

Signataires : 

Margot Abascal, comédienne

Judith Abitbol, cinéaste 

Jean Achache, réalisateur et producteur

Mona Achache, réalisatrice 

Julie Aguttes, réalisatrice

Vicentia Aholoukpé, exploitant de salles

Fleur Albert, réalisatrice 

Fulvia Alberti, réalisatrice

Karin Albou, scénariste, réalisatrice et écrivaine

José Alcala, scénariste et réalisateur

Florence Alexandre, attachée de presse

Inès Alez-Martin, accessoiriste plateau

Rémi Allier, réalisateur

Siegrid Alnoy, scénariste et réalisatrice

Noël Alpi, réalisateur

Oulaya Amamra, comédienne

Nathan Ambrosioni, réalisateur

Shirel Amitay, scénariste et réalisatrice

Viviani Andriani, attachée de presse

Claire Angelini, artiste et réalisatrice indépendante

Théodore Anglio-Longre, étudiant en master de cinéma et critique

Alix Anne, réalisatrice

Charlie Anson, acteur

Eric Altmayer, producteur

Nicolas Altmayer, producteur

Marie-France Alvarez, comédienne

Cristèle Alves Meira, réalisatrice

Patrick André, producteur

Christophe Andréi, scénariste et réalisateur

Hélène Angel, scénariste et réalisatrice

Stéphane Arnoux, réalisateur

Ariane Ascaride, actrice

Aure Atika, comédienne

Yvan Attal, comédien

Samuel Aubin, scénariste

Nicolas Aubry, réalisateur

Jacques Audiard, réalisateur

Jean Luc Audy, chef opérateur son 

Axel Auriant, comédien

Serge Avedikian, comédien, auteur et réalisateur

Jocelyne Ayella, médecin

Myriam Aziza, réalisatrice

Anne Azoulay, comédienne et réalisatrice 

Noé Bach, directeur de la photographie

Sébastien Bailly, réalisateur

Coralie Barelier, assistante chargée de figuration

Olivier Baroux, réalisateur

Claude Barras, réalisateur et scénariste

Claire Barrau, auteure, productrice

Vincent Barre, sculpteur et réalisateur

Patricia Barsanti, présidente de la société Cinématographique Lyre

Luc Battiston, réalisateur

Jean-Pierre Bastid, auteur, réalisateur

Pierre Baussaron, producteur

Mathilde Bayle, scénariste et réalisatrice

Florian Beaume, scénariste et réalisateur

Frank Beauvais, réalisateur

Xavier Beauvois, réalisateur

Noémie Bédrède, programmatrice

Alice Belaidi, actrice

Raymond Bellour, directeur de recherche honoraire au CNRS, membre de la rédaction de Trafic, revue de cinéma

Lucas Belvaux, réalisateur

Kaouther Ben Hania, réalisatrice

Adila Bendimerad, actrice, productrice

Alain Benguigui, producteur Sombrero Films

Arnaud Bénoliel, scénariste, réalisateur

Tanguy Bernard, musicien et réalisateur

Marc Bertin, comédien

Adrien Bertet, producteur 

Vanessa Bertin, assistante de production

Diane Bertrand, cinéaste

Fatima Bianchi, monteuse,  réalisatrice

Thomas Bidegain, scénariste et réalisateur

Lisa Billuart-Monet, réalisatrice

Liouba Bischoff, enseignante-chercheuse

Sylvia Biville, comptable

Catherine Bizern, déléguée générale du Cinéma du Réel 

Bernard Blancan, comédien et réalisateur

Christian Blanchet, cinéaste

Lise Blanchet, journaliste 

Léo Blandino, auteur, réalisateur

Catherine Blangonnet-Auer, directrice de rédaction Images documentaires

Laurent Blois, délégué général du SPIAC

Sophie Blondy, réalisatrice 

Thalie Boccabella, régisseuse

Philip Boëffard, producteur Nord-Ouest Films

Romane Bohringer, cinéaste

Maxime Boilon, membre de RegarDocc

Aurélie Boivin, réalisatrice et photographe 

Nicolas Bole, coordinateur général de festival

Georges Bollon, retraité de l’action culturelle cinématographique

Mathieu Bompoint, producteur

Caroline Bonmarchand, productrice Avenue B productions

Jérôme Bonnell, réalisateur

Bertrand Bonello, cinéaste

Valérie Bonneton, actrice

Aurélie Bordier, déléguée générale de l’ACID

Florence Borelly, productrice 

Claudine Bories, réalisateur

Gabriel de Bortoli, attaché de presse

Claude Bossion, réalisateur

Marie Bottois, monteuse

Odile Bouchet, membre actif de l’Association Rencontres Cinémas d’Amérique Latine de Toulouse ARCALT

Laurent Bouhnik, réalisateur

Lucie Boujenah, comédienne

Louise Bourgoin, actrice

Sophie Bouteiller, scripte, 1ère assistante réalisateur·ice

Karine Boutroy, architecte scénographe

Diane Sara Bouzgarrou, cinéaste

Leyla Bouzid, réalisatrice

Guillaume Brac, réalisateur

Sandrine Brauer, productrice

Guillaume Bréau, réalisateur et scénariste 

Sophie Bredier, réalisatrice

Jean Bréhat, producteur

Jean Breschand, scénariste

Adrien Bretet, producteur

Eric-John Bretmel, réalisateur

Pascale Breton, réalisateur 

Caroline Brésard, comédienne

Peter Brook, metteur en scène, acteur, réalisateur et écrivain

Dorine Brun, réalisatrice

Rosalie Brun, déléguée générale de la SRF

Damien Brunner, producteur

Didier Brunner, producteur

Claire Burger, réalisatrice

Gaël Cabouat, productrice Fulldawa Films

Hubert Caillard, avocat

Laure Calamy actrice

Chloé Cambournac, chef décoratrice

Géraldine Cance, attachée de presse

Guillaume Canet, acteur et réalisateur

Laurent Cantet, réalisateur

Marilyne Canto, comédienne 

Christine Cardaropoli, chef maquilleuse, chef coiffeuse

Johanna Careire,  directrice Artistique Festival International du Film Indépendant de Bordeaux

Patrice Carré, journaliste et réalisateur

Stéphane Carreras, productrice

Nyima Cartier, réalisatrice

Yannick Casanova, réalisateur

Catherine Castel, réalisatrice 

Charles Castella, réalisateur

Anna Cazenave Cambet, réalisatrice

Emilie Cazenave, actrice

Sophie Chaffaut, attachée de presse agence Valeur Absolue

Patrice Chagnard, réalisateur

Etienne Chaillou, réalisateur

Emmanuel Chain, producteur, Elephant

Marie-Sophie Chambon, scénariste-réalisatrice

Arié Chamouni, producteur

Marie de Chassey, scripte 

Chantal Chatelain, représentante de spectateurs

Olivier Charasson, acteur

Elsa Charbit, directrice artistique d’Entrevues festival international du Film de Belfort

Eric Charbot, producteur

Jérémie Charrier, attaché de presse

Hubert Charuel, réalisateur

Carole Chassaing, productrice

Remi Chaye, réalisateur

Judith Chemla, actrice 

André Chesneau, retraité

Catherine Chesnau, artiste peintre

Colin Chesneau, monteur

Camille Chevalier, secrétaire générale adjointe de la Quinzaine des réalisateurs

Emmanuel Chevalier, distributrice les Films du Préau 

Laurent Chevallier, réalisateur

Brigitte Chevet, réalisatrice

Louise Chevillotte, comédienne

Malik Chibane, réalisateur

Benoît Chieux, réalisateur

Patric Chiha, réalisateur

Maguy Cisterne, secrétaire générale du festival de Brive

Christine Citti, actrice, autrice

Arié Chamouni, producteur

Hung-Chun Chen, réalisatrice

Nathalie Cheron, directrice de casting, Présidente de l’ARDA

Manuel Chiche, gérant The Jokers Films 

Vanya Chokrollahi, réalisateur

Jean Paul Civeyrac, attaché de press

Jeremy Clapin, réalisateur

Marion Clauzel, scénariste

Marie Clément, enseignante en cinéma

Alexandre Coffre, réalisateur, scénariste

Clément Cogitore, réalisateur

Christophe Cognet, réalisateur

Abraham Cohen, réalisateur

Joachim Cohen, assistant d’agent artistique

Richard Copans, réalisateur et producteur

Louise Coldefy, actrice

Christine Colin Milko, adaptatrice doublage

Etienne Comar, réalisateur

Muriel Combeau, actrice

Jean-Louis Comolli, réalisateur et écrivain

Anne Consigny, comédienne

Thierry Consigny, publicitaire

Philippe Coquillaud-Coudreau, directeur du cinéma Le Méliès à Pau

Catherine Corsini, réalisatrice

Marion Cotillard, comédienne

Jean Cottin, producteur

Manon Coubia, réalisatrice

Bénédicte Couvreur, productrice

Vero Cratzborn, réalisatrice

Anne-Claire Créancier, directrice de production

Marc-Benoît Créancier, producteur 

Jeanne Crépeau, réalisatrice et formatrice

Juliette Crété, 1ère Assistante mise en scène

Jean-Noël Cristiani, réalisateur

Romain Cros, premier assistant réalisateur

Laurent Crouzeix, délégué général du festival Sauve Qui peut le court métrage 

Delphine Crozatier, présidente de Contrebande Productions

Jean-Jacques Cunnac, auteur-réalisateur

Isabelle Czajka, réalisatrice

Didier d’Abreu, cinéaste

Raphaëlle Danglard, agent artistique

Marie Daniel, directrice de l’IFFCAM

Benoit Danou, producteur harvest moon

Danièle D’Antoni, agent artistique 

Aurélie Dard, attachée de presse

Fleur Dagorn, étudiante en production audiovisuelle 

Isabelle Dario, réalisatrice et monteuse

Joao Da Rocha, doctorant en littérature française

Judith Davis, réalisatrice et comédienne

Antoine de Bary, réalisateur

Marie de Busscher, réalisatrice

Albane de Jourdan, productrice

Christophe Dejours, psychiatre, psychanalyste, professeur émérite à l’Université Paris Nanterre

Patrick Dekeyser, vidéaste

Emilie Deleuze, réalisatrice

Sarah Delmas, directrice des développements 

Natacha Delmon Casanova, productrice

Edouard Deluc, scénariste et réalisateur

Sophie Delvallée, réalisatrice

Emmanuelle Demoris, réalisatrice

Anaïs Demoustier, actrice

Arnaud Demuynck, réalisateur

Claire Denis, réalisatrice

Florence Denou, actrice

David Depesseville, réalisateur

Eugénie Deplus, directrice de post production

Pauline de Raymond, responsable de programmation à la Cinémathèque française 

Arnaud des Pallières, réalisateur

Tom Dercourt, producteur

Julien Deris, producteur Cinefrance Studios

Cécile Déroudille, réalisatrice

Caroline Deruas, réalisatrice

Guillaume Descamps, secrétaire général du Festival des Trois Continents

Christophe Desenclos, directeur de production 

Daniel Deshays, ingénieur du son

Antoine Desrosieres, réalisateur

Alexandre Desrousseaux, acteur

Marion Desseigne Ravel, scénariste et réalisatrice 

Emmanuelle Devos, actrice

Eric Devulder, chef opérateur du son

Marcial Di Fonzo Bo, acteur et directeur de la Comédie de Caen

Katell Djian, chef opérateur 

Didar Domehri, productrice

Timothée Donay, distributeur Les Alchimistes 

Anthony Doncque, producteur

Valérie Donzelli, réalisatrice et actrice

Clément Dorival, réalisateur

Christine Dory, cinéaste

Laetitia Dosch, actrice 

Alice Douard, réalisatrice

Claire Doyon, cinéaste

Céline Drean, scénariste et réalisatrice 

Evelyne Dress, auteur, réalisateur et producteur

Léa Drucker, comédienne

Émérance Dubas, réalisatrice

Bernard Dubois, réalisateur

Claire Duburcq, actrice

Cécile Ducrocq, réalisatrice

David Dufresne, réalisateur

Marc Dugain, réalisateur

Pierre Dugowson, réalisateur

Hervé Duhamel, directeur de production cinéma

Sandrine Dumas, réalisatrice

Annick Dumout 

Pierre-Nicolas Durand, réalisateur

Karine Durance, attachée de presse

Riton Dupire Clément, chef décorateur

Claire Duburcq, actrice

Jean Pierre Duret, ingénieur du son

Claude Duty, réalisateur 

Chloé Duval, réalisatrice

Roland Edzard, réalisateur

Nadia El Fani, réalisatrice

Ismaël El Iraki, réalisateur

Kamal El Mahouti, réalisateur

Nicolas Elghozi, producteur Galatée Films

Philippe Elusse, auteur réalisateur

Jean-Bernard Emery, attaché de presse 

Licia Eminenti, scénariste et réalisateur

Mareike Engelhardt, réalisatrice

Octavio Espirito Santo, directeur de la photographie

Laurine Estrade, réalisatrice

Audrey Estrougo, réalisatrice

Séréna Evely, travailleur indépendant dans le domaine culturel

Hicham Falah, cinéaste, délégué général du Festival International de film Documentaire à Agadir et Directeur artistique du Festival international du film de femmes de Salé

Jacques Fansten, réalisateur

François Farellacci, réalisateur

Coralie Fargeat, réalisatrice

Philippe Faucon, réalisateur

Cyrielle Faure, réalisatrice

Julia Faure, comédienne

Pascale Faure, productrice 

Léa Fehner, réalisatrice

Michel Feller, producteur société Mon Voisin Productions

Cécile Felsenberg, agent artistique

Julien Féret, producteur et réalisateur

Ariza Fernando, directeur Festival Huelas

Maud Ferrari, scénariste et réalisatrice

Linda Ferrer Roca, réalisatrice

Jeanne Ferron, comédienne 

Michel Ferry, réalisateur et exploitant de salles

Anaïs Feuillette, documentariste

Agnès Feuvre, scénariste

Francine Filatriau, chef opérateur, réalistrice

Emmanuel Finkiel, réalisateur

Aline Fischer, scénariste et réalisatrice

Chantal Fischer, productrice

Marie Fischer, 1ère assistante réalisateur

Stéphane Foenkinos, auteur et réalisateur

Victoria Follonier, monteuse

Fanny Fontan, scénariste et réalisatrice

Camille Fontaine, scénariste réalisatrice  

Benoît Forgeard, réalisateur

Leila Fournier, responsable de distribution artistique

Eric Fourniols, scénariste, réalisateur

Tristan Francia, auteur, réalisateur

Christine François, réalisatrice

Samuel François-Steininger, producteur Composite Films

Jacques Frétel, retraité 

Brahim Freita, auteur et réalisateur

David Frenkel, producteur

Manuela Frésil, cinéaste 

Damien Fritsch, réalisateur

François Fronty, réalisateur

Jones Gaëlle, productrice

Jean-Luc Gaget, scénariste

Luc Gallissaires, réalisateur

Antoine Garceau, réalisateur

Laurence Garret, cinéaste 

Florence Gastaud, productrice 

David Gauquié, producteur Cinefrance Studios

Julie Gayet, réalisatrice

Cyril Gelblat, réalisateur

Hugo Gélin, réalisateur

Fabrice Genestal, réalisateur

Sylvain George, réalisateur

Hassam Ghancy, acteur

Denis Gheerbrant, réalisateur

David Gheron Tretiakoff, plasticien

Mariette Gutherz, réalisatrice

Pauline Gilbert, directrice de post-production

Yann Gilbert, producteur La mouche du coche films 

Léa Gilet-Lorand, assistante casting 

Bernard Gilhodes, scénariste, réalisateur et reporter

Claudie Gillot-Dumoutier, présidente de l’association Cinéma l’Écran à Saint-Denis 

Thomas Gilou, scénariste et réalisateur

Alice Girard, productrice

Elise Girard, réalisatrice

Hippolyte Girardot, comédien 

Jacques-Rémy Girerd, auteur et réalisateur

Félix de Givry, réalisateur

Delphine Gleize, réalisatrice

Lucas Gloppe, réalisateur

Fabrice Gobert, réalisateur

Tito González García, réalisateur 

Yann Gonzalez, réalisateur

Florent Gouëlou, réalisateur

Diego Governatori, réalisateur 

Alexander Graeff, réalisateur

Laurence Granec, attachée de presse

Camille Grangé, scénariste

Denys Granier-Deferre, réalisateur

Alexandra Grau de Sola, réalisatrice, scénariste

Eugène Green, cinéaste et écrivain

Pascal Greggory, acteur 

Audrey Grimaud, attachée de presse agence Valeur Absolue

Benjamin Groussain, steadicamer 

David Grumbach, directeur général Bac Films 

Samir Guesmi, acteur et réalisateur

Dominique Guerin, productrice et cofondatrice de Ping&Pong Productions

José Luis Guerin, réalisateur

Philippe Guilbert, directeur de la photographie 

Olivier Guillaume, mixeur

Pierre Guyard, producteur Nord-Ouest Films

Patrick Hadjadj, réalisateur

Stéphanie Halfon, chargée de développement

Arthur Hallereau, directeur marketing Ad vitam 

Virginie Hallot , comédienne, metteure en scène et scénariste

François Hamel, directeur de production

Violaine Harchin, distributrice Les Alchimistes 

Ted Hardy-Carnac, réalisateur

Antoine Héberlé, directeur de la photographie

Arnaud Hemery, scénariste

Judith Henry, comédienne

Ludovic Henry, producteur

Laurent Herbiet, réalisateur et scénariste

Noël Herpe, réalisateur

Clotilde Hesme, actrice

Laurent Heynemann, réalisateur

Alexandre Hilaire, réalisateur

Mireille Hilsum, professeure émérite de l’Université Jean Moulin Lyon 3

Xavier Hirigoyen, directeur de la distribution Le Pacte 

Esther Hoffenberg, réalisatrice et productrice 

Julien Hosmalin, réalisateur

Armel Hostiou, cinéaste

Gabrielle Hours, directrice de Production

Danielle Jaeggi, réalisatrice

Raphaël Jacoulot, réalisateur

Olivier Jahan, réalisateur

Audrey Jean-Baptiste, réalisatrice

Thomas Jeand’heur, comédien

François-Régis Jeanne, réalisateur

Thomas Jenkoe, réalisateur

Vanessa Jerrom, attachée de presse

Charlie Joirkin, comédienne

Gaëlle Jones, productrice

Thierry Jousse, réalisateur et producteur radio

Guillaume Juhel, directeur marketing 

Valérie Jung, scénographe

Régine Jusserand, monteuse

Jean Kalman, créateur lumières

Daniel Kamwa, acteur et réalisateur

Leslie Kaplan, écrivain

Naruna Kaplan de Macedo, cinéaste membre de l’ACID

Sam Karmann, comédien, réalisateur

Sehrat Karaaslan, réalisateur

Valérie Karsenti, comédienne

Marc Khanne, réalisateur documentaire

Canelle Kieffer-Silou, directrice de production et post-production

Christine Kiehl, maître de conférences, directrice L3, département d’études du monde anglophone, département d’arts du spectacle, Université Lumière Lyon 2

Nadège Kintzinger, chef monteuse image

Laurence Kirsch, auteure et réalisatrice

Cédric Klapisch, réalisateur

Florent Klockenbring, opérateur du son

Manon Kneusé, comédienne

Beaudoin Koenig, réalisateur

Anne Lise Kontz, attachée de presse

Béatrice Kordon, réalisatrice

Corinne Kouper, productrice

Nathalie Kouper, coordinatrice générale du festival Paris Courts Devants 

Julia Kowalski, réalisatrice

François Kraus, producteur, Les Films du Kiosque 

Jean Labadie, directeur général Le Pacte

Manele Labidi, réalisatrice

Pierre Lacan, réalisateur

Joris Lachaise, réalisateur

Madeleine Lacombe, retraitée, théâtre amateur

Vincent Lacoste, acteur

Didier Lacourt, distributeur Diaphana 

Nathalie Lacroix, comédienne 

Laurent Lafitte, acteur et réalisateur

Joachim Lafosse, réalisateur

Leslie Lagier, réalisatrice

Alexandre Lamarque A.F.C, directeur de la photographie

Marion Lambert, comédienne

Kloé Lang, réalisatrice

Didier Lannoy, auteur réalisateur

Massoumeh Lahidji, interprète

Séverine Lajarrige, attachée de presse

Véronique Lalubie, réalisatrice

Élise Larnicol, actrice

Maria Larrea, réalisateur

Jean-Marie Larrieu, réalisateur

Kristina Larsen, productrice

Eric Lartiguau, réalisateur

Sonia Larue, réalisatrice

Marion Lary, réalisatrice

Laurence Lascary, productrice (DACP)

Manu Laskar, acteur et cinéaste

Sarah Lasry, réalisatrice

Albertine Lastera, monteuse

Julie Leclerc, habilleuse

Luc Leclerc du Sablon,réalisateur

Lidia LeBer Terki, réalisatrice 

Gabriel Le Bomin, réalisateur

William Lebghil, comédien 

Anna Lebovits, comédienne

Julien Lecat, réalisateur

Michel Leclerc, scénariste, réalisateur

Quentin Lecocq, réalisateur

Erwan Le Duc, réalisateur

Murielle Lefebvre, comédienne

Michelle Le Gaffric, collaboratrice d’agent artistique

Cyril le Grix, réalisateur et metteur en scène

Jean-Baptiste L’Herron, agent artistique

Karolyne Leibovici, publicist de talents A&K communication

Nolwenn Lemesle, scénariste et réalisatrice

Louise Lemoine Torrès, actrice et scénariste

Alban Lenoir, comédien

Blandine Lenoir, réalisatrice

Serge Le Péron, réalisateur

Grégoire Leprince-Ringuet, acteur, réalisateur

Etienne Lerbret, attaché de presse indépendant 

Anthony Lesaffre, producteur Vigario productions 

Quentin Lestienne, réalisateur

Florence Lesven, directrice de production 

Guillaume Levil, scénariste et réalisateur

Elisabeth Leuvrey, réalisatrice

Karen Levy Bencheton, productrice société KLB

Lorraine Lévy, réalisatrice

Christelle Lheureux, scénariste, réalisatrice et enseignante

Philippe Liégeois, producteur

Philippe Lignières, cinéaste

Carl Lionnet, scénariste et réalisateur

Jean-Louis Livi, Producteur Société F comme film

Philippe Locquet, réalisateur

Florence Loiret Caille, comédienne

Franco Lolli, réalisateur

Antoine Lopez, cofondateur du festival de Clermont-Ferrand

Chloé Lorenzi, attachée de presse

Marie Losier, réalisatrice et artiste

Emile Louis, assistant réalisateur

Olivier Loustau, réalisateur

Marie-Ange Luciani, productrice

Nicolas Lugli, réalisateur

Anne Luthaud, déléguée générale du GREC 

Noémie Lvovsky, scénariste, réalisatrice et actrice

Jean Mach, producteur, réalisateur

Lisa Macheboeuf, scénariste

Gregory Magne, scénariste et réalisateur 

Celia Mahistre, attachée de presse

Juliette Maillard, 1ère assistante réalisation

Pierre Maillet, acteur, metteur en scène

Gaëlle Malandrone, comédienne 

Caroline Maleville, programmatrice

Yohan Manca, scénariste, réalisateur et acteur

Bertrand Mandico, réalisateur

Marie Mandy, réalisatrice

Damien Manivel, réalisateur

Naël Marandin, réalisateur

François Margolin, réalisateur et producteur

Zulmira Marquet, auto-entrepreneuse

Paul Marques Duarte, réalisateur

Juliette Martinaud, alternante juriste

Laila Marrakchi, réalisatrice

Corinne Masiero, comédienne

Marie Masmonteil, productrice

Babette Masson, directrice de compagnie de théâtre

Lucas Masson, réalisateur, monteur

Chiara Mastroianni, actrice

Claire Mathon, directrice de la photographie

Marie-Annick Mattioli, maîtresse de conférences en anglais

Edouard Mauriat, producteur

Nicolas Maury, réalisateur, acteur

Pierre Mazingarbe, réalisateur

Chloé Mazlo, réalisatrice

Mohamed Megdoul, réalisateur

Boris Mendza, producteur Fulldawa Films

Jean-Luc Mengus, correcteur et secrétaire de rédaction de la revue Tafic

Aloïs Menu Bernadet, acteur et réalisateur

Stéphane Mercurio, réalisateur 

Agnès Merlet, réalisatrice

Vincent Merlin, directeur de Cinémas 93

Frédéric Mermoud, réalisateur

Nicolas Mesdom, réalisateur

Nina Meurisse, comédienne

Constance Meyer, réalisatrice

Mathilde Mignon, réalisatrice

Radu Mihaileanu, réalisateur

Perrine Mihel, réalisatrice

Viktor Miletić, réalisateur

Emmanuelle Millet, réalisatrice

Céline Milliat Baumgartner, actrice

Félix Moati, acteur-réalisateur

Dominik Moll, réalisateur

Grégory Montel, comédien

Anne Monfort, metteuse en scène

Manuela Morgaine, réalisateur 

Keren Moriano, productrice 

Hélène Morsly, actrice et réalisatrice

Maxime Motte, réalisateur

Emmanuel Mouret, réalisateur

Florence Muller, comédienne

Véronique Müller, comédienne

Xavier Mussel, acteur, scénariste et réalisateur

Mathilde Muyard, chef monteuse

Louise Narboni, réalisatrice

Jean-Francois Naud, documentariste

Kim Nguyen, directrice de production

Fred Nicolas, scénariste et réalisateur

Loïc Nicoloff, scénariste, réalisateur

Nathan Nicolovitch, cinéaste

Pierre Niney, comédien

Sofia Norlin, réalisatrice 

Valentina Novati, productrice et distributrice

Joëlle Novic, réalisatrice

Anna Novion, réalisatrice

Christophe Offenstein, réalisateur

Agathe Oléron, autrice, réalisatrice

Delphine Olivier, attachée de presse 

Manon Ott, réalisatrice

Thomas Ordonneau, producteur 

Damien Ounouri, réalisateur

Bénédicte Pagnot, réalisatrice

Géraldine Pailhas, actrice

Nalin Pan, auteur, réalisateur

Capucine Pantin, assistante de décoration

Marie-Christine Parcot, chargée de communication

Mélanie Parent-Chauveau, scripte

Daniel Paris, réalisateur et écrivain

Antoine Parouty, directeur de la photographie

Doriane Pasquale, comédienne et réalisatrice

Michel Patient, réalisateur

Stéphanie Perard, comédienne

Antoine Pereniguez, gérant de Diagonal Cinémas à Montpellier

Antonin Peretjatko, réalisateur

Thomas Percy, attaché de presse 

Alexandre Perez, auteur et réalisateur

Elisabeth Perez, productrice

Nahuel Perez Biscayart, acteur

Sandie Perez, directrice de casting

Léa Pernollet, scénariste 

Julie Perreard, auteure, réalisatrice

Mireille Perrier, actrice 

Martin Peterolff, réalisateur

Philippe Petit, réalisateur

Sylvère Petit, réalisateur

Laurence Petit-Jouvet, réalisatrice

Benoît Pétré, réalisateur 

Olivier Peyon, réalisateur

Nora Philippe, réalisatrice

Alexandra Pianelli, réalisatrice

Pierre Pinaud, réalisateur

Sylvain Pioutaz, réalisateur

Xavier Plèche, producteur chez Picseyes

Sébastien Plessis, chef électricien 

Caroline Poggi, réalisatrice

Marie Poitevin, réalisatrice

Morgan Pokée, programmateur Cinéma Le Concorde La Roche-sur-Yon et comité de sélection de la Quinzaine des Réalisateurs

Bénédicte Portal, scénariste

Fany Pouget, première assistante réalisation

Jean Baptiste Pouilloux, réalisateur

Romain Poujol, directeur marketing Le Pacte

Laure Pradal, réalisatrice

Joana Preiss, actrice et réalisatrice

Shalimar Preuss, réalisatrice

Vincent Prin

Mathilde Profit, réalisatrice

Anne-Marie Puga, réalisatrice

Jean-Philippe Puymartin, acteur, réalisateur, directeur artistique

Andréa Queralt, productrice

Marie Queysanne, attachée de presse

François Quiqueré, monteur

Olivier Rabourdin, acteur

Anastasia Rachman, distributrice Météore Films

Alain Raoust, réalisateur

Emmanuel Alain-Raynal, producteur

Isabelle Rebre, cinéaste 

Catherine Rechard, documentariste

Antoine Rein, producteur Kare Productions

Antoine Reinartz, comédien 

Cécile Remy-Boutang, directrice de production

Cyrill Renaud, directeur de la photographie

Guillaume Renusson, réalisateur

Quentin Reynaud, réalisateur

Damien Riba, réalisateur, compositeur et producteur

Pascal Ribier, ingénieur du son

André Rigaut, ingénieur du son

Vincent Rinaldi, assistant monteur

Stéphane Robelin, auteur, réalisateur

Mathieu Robin, scénariste et réalisateur

Séverine Rocaboy, exploitante de salles

Loïs Rocque, producteur les Alchimistes

Giulia Rodino, monteuse

Dominique Roland, conseillère municipale

Claudia Rosenblatt, adaptatrice dans l’audiovisuel

Jessica Rosselet, productrice Leto Films

Marie Rosselet-Ruiz, réalisatrice

Gabriele Rossi, éducateur et réalisateur

Christophe Rossignon, producteur Nord-Ouest Films

Camille Rouaud, réalisateur

Christian Rouaud, réalisateur

Guillaume Roubaud-Quashie, agrégé et docteur en histoire

Jean Paul Rouve, acteur, réalisateur

David Roux, auteur, réalisateur

Jean Michel Roux, scénariste et réalisateur

Céline Rouzet, réalisatrice

Emmanuel Roy, réalisateur

Thibaut Ruby, producteur exécutif FOST Studio 

Samuel Ruffier, réalisateur

Alexandre Saada, compositeur

Baptiste Saint-Dizier, chef monteur

Michel Saint Jean, producteur et distributeur Diaphana

Victor Saint-Macary, auteur et réalisateur

Jean-Paul Salomé, cinéaste 

Julien Samani, réalisateur

Rima Samman, réalisatrice et artiste

Natacha Samuel, réalisatrice

Olivier Sarrazin, réalisateur

Simon Sastre, responsable édition vidéo Diaphana

Baptiste Savoie, assistant de production

Régis Sauder, réalisateur

Anne Sauzay, retraitée

Harmel Sbraire, coach théâtre et cinéma

Thomas Schmitt, producteur 

Colombe Schneck, auteur et réalisatrice

Pierre Schoeller, réalisateur

Carole Scotta, directrice de Haut et Court

Lizzie Sebban, agent artistique

Dorothée Sebbagh, réalisatrice

Marthe Sébille, réalisatrice

Anne Seibel, cheffe décoratrice

Ina Seghezzi, réalisatrice

Guillaume Senez, réalisateur

Bertrand Seitz, chef décorateur  

Reza Serkanian, réalisateur

Louis-Albert Serrut, scénariste et réalisateur

Léa Seydoux, actrice

Natacha Seweryn, programmatrice et chercheuse 

Thomas Silberstein, comédien

Caroline Silhol, comédienne 

Laura Silhol, agent d’accompagnement à l’éducation de l’enfant

Marion Silhol, metteur en scène et animateur de troupe de théâtre

Nicolas Silhol, réalisateur

Olivier Silhol, organisateur de festival de jazz

Charlotte Silvera, réalisatrice

Bastien Simon, réalisateur

Christopher Simon, réalisateur

Justine Simon, comédienne et cinéaste

Morgan Simon, réalisateur

Torren Simonsz, comédien

Ronan Sinquin, chef monteur

Eyal Sivan, réalisateur et producteur 

Patrick Sobelman, producteur

Julie Sokolowski, réalisatrice et actrice 

Alexandra Sollogoub, scénariste et réalisatrice

Thomas Soliveres, acteur

Nicola Sornaga, réalisateur

Anne Souriau, cheffe monteuse

Gordon Spooner, directeur de la photographie

Boris Spire, exploitant de salles

Heiny Srour, scénariste, réalisatrice et productrice 

Alexandre Steiger, réalisateur et comédien 

Juliette Steimer, actrice et réalisatrice

Rémi Stengel, ingénieur du son

Anne Suarez, actrice

Brigitte Sy, actrice

Laure Talazac, maquilleuse

Mika Tard, scénariste

Janek Tarkowski, scénariste et réalisateur

Laure Tarnaud, secrétaire générale du cinéma du Réel 

Justin Taurand, producteur

Sophie Tavert Macian, scénariste et réalisatrice

Céline Tejero, scénariste et réalisatrice

Novais Teles Marcelo, scénariste et réalisateur

Charles Templon, acteur

Sabine Ternon, réalisatrice

Pascal Tessaud, réalisateur

Laurent Tesseyre, chef décorateur 

Samuel Theis, réalisateur 

Mathias Théry, réalisateur

Pierre-Yves Thieffine, machiniste de construction cinéma

Christopher Thompson, réalisateur

Jean-Pierre Thorn, réalisateur

Laurent Tirard, réalisateur 

Catherine Tissier, réalisatrice

Agathe Torti Alcayaga, MCF

Marie-Claude Treilhou, réalisatrice

Annie Tresgot, réalisatrice

Justine Triet, réalisatrice

Gilles Trinques, réalisateur

Mat Troi Day, directeur de production

Martin Tronquart, réalisateur

Dominique Toulat, directeur-programmateur du cinéma de la Ferme du Buisson

Sarah Turoche, chef monteuse

Gaspard Ulliel, acteur 

Diego Urgoiti-Moinot, directeur de production

Agnès Valentin, actrice

Vanessa van Zuylen, productrice VVZ production

Paula Vandenbussche, productrice, technicienne

Isabelle Vanini, programmatrice

Pamela Varela, réalisateur

Cédric Venail, réalisateur

Philippe Venault, réalisateur

Anaïs Venturi, scénariste et réalisatrice

Matthieu Verhaeghe, producteur, Atelier de production

Thomas Verhaeghe, producteur, Atelier de production

Martin Verdet, réalisateur

Laure Vermeersch, cinéaste

Béatrice Vernhes, réalisatrice

Marion Vernoux, réalisatrice

Cyprien Vial, réalisateur

Tatiana Vialle, directrice de casting

Arnaud Viard, réalisateur

Karin Viard, actrice 

Jean-Baptiste Viaud, délégué général de la Cinetek

Frédéric Videau, scénariste, réalisateur 

Tanguy Viel, écrivain

Alice Vigier, actrice et metteuse en scène

Leslie Villiaume, réalisatrice

Jean-Pierre Vincent, attaché de presse

Pascal-Alex Vincent, réalisateur et enseignant

Claire Viroulaud, attachée de presse

Alice Voisin, scénariste, réalisatrice

Claire Vorger, Attachée de presse, membre du CLAP

Colia Vranici, réalisatrice

Elie Wajeman, réalisateur

Vincent Wang, réalisateur 

Ryme Wehbi, productrice et cofondatrice de White Panama Films

Édouard Weil, producteur

Eduardo Williams, réalisateur

Zoé Wittock, écrivaine, réalisatrice

Éléonore Weber, réalisatrice

Sacha Wolff, réalisateur

Iris Wong, scénariste et romancière

Louise Ylla-Somers, coordinatrice de festival

Luc Wouters, réalisateur

Candice Zaccagnino, productrice, présidente de ElianeAntoinette

Stéphane Zaubister, photographe 

Véronique Zerdoun, productrice

Anne Zinn-Justin, scénariste et réalisatrice

Patrick Zocco, réalisateur

Organisations :

AARSE – Association des auteurs réalisateurs du sud-est

ACDC – Agences de communication du cinéma

ACID – Association du cinéma indépendant pour sa diffusion

ACRIF – Association des cinémas de recherche d’Île-de-France

ADC –  Association des chefs décorateurs

Addoc – Association des cinéastes documentaristes

AFCA – Association française du cinéma d’animation

ARBRE – Auteurs réalisateurs en Bretagne

ARDA – Association des responsables de distribution artistique

l’ARP – Société civiles des auteurs réalisateurs producteurs 

AFSI – Association française du Son à l’Image

Bac Films 

BUS Films

Carrefour des festivals

CGT Spectacle

Cinémas d’Aujourd’hui Belfort – association de Cinéma Art & Essai

CIP – Cinémas Indépendants Parisiens 

CLAP Cinéma – Cercle Libre des attaché(e)s de presse cinéma

DIRE – Distributeurs indépendants réunis européens

EPCC Ciclic Centre Val de Loire

Etna – Atelier de cinéma expérimental 

FAMS – Fédération des associations des métiers du scénario

Festival LE TEMPS PRESSE

FOST Studio 

L’Agence du court métrage

Les Écrans du Large

Le GREC

Les Monteurs associés

Le Pacte

Moneypenny Productions

Pulp Films

RegardOcc – Collectif des Auteurs.trices-Réalisateurs.trices en Occitanie

ROC – Regroupement des Organisations du Court métrage

SAFIR – Société des auteurs réalisateurs de films indépendants en région 

SCAM – Société civile des auteurs multimédia

Séquences 7 – Association de scénaristes émergents

SFA – Syndicat français des artistes interprètes

SFR CGT – Syndicat français des réalisateurs

SPI – Syndicat des producteurs indépendants

SPIAC CGT – Syndicat des professionnels de l’industrie de l’audiovisuel et du cinéma

SRF – Société des réalisateurs de films

Tënk

The Jokers Films

Union des chefs opérateurs

UPC – Union des producteurs de cinéma

Cette tribune initiée par la Société des réalisateurs de film (SRF) est signée par plus de 800 professionnels du cinéma, parmi lesquels Yvan Attal, Jacques Audiard, Antoine Barraud, Bertrand Bonello, Louise Bourgoin, Guillaume Canet, Laurent Cantet, Marion Cotillard, Anaïs Demoustier, Claire Denis,  Sylvain Descloux, Valérie Donzelli, Philippe Faucon, Julie Gayet, Cédric Klapisch, Laurent Lafitte, Noémie Lvovsky, Chiara Mastroianni, Emmanuel Mouret, Pierre Niney,  Axelle Ropert, Jean-Paul Rouve, Jean-Paul Salomé, Léa Seydoux, Gaspard Ulliel, Karin Viard, Aurélien Vernhes-Lermusiaux… UN JOUR SANS FINQu’est-ce qu’on attend exactement ?  Aujourd’hui, et depuis de très longs mois, les 5 913 écrans des 2 046 cinémas de France sont maintenus fermés au nom d’un principe de précaution sanitaire pourtant contredit par un avis du Conseil scientifique du 26 octobre et par l’étude ComCor de l’Institut Pasteur du 10 décembre 2020. Aujourd’hui nous pourrons donc, encore et toujours, faire la queue pour aller acheter des baskets ou une glace, nous entasser dans les supermarchés ou prendre le train, même bondé, mais nous ne pourrons pas aller au cinéma. Ni au théâtre. Et cela malgré la mise en place d’un protocole sanitaire des plus stricts et des plus fiables dès le premier jour du déconfinement.  Au gré des chiffres, des variants, des politiques d’image, d’annonce, de culpabilisation ou d’intimidation, nous avons le sentiment d’être éradiqués. Et alors quoi ? On reste fermé un an, deux ans ? Pour toujours ? Monsieur le Président, nous voudrions préciser une chose que l’opinion publique ne sait pas, mais que, bien plus grave, vous ne semblez pas savoir non plus : le cauchemar que vit l’industrie du cinéma, ses travailleurs et travailleuses, n’est pas tant celui de l’année passée, certes extrêmement difficile, mais bel et bien celui des deux voire trois années à venir. Chaque semaine de fermeture ajoute à la catastrophe en marche.  C’est l’avenir d’une profession qui est hypothéqué, à mesure que les films terminés s’empilent chaque semaine sur les étagères des distributeurs. C’est le « tout plateforme » qui s’installe dans les habitudes et dévalorise nos ambitions et nos droits. C’est une filière industrielle économique forte de 340 000 emplois qui coule. C’est un monde de débats et d’idées qui s’appauvrit considérablement. Car le cinéma ne se préoccupe pas que du cinéma. Il se préoccupe de tout ce qui fait société, ouvre à la réflexion, à la discussion, amène la rencontre avec ce public qui nous manque à hurler. Et à qui l’on manque.  Quel gâchis.Quelle violence.Quelle injustice. Combien de fois faudra-t-il répéter qu’aucun théâtre, lieu de culture ou salle de cinéma n’a été un cluster ? Combien de fois faudra-t-il répéter que nous ne sommes ni des troubadours égoïstes et déconnectés, ni des divas dans des tours d’ivoire mais bel et bien des femmes et des hommes responsables, conscients de la gravité de la situation ? Que le cinéma français est la troisième cinématographie la plus importante du monde, et que vous risquez de la faire s’effondrer en à peine un an. Monsieur le Président, une étude allemande menée par l’Institut Hermann Rietschel (Université de Berlin) vient de conclure que les salles de cinéma sont deux fois plus sûres que les supermarchés et trois fois plus sûres que les voyages en train. Lisez-la ! Votre silence et celui de votre gouvernement sont en train de tuer le cinéma français, et plus généralement une grande partie de notre culture. Dans le respect des gestes barrières, de la distanciation physique et d’une jauge qui permette à chacun d’être en sécurité : ré-ouvrez les salles ! Maintenant ! La tribune sur Le Monde : ici. Signataires :  Margot Abascal, comédienne Judith Abitbol, cinéaste  Jean Achache, réalisateur et producteur Mona Achache, réalisatrice  Julie Aguttes, réalisatrice Vicentia Aholoukpé, exploitant de salles Fleur Albert, réalisatrice  Fulvia Alberti, réalisatrice Karin Albou, scénariste, réalisatrice et écrivaine José Alcala, scénariste et réalisateur Florence Alexandre, attachée de presse Inès Alez-Martin, accessoiriste plateau Rémi Allier, réalisateur Siegrid Alnoy, scénariste et réalisatrice Noël Alpi, réalisateur Oulaya Amamra, comédienne Nathan Ambrosioni, réalisateur Shirel Amitay, scénariste et réalisatrice Viviani Andriani, attachée de presse Claire Angelini, artiste et réalisatrice indépendante Théodore Anglio-Longre, étudiant en master de cinéma et critique Alix Anne, réalisatrice Charlie Anson, acteur Eric Altmayer, producteur Nicolas Altmayer, producteur Marie-France Alvarez, comédienne Cristèle Alves Meira, réalisatrice Patrick André, producteur Christophe Andréi, scénariste et réalisateur Hélène Angel, scénariste et réalisatrice Stéphane Arnoux, réalisateur Ariane Ascaride, actrice Aure Atika, comédienne Yvan Attal, comédien Samuel Aubin, scénariste Nicolas Aubry, réalisateur Jacques Audiard, réalisateur Jean Luc Audy, chef opérateur son  Axel Auriant, comédien Serge Avedikian, comédien, auteur et réalisateur Jocelyne Ayella, médecin Myriam Aziza, réalisatrice Anne Azoulay, comédienne et réalisatrice  Noé Bach, directeur de la photographie Sébastien Bailly, réalisateur Coralie Barelier, assistante chargée de figuration Olivier Baroux, réalisateur Claude Barras, réalisateur et scénariste Claire Barrau, auteure, productrice Vincent Barre, sculpteur et réalisateur Patricia Barsanti, présidente de la société Cinématographique Lyre Luc Battiston, réalisateur Jean-Pierre Bastid, auteur, réalisateur Pierre Baussaron, producteur Mathilde Bayle, scénariste et réalisatrice Florian Beaume, scénariste et réalisateur Frank Beauvais, réalisateur Xavier Beauvois, réalisateur Noémie Bédrède, programmatrice Alice Belaidi, actrice Raymond Bellour, directeur de recherche honoraire au CNRS, membre de la rédaction de Trafic, revue de cinéma Lucas Belvaux, réalisateur Kaouther Ben Hania, réalisatrice Adila Bendimerad, actrice, productrice Alain Benguigui, producteur Sombrero Films Arnaud Bénoliel, scénariste, réalisateur Tanguy Bernard, musicien et réalisateur Marc Bertin, comédien Adrien Bertet, producteur  Vanessa Bertin, assistante de production Diane Bertrand, cinéaste Fatima Bianchi, monteuse,  réalisatrice Thomas Bidegain, scénariste et réalisateur Lisa Billuart-Monet, réalisatrice Liouba Bischoff, enseignante-chercheuse Sylvia Biville, comptable Catherine Bizern, déléguée générale du Cinéma du Réel  Bernard Blancan, comédien et réalisateur Christian Blanchet, cinéaste Lise Blanchet, journaliste  Léo Blandino, auteur, réalisateur Catherine Blangonnet-Auer, directrice de rédaction Images documentaires Laurent Blois, délégué général du SPIAC Sophie Blondy, réalisatrice  Thalie Boccabella, régisseuse Philip Boëffard, producteur Nord-Ouest Films Romane Bohringer, cinéaste Maxime Boilon, membre de RegarDocc Aurélie Boivin, réalisatrice et photographe  Nicolas Bole, coordinateur général de festival Georges Bollon, retraité de l’action culturelle cinématographique Mathieu Bompoint, producteur Caroline Bonmarchand, productrice Avenue B productions Jérôme Bonnell, réalisateur Bertrand Bonello, cinéaste Valérie Bonneton, actrice Aurélie Bordier, déléguée générale de l’ACID Florence Borelly, productrice  Claudine Bories, réalisateur Gabriel de Bortoli, attaché de presse Claude Bossion, réalisateur Marie Bottois, monteuse Odile Bouchet, membre actif de l’Association Rencontres Cinémas d’Amérique Latine de Toulouse ARCALT Laurent Bouhnik, réalisateur Lucie Boujenah, comédienne Louise Bourgoin, actrice Sophie Bouteiller, scripte, 1ère assistante réalisateur·ice Karine Boutroy, architecte scénographe Diane Sara Bouzgarrou, cinéaste Leyla Bouzid, réalisatrice Guillaume Brac, réalisateur Sandrine Brauer, productrice Guillaume Bréau, réalisateur et scénariste  Sophie Bredier, réalisatrice Jean Bréhat, producteur Jean Breschand, scénariste Adrien Bretet, producteur Eric-John Bretmel, réalisateur Pascale Breton, réalisateur  Caroline Brésard, comédienne Peter Brook, metteur en scène, acteur, réalisateur et écrivain Dorine Brun, réalisatrice Rosalie Brun, déléguée générale de la SRF Damien Brunner, producteur Didier Brunner, producteur Claire Burger, réalisatrice Gaël Cabouat, productrice Fulldawa Films Hubert Caillard, avocat Laure Calamy actrice Chloé Cambournac, chef décoratrice Géraldine Cance, attachée de presse Guillaume Canet, acteur et réalisateur Laurent Cantet, réalisateur Marilyne Canto, comédienne  Christine Cardaropoli, chef maquilleuse, chef coiffeuse Johanna Careire,  directrice Artistique Festival International du Film Indépendant de Bordeaux Patrice Carré, journaliste et réalisateur Stéphane Carreras, productrice Nyima Cartier, réalisatrice Yannick Casanova, réalisateur Catherine Castel, réalisatrice  Charles Castella, réalisateur Anna Cazenave Cambet, réalisatrice Emilie Cazenave, actrice Sophie Chaffaut, attachée de presse agence Valeur Absolue Patrice Chagnard, réalisateur Etienne Chaillou, réalisateur Emmanuel Chain, producteur, Elephant Marie-Sophie Chambon, scénariste-réalisatrice Arié Chamouni, producteur Marie de Chassey, scripte  Chantal Chatelain, représentante de spectateurs Olivier Charasson, acteur Elsa Charbit, directrice artistique d’Entrevues festival international du Film de Belfort Eric Charbot, producteur Jérémie Charrier, attaché de presse Hubert Charuel, réalisateur Carole Chassaing, productrice Remi Chaye, réalisateur Judith Chemla, actrice  André Chesneau, retraité Catherine Chesnau, artiste peintre Colin Chesneau, monteur Camille Chevalier, secrétaire générale adjointe de la Quinzaine des réalisateurs Emmanuel Chevalier, distributrice les Films du Préau  Laurent Chevallier, réalisateur Brigitte Chevet, réalisatrice Louise Chevillotte, comédienne Malik Chibane, réalisateur Benoît Chieux, réalisateur Patric Chiha, réalisateur Maguy Cisterne, secrétaire générale du festival de Brive Christine Citti, actrice, autrice Arié Chamouni, producteur Hung-Chun Chen, réalisatrice Nathalie Cheron, directrice de casting, Présidente de l’ARDA Manuel Chiche, gérant The Jokers Films  Vanya Chokrollahi, réalisateur Jean Paul Civeyrac, attaché de press Jeremy Clapin, réalisateur Marion Clauzel, scénariste Marie Clément, enseignante en cinéma Alexandre Coffre, réalisateur, scénariste Clément Cogitore, réalisateur Christophe Cognet, réalisateur Abraham Cohen, réalisateur Joachim Cohen, assistant d’agent artistique Richard Copans, réalisateur et producteur Louise Coldefy, actrice Christine Colin Milko, adaptatrice doublage Etienne Comar, réalisateur Muriel Combeau, actrice Jean-Louis Comolli, réalisateur et écrivain Anne Consigny, comédienne Thierry Consigny, publicitaire Philippe Coquillaud-Coudreau, directeur du cinéma Le Méliès à Pau Catherine Corsini, réalisatrice Marion Cotillard, comédienne Jean Cottin, producteur Manon Coubia, réalisatrice Bénédicte Couvreur, productrice Vero Cratzborn, réalisatrice Anne-Claire Créancier, directrice de production Marc-Benoît Créancier, producteur  Jeanne Crépeau, réalisatrice et formatrice Juliette Crété, 1ère Assistante mise en scène Jean-Noël Cristiani, réalisateur Romain Cros, premier assistant réalisateur Laurent Crouzeix, délégué général du festival Sauve Qui peut le court métrage  Delphine Crozatier, présidente de Contrebande Productions Jean-Jacques Cunnac, auteur-réalisateur Isabelle Czajka, réalisatrice Didier d’Abreu, cinéaste Raphaëlle Danglard, agent artistique Marie Daniel, directrice de l’IFFCAM Benoit Danou, producteur harvest moon Danièle D’Antoni, agent artistique  Aurélie Dard, attachée de presse Fleur Dagorn, étudiante en production audiovisuelle  Isabelle Dario, réalisatrice et monteuse Joao Da Rocha, doctorant en littérature française Judith Davis, réalisatrice et comédienne Antoine de Bary, réalisateur Marie de Busscher, réalisatrice Albane de Jourdan, productrice Christophe Dejours, psychiatre, psychanalyste, professeur émérite à l’Université Paris Nanterre Patrick Dekeyser, vidéaste Emilie Deleuze, réalisatrice Sarah Delmas, directrice des développements  Natacha Delmon Casanova, productrice Edouard Deluc, scénariste et réalisateur Sophie Delvallée, réalisatrice Emmanuelle Demoris, réalisatrice Anaïs Demoustier, actrice Arnaud Demuynck, réalisateur Claire Denis, réalisatrice Florence Denou, actrice David Depesseville, réalisateur Eugénie Deplus, directrice de post production Pauline de Raymond, responsable de programmation à la Cinémathèque française  Arnaud des Pallières, réalisateur Tom Dercourt, producteur Julien Deris, producteur Cinefrance Studios Cécile Déroudille, réalisatrice Caroline Deruas, réalisatrice Guillaume Descamps, secrétaire général du Festival des Trois Continents Christophe Desenclos, directeur de production  Daniel Deshays, ingénieur du son Antoine Desrosieres, réalisateur Alexandre Desrousseaux, acteur Marion Desseigne Ravel, scénariste et réalisatrice  Emmanuelle Devos, actrice Eric Devulder, chef opérateur du son Marcial Di Fonzo Bo, acteur et directeur de la Comédie de Caen Katell Djian, chef opérateur  Didar Domehri, productrice Timothée Donay, distributeur Les Alchimistes  Anthony Doncque, producteur Valérie Donzelli, réalisatrice et actrice Clément Dorival, réalisateur Christine Dory, cinéaste Laetitia Dosch, actrice  Alice Douard, réalisatrice Claire Doyon, cinéaste Céline Drean, scénariste et réalisatrice  Evelyne Dress, auteur, réalisateur et producteur Léa Drucker, comédienne Émérance Dubas, réalisatrice Bernard Dubois, réalisateur Claire Duburcq, actrice Cécile Ducrocq, réalisatrice David Dufresne, réalisateur Marc Dugain, réalisateur Pierre Dugowson, réalisateur Hervé Duhamel, directeur de production cinéma Sandrine Dumas, réalisatrice Annick Dumout  Pierre-Nicolas Durand, réalisateur Karine Durance, attachée de presse Riton Dupire Clément, chef décorateur Claire Duburcq, actrice Jean Pierre Duret, ingénieur du son Claude Duty, réalisateur  Chloé Duval, réalisatrice Roland Edzard, réalisateur Nadia El Fani, réalisatrice Ismaël El Iraki, réalisateur Kamal El Mahouti, réalisateur Nicolas Elghozi, producteur Galatée Films Philippe Elusse, auteur réalisateur Jean-Bernard Emery, attaché de presse  Licia Eminenti, scénariste et réalisateur Mareike Engelhardt, réalisatrice Octavio Espirito Santo, directeur de la photographie Laurine Estrade, réalisatrice Audrey Estrougo, réalisatrice Séréna Evely, travailleur indépendant dans le domaine culturel Hicham Falah, cinéaste, délégué général du Festival International de film Documentaire à Agadir et Directeur artistique du Festival international du film de femmes de Salé Jacques Fansten, réalisateur François Farellacci, réalisateur Coralie Fargeat, réalisatrice Philippe Faucon, réalisateur Cyrielle Faure, réalisatrice Julia Faure, comédienne Pascale Faure, productrice  Léa Fehner, réalisatrice Michel Feller, producteur société Mon Voisin Productions Cécile Felsenberg, agent artistique Julien Féret, producteur et réalisateur Ariza Fernando, directeur Festival Huelas Maud Ferrari, scénariste et réalisatrice Linda Ferrer Roca, réalisatrice Jeanne Ferron, comédienne  Michel Ferry, réalisateur et exploitant de salles Anaïs Feuillette, documentariste Agnès Feuvre, scénariste Francine Filatriau, chef opérateur, réalistrice Emmanuel Finkiel, réalisateur Aline Fischer, scénariste et réalisatrice Chantal Fischer, productrice Marie Fischer, 1ère assistante réalisateur Stéphane Foenkinos, auteur et réalisateur Victoria Follonier, monteuse Fanny Fontan, scénariste et réalisatrice Camille Fontaine, scénariste réalisatrice   Benoît Forgeard, réalisateur Leila Fournier, responsable de distribution artistique Eric Fourniols, scénariste, réalisateur Tristan Francia, auteur, réalisateur Christine François, réalisatrice Samuel François-Steininger, producteur Composite Films Jacques Frétel, retraité  Brahim Freita, auteur et réalisateur David Frenkel, producteur Manuela Frésil, cinéaste  Damien Fritsch, réalisateur François Fronty, réalisateur Jones Gaëlle, productrice Jean-Luc Gaget, scénariste Luc Gallissaires, réalisateur Antoine Garceau, réalisateur Laurence Garret, cinéaste  Florence Gastaud, productrice  David Gauquié, producteur Cinefrance Studios Julie Gayet, réalisatrice Cyril Gelblat, réalisateur Hugo Gélin, réalisateur Fabrice Genestal, réalisateur Sylvain George, réalisateur Hassam Ghancy, acteur Denis Gheerbrant, réalisateur David Gheron Tretiakoff, plasticien Mariette Gutherz, réalisatrice Pauline Gilbert, directrice de post-production Yann Gilbert, producteur La mouche du coche films  Léa Gilet-Lorand, assistante casting  Bernard Gilhodes, scénariste, réalisateur et reporter Claudie Gillot-Dumoutier, présidente de l’association Cinéma l’Écran à Saint-Denis  Thomas Gilou, scénariste et réalisateur Alice Girard, productrice Elise Girard, réalisatrice Hippolyte Girardot, comédien  Jacques-Rémy Girerd, auteur et réalisateur Félix de Givry, réalisateur Delphine Gleize, réalisatrice Lucas Gloppe, réalisateur Fabrice Gobert, réalisateur Tito González García, réalisateur  Yann Gonzalez, réalisateur Florent Gouëlou, réalisateur Diego Governatori, réalisateur  Alexander Graeff, réalisateur Laurence Granec, attachée de presse Camille Grangé, scénariste Denys Granier-Deferre, réalisateur Alexandra Grau de Sola, réalisatrice, scénariste Eugène Green, cinéaste et écrivain Pascal Greggory, acteur  Audrey Grimaud, attachée de presse agence Valeur Absolue Benjamin Groussain, steadicamer  David Grumbach, directeur général Bac Films  Samir Guesmi, acteur et réalisateur Dominique Guerin, productrice et cofondatrice de Ping&Pong Productions José Luis Guerin, réalisateur Philippe Guilbert, directeur de la photographie  Olivier Guillaume, mixeur Pierre Guyard, producteur Nord-Ouest Films Patrick Hadjadj, réalisateur Stéphanie Halfon, chargée de développement Arthur Hallereau, directeur marketing Ad vitam  Virginie Hallot , comédienne, metteure en scène et scénariste François Hamel, directeur de production Violaine Harchin, distributrice Les Alchimistes  Ted Hardy-Carnac, réalisateur Antoine Héberlé, directeur de la photographie Arnaud Hemery, scénariste Judith Henry, comédienne Ludovic Henry, producteur Laurent Herbiet, réalisateur et scénariste Noël Herpe, réalisateur Clotilde Hesme, actrice Laurent Heynemann, réalisateur Alexandre Hilaire, réalisateur Mireille Hilsum, professeure émérite de l’Université Jean Moulin Lyon 3 Xavier Hirigoyen, directeur de la distribution Le Pacte  Esther Hoffenberg, réalisatrice et productrice  Julien Hosmalin, réalisateur Armel Hostiou, cinéaste Gabrielle Hours, directrice de Production Danielle Jaeggi, réalisatrice Raphaël Jacoulot, réalisateur Olivier Jahan, réalisateur Audrey Jean-Baptiste, réalisatrice Thomas Jeand’heur, comédien François-Régis Jeanne, réalisateur Thomas Jenkoe, réalisateur Vanessa Jerrom, attachée de presse Charlie Joirkin, comédienne Gaëlle Jones, productrice Thierry Jousse, réalisateur et producteur radio Guillaume Juhel, directeur marketing  Valérie Jung, scénographe Régine Jusserand, monteuse Jean Kalman, créateur lumières Daniel Kamwa, acteur et réalisateur Leslie Kaplan, écrivain Naruna Kaplan de Macedo, cinéaste membre de l’ACID Sam Karmann, comédien, réalisateur Sehrat Karaaslan, réalisateur Valérie Karsenti, comédienne Marc Khanne, réalisateur documentaire Canelle Kieffer-Silou, directrice de production et post-production Christine Kiehl, maître de conférences, directrice L3, département d’études du monde anglophone, département d’arts du spectacle, Université Lumière Lyon 2 Nadège Kintzinger, chef monteuse image Laurence Kirsch, auteure et réalisatrice Cédric Klapisch, réalisateur Florent Klockenbring, opérateur du son Manon Kneusé, comédienne Beaudoin Koenig, réalisateur Anne Lise Kontz, attachée de presse Béatrice Kordon, réalisatrice Corinne Kouper, productrice Nathalie Kouper, coordinatrice générale du festival Paris Courts Devants  Julia Kowalski, réalisatrice François Kraus, producteur, Les Films du Kiosque  Jean Labadie, directeur général Le Pacte Manele Labidi, réalisatrice Pierre Lacan, réalisateur Joris Lachaise, réalisateur Madeleine Lacombe, retraitée, théâtre amateur Vincent Lacoste, acteur Didier Lacourt, distributeur Diaphana  Nathalie Lacroix, comédienne  Laurent Lafitte, acteur et réalisateur Joachim Lafosse, réalisateur Leslie Lagier, réalisatrice Alexandre Lamarque A.F.C, directeur de la photographie Marion Lambert, comédienne Kloé Lang, réalisatrice Didier Lannoy, auteur réalisateur Massoumeh Lahidji, interprète Séverine Lajarrige, attachée de presse Véronique Lalubie, réalisatrice Élise Larnicol, actrice Maria Larrea, réalisateur Jean-Marie Larrieu, réalisateur Kristina Larsen, productrice Eric Lartiguau, réalisateur Sonia Larue, réalisatrice Marion Lary, réalisatrice Laurence Lascary, productrice (DACP) Manu Laskar, acteur et cinéaste Sarah Lasry, réalisatrice Albertine Lastera, monteuse Julie Leclerc, habilleuse Luc Leclerc du Sablon,réalisateur Lidia LeBer Terki, réalisatrice  Gabriel Le Bomin, réalisateur William Lebghil, comédien  Anna Lebovits, comédienne Julien Lecat, réalisateur Michel Leclerc, scénariste, réalisateur Quentin Lecocq, réalisateur Erwan Le Duc, réalisateur Murielle Lefebvre, comédienne Michelle Le Gaffric, collaboratrice d’agent artistique Cyril le Grix, réalisateur et metteur en scène Jean-Baptiste L’Herron, agent artistique Karolyne Leibovici, publicist de talents A&K communication Nolwenn Lemesle, scénariste et réalisatrice Louise Lemoine Torrès, actrice et scénariste Alban Lenoir, comédien Blandine Lenoir, réalisatrice Serge Le Péron, réalisateur Grégoire Leprince-Ringuet, acteur, réalisateur Etienne Lerbret, attaché de presse indépendant  Anthony Lesaffre, producteur Vigario productions  Quentin Lestienne, réalisateur Florence Lesven, directrice de production  Guillaume Levil, scénariste et réalisateur Elisabeth Leuvrey, réalisatrice Karen Levy Bencheton, productrice société KLB Lorraine Lévy, réalisatrice Christelle Lheureux, scénariste, réalisatrice et enseignante Philippe Liégeois, producteur Philippe Lignières, cinéaste Carl Lionnet, scénariste et réalisateur Jean-Louis Livi, Producteur Société F comme film Philippe Locquet, réalisateur Florence Loiret Caille, comédienne Franco Lolli, réalisateur Antoine Lopez, cofondateur du festival de Clermont-Ferrand Chloé Lorenzi, attachée de presse Marie Losier, réalisatrice et artiste Emile Louis, assistant réalisateur Olivier Loustau, réalisateur Marie-Ange Luciani, productrice Nicolas Lugli, réalisateur Anne Luthaud, déléguée générale du GREC  Noémie Lvovsky, scénariste, réalisatrice et actrice Jean Mach, producteur, réalisateur Lisa Macheboeuf, scénariste Gregory Magne, scénariste et réalisateur  Celia Mahistre, attachée de presse Juliette Maillard, 1ère assistante réalisation Pierre Maillet, acteur, metteur en scène Gaëlle Malandrone, comédienne  Caroline Maleville, programmatrice Yohan Manca, scénariste, réalisateur et acteur Bertrand Mandico, réalisateur Marie Mandy, réalisatrice Damien Manivel, réalisateur Naël Marandin, réalisateur François Margolin, réalisateur et producteur Zulmira Marquet, auto-entrepreneuse Paul Marques Duarte, réalisateur Juliette Martinaud, alternante juriste Laila Marrakchi, réalisatrice Corinne Masiero, comédienne Marie Masmonteil, productrice Babette Masson, directrice de compagnie de théâtre Lucas Masson, réalisateur, monteur Chiara Mastroianni, actrice Claire Mathon, directrice de la photographie Marie-Annick Mattioli, maîtresse de conférences en anglais Edouard Mauriat, producteur Nicolas Maury, réalisateur, acteur Pierre Mazingarbe, réalisateur Chloé Mazlo, réalisatrice Mohamed Megdoul, réalisateur Boris Mendza, producteur Fulldawa Films Jean-Luc Mengus, correcteur et secrétaire de rédaction de la revue Tafic Aloïs Menu Bernadet, acteur et réalisateur Stéphane Mercurio, réalisateur  Agnès Merlet, réalisatrice Vincent Merlin, directeur de Cinémas 93 Frédéric Mermoud, réalisateur Nicolas Mesdom, réalisateur Nina Meurisse, comédienne Constance Meyer, réalisatrice Mathilde Mignon, réalisatrice Radu Mihaileanu, réalisateur Perrine Mihel, réalisatrice Viktor Miletić, réalisateur Emmanuelle Millet, réalisatrice Céline Milliat Baumgartner, actrice Félix Moati, acteur-réalisateur Dominik Moll, réalisateur Grégory Montel, comédien Anne Monfort, metteuse en scène Manuela Morgaine, réalisateur  Keren Moriano, productrice  Hélène Morsly, actrice et réalisatrice Maxime Motte, réalisateur Emmanuel Mouret, réalisateur Florence Muller, comédienne Véronique Müller, comédienne Xavier Mussel, acteur, scénariste et réalisateur Mathilde Muyard, chef monteuse Louise Narboni, réalisatrice Jean-Francois Naud, documentariste Kim Nguyen, directrice de production Fred Nicolas, scénariste et réalisateur Loïc Nicoloff, scénariste, réalisateur Nathan Nicolovitch, cinéaste Pierre Niney, comédien Sofia Norlin, réalisatrice  Valentina Novati, productrice et distributrice Joëlle Novic, réalisatrice Anna Novion, réalisatrice Christophe Offenstein, réalisateur Agathe Oléron, autrice, réalisatrice Delphine Olivier, attachée de presse  Manon Ott, réalisatrice Thomas Ordonneau, producteur  Damien Ounouri, réalisateur Bénédicte Pagnot, réalisatrice Géraldine Pailhas, actrice Nalin Pan, auteur, réalisateur Capucine Pantin, assistante de décoration Marie-Christine Parcot, chargée de communication Mélanie Parent-Chauveau, scripte Daniel Paris, réalisateur et écrivain Antoine Parouty, directeur de la photographie Doriane Pasquale, comédienne et réalisatrice Michel Patient, réalisateur Stéphanie Perard, comédienne Antoine Pereniguez, gérant de Diagonal Cinémas à Montpellier Antonin Peretjatko, réalisateur Thomas Percy, attaché de presse  Alexandre Perez, auteur et réalisateur Elisabeth Perez, productrice Nahuel Perez Biscayart, acteur Sandie Perez, directrice de casting Léa Pernollet, scénariste  Julie Perreard, auteure, réalisatrice Mireille Perrier, actrice  Martin Peterolff, réalisateur Philippe Petit, réalisateur Sylvère Petit, réalisateur Laurence Petit-Jouvet, réalisatrice Benoît Pétré, réalisateur  Olivier Peyon, réalisateur Nora Philippe, réalisatrice Alexandra Pianelli, réalisatrice Pierre Pinaud, réalisateur Sylvain Pioutaz, réalisateur Xavier Plèche, producteur chez Picseyes Sébastien Plessis, chef électricien  Caroline Poggi, réalisatrice Marie Poitevin, réalisatrice Morgan Pokée, programmateur Cinéma Le Concorde La Roche-sur-Yon et comité de sélection de la Quinzaine des Réalisateurs Bénédicte Portal, scénariste Fany Pouget, première assistante réalisation Jean Baptiste Pouilloux, réalisateur Romain Poujol, directeur marketing Le Pacte Laure Pradal, réalisatrice Joana Preiss, actrice et réalisatrice Shalimar Preuss, réalisatrice Vincent Prin Mathilde Profit, réalisatrice Anne-Marie Puga, réalisatrice Jean-Philippe Puymartin, acteur, réalisateur, directeur artistique Andréa Queralt, productrice Marie Queysanne, attachée de presse François Quiqueré, monteur Olivier Rabourdin, acteur Anastasia Rachman, distributrice Météore Films Alain Raoust, réalisateur Emmanuel Alain-Raynal, producteur Isabelle Rebre, cinéaste  Catherine Rechard, documentariste Antoine Rein, producteur Kare Productions Antoine Reinartz, comédien  Cécile Remy-Boutang, directrice de production Cyrill Renaud, directeur de la photographie Guillaume Renusson, réalisateur Quentin Reynaud, réalisateur Damien Riba, réalisateur, compositeur et producteur Pascal Ribier, ingénieur du son André Rigaut, ingénieur du son Vincent Rinaldi, assistant monteur Stéphane Robelin, auteur, réalisateur Mathieu Robin, scénariste et réalisateur Séverine Rocaboy, exploitante de salles Loïs Rocque, producteur les Alchimistes Giulia Rodino, monteuse Dominique Roland, conseillère municipale Claudia Rosenblatt, adaptatrice dans l’audiovisuel Jessica Rosselet, productrice Leto Films Marie Rosselet-Ruiz, réalisatrice Gabriele Rossi, éducateur et réalisateur Christophe Rossignon, producteur Nord-Ouest Films Camille Rouaud, réalisateur Christian Rouaud, réalisateur Guillaume Roubaud-Quashie, agrégé et docteur en histoire Jean Paul Rouve, acteur, réalisateur David Roux, auteur, réalisateur Jean Michel Roux, scénariste et réalisateur Céline Rouzet, réalisatrice Emmanuel Roy, réalisateur Thibaut Ruby, producteur exécutif FOST Studio  Samuel Ruffier, réalisateur Alexandre Saada, compositeur Baptiste Saint-Dizier, chef monteur Michel Saint Jean, producteur et distributeur Diaphana Victor Saint-Macary, auteur et réalisateur Jean-Paul Salomé, cinéaste  Julien Samani, réalisateur Rima Samman, réalisatrice et artiste Natacha Samuel, réalisatrice Olivier Sarrazin, réalisateur Simon Sastre, responsable édition vidéo Diaphana Baptiste Savoie, assistant de production Régis Sauder, réalisateur Anne Sauzay, retraitée Harmel Sbraire, coach théâtre et cinéma Thomas Schmitt, producteur  Colombe Schneck, auteur et réalisatrice Pierre Schoeller, réalisateur Carole Scotta, directrice de Haut et Court Lizzie Sebban, agent artistique Dorothée Sebbagh, réalisatrice Marthe Sébille, réalisatrice Anne Seibel, cheffe décoratrice Ina Seghezzi, réalisatrice Guillaume Senez, réalisateur Bertrand Seitz, chef décorateur   Reza Serkanian, réalisateur Louis-Albert Serrut, scénariste et réalisateur Léa Seydoux, actrice Natacha Seweryn, programmatrice et chercheuse  Thomas Silberstein, comédien Caroline Silhol, comédienne  Laura Silhol, agent d’accompagnement à l’éducation de l’enfant Marion Silhol, metteur en scène et animateur de troupe de théâtre Nicolas Silhol, réalisateur Olivier Silhol, organisateur de festival de jazz Charlotte Silvera, réalisatrice Bastien Simon, réalisateur Christopher Simon, réalisateur Justine Simon, comédienne et cinéaste Morgan Simon, réalisateur Torren Simonsz, comédien Ronan Sinquin, chef monteur Eyal Sivan, réalisateur et producteur  Patrick Sobelman, producteur Julie Sokolowski, réalisatrice et actrice  Alexandra Sollogoub, scénariste et réalisatrice Thomas Soliveres, acteur Nicola Sornaga, réalisateur Anne Souriau, cheffe monteuse Gordon Spooner, directeur de la photographie Boris Spire, exploitant de salles Heiny Srour, scénariste, réalisatrice et productrice  Alexandre Steiger, réalisateur et comédien  Juliette Steimer, actrice et réalisatrice Rémi Stengel, ingénieur du son Anne Suarez, actrice Brigitte Sy, actrice Laure Talazac, maquilleuse Mika Tard, scénariste Janek Tarkowski, scénariste et réalisateur Laure Tarnaud, secrétaire générale du cinéma du Réel  Justin Taurand, producteur Sophie Tavert Macian, scénariste et réalisatrice Céline Tejero, scénariste et réalisatrice Novais Teles Marcelo, scénariste et réalisateur Charles Templon, acteur Sabine Ternon, réalisatrice Pascal Tessaud, réalisateur Laurent Tesseyre, chef décorateur  Samuel Theis, réalisateur  Mathias Théry, réalisateur Pierre-Yves Thieffine, machiniste de construction cinéma Christopher Thompson, réalisateur Jean-Pierre Thorn, réalisateur Laurent Tirard, réalisateur  Catherine Tissier, réalisatrice Agathe Torti Alcayaga, MCF Marie-Claude Treilhou, réalisatrice Annie Tresgot, réalisatrice Justine Triet, réalisatrice Gilles Trinques, réalisateur Mat Troi Day, directeur de production Martin Tronquart, réalisateur Dominique Toulat, directeur-programmateur du cinéma de la Ferme du Buisson Sarah Turoche, chef monteuse Gaspard Ulliel, acteur  Diego Urgoiti-Moinot, directeur de production Agnès Valentin, actrice Vanessa van Zuylen, productrice VVZ production Paula Vandenbussche, productrice, technicienne Isabelle Vanini, programmatrice Pamela Varela, réalisateur Cédric Venail, réalisateur Philippe Venault, réalisateur Anaïs Venturi, scénariste et réalisatrice Matthieu Verhaeghe, producteur, Atelier de production Thomas Verhaeghe, producteur, Atelier de production Martin Verdet, réalisateur Laure Vermeersch, cinéaste Béatrice Vernhes, réalisatrice Marion Vernoux, réalisatrice Cyprien Vial, réalisateur Tatiana Vialle, directrice de casting Arnaud Viard, réalisateur Karin Viard, actrice  Jean-Baptiste Viaud, délégué général de la Cinetek Frédéric Videau, scénariste, réalisateur  Tanguy Viel, écrivain Alice Vigier, actrice et metteuse en scène Leslie Villiaume, réalisatrice Jean-Pierre Vincent, attaché de presse Pascal-Alex Vincent, réalisateur et enseignant Claire Viroulaud, attachée de presse Alice Voisin, scénariste, réalisatrice Claire Vorger, Attachée de presse, membre du CLAP Colia Vranici, réalisatrice Elie Wajeman, réalisateur Vincent Wang, réalisateur  Ryme Wehbi, productrice et cofondatrice de White Panama Films Édouard Weil, producteur Eduardo Williams, réalisateur Zoé Wittock, écrivaine, réalisatrice Éléonore Weber, réalisatrice Sacha Wolff, réalisateur Iris Wong, scénariste et romancière Louise Ylla-Somers, coordinatrice de festival Luc Wouters, réalisateur Candice Zaccagnino, productrice, présidente de ElianeAntoinette Stéphane Zaubister, photographe  Véronique Zerdoun, productrice Anne Zinn-Justin, scénariste et réalisatrice Patrick Zocco, réalisateur Organisations : AARSE – Association des auteurs réalisateurs du sud-est ACDC – Agences de communication du cinéma ACID – Association du cinéma indépendant pour sa diffusion ACRIF – Association des cinémas de recherche d’Île-de-France ADC –  Association des chefs décorateurs Addoc – Association des cinéastes documentaristes AFCA – Association française du cinéma d’animation ARBRE – Auteurs réalisateurs en Bretagne ARDA – Association des responsables de distribution artistique l’ARP – Société civiles des auteurs réalisateurs producteurs  AFSI – Association française du Son à l’Image Bac Films  BUS Films Carrefour des festivals CGT Spectacle Cinémas d’Aujourd’hui Belfort – association de Cinéma Art & Essai CIP – Cinémas Indépendants Parisiens  CLAP Cinéma – Cercle Libre des attaché(e)s de presse cinéma DIRE – Distributeurs indépendants réunis européens EPCC Ciclic Centre Val de Loire Etna – Atelier de cinéma expérimental  FAMS – Fédération des associations des métiers du scénario Festival LE TEMPS PRESSE FOST Studio  L’Agence du court métrage Les Écrans du Large Le GREC Les Monteurs associés Le Pacte Moneypenny Productions Pulp Films RegardOcc – Collectif des Auteurs.trices-Réalisateurs.trices en Occitanie ROC – Regroupement des Organisations du Court métrage SAFIR – Société des auteurs réalisateurs de films indépendants en région  SCAM – Société civile des auteurs multimédia Séquences 7 – Association de scénaristes émergents SFA – Syndicat français des artistes interprètes SFR CGT – Syndicat français des réalisateurs SPI – Syndicat des producteurs indépendants SPIAC CGT – Syndicat des professionnels de l’industrie de l’audiovisuel et du cinéma SRF – Société des réalisateurs de films Tënk The Jokers Films Union des chefs opérateurs UPC – Union des producteurs de …

3 mars 2021Actus-SPIactus-spi
Communiqué commun : Un an sans public, la culture sacrifiée

La Fédération des Entreprises du Spectacle vivant, de la musique, de l’Audiovisuel et du Cinéma (FESAC), dont le SPI est membre, est signataire aux côtés d’autres organisations professionnelles du communiqué « Un an sans public : la culture sacrifiée ».

Ce communiqué alerte sur la situation dramatique du secteur, appelle l’Etat à déconfiner la culture et à changer de méthode concernant les réouvertures de salles de spectacle et de cinéma.

Téléchargez le communiqué en cliquant ici.

La Fédération des Entreprises du Spectacle vivant, de la musique, de l’Audiovisuel et du Cinéma (FESAC), dont le SPI est membre, est signataire aux côtés d’autres organisations professionnelles du communiqué « Un an sans public : la culture sacrifiée ». Ce communiqué alerte sur la situation dramatique du secteur, appelle l’Etat à déconfiner la culture et à changer de méthode concernant les réouvertures de salles de spectacle et de cinéma. Téléchargez le communiqué en cliquant …

2 mars 2021Actus-SPIactus-spi
COMMUNIQUÉ : Création de la coordination inter-syndicale de l’audiovisuel

Dans un contexte de multiples négociations conventionnelles souhaitées par le Gouvernement, les syndicats de producteurs et de distributeurs audiovisuels ont décidé de se constituer en Coordination Inter-Syndicale de l’Audiovisuel (CISA).

La CISA regroupe AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA, les syndicats représentatifs du secteur audiovisuel qui rassemblent plus de 700 sociétés employant près de 120 000 professionnels.

La CISA est attachée au respect et à la pérennité des accords signés qui doivent permettre de laisser le temps indispensable à l’élaboration d’une réglementation équilibrée entre services de médias audiovisuels à la demande et éditeurs de la TNT.

Soucieuse de défendre la création indépendante, la CISA a vocation à coordonner et structurer les réflexions et les actions de ces syndicats. Elle s’appliquera à faire émerger des positions communes dans le cadre des négociations interprofessionnelles nécessaires aux mutations de l’audiovisuel français. 

Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 18 – s.lebars@uspa.fr

Florence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68  f.braka@ffap.fr

Emmanuelle Bouilhaguet – SEDPA – 06 68 79 58 70 – emmanuelle.bouilhaguet@sedpa.info

Vincent Gisbert – SPECT – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr

Olivier Zegna Rata – SPI – 01 44 70 70 44 – ozegnarata@lespi.org

Dans un contexte de multiples négociations conventionnelles souhaitées par le Gouvernement, les syndicats de producteurs et de distributeurs audiovisuels ont décidé de se constituer en Coordination Inter-Syndicale de l’Audiovisuel (CISA). La CISA regroupe AnimFrance, le SATEV, le SEDPA, le SPECT, le SPI et l’USPA, les syndicats représentatifs du secteur audiovisuel qui rassemblent plus de 700 sociétés employant près de 120 000 professionnels. La CISA est attachée au respect et à la pérennité des accords signés qui doivent permettre de laisser le temps indispensable à l’élaboration d’une réglementation équilibrée entre services de médias audiovisuels à la demande et éditeurs de la TNT. Soucieuse de défendre la création indépendante, la CISA a vocation à coordonner et structurer les réflexions et les actions de ces syndicats. Elle s’appliquera à faire émerger des positions communes dans le cadre des négociations interprofessionnelles nécessaires aux mutations de l’audiovisuel français.  Stéphane Le Bars – AnimFrance & USPA – 01 88 40 09 18 – s.lebars@uspa.fr Florence Braka – SATEV – 01 42 47 81 68 – f.braka@ffap.fr Emmanuelle Bouilhaguet – SEDPA – 06 68 79 58 70 – emmanuelle.bouilhaguet@sedpa.info Vincent Gisbert – SPECT – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr Olivier Zegna Rata – SPI – 01 44 70 70 44 …

26 février 2021Actus-SPIactus-spi
Table ronde : La parité dans le court métrage en 2021.

À l’occasion du festival de courts métrages de Clermont-Ferrand, le SPI a tenu pour l’occasion une table ronde qui avait pour thème la parité dans le court métrage, en 2021, accompagné notamment du Collectif 50/50 et Femmes à la caméra.

Vous pouvez visionner cet échange en cliquant sur la vidéos ci-dessus.

À l’occasion du festival de courts métrages de Clermont-Ferrand, le SPI a tenu pour l’occasion une table ronde qui avait pour thème la parité dans le court métrage, en 2021, accompagné notamment du Collectif 50/50 et Femmes à la caméra. Vous pouvez visionner cet échange en cliquant sur la vidéos …

19 février 2021Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 40 nominations aux César 2021

Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait d’Emmanuel Mouret, produit par Moby Dick Films :

Meilleur film

Meilleure actrice

Meilleur acteur

Meilleure actrice dans un second rôle

Meilleur acteur dans un second rôle

Meilleur espoir féminin

Meilleur scénario original

Meilleur son

Meilleure photo

Meilleur montage

Meilleurs costumes

Meilleurs décors

Meilleure réalisation

Adolescentes de Sébastien Lifshitz, produit par Agat Films & Cie :

Meilleur film

Meilleure photo

Meilleur son

Meilleure réalisation

Meilleur montage

Meilleur film documentaire

ADN de Maïwenn produit par Why Not Productions :

Meilleure actrice dans un second rôle

Meilleur acteur dans un second rôle

Meilleure musique originale

Meilleure réalisation

La fille au bracelet de Stéphane Demoustier, produit par Petit Film :

Meilleur espoir féminin

Meilleure adaptation

Garçon chiffon de Nicolas Maury, produit par CG cinéma :

Meilleur premier film

Un divan à Tunis de Manele Labidi, produit par Kazak Productions :

Meilleur premier film

Histoire d’un regard de Mariana Otero, produit par Archipel 35 :

Meilleur film documentaire

Un pays qui se tient sage, de David Dufresne, produit par Le Bureau :

Meilleur film documentaire

Josep, d’Aurel, produit par Les Films d’Ici Méditerranée :

Meilleur film d’animation

Cuban Network d’Olivier Assayas, produit par CG Cinéma :

Meilleure adaptation

La communion, de Jan Komasa, coproduit par Les Contes Modernes :

Meilleur film étranger

Un fils de Mehdi M. Barsaoui, coproduit par Dolce Vita Films et 13 Productions :

Meilleur acteur

Énorme de Sophie Letourneur, produit par Avenue B Productions

Meilleur acteur

Poissonsexe de d’Olivier Badinet, produit par Comme des Cinémas :

Meilleur espoir féminin

Felicità de Bruno Merle, produit par Unité de production :

Meilleur espoir féminin

L’aventure atomique de Loïc Barché, produit par Punchline Cinéma :

Meilleur film de court métrage

Baltringue de Jozsa Anjembe, produit par Yukunkun :

Meilleur film de court métrage

Je serai parmi les amandiers de Marie Le Floch’h, produit par Films Grand Huit :

Meilleur film de court métrage

Qu’importe si les bêtes meurent de Sofia Alaoui, produit par Envie de Tempête Productions :

Meilleur film de court métrage

Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait d’Emmanuel Mouret, produit par Moby Dick Films : Meilleur film Meilleure actrice Meilleur acteur Meilleure actrice dans un second rôle Meilleur acteur dans un second rôle Meilleur espoir féminin Meilleur scénario original Meilleur son Meilleure photo Meilleur montage Meilleurs costumes Meilleurs décors Meilleure réalisation Adolescentes de Sébastien Lifshitz, produit par Agat Films & Cie : Meilleur film Meilleure photo Meilleur son Meilleure réalisation Meilleur montage Meilleur film documentaire ADN de Maïwenn produit par Why Not Productions : Meilleure actrice dans un second rôle Meilleur acteur dans un second rôle Meilleure musique originale Meilleure réalisation La fille au bracelet de Stéphane Demoustier, produit par Petit Film : Meilleur espoir féminin Meilleure adaptation Garçon chiffon de Nicolas Maury, produit par CG cinéma : Meilleur premier film Un divan à Tunis de Manele Labidi, produit par Kazak Productions : Meilleur premier film Histoire d’un regard de Mariana Otero, produit par Archipel 35 : Meilleur film documentaire Un pays qui se tient sage, de David Dufresne, produit par Le Bureau : Meilleur film documentaire Josep, d’Aurel, produit par Les Films d’Ici Méditerranée : Meilleur film d’animation Cuban Network d’Olivier Assayas, produit par CG Cinéma : Meilleure adaptation La communion, de Jan Komasa, coproduit par Les Contes Modernes : Meilleur film étranger Un fils de Mehdi M. Barsaoui, coproduit par Dolce Vita Films et 13 Productions : Meilleur acteur Énorme de Sophie Letourneur, produit par Avenue B Productions Meilleur acteur Poissonsexe de d’Olivier Badinet, produit par Comme des Cinémas : Meilleur espoir féminin Felicità de Bruno Merle, produit par Unité de production : Meilleur espoir féminin L’aventure atomique de Loïc Barché, produit par Punchline Cinéma : Meilleur film de court métrage Baltringue de Jozsa Anjembe, produit par Yukunkun : Meilleur film de court métrage Je serai parmi les amandiers de Marie Le Floch’h, produit par Films Grand Huit : Meilleur film de court métrage Qu’importe si les bêtes meurent de Sofia Alaoui, produit par Envie de Tempête Productions : Meilleur film de court …

11 février 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
Lauréats du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

Le SPI félicite ses adhérents primés lors du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2021 ! 🎉

Avec un total de 11 récompenses, les lauréats de cette édition sont :

Kidam Productions
Films Grand Huit
Don Quichotte Films
Yggdrasil Pictures et Yukunkun Productions !

Félicitations ! 👏


Le SPI félicite ses adhérents primés lors du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2021 ! 🎉 Avec un total de 11 récompenses, les lauréats de cette édition sont : Kidam Productions Films Grand Huit Don Quichotte Films Yggdrasil Pictures et Yukunkun Productions ! Félicitations ! …

9 février 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI salue les conclusions de la Mission « flash » sur l’offre jeunesse de l’audiovisuel public

Le SPI remercie les rapporteurs Mme Béatrice Piron et M. Maxime Minot pour la communication faite dans ce cadre.

La mission rappelle l’importance d’une diffusion linéaire pour le jeune public, qui permet de mieux assurer le rôle de « passeur » en matière éditoriale. La complémentarité du linéaire et du non linéaire offre également une diversité de programmes et d’œuvres à tous les publics en s’adaptant aux usages spécifiques aux différentes tranches d’âge.

Le travail mené depuis un an par les équipes de France Télévisions sur les offres Okoo, Slash ou encore Lumni ouvre, nettement, à davantage de diversité en direction des publics jeunes.  

Néanmoins, et en particulier dans le contexte actuel de tension de la filière de la création liée à la crise sanitaire, les productrices et producteurs du SPI demeurent très inquiet.e.s des conséquences que pourrait engendrer la fermeture définitive de France 4 sur l’offre globale de l’entreprise publique.  Au-delà des programmes d’animation pour enfants, France 4 est une fenêtre importante de diffusion pour le documentaire, les captations de spectacle vivant et bien-sûr les longs métrages de cinéma. 

Sa suppression risque d’entraîner mécaniquement une diminution très préjudiciable du volume de créations audiovisuelles et cinématographiques au moment où les productrices et producteurs indépendant.e.s sont plus que jamais mobilisé.e.s pour maintenir et relancer l’activité de la filière française, toujours freinée par les multiples contraintes liées à la pandémie actuelle.

Le SPI remercie les rapporteurs Mme Béatrice Piron et M. Maxime Minot pour la communication faite dans ce cadre. La mission rappelle l’importance d’une diffusion linéaire pour le jeune public, qui permet de mieux assurer le rôle de « passeur » en matière éditoriale. La complémentarité du linéaire et du non linéaire offre également une diversité de programmes et d’œuvres à tous les publics en s’adaptant aux usages spécifiques aux différentes tranches d’âge. Le travail mené depuis un an par les équipes de France Télévisions sur les offres Okoo, Slash ou encore Lumni ouvre, nettement, à davantage de diversité en direction des publics jeunes.   Néanmoins, et en particulier dans le contexte actuel de tension de la filière de la création liée à la crise sanitaire, les productrices et producteurs du SPI demeurent très inquiet.e.s des conséquences que pourrait engendrer la fermeture définitive de France 4 sur l’offre globale de l’entreprise publique.  Au-delà des programmes d’animation pour enfants, France 4 est une fenêtre importante de diffusion pour le documentaire, les captations de spectacle vivant et bien-sûr les longs métrages de cinéma.  Sa suppression risque d’entraîner mécaniquement une diminution très préjudiciable du volume de créations audiovisuelles et cinématographiques au moment où les productrices et producteurs indépendant.e.s sont plus que jamais mobilisé.e.s pour maintenir et relancer l’activité de la filière française, toujours freinée par les multiples contraintes liées à la pandémie …

3 février 2021Actus-SPIactus-spi
Festival premiers plans d’Angers : Félicitation à nos adhérents ! [FESTIVAL PREMIERS PLANS D’ANGERS]

Le SPI est fier de ses adhérentes et adhérents, primés lors du Festival Premiers Plans d’Angers 🏆

Avec 5 récompenses pour 4 films, toute l’équipe du SPI félicite chaleureusement les lauréats de cette édition 2021.

[FESTIVAL PREMIERS PLANS D’ANGERS] Le SPI est fier de ses adhérentes et adhérents, primés lors du Festival Premiers Plans d’Angers 🏆 Avec 5 récompenses pour 4 films, toute l’équipe du SPI félicite chaleureusement les lauréats de cette édition …

2 février 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI à Clermont, pour soutenir le renouvellement de la création.

27 janvier 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Prix Pitchs Internationaux – FIPADOC 2021

Bravo à nos adhérent.e.s récompensé.e.s au FIPADOC lors des pitchs internationaux !

Prix LightDox

SWINGING FIELDS de Sareen Hairabedian

Julie Paratian de SISTER PRODUCTIONS

Prix du meilleur projet Visegrad & Prix du meilleur projet international :

KIX THE STORY OF A STREET KID de David Mikulan et Balint Révész

Victor Ede de CINEPHAGE

Bravo à nos adhérent.e.s récompensé.e.s au FIPADOC lors des pitchs internationaux ! Prix LightDox SWINGING FIELDS de Sareen Hairabedian Julie Paratian de SISTER PRODUCTIONS Prix du meilleur projet Visegrad & Prix du meilleur projet international : KIX THE STORY OF A STREET KID de David Mikulan et Balint Révész Victor Ede de …

26 janvier 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
Un grand bravo à nos adhérent.e.s pour les prix obtenus lors de la 26 cérémonie des Lumières du Cinéma !

MEILLEUR FILM : “Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait” d’Emmanuel Mouret – MOBY DICK FILM

MEILLEURE MISE EN SCÈNE : “ADN” de Maïwenn – WHY NOT PRODUCTIONS

MEILLEUR SCÉNARIO : “La Fille au bracelet” de Stéphane Demoustier – PETIT FILM

MEILLEUR DOCUMENTAIRE : “Un pays qui se tient sage” de David Dufresne – LE BUREAU

MEILLEUR FILM D’ANIMATION & MEILLEURE MUSIQUE : “Josep” d’Aure – LES FILMS D’ICI

MEILLEUR ACTEUR : Sami Bouajila dans “Un fils” de Mehdi M. Barsaoui – 13 PRODUCTIONS

RÉVÉLATION FÉMININE : Noée Abita dans “Slalom” de Charlène Favier – MILLE ET UNE PRODUCTIONS

MEILLEUR FILM : “Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait” d’Emmanuel Mouret – MOBY DICK FILM MEILLEURE MISE EN SCÈNE : “ADN” de Maïwenn – WHY NOT PRODUCTIONS MEILLEUR SCÉNARIO : “La Fille au bracelet” de Stéphane Demoustier – PETIT FILM MEILLEUR DOCUMENTAIRE : “Un pays qui se tient sage” de David Dufresne – LE BUREAU MEILLEUR FILM D’ANIMATION & MEILLEURE MUSIQUE : “Josep” d’Aure – LES FILMS D’ICI MEILLEUR ACTEUR : Sami Bouajila dans “Un fils” de Mehdi M. Barsaoui – 13 PRODUCTIONS RÉVÉLATION FÉMININE : Noée Abita dans “Slalom” de Charlène Favier – MILLE ET UNE …

21 janvier 2021Actus-Adhérentsactus-adherents
A l’occasion du FIPADOC 2021, le SPI organise une table ronde : “Comment produire en 2021 ? Quelle relance de la production documentaire pour 2022 ou 2023 ?”

Retour en images sur l’enregistrement de la table ronde :

Retour en images sur l’enregistrement de la table ronde …

13 janvier 2021Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs films sélectionnés au festival international du documentaire, le Fipadoc 2021.

Compétition internationale

« Merry Christmas, Yiwu » de Mladen Kovacevic
BOCALUPO FILMS

Compétition nationale

« Akeji, Le Souffle de la montagne » de Mélanie Schaan & Corentin Leconte
MILLE ET UNE FILMS

« Au cœur du bois » de Claus Drexel
DAISY DAY FILMS

« Le Sous-Sol de nos démons » de Fanny Fontan
COMIC STRIP PRODUCTION

« Les Sorcières de l’Orient » de Julien Faraut
UFO PRODUCTION

Compétition Documentaire musical

« Indes galantes » de Philippe Béziat
LES FILMS PELLEAS

« Quinte & Sens » de François-René Martin
CAMERA LUCIDA

« Soul Kids » d’Hugo Sobelman
GOGOGO FILMS

Compétition Impact

« Convention citoyenne : démocratie en construction » de Naruna Kaplan de Macedo
LES FILMS D’ICI

« La vie est dans le pré » d’Eric Guéret
BONNE PIOCHE TELEVISION

« Nouvelle Cordée » de Marie-Monique Robin
M2R FILMS

« Son Of Fukushima » de Beth Murphy & Beth Balawick
MARMITA FILMS

Compétition Smart

« Arte en scène » de Sébastien Bergé, Alexandre Brisa, David Ctiborski, Xavier Reim et Léo Grandperret
LA BLOGOTHEQUE

« Confi’danse », film VR de Nicolas Jalu
COLLECTIF BKE

« Infimièr·e·s », websérie d’Olivia Barlier
MELOCOTON FILMS

« Internet de tout et n’importe quoi » de Brett Gaylor & Thomas Lallier
UPIAN

« Invisibles, les travailleurs du clic », websérie d’Henri Poulain
STORYCIRCUS

« Lady Sapiens, l’expérience », de Camille Duvelleroy
LITTLE BIG STORY

« Meet Mortaza », VR de Joséphine Derobe
LES PRODUITS FRAIS

Compétition Panorama de la création francophone

« Les Damnés, des ouvriers en abattoir » d’Anne-Sophie Reinhardt
LES BATELIERES PRODUCTIONS

« Karim contre Mittal » de Pedro Brito Da Fonseca
13 PRODUCTIONS & CITIZEN FILMS

« Nothing to Be Afraid Of » de Silva Khnkanosian
LA HUIT

« La Tentation du réel, l’agneau mystique des frères Van Eyck » de Jérôme Laffont & Joachim Thôme
SUPERMOUCHE PRODUCTIONS

« Un été à la Garoupe » de François Lévy-Kuentz
MELISANDE FILMS

Compétition Histoires d’Europe

« Wake Up On Mars » de Dea Gjinovci
MELISANDE FILMS

« La tribu des Dieux » de Loïc Jourdain
TITA PRODUCTIONS

Sélection « En famille »

« Cordes sensibles » de Vincent Lebrun
BACK IN TOWN

Sélection « Les Remarqués »

« Douce France » de Geoffrey Couanon
ELZEVIR FILMS

« Trance » d’Emilio Belmonte
RETROVISEUR PRODUCTIONS

« A notre tour ! » d’Hanna Assouline
GOGOGO FILMS

« Modigliani et ses secrets » de Jacques Loeuille
LES DOCS DU NORD

« Les Délivrés » de Thomas Grandrémy
MIL SABORDS

« L’expérience ungemach, une histoire de l’eugénisme » de Vincent Gaullier & Jean-Jacques Lonni
LOOK AT SCIENCES

« Seule la terre est éternelle » de François Busnel & Adrien Soland
ROSEBUD PRODUCTIONS

« Taïwan, une démocratie à l’ombre de la Chine » d’Alain Lewkowicz
LITTLE BIG STORY

« Big Pharma, labos tout puissants » de Luc Hermann & Claire Lasko
PREMIERES LIGNES

Malgré un contexte de crise qui a particulièrement touché les productrices et producteurs de documentaires, nous sommes fiers de la présence renouvelée de nos sociétés adhérentes dans la compétition du Festival international du programme audiovisuel de documentaire 2021.

Compétition internationale « Merry Christmas, Yiwu » de Mladen Kovacevic BOCALUPO FILMS Compétition nationale « Akeji, Le Souffle de la montagne » de Mélanie Schaan & Corentin LeconteMILLE ET UNE FILMS « Au cœur du bois » de Claus DrexelDAISY DAY FILMS « Le Sous-Sol de nos démons » de Fanny FontanCOMIC STRIP PRODUCTION « Les Sorcières de l’Orient » de Julien FarautUFO PRODUCTION Compétition Documentaire musical « Indes galantes » de Philippe Béziat LES FILMS PELLEAS « Quinte & Sens » de François-René Martin CAMERA LUCIDA « Soul Kids » d’Hugo Sobelman GOGOGO FILMS Compétition Impact « Convention citoyenne : démocratie en construction » de Naruna Kaplan de Macedo LES FILMS D’ICI « La vie est dans le pré » d’Eric Guéret BONNE PIOCHE TELEVISION « Nouvelle Cordée » de Marie-Monique Robin M2R FILMS « Son Of Fukushima » de Beth Murphy & Beth Balawick MARMITA FILMS Compétition Smart « Arte en scène » de Sébastien Bergé, Alexandre Brisa, David Ctiborski, Xavier Reim et Léo Grandperret LA BLOGOTHEQUE « Confi’danse », film VR de Nicolas Jalu COLLECTIF BKE « Infimièr·e·s », websérie d’Olivia Barlier MELOCOTON FILMS « Internet de tout et n’importe quoi » de Brett Gaylor & Thomas Lallier UPIAN « Invisibles, les travailleurs du clic », websérie d’Henri Poulain STORYCIRCUS « Lady Sapiens, l’expérience », de Camille Duvelleroy LITTLE BIG STORY « Meet Mortaza », VR de Joséphine Derobe LES PRODUITS FRAIS Compétition Panorama de la création francophone « Les Damnés, des ouvriers en abattoir » d’Anne-Sophie Reinhardt LES BATELIERES PRODUCTIONS « Karim contre Mittal » de Pedro Brito Da Fonseca 13 PRODUCTIONS & CITIZEN FILMS « Nothing to Be Afraid Of » de Silva Khnkanosian LA HUIT « La Tentation du réel, l’agneau mystique des frères Van Eyck » de Jérôme Laffont & Joachim ThômeSUPERMOUCHE PRODUCTIONS « Un été à la Garoupe » de François Lévy-Kuentz MELISANDE FILMS Compétition Histoires d’Europe « Wake Up On Mars » de Dea Gjinovci MELISANDE FILMS « La tribu des Dieux » de Loïc Jourdain TITA PRODUCTIONS Sélection « En famille » « Cordes sensibles » de Vincent Lebrun BACK IN TOWN Sélection « Les Remarqués » « Douce France » de Geoffrey Couanon ELZEVIR FILMS « Trance » d’Emilio Belmonte RETROVISEUR PRODUCTIONS « A notre tour ! » d’Hanna Assouline GOGOGO FILMS « Modigliani et ses secrets » de Jacques Loeuille LES DOCS DU NORD « Les Délivrés » de Thomas Grandrémy MIL SABORDS « L’expérience ungemach, une histoire de l’eugénisme » de Vincent Gaullier & Jean-Jacques Lonni LOOK AT SCIENCES « Seule la terre est éternelle » de François Busnel & Adrien Soland ROSEBUD PRODUCTIONS « Taïwan, une démocratie à l’ombre de la Chine » d’Alain Lewkowicz LITTLE BIG STORY « Big Pharma, labos tout puissants » de Luc Hermann & Claire Lasko PREMIERES LIGNES Malgré un contexte de crise qui a particulièrement touché les productrices et producteurs de documentaires, nous sommes fiers de la présence renouvelée de nos sociétés adhérentes dans la compétition du Festival international du programme audiovisuel de documentaire …

12 janvier 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
COMMUNIQUÉ : Nouvelle Coprésidence du BLOC pour l’année 2021

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 14 organisations professionnelles du cinéma représentant des scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens, a désigné ses deux coprésidents pour l’année 2021.
 
Frédéric Farrucci, membre du conseil d’administration de la SRF, devient co-président au titre des réalisateurs. Son premier long-métrage « La nuit venue » interprété par Camélia Jordana et Guang Huo, est sorti en salles en juillet 2020.
 
Xavier Rigault, vice-président de l’UPC, devient co-président au titre des producteurs. Il est cofondateur et codirigeant avec Marc-Antoine Robert de la société 2.4.7. Films qui a produit plus de 15 films en commençant par «Persepolis» de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud, jusqu’à aujourd’hui avec « Joan » de Laurent Larivière, interprété par Isabelle Huppert.
 
Alors que le cinéma et la culture dans son ensemble connaissent une situation sans précédent depuis le début de la crise sanitaire, l’année 2021 soulèvera des enjeux majeurs pour l’avenir de la création et de la diffusion indépendantes. Le BLOC continuera de défendre une politique culturelle ambitieuse et diversifiée, garante du rayonnement artistique national et international du cinéma français.
 
L’ensemble du BLOC remercie très chaleureusement Bertrand Bonello et Édouard Mauriat, coprésidents du BLOC en 2020 au titre des réalisateurs et des producteurs, pour leur engagement en faveur du cinéma et leur important travail tout au long d’une année difficile et dense.

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 14 organisations professionnelles du cinéma représentant des scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens, a désigné ses deux coprésidents pour l’année 2021.   Frédéric Farrucci, membre du conseil d’administration de la SRF, devient co-président au titre des réalisateurs. Son premier long-métrage « La nuit venue » interprété par Camélia Jordana et Guang Huo, est sorti en salles en juillet 2020.   Xavier Rigault, vice-président de l’UPC, devient co-président au titre des producteurs. Il est cofondateur et codirigeant avec Marc-Antoine Robert de la société 2.4.7. Films qui a produit plus de 15 films en commençant par «Persepolis» de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud, jusqu’à aujourd’hui avec « Joan » de Laurent Larivière, interprété par Isabelle Huppert.   Alors que le cinéma et la culture dans son ensemble connaissent une situation sans précédent depuis le début de la crise sanitaire, l’année 2021 soulèvera des enjeux majeurs pour l’avenir de la création et de la diffusion indépendantes. Le BLOC continuera de défendre une politique culturelle ambitieuse et diversifiée, garante du rayonnement artistique national et international du cinéma français.  L’ensemble du BLOC remercie très chaleureusement Bertrand Bonello et Édouard Mauriat, coprésidents du BLOC en 2020 au titre des réalisateurs et des producteurs, pour leur engagement en faveur du cinéma et leur important travail tout au long d’une année difficile et …

11 janvier 2021Actus-SPIactus-spi
Bravo à nos adhérent.e.s pour les nombreux prix obtenus en 2020 !

Le SPI félicite l’ensemble de ses adhérent.e.s pour leurs nombreux prix obtenus pendant cette année si particulière de 2020.

Voir la liste

Le SPI félicite l’ensemble de ses adhérent.e.s pour leurs nombreux prix obtenus pendant cette année si particulière de 2020. Voir la …

11 janvier 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI vous souhaite une bonne année 2021 !

Pour la nouvelle année, le SPI vous souhaite le plein d’inspiration, d’ambition, de nouvelles idées, ainsi que la concrétisation de vos projets après cette année bien déconcertante, l’avenir est ouvert.

Toute l’équipe vous envoie ses meilleurs vœux pour 2021 !

Pour la nouvelle année, le SPI vous souhaite le plein d’inspiration, d’ambition, de nouvelles idées, ainsi que la concrétisation de vos projets après cette année bien déconcertante, l’avenir est ouvert. Toute l’équipe vous envoie ses meilleurs vœux pour 2021 …

4 janvier 2021Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Sélections adhérents SPI : Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand

Le SPI est fier de ses adhérents !  🎉 

19 films produits par des producteurs et productrices du SPI sont sélectionnés en compétitions officielles au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2021

  • Patafilm
  • Local Films
  • Lionceau Films
  • Yukunkun Productions
  • Sensito Films
  • Takami Productions
  • Ikki Films
  • Yggdrasil Pictures
  • Don Quichotte Films
  • Les Valseurs
  • Films Grand Huit
  • Kidam
  • Miyu Productions
  • Tamara Films
  • La Belle Affaire Productions
  • Girelle Production
  • La Cellule Productions

Félicitations à toutes et tous !

Le SPI est fier de ses adhérents !  🎉  19 films produits par des producteurs et productrices du SPI sont sélectionnés en compétitions officielles au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2021 Patafilm Local Films Lionceau Films Yukunkun Productions Sensito Films Takami Productions Ikki Films Yggdrasil Pictures Don Quichotte Films Les Valseurs Films Grand Huit Kidam Miyu Productions Tamara Films La Belle Affaire Productions Girelle Production La Cellule Productions Félicitations à toutes et tous …

24 décembre 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
CULTURE EN DANGER : RASSEMBLEMENT À PARIS LE 21 DÉCEMBRE À 10H DEVANT LE CONSEIL D’ETAT !

Le SPI et la plupart des organisations professionnelles et syndicales du cinéma appellent à manifester

Les recours en référé liberté au Conseil d’État contre la poursuite de l’interdiction de réouverture pour les lieux de spectacle, les salles de cinéma et les espaces d’exposition d’arts visuels seront examinés lundi 21 décembre matin.

Les organisations qui portent ces recours donnent rendez-vous lundi 21 décembre à 10h pour rendre compte de l’audience au conseil d’État.

Quel que soit le résultat du référé liberté (qui devrait être connu 48 heures plus tard), nous appelons l’ensemble de nos professions à poursuivre la formidable mobilisation en cours pour que le gouvernement entende toutes nos revendications.

Nous voulons la réouverture au public qui est essentielle, nous voulons des moyens pour travailler, répéter, créer, produire tout en respectant les protocoles sanitaires. Et nous voulons la garantie de tous les droits sociaux des professionnel-le-s, notamment artistes et technicien-ne-s intermittent-e-s du spectacle comme autrices et auteurs !

Préparons dès à présent nos mobilisations pour le début d’année !

  • Un soutien aux enseignements artistiques, alors que les conservatoires voient fuir les élèves ;
  • La garantie de tous les droits sociaux, en particulier à la médecine du travail, à la complémentaire santé, à la formation professionnelle continue, aux droits à sécurité sociale en cas de congé maternité ou maladie, la prolongation de l’année blanche pour l’assurance chômage des intermittent.e.s du spectacle ;
  • Des protocoles sanitaires adaptés à nos métiers qui permettent de travailler sans mettre en danger aucun d’entre nous, non plus que le public.

N’acceptons plus cette politique du pourrissement et montrons-nous tel que nous sommes : des producteurs et des productrices, des artistes auteurs, des artistes interprètes et des technicien.ne.s, des personnels administratifs, des enseignant.e.s artistiques qui voulons vivre de nos métiers !

Notre combat est celui de la dignité !

À PARIS : RENDEZ-VOUS LE 21 DÉCEMBRE À 10 H
1, PLACE DU PALAIS ROYAL DEVANT LE CONSEIL D’ETAT

Pétition « Urgence pour le spectacle, urgence pour la Culture » : http://chng.it/NswPwMPddQ

Paris, le 17/12/2020

Le SPI et la plupart des organisations professionnelles et syndicales du cinéma appellent à manifester Les recours en référé liberté au Conseil d’État contre la poursuite de l’interdiction de réouverture pour les lieux de spectacle, les salles de cinéma et les espaces d’exposition d’arts visuels seront examinés lundi 21 décembre matin. Les organisations qui portent ces recours donnent rendez-vous lundi 21 décembre à 10h pour rendre compte de l’audience au conseil d’État. Quel que soit le résultat du référé liberté (qui devrait être connu 48 heures plus tard), nous appelons l’ensemble de nos professions à poursuivre la formidable mobilisation en cours pour que le gouvernement entende toutes nos revendications. Nous voulons la réouverture au public qui est essentielle, nous voulons des moyens pour travailler, répéter, créer, produire tout en respectant les protocoles sanitaires. Et nous voulons la garantie de tous les droits sociaux des professionnel-le-s, notamment artistes et technicien-ne-s intermittent-e-s du spectacle comme autrices et auteurs ! Préparons dès à présent nos mobilisations pour le début d’année ! Un soutien aux enseignements artistiques, alors que les conservatoires voient fuir les élèves ; La garantie de tous les droits sociaux, en particulier à la médecine du travail, à la complémentaire santé, à la formation professionnelle continue, aux droits à sécurité sociale en cas de congé maternité ou maladie, la prolongation de l’année blanche pour l’assurance chômage des intermittent.e.s du spectacle ; Des protocoles sanitaires adaptés à nos métiers qui permettent de travailler sans mettre en danger aucun d’entre nous, non plus que le public. N’acceptons plus cette politique du pourrissement et montrons-nous tel que nous sommes : des producteurs et des productrices, des artistes auteurs, des artistes interprètes et des technicien.ne.s, des personnels administratifs, des enseignant.e.s artistiques qui voulons vivre de nos métiers ! Notre combat est celui de la dignité ! À PARIS : RENDEZ-VOUS LE 21 DÉCEMBRE À 10 H1, PLACE DU PALAIS ROYAL DEVANT LE CONSEIL D’ETAT Pétition « Urgence pour le spectacle, urgence pour la Culture » : http://chng.it/NswPwMPddQ Paris, le …

18 décembre 2020Actus-SPIactus-spi
Les professionnels du Cinéma saisissent le Conseil d’Etat pour contester le maintien de la fermeture des cinémas

Le jeudi 10 décembre, le Premier ministre a annoncé le maintien de la fermeture, pour une période indéterminée, des cinémas et des autres établissements culturels à compter du 15 décembre, date à laquelle ceux-ci devaient rouvrir leurs portes au public, dans le strict respect du protocole sanitaire mis en place en accord avec les pouvoirs publics.

Cette décision a suscité la totale incompréhension de l’ensemble des acteurs du secteur, alors même que le 15 décembre a marqué le retour à une liberté de circulation des personnes jusqu’à 20h00 ; que la grande majorité des autres secteurs économiques a pu reprendre ses activités, quels que soient les flux générés sur le territoire ; que les cinémas disposent d’un protocole sanitaire reconnu et qu’aucun foyer épidémique n’y a été identifié ; et qu’enfin, l’ensemble de la communauté artistique et professionnelle avait ardemment travaillé et investi pour la réouverture des cinémas.

Dans un contexte où elles n’ont été ni consultées, ni informées en amont de la décision du Gouvernement, les organisations signataires ont décidé collectivement de saisir le Conseil d’Etat en référé-liberté.

Les cinémas, comme les autres lieux culturels, sont des espaces essentiels, au cœur des plus grandes villes comme des plus petites communes, créateurs de liens aujourd’hui plus que jamais nécessaires.


Organisations signataires :
ACID – Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion / ACRIF – Association des Cinémas de Recherche d’Ile-de-France / AFCAE – Association Française des Cinémas Art et Essai / AnimFrance / API – Association des Producteurs Indépendants / ARP – Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs / DIRE – Distributeurs Indépendants Réunis Européens / FESAC – Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma / FNCF – Fédération Nationale des Cinémas Français / FNEF – Fédération Nationale des Editeurs de Films / GNCR – Groupement National des Cinémas de Recherche / SCAM – Société Civile des Auteurs Multimédia / SDI – Syndicat des Distributeurs Indépendants / SPI – Syndicat des Producteurs indépendants / SRF – Société des réalisateurs de films / UPC – Union des producteurs de cinéma

Le jeudi 10 décembre, le Premier ministre a annoncé le maintien de la fermeture, pour une période indéterminée, des cinémas et des autres établissements culturels à compter du 15 décembre, date à laquelle ceux-ci devaient rouvrir leurs portes au public, dans le strict respect du protocole sanitaire mis en place en accord avec les pouvoirs publics. Cette décision a suscité la totale incompréhension de l’ensemble des acteurs du secteur, alors même que le 15 décembre a marqué le retour à une liberté de circulation des personnes jusqu’à 20h00 ; que la grande majorité des autres secteurs économiques a pu reprendre ses activités, quels que soient les flux générés sur le territoire ; que les cinémas disposent d’un protocole sanitaire reconnu et qu’aucun foyer épidémique n’y a été identifié ; et qu’enfin, l’ensemble de la communauté artistique et professionnelle avait ardemment travaillé et investi pour la réouverture des cinémas. Dans un contexte où elles n’ont été ni consultées, ni informées en amont de la décision du Gouvernement, les organisations signataires ont décidé collectivement de saisir le Conseil d’Etat en référé-liberté. Les cinémas, comme les autres lieux culturels, sont des espaces essentiels, au cœur des plus grandes villes comme des plus petites communes, créateurs de liens aujourd’hui plus que jamais nécessaires. Organisations signataires : ACID – Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion / ACRIF – Association des Cinémas de Recherche d’Ile-de-France / AFCAE – Association Française des Cinémas Art et Essai / AnimFrance / API – Association des Producteurs Indépendants / ARP – Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs / DIRE – Distributeurs Indépendants Réunis Européens / FESAC – Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma / FNCF – Fédération Nationale des Cinémas Français / FNEF – Fédération Nationale des Editeurs de Films / GNCR – Groupement National des Cinémas de Recherche / SCAM – Société Civile des Auteurs Multimédia / SDI – Syndicat des Distributeurs Indépendants / SPI – Syndicat des Producteurs indépendants / SRF – Société des réalisateurs de films / UPC – Union des producteurs de …

17 décembre 2020Actus-SPIactus-spi
Mobilisons-nous ensemble.

14 décembre 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Table ronde SPI : “Produire des documentaires pour les plateformes : paroles de productrices et producteurs”

Voici l’enregistrement de la table ronde organisée par le SPI dans le cadre des 25èmes Rencontres du cinéma documentaire de Périphérie le 3 décembre 2020.

Voici l’enregistrement de la table ronde organisée par le SPI dans le cadre des 25èmes Rencontres du cinéma documentaire de Périphérie le 3 décembre …

4 décembre 2020Actus-SPIactus-spi
Actualisation du « guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire »

Les partenaires sociaux de la production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire ont actualisé le « Guide de préconisations sanitaires pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » dans le cadre des comités centraux d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) de branche.

L’expérience de ces 6 derniers mois a démontré que ce guide s’est avéré utile aux productions pour les accompagner dans l’organisation de leurs tournages. Cette nouvelle version tient compte des dernières évolutions des textes réglementaires, des recommandations du ministère du travail et des autorités sanitaires.

Ce guide constitue un socle commun de prévention spécifique à l’activité de production ; il est une déclinaison opérationnelle de l’obligation de sécurité de l’employeur et complémentaire aux dispositions nationales (notamment le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise publié par le ministère du travail).

Ses différents chapitres vous proposent des recommandations organisationnelles et sanitaires et des pistes de réflexion vous permettant d’anticiper les questions que peuvent poser le lancement d’un nouveau projet ou la reprise d’une activité.

Tenant compte des avis des autorités sanitaires et des retours du terrain, les évolutions du guide concernent notammentle port du masque, la prise en charge des cas d’alerte covid-19 en entreprise, les tests, les pauses et le télétravail. Par ailleurs, la mise en place d’un INDEX (page 75) aidera ses utilisateurs à manier plus facilement le contenu du guide.

Toutes les préconisations doivent être adaptées au cas par cas à chaque projet en fonction des effectifs, de l’environnement de travail, de la nature des activités, etc. 

Ressources utiles :

Coordonnées des médecins du travail référents (CMB) :

Coordonnées des délégués des CCHSCT :

Les partenaires sociaux de la production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire ont actualisé le « Guide de préconisations sanitaires pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » dans le cadre des comités centraux d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) de branche. L’expérience de ces 6 derniers mois a démontré que ce guide s’est avéré utile aux productions pour les accompagner dans l’organisation de leurs tournages. Cette nouvelle version tient compte des dernières évolutions des textes réglementaires, des recommandations du ministère du travail et des autorités sanitaires. Ce guide constitue un socle commun de prévention spécifique à l’activité de production ; il est une déclinaison opérationnelle de l’obligation de sécurité de l’employeur et complémentaire aux dispositions nationales (notamment le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise publié par le ministère du travail). Ses différents chapitres vous proposent des recommandations organisationnelles et sanitaires et des pistes de réflexion vous permettant d’anticiper les questions que peuvent poser le lancement d’un nouveau projet ou la reprise d’une activité. Tenant compte des avis des autorités sanitaires et des retours du terrain, les évolutions du guide concernent notammentle port du masque, la prise en charge des cas d’alerte covid-19 en entreprise, les tests, les pauses et le télétravail. Par ailleurs, la mise en place d’un INDEX (page 75) aidera ses utilisateurs à manier plus facilement le contenu du guide. Toutes les préconisations doivent être adaptées au cas par cas à chaque projet en fonction des effectifs, de l’environnement de travail, de la nature des activités, etc.  Ressources utiles : Coordonnées des médecins du travail référents (CMB) : Médecin coordinateur : Dr Claude David Markus CD.MARKUS@cmb.asso.fr Médecin référent cinéma : Dr Marie Christine Tran MC.TRAN@cmb.asso.fr Médecin référent audiovisuel : Dr Vy Sock V.SOCK@cmb.asso.fr Coordonnées des délégués des CCHSCT : CCHSCT Cinéma : M. Didier Carton didier.carton@cchscinema.org  CCHSCT Audiovisuel : Mme Ghania Tabourga …

2 décembre 2020Actus-SPIactus-spi
Recherche Responsable administratif.ve et financier.ère – CDI

Milgram, société de production audiovisuelle (captations, collections, magazines et documentaires autour de la musique du rock à la techno, en passant par le rap et plus récemment de la fiction) cherche un responsable administratif et financier. Pour en savoir plus sur nous, rien de mieux que de jeter un oeil aux programmes que nous produisons : Dans le Club, l’émission rap d’Arte Concert; Release Party la collection qui transforme les disques en films pour Arte Concert, SEQUENCES qui spatialise le son de lives de musiques électroniques pour France.tv, TAPE qui rembobine l’histoire de la musique pour Arte, VINYLE notre mag d’entretiens de 26′ pour France Télévisions, Gymnastique la culture sans claquage pour Arte coproduit avec la Blogothèque, TOKI WOKI, le mag culturelle de l’île-de-France pour France 3…

Description du poste Comptabilité : Comptabilité générale & analytique Clôture annuelle en collaboration avec l’expert Gestion des notes de frais Déclaration TVA Suivi immobilisations et amortissements Suivi de la trésorerie et des comptes bancaires Relation banque Facturation client selon échéanciers et relances gestion factures fournisseurs paiements selon échéances Social : Gestion de la paie permanente Gestion de la paie intermittente, dues et contrats d’embauche Déclarations aux organismes sociaux Gestion des notes de droits d’auteurs Projets : Suivi/dépôt de demandes de subventions (CNC, adami, sacem, procirep…) Suivi des différents contrats (diffuseurs, réalisateurs) Rendus des comptes aux diffuseurs et CNC Suivi des dossiers assurance des tournages Aide logistique sur les tournages Divers : Commande fourniture, gestion du courrier Gestion des dossiers partagés, serveur et archivage des dossiers terminés Veille à l’évolution législative et réglementaire sur le plan social.

Description du profil recherché Compétences : Une très bonne connaissance de la production audiovisuelle indispensable. Maitrise comptabilité générale et analytique , environnement mac et pc, connaissance des logiciels words excel, parfaite connaissance des logiciels de paies GHS et de comptabilité Louma / Xotis Qualité : rigueur, organisation, autonomie, polyvalence, anticipation et capacité à travailler en équipe.

Description de l’expérience recherchée 2 ans minimum dans une fonction similaire.

Date de prise de fonction Dès que possible

Date limite de candidature 15/01/2021

Rémunération envisagée A déterminer selon profil

Lieu Bobigny (93)

Site web de l’entreprise/de l’organisme https://milgram.tv/

Milgram, société de production audiovisuelle (captations, collections, magazines et documentaires autour de la musique du rock à la techno, en passant par le rap et plus récemment de la fiction) cherche un responsable administratif et financier. Pour en savoir plus sur nous, rien de mieux que de jeter un oeil aux programmes que nous produisons : Dans le Club, l’émission rap d’Arte Concert; Release Party la collection qui transforme les disques en films pour Arte Concert, SEQUENCES qui spatialise le son de lives de musiques électroniques pour France.tv, TAPE qui rembobine l’histoire de la musique pour Arte, VINYLE notre mag d’entretiens de 26′ pour France Télévisions, Gymnastique la culture sans claquage pour Arte coproduit avec la Blogothèque, TOKI WOKI, le mag culturelle de l’île-de-France pour France 3… Description du poste Comptabilité : Comptabilité générale & analytique Clôture annuelle en collaboration avec l’expert Gestion des notes de frais Déclaration TVA Suivi immobilisations et amortissements Suivi de la trésorerie et des comptes bancaires Relation banque Facturation client selon échéanciers et relances gestion factures fournisseurs paiements selon échéances Social : Gestion de la paie permanente Gestion de la paie intermittente, dues et contrats d’embauche Déclarations aux organismes sociaux Gestion des notes de droits d’auteurs Projets : Suivi/dépôt de demandes de subventions (CNC, adami, sacem, procirep…) Suivi des différents contrats (diffuseurs, réalisateurs) Rendus des comptes aux diffuseurs et CNC Suivi des dossiers assurance des tournages Aide logistique sur les tournages Divers : Commande fourniture, gestion du courrier Gestion des dossiers partagés, serveur et archivage des dossiers terminés Veille à l’évolution législative et réglementaire sur le plan social. Description du profil recherché Compétences : Une très bonne connaissance de la production audiovisuelle indispensable. Maitrise comptabilité générale et analytique , environnement mac et pc, connaissance des logiciels words excel, parfaite connaissance des logiciels de paies GHS et de comptabilité Louma / Xotis Qualité : rigueur, organisation, autonomie, polyvalence, anticipation et capacité à travailler en équipe. Description de l’expérience recherchée 2 ans minimum dans une fonction similaire. Date de prise de fonction Dès que possible Date limite de candidature 15/01/2021 Rémunération envisagée A déterminer selon profil Lieu Bobigny (93) Site web de l’entreprise/de l’organisme …

1 décembre 2020Annoncesannonces
MARCHE DES LIBERTÉS – SAMEDI 28/11 À 14H CONTRE LA PROPOSITION DE LOI “SÉCURITÉ GLOBALE”

POINT DE RASSEMBLEMENT DU CINÉMA ET AUDIOVISUEL

La proposition de loi “Sécurité Globale” est dangereuse et liberticide. Elle remet en cause notre liberté de filmer pour l’information comme pour les documentaires. Les événements qui se sont déroulés à Paris ces derniers jours, nous rappellent pourtant encore une fois la nécessité des images pour établir la vérité des faits. La liberté d’expression et de création audiovisuelle et cinématographique est une des conditions de la démocratie.

Ce samedi, les membres du SPI Cinéma et Audiovisuel seront présents en nombre à la Marche des libertés. Rejoignez-nous !

Point de rassemblement du cinéma :
à 14h devant le magasin Habitat, 10 place de la République, 75011 PARIS

Nous vous invitons à signer dès maintenant l’appel à rassemblement afin d’autoriser la marche à se tenir, car elle est pour l’heure encore refusée par la Préfecture de police, qui autorise seulement un rassemblement statique à République sous prétexte des conditions sanitaires.

POINT DE RASSEMBLEMENT DU CINÉMA ET AUDIOVISUEL La proposition de loi “Sécurité Globale” est dangereuse et liberticide. Elle remet en cause notre liberté de filmer pour l’information comme pour les documentaires. Les événements qui se sont déroulés à Paris ces derniers jours, nous rappellent pourtant encore une fois la nécessité des images pour établir la vérité des faits. La liberté d’expression et de création audiovisuelle et cinématographique est une des conditions de la démocratie. Ce samedi, les membres du SPI Cinéma et Audiovisuel seront présents en nombre à la Marche des libertés. Rejoignez-nous ! Point de rassemblement du cinéma : à 14h devant le magasin Habitat, 10 place de la République, 75011 PARIS Nous vous invitons à signer dès maintenant l’appel à rassemblement afin d’autoriser la marche à se tenir, car elle est pour l’heure encore refusée par la Préfecture de police, qui autorise seulement un rassemblement statique à République sous prétexte des conditions …

27 novembre 2020Actus-SPIactus-spi
LOCATION BUREAU

Bonjour, Je loue un bureau de 12m2 pouvant contenir 3 postes, meublé et refait à neuf. Très calme, lumineux, indépendant, il est intégré dans un espace de 80m2 avec cuisine aménagée, salle d’eaux, ménage et fibre. Il est très bien placé, rue du sentier (75002). location: 850€/mois contact: juliette.sol@strombolifilms.com

Bonjour, Je loue un bureau de 12m2 pouvant contenir 3 postes, meublé et refait à neuf. Très calme, lumineux, indépendant, il est intégré dans un espace de 80m2 avec cuisine aménagée, salle d’eaux, ménage et fibre. Il est très bien placé, rue du sentier (75002). location: 850€/mois contact: …

24 novembre 2020Annoncesannonces
SESSIONS RENCONTRES RÉGIONS

Le SPI tient à remercier chaleureusement tous les nombreux adhérents qui
ont répondu présent à nos sessions de rencontre avec les responsables
des fonds régionaux, les 4,5 et 6 novembre !

Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’y assister, vous pouvez revoir
nos trois sessions en cliquant sur les liens en dessous.
•       04/11 : https://youtu.be/eJ-72u4z3n0
•       05/11 : https://youtu.be/nHG42DbcA7I
•       06/11 : https://youtu.be/SWVEnN78H3o

Le SPI tient à remercier chaleureusement tous les nombreux adhérents quiont répondu présent à nos sessions de rencontre avec les responsablesdes fonds régionaux, les 4,5 et 6 novembre ! Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’y assister, vous pouvez revoirnos trois sessions en cliquant sur les liens en dessous.•       04/11 : https://youtu.be/eJ-72u4z3n0•       05/11 : https://youtu.be/nHG42DbcA7I•       06/11 …

18 novembre 2020Non classénon-classe
Communiqué : Le SPI salue l’amélioration du Crédit d’Impôts Audiovisuel

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à saluer le travail d’équité réalisé par l’Assemblée nationale et le Gouvernement, dans l’adaptation précise et proportionnée du Crédit d’Impôt audiovisuel dans le Projet de Loi de Finances 2021.

Sensibilisés par le SPI sur la nécessité d’adapter sur plusieurs points le Crédit d’Impôts audiovisuel, lors de l’audition sur le PLF 2021, organisée par la Députée Céline Calvez pour la Commission des Affaires culturelles en septembre dernier, 31 députés conduits par Aurore Bergé ont obtenu trois adaptations capitales en séance plénière :

• L’extension du Crédit d’Impôts audiovisuel à la Captation de spectacles vivants afin de tenir compte d’une situation particulièrement difficile de ce secteur suite à la crise sanitaire.

• L’alignement à 25% du taux des crédits d’impôts audiovisuels pour le documentaire et le spectacle vivant, avec relèvement des plafonds concernés (repris par un amendement gouvernemental portant sur les années 2021 et suivantes).

• La validation grammaticale du caractère énumératif et non cumulatif de la conjonction de coordination « et » dans la formule « œuvres fragiles » et « à petit budget » qui permettra de clarifier définitivement l’interprétation du texte de la loi, écartant tout risque de contentieux pour le passé comme pour l’avenir.

Ces améliorations sensibles sont de bonnes nouvelles, qui permettent de conforter la trésorerie des sociétés de production concernées, au moment où elles traversent une crise sans précédent, et qui saluent leur contribution directe au maintien et au développement de la création culturelle en France.

Le SPI tient particulièrement à remercier de leur écoute et de leur action les Députés de la Commission des Affaires culturelles, Aurore Bergé et Céline Calvez en tête, mais aussi les Cabinets du Premier Ministre, de la Ministre de la Culture et du Ministre de l’Économie et des Finances.

Le SPI déplore en revanche que cette même logique n’ait pas permis d’améliorer le Crédit d’Impôt Cinéma, alors que la production d’œuvres cinématographiques et leur distribution sont confrontés à la pire crise de leur histoire et vont faire face à une impasse de financement sensible en 2021. Les producteurs indépendants tiennent donc à attirer tout spécialement l’attention de la Commission des Finances du Sénat sur les besoins symétriques du secteur du Cinéma.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à saluer le travail d’équité réalisé par l’Assemblée nationale et le Gouvernement, dans l’adaptation précise et proportionnée du Crédit d’Impôt audiovisuel dans le Projet de Loi de Finances 2021. Sensibilisés par le SPI sur la nécessité d’adapter sur plusieurs points le Crédit d’Impôts audiovisuel, lors de l’audition sur le PLF 2021, organisée par la Députée Céline Calvez pour la Commission des Affaires culturelles en septembre dernier, 31 députés conduits par Aurore Bergé ont obtenu trois adaptations capitales en séance plénière : • L’extension du Crédit d’Impôts audiovisuel à la Captation de spectacles vivants afin de tenir compte d’une situation particulièrement difficile de ce secteur suite à la crise sanitaire. • L’alignement à 25% du taux des crédits d’impôts audiovisuels pour le documentaire et le spectacle vivant, avec relèvement des plafonds concernés (repris par un amendement gouvernemental portant sur les années 2021 et suivantes). • La validation grammaticale du caractère énumératif et non cumulatif de la conjonction de coordination « et » dans la formule « œuvres fragiles » et « à petit budget » qui permettra de clarifier définitivement l’interprétation du texte de la loi, écartant tout risque de contentieux pour le passé comme pour l’avenir. Ces améliorations sensibles sont de bonnes nouvelles, qui permettent de conforter la trésorerie des sociétés de production concernées, au moment où elles traversent une crise sans précédent, et qui saluent leur contribution directe au maintien et au développement de la création culturelle en France. Le SPI tient particulièrement à remercier de leur écoute et de leur action les Députés de la Commission des Affaires culturelles, Aurore Bergé et Céline Calvez en tête, mais aussi les Cabinets du Premier Ministre, de la Ministre de la Culture et du Ministre de l’Économie et des Finances. Le SPI déplore en revanche que cette même logique n’ait pas permis d’améliorer le Crédit d’Impôt Cinéma, alors que la production d’œuvres cinématographiques et leur distribution sont confrontés à la pire crise de leur histoire et vont faire face à une impasse de financement sensible en 2021. Les producteurs indépendants tiennent donc à attirer tout spécialement l’attention de la Commission des Finances du Sénat sur les besoins symétriques du secteur du …

16 novembre 2020Actus-SPIactus-spi
Félicitations à nos adhérents pour leurs récompenses données par l’Association française des Critiques de Séries (A.C.S)

le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite ses adhérents primé par l’A.C.S !

Meilleure Série 52’ : “Mytho”
Production : Unité de production avec Arte France

Meilleur Générique : “The New Pope”, Paolo Sorrentino
Production : STUDIOCANAL, Wild Side, Haut et Court, Mediapro, FremantleHQ


Encore bravo !

le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite ses adhérents primé par l’A.C.S ! Meilleure Série 52’ : “Mytho” Production : Unité de production avec Arte France Meilleur Générique : “The New Pope”, Paolo Sorrentino Production : STUDIOCANAL, Wild Side, Haut et Court, Mediapro, FremantleHQ Encore bravo …

28 octobre 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
PORTRAIT STATISTIQUE DE L’AUDIOVISUEL – CPNEF

La CPNEF-AV et l’AFDAS ont publié le « Portrait statistique de l’audiovisuel en France ». Afin de mieux connaître ce champ professionnel, cet outil vous propose d’explorer les indicateurs socio-démographiques des entreprises et des salariés de l’audiovisuel.

On y apprend notamment que :

Les entreprises de l’audiovisuel sont majoritairement des très petites entreprises (95%). Leur hyper-concentration en Ile-de-France reste une réalité puisque 64% d’entre elles sont franciliennes.

→ A elle seule, la production audiovisuelle et cinématographique regroupe 10 531 entreprises, soit 72% des entreprises du champ de l’audiovisuel.

Les salariés de l’audiovisuel sont majoritairement des hommes (58%), mais selon les métiers, il existe de fortes disparités. Par exemple, la famille de métiers « Costume, maquillage, coiffure » est composée à 87% de femmes tandis que celle « Décor, construction, plateau » est constituée à 76% d’hommes. D’autres métiers sont plus équilibrés, comme ceux relatifs à la gestion de production ou à la documentation multimédia.

→ A elle seule, la production audiovisuelle et cinématographique représente 157 012 salariés. Cette population est particulièrement jeune : plus de 20% des salariés ont moins de 26 ans, et 50% a moins de 36 ans. 

➡️ Pour en savoir plus, rendez-vous sur : http://data.emploi.cpnef-av.fr/

* CPNEF-AV: commission paritaire nationale pour l’emploi et la formation professionnelle dans l’audiovisuel

Données : Observatoire des métiers de l’audiovisuel – CPNEF de l’audiovisuel / AFDAS / AUDIENS

Design : We Do Data

28 octobre 2020Actus-SPIactus-spi
Communiqué : Le BLIC, le BLOC et l’ARP saluent l’engagement financier de l’Etat aux côtés des acteurs de la filière cinématographique pour maintenir leur activité malgré le couvre feu

Depuis le début de la crise sanitaire qui frappe de plein fouet leur activité, exploitants, éditeurs-distributeurs, producteurs, créateurs et industries techniques se mobilisent sans relâche pour offrir aux Français, dans le respect des règles sanitaires les plus strictes, une offre cinématographique riche et diversifiée sur tout le territoire.

A l’heure où les géants mondiaux du numérique sont renforcés par la crise et par la fermeture de tous les lieux de culture au printemps dernier, les professionnels du cinéma remercient le Gouvernement et plus particulièrement la Ministre de la Culture d’avoir pris la mesure des enjeux auxquels fait face l’ensemble de la filière cinématographique. 

La nécessité de continuer à accueillir le public le plus largement possible et de maintenir l’attrait de la salle de cinéma, en rendant toujours possible la programmation et la sortie des films en salles, est une priorité absolue et un effort collectif.

Les mesures complémentaires de soutien accordées à hauteur de 30 M€ pour permettre le maintien de la diffusion des films pendant le couvre-feu témoignent de l’intérêt que porte le Gouvernement au cinéma et au modèle culturel français.

En soutenant la diffusion des œuvres en salles de cinéma, ces mesures constituent une étape indispensable à la sauvegarde de notre écosystème. 

Dès que la situation sanitaire le permettra à nouveau, il sera nécessaire de retrouver les conditions d’exposition des films et d’accueil des spectateurs les plus larges possibles, notamment en soirée.

En ces temps particulièrement bouleversés, où le besoin de culture, de lien social et d’expérience collective est d’autant plus fort, exploitants, éditeurs-distributeurs, producteurs, créateurs et industries techniques seront solidaires et unis pour que l’activité du cinéma ne s’arrête pas.

 

Contacts presse

Pour le BLIC (Bureau de Liaison des Industries Cinématographiques)

Hélène Herschel- helene.herschel@fnef.fr

Pour l’ARP (Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs)

Pierre Charpilloz- pcharpilloz@larp.fr

Pour le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma)

Rosalie Brun – SRF – rbrun@la-srf.fr

Marion Golléty – SPI – mgollety@lespi.org

Depuis le début de la crise sanitaire qui frappe de plein fouet leur activité, exploitants, éditeurs-distributeurs, producteurs, créateurs et industries techniques se mobilisent sans relâche pour offrir aux Français, dans le respect des règles sanitaires les plus strictes, une offre cinématographique riche et diversifiée sur tout le territoire. A l’heure où les géants mondiaux du numérique sont renforcés par la crise et par la fermeture de tous les lieux de culture au printemps dernier, les professionnels du cinéma remercient le Gouvernement et plus particulièrement la Ministre de la Culture d’avoir pris la mesure des enjeux auxquels fait face l’ensemble de la filière cinématographique.  La nécessité de continuer à accueillir le public le plus largement possible et de maintenir l’attrait de la salle de cinéma, en rendant toujours possible la programmation et la sortie des films en salles, est une priorité absolue et un effort collectif. Les mesures complémentaires de soutien accordées à hauteur de 30 M€ pour permettre le maintien de la diffusion des films pendant le couvre-feu témoignent de l’intérêt que porte le Gouvernement au cinéma et au modèle culturel français. En soutenant la diffusion des œuvres en salles de cinéma, ces mesures constituent une étape indispensable à la sauvegarde de notre écosystème.  Dès que la situation sanitaire le permettra à nouveau, il sera nécessaire de retrouver les conditions d’exposition des films et d’accueil des spectateurs les plus larges possibles, notamment en soirée. En ces temps particulièrement bouleversés, où le besoin de culture, de lien social et d’expérience collective est d’autant plus fort, exploitants, éditeurs-distributeurs, producteurs, créateurs et industries techniques seront solidaires et unis pour que l’activité du cinéma ne s’arrête pas.   Contacts presse Pour le BLIC (Bureau de Liaison des Industries Cinématographiques) Hélène Herschel- helene.herschel@fnef.fr Pour l’ARP (Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs) Pierre Charpilloz- pcharpilloz@larp.fr Pour le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma) Rosalie Brun – SRF – rbrun@la-srf.fr Marion Golléty – SPI – …

26 octobre 2020Actus-SPIactus-spi
Le SPI avec la Fesac déplorent les conséquences dramatiques du couvre-feu sur le secteur culturel

20 octobre 2020Actus-SPIactus-spi
26ème Cérémonie du Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep

A l’occasion de la cérémonie de remise des 26ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 5 octobre 2020, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement

HAUT ET COURT TV

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE FICTION

***

QUARK PRODUCTIONS

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE

***

SILEX FILMS

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS D’ANIMATION

Ces prix récompensent les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, l’audace et l’engagement des producteurs délégués au travers des projets de proximité mais également à dimension internationale. Ils représentent tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante.

Le SPI félicite également tous les nommés à la 26ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée. Nous vous invitons à retrouver les présentations des sociétés nommées au lien suivant : http://www.procirep-prix-du-producteur.fr/entretien-ceremonie_2020.html

Le replay de la cérémonie est disponible sur les liens suivants :

https://www.pscp.tv/w/1eaKbzzNpnqKX

https://www.facebook.com/prix.du.producteur/videos/362469511789683/

Paris, le 6 octobre 2020 
Contact presse : Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général
SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset 75011 Paris
Tél. 01 44 70 70 44

A l’occasion de la cérémonie de remise des 26ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 5 octobre 2020, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement HAUT ET COURT TV POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE FICTION *** QUARK PRODUCTIONS POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE *** SILEX FILMS POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS D’ANIMATION Ces prix récompensent les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, l’audace et l’engagement des producteurs délégués au travers des projets de proximité mais également à dimension internationale. Ils représentent tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante. Le SPI félicite également tous les nommés à la 26ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée. Nous vous invitons à retrouver les présentations des sociétés nommées au lien suivant : http://www.procirep-prix-du-producteur.fr/entretien-ceremonie_2020.html Le replay de la cérémonie est disponible sur les liens suivants : https://www.pscp.tv/w/1eaKbzzNpnqKX https://www.facebook.com/prix.du.producteur/videos/362469511789683/ Paris, le 6 octobre 2020 Contact presse : Olivier ZEGNA RATA – Délégué GénéralSPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants4, Cité Griset 75011 ParisTél. 01 44 70 70 …

6 octobre 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
RECHERCHE COMPTABLE

Secteur Production Audiovisuelle   Description de l’entreprise/de l’organisme et de sa recherche La société LES FIMS DU POISSON produit aussi bien du cinéma que de la télévision, de la fiction comme du documentaire (pour exemple, films de long métrage : La Douleur d’Emmanuel Finkiel, Tournée de Mathieu Almaric… / séries télévisuelles : L’agent Immobilier de Etgar Keret et Shira Geffen, En Thérapie de Nakache et Toledano…/ documentaires pour la télévision : Gatekeepers de Dror Moreh, La Passion d’Anna Magnani de Enrico Cerasuolo…) …   Description du poste Comptable à temps partiel.   La société LES FIMS DU POISSON est à la recherche d’un comptable ayant une connaissance de l’administration de production (comptable de production), mais aussi de la comptabilité générale (notamment préparation des comptes annuels sous la direction et avec l’aide de l’expert-comptable de la société).   L’équipe Finances et comptabilité est déjà constituée d’une Direction Financière et d’un assistant à la Direction Financière et à la Comptabilité, le ou la comptable travaillera donc sous contrôle et avec l’aide de la Direction Financière et de son assistant et assumera les travaux comptables.   Description du poste : Saisie, traitement, lettrage et analyse des comptes clients et fournisseurs en veillant au respect des règles comptables et d’imputations analytiques (comptabilité générale et analytique). Rapprochement des factures avec les bons de commande. Saisie des notes de frais et des cartes de crédit. Payes des permanents et pour les projets en développement et en post production, des intermittents (ainsi que pour certains documentaires télévisuels dont le montage est étalé dans le temps). Déclaration fiscales (TVA, CVAE, crédit d’impôt…) et sociales. Règlements des factures fournisseurs, des notes de frais, des acomptes des cotisations sociales et des charges fiscales sous le contrôle de la Direction financière. Rapprochements bancaires. Lettrage de la comptabilité, suivi des relances. Travaux comptables en liaison avec les administrateurs de production (transfert des dépenses de développement, suivi des comptes de liaison et réintégration des comptas films) Classement   Bien évidemment cette liste est indicative et non exhaustive.                 Description du profil recherché Idéalement, Niveau BAC+2 souhaité dans le domaine comptable (BTS/DUT COMPTA, DPECF ou équivalent). Rigoureux(se) et organisé(e), votre réactivité vous permettra de vous adapter très rapidement. Autonomie, Intégrité, discrétion et fiabilité. Esprit d’équipe. Connaissances en informatique : . Connaissance d’Excel. . Connaissance du logiciel de comptabilité XOTIS (LOUMA, STUDIO, PEPLUM). Description de l’expérience recherchée 3 ans minimum, dans l’audiovisuel et/ou le cinéma Idéalement multi-sociétés.   Date de prise de fonction Fin novembre 2020   Rémunération envisagée Selon profil.   Lieu Paris Xe.     Adresse mail pour envoi des candidatures et/ ou questions : gaelle@fimsdupoisson.com      

Secteur Production Audiovisuelle   Description de l’entreprise/de l’organisme et de sa recherche La société LES FIMS DU POISSON produit aussi bien du cinéma que de la télévision, de la fiction comme du documentaire (pour exemple, films de long métrage : La Douleur d’Emmanuel Finkiel, Tournée de Mathieu Almaric… / séries télévisuelles : L’agent Immobilier de Etgar Keret et Shira Geffen, En Thérapie de Nakache et Toledano…/ documentaires pour la télévision : Gatekeepers de Dror Moreh, La Passion d’Anna Magnani de Enrico Cerasuolo…) …   Description du poste Comptable à temps partiel.   La société LES FIMS DU POISSON est à la recherche d’un comptable ayant une connaissance de l’administration de production (comptable de production), mais aussi de la comptabilité générale (notamment préparation des comptes annuels sous la direction et avec l’aide de l’expert-comptable de la société).   L’équipe Finances et comptabilité est déjà constituée d’une Direction Financière et d’un assistant à la Direction Financière et à la Comptabilité, le ou la comptable travaillera donc sous contrôle et avec l’aide de la Direction Financière et de son assistant et assumera les travaux comptables.   Description du poste : Saisie, traitement, lettrage et analyse des comptes clients et fournisseurs en veillant au respect des règles comptables et d’imputations analytiques (comptabilité générale et analytique). Rapprochement des factures avec les bons de commande. Saisie des notes de frais et des cartes de crédit. Payes des permanents et pour les projets en développement et en post production, des intermittents (ainsi que pour certains documentaires télévisuels dont le montage est étalé dans le temps). Déclaration fiscales (TVA, CVAE, crédit d’impôt…) et sociales. Règlements des factures fournisseurs, des notes de frais, des acomptes des cotisations sociales et des charges fiscales sous le contrôle de la Direction financière. Rapprochements bancaires. Lettrage de la comptabilité, suivi des relances. Travaux comptables en liaison avec les administrateurs de production (transfert des dépenses de développement, suivi des comptes de liaison et réintégration des comptas films) Classement   Bien évidemment cette liste est indicative et non exhaustive.                 Description du profil recherché Idéalement, Niveau BAC+2 souhaité dans le domaine comptable (BTS/DUT COMPTA, DPECF ou équivalent). Rigoureux(se) et organisé(e), votre réactivité vous permettra de vous adapter très rapidement. Autonomie, Intégrité, discrétion et fiabilité. Esprit d’équipe. Connaissances en informatique : . Connaissance d’Excel. . Connaissance du logiciel de comptabilité XOTIS (LOUMA, STUDIO, PEPLUM). Description de l’expérience recherchée 3 ans minimum, dans l’audiovisuel et/ou le cinéma Idéalement multi-sociétés.   Date de prise de fonction Fin novembre 2020   Rémunération envisagée Selon profil.   Lieu Paris Xe.     Adresse mail pour envoi des candidatures et/ ou questions : gaelle@fimsdupoisson.com     …

5 octobre 2020Annoncesannonces
Communiqué : Soutien du ROC aux festivals
Le Regroupement des Organisations du Court métrage réunit l’ensemble des acteurs de la filière du court métrage – auteur.trice.s-réalisateur.trice.s, producteur.trice.s, diffuseurs, organisateur.trice.s de festivals, artistes-interprètes et acteur.trice.s de la démocratisation culturelle – avec pour objectif d’assurer la pérennité et la diversité de la production et de la diffusion des œuvres de court métrage.
 
Le ROC salue la mise en place par le ministère de la Culture de la première édition des états généraux des festivals et exprime son soutien à tous les festivals qui font face depuis bientôt huit mois à la crise sanitaire.
 
La démarche prospective menée à l’occasion de ces états généraux ne doit pas occulter les difficultés actuelles des festivals de cinéma qui mettent gravement en péril leur objectif de mise en valeur et de transmission de la culture.
 
Pour le court métrage en particulier, ces manifestations jouent dans les territoires un rôle primordial dans la rencontre des œuvres et des publics comme dans l’émergence et l’accompagnement de nouveaux talents.
 
Le ROC appelle les pouvoirs publics à considérer les besoins de ces festivals et à y apporter une réponse le plus rapidement possible.
 
 
Contacts
SRF – Raphaël Laforgue – 01 44 89 99 70
SPI – Céline Hautier – 01 44 70 70 44

Le Regroupement des Organisations du Court métrage réunit l’ensemble des acteurs de la filière du court métrage – auteur.trice.s-réalisateur.trice.s, producteur.trice.s, diffuseurs, organisateur.trice.s de festivals, artistes-interprètes et acteur.trice.s de la démocratisation culturelle – avec pour objectif d’assurer la pérennité et la diversité de la production et de la diffusion des œuvres de court métrage.   Le ROC salue la mise en place par le ministère de la Culture de la première édition des états généraux des festivals et exprime son soutien à tous les festivals qui font face depuis bientôt huit mois à la crise sanitaire.   La démarche prospective menée à l’occasion de ces états généraux ne doit pas occulter les difficultés actuelles des festivals de cinéma qui mettent gravement en péril leur objectif de mise en valeur et de transmission de la culture.   Pour le court métrage en particulier, ces manifestations jouent dans les territoires un rôle primordial dans la rencontre des œuvres et des publics comme dans l’émergence et l’accompagnement de nouveaux talents.   Le ROC appelle les pouvoirs publics à considérer les besoins de ces festivals et à y apporter une réponse le plus rapidement possible.     Contacts SRF – Raphaël Laforgue – 01 44 89 99 70 SPI – Céline Hautier – 01 44 70 70 …

2 octobre 2020Actus-SPIactus-spi
Recherche Bureau de production sous location

Lizland Films est en prépa en novembre et décembre. Nous cherchons un bureau de préparation 2 pièces minimum à sous louer , plutôt l’est parisien.

Lizland Films est en prépa en novembre et décembre. Nous cherchons un bureau de préparation 2 pièces minimum à sous louer , plutôt l’est …

30 septembre 2020Annoncesannonces
Communiqué de presse : Solidaires contre le fanatisme !

25 septembre 2020Actus-SPIactus-spi
Les syndicats de producteurs s’entendent sur des principes de reprise des tournages

Les syndicats de producteurs ont finalisé une Charte de bonnes pratiques pour accompagner la reprise des tournages.

Des tournages ont repris sur le territoire national depuis le mois de juin, avec une accélération depuis la rentrée de septembre. Néanmoins, la plupart des tournages intégrant des prises de vue à l’étranger restent à l’arrêt.  

Issue d’échanges entre les différents acteurs de la production cinématographique et audiovisuelle, cette Charte a pour but d’accompagner la reprise d’activité dans les meilleures conditions possibles pour les professionnels du secteur : employeurs, salariés, mais aussi indirectement, éditeurs de services.  

Elle vise en premier lieu à acter un ordre de reprise des tournages fondé sur l’antériorité. L’Association de médiation et d’arbitrage des professionnels de l’audiovisuel (AMAPA) et le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) sont utilement associés à la Charte. En cas de différend, ceux-ci pourront éventuellement intervenir en médiateurs, à la demande des parties.  

Elle prévoit également un mécanisme contractuel garantissant un niveau minimal de rémunération pour les salariés en cas d’arrêt de tournage pour cause de COVID-19, tout en limitant les risques économiques pesant sur les sociétés de production.  

Ces règles posées sécurisent donc le processus de création des œuvres couvertes par le fonds d’indemnisation du CNC, limitent l’exposition à certains risques pour les entreprises et garantissent des conditions d’emploi sécurisés pour les salariés dans le cadre de la reprise d’activité.

En mettant en avant dans ce cadre l’échange et la concertation entre les professionnels, la signature de cette charte illustre la capacité des acteurs de la production audiovisuelle et cinématographique à collaborer au service de l’intérêt collectif de la profession.

Contacts presse :  
Syndicat des agences de presse audiovisuelles (SATEV) : Florence BRAKA Syndicat des producteurs et créateurs de programmes audiovisuels (SPECT) : Vincent GISBERT
Syndicat des producteurs indépendants (SPI) : Olivier ZEGNA RATA

Union syndicale de la production audiovisuelle (USPA) : Stéphane LE BARS
Association de Médiation et d’Arbitrage des Professionnels de l’Audiovisuel (AMAPA) : Charlotte PAILLIEUX

Les syndicats de producteurs ont finalisé une Charte de bonnes pratiques pour accompagner la reprise des tournages. Des tournages ont repris sur le territoire national depuis le mois de juin, avec une accélération depuis la rentrée de septembre. Néanmoins, la plupart des tournages intégrant des prises de vue à l’étranger restent à l’arrêt.   Issue d’échanges entre les différents acteurs de la production cinématographique et audiovisuelle, cette Charte a pour but d’accompagner la reprise d’activité dans les meilleures conditions possibles pour les professionnels du secteur : employeurs, salariés, mais aussi indirectement, éditeurs de services.   Elle vise en premier lieu à acter un ordre de reprise des tournages fondé sur l’antériorité. L’Association de médiation et d’arbitrage des professionnels de l’audiovisuel (AMAPA) et le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) sont utilement associés à la Charte. En cas de différend, ceux-ci pourront éventuellement intervenir en médiateurs, à la demande des parties.   Elle prévoit également un mécanisme contractuel garantissant un niveau minimal de rémunération pour les salariés en cas d’arrêt de tournage pour cause de COVID-19, tout en limitant les risques économiques pesant sur les sociétés de production.   Ces règles posées sécurisent donc le processus de création des œuvres couvertes par le fonds d’indemnisation du CNC, limitent l’exposition à certains risques pour les entreprises et garantissent des conditions d’emploi sécurisés pour les salariés dans le cadre de la reprise d’activité. En mettant en avant dans ce cadre l’échange et la concertation entre les professionnels, la signature de cette charte illustre la capacité des acteurs de la production audiovisuelle et cinématographique à collaborer au service de l’intérêt collectif de la profession. Contacts presse :   Syndicat des agences de presse audiovisuelles (SATEV) : Florence BRAKA Syndicat des producteurs et créateurs de programmes audiovisuels (SPECT) : Vincent GISBERT Syndicat des producteurs indépendants (SPI) : Olivier ZEGNA RATA Union syndicale de la production audiovisuelle (USPA) : Stéphane LE BARS Association de Médiation et d’Arbitrage des Professionnels de l’Audiovisuel (AMAPA) : Charlotte …

22 septembre 2020Actus-SPIactus-spi
France Télévisions, le Collectif 50/50, le Groupe 25 Images, l’association « PFDM – Pour les femmes dans les medias », la SACD, le SPI et l’USPA s’associent pour faire de la « Bible 50/50 » lancée l’an dernier par le Collectif 50/50, le répertoire de référence des réalisatrices.

France Télévisions s’est engagé à atteindre 30 % de réalisatrices dans les fictions qu’elle préfinance, à fin 2021.

Le constat est partagé par tous : si les promotions des écoles de réalisation sont paritaires, les femmes n’ont réalisé en moyenne que 14 % des fictions tournées en France entre 2008 et 2018 (source : étude INA-PFDM- mars 2020). Pour les fictions préfinancées par France Télévisions, le ratio est d’environ 20% en 2019.

France Télévisions, le Collectif 50/50, le Groupe 25 Images, l’association « PFDM -Pour les femmes dans les medias », la SACD, le SPI et l’USPA s’associent pour faire de la « Bible 50/50 » lancée l’an dernier par le Collectif 50/50, le répertoire de référence des réalisatrices afin d’accroître leur visibilité.

La SACD, le Groupe 25 Images, 50/50 et PFDM inciteront leurs adhérentes réalisatrices à s’inscrire dans la « Bible 50/50 », France Télévisions et les producteurs membres du SPI et de l’USPA s’y réfèreront pour trouver les talents.

Par cet engagement collectif, les partenaires manifestent leur volonté d’agir concrètement pour mieux identifier les femmes réalisatrices, valoriser leur travail, et travailler à leur émergence en suivant leur parcours créatif avec un double objectif : refuser la fatalité ; garantir une présence accrue des femmes réalisatrices dans la fiction française, dans tous ses formats, dans tous ses genres et dans toute sa diversité.

Paris, le 17 septembre 2020

Contacts presse :

France Télévisions : Véronique Provost – veronique.provost@francetv.fr
Collectif 50/50 : Fanny de Casimacker – collectif5050x2020@gmail.com
Groupe 25 Images : Michaël Morlon – morlon.michael@gmail.com
Pour PFDM : Catherine Rambert – c.ramb@orange.fr
SACD : Agnès Mazet – agnes.mazet@sacd.fr – www.sacd.fr
SPI : Emmanuelle Mauger – emauger@lespi.org
USPA : Stéphane Le Bars – s.lebars@uspa.fr

France Télévisions s’est engagé à atteindre 30 % de réalisatrices dans les fictions qu’elle préfinance, à fin 2021. Le constat est partagé par tous : si les promotions des écoles de réalisation sont paritaires, les femmes n’ont réalisé en moyenne que 14 % des fictions tournées en France entre 2008 et 2018 (source : étude INA-PFDM- mars 2020). Pour les fictions préfinancées par France Télévisions, le ratio est d’environ 20% en 2019. France Télévisions, le Collectif 50/50, le Groupe 25 Images, l’association « PFDM -Pour les femmes dans les medias », la SACD, le SPI et l’USPA s’associent pour faire de la « Bible 50/50 » lancée l’an dernier par le Collectif 50/50, le répertoire de référence des réalisatrices afin d’accroître leur visibilité. La SACD, le Groupe 25 Images, 50/50 et PFDM inciteront leurs adhérentes réalisatrices à s’inscrire dans la « Bible 50/50 », France Télévisions et les producteurs membres du SPI et de l’USPA s’y réfèreront pour trouver les talents. Par cet engagement collectif, les partenaires manifestent leur volonté d’agir concrètement pour mieux identifier les femmes réalisatrices, valoriser leur travail, et travailler à leur émergence en suivant leur parcours créatif avec un double objectif : refuser la fatalité ; garantir une présence accrue des femmes réalisatrices dans la fiction française, dans tous ses formats, dans tous ses genres et dans toute sa diversité. Paris, le 17 septembre 2020 Contacts presse : France Télévisions : Véronique Provost – veronique.provost@francetv.fr Collectif 50/50 : Fanny de Casimacker – collectif5050x2020@gmail.com Groupe 25 Images : Michaël Morlon – morlon.michael@gmail.com Pour PFDM : Catherine Rambert – c.ramb@orange.fr SACD : Agnès Mazet – agnes.mazet@sacd.fr – www.sacd.fr SPI : Emmanuelle Mauger – emauger@lespi.org USPA : Stéphane Le Bars – …

18 septembre 2020Actus-SPIactus-spi
Félicitations à nos adhérents pour leur prix à la Mostra de Venise !

• Lion d’argent et Leoncino d’Oro : “Nuevo Orden” de Michel Franco coproduit par Les Films d’Ici

• Grand prix du jury pour la meilleure œuvre immersive VR : “The Hangman at Home”, de Michelle et Uri Kranot produit par Floréal Films  et Miyu Productions

• Prix du meilleur film en post-production (work-in-progress) : “Harvest” de Ely Dagher produit par Andolfi

• Lion d’argent et Leoncino d’Oro : “Nuevo Orden” de Michel Franco coproduit par Les Films d’Ici • Grand prix du jury pour la meilleure œuvre immersive VR : “The Hangman at Home”, de Michelle et Uri Kranot produit par Floréal Films  et Miyu Productions • Prix du meilleur film en post-production (work-in-progress) : “Harvest” de Ely Dagher produit par …

17 septembre 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Empêchons la censure de Mignonnes !
Le SPI dénonce fermement la double attaque contre la liberté de la création et l’émancipation des femmes, portée par une frange ultraconservatrice du Parti Républicain américain qui, à l’approche des élections présidentielles, a pris comme cible emblématique le film Mignonnes de la réalisatrice française et sénégalaise Maïmouna Doucouré, Prix de la meilleure réalisation au Festival Sundance, aux Etats-Unis. 

Les attaques contre le film Mignonnes sont en totale contradiction avec la démarche cinématographique de l’auteure et le sens même du film. Le film dénonce un fait existant et bien réel : l’hypersexualisation des jeunes filles et les dangers des réseaux sociaux et n’en fait en aucun cas l’apologie. 

Contre l’obscurantisme, le refus de l’affirmation des femmes et le culte de la censure, le Syndicat des Producteurs Indépendants salue la sensibilité extrême d’un film qui parvient à exprimer le parcours difficile d’une adolescente qui échappe au joug des diktats patriarcaux pour s’en émanciper et construire sa propre personnalité et son propre destin. 

Produit par une société de production française, diffusé dans les salles, accessible à tout public, Mignonnes mérite tout autre chose qu’une bronca stérile et absurde. Le SPI tient à mettre en garde Netflix, qui diffuse ce film aux Etats-Unis, contre toute tentation de se soumettre aux injonctions de lobbies réactionnaires, hostiles à la liberté d’expression.   
Paris, le 16 septembre 2020 
Contact presse : Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général
SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset 75011 Paris
Tél 01 44 70 70 44

Le SPI dénonce fermement la double attaque contre la liberté de la création et l’émancipation des femmes, portée par une frange ultraconservatrice du Parti Républicain américain qui, à l’approche des élections présidentielles, a pris comme cible emblématique le film Mignonnes de la réalisatrice française et sénégalaise Maïmouna Doucouré, Prix de la meilleure réalisation au Festival Sundance, aux Etats-Unis.  Les attaques contre le film Mignonnes sont en totale contradiction avec la démarche cinématographique de l’auteure et le sens même du film. Le film dénonce un fait existant et bien réel : l’hypersexualisation des jeunes filles et les dangers des réseaux sociaux et n’en fait en aucun cas l’apologie.  Contre l’obscurantisme, le refus de l’affirmation des femmes et le culte de la censure, le Syndicat des Producteurs Indépendants salue la sensibilité extrême d’un film qui parvient à exprimer le parcours difficile d’une adolescente qui échappe au joug des diktats patriarcaux pour s’en émanciper et construire sa propre personnalité et son propre destin.  Produit par une société de production française, diffusé dans les salles, accessible à tout public, Mignonnes mérite tout autre chose qu’une bronca stérile et absurde. Le SPI tient à mettre en garde Netflix, qui diffuse ce film aux Etats-Unis, contre toute tentation de se soumettre aux injonctions de lobbies réactionnaires, hostiles à la liberté d’expression.    Paris, le 16 septembre 2020 Contact presse : Olivier ZEGNA RATA – Délégué GénéralSPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants4, Cité Griset 75011 ParisTél 01 44 70 70 …

16 septembre 2020Actus-SPIactus-spi
Festival de la Fiction TV : les producteurs du SPI sont interviewés dans Ecran Total

A l’occasion du Festival de la Fiction TV, Simon Arnal (Haut et Court), Caroline Adrian (Delante Productions), Augustin Bernard (Black Sheep Films), François Bertrand (CLPB Médias), Sophie Deloche (Astharté & Compagnie), Nora Melhli (Alef One), Olivier Zegna Rata (Délégué général du SPI) et Emmanuelle Mauger (Déléguée générale adjointe du SPI) analysent les conséquences de la crise sanitaire sur la filière et se projettent sur les chantiers à venir dans une interview d’Ecran Total.

A l’occasion du Festival de la Fiction TV, Simon Arnal (Haut et Court), Caroline Adrian (Delante Productions), Augustin Bernard (Black Sheep Films), François Bertrand (CLPB Médias), Sophie Deloche (Astharté & Compagnie), Nora Melhli (Alef One), Olivier Zegna Rata (Délégué général du SPI) et Emmanuelle Mauger (Déléguée générale adjointe du SPI) analysent les conséquences de la crise sanitaire sur la filière et se projettent sur les chantiers à venir dans une interview d’Ecran …

16 septembre 2020Actus-SPIactus-spi
Félicitations aux productrices et producteurs lauréats du palmarès 2020 du Festival Off-Courts de Trouville !
Prix du jury - Région Normandie :
Finale, de Stéphan Castang, produit par Takami Productions
 
Prix France Télévisions Jeune Producteur.rice 2020 :
Ex aequo 
Quartett Productions, Ethan Selcer
Deuxième Ligne Films, Marie Dubas
 
Prix de la critique :
Mention spéciale à Teen Horses, de Valérie Leroy, produit par Offshore
 
Prix Unifrance du court métrage, remis exceptionnellement à l’occasion du Festival Off-Courts :
Grand Prix : 
Genius Loci, d’Adrien Merigeau, coproduit par Kazak Productions
 
Prix Grand Action – Prix Rtbf – Prix Be TV : 
Entracte, d’Anthony Lemaitre, produit par Tripode Productions

Prix du jury – Région Normandie :Finale, de Stéphan Castang, produit par Takami Productions Prix France Télévisions Jeune Producteur.rice 2020 :Ex aequo Quartett Productions, Ethan SelcerDeuxième Ligne Films, Marie Dubas Prix de la critique :Mention spéciale à Teen Horses, de Valérie Leroy, produit par Offshore Prix Unifrance du court métrage, remis exceptionnellement à l’occasion du Festival Off-Courts :Grand Prix : Genius Loci, d’Adrien Merigeau, coproduit par Kazak Productions Prix Grand Action – Prix Rtbf – Prix Be TV : Entracte, d’Anthony Lemaitre, produit par Tripode …

14 septembre 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
cherche repreneur contrat de location maintenance photocopieur Xerox

Bonjour, Je quitte mes bureaux actuels et cherche à céder mon contrat de location maintenance signé le 28 juin 2018 avec Xerox. C’est un contrat de 5 ans au forfait de 147 € HT par mois, incluant la location d’un copieur C7020 (couleur), la maintenance, les consommables et 700 copies N&B. Photo disponible sur demande. Au repreneur, je peux également donner mon mobilier de bureau (étagères et bureaux). Contact : anne@sunrisefilms.eu / 0625640501

Bonjour, Je quitte mes bureaux actuels et cherche à céder mon contrat de location maintenance signé le 28 juin 2018 avec Xerox. C’est un contrat de 5 ans au forfait de 147 € HT par mois, incluant la location d’un copieur C7020 (couleur), la maintenance, les consommables et 700 copies N&B. Photo disponible sur demande. Au repreneur, je peux également donner mon mobilier de bureau (étagères et bureaux). Contact : anne@sunrisefilms.eu / …

10 septembre 2020Annoncesannonces
La Fesac accueille avec satisfaction les mesures de soutien au spectacle vivant et enregistré mais annonce un redémarrage lent et difficile de la filière

La Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma (Fesac) se félicite des mesures visant à protéger le spectacle vivant et le spectacle enregistré. L’organisation professionnelle d’employeurs n’en est pas moins inquiète et prédit une saison 2021 extrêmement difficile, en raison du manque de prévisibilité.

La Fesac se félicite des annonces fortes du Premier Ministre concernant des aides à hauteur de 432 millions d’euros pour le spectacle vivant, secteur durement et massivement impacté par la crise. Ces mesures pourraient permettre, si elles sont bien fléchées et exécutées, de sauver une grande partie du secteur. La Fédération s’inquiète en revanche du maintien de la distanciation physique dans les salles situées en zones rouges, contrainte qui ne pèse d’ailleurs que sur le secteur culturel. « Nous attendons à présent de connaître les modalités du mécanisme de compensation qui bénéficiera notamment aux entreprises du secteur situées en zones rouges, où la distanciation reste d’actualité et se cumulera avec le port du masque », précise Jean-Yves Mirski, Président de la Fesac.

La Fesac salue par ailleurs la prolongation de l’activité partielle jusqu’au 31 décembre 2020 pour les professionnels de la culture ainsi que la prolongation des crédits d’impôt spectacle vivant et production phonographique jusqu’à fin 2024.

« Ces mesures étaient vitales pour les entreprises du monde du spectacle dont l’activité, pour beaucoup, n’a toujours pas repris. S’agissant des dispositifs fiscaux, nous insistons sur la nécessité d’aller plus loin en renforçant les crédits d’impôts pour l’ensemble du secteur culturel – l’audiovisuel avec la captation de spectacle vivant, le cinéma et les documentaires ainsi que l’édition musicale– en les complétant et en les revalorisant. Reste à savoir si l’ensemble de ces mesures sera suffisant pour relancer notre filière. », déclare Jean-Yves Mirski.

L’organisation professionnelle d’employeurs reste en effet dans l’incapacité de se projeter. Sans aucune visibilité sur le moyen et long terme (Quid de l’interdiction des rassemblement de plus de 5000 personnes et des jauges debout ?), les programmations artistiques pour 2021 et 2022 patinent. « Nous avançons à tâtons, tant l’avenir de notre secteur dépend de nombreuses variables. Une chose est sûre : nous devons donner envie au public de revenir dans les salles de spectacle. La culture participe à restaurer le lien social – celui dont nous avons tant besoin pour relever le défi de sortie de crise », rappelle Jean-Yves Mirski.

La Fesac a par ailleurs pris note des annonces du Premier Ministre en faveur du secteur de l’audiovisuel et du cinéma. En effet, la baisse de 70% des entrées a mis à mal le modèle d’auto-épargne du cinéma français – à laquelle s’est ajoutée une diminution de 30% du chiffre d’affaires publicitaire des chaînes de télévision.

« La production audiovisuelle et cinématographique a été très affectée par la crise. L’effacement des pertes prévisibles du CNC pour l’année à hauteur de 165 millions est donc une première bonne nouvelle pour garantir un soutien à l’ensemble de la filière. Il reste à connaître l’affectation de ces crédits et à financer une véritable relance de la production audiovisuelle et cinématographique avec notamment le gel en 2021 des baisses du financement de l’audiovisuel public issu de la redevance », explique le Président de la Fesac.

La Fesac tient également à attirer l’attention du gouvernement sur la branche des entreprises techniques, grande oubliée du soutien indispensable à l’ensemble des activités du secteur du spectacle.

Les éditeurs et les producteurs audiovisuels, de cinéma et de radio sont par ailleurs tous fortement mobilisés pour obtenir une dérogation auprès du ministère du Travail afin de dispenser du port du masque les intervenants à l’écran, sur les plateaux et lors des tournages. A défaut, le préjudice serait considérable pour les entreprises de ces secteurs alors même que des protocoles très stricts ont été mis en place. « Les grands volumes des studios, le respect scrupuleux des gestes barrières et le port du masque pour les collaborateurs hors champ de la caméra nous permettent d’assurer les tournages en toute sécurité », précise le président de la Fesac.

Le Premier Ministre a souligné l’importance de réussir la mise en oeuvre opérationnelle des mesures du plan de relance. La ministre de la Culture est en première ligne et doit assurer la concertation permanente avec les partenaires sociaux pour y parvenir. La Fesac tient à insister dans le même temps sur la préparation budgétaire pour 2021. Les efforts financiers devront aussi se mesurer à l’aune de cet exercice, qui sera le dernier budget complet du quinquennat.

A propos de la Fesac

Créée en 1998, la Fesac représente les entreprises du spectacle vivant et enregistré (théâtre, musique live et enregistrée, cabaret, humour, cirque, danse, cinéma, audiovisuel, films d’animation, prestataires techniques, radiodiffusion, télédiffusion) auprès des pouvoirs publics et des partenaires sociaux. La Fédération réunit plus de 30 organisations patronales, soit 3 000 entreprises qui emploient plus de 300 000 salariés.

Contact presse

Anne-Laure Marin – Agence Initiale

annelaure@agence-initiale.fr – 07 69 95 64 68

La Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma (Fesac) se félicite des mesures visant à protéger le spectacle vivant et le spectacle enregistré. L’organisation professionnelle d’employeurs n’en est pas moins inquiète et prédit une saison 2021 extrêmement difficile, en raison du manque de prévisibilité. La Fesac se félicite des annonces fortes du Premier Ministre concernant des aides à hauteur de 432 millions d’euros pour le spectacle vivant, secteur durement et massivement impacté par la crise. Ces mesures pourraient permettre, si elles sont bien fléchées et exécutées, de sauver une grande partie du secteur. La Fédération s’inquiète en revanche du maintien de la distanciation physique dans les salles situées en zones rouges, contrainte qui ne pèse d’ailleurs que sur le secteur culturel. « Nous attendons à présent de connaître les modalités du mécanisme de compensation qui bénéficiera notamment aux entreprises du secteur situées en zones rouges, où la distanciation reste d’actualité et se cumulera avec le port du masque », précise Jean-Yves Mirski, Président de la Fesac. La Fesac salue par ailleurs la prolongation de l’activité partielle jusqu’au 31 décembre 2020 pour les professionnels de la culture ainsi que la prolongation des crédits d’impôt spectacle vivant et production phonographique jusqu’à fin 2024. « Ces mesures étaient vitales pour les entreprises du monde du spectacle dont l’activité, pour beaucoup, n’a toujours pas repris. S’agissant des dispositifs fiscaux, nous insistons sur la nécessité d’aller plus loin en renforçant les crédits d’impôts pour l’ensemble du secteur culturel – l’audiovisuel avec la captation de spectacle vivant, le cinéma et les documentaires ainsi que l’édition musicale– en les complétant et en les revalorisant. Reste à savoir si l’ensemble de ces mesures sera suffisant pour relancer notre filière. », déclare Jean-Yves Mirski. L’organisation professionnelle d’employeurs reste en effet dans l’incapacité de se projeter. Sans aucune visibilité sur le moyen et long terme (Quid de l’interdiction des rassemblement de plus de 5000 personnes et des jauges debout ?), les programmations artistiques pour 2021 et 2022 patinent. « Nous avançons à tâtons, tant l’avenir de notre secteur dépend de nombreuses variables. Une chose est sûre : nous devons donner envie au public de revenir dans les salles de spectacle. La culture participe à restaurer le lien social – celui dont nous avons tant besoin pour relever le défi de sortie de crise », rappelle Jean-Yves Mirski. La Fesac a par ailleurs pris note des annonces du Premier Ministre en faveur du secteur de l’audiovisuel et du cinéma. En effet, la baisse de 70% des entrées a mis à mal le modèle d’auto-épargne du cinéma français – à laquelle s’est ajoutée une diminution de 30% du chiffre d’affaires publicitaire des chaînes de télévision. « La production audiovisuelle et cinématographique a été très affectée par la crise. L’effacement des pertes prévisibles du CNC pour l’année à hauteur de 165 millions est donc une première bonne nouvelle pour garantir un soutien à l’ensemble de la filière. Il reste à connaître l’affectation de ces crédits et à financer une véritable relance de la production audiovisuelle et cinématographique avec notamment le gel en 2021 des baisses du financement de l’audiovisuel public issu de la redevance », explique le Président de la Fesac. La Fesac tient également à attirer l’attention du gouvernement sur la branche des entreprises techniques, grande oubliée du soutien indispensable à l’ensemble des activités du secteur du spectacle. Les éditeurs et les producteurs audiovisuels, de cinéma et de radio sont par ailleurs tous fortement mobilisés pour obtenir une dérogation auprès du ministère du Travail afin de dispenser du port du masque les intervenants à l’écran, sur les plateaux et lors des tournages. A défaut, le préjudice serait considérable pour les entreprises de ces secteurs alors même que des protocoles très stricts ont été mis en place. « Les grands volumes des studios, le respect scrupuleux des gestes barrières et le port du masque pour les collaborateurs hors champ de la caméra nous permettent d’assurer les tournages en toute sécurité », précise le président de la Fesac. Le Premier Ministre a souligné l’importance de réussir la mise en oeuvre opérationnelle des mesures du plan de relance. La ministre de la Culture est en première ligne et doit assurer la concertation permanente avec les partenaires sociaux pour y parvenir. La Fesac tient à insister dans le même temps sur la préparation budgétaire pour 2021. Les efforts financiers devront aussi se mesurer à l’aune de cet exercice, qui sera le dernier budget complet du quinquennat. A propos de la Fesac Créée en 1998, la Fesac représente les entreprises du spectacle vivant et enregistré (théâtre, musique live et enregistrée, cabaret, humour, cirque, danse, cinéma, audiovisuel, films d’animation, prestataires techniques, radiodiffusion, télédiffusion) auprès des pouvoirs publics et des partenaires sociaux. La Fédération réunit plus de 30 organisations patronales, soit 3 000 entreprises qui emploient plus de 300 000 salariés. Contact presse Anne-Laure Marin – Agence Initiale annelaure@agence-initiale.fr – 07 69 95 64 …

1 septembre 2020Actus-SPIactus-spi
JUST KIDS de Blue Monday Productions
JUST KIDS est sorti hier dans les salles françaises, favorablement accueilli par la presse. Les temps sont un peu compliqués pour le cinéma, pour les films et ceux qui les font. Donc, par ces chaudes journées et soirées d’été, n’hésitez pas à aller au cinéma et à encourager vos proches à retrouver le chemin des salles ! Bel été à tous,

6 août 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI félicite Delphine Ernotte pour sa reconduction à la tête de France Télévisions
Le SPI se réjouit de la reconduction de Delphine Ernotte à la tête de France Télévisions pour les cinq prochaines années.
 
Malgré un plan d’économies significatif initialement prévu jusqu’en 2022, et une crise sanitaire bouleversant le cours de la production et de la programmation, son premier mandat a été marqué par une volonté constante de soutenir la création.
 
Le renouvellement, en 2019, des accords avec les producteurs audiovisuels a permis à France Télévisions de pérenniser son engagement dans la création audiovisuelle et aux producteurs d’anticiper la transformation numérique du groupe. En février 2020, un accord a été trouvé avec les acteurs du cinéma engageant le service public dans une meilleure exposition de la cinématographie française et européenne sur les antennes linéaires et non linéaires et renforçant sa politique de financement à hauteur de 60 M€.
 
Le SPI salue la volonté de la Présidente de consolider le partenariat avec les producteurs en ajoutant 20 M€ à son investissement dans la production pour faire face à la crise.
 
Pour les cinq années à venir, Delphine Ernotte va devoir faire face à de nombreux défis : poursuivre la transition numérique, accroitre la régionalisation de France 3, revaloriser toutes les antennes ultra-marines qui sont un atout unique, développer une véritable politique de création à dimension internationale, et bien entendu consolider la découverte de talents, notamment par une politique volontariste à l’égard du court métrage. 
 
Les producteurs indépendants du SPI réaffirment leur attachement à un service public qui reflète la diversité de la création et de la société française. A cet égard, ils appellent de leurs vœux France Télévisions à poursuivre ses efforts pour atteindre l’objectif de parité et améliorer la représentation de la diversité sur ses écrans.
 
Devant tous ces défis, le SPI encourage le gouvernement à revendiquer un service public fort au travers d’une contribution à l’audiovisuel public renforcée, plus juste pour les français, une révision de la trajectoire financière du groupe ainsi qu’un engagement accru à l’égard de la filière de la création indépendante lourdement touchée par la crise sanitaire cette année.
 
France 4 et France O, offres de référence éducative, éthique et culturelle, doivent être maintenues.
 
Plus spécifiquement, les producteurs audiovisuels attendent un engagement fort de France Télévisions à travers une diversification des fictions proposées, un soutien particulier aux genres paupérisés que sont les documentaires de création, les captations de spectacles vivants et une véritable ligne éditoriale de service public pour l’animation.
 
Les producteurs du SPI adressent à Delphine Ernotte leurs meilleurs vœux de réussite pour ce nouveau mandat et sont heureux de poursuivre la relation constructive développée aux cours de ces cinq années passées avec elle.
 
 
Paris, le 24 juillet 2020
  
Contact Presse :
 
Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général
SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset 75011 Paris
Tél 01 44 70 70 44
 

Le SPI se réjouit de la reconduction de Delphine Ernotte à la tête de France Télévisions pour les cinq prochaines années.  Malgré un plan d’économies significatif initialement prévu jusqu’en 2022, et une crise sanitaire bouleversant le cours de la production et de la programmation, son premier mandat a été marqué par une volonté constante de soutenir la création.  Le renouvellement, en 2019, des accords avec les producteurs audiovisuels a permis à France Télévisions de pérenniser son engagement dans la création audiovisuelle et aux producteurs d’anticiper la transformation numérique du groupe. En février 2020, un accord a été trouvé avec les acteurs du cinéma engageant le service public dans une meilleure exposition de la cinématographie française et européenne sur les antennes linéaires et non linéaires et renforçant sa politique de financement à hauteur de 60 M€.  Le SPI salue la volonté de la Présidente de consolider le partenariat avec les producteurs en ajoutant 20 M€ à son investissement dans la production pour faire face à la crise.  Pour les cinq années à venir, Delphine Ernotte va devoir faire face à de nombreux défis : poursuivre la transition numérique, accroitre la régionalisation de France 3, revaloriser toutes les antennes ultra-marines qui sont un atout unique, développer une véritable politique de création à dimension internationale, et bien entendu consolider la découverte de talents, notamment par une politique volontariste à l’égard du court métrage.   Les producteurs indépendants du SPI réaffirment leur attachement à un service public qui reflète la diversité de la création et de la société française. A cet égard, ils appellent de leurs vœux France Télévisions à poursuivre ses efforts pour atteindre l’objectif de parité et améliorer la représentation de la diversité sur ses écrans.  Devant tous ces défis, le SPI encourage le gouvernement à revendiquer un service public fort au travers d’une contribution à l’audiovisuel public renforcée, plus juste pour les français, une révision de la trajectoire financière du groupe ainsi qu’un engagement accru à l’égard de la filière de la création indépendante lourdement touchée par la crise sanitaire cette année.  France 4 et France O, offres de référence éducative, éthique et culturelle, doivent être maintenues.  Plus spécifiquement, les producteurs audiovisuels attendent un engagement fort de France Télévisions à travers une diversification des fictions proposées, un soutien particulier aux genres paupérisés que sont les documentaires de création, les captations de spectacles vivants et une véritable ligne éditoriale de service public pour l’animation.  Les producteurs du SPI adressent à Delphine Ernotte leurs meilleurs vœux de réussite pour ce nouveau mandat et sont heureux de poursuivre la relation constructive développée aux cours de ces cinq années passées avec elle.    Paris, le 24 juillet 2020   Contact Presse :  Olivier ZEGNA RATA – Délégué GénéralSPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants4, Cité Griset 75011 ParisTél 01 44 70 70 44 …

24 juillet 2020Actus-SPIactus-spi
Le BLOC maintient plus que jamais sa demande de moratoire sur la publication du décret autorisant l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision :
Le BLOC a appris avec surprise et inquiétude, par voie de presse, la publication imminente du décret autorisant l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision.
 
A aucun moment les organisations du cinéma, ayant contribué à la consultation publique menée depuis décembre 2019 sur l’assouplissement des règles relatives à la publicité télévisée, n’ont été informées des dernières évolutions rédactionnelles de ce texte qui ne fait que conforter le BLOC dans son opposition à l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision.
 
En effet, le BLOC a alerté les autorités publiques à de nombreuses reprises sur les risques liés à cette ouverture pour le cinéma de la diversité.
 
L’augmentation massive des coûts de distribution entraînera un renforcement de la concentration, déjà préoccupante, en faveur des plus grosses productions. Cette distorsion concurrentielle se fera au détriment du cinéma français et européen, et tout particulièrement de la filière française indépendante. Celle-ci, pourtant essentielle au rayonnement de notre industrie dans le monde, ne pourra rivaliser financièrement.
 
Dans ce contexte, l’annonce de l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision sans condition au profit d’un principe d’autorégulation par les chaînes de télévision et d’un contrôle a posteriori est la solution la plus défavorable pour le secteur de la production et de la distribution française indépendante. En l’absence de garde-fous permettant de garantir un traitement équitable entre les acteurs, le BLOC demande donc à nouveau un moratoire sur la publication de ce décret.
 
A l’issue d’une crise sans précédent, qui affaiblit tout particulièrement les acteurs nationaux de la filière indépendante, la relance d’un secteur clé des industries culturelles ne pourra se faire au détriment de la diversité cinématographique et, in fine des spectateurs français. Les intérêts financiers de quelques acteurs ne sauraient prévaloir sur ceux de toute l’industrie, et du plus grand nombre.
 
Le BLOC a entendu la volonté de la nouvelle Ministre de la Culture de soutenir la production française. Il l’appelle à agir à ses côtés, et se tient à sa disposition pour reprendre ce dialogue sans délai avec l’ensemble des acteurs de la filière.
 
 
Paris, le 23 juillet 2020
 
Contacts presse
Rosalie Brun – SRF – rbrun@la-srf.fr
Marion Golléty – SPI – mgollety@lespi.org

Le BLOC a appris avec surprise et inquiétude, par voie de presse, la publication imminente du décret autorisant l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision.  A aucun moment les organisations du cinéma, ayant contribué à la consultation publique menée depuis décembre 2019 sur l’assouplissement des règles relatives à la publicité télévisée, n’ont été informées des dernières évolutions rédactionnelles de ce texte qui ne fait que conforter le BLOC dans son opposition à l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision.  En effet, le BLOC a alerté les autorités publiques à de nombreuses reprises sur les risques liés à cette ouverture pour le cinéma de la diversité.  L’augmentation massive des coûts de distribution entraînera un renforcement de la concentration, déjà préoccupante, en faveur des plus grosses productions. Cette distorsion concurrentielle se fera au détriment du cinéma français et européen, et tout particulièrement de la filière française indépendante. Celle-ci, pourtant essentielle au rayonnement de notre industrie dans le monde, ne pourra rivaliser financièrement.  Dans ce contexte, l’annonce de l’ouverture de la publicité du cinéma à la télévision sans condition au profit d’un principe d’autorégulation par les chaînes de télévision et d’un contrôle a posteriori est la solution la plus défavorable pour le secteur de la production et de la distribution française indépendante. En l’absence de garde-fous permettant de garantir un traitement équitable entre les acteurs, le BLOC demande donc à nouveau un moratoire sur la publication de ce décret.  A l’issue d’une crise sans précédent, qui affaiblit tout particulièrement les acteurs nationaux de la filière indépendante, la relance d’un secteur clé des industries culturelles ne pourra se faire au détriment de la diversité cinématographique et, in fine des spectateurs français. Les intérêts financiers de quelques acteurs ne sauraient prévaloir sur ceux de toute l’industrie, et du plus grand nombre.  Le BLOC a entendu la volonté de la nouvelle Ministre de la Culture de soutenir la production française. Il l’appelle à agir à ses côtés, et se tient à sa disposition pour reprendre ce dialogue sans délai avec l’ensemble des acteurs de la filière.     Paris, le 23 juillet 2020   Contacts presse Rosalie Brun – SRF – rbrun@la-srf.fr Marion Golléty – SPI – …

23 juillet 2020Actus-SPIactus-spi
Bienvenue à Roselyne Bachelot, nouveau porte-drapeau de notre souveraineté culturelle !
Les producteurs de cinéma et d’audiovisuel indépendants félicitent Roselyne Bachelot qui rejoint le Ministère de la Culture en plein combat pour la souveraineté culturelle française, dans une période de bouleversements inédits pour le secteur culturel en particulier.   

L’expérience politique, l’énergie et la force de conviction de Roselyne Bachelot seront des atouts précieux pour accompagner notre secteur, confronté aux conséquences de la crise sanitaire et aux transformations majeures du paysage audiovisuel français, induites par l’arrivée des plateformes.              

Les mesures d’urgence prises par le gouvernement pendant le confinement ont, certes, épargné une faillite immédiate à de nombreux producteurs et prestataires des industries techniques.  

Toutefois, les entreprises du secteur cinématographique et audiovisuel restent dans l’attente d’un plan de relance sectoriel massif qui doit, a minima, donner les moyens au CNC d’accompagner la relance de nos industries dont l’activité a été totalement interrompue pendant plusieurs mois et se trouve toujours partiellement à l’arrêt. Il faudra des mesures financières directes pour les producteurs, comme une majoration des crédits d’impôt cinéma et audiovisuel, leur permettant d’absorber les surcoûts liés à la Covid-19. A cet égard, le fonds d’indemnisation mis en place par le CNC remédie partiellement à la défaillance des assureurs privés, mais rien n’est prévu pour la relance de la production.  

Dans cette perspective, il paraît à la fois indispensable de revoir la trajectoire financière de l’audiovisuel public, de pérenniser France 4 et France Ô, de moderniser et de rendre plus juste la Contribution à l’Audiovisuel Public, et d’accentuer le dialogue fructueux entre l’État et les collectivités territoriales pour consolider une filière de production présente sur tout le territoire, y compris en Outremer.              

À la veille de la transposition des directives européennes « Services de médias audiovisuels » (SMA), « Droit d’auteur » et « Câble et satellite », les producteurs de cinéma et d’audiovisuel demandent que l’intégration des plateformes dans l’écosystème national fasse participer les nouvelles plateformes internationales au financement de la création, comme le font les chaînes de télévision historiques et dans le respect des mêmes principes de diversité culturelle et d’indépendance de la création. Tous les genres doivent profiter de ce nouveau financement, pour le cinéma et l’audiovisuel : long-métrage, court-métrage, fiction, documentaire, animation, œuvres numériques, mais aussi captation de spectacle vivant, théâtre, danse, concerts, opéra… Qui sont les plus durement frappés par la crise.  

Les producteurs de cinéma et d’audiovisuel membres de Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et du Syndicat des agences de Presse Audiovisuelles (SATEV) se tiendront aux côtés de la nouvelle Ministre de la Culture pour défendre la souveraineté culturelle française et affirmer la singularité de notre création dans le monde.    

8 juillet 2020Actus-SPIactus-spi
Bureaux à louer – Paris 18 ème

* Quartier Montmartre, beau bureau de 18m2 refait à neuf disponible début novembre 2019 – voire mi-octobre.

* La salle est dans un grand bureau, l’ambiance est jeune et dynamique, familiale et chaleureuse.

* Nous sommes une société de production de films, un autre bureau est occupé par la société de production La Belle Affaire et le sous-sol est occupé par des producteurs de musique.

* Le locataire aura accès à tous les espaces communs et pourra bénéficier de tarifs préférentiels sur les salles de postproduction.

* Idéal pour des petits producteurs, vendeurs ou distributeurs cinéma, développeurs, studios de création graphique ou digitale, agences de communication, start-ups… Mais nous sommes ouverts à tout !

Bureau : – vide ou meublé – 4 postes – internet / wifi / ethernet – éventuellement espace de stockage Espaces communs : – salle de réunion – cuisine – WC À disposition : – salles de montage – garage Type de contrat : mise à disposition.

Possibilité de location au mois.

Contact : helene@melocotonfilms.com / 09 51 53 48 39 / 06 60 16 95 07

Visite possible dès aujourd’hui.

* Quartier Montmartre, beau bureau de 18m2 refait à neuf disponible début novembre 2019 – voire mi-octobre. * La salle est dans un grand bureau, l’ambiance est jeune et dynamique, familiale et chaleureuse. * Nous sommes une société de production de films, un autre bureau est occupé par la société de production La Belle Affaire et le sous-sol est occupé par des producteurs de musique. * Le locataire aura accès à tous les espaces communs et pourra bénéficier de tarifs préférentiels sur les salles de postproduction. * Idéal pour des petits producteurs, vendeurs ou distributeurs cinéma, développeurs, studios de création graphique ou digitale, agences de communication, start-ups… Mais nous sommes ouverts à tout ! Bureau : – vide ou meublé – 4 postes – internet / wifi / ethernet – éventuellement espace de stockage Espaces communs : – salle de réunion – cuisine – WC À disposition : – salles de montage – garage Type de contrat : mise à disposition. Possibilité de location au mois. Contact : helene@melocotonfilms.com / 09 51 53 48 39 / 06 60 16 95 07 Visite possible dès …

7 juillet 2020Annoncesannonces
Bureaux à louer / Espace Torricelli

L’Espace Torricelli est situé à proximité des Champs-Elysées, à 10 minutes de la station de métro Ternes.

Nous proposons à la location, de très beaux bureaux tout équipés, récents et climatisés. Nous mettons à disposition 2 Bureaux avec lucarne : 12 m² = 750 euros HT et 1 bureau avec verrière très lumineux /12 m² = 850 euros HT Bail précaire : 1 mois / 3 mois / 6 mois / 12 mois / 24 mois / 36 mois. Charges comprises : électricité, chauffage, climatisation, eau, nettoyage privatif et collectif. Nous mettons à disposition : – Imprimante / Photocopieur/scan – Accès internet fibre optique et wifi compris – Machines à Café. – Accès biométrique et système de vidéo surveillance.

L’Espace Torricelli dispose d’espace commun pouvant servir de lieu de réunion et de cuisine. Anciennement locaux d’Endemol, l’Espace est aujourd’hui occupé par différents prestataires spécialisés dans l’industrie technique du cinéma et de l’audiovisuel.

Transports : Métro Ternes et Argentine

Contact : Thierry Berthier / thierry.berthier@toonfactory.fr

L’Espace Torricelli est situé à proximité des Champs-Elysées, à 10 minutes de la station de métro Ternes. Nous proposons à la location, de très beaux bureaux tout équipés, récents et climatisés. Nous mettons à disposition 2 Bureaux avec lucarne : 12 m² = 750 euros HT et 1 bureau avec verrière très lumineux /12 m² = 850 euros HT Bail précaire : 1 mois / 3 mois / 6 mois / 12 mois / 24 mois / 36 mois. Charges comprises : électricité, chauffage, climatisation, eau, nettoyage privatif et collectif. Nous mettons à disposition : – Imprimante / Photocopieur/scan – Accès internet fibre optique et wifi compris – Machines à Café. – Accès biométrique et système de vidéo surveillance. L’Espace Torricelli dispose d’espace commun pouvant servir de lieu de réunion et de cuisine. Anciennement locaux d’Endemol, l’Espace est aujourd’hui occupé par différents prestataires spécialisés dans l’industrie technique du cinéma et de l’audiovisuel. Transports : Métro Ternes et Argentine Contact : Thierry Berthier / …

7 juillet 2020Annoncesannonces
Bienvenue à Bruno Patino !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants salue l’arrivée de Bruno Patino à la présidence du directoire d’ARTE France.

Cette nomination s’inscrit dans la continuité d’une carrière reconnue dans les médias et dans l’audiovisuel, notamment en direction du développement de stratégies numériques ambitieuses pour la création.

Partenaire essentiel des producteurs indépendants français, ARTE offre des contenus dont l’originalité et la spécificité sont appréciées tant par le public que par les professionnels de l’audiovisuel et de la culture dans le monde entier. ARTE a tracé depuis plusieurs années une voie différente et singulière, face aux plateformes internationales, par ses développements en Europe et à l’international.

Les producteurs indépendants, fortement attachés au renforcement d’une offre diversifiée de programmes de qualité pour la chaîne européenne, sont désormais impatients de connaître, de partager et d’accompagner dans le cadre d’une relation de confiance, la vision éditoriale et stratégique du nouveau Président d’ARTE France.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants salue l’arrivée de Bruno Patino à la présidence du directoire d’ARTE France. Cette nomination s’inscrit dans la continuité d’une carrière reconnue dans les médias et dans l’audiovisuel, notamment en direction du développement de stratégies numériques ambitieuses pour la création. Partenaire essentiel des producteurs indépendants français, ARTE offre des contenus dont l’originalité et la spécificité sont appréciées tant par le public que par les professionnels de l’audiovisuel et de la culture dans le monde entier. ARTE a tracé depuis plusieurs années une voie différente et singulière, face aux plateformes internationales, par ses développements en Europe et à l’international. Les producteurs indépendants, fortement attachés au renforcement d’une offre diversifiée de programmes de qualité pour la chaîne européenne, sont désormais impatients de connaître, de partager et d’accompagner dans le cadre d’une relation de confiance, la vision éditoriale et stratégique du nouveau Président d’ARTE …

2 juillet 2020Actus-SPIactus-spi
Communiqué de presse des Organisations du cinéma et de l’audiovisuel

AnimFrance, l’API, le SPI, l’UPC, l’USPA, le DIRE, la FNEF, le SDI et la FICAM remercient les députés des Commissions des Finances et des Affaires Culturelles d’avoir déposé des amendements sur le PLFR3 sur les crédits d’impôt cinéma, édition-distribution et audiovisuel, au-delà des clivages partisans. Ils souhaitent que ces mesures temporaires puissent être adoptées en séance publique afin de contribuer dès à présent à la relance des secteurs du cinéma et de l’audiovisuel.

– Ces crédits d’impôt-production s’inscrivent dans la politique du gouvernement visant à relocaliser le tournage des films et des œuvres audiovisuelles sur le territoire national, tout en soutenant les industries techniques et l’emploi des techniciens en France. Ils ont été reconnus comme efficients par le rapport général des finances qui leur attribue la note de 2 sur 3.

Leur adoption permettra aux producteurs de compenser les surcoûts liés aux mesures sanitaires (notamment l’allongement des temps de tournage) et la baisse attendue des financements des éditeurs de services et partenaires internationaux de la production française.

A défaut d’un tel soutien temporaire et exceptionnel, la production cinématographique et audiovisuelle française risque d’être gravement dégradée qualitativement et quantitativement, ce qui impacterait corrélativement l’emploi dans un secteur déjà particulièrement touché par la crise sanitaire.

– Le risque financier pris par les éditeurs-distributeurs à la réouverture des salles de cinéma est décuplé en raison des contraintes sanitaires (moins de séances, moins de sièges) et des incertitudes concernant le retour des spectateurs au cinéma.

Le crédit d’impôt-édition en faveur des éditeurs-distributeurs de cinéma, pour les dépenses d’édition et de communication dans des médias localisés en France permettra d’améliorer l’équation économique des éditeurs-distributeurs sans distinction de genres cinématographiques et de tailles d’entreprises. Une offre diversifiée de films, s’adressant à tous les publics, est nécessaire à la reprise, dans l’intérêt de l’ensemble de la filière et de ses emplois.

L’ensemble de nos organisations souhaitent donc que ces mesures puissent être adoptées en séance publique afin de pouvoir contribuer dès à présent à la relance des secteurs du cinéma et de l’audiovisuel.

AnimFrance, l’API, le SPI, l’UPC, l’USPA, le DIRE, la FNEF, le SDI et la FICAM remercient les députés des Commissions des Finances et des Affaires Culturelles d’avoir déposé des amendements sur le PLFR3 sur les crédits d’impôt cinéma, édition-distribution et audiovisuel, au-delà des clivages partisans. Ils souhaitent que ces mesures temporaires puissent être adoptées en séance publique afin de contribuer dès à présent à la relance des secteurs du cinéma et de l’audiovisuel. – Ces crédits d’impôt-production s’inscrivent dans la politique du gouvernement visant à relocaliser le tournage des films et des œuvres audiovisuelles sur le territoire national, tout en soutenant les industries techniques et l’emploi des techniciens en France. Ils ont été reconnus comme efficients par le rapport général des finances qui leur attribue la note de 2 sur 3. Leur adoption permettra aux producteurs de compenser les surcoûts liés aux mesures sanitaires (notamment l’allongement des temps de tournage) et la baisse attendue des financements des éditeurs de services et partenaires internationaux de la production française. A défaut d’un tel soutien temporaire et exceptionnel, la production cinématographique et audiovisuelle française risque d’être gravement dégradée qualitativement et quantitativement, ce qui impacterait corrélativement l’emploi dans un secteur déjà particulièrement touché par la crise sanitaire. – Le risque financier pris par les éditeurs-distributeurs à la réouverture des salles de cinéma est décuplé en raison des contraintes sanitaires (moins de séances, moins de sièges) et des incertitudes concernant le retour des spectateurs au cinéma. Le crédit d’impôt-édition en faveur des éditeurs-distributeurs de cinéma, pour les dépenses d’édition et de communication dans des médias localisés en France permettra d’améliorer l’équation économique des éditeurs-distributeurs sans distinction de genres cinématographiques et de tailles d’entreprises. Une offre diversifiée de films, s’adressant à tous les publics, est nécessaire à la reprise, dans l’intérêt de l’ensemble de la filière et de ses emplois. L’ensemble de nos organisations souhaitent donc que ces mesures puissent être adoptées en séance publique afin de pouvoir contribuer dès à présent à la relance des secteurs du cinéma et de …

30 juin 2020Actus-SPIactus-spi
Focus Cannes Sélections 2020 : After Love (Le Bureau Films)

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI met en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “AFTER LOVE ” réalisé par Aleem Khan et produit par THE BUREAU FILMS.

SYNOPSIS

Située dans la ville côtière de Douvres au sud de l’Angleterre, Mary Hussain se retrouve veuve après le décès inattendu de son mari. Un jour après l’enterrement, elle découvre qu’il cachait un secret à seulement 34km de l’autre côté de la Manche, à Calais.

Fondée en 2001, Le Bureau (ou The Bureau) est une société de production et de ventes internationales plusieurs fois distinguée aux César, aux BAFTA et nominée aux Oscar®. Basée à Paris et à Londres, Le Bureau a produit et coproduit près de 40 long-métrages.

Depuis sa création, la société basée à Paris et Londres s’efforce de raconter des histoires qui inspirent, provoquent et enthousiasment les spectateurs du monde entier. Croyant en un cinéma unique et singulier, et s’engageant auprès de réalisateurs exceptionnels et visionnaires, LE BUREAU développe, finance et fabrique ses films, en soignant tout particulièrement leur distribution et leur diffusion auprès du public.

LE BUREAU FILMS raconte des histoires remarquables qui invitent à réfléchir; travaillant avec des cinéastes d’exception, confirmés ou prometteurs. LE BUREAU a travaillé avec des cinéastes tels que Andrew Haigh, Asif Kapadia, Rachid Bouchareb, Erick Zonca, Roger Michell, Fabienne Godet, Vatche Boulghourjian ou Matt Porterfield.

After Love” est un réalisé par britannique Aleem Khan et fait partie de la Sélection Officielle, La Semaine de la critique du Festival de Cannes 2020.

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI met en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “AFTER LOVE ” réalisé par Aleem Khan et produit par THE BUREAU FILMS. SYNOPSIS Située dans la ville côtière de Douvres au sud de l’Angleterre, Mary Hussain se retrouve veuve après le décès inattendu de son mari. Un jour après l’enterrement, elle découvre qu’il cachait un secret à seulement 34km de l’autre côté de la Manche, à Calais. Fondée en 2001, Le Bureau (ou The Bureau) est une société de production et de ventes internationales plusieurs fois distinguée aux César, aux BAFTA et nominée aux Oscar®. Basée à Paris et à Londres, Le Bureau a produit et coproduit près de 40 long-métrages. Depuis sa création, la société basée à Paris et Londres s’efforce de raconter des histoires qui inspirent, provoquent et enthousiasment les spectateurs du monde entier. Croyant en un cinéma unique et singulier, et s’engageant auprès de réalisateurs exceptionnels et visionnaires, LE BUREAU développe, finance et fabrique ses films, en soignant tout particulièrement leur distribution et leur diffusion auprès du public. LE BUREAU FILMS raconte des histoires remarquables qui invitent à réfléchir; travaillant avec des cinéastes d’exception, confirmés ou prometteurs. LE BUREAU a travaillé avec des cinéastes tels que Andrew Haigh, Asif Kapadia, Rachid Bouchareb, Erick Zonca, Roger Michell, Fabienne Godet, Vatche Boulghourjian ou Matt Porterfield. “After Love” est un réalisé par britannique Aleem Khan et fait partie de la Sélection Officielle, La Semaine de la critique du Festival de Cannes …

30 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Focus Cannes Sélections 2020 : ADN (Why Not Productions)

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI met en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “ADN” produit par WHY NOT PRODUCTIONS.

Synopsis

L’histoire d’une jeune femme ayant des liens étroits avec un grand-père algérien qui l’a protégée d’une vie familiale toxique lorsqu’elle était enfant. Quand il meurt, elle se retrouve confrontée à une profonde crise d’identité alors que les tensions entre les membres de sa famille réapparaissent.

La société WHY NOT PRODUCTIONS est fondée en 1990 par Pascal Caucheteux et son associé Grégoire Sorlat. Le premier film qu’elle produit est également le premier long métrage d’Arnaud Desplechin, “La Sentinelle“, qui est sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes en 1992 et remporte trois nominations aux César l’année suivante. La société est réputée pour produire un cinéma d’auteur exigeant et pour sa fidélité aux réalisateurs qu’elle accompagne : douze films avec Arnaud Desplechin, huit film avec Bruno Podalydès, six films avec Ken Loach, cinq films avec Jacques Audiard, quatre films avec Xavier Beauvois, quatre films avec Gregg Araki, quatre films avec Jean-François Richet, trois films avec Cristian Mungiu. Elle se diversifie également en produisant des films tels que le film d’horreur “American Nightmare” (2013) ou le film d’animation “La Tortue rouge” (2016).

Durant ces années, Why Not Productions a obtenu de très nombreuses récompenses cinématographiques : treize prix au Festival de Cannes – dont deux Palmes d’or (pour “Dheepan” en 2015 et “Moi, Daniel Blake” en 2016, auxquelles s’ajoute celle obtenue pour le film “4 mois, 3 semaines, 2 jours” que la société distribue en 2008) et deux Grand Prix du Jury (pour “Un prophète” en 2009 et “Des hommes et des dieux”en 2010) – ; 120 nominations aux César et trente-sept statuettes obtenues, dont trois César du meilleur film (pour “De battre mon cœur s’est arrêté” en 2006, “Un prophète” en 2010 et “Des hommes et des dieux” en 2011) et deux César du meilleur film étranger (pour “Moi, Daniel Blake” en 2017 et “Faute d’amour” en 2018).

En 2001, la société rachète le Cinéma du Panthéon pour le réaménager, ainsi qu’en 2008 la guinguette le Rosa Bonheur dans le parc des Buttes-Chaumont. Suivront l’acquisition et l’aménagement d’autres lieux tels que la Librairie du Panthéon (attenante au cinéma), la péniche Rosa-Bonheur-sur-Seine (Paris 7e), le restaurant La Cantina (Paris 15e), la guinguette Rosa Bonheur à l’Ouest (Asnières-sur-Seine)7, le restaurant Fratelli Pastore (Boulogne-Billancourt), la crêperie Rosa Bonheur à l’Esplanade des Invalides (ouverture en 2019) et la barge L’Arche au port de Javel (Paris 15e, ouverture en 2020)

Mentions techniques

Générique détaillé

Production et distribution

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI met en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “ADN” produit par WHY NOT PRODUCTIONS. Synopsis L’histoire d’une jeune femme ayant des liens étroits avec un grand-père algérien qui l’a protégée d’une vie familiale toxique lorsqu’elle était enfant. Quand il meurt, elle se retrouve confrontée à une profonde crise d’identité alors que les tensions entre les membres de sa famille réapparaissent. La société WHY NOT PRODUCTIONS est fondée en 1990 par Pascal Caucheteux et son associé Grégoire Sorlat. Le premier film qu’elle produit est également le premier long métrage d’Arnaud Desplechin, “La Sentinelle“, qui est sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes en 1992 et remporte trois nominations aux César l’année suivante. La société est réputée pour produire un cinéma d’auteur exigeant et pour sa fidélité aux réalisateurs qu’elle accompagne : douze films avec Arnaud Desplechin, huit film avec Bruno Podalydès, six films avec Ken Loach, cinq films avec Jacques Audiard, quatre films avec Xavier Beauvois, quatre films avec Gregg Araki, quatre films avec Jean-François Richet, trois films avec Cristian Mungiu. Elle se diversifie également en produisant des films tels que le film d’horreur “American Nightmare” (2013) ou le film d’animation “La Tortue rouge” (2016). Durant ces années, Why Not Productions a obtenu de très nombreuses récompenses cinématographiques : treize prix au Festival de Cannes – dont deux Palmes d’or (pour “Dheepan” en 2015 et “Moi, Daniel Blake” en 2016, auxquelles s’ajoute celle obtenue pour le film “4 mois, 3 semaines, 2 jours” que la société distribue en 2008) et deux Grand Prix du Jury (pour “Un prophète” en 2009 et “Des hommes et des dieux”en 2010) – ; 120 nominations aux César et trente-sept statuettes obtenues, dont trois César du meilleur film (pour “De battre mon cœur s’est arrêté” en 2006, “Un prophète” en 2010 et “Des hommes et des dieux” en 2011) et deux César du meilleur film étranger (pour “Moi, Daniel Blake” en 2017 et “Faute d’amour” en 2018). En 2001, la société rachète le Cinéma du Panthéon pour le réaménager, ainsi qu’en 2008 la guinguette le Rosa Bonheur dans le parc des Buttes-Chaumont. Suivront l’acquisition et l’aménagement d’autres lieux tels que la Librairie du Panthéon (attenante au cinéma), la péniche Rosa-Bonheur-sur-Seine (Paris 7e), le restaurant La Cantina (Paris 15e), la guinguette Rosa Bonheur à l’Ouest (Asnières-sur-Seine)7, le restaurant Fratelli Pastore (Boulogne-Billancourt), la crêperie Rosa Bonheur à l’Esplanade des Invalides (ouverture en 2019) et la barge L’Arche au port de Javel (Paris 15e, ouverture en 2020) Mentions techniques Générique détaillé Production et …

29 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
SUNNY SIDE : Les Films du Balibari présentent “Latin Noir”

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, Les Films du Balibari présentaient “Latin Noir”, dans la catégorie Pitch Arts et Culture.

Les Films du Balibari est une société de production née en 1998 à Nantes, ville d’estuaire balayée par le vent. Deux femmes sont les chevilles ouvrières de la société aujourd’hui : Estelle Robin You à Nantes, productrice et gérante de la société depuis 2005 et Clara Vuillermoz à Lyon, productrice au sein de la structure depuis 2015.

Nantes – Lyon et, pour former le triangle, Paris depuis 2013, avec la société Point du Jour avec à sa tête Luc Martin Gousset. Au fil des ans, nous Les Films du Balibari ont obtenu la confiance de télédiffuseurs français et étrangers parmi lesquels France télévisions, ARTE, ZDF, YLE, SVT, ORF, WDR. Les films de la société ont voyagé à travers de grands festivals documentaires tels que IDFA, Hot Docs, Visions du Réel, FESPACO…
En 2010, 2017 et 2018, leur travail est salué par une nomination au Prix du producteur TV Français de la Procirep. C’est en 2019, qu’ils gagnent enfin le prix.

Le polar sud américain est né dans les années 70 et il a gagné ses lettres de noblesse à l’international. « Latin Noir » est un savant mélange d’art, d’histoire et criminalité. Le documentaire explore la manière dont une nouvelle génération d’auteurs latino-américains a trouvé dans le polar un moyen unique de confronter le passé et le présent trouble de leurs pays d’origines. Du Mexique à Cuba, en passant par le Pérou et le Chili, leurs livres sont devenus les meilleurs outils de compréhension du continent sud-américain.

« Latin Noir » est un documentaire écrit et réalisé par Andreas Apostolidis et produit par Les Films du Balibari et Anemon (Rea Apostolides et Yuri Averof). Coproduction ARTE, the Greek Film Centre et ERT.

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, Les Films du Balibari présentaient “Latin Noir”, dans la catégorie Pitch Arts et Culture. Les Films du Balibari est une société de production née en 1998 à Nantes, ville d’estuaire balayée par le vent. Deux femmes sont les chevilles ouvrières de la société aujourd’hui : Estelle Robin You à Nantes, productrice et gérante de la société depuis 2005 et Clara Vuillermoz à Lyon, productrice au sein de la structure depuis 2015. Nantes – Lyon et, pour former le triangle, Paris depuis 2013, avec la société Point du Jour avec à sa tête Luc Martin Gousset. Au fil des ans, nous Les Films du Balibari ont obtenu la confiance de télédiffuseurs français et étrangers parmi lesquels France télévisions, ARTE, ZDF, YLE, SVT, ORF, WDR. Les films de la société ont voyagé à travers de grands festivals documentaires tels que IDFA, Hot Docs, Visions du Réel, FESPACO…En 2010, 2017 et 2018, leur travail est salué par une nomination au Prix du producteur TV Français de la Procirep. C’est en 2019, qu’ils gagnent enfin le prix. Le polar sud américain est né dans les années 70 et il a gagné ses lettres de noblesse à l’international. « Latin Noir » est un savant mélange d’art, d’histoire et criminalité. Le documentaire explore la manière dont une nouvelle génération d’auteurs latino-américains a trouvé dans le polar un moyen unique de confronter le passé et le présent trouble de leurs pays d’origines. Du Mexique à Cuba, en passant par le Pérou et le Chili, leurs livres sont devenus les meilleurs outils de compréhension du continent sud-américain. « Latin Noir » est un documentaire écrit et réalisé par Andreas Apostolidis et produit par Les Films du Balibari et Anemon (Rea Apostolides et Yuri Averof). Coproduction ARTE, the Greek Film Centre et …

26 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
SUNNY SIDE : Les Batelières Productions présentent “Les Voyages d’Ismaël”

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, Les Batelières Productions présentaient “Les Voyages d’Ismaël”, dans la catégorie Histoire One-To-One.

Les Batelières Productions est une société de production cinématographique et audiovisuelle née de la rencontre de Justine Henochsberg et Julie Guesnon Amarante. Créée fin 2013, les Batelières productions a une ligne éditoriale qui se construit autour des projets de société, politiques, culturels et également des projets pour le jeune public.

Juriste de formation, Justine Henochsberg a travaillé cinq ans à la Cinémathèque Française en tant qu’administratrice (Cinémathèque de la Danse) où elle a notamment produit plusieurs évènements et documentaires. Elle a par la suite été responsable du développement d’un concept inédit de clubs de cinéma pour enfants, La Lanterne Magique, pour le groupe d’exploitants de cinémas indépendants Etoile Cinémas.

Après l’ESJ (école de journalisme) et un DEA de “Cinéma et anthropologie”, Julie Guesnon Amarante a été directrice de production puis productrice exécutive pendant plus de huit ans sur toutes les productions de la Générale de production et particulièrement les productions documentaires pour les chaînes de Télévisions françaises (Arte, France Télévisions, LCP, Planète , TV5…) et internationales mais aussi pour le cinéma.

« Les voyages d’israël » est une série d’animation éducative de 10×3’30 en 2D écrite par Ismaël Saidi et réalisée par Hanan Kaminski. En coproduction avec Foliascope. Avec la participation de France Télévisions et du Comité interministériel de prévention contre la délinquance et la radicalisation, de la CNAF et de la PROCIREP-ANGOA.

Synopsis : C’est la crise de la quarantaine pour Ismaël, musulman d’ici. Sa fille Lina et ses amis n’arrêtent pas de lui poser des questions sur les religions. Pour l’aider à démêler le vrai du faux, Némo, pigeon expert en histoire des religions, les emmène voyager aux temps des écritures des livres sacrés pour relire ensemble et mieux comprendre les textes fondateurs et découvrir les contextes dans lesquels ils ont été écrits.

Cette fiction retrace les origines des trois religions monothéistes, le Christianisme, l’Islam et le Judaïsme, à travers trois personnages, Ismaël, Lina et Némo et autour de trois thématiques, dans cette première salve : les femmes, les relations interreligieuses et la question de la violence dans ces religions.

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, Les Batelières Productions présentaient “Les Voyages d’Ismaël”, dans la catégorie Histoire One-To-One. Les Batelières Productions est une société de production cinématographique et audiovisuelle née de la rencontre de Justine Henochsberg et Julie Guesnon Amarante. Créée fin 2013, les Batelières productions a une ligne éditoriale qui se construit autour des projets de société, politiques, culturels et également des projets pour le jeune public. Juriste de formation, Justine Henochsberg a travaillé cinq ans à la Cinémathèque Française en tant qu’administratrice (Cinémathèque de la Danse) où elle a notamment produit plusieurs évènements et documentaires. Elle a par la suite été responsable du développement d’un concept inédit de clubs de cinéma pour enfants, La Lanterne Magique, pour le groupe d’exploitants de cinémas indépendants Etoile Cinémas. Après l’ESJ (école de journalisme) et un DEA de “Cinéma et anthropologie”, Julie Guesnon Amarante a été directrice de production puis productrice exécutive pendant plus de huit ans sur toutes les productions de la Générale de production et particulièrement les productions documentaires pour les chaînes de Télévisions françaises (Arte, France Télévisions, LCP, Planète , TV5…) et internationales mais aussi pour le cinéma. « Les voyages d’israël » est une série d’animation éducative de 10×3’30 en 2D écrite par Ismaël Saidi et réalisée par Hanan Kaminski. En coproduction avec Foliascope. Avec la participation de France Télévisions et du Comité interministériel de prévention contre la délinquance et la radicalisation, de la CNAF et de la PROCIREP-ANGOA. Synopsis : C’est la crise de la quarantaine pour Ismaël, musulman d’ici. Sa fille Lina et ses amis n’arrêtent pas de lui poser des questions sur les religions. Pour l’aider à démêler le vrai du faux, Némo, pigeon expert en histoire des religions, les emmène voyager aux temps des écritures des livres sacrés pour relire ensemble et mieux comprendre les textes fondateurs et découvrir les contextes dans lesquels ils ont été écrits. Cette fiction retrace les origines des trois religions monothéistes, le Christianisme, l’Islam et le Judaïsme, à travers trois personnages, Ismaël, Lina et Némo et autour de trois thématiques, dans cette première salve : les femmes, les relations interreligieuses et la question de la violence dans ces …

26 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Palmarès Sunny Side of the Doc 2020

Un grand bravo à nos adhérents pour leurs prix obtenus à l’édition connectée du Sunny Side of the Doc !

PRIX DU MEILLEUR PITCH HISTOIRES D’ARCHIVES
Un pur espion de Rémi Laine
LITTLE BIG STORY

PRIX DU MEILLEUR PITCH ARTS & CULTURE
The mayor, me Mussolini and the museum de Piergiorgio Curzi et Sabika Shah Povia
ILLEGITIME DEFENSE

Un grand bravo à nos adhérents pour leurs prix obtenus à l’édition connectée du Sunny Side of the Doc ! PRIX DU MEILLEUR PITCH HISTOIRES D’ARCHIVESUn pur espion de Rémi LaineLITTLE BIG STORY PRIX DU MEILLEUR PITCH ARTS & CULTUREThe mayor, me Mussolini and the museum de Piergiorgio Curzi et Sabika Shah PoviaILLEGITIME …

26 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Focus Cannes Sélections 2020 : 16 Printemps (Avenue B Productions)

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI met en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “16 Printemps” produit par AVENUE B PRODUCTIONS.

Synopsis

Suzanne a seize ans. Elle s’ennuie avec les gens de son âge. Tous les jours pour aller au lycée, elle passe devant un théâtre. Elle y rencontre un homme plus vieux qu’elle qui devient son obsession. Grâce à leur différence d’âge, ils pensent ne plus s’ennuyer ensemble et tombent amoureux. Mais Suzanne sent qu’elle risque de passer à côté de sa vie, celle de ses seize ans qu’elle avait tant de mal à vivre comme les autres.

AVENUE B est une société de production créée par Caroline Bonmarchand en 2002. La société compte 18 années d’existence, plus d’une dizaine de longs-métrages à son actif ainsi que plusieurs documentaires aux formats divers. Avenue B produit trois à quatre longs-métrages par an. La ligne éditoriale couvre un spectre assez large allant de films d’auteurs pointus (“Le Cours Etrange des Choses“, de Raphael Nadjari, ou “Marche ou Crève” de Margaux Bonhomme) à des projets d’auteurs au potentiel commercial plus large (“La Ritournelle” de Marc Fitoussi, “Irréprochable” de Sébastien Marnier ou “Enorme” de Sophie Letourneur).

En 2018-2019, trois longs-métrages sont sortis en salles, illustrant bien les axes de développement d’Avenue B : un thriller sur fond d’écologie, “L’Heure de la Sortie”, deuxième long-métrage de Sébastien Marnier avec Laurent Lafitte dans le rôle principal, et deux films dramatiques d’auteures sur l’adolescence et l’émancipation, “Marche ou Crève” de Margaux Bonhomme révélant le talent de Diane Rouxel et Jeanne Cohendy, et “Vierges” de Keren Ben Rafael, coproduit avec Israël.

En 2019, Avenue B tourne trois long métrages (“Dune Dreams” de Samuel Doux, “Petite Nature” de Samuel Theis, primé par la Caméra d’Or en 2014 pour le film Party Girl), et “Seize Printemps“, le premier long métrage de Suzanne Lindon, actuellement en postproduction. Le film de Suzanne Lindon fait partie de la Sélection Officielle de Cannes 2020.

Mentions techniques

Générique détaillé

Production et distribution

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI met en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “16 Printemps” produit par AVENUE B PRODUCTIONS. Synopsis Suzanne a seize ans. Elle s’ennuie avec les gens de son âge. Tous les jours pour aller au lycée, elle passe devant un théâtre. Elle y rencontre un homme plus vieux qu’elle qui devient son obsession. Grâce à leur différence d’âge, ils pensent ne plus s’ennuyer ensemble et tombent amoureux. Mais Suzanne sent qu’elle risque de passer à côté de sa vie, celle de ses seize ans qu’elle avait tant de mal à vivre comme les autres. AVENUE B est une société de production créée par Caroline Bonmarchand en 2002. La société compte 18 années d’existence, plus d’une dizaine de longs-métrages à son actif ainsi que plusieurs documentaires aux formats divers. Avenue B produit trois à quatre longs-métrages par an. La ligne éditoriale couvre un spectre assez large allant de films d’auteurs pointus (“Le Cours Etrange des Choses“, de Raphael Nadjari, ou “Marche ou Crève” de Margaux Bonhomme) à des projets d’auteurs au potentiel commercial plus large (“La Ritournelle” de Marc Fitoussi, “Irréprochable” de Sébastien Marnier ou “Enorme” de Sophie Letourneur). En 2018-2019, trois longs-métrages sont sortis en salles, illustrant bien les axes de développement d’Avenue B : un thriller sur fond d’écologie, “L’Heure de la Sortie”, deuxième long-métrage de Sébastien Marnier avec Laurent Lafitte dans le rôle principal, et deux films dramatiques d’auteures sur l’adolescence et l’émancipation, “Marche ou Crève” de Margaux Bonhomme révélant le talent de Diane Rouxel et Jeanne Cohendy, et “Vierges” de Keren Ben Rafael, coproduit avec Israël. En 2019, Avenue B tourne trois long métrages (“Dune Dreams” de Samuel Doux, “Petite Nature” de Samuel Theis, primé par la Caméra d’Or en 2014 pour le film Party Girl), et “Seize Printemps“, le premier long métrage de Suzanne Lindon, actuellement en postproduction. Le film de Suzanne Lindon fait partie de la Sélection Officielle de Cannes 2020. Mentions techniques Générique détaillé Production et …

25 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
SUNNY SIDE 2020 : Le SPI organise une Table-Ronde interrégionale Jeudi 25 Juin

Le SPI participe à l’édition connectée du Sunny Side of the Doc 2020. Jeudi 25 Juin, le Syndicat des Producteurs Indépendants a le plaisir de vous convier aux Rencontres interrégionales – Acte II.

La Table-Ronde du SPI aura lieu jeudi 25 juin de 11h à 12h30, et se déroulera comme suit :

Introduction par Olivier Zegna Rata et Emmanuelle Mauger, respectivement Délégué général et Déléguée générale adjointe du SPI.

1er thème : Quelles initiatives régionales pour la relance de la filière du documentaire ?

Modération par Cyrille Perez, Producteur (13 Productions) et intervention d’Emmanuelle Brandenburger, Chef de service économie culturelle du Conseil Régional Grand Est ; Christophe Feing-Thiaw-Yan, Chargé de mission cinéma et audiovisuel de la Région Réunion ; Estelle Jomaron-Galabert, Productrice (Blabla Prod) et Vice-présidente du bureau de l’Agence Film Réunion ; Elena Koncke, Responsable Cinéma et Audiovisuel, Cheffe adjointe du Service des Industries Culturelles et de l’Image de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) ; Samuel Moutel, Producteur (Keren Productions) ; Nùria Rodiguez, Responsable fonds d’aide production cinéma audiovisuel et accompagnement des professionnels de Normandie Images.

2ème thème : Quelles initiatives de développement à l’international ?

Modération par Emmanuelle Mauger et intervention de Noémie Benayoun, en charge de Création Production au Département Cinéma & Audiovisuel de l’ALCA-Nouvelle-Aquitaine ; Benoît Caron, Responsable du service Industries Créatives de la Région Occitanie ; Pierre Dallois, Responsable Image de Ciclic Centre-Val de Loire ; Julie Paratian, Productrice (Sister Production) ; Mélaine Thomann-Fox, Responsable du fonds Audiovisuel du Conseil Régional Île-de-France ; Christine Vial-Collet, Productrice (Vitamine C).

Table-Ronde organisée avec le soutien de l’Agence Livre, Cinéma et Audiovisuel en Nouvelle-Aquitaine, la Région Nouvelle-Aquitaine, CICLIC Val de Loire, la Région Grand-Est, Normandie Images, la Région Ile de France, la Région Occitanie, la Région Réunion, et la Région Sud Provence Alpes Côte d’Azur.

Le SPI participe à l’édition connectée du Sunny Side of the Doc 2020. Jeudi 25 Juin, le Syndicat des Producteurs Indépendants a le plaisir de vous convier aux Rencontres interrégionales – Acte II. La Table-Ronde du SPI aura lieu jeudi 25 juin de 11h à 12h30, et se déroulera comme suit : Introduction par Olivier Zegna Rata et Emmanuelle Mauger, respectivement Délégué général et Déléguée générale adjointe du SPI. 1er thème : Quelles initiatives régionales pour la relance de la filière du documentaire ? Modération par Cyrille Perez, Producteur (13 Productions) et intervention d’Emmanuelle Brandenburger, Chef de service économie culturelle du Conseil Régional Grand Est ; Christophe Feing-Thiaw-Yan, Chargé de mission cinéma et audiovisuel de la Région Réunion ; Estelle Jomaron-Galabert, Productrice (Blabla Prod) et Vice-présidente du bureau de l’Agence Film Réunion ; Elena Koncke, Responsable Cinéma et Audiovisuel, Cheffe adjointe du Service des Industries Culturelles et de l’Image de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) ; Samuel Moutel, Producteur (Keren Productions) ; Nùria Rodiguez, Responsable fonds d’aide production cinéma audiovisuel et accompagnement des professionnels de Normandie Images. 2ème thème : Quelles initiatives de développement à l’international ? Modération par Emmanuelle Mauger et intervention de Noémie Benayoun, en charge de Création Production au Département Cinéma & Audiovisuel de l’ALCA-Nouvelle-Aquitaine ; Benoît Caron, Responsable du service Industries Créatives de la Région Occitanie ; Pierre Dallois, Responsable Image de Ciclic Centre-Val de Loire ; Julie Paratian, Productrice (Sister Production) ; Mélaine Thomann-Fox, Responsable du fonds Audiovisuel du Conseil Régional Île-de-France ; Christine Vial-Collet, Productrice (Vitamine C). Table-Ronde organisée avec le soutien de l’Agence Livre, Cinéma et Audiovisuel en Nouvelle-Aquitaine, la Région Nouvelle-Aquitaine, CICLIC Val de Loire, la Région Grand-Est, Normandie Images, la Région Ile de France, la Région Occitanie, la Région Réunion, et la Région Sud Provence Alpes Côte …

24 juin 2020Actus-SPIactus-spi
SUNNY SIDE : Kepler22 Productions présente : “Isaac Asimov, the man who saw the future”

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, la société Camera Lucida Productions présente aujourd’hui “Isaac Asimov, the man who saw the future” d’Étienne Chaillou et Mathias Théry.

Du nom de la seule autre planète habitable de la voie lactée, Kepler 22 est une société de production de films fondée par Juliette Cazanave et César Diaz.

Juliette Cazanave et César Diaz se sont rencontrés à la Fémis, dans un atelier d’écriture. Depuis une quinzaine d’années ils montent et réalisent documentaires et fictions pour des chaînes hertziennes comme pour des circuits cinématographiques plus alternatifs. Fin 2012, ils décident d’unir leur expérience et leurs compétences au sein d’une même structure pour développer et produire les films qu’ils ont envie de voir. Leurs intérêts sont larges, leurs territoires aussi : Guatemala, Mexique, Espagne, Russie, Géorgie, Ukraine, Allemagne, Irlande. La question est celle du regard, pas du contenu. Ensemble, ils ont produit ou coproduit une vingtaine de films documentaires et de fiction, couronnés par de nombreux prix dans les festivals nationaux et internationaux.

Juliette Cazanave
Diplômée de l’Université Complutense de Madrid, de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (IEP) et de l’Ecole de Cinéma de Berlin (DFFB), Juliette Cazanave a réalisé plus d’une dizaine de documentaires tous coproduits et diffusés par la chaîne Arte. Juliette Cazanave porte un regard intime sur des thèmes forts et complexes tels que l’exil, l’absence, l’identité. Mais Arte fait également régulièrement appel à son regard pour traiter de sujets de société comme l’avortement thérapeutique ou la sexualité dans le handicap ainsi que pour réaliser des portraits d’artistes (Le peintre Matthias Weischer, Bertrand Blier, Sandrine Bonnaire, Félix Vallotton ou plus récemment Le Corbusier). Ses documentaires ont été régulièrement salués par la critique et couronnés dans des festivals internationaux. Désireuse de faire fructifier son expérience, de gagner en indépendance et de découvrir de nouveaux talents, Juliette Cazanave a fondé sa propre société. Avec César Diaz elle a produit ou coproduit depuis les débuts de Kepler 22 une douzaine de films documentaires et de fiction.

César Diaz
Né au Guatemala, César a suivi des études d’art et cinéma au Mexique où il a du s’exiler pour raisons politiques. Il a ensuite rejoint la Belgique où il a obtenu un master d’écriture de scénario. Depuis une dizaine d’années, il travaille en France et en Belgique comme réalisateur, scénariste et monteur. Les films documentaires sur lesquels il a travaillé ont été primés dans plusieurs festivals internationaux comme Montréal, IDFA, FIPA, Berlinale, Lussas, Locarno, etc…Son documentaire, qu’il a également produit, « Pourquoi les hommes brûlent-ils ? » sur le massacre de l’ambassade d’Espagne au Guatemala a été sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et a fait sa première au Festival du Film de Bruxelles. Son premier long-métrage de fiction : Uspantan, qui raconte l’histoire d’un village massacré pendant la guerre, a été développé au sein de la Fémis et a d’obtenu le premier prix FADS du Festival d’Amiens et le soutien de Cinergia au Guatemala

Isaac Asimov a passé l’essentiel de sa vie à écrire et à ingurgiter tout ce que la science proposait à son époque. Avec plus de 500 publications, et un nombre non moins conséquent de prédictions qui se sont avérées étonnamment justes, il est considéré non seulement comme le père de la science-fiction, mais aussi comme un penseur capable de nous permettre d’anticiper notre propre avenir. En nos temps troublés, Isaac Asimov nous apprend à répondre à l’angoisse du futur par la jubilation. Lorsqu’il n’écrivait pas Isaac Asimov parlait publiquement de ses deux sujets préférés : le futur de l’humanité et lui même. Egocentrique assumé, il déclarait sans gêne qu’il avait une intelligence largement supérieure à la moyenne et une mémoire hors norme. Grand vulgarisateur et bon vivant, il adorait transmettre son savoir avec une auto-dérision et un sens du spectacle digne des meilleurs artistes de stand-up.

Étienne Chaillou et Mathias Théry s’appuient sur les très nombreuses interviews filmées qui existent de Asimov pour raconter cette histoire : celle d’un jeune émigrant russe qui va révolutionner un genre littéraire, mais aussi celle d’un visionnaire qui, convaincu par ses propres hypothèses, va d’abord modéliser puis prédire le futur de notre espèce pour ensuite tenter, par ses livres, ses prises de parole et ses mises en garde, de le modifier.

Étienne Chaillou et Mathias Théry se sont rencontrés en 2000 à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. Au cours des treize dernières années, ils ont co-réalisé des documentaires pour la television et le cinéma, dont La cravate, sorti en salle en février 2019, ou La sociologue et l’ourson en 2017, tous deux primés dans de nombreux festivals internationaux.

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, la société Camera Lucida Productions présente aujourd’hui “Isaac Asimov, the man who saw the future” d’Étienne Chaillou et Mathias Théry. Du nom de la seule autre planète habitable de la voie lactée, Kepler 22 est une société de production de films fondée par Juliette Cazanave et César Diaz. Juliette Cazanave et César Diaz se sont rencontrés à la Fémis, dans un atelier d’écriture. Depuis une quinzaine d’années ils montent et réalisent documentaires et fictions pour des chaînes hertziennes comme pour des circuits cinématographiques plus alternatifs. Fin 2012, ils décident d’unir leur expérience et leurs compétences au sein d’une même structure pour développer et produire les films qu’ils ont envie de voir. Leurs intérêts sont larges, leurs territoires aussi : Guatemala, Mexique, Espagne, Russie, Géorgie, Ukraine, Allemagne, Irlande. La question est celle du regard, pas du contenu. Ensemble, ils ont produit ou coproduit une vingtaine de films documentaires et de fiction, couronnés par de nombreux prix dans les festivals nationaux et internationaux. Juliette CazanaveDiplômée de l’Université Complutense de Madrid, de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (IEP) et de l’Ecole de Cinéma de Berlin (DFFB), Juliette Cazanave a réalisé plus d’une dizaine de documentaires tous coproduits et diffusés par la chaîne Arte. Juliette Cazanave porte un regard intime sur des thèmes forts et complexes tels que l’exil, l’absence, l’identité. Mais Arte fait également régulièrement appel à son regard pour traiter de sujets de société comme l’avortement thérapeutique ou la sexualité dans le handicap ainsi que pour réaliser des portraits d’artistes (Le peintre Matthias Weischer, Bertrand Blier, Sandrine Bonnaire, Félix Vallotton ou plus récemment Le Corbusier). Ses documentaires ont été régulièrement salués par la critique et couronnés dans des festivals internationaux. Désireuse de faire fructifier son expérience, de gagner en indépendance et de découvrir de nouveaux talents, Juliette Cazanave a fondé sa propre société. Avec César Diaz elle a produit ou coproduit depuis les débuts de Kepler 22 une douzaine de films documentaires et de fiction. César DiazNé au Guatemala, César a suivi des études d’art et cinéma au Mexique où il a du s’exiler pour raisons politiques. Il a ensuite rejoint la Belgique où il a obtenu un master d’écriture de scénario. Depuis une dizaine d’années, il travaille en France et en Belgique comme réalisateur, scénariste et monteur. Les films documentaires sur lesquels il a travaillé ont été primés dans plusieurs festivals internationaux comme Montréal, IDFA, FIPA, Berlinale, Lussas, Locarno, etc…Son documentaire, qu’il a également produit, « Pourquoi les hommes brûlent-ils ? » sur le massacre de l’ambassade d’Espagne au Guatemala a été sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et a fait sa première au Festival du Film de Bruxelles. Son premier long-métrage de fiction : Uspantan, qui raconte l’histoire d’un village massacré pendant la guerre, a été développé au sein de la Fémis et a d’obtenu le premier prix FADS du Festival d’Amiens et le soutien de Cinergia au Guatemala Isaac Asimov a passé l’essentiel de sa vie à écrire et à ingurgiter tout ce que la science proposait à son époque. Avec plus de 500 publications, et un nombre non moins conséquent de prédictions qui se sont avérées étonnamment justes, il est considéré non seulement comme le père de la science-fiction, mais aussi comme un penseur capable de nous permettre d’anticiper notre propre avenir. En nos temps troublés, Isaac Asimov nous apprend à répondre à l’angoisse du futur par la jubilation. Lorsqu’il n’écrivait pas Isaac Asimov parlait publiquement de ses deux sujets préférés : le futur de l’humanité et lui même. Egocentrique assumé, il déclarait sans gêne qu’il avait une intelligence largement supérieure à la moyenne et une mémoire hors norme. Grand vulgarisateur et bon vivant, il adorait transmettre son savoir avec une auto-dérision et un sens du spectacle digne des meilleurs artistes de stand-up. Étienne Chaillou et Mathias Théry s’appuient sur les très nombreuses interviews filmées qui existent de Asimov pour raconter cette histoire : celle d’un jeune émigrant russe qui va révolutionner un genre littéraire, mais aussi celle d’un visionnaire qui, convaincu par ses propres hypothèses, va d’abord modéliser puis prédire le futur de notre espèce pour ensuite tenter, par ses livres, ses prises de parole et ses mises en garde, de le modifier. Étienne Chaillou et Mathias Théry se sont rencontrés en 2000 à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. Au cours des treize dernières années, ils ont co-réalisé des documentaires pour la television et le cinéma, dont La cravate, sorti en salle en février 2019, ou La sociologue et l’ourson en 2017, tous deux primés dans de nombreux festivals …

24 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Bravo à nos lauréats des Étoiles de la Scam !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus à la 15ème édition du Festival Les Étoiles du documentaire.

Belinda de Marie Dumora

(Universciné)

GLORIA FILMS, LES FILMS D’ICI

Goodbye Jerusalem de Mariette Auvray et Gabriel Laurent

(ViàVosges, Lyon Capitale TV)

LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE

Le Grand bal de Laetitia Carton

(OCS Novo)

SANOSI PRODUCTIONS

L’Homme a mangé la terre de Jean-Robert Viallet

(Arte, RTBF, RTS)

CINEPHAGE PRODUCTIONS, LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE

de Yolande Zauberman

(Ciné + Club)

CG CINÉMA

Manuel de libération d’Alexander Kuznetsov 

(Édition Nour Films)

PETIT À PETIT PRODUCTION

Le Monde selon Amazon d’Adrien Pinon et Thomas Lafarge

(RTBF, Radio Canada, RDI, Public Sénat, France Télévisions)

LITTLE BIG STORY

Le Pacte Hitler-Staline de Cédric Tourbe

(Arte)

AGAT FILMS & CIE

L’État contre Mandela et les autres de Nicolas Champeaux et Gilles Porte 

(Arte)

ROUGE INTERNATIONAL 

Rencontrer mon père d’Alassane Diago

(Ciné + Club)

LES FILMS D’ICI, LES FILMS HATARI

Retour à Kigali, une affaire française de Jean-Christophe Klotz 

(France 3, Public Sénat, RTS)

LES FILMS DU POISSON

Samouni Road de Stefano Savona 

(OCS City, Arte)

ALTER EGO PRODUCTION

Village de Femmes de Tamara Stepanyan 

(TV78)

LA HUIT

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus à la 15ème édition du Festival Les Étoiles du documentaire. Belinda de Marie Dumora (Universciné) GLORIA FILMS, LES FILMS D’ICI Goodbye Jerusalem de Mariette Auvray et Gabriel Laurent (ViàVosges, Lyon Capitale TV) LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE Le Grand bal de Laetitia Carton (OCS Novo) SANOSI PRODUCTIONS L’Homme a mangé la terre de Jean-Robert Viallet (Arte, RTBF, RTS) CINEPHAGE PRODUCTIONS, LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE M de Yolande Zauberman (Ciné + Club) CG CINÉMA Manuel de libération d’Alexander Kuznetsov  (Édition Nour Films) PETIT À PETIT PRODUCTION Le Monde selon Amazon d’Adrien Pinon et Thomas Lafarge (RTBF, Radio Canada, RDI, Public Sénat, France Télévisions) LITTLE BIG STORY Le Pacte Hitler-Staline de Cédric Tourbe (Arte) AGAT FILMS & CIE L’État contre Mandela et les autres de Nicolas Champeaux et Gilles Porte  (Arte) ROUGE INTERNATIONAL  Rencontrer mon père d’Alassane Diago (Ciné + Club) LES FILMS D’ICI, LES FILMS HATARI Retour à Kigali, une affaire française de Jean-Christophe Klotz  (France 3, Public Sénat, RTS) LES FILMS DU POISSON Samouni Road de Stefano Savona  (OCS City, Arte) ALTER EGO PRODUCTION Village de Femmes de Tamara Stepanyan  (TV78) LA …

24 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
SUNNY SIDE : Little Big Story présente “A Perfect Spy”

Dans le cadre des Pitch Sessions du Sunny Side of the Doc, la société Little Big Story présente aujourd’hui “A Perfect Spy” (Un pur espion) de Rémi Laine. Une saga historique retraçant la vie de l’espion Marcus Klingberg.

Little Big Story, dirigée par Valérie Montmartin, est une société de production audiovisuelle, dédiée aux documentaires, aux formats longs et au digital. Elle entend revisiter les modes narratifs en croisant les formes, les genres et les supports afin de raconter des petites histoires qui font les grands récits ! Little Big Story produit des documentaires et développe fiction et animation. Elle a obtenu le Prix du Producteur de Télévision (Documentaire) en 2018.

“A Perfect Spy” retrace l’histoire de l’espion Marcus Klingberg, mort à Paris après 20 ans d’emprisonnement en Israël. Juif Polonais enrôlé dans l’Armée Rouge pour fuir La Shoah, vétéran de l’Indépendance d’Israël, il était un éminent scientifique à la solde du KGB. Basé sur les confessions de Klingberg, le documentaire nous offre une saga historique de 52 minutes nous replongeant en pleine guerre froide.

Marcus Klingberg, considéré comme le plus grand espion soviétique qui a opéré en Israël pendant plusieurs années, est mort le 1er décembre 2015 à Paris. Il a été au centre du plus grand scandale d’espionnage qui a défrayé la chronique en Israël. Arrêté en 1983, Abraham Marcus Klingberg avait été dénoncé par un autre espion russe retourné par les services de renseignements israéliens. Le professeur occupait les fonctions de directeur-adjoint de l’institut biologique de Nes Ziona, dont l’existence restait mystérieuse. Il faisait alors partie de l’élite scientifique du pays, publiait de nombreux ouvrages et participait à des conférences internationales.

Dans le cadre des Pitch Sessions du Sunny Side of the Doc, la société Little Big Story présente aujourd’hui “A Perfect Spy” (Un pur espion) de Rémi Laine. Une saga historique retraçant la vie de l’espion Marcus Klingberg. Little Big Story, dirigée par Valérie Montmartin, est une société de production audiovisuelle, dédiée aux documentaires, aux formats longs et au digital. Elle entend revisiter les modes narratifs en croisant les formes, les genres et les supports afin de raconter des petites histoires qui font les grands récits ! Little Big Story produit des documentaires et développe fiction et animation. Elle a obtenu le Prix du Producteur de Télévision (Documentaire) en 2018. “A Perfect Spy” retrace l’histoire de l’espion Marcus Klingberg, mort à Paris après 20 ans d’emprisonnement en Israël. Juif Polonais enrôlé dans l’Armée Rouge pour fuir La Shoah, vétéran de l’Indépendance d’Israël, il était un éminent scientifique à la solde du KGB. Basé sur les confessions de Klingberg, le documentaire nous offre une saga historique de 52 minutes nous replongeant en pleine guerre froide. Marcus Klingberg, considéré comme le plus grand espion soviétique qui a opéré en Israël pendant plusieurs années, est mort le 1er décembre 2015 à Paris. Il a été au centre du plus grand scandale d’espionnage qui a défrayé la chronique en Israël. Arrêté en 1983, Abraham Marcus Klingberg avait été dénoncé par un autre espion russe retourné par les services de renseignements israéliens. Le professeur occupait les fonctions de directeur-adjoint de l’institut biologique de Nes Ziona, dont l’existence restait mystérieuse. Il faisait alors partie de l’élite scientifique du pays, publiait de nombreux ouvrages et participait à des conférences …

23 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Focus Cannes Sélections 2020 : Des Hommes (Synecdoche)

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI a décidé de mettre en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “Des Hommes” produit par SYNECDOCHE.

Synopsis

Ils ont été appelés en Algérie au moment des ” événements ” en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire en hiver, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.

SYNECDOCHE est une société de production de court et long métrage, créée en 2010 par David Frenkel. Né à Créteil, David Frenkel fait ses armes chez Why Not Productions avant de créer Synecdoche. Producteur de Claude Lanzmann avec qui il travailla étroitement pendant plus de 17 ans, il produit Le Dernier des injustes – présenté au Festival de Cannes en 2013 – ainsi que Les Quatre soeurs. Adapté du roman éponyme de Laurent Mauvignier.

David Frenckel produit actuellement le prochain film de Lucas Belvaux, Des hommes, qui dresse le portrait d’anciens appelés de la Guerre d’Algérie. Il a également produit le précédent film de Lucas Belvaux, Chez nous. Il édite et distribue des ouvrages consacrés au cinéma, dont Conversations avec Darius Khondji.

Mentions techniques

Générique détaillé

Production et distribution

Le Festival de Cannes 2020 devait initialement se tenir du 12 au 23 mai 2020, mais a été reporté, puis annulé afin de respecter les mesures de précaution sanitaire en France. Lors d’une conférence de presse retransmise sur Canal + et les réseaux sociaux, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection de Cannes 2020, qui prend la forme de labels cette année, en raison de l’annulation du Festival sous sa forme habituelle. Le SPI a décidé de mettre en avant ses producteurs sélectionnés à cette occasion. Découvrez le long métrage “Des Hommes” produit par SYNECDOCHE. Synopsis Ils ont été appelés en Algérie au moment des ” événements ” en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire en hiver, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier. SYNECDOCHE est une société de production de court et long métrage, créée en 2010 par David Frenkel. Né à Créteil, David Frenkel fait ses armes chez Why Not Productions avant de créer Synecdoche. Producteur de Claude Lanzmann avec qui il travailla étroitement pendant plus de 17 ans, il produit Le Dernier des injustes – présenté au Festival de Cannes en 2013 – ainsi que Les Quatre soeurs. Adapté du roman éponyme de Laurent Mauvignier. David Frenckel produit actuellement le prochain film de Lucas Belvaux, Des hommes, qui dresse le portrait d’anciens appelés de la Guerre d’Algérie. Il a également produit le précédent film de Lucas Belvaux, Chez nous. Il édite et distribue des ouvrages consacrés au cinéma, dont Conversations avec Darius Khondji. Mentions techniques Générique détaillé Production et …

22 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les prix obtenus à l’occasion du Festival international du film d’animation d’Annecy 2020

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à féliciter ses adhérents pour leurs prix obtenus lors de l’édition 2020 du Festival international du film d’animation d’Annecy.

Mention du jury ex aequo pour un court métrage

Genius Loci” d’Adrien Merigeau – coproduit par Kazak Productions

Cristal de la meilleure œuvre VR

Minimum Mass” de Raqi Syed et Areito Echevarria – coproduit par Floréal Films

LAURÉATS DES PITCHS MIFA

Courts métrages

Prix SACD

300 000 kilomètres par seconde” de Clément Courcier – produit par Miyu Productions

Prix Ciclic

27 – My Last Day at Home” de Flóra Buda – produit par Miyu Productions

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à féliciter ses adhérents pour leurs prix obtenus lors de l’édition 2020 du Festival international du film d’animation d’Annecy. Mention du jury ex aequo pour un court métrage “Genius Loci” d’Adrien Merigeau – coproduit par Kazak Productions Cristal de la meilleure œuvre VR “Minimum Mass” de Raqi Syed et Areito Echevarria – coproduit par Floréal Films LAURÉATS DES PITCHS MIFA Courts métrages Prix SACD “300 000 kilomètres par seconde” de Clément Courcier – produit par Miyu Productions Prix Ciclic “27 – My Last Day at Home” de Flóra Buda – produit par Miyu …

22 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
SUNNY SIDE : Camera Lucida présente “De l’autre côté de la lune, Quand la Chine s’éveille à l’espace”

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, la société Camera Lucida Productions présente aujourd’hui “De l’autre côté de la lune, quand la Chine s’éveille à l’espace” de François-Xavier Vives. Un documentaire scientifique sur la Chine et son programme d’exploration de la face caché de la lune.

Depuis sa création en 1995 par François Bertrand, Camera Lucida a produit des programmes innovants avec une ligne éditoriale centrée sur les thèmes culturels mais aussi des programmes sur les thématiques historiques et scientifiques. Programmes destinés à tous types de supports, du très grand format Imax 3D avec Moi, Van Gogh, aux applications musicales pour Ipad et Smartphone, en passant par la télévision, le web, et la réalité virtuelle avec le projet The Enemy. Avec une cinquantaine de programmes produits par an, Camera lucida est un producteur de documentaires et spectacles vivants reconnu. Fort de son savoir-faire et de sa notoriété, la société continue d’investir tous les champs de la production audiovisuelle avec des œuvres portées par des collaborateurs de talent. 

RÉSUMÉ : “De l’autre côté de la lune”, un documentaire de François-Xavier Vives, avec la participation de Christophe Galfard. Productrice : Valérie Grenon

La lune est loin d’avoir révélé tous ses secrets. Un nouvel acteur, resté jusque-là discret, est entrain de rebattre les cartes du jeu : la Chine. Son programme d’exploration de la face caché de la lune constitue une avancée de taille qui redéfinit les contours de la conquête spatiale sur le plan international. Aux côtés du physicien Christophe Galfard, le film nous entraine dans une enquête scientifique passionnante pour mieux comprendre les enjeux de cette recherche et ce qui se joue pour le futur.

Dans le cadre du Sunny Side of the Doc, la société Camera Lucida Productions présente aujourd’hui “De l’autre côté de la lune, quand la Chine s’éveille à l’espace” de François-Xavier Vives. Un documentaire scientifique sur la Chine et son programme d’exploration de la face caché de la lune. Depuis sa création en 1995 par François Bertrand, Camera Lucida a produit des programmes innovants avec une ligne éditoriale centrée sur les thèmes culturels mais aussi des programmes sur les thématiques historiques et scientifiques. Programmes destinés à tous types de supports, du très grand format Imax 3D avec Moi, Van Gogh, aux applications musicales pour Ipad et Smartphone, en passant par la télévision, le web, et la réalité virtuelle avec le projet The Enemy. Avec une cinquantaine de programmes produits par an, Camera lucida est un producteur de documentaires et spectacles vivants reconnu. Fort de son savoir-faire et de sa notoriété, la société continue d’investir tous les champs de la production audiovisuelle avec des œuvres portées par des collaborateurs de talent.  RÉSUMÉ : “De l’autre côté de la lune”, un documentaire de François-Xavier Vives, avec la participation de Christophe Galfard. Productrice : Valérie Grenon La lune est loin d’avoir révélé tous ses secrets. Un nouvel acteur, resté jusque-là discret, est entrain de rebattre les cartes du jeu : la Chine. Son programme d’exploration de la face caché de la lune constitue une avancée de taille qui redéfinit les contours de la conquête spatiale sur le plan international. Aux côtés du physicien Christophe Galfard, le film nous entraine dans une enquête scientifique passionnante pour mieux comprendre les enjeux de cette recherche et ce qui se joue pour le …

22 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI est présent du 22 au 25 juin à l’édition connectée du Sunny Side of the Doc 2020

En réponse à la situation sanitaire liée à la pandémie du Covid-19 et aux besoins exprimés par la communauté documentaire, la 31e édition du marché international du documentaire et des expériences narratives et la 4e de PiXii Festival se dérouleront du 22 au 25 juin 2020 dans une configuration inédite, 100% en ligne.

Chaque année, l’événement de 4 jours rassemble en un seul lieu les diffuseurs, les décideurs, les financeurs, les distributeurs, les créateurs de contenu et les producteurs du monde entier, pour vendre ou acheter des programmes et trouver des partenaires de coproduction.

Fidèle à sa mission d’aide au développement de projets, de coproduction internationale et de distribution de contenus factuels, le marché organisera ses 6 sessions de pitch thématiques en ligne selon un exercice remanié : Histoire, Sciences, Arts & Culture, Société & Investigation, Wildlife et Expériences Numériques. Pour toucher une plus large audience d’acheteurs et chargés de programmes dans le monde, ces présentations seront dédoublées chaque jour.

LE SPI AU SUNNY SIDE OF THE DOC

Le Syndicat des Producteurs Indépendants est présent à cette édition connectée, via un stand virtuel, qui permet une mise en avant de ses adhérents sélectionnés dans les différentes catégories de la 31e édition du marché international du documentaire et des expériences narratives.

A ne pas manquer également, la TABLE RONDE du SPI, qui se tiendra jeudi 25 Juin 2020 de 11h à 12h45.

Le thème de cette rencontre interactive s’intitule :

Rencontres interrégionales avec le SPI – acte II : Quelles initiatives régionales pour la relance de la filière du documentaire ? Quelles initiatives de développement à l’international ?

Interview croisée de Simon ARNAL (Haut et Court TV), François BERTRAND (Camera Lucida), Olivier DE BANNES (O2B Films), Margaux MISSIKA (Upian), Valérie MONTMARTIN (Little Big Story), Cyrille PEREZ (13 Productions) et Emmanuelle MAUGER (Déléguée Générale Adjointe du SPI) dans le magazine Écran Total sur la crise et le bilan des impacts de la pandémie de Covid-19 sur le secteur du documentaire et les chantiers à venir.

AGENDA DU SUNNY SIDE : ICI

SÉLECTIONS AU PITCH : ICI

JURY 2020 et RÉCOMPENSES : ICI

En réponse à la situation sanitaire liée à la pandémie du Covid-19 et aux besoins exprimés par la communauté documentaire, la 31e édition du marché international du documentaire et des expériences narratives et la 4e de PiXii Festival se dérouleront du 22 au 25 juin 2020 dans une configuration inédite, 100% en ligne. Chaque année, l’événement de 4 jours rassemble en un seul lieu les diffuseurs, les décideurs, les financeurs, les distributeurs, les créateurs de contenu et les producteurs du monde entier, pour vendre ou acheter des programmes et trouver des partenaires de coproduction. Fidèle à sa mission d’aide au développement de projets, de coproduction internationale et de distribution de contenus factuels, le marché organisera ses 6 sessions de pitch thématiques en ligne selon un exercice remanié : Histoire, Sciences, Arts & Culture, Société & Investigation, Wildlife et Expériences Numériques. Pour toucher une plus large audience d’acheteurs et chargés de programmes dans le monde, ces présentations seront dédoublées chaque jour. LE SPI AU SUNNY SIDE OF THE DOC Le Syndicat des Producteurs Indépendants est présent à cette édition connectée, via un stand virtuel, qui permet une mise en avant de ses adhérents sélectionnés dans les différentes catégories de la 31e édition du marché international du documentaire et des expériences narratives. A ne pas manquer également, la TABLE RONDE du SPI, qui se tiendra jeudi 25 Juin 2020 de 11h à 12h45. Le thème de cette rencontre interactive s’intitule : Rencontres interrégionales avec le SPI – acte II : Quelles initiatives régionales pour la relance de la filière du documentaire ? Quelles initiatives de développement à l’international ? Interview croisée de Simon ARNAL (Haut et Court TV), François BERTRAND (Camera Lucida), Olivier DE BANNES (O2B Films), Margaux MISSIKA (Upian), Valérie MONTMARTIN (Little Big Story), Cyrille PEREZ (13 Productions) et Emmanuelle MAUGER (Déléguée Générale Adjointe du SPI) dans le magazine Écran Total sur la crise et le bilan des impacts de la pandémie de Covid-19 sur le secteur du documentaire et les chantiers à venir. AGENDA DU SUNNY SIDE : ICI SÉLECTIONS AU PITCH : ICI JURY 2020 et RÉCOMPENSES : …

21 juin 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
MIFA 2020 : Le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous mettons en avant : OFFSHORE PRODUCTION – PARMI LES LUCIOLES FILMS – SILEX FILMS – TCHACK PRODUCTION – TOON FACTORY.

OFFSHORE PRODUCTION

Offshore Production est une société de production fondée le 1 décembre 2000 par Fabrice PRÉEL-CLÉACH.

Découvrez OFFSHORE PRODUCTION et son projet animation : “Trois enfances”.

Trois Enfance (Tre infanzie) : Film né de l’histoire personnelle du réalisateur Simone Massi. Court métragiste ultra récompensé il signe ici son premier long métrage. Producteurs : Emmanuelle Latourrette et Fabrice Préel-Cléach. Coproducteur : Minimum Fax Media (Italie).

1918, 1943, 1978 : Trois enfances, trois générations en Italie dans la même ferme d’un village des Marches. Dans les remous de ces vies bousculées par les guerres, le fascisme, la résistance, l’émigration, la violence, les histoires personnelles de Zelinda, Assunta et Icaro et l’Histoire se télescopent pour raconter la campagne italienne et les efforts d’émancipation d’une famille.

PARMI LES LUCIOLES FILMS

Parmi les Lucioles Films est une société qui produit des films de fiction et d’animation.

Découvrez PARMI LES LUCIOLES FILMS et le projet : “Les contes du hérisson”.

Les Contes du Hérisson : Long métrage d’animation écrit et réalisé par Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli (85’) et produit Jérôme Duc-Maugé.

Le monde de Nina, une fillette de dix ans, est bouleversé depuis que son père a perdu son emploi. Après des semaines de grève, son usine a fermé. Le gérant a commis des malversations qui ont précipité la faillite. Mais il se murmure qu’un pactole serait dissimulé dans un recoin de l’usine. Nina et son copain Mehdi vont se lancer à l’aventure pour aider le père de Nina. Un conte moderne aux accents initiatiques partagé entre le monde de l’enfance et le monde des adultes.

SILEX FILMS

Fondée en 2009, et dirigée par Priscilla Bertin et Judith Nora, Silex Films produit longs-métrages, fictions et documentaires. En 2014, création de SILEX ANIMATION, un studio 2D à Angoulême où sont fabriqués les projets d’animation produits par Silex.

Découvrez SILEX FILMS avec les séries “Culottées” et “Les Qui quoi”.

Culottées : En compétition au Festival international du film d’animation d’Annecy 2020. D’après l’œuvre de Pénélope Bagieu (Editions Gallimard, 2016-2017). Série réalisée par Mai Nguyen & Charlotte Cambon, adaptation de l’oeuvre graphique de Pénélope Bagieu. 30 portraits de femmes, connues ou inconnues, qui ont osé faire voler en éclats les préjugés, et changé le monde à leur manière. En intégralité sur FRANCE.TV // du lundi au vendredi sur FRANCE 5 (10h55 et après le prime time du soir). Ventes internationales : MIAM! Animation.

Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, rock star ou femme à barbe, athlète ou chamane, exploratrice ou astronaute ; de Hedy Lamarr, actrice et productrice hollywoodienne mais surtout inventrice de la technologie à l’origine du WiFi, à Annette Kellerman, nageuse extraordinaire et inventrice du maillot de bain moderne, en passant par Leymah Gbowee, travailleuse sociale, militante libérienne et prix Nobel de la paix…

*Les 30 épisodes sont toujours disponible en replay sur france.tv France Télévisions : https://www.france.tv/france-5/culottees/

Les Quiquoi : Série 52x7min en développement – une coproduction DONCVOILA PRODUCTIONS (Virginie Giachino – Joris Clerté) et SILEX FILMS (Priscilla Bertin – Judith Nora).

Les Quiquoi sont six jeunes amis qui créent, par le dessin et leur imagination, des univers fantasmagoriques et surréalistes dans lesquels ils s’aventurent, explorant des problématiques de leur âge.

TCHACK PRODUCTION

Tchack est un studio d’animation dirigé par des passionnés de l’image qui maitrise toutes les étapes de la chaîne de production. Expert, créatif et innovant, il garantit la qualité et l’aboutissement de tous les projets. Indépendant, ouvert, curieux, Tchack attire et rassemble les talents. Audacieux et dynamique, Tchack produit et coproduit des films et des séries en France et à l’étranger.

Découvrez TCHACK avec les projets suivants : “Les Danger“, “Les Prizoonniers“, et “Petit Malabar“.

Les Danger : 52 x 13 min – comédie / suspense – 6/10 ans), de Cyril Deydier, Daniel Klein, Baptiste Grosfilley. En développement.

Du jour au lendemain le monde a changé : la nature a repris les villes, les animaux ont commencé à parler et l’humanité a perdu l’essentiel de son progrès technologique. Dans ce joyeux bazar, une famille composée de deux enfants, de leur père et d’une bactérie géante part en MonsterTruck à la recherche de la mère disparue.

Les PriZOOniers : (78 x 7 min – cartoon muet – 8/88 ans), de Christophe Ollivier-Noborio & Alex Donaro. En développement.

Zack et Jack, deux singes qui se prennent pour des humains, sont enfermés par erreur dans un zoo et tentent de s’évader en imaginant les plans les plus improbables et rocambolesques, tous invariablement voués à l’échec.

Petit Malabar : Saison 1 (26 X 4 min – 6/10 ans), réalisé Patrick Volve. Auteurs Nelly Blumenthal, Jean Duprat et Baptiste Grosfilley / Scénaristes Nelly Blumenthal, Jean Duprat, Frédérik Malsanka, Stephane Levy, Valérie Magis, Cyril Dédier – www.petitmalabar.tv

Tiré d’une collection de livres signée par Jean Duprat, chercheur au CNRS et spécialiste en astrophysique, et par l’artiste Nelly Blumenthal, la série animée Petit Malabar – diffusée sur France 5 et soutenue par le Fonds d’aide à l’innovation (aide au développement) du CNC – invite les 3-7 ans à découvrir l’espace et les grands objets naturels qui nous entourent de façon ludo-éducative. Une façon amusante de découvrir les grands objets naturels qui nous entourent (les océans, les montagnes, la Lune, les planètes, les étoiles, etc.) afin de mieux les connaître, les comprendre, et vivre avec eux des aventures extraordinaires.

TOON FACTORY

Créée en 1999 avec Maureen de Choiseul et dirigée par Thierry Berthier, Toon Factory regroupe aujourd’hui des activités de production d’animation (Toon Factory et Story), de prestation technique (Tabb productions) de distribution de contenus audiovisuels (Toon Distribution). TOON FACTORY produit depuis 1999 des films d’animation pour les grandes chaînes de la télévision Française comme M6 ou le groupe France Télévision, mais aussi pour le Québec ou le Qatar avec Al Jazeera. Ils produisent notamment les célèbres séries Samson et Néon ou Tony et Alberto.

Découvrez TOON FACTORY à travers la série diffusée sur Télétoon (Canal+) : “Sardine de l’Espace“.

Sardine de l’espace : Série d’animation pour les 6-10 ans d’après la BD éponyme de Joann Sfar, directeur artistique de la série, Emmanuel Guibert (Grand Prix de la BD d’Angoulême 2020), créateur également de la bible littéraire et Mathieu Sapin qui a participé à l’écriture dirigée par Babette Vimenet. Co-produite avec Red Frog, Caribara Prod, Scope Pictures, la série de 52 x 12’ en 2D, une des première séries d’animation françaises en UHD, réalisée par David Garcia, a bénéficié d’un budget de 6,4 M€. Le groupe Dionysos en a créé et interprète son générique et la musique est signée Olivier Daviaut.

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous mettons en avant : OFFSHORE PRODUCTION – PARMI LES LUCIOLES FILMS – SILEX FILMS – TCHACK PRODUCTION – TOON FACTORY. OFFSHORE PRODUCTION Offshore Production est une société de production fondée le 1 décembre 2000 par Fabrice PRÉEL-CLÉACH. Découvrez OFFSHORE PRODUCTION et son projet animation : “Trois enfances”. • Trois Enfance (Tre infanzie) : Film né de l’histoire personnelle du réalisateur Simone Massi. Court métragiste ultra récompensé il signe ici son premier long métrage. Producteurs : Emmanuelle Latourrette et Fabrice Préel-Cléach. Coproducteur : Minimum Fax Media (Italie). 1918, 1943, 1978 : Trois enfances, trois générations en Italie dans la même ferme d’un village des Marches. Dans les remous de ces vies bousculées par les guerres, le fascisme, la résistance, l’émigration, la violence, les histoires personnelles de Zelinda, Assunta et Icaro et l’Histoire se télescopent pour raconter la campagne italienne et les efforts d’émancipation d’une famille. PARMI LES LUCIOLES FILMS Parmi les Lucioles Films est une société qui produit des films de fiction et d’animation. Découvrez PARMI LES LUCIOLES FILMS et le projet : “Les contes du hérisson”. • Les Contes du Hérisson : Long métrage d’animation écrit et réalisé par Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli (85’) et produit Jérôme Duc-Maugé. Le monde de Nina, une fillette de dix ans, est bouleversé depuis que son père a perdu son emploi. Après des semaines de grève, son usine a fermé. Le gérant a commis des malversations qui ont précipité la faillite. Mais il se murmure qu’un pactole serait dissimulé dans un recoin de l’usine. Nina et son copain Mehdi vont se lancer à l’aventure pour aider le père de Nina. Un conte moderne aux accents initiatiques partagé entre le monde de l’enfance et le monde des adultes. SILEX FILMS Fondée en 2009, et dirigée par Priscilla Bertin et Judith Nora, Silex Films produit longs-métrages, fictions et documentaires. En 2014, création de SILEX ANIMATION, un studio 2D à Angoulême où sont fabriqués les projets d’animation produits par Silex. Découvrez SILEX FILMS avec les séries “Culottées” et “Les Qui quoi”. • Culottées : En compétition au Festival international du film d’animation d’Annecy 2020. D’après l’œuvre de Pénélope Bagieu (Editions Gallimard, 2016-2017). Série réalisée par Mai Nguyen & Charlotte Cambon, adaptation de l’oeuvre graphique de Pénélope Bagieu. 30 portraits de femmes, connues ou inconnues, qui ont osé faire voler en éclats les préjugés, et changé le monde à leur manière. En intégralité sur FRANCE.TV // du lundi au vendredi sur FRANCE 5 (10h55 et après le prime time du soir). Ventes internationales : MIAM! Animation. Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, rock star ou femme à barbe, athlète ou chamane, exploratrice ou astronaute ; de Hedy Lamarr, actrice et productrice hollywoodienne mais surtout inventrice de la technologie à l’origine du WiFi, à Annette Kellerman, nageuse extraordinaire et inventrice du maillot de bain moderne, en passant par Leymah Gbowee, travailleuse sociale, militante libérienne et prix Nobel de la paix… *Les 30 épisodes sont toujours disponible en replay sur france.tv France Télévisions : https://www.france.tv/france-5/culottees/ • Les Quiquoi : Série 52x7min en développement – une coproduction DONCVOILA PRODUCTIONS (Virginie Giachino – Joris Clerté) et SILEX FILMS (Priscilla Bertin – Judith Nora). Les Quiquoi sont six jeunes amis qui créent, par le dessin et leur imagination, des univers fantasmagoriques et surréalistes dans lesquels ils s’aventurent, explorant des problématiques de leur âge. TCHACK PRODUCTION Tchack est un studio d’animation dirigé par des passionnés de l’image qui maitrise toutes les étapes de la chaîne de production. Expert, créatif et innovant, il garantit la qualité et l’aboutissement de tous les projets. Indépendant, ouvert, curieux, Tchack attire et rassemble les talents. Audacieux et dynamique, Tchack produit et coproduit des films et des séries en France et à l’étranger. Découvrez TCHACK avec les projets suivants : “Les Danger“, “Les Prizoonniers“, et “Petit Malabar“. • Les Danger : 52 x 13 min – comédie / suspense – 6/10 ans), de Cyril Deydier, Daniel Klein, Baptiste Grosfilley. En développement. Du jour au lendemain le monde a changé : la nature a repris les villes, les animaux ont commencé à parler et l’humanité a perdu l’essentiel de son progrès technologique. Dans ce joyeux bazar, une famille composée de deux enfants, de leur père et d’une bactérie géante part en MonsterTruck à la recherche de la mère disparue. • Les PriZOOniers : (78 x 7 min – cartoon muet – 8/88 ans), de Christophe Ollivier-Noborio & Alex Donaro. En développement. Zack et Jack, deux singes qui se prennent pour des humains, sont enfermés par erreur dans un zoo et tentent de s’évader en imaginant les plans les plus improbables et rocambolesques, tous invariablement voués à l’échec. • Petit Malabar : Saison 1 (26 X 4 min – 6/10 ans), réalisé Patrick Volve. Auteurs Nelly Blumenthal, Jean Duprat et Baptiste Grosfilley / Scénaristes Nelly Blumenthal, Jean Duprat, Frédérik Malsanka, Stephane Levy, Valérie Magis, Cyril Dédier – www.petitmalabar.tv Tiré d’une collection de livres signée par Jean Duprat, chercheur au CNRS et spécialiste en astrophysique, et par l’artiste Nelly Blumenthal, la série animée Petit Malabar – diffusée sur France 5 et soutenue par le Fonds d’aide à l’innovation (aide au développement) du CNC – invite les 3-7 ans à découvrir l’espace et les grands objets naturels qui nous entourent de façon ludo-éducative. Une façon amusante de découvrir les grands objets naturels qui nous entourent (les océans, les montagnes, la Lune, les planètes, les étoiles, etc.) afin de mieux les connaître, les comprendre, et vivre avec eux des aventures extraordinaires. TOON FACTORY Créée en 1999 avec Maureen de Choiseul et dirigée par Thierry Berthier, Toon Factory regroupe aujourd’hui des activités de production d’animation (Toon Factory et Story), de prestation technique (Tabb productions) de distribution de contenus audiovisuels (Toon Distribution). TOON FACTORY produit depuis 1999 des films d’animation pour les grandes chaînes de la télévision Française comme M6 ou le groupe France Télévision, mais aussi pour le Québec ou le Qatar avec Al Jazeera. Ils produisent notamment les célèbres séries Samson et Néon ou Tony et Alberto. Découvrez TOON FACTORY à travers la série diffusée sur Télétoon (Canal+) : “Sardine de l’Espace“. • Sardine de l’espace : Série d’animation pour les 6-10 ans d’après la BD éponyme de Joann Sfar, directeur artistique de la série, Emmanuel Guibert (Grand Prix de la BD d’Angoulême 2020), créateur également de la bible littéraire et Mathieu Sapin qui a participé à l’écriture dirigée par Babette Vimenet. Co-produite avec Red Frog, Caribara Prod, Scope Pictures, la série de 52 x 12’ en 2D, une des première séries d’animation françaises en UHD, réalisée par David Garcia, a bénéficié d’un budget de 6,4 M€. Le groupe Dionysos en a créé et interprète son générique et la musique est signée Olivier …

20 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour leurs 31 films sélectionnés au Festival de Cannes 2020

Le SPI tient à féliciter chaleureusement ses producteurs pour leurs 23 films retenus dans la Sélection Officielle 2020 du Festival de Cannes, leurs 5 films labellisés Semaine de la Critique et leurs 5 films labellisés Acid 2020.

SÉLECTION OFFICIELLE
LES FIDÈLES

 

« ADN » de Maïwenn produit par Why Not Productions

« Des Hommes » (Home Front) de Lucas Belvaux produit par Synecdoche

« In the Dusk » (Au Crépuscule) de Sharunas Bartas produit par Kinoelektron

« Last Words » de Jonathan Nossiter coproduit par Les Films d’Ici

 

LES NOUVEAUX VENUS

 

« Les Choses Qu’on Dit, Les Choses Qu’on Fait » d’Emmanuel Mouret produit par Moby Dick Films

« Passion Simple » de Danielle Arbid produit par LFP – Les Films Pelléas

« Rouge (Red Soil) » de Farid Bentoumi produit par Les Films Velvet

« Sweat » de Magnus Von Horn produit par Cinéma Defacto

« Teddy » de Ludovic et Zoran Boukherma produit par Les Films Velvet

 

LES PREMIERS FILMS

 

« 16 Printemps » de Suzanne Lindon produit par Avenue B Productions

« Beginning » (Au Commencement) de Dea Kulumbegashvili produit par Zadig Films

« Casa De Antiguidades » (Memory House) de Joao Paulo Miranda Maria produit par Maneki Films

« Gagarine » de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh produit par Haut et Court

« Garçon Chiffon » de Nicolas Maury produit par CG Cinéma

« Ibrahim » de Samir Guesmi produit par Why Not Productions

« Si Le Vent Tombe » (Should The Wind Fall) de Nora Martirosyan produit par Sister Productions

« Slalom » de Charlène Favier produit par Mille Et Une Productions

« Vaurien » de Peter Dourountzis produit par 10 : 15 Productions

 

5 COMÉDIES

 

« Les Deux Alfred » de Bruno Podalydès produit par Why Not Productions

« Un Triomphe » (The Big Hit) d’Emmanuel Courcol produit par Agat Films & Cie

 

4 FILMS D’ANIMATION

 

« Josep » d’Aurel produit par Les Films D’Ici

 

COMPÉTITION OFFICIELLE COURTS MÉTRAGES

 

« Filles Bleues, Peur Blanche » de Marie Jacotey et Lola Halifa-Legrand produit par Miyu Productions

« L’agneau De Dieu » (O Cordeiro De Deus) de David Pinheiro Vicente produit par La Belle Affaire Productions

 

SEMAINE DE LA CRITIQUE 2020

 

LONGS MÉTRAGES

 

« After Love » d’Aleem Khan produit par Le Bureau

« De L’or Pour Les Chiens » d’Anna Cazenave Cambet produit par CG Cinéma

« La Nuée » de Just Philippot produit par Capprici

« Sous Le Ciel d’Alice » (Skies Of Lebanon) de Chloé Mazlo produit par Moby Dick Films

 

COURTS MÉTRAGES

 

« Maalbeek » d’Ismaël Joffroy Chandoutis produit par Films Grand Huit

 

ACID 2020

 

« Funambules » d’Ilan Klipper produit par Les Films du Bal

« Les Affluents » de Jessé Micheli produit par Perspective Films

« Loin De Vous J’ai Grandi » de Marie Dumora produit par Les Films Du Bélier

« Si Le Vent Tombe » (Should The Wind Fall) de Nora Martirosyan produit par Sister Productions

« The Last Hillbilly » de Diane Sara Bouzgarrou & Thomas Jenkoe produit par Films de Force Majeure

 

Paris, le 19 juin 2020

Contact presse :
Olivier Zegna Rata – Délégué Général
ozegnarata@lespi.org
SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Le SPI tient à féliciter chaleureusement ses producteurs pour leurs 23 films retenus dans la Sélection Officielle 2020 du Festival de Cannes, leurs 5 films labellisés Semaine de la Critique et leurs 5 films labellisés Acid 2020. SÉLECTION OFFICIELLE LES FIDÈLES   « ADN » de Maïwenn produit par Why Not Productions « Des Hommes » (Home Front) de Lucas Belvaux produit par Synecdoche « In the Dusk » (Au Crépuscule) de Sharunas Bartas produit par Kinoelektron « Last Words » de Jonathan Nossiter coproduit par Les Films d’Ici   LES NOUVEAUX VENUS   « Les Choses Qu’on Dit, Les Choses Qu’on Fait » d’Emmanuel Mouret produit par Moby Dick Films « Passion Simple » de Danielle Arbid produit par LFP – Les Films Pelléas « Rouge (Red Soil) » de Farid Bentoumi produit par Les Films Velvet « Sweat » de Magnus Von Horn produit par Cinéma Defacto « Teddy » de Ludovic et Zoran Boukherma produit par Les Films Velvet   LES PREMIERS FILMS   « 16 Printemps » de Suzanne Lindon produit par Avenue B Productions « Beginning » (Au Commencement) de Dea Kulumbegashvili produit par Zadig Films « Casa De Antiguidades » (Memory House) de Joao Paulo Miranda Maria produit par Maneki Films « Gagarine » de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh produit par Haut et Court « Garçon Chiffon » de Nicolas Maury produit par CG Cinéma « Ibrahim » de Samir Guesmi produit par Why Not Productions « Si Le Vent Tombe » (Should The Wind Fall) de Nora Martirosyan produit par Sister Productions « Slalom » de Charlène Favier produit par Mille Et Une Productions « Vaurien » de Peter Dourountzis produit par 10 : 15 Productions   5 COMÉDIES   « Les Deux Alfred » de Bruno Podalydès produit par Why Not Productions « Un Triomphe » (The Big Hit) d’Emmanuel Courcol produit par Agat Films & Cie   4 FILMS D’ANIMATION   « Josep » d’Aurel produit par Les Films D’Ici   COMPÉTITION OFFICIELLE COURTS MÉTRAGES   « Filles Bleues, Peur Blanche » de Marie Jacotey et Lola Halifa-Legrand produit par Miyu Productions « L’agneau De Dieu » (O Cordeiro De Deus) de David Pinheiro Vicente produit par La Belle Affaire Productions   SEMAINE DE LA CRITIQUE 2020   LONGS MÉTRAGES   « After Love » d’Aleem Khan produit par Le Bureau « De L’or Pour Les Chiens » d’Anna Cazenave Cambet produit par CG Cinéma « La Nuée » de Just Philippot produit par Capprici « Sous Le Ciel d’Alice » (Skies Of Lebanon) de Chloé Mazlo produit par Moby Dick Films   COURTS MÉTRAGES   « Maalbeek » d’Ismaël Joffroy Chandoutis produit par Films Grand Huit   ACID 2020   « Funambules » d’Ilan Klipper produit par Les Films du Bal « Les Affluents » de Jessé Micheli produit par Perspective Films « Loin De Vous J’ai Grandi » de Marie Dumora produit par Les Films Du Bélier « Si Le Vent Tombe » (Should The Wind Fall) de Nora Martirosyan produit par Sister Productions « The Last Hillbilly » de Diane Sara Bouzgarrou & Thomas Jenkoe produit par Films de Force Majeure   Paris, le 19 juin 2020 Contact presse :Olivier Zegna Rata – Délégué Généralozegnarata@lespi.orgSPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

20 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
MIFA 2020 : Le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous mettons en avant : MARMITA FILMS, MELOCOTON FILMS, MELTING PROD, MIYU PRODUCTIONS, MOOD FILMS.

MARMITA FILMS

Marmita Films est une est une maison indépendante de création cinématographique et audiovisuelle. Elle est basée à Bordeaux (33) et est soutenue par la Région Nouvelle-Aquitaine depuis 2011, dans le cadre de l’aide au programme d’activité des structures de production. Créée en 2010 par Martine Vidalenc, la société se consacre à la production de documentaires, de films d’animation et d’expériences interactives.

Découvrez MARMITA FILMS à travers 2 projets : “Boriya” et “L’extraordinaire voyage de Marona”.

Boriya : Court-métrage d’animation franco-coréen réalisé par Min Sung Ah, avec l’aide du CNC (Contribution financière et CVS), de la Région Nouvelle-Aquitaine, le soutien d’ECLA Aquitaine et de la Korea Creative Content Agency.

Un été, dans la campagne coréenne. Boriya, une fillette de 7 ans, s’ennuie dans la ferme familiale. Tout le monde est occupé, sauf elle, car c’est la saison des récoltes. Elle cherche désespérément quelqu’un avec qui jouer… mais rien ne se passe comme elle l’avait imaginé.

L’extraordinaire voyage de Marona : Long métrage d’animation de Anca Damian, en coproduction avec Aparte Film (Roumanie), Sacrebleu Production (France), et Mind Meets (Belgique). Distribution : Cinéma Public Films. Ventes internationales : Charades

La chienne Marona se remémore ses différentes vies auprès des maîtres qui l’ont accueillis et offert un foyer. Avec eux, elle a partagé beaucoup d’affection et de belles et fascinantes histoires malgré les difficultés de la vie : un artiste acrobate, un ouvrier et une petite fille avec toute sa famille. Avec ses sens hyper développés et sa tendresse sans limites, Marona fait de sa vie de chienne un voyage extraordinaire.

MELOCOTON FILMS

Melocoton Films est une société de production créée en 2012 par Hélène Mitjavile et Théo Laboulandine. S’appuyant sur son activité de contenus audiovisuels et publicitaires, Melocoton soutient des projets d’auteurs audacieux, avec un intérêt tout particulier pour les coproductions internationales (Finlande, Hongrie, Croatie, Royaume-Uni, Suède, Argentine).

Découvrez MELOCOTON FILMS et son projet animation : “SCALE”.

SCALE : Adapté d’une nouvelle de Will Self, écrit par Joseph Pierce et Nicolas Pleskof et réalisé par Joseph Pierce. Rotoscopie sur la base de prises de vues réelles et 3D – Couleur. Préachat Arte, soutenu par le CNC (FAIA aide au développement, contribution financière avant réalisation, CVS), la région Aquitaine, le département de la Charente, la région Auvergne-Rhône-Alpes, la région Grand Est et l’Eurométropole de Strasbourg

Sur l’autoroute, Will perd le sens de l’échelle et fait une embardée. Alors que son addiction aux psychotropes s’amplifie de jour en jour, sa vie de famille est au bord du désastre. Will, face à ses démons, tente de terminer sa thèse et de remonter le fil des événements qui l’ont amené à cette lente déchéance.

MELTING PRODUCTIONS

Melting Productions est une société de production qui fabrique des dessins animés pour les petits et pour les grands ! A travers ses différentes productions et ses différents développements, que ce soit en prise de vue réelle ou en animation, Melting se positionne sur le marché comme un nouvel entrant capable de proposer des séries d’animation à plusieurs degrés de lecture ; conscient que la production de séries ado-adultes est encore très peu exploitée.

Découvrez MELTING PRODUCTIONS et ses projets tels que : “Boys Boys Boys“, “Chicken of the dead“, “Mon copain le requin“, “Seniors 3000“, ou encore “Ultras“.

Boys Boys Boys : Réalisé par Valentine Vendroux et Clawdia Prolongeau, d’après une idée originale de Florent Guimberteau. En développement (Procirep) et séléctionné aux pitch Mifa.

Boys boys boys a l’ambition d’aller à la rencontre d’un animal connu, poilu, dominant la chaîne alimentaire, possédant pouvoir, argent et parfois pistolets mais aussi, bien souvent, rien de tout cela… Beaucoup décrié ces derniers temps : l’homme (avec un petit « h »).

Chicken of the dead : Série en développement, écrite par Florent Guimberteau, Yacine Badday, et Ludovic Lefebvre.

Suite à une lumineuse idée business, Dick Bernard, le magna de l’agro-alimentaire, génial inventeur du poulet Fifty Tasty hum… provoque une épidémie sans précédent et la transformation de tous ses consommateurs en poulets zombies. Nichée au cœur de la nature et des champs, la petite bourgade de Meatville devient alors le lieu d’une boucherie apocalyptique dans laquelle Dick va devoir affronter des hordes de zombies, sauver sa peau, conserver son magot et stopper la contagion.

Mon copain le requin : Série en développement écrite et réalisée par Cléo Biasini.

Mon copain le requin est une intrusion dans la vacuité du quotidien d’un couple de deux trentenaires un peu paumés, à la frontière du freaks qui se connaissent depuis longtemps mais ont toujours du mal à se comprendre. D’un côté Albine, jeune femme lunaire et légèrement distraite. De l’autre Rocky, un requin râleur mais craintif sous ses faux airs de prédateur.

Seniors 3000 : Court-métrage réalisé par Julien David et écrite par Yacine Badday, Florent Guimberteau, Sébastien Ors, et Christophe Blanc.

Une fusion biomécanique entre Marlène, secrétaire en poste depuis 30 ans et l’imprimante modèle x3000 va engendrer une nouvelle génération de travailleurs : les seniors 3000. La révolution du monde du travail est en marche !…

Ultras : Série en développement d’Irwin Fustec, écrite par Thibaud Kunstlinger, Louis Genevey, et Dylan Bendeks.

Quatre supporters de foot tentent de prendre le contrôle de leur club, de leur ville, et du reste, si possible…

MIYU PRODUCTIONS

Créée en mai 2009 par Emmanuel-Alain Raynal, Miyu Productions est une société de production audiovisuelle spécialisée en animation et prises de vues réelles. Miyu produit des clips, des courts métrages et développe des projets de séries, de documentaires et de longs métrages. La société possède trois studios d’animation à Paris, Angoulême et Valence.

Découvrez MIYU PRODUCTIONS à travers des projets comme : “The Hangman at home“, “300 000 kilomètres par seconde“, “27“, “Patrouille de France“, et “Careful“.

The hangman at home : Film d’animation expérimental en peinture animée, réalisé par Michelle et Uri Kranot. Co-produit par Late Love Production (Danemark), Floréal Films (France, VR) et l’ONF (Canada). En WIP XR au MIFA 2020.

The Hangman at Home est un poème visuel, adapté du texte éponyme du poète américain Carl Sandburg. C’est un micro portrait de l’humanité, dans toute sa complexité, où les protagonistes, au sein de leurs actes intimes, se retrouvent exposés et surveillés … par vous.

300 000 kilomètres par seconde : Film d’animation expérimental (monotype, cyanotype, pixilation, rotoscopie) réalisé par Clément Courcier. En Pitch MIFA 2020.

Une femme est à sa fenêtre, perdue dans ses pensées, lorsqu’un corps lumineux pénètre et éclate dans l’atmosphère. Prise dans la vibration de ce gigantesque feu d’artifice stellaire, elle part dans un voyage hors de son corps et hors du temps.

27 : Court-métrage en animation 2D numérique réalisé par Flóra Anna Buda. En Pitch MIFA 2020.

Alice a 27 ans et vit chez ses parents, elle n’a ni vie privée ni relation amoureuse. De retour à vélo de sa soirée d’anniversaire, elle a un accident. En sortant du coma, elle réalise qu’il est temps pour elle de partir.

Patrouille de France : Clip en animation 2D numérique réalisé par Emmanuel Lantam pour le label Les disque anonymes.

Clip d’Emmanuel Lantam pour le morceau « Patrouille de France / Dernier tour » du groupe France

Careful : Clip en animation 2D réalisé par Alice Saey. En coproduction avec De Nieuwe Oost.

Sur la carte sans frontières d’une planète magique, de petits êtres cueillent, brossent, tissent, pêchent et collectent des éléments de leur environnement naturel pour maintenir leur vie en groupe. Cet équilibre essentiel tourne au chaos dès lors qu’ils utilisent leurs découvertes à mauvais escient pour polir leur apparence individuelle.

MOOD FILMS

Fondée fin 2014 par Benjamin Bonnet, Mood Films Productions est une société de production qui a pour vocation d’accompagner de jeunes réalisateurs audacieux dans la production de leurs premiers courts-métrages de fiction en les intégrant pleinement au processus de fabrication de leurs films. La création d’un binôme efficace et solide est primordiale pour MOOD FILM afin de poser les bases d’une collaboration à long terme et de passer au long métrage avec ses auteurs in the modo… pour un cinéma engagé et expérimental.

Découvrez MOOD FILMS et le projet animation : “Les garçons bleus”.

Les garçons bleus : Projet documentaire animé de Francisco Bianchi, un jeune réalisateur Italo brésilien, ayant pour seul outil son stylo bille bleu et les réseaux sociaux (Instagram). L’idée étant à travers une animation en rotoscopie de tenter de dresser une cartographie de “qu’est-ce qu’être un homme aujourd’hui”? Francisco réalise une interview face caméra avec chaque protagoniste afin qu’il se dénude au sens propre comme au sens figuré. Il animera ensuite au stylo bille bleu pas moins de 600 dessins pour une durée de 1 minute par épisode pendant laquelle la voix off de chaque interviewé viendra enrichir son portrait.

La diffusion sur son compte Instagram @lesgarconsbleus d’un portrait par mois pendant 12 mois a démarré le 29 janvier 2020 à 14h à la manière d’un calendrier annuel de janvier à décembre chaque dernier mercredi du mois.

La série a été soutenue par le fond Talent du CNC et la SACEM pour la composition de la musique originale. Une version augmentée de 12*2 minutes a été pré-achétée par France Télévisions (Slash).

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous mettons en avant : MARMITA FILMS, MELOCOTON FILMS, MELTING PROD, MIYU PRODUCTIONS, MOOD FILMS. MARMITA FILMS Marmita Films est une est une maison indépendante de création cinématographique et audiovisuelle. Elle est basée à Bordeaux (33) et est soutenue par la Région Nouvelle-Aquitaine depuis 2011, dans le cadre de l’aide au programme d’activité des structures de production. Créée en 2010 par Martine Vidalenc, la société se consacre à la production de documentaires, de films d’animation et d’expériences interactives. Découvrez MARMITA FILMS à travers 2 projets : “Boriya” et “L’extraordinaire voyage de Marona”. • Boriya : Court-métrage d’animation franco-coréen réalisé par Min Sung Ah, avec l’aide du CNC (Contribution financière et CVS), de la Région Nouvelle-Aquitaine, le soutien d’ECLA Aquitaine et de la Korea Creative Content Agency. Un été, dans la campagne coréenne. Boriya, une fillette de 7 ans, s’ennuie dans la ferme familiale. Tout le monde est occupé, sauf elle, car c’est la saison des récoltes. Elle cherche désespérément quelqu’un avec qui jouer… mais rien ne se passe comme elle l’avait imaginé. • L’extraordinaire voyage de Marona : Long métrage d’animation de Anca Damian, en coproduction avec Aparte Film (Roumanie), Sacrebleu Production (France), et Mind Meets (Belgique). Distribution : Cinéma Public Films. Ventes internationales : Charades La chienne Marona se remémore ses différentes vies auprès des maîtres qui l’ont accueillis et offert un foyer. Avec eux, elle a partagé beaucoup d’affection et de belles et fascinantes histoires malgré les difficultés de la vie : un artiste acrobate, un ouvrier et une petite fille avec toute sa famille. Avec ses sens hyper développés et sa tendresse sans limites, Marona fait de sa vie de chienne un voyage extraordinaire. MELOCOTON FILMS Melocoton Films est une société de production créée en 2012 par Hélène Mitjavile et Théo Laboulandine. S’appuyant sur son activité de contenus audiovisuels et publicitaires, Melocoton soutient des projets d’auteurs audacieux, avec un intérêt tout particulier pour les coproductions internationales (Finlande, Hongrie, Croatie, Royaume-Uni, Suède, Argentine). Découvrez MELOCOTON FILMS et son projet animation : “SCALE”. • SCALE : Adapté d’une nouvelle de Will Self, écrit par Joseph Pierce et Nicolas Pleskof et réalisé par Joseph Pierce. Rotoscopie sur la base de prises de vues réelles et 3D – Couleur. Préachat Arte, soutenu par le CNC (FAIA aide au développement, contribution financière avant réalisation, CVS), la région Aquitaine, le département de la Charente, la région Auvergne-Rhône-Alpes, la région Grand Est et l’Eurométropole de Strasbourg Sur l’autoroute, Will perd le sens de l’échelle et fait une embardée. Alors que son addiction aux psychotropes s’amplifie de jour en jour, sa vie de famille est au bord du désastre. Will, face à ses démons, tente de terminer sa thèse et de remonter le fil des événements qui l’ont amené à cette lente déchéance. MELTING PRODUCTIONS Melting Productions est une société de production qui fabrique des dessins animés pour les petits et pour les grands ! A travers ses différentes productions et ses différents développements, que ce soit en prise de vue réelle ou en animation, Melting se positionne sur le marché comme un nouvel entrant capable de proposer des séries d’animation à plusieurs degrés de lecture ; conscient que la production de séries ado-adultes est encore très peu exploitée. Découvrez MELTING PRODUCTIONS et ses projets tels que : “Boys Boys Boys“, “Chicken of the dead“, “Mon copain le requin“, “Seniors 3000“, ou encore “Ultras“. • Boys Boys Boys : Réalisé par Valentine Vendroux et Clawdia Prolongeau, d’après une idée originale de Florent Guimberteau. En développement (Procirep) et séléctionné aux pitch Mifa. Boys boys boys a l’ambition d’aller à la rencontre d’un animal connu, poilu, dominant la chaîne alimentaire, possédant pouvoir, argent et parfois pistolets mais aussi, bien souvent, rien de tout cela… Beaucoup décrié ces derniers temps : l’homme (avec un petit « h »). • Chicken of the dead : Série en développement, écrite par Florent Guimberteau, Yacine Badday, et Ludovic Lefebvre. Suite à une lumineuse idée business, Dick Bernard, le magna de l’agro-alimentaire, génial inventeur du poulet Fifty Tasty hum… provoque une épidémie sans précédent et la transformation de tous ses consommateurs en poulets zombies. Nichée au cœur de la nature et des champs, la petite bourgade de Meatville devient alors le lieu d’une boucherie apocalyptique dans laquelle Dick va devoir affronter des hordes de zombies, sauver sa peau, conserver son magot et stopper la contagion. • Mon copain le requin : Série en développement écrite et réalisée par Cléo Biasini. Mon copain le requin est une intrusion dans la vacuité du quotidien d’un couple de deux trentenaires un peu paumés, à la frontière du freaks qui se connaissent depuis longtemps mais ont toujours du mal à se comprendre. D’un côté Albine, jeune femme lunaire et légèrement distraite. De l’autre Rocky, un requin râleur mais craintif sous ses faux airs de prédateur. • Seniors 3000 : Court-métrage réalisé par Julien David et écrite par Yacine Badday, Florent Guimberteau, Sébastien Ors, et Christophe Blanc. Une fusion biomécanique entre Marlène, secrétaire en poste depuis 30 ans et l’imprimante modèle x3000 va engendrer une nouvelle génération de travailleurs : les seniors 3000. La révolution du monde du travail est en marche !… • Ultras : Série en développement d’Irwin Fustec, écrite par Thibaud Kunstlinger, Louis Genevey, et Dylan Bendeks. Quatre supporters de foot tentent de prendre le contrôle de leur club, de leur ville, et du reste, si possible… MIYU PRODUCTIONS Créée en mai 2009 par Emmanuel-Alain Raynal, Miyu Productions est une société de production audiovisuelle spécialisée en animation et prises de vues réelles. Miyu produit des clips, des courts métrages et développe des projets de séries, de documentaires et de longs métrages. La société possède trois studios d’animation à Paris, Angoulême et Valence. Découvrez MIYU PRODUCTIONS à travers des projets comme : “The Hangman at home“, “300 000 kilomètres par seconde“, “27“, “Patrouille de France“, et “Careful“. • The hangman at home : Film d’animation expérimental en peinture animée, réalisé par Michelle et Uri Kranot. Co-produit par Late Love Production (Danemark), Floréal Films (France, VR) et l’ONF (Canada). En WIP XR au MIFA 2020. The Hangman at Home est un poème visuel, adapté du texte éponyme du poète américain Carl Sandburg. C’est un micro portrait de l’humanité, dans toute sa complexité, où les protagonistes, au sein de leurs actes intimes, se retrouvent exposés et surveillés … par vous. • 300 000 kilomètres par seconde : Film d’animation expérimental (monotype, cyanotype, pixilation, rotoscopie) réalisé par Clément Courcier. En Pitch MIFA 2020. Une femme est à sa fenêtre, perdue dans ses pensées, lorsqu’un corps lumineux pénètre et éclate dans l’atmosphère. Prise dans la vibration de ce gigantesque feu d’artifice stellaire, elle part dans un voyage hors de son corps et hors du temps. • 27 : Court-métrage en animation 2D numérique réalisé par Flóra Anna Buda. En Pitch MIFA 2020. Alice a 27 ans et vit chez ses parents, elle n’a ni vie privée ni relation amoureuse. De retour à vélo de sa soirée d’anniversaire, elle a un accident. En sortant du coma, elle réalise qu’il est temps pour elle de partir. • Patrouille de France : Clip en animation 2D numérique réalisé par Emmanuel Lantam pour le label Les disque anonymes. Clip d’Emmanuel Lantam pour le morceau « Patrouille de France / Dernier tour » du groupe France • Careful : Clip en animation 2D réalisé par Alice Saey. En coproduction avec De Nieuwe Oost. Sur la carte sans frontières d’une planète magique, de petits êtres cueillent, brossent, tissent, pêchent et collectent des éléments de leur environnement naturel pour maintenir leur vie en groupe. Cet équilibre essentiel tourne au chaos dès lors qu’ils utilisent leurs découvertes à mauvais escient pour polir leur apparence individuelle. MOOD FILMS Fondée fin 2014 par Benjamin Bonnet, Mood Films Productions est une société de production qui a pour vocation d’accompagner de jeunes réalisateurs audacieux dans la production de leurs premiers courts-métrages de fiction en les intégrant pleinement au processus de fabrication de leurs films. La création d’un binôme efficace et solide est primordiale pour MOOD FILM afin de poser les bases d’une collaboration à long terme et de passer au long métrage avec ses auteurs in the modo… pour un cinéma engagé et expérimental. Découvrez MOOD FILMS et le projet animation : “Les garçons bleus”. • Les garçons bleus : Projet documentaire animé de Francisco Bianchi, un jeune réalisateur Italo brésilien, ayant pour seul outil son stylo bille bleu et les réseaux sociaux (Instagram). L’idée étant à travers une animation en rotoscopie de tenter de dresser une cartographie de “qu’est-ce qu’être un homme aujourd’hui”? Francisco réalise une interview face caméra avec chaque protagoniste afin qu’il se dénude au sens propre comme au sens figuré. Il animera ensuite au stylo bille bleu pas moins de 600 dessins pour une durée de 1 minute par épisode pendant laquelle la voix off de chaque interviewé viendra enrichir son portrait. La diffusion sur son compte Instagram @lesgarconsbleus d’un portrait par mois pendant 12 mois a démarré le 29 janvier 2020 à 14h à la manière d’un calendrier annuel de janvier à décembre chaque dernier mercredi du mois. La série a été soutenue par le fond Talent du CNC et la SACEM pour la composition de la musique originale. Une version augmentée de 12*2 minutes a été pré-achétée par France Télévisions …

19 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Appel du secteur culturel européen : Investir dans la prochaine génération européenne en investissant dans la culture

Le SPI, à travers Eurocinéma, s’associe à l’appel des organisations des secteurs culturels et créatifs européens visant à alerter les dirigeants européens, quant à la nécessité de mettre en place des mesures de soutien solides pour faire face à la crise sanitaire. Retrouvez le texte commun, ainsi que ses signataires ci-dessous.

Investing in Europe’s next generation by investing in culture

As the EU has started discussing the proposed recovery plan, 94 organisations from across Europe’s cultural and creative sectors are uniting their voices to alert EU leaders : our sector needs strong and systemic support measures to recover from this crisis.

As it is now well understood, the cultural and creative world is one of the first and hardest hit by the crisis. According to the Commission’s own estimates, some parts of our sector – which accounts for €509bn in value added to GDP and over 12 million full-time jobs – are expected to lose up to 80% of their turnover in the 2nd quarter of 2020.

We have a higher than average percentage of self-employed workers, freelancers, micro-businesses and youth employment, which makes us particularly vulnerable in times of crisis.

As the European economy is slowly restarting, it is far from business as usual. Cultural actors are gradually resuming their activities, but all have to implement strict safety rules which means they won’t be operating at full capacity for the foreseeable future and are therefore facing challenging economic decisions. From individual creators and creative workers all the way to big production and media companies, the whole value chain is impacted.

And yet the recovery package announced by the Commission on 27 May does not reflect the reality of the cultural and creative sector, despite the encouraging messages by the Commission and the strong position taken by the European Parliament. The proposal on the table falls way short of our sector’s expectations:

  • Despite being identified as one of 14 of the hardest hit ecosystems, there is neither a sector specific instrument for culture, nor a clear indication on whether or how we can benefit from different instruments. The section on REACT-EU in the Commission’s Communication1 refers to culture, but there is no guarantee that we will receive appropriate support.

  • As for Creative Europe, the EU’s only programme specifically dedicated to the cultural and creative sec- tor, the Commission’s announcement is a missed opportunity and a real disappointment. Along with the budget dedicated to education and youth, the budget dedicated to culture is the only one to decrease compared to the Commission’s own 2018 proposal, and it is a far cry from the European parliament’ position2 . Quite ironic for a recovery plan named “Next Generation EU”.

    To bring the EU’s support for our sector to a level that is commensurate with its contribution to the EU’s economy and its citizens’ wellbeing, we call on Member States and the European Parliament:

    To push for a substantial increase of the Creative Europe budget. We fully support the European Parlia- ment’s proposal for a budget of €2.8bn.

    To guarantee that the entire sector can benefit appropriately from the recovery plan’s various instru- ments.

    Let’s invest in culture to show the EU’s #NextGeneration that we really care about their future!

1 https://ec.europa.eu/info/sites/info/files/communication-europe-moment-repair-prepare-next-generation.pdf

2 The European Commission is proposing €1.5bn for Creative Europe (€1.7 in 2018 prices) while it proposed 1.85bn in 2018 (€1.6bn in today’s prices).

Le SPI, à travers Eurocinéma, s’associe à l’appel des organisations des secteurs culturels et créatifs européens visant à alerter les dirigeants européens, quant à la nécessité de mettre en place des mesures de soutien solides pour faire face à la crise sanitaire. Retrouvez le texte commun, ainsi que ses signataires ci-dessous. Investing in Europe’s next generation by investing in culture As the EU has started discussing the proposed recovery plan, 94 organisations from across Europe’s cultural and creative sectors are uniting their voices to alert EU leaders : our sector needs strong and systemic support measures to recover from this crisis. As it is now well understood, the cultural and creative world is one of the first and hardest hit by the crisis. According to the Commission’s own estimates, some parts of our sector – which accounts for €509bn in value added to GDP and over 12 million full-time jobs – are expected to lose up to 80% of their turnover in the 2nd quarter of 2020. We have a higher than average percentage of self-employed workers, freelancers, micro-businesses and youth employment, which makes us particularly vulnerable in times of crisis. As the European economy is slowly restarting, it is far from business as usual. Cultural actors are gradually resuming their activities, but all have to implement strict safety rules which means they won’t be operating at full capacity for the foreseeable future and are therefore facing challenging economic decisions. From individual creators and creative workers all the way to big production and media companies, the whole value chain is impacted. And yet the recovery package announced by the Commission on 27 May does not reflect the reality of the cultural and creative sector, despite the encouraging messages by the Commission and the strong position taken by the European Parliament. The proposal on the table falls way short of our sector’s expectations: Despite being identified as one of 14 of the hardest hit ecosystems, there is neither a sector specific instrument for culture, nor a clear indication on whether or how we can benefit from different instruments. The section on REACT-EU in the Commission’s Communication1 refers to culture, but there is no guarantee that we will receive appropriate support. As for Creative Europe, the EU’s only programme specifically dedicated to the cultural and creative sec- tor, the Commission’s announcement is a missed opportunity and a real disappointment. Along with the budget dedicated to education and youth, the budget dedicated to culture is the only one to decrease compared to the Commission’s own 2018 proposal, and it is a far cry from the European parliament’ position2 . Quite ironic for a recovery plan named “Next Generation EU”. To bring the EU’s support for our sector to a level that is commensurate with its contribution to the EU’s economy and its citizens’ wellbeing, we call on Member States and the European Parliament: • To push for a substantial increase of the Creative Europe budget. We fully support the European Parlia- ment’s proposal for a budget of €2.8bn. • To guarantee that the entire sector can benefit appropriately from the recovery plan’s various instru- ments. Let’s invest in culture to show the EU’s #NextGeneration that we really care about their future! 1 https://ec.europa.eu/info/sites/info/files/communication-europe-moment-repair-prepare-next-generation.pdf 2 The European Commission is proposing €1.5bn for Creative Europe (€1.7 in 2018 prices) while it proposed 1.85bn in 2018 (€1.6bn in today’s …

19 juin 2020Actus-SPIactus-spi
MIFA 2020 : Le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous mettons en avant : IKKI FILMS, KAZAK PRODUCTIONS, LAÏDAK FILMS, LES FILMS DE LA DÉCOUVERTE, LES FILMS DU CYGNE.

IKKI FILMS

Ikki Films est une société qui produit et coproduit depuis 2011 des films originaux et innovants tant en animation qu’en prise de vue réelle. L’équipe se compose de Nidia Santiago et Edwina Liard, productrices, Juliette Marquet, chargée de production, et Alejandra López Desneux, assistante de production.

Découvrez IKKI FILMS au travers de projets tels que : “Mouton, Loup et tasse de thé”, “L’Amour en plan”, “Terra Incognita”, “Horacio”, et “Métaphysique des tubes”.

Mouton, Loup et tasse de thé : De Marion Lacourt. Une production Ikki Films, en coproduction avec Alpaga Films. Avec le soutien de l’Association Beaumarchais – SACD, de l’Animation Workshop, de Ciclic – Région Centre-Val de Loire, de la Région Grand Est, d’Arte, de la Procirep, de l’Angoa, du CNC – aide avant réalisation et CVS, et de la SACEM. Distribution : Varicoloured

La nuit, tandis que les membres d’une famille s’adonnent à de curieux rituels avant de s’endormir, un enfant invoque un loup au fond d’une boîte cachée sous son lit. D’inquiétants moutons assiègent alors la porte de sa chambre…

L’Amour en plan : Écrit et réalisé par Claire Sichez. L’univers graphique a été créé par Fanny Blanc. Le court métrage aborde le sujet des relations familiales conflictuelles sous forme d’un drame teinté de comédie où les membres de la famille doivent faire face aux problèmes qui les rongent et se réinventer. Claire Sichez, sera en résidence du 2 juin au 3 septembre 2020.

Après 20 ans de vie commune, Carine et Fabrice, la quarantaine, ont un quotidien bien réglé. Chaque soir, ils rentrent chez eux avec leur fils, Simon, 13 ans, et dînent la télévision allumée. Un jour, Carine, qui ne supporte plus cette immobilité, décide de construire un mur qui sépare leur maison en deux.

Terra Incognita : De Pernille Kjaer et Adrian Dexter. Scénario de Pernille Kjaer et Adrian Dexter. Une production Ikki Films et Insolence Productions. Le projet a reçu les soutiens du CNC, des régions Ciclic – Région Centre-Val de Loire, PACA et Rhône Alpes.

Sur une île mystérieuse oubliés du temps, des êtres immortels mènent une vie pré civilisée et passent leurs journées dans une léthargie hédoniste jusqu’à ce que la civilisation moderne débarque.

Horacio : Un projet d’animation de Caroline Cherrier. Avec le soutien du CNC – FAIA (développement), CVS et Aide au Programme, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de l’Animation Workshop, de la résidence d’écriture de Meknès, de la SACD (écriture et production), de la Procirep et de l’Angoa.

Guillaume tue Horacio « parce qu’il criait trop fort ». Un fait divers tragi-comique comme on en lit parfois dans les journaux. Lors de son procès, la pauvreté du mobile déconcerte. Maintenu en prison une dizaine d’années, Guillaume y oublie peu à peu cette histoire de type qui crie trop fort qui ne convainc personne. Quand il sort, quelqu’un hurle à nouveau.

Métaphysique des tubes : Long métrage du réalisateur Liane-Cho Han. Coproduction Maybe Movies. Adaptation du livre éponyme d’Amelie Nothomb. Grace au pitch le film sera soutenu pour son écriture et développement par CICLIC-Centre Val de Loire.

Amélie, une enfant belge de deux ans et demi, née au Japon, pense qu’elle est Dieu. Depuis son point de vue acerbe et lucide, elle croit pouvoir faire pousser les plantes dans le jardin ou traverser la mer à pieds. Elle pense être au centre du monde et n’a qu’un seul but : convertir le monde à son culte. Hélas, le pouvoir d’Amélie la toute-puissante semble limité à sa nounou, Nishio-San. Entre sa famille qui la traite comme tous les autres enfants et sa nounou qui la divinise, le choix est clair : Amélie sera Japonaise. Mais son monde va tomber en miettes à l’âge de trois ans, lorsqu’elle apprend qu’elle va devoir quitter le Japon…

KAZAK PRODUCTIONS

Kazak Productions est une société de production de courts et de longs métrages cinéma et animation, largement récompensés en France et à l’étranger (Cannes, César..). Amaury OVISE et Jean-Christophe REYMOND en sont respectivement les producteurs et producteurs associé.

Découvrez KAZAK PRODUCTIONS avec 3 projets : “Genius Loci”, “Louise et la légende du serpent à plumes”, et “Selfish”.

Genius Loci : Réalisé par Adrien Merigeau. Avec le soutien de Libre court – France 3 / Folimage / CNC – Centre national du cinéma et de l’image animée / Région Auvergne-Rhône-Alpes / PROCIREP ANGOA.

Une nuit, Reine, jeune personne solitaire, voit dans le chaos urbain un mouvement vivant et brillant, une sorte de guide...

Louise et la légende du serpent à plumes : Réalisé par Hefang Wei et écrit par Particia Mortagne. Diffuseur Canal+. Livraison septembre 2021.

LOUISE, 9 ans, vient d’emménager avec sa famille à Mexico. Mais la fillette a du mal à s’y faire et se confie à Keza, son lézard adoré. Lorsque celui-ci s’échappe, il entraîne Louise vers d’incroyables aventures à la découverte du Mexique et de ses habitants. Au fil des rencontres, Louise réalise que Keza est peut-être la réincarnation du dieu Quetzalcoatl !

Selfish : Réalisé par Nicolas Trotignon et Mathieu Vernerie. En cours d’écriture.

Dans la mégalopole de Selfish vit un peuple cosmopolite de poissons accrochés à leurs smartphones. Ils sont maladroits, râleurs, égoïstes mais aussi parfois tendres et fragiles. On pourrait presque se reconnaître dans leurs yeux de merlans frits.

LAÏDAK FILMS

Laïdak Films est une jeune société de production fondée en 2015 et basée à Berlin et Paris. La société développe divers projets dans l’animation, mais également la réalité virtuelle, et les prises de vues réelles.

Découvrez LAÏDAK FILMS grâce à “Maman pleut des cordes”, son projet d’envergure.

Maman pleut des cordes : Réalité par Hugo de Faucompret. Il s’agit d’un spécial TV jeunesse de 26 minutes.

Jeanne, 8 ans, est une petite fille au caractère bien trempé. Sa mère, en revanche, traverse une dépression ; elle décide de se faire aider et doit envoyer sa fille passer les vacances de noël chez sa Mémé Oignon. Jeanne part en traînant les pieds : à la campagne, il n’y a rien à faire, et la maison de Mémé pue l’oignon ! Pourtant, contre toute attente, les vacances s’avèrent être une véritable aventure.

LES FILMS DE LA DÉCOUVERTE

La société Les Films de la découverte créée par Arnaud Clavelin qui produit depuis 2010 des programmes audiovisuels pour la télévision. La captation et la recréation de spectacle vivant, le documentaire, les séries d’animation ou les nouveaux médias sont autant de genres que nous explorons et que nous cherchons à entremêler au service de notre créativité.

Découvrez LES FILMS DE LA DÉCOUVERTE PRODUCTIONS avec les projets suivants : “Brownie”, “Les fables de Sacha”, et “Emotikid” et “Notre Histoire”.

Brownie : Court-métrage en court de fabrication et en coproduction avec Big Company. iffusion prévue en 2021.

Brownie est un petit appareil photo argentique qui, après de belles années aux mains d’un vieux photographe passionné, talentueux et précautionneux, se retrouve chez un brocanteur. Voué à l’abandon sur une étagère poussiéreuse à cause de l’émergence des nouveaux appareils numériques, il sombre dans l’oubli et devient le petit appareil grincheux dont personne ne veut. Jusqu’à l’arrivée de Lucie, une fougueuse et maladroite petite fille de 8 ans. Contre toute attente, une complicité va naître. Et à l’âge où chaque détail est important, cette amitié va donner toute sa valeur à la notion de souvenir, substance même de la photographie.

Les fables de Sacha : Chaque jour après la récré, c’est la même chose : Sacha et ses copains ont du mal à revenir au calme, trop occupés à essayer de résoudre un différend survenu entre eux un peu plus tôt. Alors pour couper court aux bavardages, la maîtresse envoie Sacha au tableau réciter la fable du jour. Elle s’élance mais rapidement, c’est le grand trou ! Mais il en faut plus pour impressionner Sacha. Elle a de l’imagination à revendre et n’est pas du genre à baisser les bras. Là voilà qui invente en direct la suite de l’histoire, transposant dans son récit son problème du jour avec ses copains. Elle donne vie à des scènes loufoques dans lesquelles les animaux de la fable, devenus avatars de ses amis, s’accommodent d’objets anachroniques issus du quotidien des enfants. Avec habileté, Sacha retombe finalement sur la morale de la fable qui l’aidera en même temps à résoudre son problème une fois revenue à sa place. Quel talent !

Emotikid : En coproduction avec YN – LA CUISINE AUX IMAGES

EmotiKid est une série d’animation pour apprendre aux enfants à reconnaître et nommer les émotions, le tout sans mièvreries mais avec beaucoup d‘humour et de poésie. Chaque jour, notre héros, un jeune enfant semblable à tous les autres, est confronté à une situation du quotidien qui le met dans un état émotionnel qu’il ne comprend pas. Ses émotions se retrouvent sans dessus-dessous et son corps fait n’importe quoi ! Son frère n’a pas voulu lui laisser la console ? Il voit rouge et tape du pied en criant. Le maître l’interroge devant tout le monde en classe ? Il ne peut plus respirer et une boule se forme au fond de sa gorge. Personne ne lui prête attention ? Il gigote dans tous les sens et n’arrive plus à se concentrer. Mais il n’est pas question de baisser les bras ! Car les enfants peuvent être leur propre héros et se sortir de situations tout seuls…

Notre Histoire : Une série écrite par Caroline Puig-Grenetier et réalisée par Jean-Philippe Pollien. Coproduction Les Films de la Découverte et Big Company, avec le soutien de la Région Rhône-Alpes et du CNC.

Et si l’Histoire, ce n’était pas que des dates, des frises chronologiques et des manuels scolaires ? Et si l’Histoire n’avait pas un si grand « H » qu’on le croit ? Et si l’Histoire, c’était celle qui est vue à travers le regard des enfants eux-mêmes ? Léo a construit un Nautilus qui voyage à travers le temps ! Il embarque alors avec ses amis à travers les âges. Leur but : découvrir l’Histoire, pas seulement celle que l’on apprend dans les livres, mais en allant à la rencontre des enfants au fil des siècles.

LES FILMS DU CYGNE

La société Les Films du cygne créée par Alexandre Charlet et Jonathan Hazan est spécialisée l’animation, le court-métrage, le long-métrage, le documentaire, et la fiction.

Découvrez LES FILMS DU CYGNE avec le long métrage d’animation “Même les souris vont au paradis”.

Même les souris vont au paradis : De Denisa Grimmová et Jan Bubeniček. En sélection officielle au Festival international du film d’animation d’Annecy
dans une nouvelle catégorie PREVIEW. Une coproduction Fresh Films (République Tchèque), Les Films du Cygne (France), Cinemart (Slovaquie) et Animoon (Pologne). Distribué par Gébéka Films et vendu à l’international par Charades. Sortie prévue 2021.

C’est l’histoire de deux ennemis mortels : une petite souris et un renard, qui après un malencontreux accident, se retrouvent au paradis. Ils ont perdu leurs instincts et deviennent les meilleurs amis du monde. Ils souhaiteraient rester ensemble en revenant sur terre, mais ils renaissent dans la peau de l’autre. Leur amitié sera assez forte pour surmonter ce qui paraît impossible ?

Le film Même les Souris vont au Paradis parle d’espoir, c’est une quête d’amour et de courage. Mais il est aussi question de surmonter les préjugés et les blessures anciennes. C’est l’histoire de deux marginaux, qui ne correspondent pas à ce qu’on attend d’eux et qui traversent le monde de manière plutôt inhabituelle : toujours en retard ou en avance, passant par des chemins de traverse et comptant sur la chance, plutôt qu’en respectant les règles. C’est peut-être la raison pour laquelle dans ce monde immense, ils finissent par se rencontrer, bien qu’aucun d’eux ne l’ait souhaité au départ. Seuls, ils sont très vulnérables, mais quand ils se tiennent par les pattes, ils peuvent révolutionner le monde, le paradis, et peut-être même changer les lois de la nature.

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous mettons en avant : IKKI FILMS, KAZAK PRODUCTIONS, LAÏDAK FILMS, LES FILMS DE LA DÉCOUVERTE, LES FILMS DU CYGNE. IKKI FILMS Ikki Films est une société qui produit et coproduit depuis 2011 des films originaux et innovants tant en animation qu’en prise de vue réelle. L’équipe se compose de Nidia Santiago et Edwina Liard, productrices, Juliette Marquet, chargée de production, et Alejandra López Desneux, assistante de production. Découvrez IKKI FILMS au travers de projets tels que : “Mouton, Loup et tasse de thé”, “L’Amour en plan”, “Terra Incognita”, “Horacio”, et “Métaphysique des tubes”. • Mouton, Loup et tasse de thé : De Marion Lacourt. Une production Ikki Films, en coproduction avec Alpaga Films. Avec le soutien de l’Association Beaumarchais – SACD, de l’Animation Workshop, de Ciclic – Région Centre-Val de Loire, de la Région Grand Est, d’Arte, de la Procirep, de l’Angoa, du CNC – aide avant réalisation et CVS, et de la SACEM. Distribution : Varicoloured La nuit, tandis que les membres d’une famille s’adonnent à de curieux rituels avant de s’endormir, un enfant invoque un loup au fond d’une boîte cachée sous son lit. D’inquiétants moutons assiègent alors la porte de sa chambre… • L’Amour en plan : Écrit et réalisé par Claire Sichez. L’univers graphique a été créé par Fanny Blanc. Le court métrage aborde le sujet des relations familiales conflictuelles sous forme d’un drame teinté de comédie où les membres de la famille doivent faire face aux problèmes qui les rongent et se réinventer. Claire Sichez, sera en résidence du 2 juin au 3 septembre 2020. Après 20 ans de vie commune, Carine et Fabrice, la quarantaine, ont un quotidien bien réglé. Chaque soir, ils rentrent chez eux avec leur fils, Simon, 13 ans, et dînent la télévision allumée. Un jour, Carine, qui ne supporte plus cette immobilité, décide de construire un mur qui sépare leur maison en deux. • Terra Incognita : De Pernille Kjaer et Adrian Dexter. Scénario de Pernille Kjaer et Adrian Dexter. Une production Ikki Films et Insolence Productions. Le projet a reçu les soutiens du CNC, des régions Ciclic – Région Centre-Val de Loire, PACA et Rhône Alpes. Sur une île mystérieuse oubliés du temps, des êtres immortels mènent une vie pré civilisée et passent leurs journées dans une léthargie hédoniste jusqu’à ce que la civilisation moderne débarque. • Horacio : Un projet d’animation de Caroline Cherrier. Avec le soutien du CNC – FAIA (développement), CVS et Aide au Programme, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de l’Animation Workshop, de la résidence d’écriture de Meknès, de la SACD (écriture et production), de la Procirep et de l’Angoa. Guillaume tue Horacio « parce qu’il criait trop fort ». Un fait divers tragi-comique comme on en lit parfois dans les journaux. Lors de son procès, la pauvreté du mobile déconcerte. Maintenu en prison une dizaine d’années, Guillaume y oublie peu à peu cette histoire de type qui crie trop fort qui ne convainc personne. Quand il sort, quelqu’un hurle à nouveau. • Métaphysique des tubes : Long métrage du réalisateur Liane-Cho Han. Coproduction Maybe Movies. Adaptation du livre éponyme d’Amelie Nothomb. Grace au pitch le film sera soutenu pour son écriture et développement par CICLIC-Centre Val de Loire. Amélie, une enfant belge de deux ans et demi, née au Japon, pense qu’elle est Dieu. Depuis son point de vue acerbe et lucide, elle croit pouvoir faire pousser les plantes dans le jardin ou traverser la mer à pieds. Elle pense être au centre du monde et n’a qu’un seul but : convertir le monde à son culte. Hélas, le pouvoir d’Amélie la toute-puissante semble limité à sa nounou, Nishio-San. Entre sa famille qui la traite comme tous les autres enfants et sa nounou qui la divinise, le choix est clair : Amélie sera Japonaise. Mais son monde va tomber en miettes à l’âge de trois ans, lorsqu’elle apprend qu’elle va devoir quitter le Japon… KAZAK PRODUCTIONS Kazak Productions est une société de production de courts et de longs métrages cinéma et animation, largement récompensés en France et à l’étranger (Cannes, César..). Amaury OVISE et Jean-Christophe REYMOND en sont respectivement les producteurs et producteurs associé. Découvrez KAZAK PRODUCTIONS avec 3 projets : “Genius Loci”, “Louise et la légende du serpent à plumes”, et “Selfish”. • Genius Loci : Réalisé par Adrien Merigeau. Avec le soutien de Libre court – France 3 / Folimage / CNC – Centre national du cinéma et de l’image animée / Région Auvergne-Rhône-Alpes / PROCIREP ANGOA. Une nuit, Reine, jeune personne solitaire, voit dans le chaos urbain un mouvement vivant et brillant, une sorte de guide… • Louise et la légende du serpent à plumes : Réalisé par Hefang Wei et écrit par Particia Mortagne. Diffuseur Canal+. Livraison septembre 2021. LOUISE, 9 ans, vient d’emménager avec sa famille à Mexico. Mais la fillette a du mal à s’y faire et se confie à Keza, son lézard adoré. Lorsque celui-ci s’échappe, il entraîne Louise vers d’incroyables aventures à la découverte du Mexique et de ses habitants. Au fil des rencontres, Louise réalise que Keza est peut-être la réincarnation du dieu Quetzalcoatl ! • Selfish : Réalisé par Nicolas Trotignon et Mathieu Vernerie. En cours d’écriture. Dans la mégalopole de Selfish vit un peuple cosmopolite de poissons accrochés à leurs smartphones. Ils sont maladroits, râleurs, égoïstes mais aussi parfois tendres et fragiles. On pourrait presque se reconnaître dans leurs yeux de merlans frits. LAÏDAK FILMS Laïdak Films est une jeune société de production fondée en 2015 et basée à Berlin et Paris. La société développe divers projets dans l’animation, mais également la réalité virtuelle, et les prises de vues réelles. Découvrez LAÏDAK FILMS grâce à “Maman pleut des cordes”, son projet d’envergure. • Maman pleut des cordes : Réalité par Hugo de Faucompret. Il s’agit d’un spécial TV jeunesse de 26 minutes. Jeanne, 8 ans, est une petite fille au caractère bien trempé. Sa mère, en revanche, traverse une dépression ; elle décide de se faire aider et doit envoyer sa fille passer les vacances de noël chez sa Mémé Oignon. Jeanne part en traînant les pieds : à la campagne, il n’y a rien à faire, et la maison de Mémé pue l’oignon ! Pourtant, contre toute attente, les vacances s’avèrent être une véritable aventure. LES FILMS DE LA DÉCOUVERTE La société Les Films de la découverte créée par Arnaud Clavelin qui produit depuis 2010 des programmes audiovisuels pour la télévision. La captation et la recréation de spectacle vivant, le documentaire, les séries d’animation ou les nouveaux médias sont autant de genres que nous explorons et que nous cherchons à entremêler au service de notre créativité. Découvrez LES FILMS DE LA DÉCOUVERTE PRODUCTIONS avec les projets suivants : “Brownie”, “Les fables de Sacha”, et “Emotikid” et “Notre Histoire”. • Brownie : Court-métrage en court de fabrication et en coproduction avec Big Company. iffusion prévue en 2021. Brownie est un petit appareil photo argentique qui, après de belles années aux mains d’un vieux photographe passionné, talentueux et précautionneux, se retrouve chez un brocanteur. Voué à l’abandon sur une étagère poussiéreuse à cause de l’émergence des nouveaux appareils numériques, il sombre dans l’oubli et devient le petit appareil grincheux dont personne ne veut. Jusqu’à l’arrivée de Lucie, une fougueuse et maladroite petite fille de 8 ans. Contre toute attente, une complicité va naître. Et à l’âge où chaque détail est important, cette amitié va donner toute sa valeur à la notion de souvenir, substance même de la photographie. • Les fables de Sacha : Chaque jour après la récré, c’est la même chose : Sacha et ses copains ont du mal à revenir au calme, trop occupés à essayer de résoudre un différend survenu entre eux un peu plus tôt. Alors pour couper court aux bavardages, la maîtresse envoie Sacha au tableau réciter la fable du jour. Elle s’élance mais rapidement, c’est le grand trou ! Mais il en faut plus pour impressionner Sacha. Elle a de l’imagination à revendre et n’est pas du genre à baisser les bras. Là voilà qui invente en direct la suite de l’histoire, transposant dans son récit son problème du jour avec ses copains. Elle donne vie à des scènes loufoques dans lesquelles les animaux de la fable, devenus avatars de ses amis, s’accommodent d’objets anachroniques issus du quotidien des enfants. Avec habileté, Sacha retombe finalement sur la morale de la fable qui l’aidera en même temps à résoudre son problème une fois revenue à sa place. Quel talent ! • Emotikid : En coproduction avec YN – LA CUISINE AUX IMAGES EmotiKid est une série d’animation pour apprendre aux enfants à reconnaître et nommer les émotions, le tout sans mièvreries mais avec beaucoup d‘humour et de poésie. Chaque jour, notre héros, un jeune enfant semblable à tous les autres, est confronté à une situation du quotidien qui le met dans un état émotionnel qu’il ne comprend pas. Ses émotions se retrouvent sans dessus-dessous et son corps fait n’importe quoi ! Son frère n’a pas voulu lui laisser la console ? Il voit rouge et tape du pied en criant. Le maître l’interroge devant tout le monde en classe ? Il ne peut plus respirer et une boule se forme au fond de sa gorge. Personne ne lui prête attention ? Il gigote dans tous les sens et n’arrive plus à se concentrer. Mais il n’est pas question de baisser les bras ! Car les enfants peuvent être leur propre héros et se sortir de situations tout seuls… • Notre Histoire : Une série écrite par Caroline Puig-Grenetier et réalisée par Jean-Philippe Pollien. Coproduction Les Films de la Découverte et Big Company, avec le soutien de la Région Rhône-Alpes et du CNC. Et si l’Histoire, ce n’était pas que des dates, des frises chronologiques et des manuels scolaires ? Et si l’Histoire n’avait pas un si grand « H » qu’on le croit ? Et si l’Histoire, c’était celle qui est vue à travers le regard des enfants eux-mêmes ? Léo a construit un Nautilus qui voyage à travers le temps ! Il embarque alors avec ses amis à travers les âges. Leur but : découvrir l’Histoire, pas seulement celle que l’on apprend dans les livres, mais en allant à la rencontre des enfants au fil des siècles. LES FILMS DU CYGNE La société Les Films du cygne créée par Alexandre Charlet et Jonathan Hazan est spécialisée l’animation, le court-métrage, le long-métrage, le documentaire, et la fiction. Découvrez LES FILMS DU CYGNE avec le long métrage d’animation “Même les souris vont au paradis”. • Même les souris vont au paradis : De Denisa Grimmová et Jan Bubeniček. En sélection officielle au Festival international du film d’animation d’Annecy dans une nouvelle catégorie PREVIEW. Une coproduction Fresh Films (République Tchèque), Les Films du Cygne (France), Cinemart (Slovaquie) et Animoon (Pologne). Distribué par Gébéka Films et vendu à l’international par Charades. Sortie prévue 2021. C’est l’histoire de deux ennemis mortels : une petite souris et un renard, qui après un malencontreux accident, se retrouvent au paradis. Ils ont perdu leurs instincts et deviennent les meilleurs amis du monde. Ils souhaiteraient rester ensemble en revenant sur terre, mais ils renaissent dans la peau de l’autre. Leur amitié sera assez forte pour surmonter ce qui paraît impossible ? Le film Même les Souris vont au Paradis parle d’espoir, c’est une quête d’amour et de courage. Mais il est aussi question de surmonter les préjugés et les blessures anciennes. C’est l’histoire de deux marginaux, qui ne correspondent pas à ce qu’on attend d’eux et qui traversent le monde de manière plutôt inhabituelle : toujours en retard ou en avance, passant par des chemins de traverse et comptant sur la chance, plutôt qu’en respectant les règles. C’est peut-être la raison pour laquelle dans ce monde immense, ils finissent par se rencontrer, bien qu’aucun d’eux ne l’ait souhaité au départ. Seuls, ils sont très vulnérables, mais quand ils se tiennent par les pattes, ils peuvent révolutionner le monde, le paradis, et peut-être même changer les lois de la …

18 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
MIFA 2020 : Le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous vous présentons : COSMIC PRODUCTIONS, DONCVOILA PRODUCTIONS, EVERYBODY ON DECK PRODUCTIONS, FOLLE ALLURE FILMS, GIRELLE PRODUCTIONS.

COSMIC PRODUCTIONS

Cosmic Productions est une société de productions créée par Raphaël CATHELAND. Elle édite des programmes TV et cinématographiques originaux.

Découvrez COSMIC PRODUCTIONS avec 3 projets d’animation actuellement en développement : “Le Prince des Nuages” (série) / “Biguden” (série) et “Tudy” (long métrage).

Le Prince des nuages : Le futur de notre Planète dépend de ce qu’en comprennent les jeunes générations. Myrtille, Tom et Tristam, trois enfants réfugiés dans un village perché sur un nuage, vont devoir décrypter les mécanismes qui régissent notre climat pour lutter contre les desseins d’un tyran assoiffé de pouvoir. Dans leur quête, ils seront amenés à découvrir comment fonctionne notre planète et ainsi apprendre à l’aimer et à la protéger.

Biguden : Alors qu’on les croyait disparues pour toujours, l’arrivée inopinée d’un mystérieux enfant sur les rivages du Pouec sur les rivages de l’Atlantique va réveiller les créatures mythiques endormies depuis des siècles. Et avec leur retour, c’est toute la vie locale qui va se retrouver bouleversée. La magie fait son grand retour dans notre monde !

Tudy : Le vaste océan est un endroit d’aventures et de mystères. Tudy, une jeune vedette du sauvetage en mer, va choisir de partir affronter le grand large. En chemin, elle va faire des rencontres extraordinaires et devra se confronter à la terrible légende des mers : la Vague Scélérate.

DONCVOILA PRODUCTIONS

Doncvoilà Productions est une société de production de films en animation créée par Virginie GIACHINO.

Découvrez DONCVOILA PRODUCTIONS à travers 2 projets : “Jean” et “Drôles d’oiseaux“.

Jean : Court-métrage de Marion Auvin, sélectionné au Prix André Martin (MIFA 2020). Film produit par Virginie Giachino et Joris Clerté avec le soutien de la Région des Pays de la Loire, en partenariat avec le CNC.

Drôles d’oiseaux : Unitaire de Charlie Belin. Une coproduction Camera Lucida et Doncvoilà Productions, avec la participation de France Télévisions et le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée, de la Région des Pays de Loire, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Procirep Angoa et de la Résidence Internationale d’Écriture pour le Film d’Animation à l’Abbaye de Fontevraud (Nef Animation). Ventes internationale : Miam !

EVERYBODY ON DECK PRODUCTIONS

Everybody On Deck Productions est une société de production de long-métrages, court-métrages, séries, fictions, documentaires et animations créée par Didier Creste, Gaelle Bayssière-Rapp, et Bernard Rapp. Everybody On Deck Productions est lauréat du Prix Daniel Toscan du Plantier 2013 et Troisième Meilleur Producteur français de série télé de l’année
aux Trophées du Film Français 2016.

Découvrez EVERYBODY ON DECK PRODUCTIONS au travers de 3 projets, à savoir le long-métrage d’animation “Mars Express“, l’unitaire “Margot et le robot“, ainsi que “Lastman L’Onde de Choc” saison 1.

Mars Express : Réalisé par Jérémie Périn, écrit par Jérémie Périn et Laurent Sarfati. Production Studio Je Suis Bien Content.

Aline Ruby, détective privée obstinée, et Carlos Rivera, réplique androïde de son partenaire décédé voici cinq ans, se lancent dans une course contre la montre à travers Mars. Ils doivent retrouver Jun Chow, simple étudiante en cybernétique en fuite, avant que les mercenaires assassins qui sont à ses trousses ne l’abattent.

Margot et le robot : Réalisé par Nicolas Rendu, écrit par Nicolas Rendu et Adriana Soreil. Auteur graphique Thomas Baas. Studio : 2 Minutes.

Deux extraterrestres cruels veulent asservir la population d’Aquaville !!! Enfin, ils veulent surtout prouver à leurs parents qu’ils sont capables de diriger une invasion… Observant les Terriens, ils attaquent leur moindre faiblesse grâce à Gabriel, robot à l’apparence parfaite de petit garçon, infiltré parmi les habitants. Mais au contact de Margot, petite fille intelligente et émotive, Gabriel a découvert la valeur des sentiments humains… Devenus amis, ils sabotent en- semble les plans des aliens tout en leur faisant croire que Gabriel leur reste loyal. Mission impossible ? Pas quand l’intelligence artificielle et humaine s’allient… Pas pour Margot et le Robot.

Lastman L’Onde de Choc : réalisé par Jérémie Hoarau, écrit par Laurent Sarfati, Jérémie Hoarau, Bastien Vivès, Adriana Soreil et Clotilde Bruneau. Série télé en développement pour France Télévisions / Slash, la suite de la saison 1 ! Studio Je Suis Bien Content.

Neuf ans après leur triomphe historique, Richard et Duke ont reformé leur duo et les revoici en finale de la FFFC. Mais ce combat, suivi avec passion dans le monde entier, prend un tour complètement imprévisible : au second round, alors que la victoire semble acquise, Richard devant des millions de spectateurs médusés, se retourne contre son propre partenaire et, d’un monstrueux coup de poing, le met K.O.

FOLLE ALLURE FILMS

Folle Allure est une société de production cinématographique créée en novembre 2012 par Lucie Fichot. Entre Paris et la Bourgogne, Folle Allure s’attache à défendre l’espace de liberté propre au court métrage et accompagne de jeunes auteurs aux univers singuliers.

Découvrez FOLLE ALLURE à travers le projet de court métrage d’animation “Histoires d’entrejambes“.

Histoires d’entrejambes : de Myleine Guiard-Schmid. Actuellement en production avec le soutien du CNC (aide avant réalisation et CVS), de la région Bourgogne-Franche-Comté, de la Procirep et de l’Angoa.

“Je m’étais préparée à l’accouchement consciencieusement. J’attendais l’événement comme on attend une fête, fiévreuse et impatiente de me jeter sur la piste aux étoiles. Et puis ce tremblement de terre… Et de la piste, je n’ai vu que les étoiles.” Par le biais de témoignages de femmes et de mères, Histoires d’entrejambes interroge, sous forme de conte animé, l’imaginaire qui s’est construit depuis la nuit des temps autour de l’accouchement, et propose un cheminement à travers les notions de douleur et de plaisir.

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GIRELLE PRODUCTION

Girelle Production est une société de production créée en 2006 Christophe Camoirano et Marion Lacôte. Basée à Orléans et spécialisée dans la création audiovisuelle et le multimédia.

Découvrez GIRELLE PRODUCTION à travers les projets suivants : “Haenyo, les femmes de la mer“, “Tempo“, “Hospice Odyssey“, “Trona Pinnacles“, et “Colocation Sauvage“.

Haenyo, les femmes de la mer : SOUTIEN – Aide au développement Ciclic – VENTES TVFrance 3, BIP TV (dans le cadre du COM Centre-Val de Loire).

Ce film dévoile 7 expressions idiomatiques originaires de l’île de Jeju, située au sud de la Corée du Sud. Sa narration à la fois sensible et anthropologique présente la société matriarcale des “Haenyo”: les femmes de la mer.

TEMPO : DISTRIBUTION Dandelooo – Soutiens Aide à la réécriture, aide au developpement. et aide au pilote du CNC FAIA, Bourse Beaumarchais, aide au developpement. série anim. Ciclic, aide au developpement Département de la Drôme et Valence Romans Agglomération.

Tempo le petit lionceau se réveille au son d’une aurore magique. Grâce à elle, il apprend chaque matin à jouer d’un instrument différent et part à la rencontre de petits animaux musicaux.

Hospice Odyssey : COPRODUCTION Vivement lundi !, France 3 Bretagne, Tvr, Tébéo, Tébésud, BIP TV, TV Tours Val de Loire (dans le cadre des COM Bretagne et Centre-Val de Loire) SOUTIENS CNC, Région Bretagne, Ciclic, Procirep-Angoa

Dans un futur plus ou moins proche, alors que la Terre est en proie à un réchauffement climatique sans précédent, un plan canicule sert de prétexte pour éjecter les personnes âgées dans l’espace. Jeannine et ses acolytes, retraités endurcis, sont coincés à bord du Verveine, un vaisseau-résidence trois étoiles. Et ils vont devoir s’adapter à cette vie dans le vide sidéral ! “Hospice Odyssey” est un space opéra gériatrique pour un public de 10 à 97 ans, pour une diffusion vers l’infini (et au-delà).

Trona Pinnacles : COPRODUCTION Novanima PRÉACHAT Canal+ SOUTIENS Aide à l’écriture Région Poitou-Charentes, Bourse d’écriture Ciclic, Prix The Animation Workshop aux Pitchs Mifa 2016, aides prod. CM Ciclic et Écla-Région Nouvelle Aquitaine, aide au CM Ville de Paris, CNC aide CVS, Procirep-Angoa.

Gabrielle, 19 ans, se retrouve coincée près de la vallée de la mort entre ses deux parents qui ne s’adressent plus la parole. Tous trois, se sentant pris au piège, essayent de fuir la tension ambiante, dans un décor immense qui leur paraît immuable. La situation semble sans issue. Jusqu’à ce qu’un événement inattendu vienne tout désamorcer…

Colocation Sauvage : SOUTIENS Aide à la réécriture du CNC FAIA, aide à l’écriture de BIP TV (dans le cadre du COM Centre-Val de Loire), Procirep-Angoa

Une chèvre idéaliste décide de construire une cabane en pleine jungle pour s’y installer. Le déroulement des travaux va l’amener à partager les lieux avec de dangereux colocataires qu’une chèvre avisée n’aurait jamais dû être amenée à côtoyer. Heureusement, elle va réussir à toucher l’un d’entre eux et à établir une cohabitation pacifique au prix, cependant, d’une prise de conscience de la férocité du monde qui manquera de peu de lui coûter la vie.

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous vous présentons : COSMIC PRODUCTIONS, DONCVOILA PRODUCTIONS, EVERYBODY ON DECK PRODUCTIONS, FOLLE ALLURE FILMS, GIRELLE PRODUCTIONS. COSMIC PRODUCTIONS Cosmic Productions est une société de productions créée par Raphaël CATHELAND. Elle édite des programmes TV et cinématographiques originaux. Découvrez COSMIC PRODUCTIONS avec 3 projets d’animation actuellement en développement : “Le Prince des Nuages” (série) / “Biguden” (série) et “Tudy” (long métrage). • Le Prince des nuages : Le futur de notre Planète dépend de ce qu’en comprennent les jeunes générations. Myrtille, Tom et Tristam, trois enfants réfugiés dans un village perché sur un nuage, vont devoir décrypter les mécanismes qui régissent notre climat pour lutter contre les desseins d’un tyran assoiffé de pouvoir. Dans leur quête, ils seront amenés à découvrir comment fonctionne notre planète et ainsi apprendre à l’aimer et à la protéger. • Biguden : Alors qu’on les croyait disparues pour toujours, l’arrivée inopinée d’un mystérieux enfant sur les rivages du Pouec sur les rivages de l’Atlantique va réveiller les créatures mythiques endormies depuis des siècles. Et avec leur retour, c’est toute la vie locale qui va se retrouver bouleversée. La magie fait son grand retour dans notre monde ! • Tudy : Le vaste océan est un endroit d’aventures et de mystères. Tudy, une jeune vedette du sauvetage en mer, va choisir de partir affronter le grand large. En chemin, elle va faire des rencontres extraordinaires et devra se confronter à la terrible légende des mers : la Vague Scélérate. DONCVOILA PRODUCTIONS Doncvoilà Productions est une société de production de films en animation créée par Virginie GIACHINO. Découvrez DONCVOILA PRODUCTIONS à travers 2 projets : “Jean” et “Drôles d’oiseaux“. • Jean : Court-métrage de Marion Auvin, sélectionné au Prix André Martin (MIFA 2020). Film produit par Virginie Giachino et Joris Clerté avec le soutien de la Région des Pays de la Loire, en partenariat avec le CNC. • Drôles d’oiseaux : Unitaire de Charlie Belin. Une coproduction Camera Lucida et Doncvoilà Productions, avec la participation de France Télévisions et le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée, de la Région des Pays de Loire, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Procirep Angoa et de la Résidence Internationale d’Écriture pour le Film d’Animation à l’Abbaye de Fontevraud (Nef Animation). Ventes internationale : Miam ! EVERYBODY ON DECK PRODUCTIONS Everybody On Deck Productions est une société de production de long-métrages, court-métrages, séries, fictions, documentaires et animations créée par Didier Creste, Gaelle Bayssière-Rapp, et Bernard Rapp. Everybody On Deck Productions est lauréat du Prix Daniel Toscan du Plantier 2013 et Troisième Meilleur Producteur français de série télé de l’année aux Trophées du Film Français 2016. Découvrez EVERYBODY ON DECK PRODUCTIONS au travers de 3 projets, à savoir le long-métrage d’animation “Mars Express“, l’unitaire “Margot et le robot“, ainsi que “Lastman L’Onde de Choc” saison 1. • Mars Express : Réalisé par Jérémie Périn, écrit par Jérémie Périn et Laurent Sarfati. Production Studio Je Suis Bien Content. Aline Ruby, détective privée obstinée, et Carlos Rivera, réplique androïde de son partenaire décédé voici cinq ans, se lancent dans une course contre la montre à travers Mars. Ils doivent retrouver Jun Chow, simple étudiante en cybernétique en fuite, avant que les mercenaires assassins qui sont à ses trousses ne l’abattent. • Margot et le robot : Réalisé par Nicolas Rendu, écrit par Nicolas Rendu et Adriana Soreil. Auteur graphique Thomas Baas. Studio : 2 Minutes. Deux extraterrestres cruels veulent asservir la population d’Aquaville !!! Enfin, ils veulent surtout prouver à leurs parents qu’ils sont capables de diriger une invasion… Observant les Terriens, ils attaquent leur moindre faiblesse grâce à Gabriel, robot à l’apparence parfaite de petit garçon, infiltré parmi les habitants. Mais au contact de Margot, petite fille intelligente et émotive, Gabriel a découvert la valeur des sentiments humains… Devenus amis, ils sabotent en- semble les plans des aliens tout en leur faisant croire que Gabriel leur reste loyal. Mission impossible ? Pas quand l’intelligence artificielle et humaine s’allient… Pas pour Margot et le Robot. • Lastman L’Onde de Choc : réalisé par Jérémie Hoarau, écrit par Laurent Sarfati, Jérémie Hoarau, Bastien Vivès, Adriana Soreil et Clotilde Bruneau. Série télé en développement pour France Télévisions / Slash, la suite de la saison 1 ! Studio Je Suis Bien Content. Neuf ans après leur triomphe historique, Richard et Duke ont reformé leur duo et les revoici en finale de la FFFC. Mais ce combat, suivi avec passion dans le monde entier, prend un tour complètement imprévisible : au second round, alors que la victoire semble acquise, Richard devant des millions de spectateurs médusés, se retourne contre son propre partenaire et, d’un monstrueux coup de poing, le met K.O. FOLLE ALLURE FILMS Folle Allure est une société de production cinématographique créée en novembre 2012 par Lucie Fichot. Entre Paris et la Bourgogne, Folle Allure s’attache à défendre l’espace de liberté propre au court métrage et accompagne de jeunes auteurs aux univers singuliers. Découvrez FOLLE ALLURE à travers le projet de court métrage d’animation “Histoires d’entrejambes“. • Histoires d’entrejambes : de Myleine Guiard-Schmid. Actuellement en production avec le soutien du CNC (aide avant réalisation et CVS), de la région Bourgogne-Franche-Comté, de la Procirep et de l’Angoa. “Je m’étais préparée à l’accouchement consciencieusement. J’attendais l’événement comme on attend une fête, fiévreuse et impatiente de me jeter sur la piste aux étoiles. Et puis ce tremblement de terre… Et de la piste, je n’ai vu que les étoiles.” Par le biais de témoignages de femmes et de mères, Histoires d’entrejambes interroge, sous forme de conte animé, l’imaginaire qui s’est construit depuis la nuit des temps autour de l’accouchement, et propose un cheminement à travers les notions de douleur et de plaisir. . GIRELLE PRODUCTION Girelle Production est une société de production créée en 2006 Christophe Camoirano et Marion Lacôte. Basée à Orléans et spécialisée dans la création audiovisuelle et le multimédia. Découvrez GIRELLE PRODUCTION à travers les projets suivants : “Haenyo, les femmes de la mer“, “Tempo“, “Hospice Odyssey“, “Trona Pinnacles“, et “Colocation Sauvage“. • Haenyo, les femmes de la mer : SOUTIEN – Aide au développement Ciclic – VENTES TVFrance 3, BIP TV (dans le cadre du COM Centre-Val de Loire). Ce film dévoile 7 expressions idiomatiques originaires de l’île de Jeju, située au sud de la Corée du Sud. Sa narration à la fois sensible et anthropologique présente la société matriarcale des “Haenyo”: les femmes de la mer. • TEMPO : DISTRIBUTION Dandelooo – Soutiens Aide à la réécriture, aide au developpement. et aide au pilote du CNC FAIA, Bourse Beaumarchais, aide au developpement. série anim. Ciclic, aide au developpement Département de la Drôme et Valence Romans Agglomération. Tempo le petit lionceau se réveille au son d’une aurore magique. Grâce à elle, il apprend chaque matin à jouer d’un instrument différent et part à la rencontre de petits animaux musicaux. • Hospice Odyssey : COPRODUCTION Vivement lundi !, France 3 Bretagne, Tvr, Tébéo, Tébésud, BIP TV, TV Tours Val de Loire (dans le cadre des COM Bretagne et Centre-Val de Loire) SOUTIENS CNC, Région Bretagne, Ciclic, Procirep-Angoa Dans un futur plus ou moins proche, alors que la Terre est en proie à un réchauffement climatique sans précédent, un plan canicule sert de prétexte pour éjecter les personnes âgées dans l’espace. Jeannine et ses acolytes, retraités endurcis, sont coincés à bord du Verveine, un vaisseau-résidence trois étoiles. Et ils vont devoir s’adapter à cette vie dans le vide sidéral ! “Hospice Odyssey” est un space opéra gériatrique pour un public de 10 à 97 ans, pour une diffusion vers l’infini (et au-delà). • Trona Pinnacles : COPRODUCTION Novanima PRÉACHAT Canal+ SOUTIENS Aide à l’écriture Région Poitou-Charentes, Bourse d’écriture Ciclic, Prix The Animation Workshop aux Pitchs Mifa 2016, aides prod. CM Ciclic et Écla-Région Nouvelle Aquitaine, aide au CM Ville de Paris, CNC aide CVS, Procirep-Angoa. Gabrielle, 19 ans, se retrouve coincée près de la vallée de la mort entre ses deux parents qui ne s’adressent plus la parole. Tous trois, se sentant pris au piège, essayent de fuir la tension ambiante, dans un décor immense qui leur paraît immuable. La situation semble sans issue. Jusqu’à ce qu’un événement inattendu vienne tout désamorcer… • Colocation Sauvage : SOUTIENS Aide à la réécriture du CNC FAIA, aide à l’écriture de BIP TV (dans le cadre du COM Centre-Val de Loire), Procirep-Angoa Une chèvre idéaliste décide de construire une cabane en pleine jungle pour s’y installer. Le déroulement des travaux va l’amener à partager les lieux avec de dangereux colocataires qu’une chèvre avisée n’aurait jamais dû être amenée à côtoyer. Heureusement, elle va réussir à toucher l’un d’entre eux et à établir une cohabitation pacifique au prix, cependant, d’une prise de conscience de la férocité du monde qui manquera de peu de lui coûter la …

17 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Au Sunny Side, le SPI fait le point sur la crise dans Écran Total

A l’occasion du Sunny Side of the Doc, Simon ARNAL (Haut et Court TV), François BERTRAND (Camera Lucida), Olivier DE BANNES (O2B Films), Margaux MISSIKA (Upian), Valérie MONTMARTIN (Little Big Story), Cyrille PEREZ (13 Productions) et Emmanuelle MAUGER (Déléguée Générale Adjointe du SPI) prennent la parole dans le magazine Écran Total sur la crise et dressent un premier bilan des impacts de la pandémie de Covid-19 sur le secteur du documentaire. Ils s’expriment également sur les chantiers à venir.

© Écran Total édition du 17 juin 2020 ©

A l’occasion du Sunny Side of the Doc, Simon ARNAL (Haut et Court TV), François BERTRAND (Camera Lucida), Olivier DE BANNES (O2B Films), Margaux MISSIKA (Upian), Valérie MONTMARTIN (Little Big Story), Cyrille PEREZ (13 Productions) et Emmanuelle MAUGER (Déléguée Générale Adjointe du SPI) prennent la parole dans le magazine Écran Total sur la crise et dressent un premier bilan des impacts de la pandémie de Covid-19 sur le secteur du documentaire. Ils s’expriment également sur les chantiers à …

17 juin 2020Actus-SPIactus-spi
Merci Véronique CAYLA!

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à saluer l’action accomplie par Véronique CAYLA depuis son arrivée à la tête d’ARTE ainsi que son engagement pour le cinéma et l’audiovisuel depuis le début de sa carrière. Déjà dans l’exercice de ses fonctions au Festival de Cannes, puis à la Présidence du CNC, sa vision éditoriale et politique avait permis la protection d’un système de création essentiel à l’émergence d’œuvres plurielles.

Volontaire et indépendante, elle a fait d’ARTE un partenaire exceptionnel pour la production d’œuvres d’inspiration diversifiée, mais toujours d’une grande qualité artistique, avec l’ambition affirmée en permanence, comme le disait Antoine Vitez, d’être « élitaire pour tous ». Sous sa présidence, l’audience globale d’Arte a plus que doublé, et la chaine a reçu de nombreux prix dans les Festivals de fiction, de documentaire et de cinéma les plus prestigieux.

Sa compréhension des évolutions des usages lui a permis d’anticiper le développement des audiences numériques en proposant un renouvellement profond de l’offre de la chaîne franco-allemande sur les nouveaux marchés notamment par le développement d’une offre numérique européenne qui permet à ARTE d’élargir sensiblement ses publics. Cette ambition trace une voix différente et singulière, face aux plateformes internationales.
 
Les producteurs du SPI remercient très chaleureusement Véronique CAYLA pour son engagement permanent au service de la création, en France comme en Europe. A celle ou celui qui prendra le relais de préserver ce même élan, cette même confiance dans une culture européenne ouverte, vivante et féconde.

Paris, le 17 juin 2020

Contact presse :

Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél. 01 44 70 70 44

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à saluer l’action accomplie par Véronique CAYLA depuis son arrivée à la tête d’ARTE ainsi que son engagement pour le cinéma et l’audiovisuel depuis le début de sa carrière. Déjà dans l’exercice de ses fonctions au Festival de Cannes, puis à la Présidence du CNC, sa vision éditoriale et politique avait permis la protection d’un système de création essentiel à l’émergence d’œuvres plurielles. Volontaire et indépendante, elle a fait d’ARTE un partenaire exceptionnel pour la production d’œuvres d’inspiration diversifiée, mais toujours d’une grande qualité artistique, avec l’ambition affirmée en permanence, comme le disait Antoine Vitez, d’être « élitaire pour tous ». Sous sa présidence, l’audience globale d’Arte a plus que doublé, et la chaine a reçu de nombreux prix dans les Festivals de fiction, de documentaire et de cinéma les plus prestigieux. Sa compréhension des évolutions des usages lui a permis d’anticiper le développement des audiences numériques en proposant un renouvellement profond de l’offre de la chaîne franco-allemande sur les nouveaux marchés notamment par le développement d’une offre numérique européenne qui permet à ARTE d’élargir sensiblement ses publics. Cette ambition trace une voix différente et singulière, face aux plateformes internationales. Les producteurs du SPI remercient très chaleureusement Véronique CAYLA pour son engagement permanent au service de la création, en France comme en Europe. A celle ou celui qui prendra le relais de préserver ce même élan, cette même confiance dans une culture européenne ouverte, vivante et féconde. Paris, le 17 juin 2020 Contact presse : Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél. 01 44 70 70 …

17 juin 2020Actus-SPIactus-spi
MIFA 2020 : Le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous vous présentons : STUDIO AMOPIX, ANDARTA PICTURES, BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS, BAGAN FILMS, et CAÏMANS PRODUCTIONS.

AMOPIX STUDIO

Amopix est une société de création audiovisuelle, motion et print. Organisé en deux départements CORPORATE et ANIMATION, le studio conçoit des films de commande pour répondre aux besoins des entreprises et co-produit en parallèle des documentaires, séries, courts et long-métrages d’animation pour la télé, le web et le cinéma.

Découvrez le studio AMOPIX, au travers de 6 projets : “Les concombres“, “Mesdames les palourdes“, “Rebelles, Rebelles“, “Doppelgänger“, “Sculpture“, et “Les mystères de Paris“.

  • Les Concombres, court-métrage d’animation de 15min, réalisé par Leonid Shmelkov et co-produit par Amopix (France) et Shar-School Studio (Russie).
  • Mesdemoiselles les palourdes, court-métrage d’animation de 12min, réalisé par Mickaël Delalande, produit par Amopix.
  • Rebelles, rebelles, court-métrage d’animation de 15min, réalisé par Sophie Markatatos, co-produit par Amopix (France) et Animal Tank (Belgique).
  • Doppelgänger, en avant le futur !, série d’animation de 9x10min, réalisée par Louise Cailliez, produit par Amopix.
  • Les Mystères de Paris, série d’animation de 40x3min, réalisée par Véronique Puybaret, co-produit par Amopix et La Curieuse.
  • Sculptures, série d’animation de 10×1’30”, réalisée par Olivia Benveniste, produit par Amopix.

ANDARTA PICTURES

Découvrez ANDARTA PICTURES, à travers 2 projets : “Baïdir” et “La Quête d’Ewilan“.

La Quête d’Ewilan : La vie de Camille, une orpheline de 13ans, bascule le jour où elle est projetée par accident dans le monde de Gwendalavir. Elle découvre une Terre peuplée de créatures aussi extraordinaires que dangereuses, qu’elle va explorer, accompagnée de son ami Salim, pour découvrir non seulement son véritable nom, Ewilan, mais aussi la vérité sur ses racines et sa destinée.

Baïdir : Comme tous les garçons de son âge, Baïdir a les yeux rivés sur Eccoh, une planète inconnue, lointaine et le dernier espoir de survie d’une Terre épuisée. Mais sa vie est bouleversée lorsque sa sœur Nayah est kidnappée sous ses yeux et emmenée sur Eccoh. Déterminé à la sauver, Baïdir se lance dans une course poursuite derrière ses ravisseurs. l l’ignore encore, mais le temps lui est compté, pour la survie de Nayah mais aussi celle de toute l’humanité.

Andarta reprend le développement de « Baïdir », un concept de série d’animation développé par trois auteurs talentueux : Slimane ANISS, Charles LEFEBVRE et Thierry RIVIERE. Avec un format feuilletonnant de 26 épisodes de 26 minutes, Baidir est une fable écologique destinée aux 6-10 ans.

Le premier développement d’Andarta est à la hauteur de ses ambitions : adapter en une série feuilletonnante les romans de Pierre Bottero, « La Quête d’Ewilan », « Les Mondes d’Ewilan » et « Ellana », trois trilogies d’héroïc fantasy parues aux éditions Rageot, qui comptent une importante communauté de fans.Chacune d’entre elles donnera lieu à 24 épisodes de 26 minutes. La série s’adresse aux 7 ans et plus.

BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS

Découvrez BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS, au travers de 3 projets : “Certains d’entre nous“, “Les Montagnes”, et “Nami“.

Certains d’entre nous : Dix histoires d’athlètes internationaux qui ont montré́ au monde que CERTAINS D’ENTRE NOUS peuvent aussi se battre pour un idéal, défendre ce qui est juste, et s’affirmer différents face à un monde où l’homme blanc valide hétérosexuel est la norme. Un projet de Karine Chaunac, Jean-Charles Mbotti Malolo et Camille Duvelleroy. Une série documentaire bimedia : 10 épisodes de 6min format DiViNa. 10 épisodes vidéos documentaire en animation de 10min.

Les Montagnes : Les montagnes est une œuvre narrative et ludique, pour téléphones, tablettes et consoles, en collages interactifs. Elle s’articule autour d’un conte – récit métaphorique du passage de l’enfance à l’âge adulte – et d’un univers visuel en collages que le spectateur est invité à façonner. C’est l’histoire d’une jeune fille qui se met en route pour un grand voyage. Les montagnes est une œuvre narrative et ludique en collage interactifs de Pia de la Plaine en collaboration avec Anne Cortey.

Mais ici pas de photos Instagram, pas de hashtags ni de selfie devant le Machu Picchu ou la Grande Muraille de Chine. Le voyage est intime. Il se joue au coeur des steppes intérieures, de montagnes de souvenirs, de routes rêvées et de mers imaginaires. Le spectateur est invité à partager ce périple, à naviguer dans son paysage et à le faire sien. Il l’explore à son rythme et, grâce à la technique du collage, le façonne. A la fin du voyage, il goût au plaisir d’une baignade, un plongeon poétique dans la vie.

Nami : Nami, une petite fille de 3 ans, fait sa première rentrée des classes. Un nouveau monde s’ouvre à elle mais Nami n’est pas prête à abandonner son doudou, son alter ego, sa baleine à bosse ! Nami est une série vidéo de 30×30 secondes, mélangeant images réelles, dessins et images animées. Diffusée sur Instagram et les réseaux sociaux, Nami questionne notre rapport à la nature et au monde des océans. Nami est une série de 30 x 30 secondes de Célia Féchino et Kloé Lang.

BAGAN FILMS

Découvrez BAGAN FILMS, à travers “Dislocations“, une oeuvre en réalité virtuelle.

Dislocation : Déplacement. Le départ forcé de gens de chez eux, généralement à cause de guerres, de persécutions ou de catastrophes naturelles. Ce film montre un moment absurde de doute et de peur. Il examine les processus internes qui se créent et offre une représentation visuelle d’un moment dans le temps d’une personne forcée à se battre pour survivre dans un pays étranger – un moment de déplacement. A la réalisation de l’expérience VR “Dislocation”, on retrouve Milivoj POPOVIC et Veljko POPOVIC.

CAIMANS PRODUCTIONS

Découvrez BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS, au travers de 3 projets : “Le monde en soi”, “A cœur perdu“, et “Shlomo et le Rabbin“.

Le monde en soi : Une jeune peintre préparant sa première exposition s’investit dans sa création jusqu’à perdre pied avec le réel et sombrer dans un chaos hallucinatoire. Dans la claustration d’une clinique, elle se reconstruit lentement par la peinture et l’observation quotidienne d’un écureuil à travers la fenêtre. “Le monde en soi” est un film de Sandrine Stoïanov et Jean-Charles Finck. Il dure 18 minutes.

A coeur perdu : Omid est un immigré iranien qui fait de son mieux pour s’intégrer avec sa famille au sein de la société française. Un soir, dans la rue, il se fait agresser par un groupe de jeunes fachos qui le poignardent en plein cœur. Mais à la stupeur des jeunes qui s’enfuient, Omid se relève ! A l’hôpital, les médecins l’examinent et découvrent effarés qu’il n’a pas de cœur… Omid décide de retourner en Iran pour retrouver son cœur mais rien ne se passe comme prévu. “A coeur perdu” est réalisé par Sarah Saidan.

Shlomo et le Rabbin : Hiver 1895, dans un petit village ukrainien, le modeste fermier Shlomo attend un dixième enfant. Affolé de ne pas pouvoir l’accueillir, il file chez le rabbin prendre conseil et découvre que dans la vie, comme en physique, tout est affaire de relativité. “Shlomo et le Rabbin” est un film de Julien David.

Dans le cadre du MIFA 2020, qui se tient du 15 au 30 juin, le SPI met en avant ses producteurs d’œuvres d’animation et de créations numériques interactives. Aujourd’hui, nous vous présentons : STUDIO AMOPIX, ANDARTA PICTURES, BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS, BAGAN FILMS, et CAÏMANS PRODUCTIONS. AMOPIX STUDIO Amopix est une société de création audiovisuelle, motion et print. Organisé en deux départements CORPORATE et ANIMATION, le studio conçoit des films de commande pour répondre aux besoins des entreprises et co-produit en parallèle des documentaires, séries, courts et long-métrages d’animation pour la télé, le web et le cinéma. Découvrez le studio AMOPIX, au travers de 6 projets : “Les concombres“, “Mesdames les palourdes“, “Rebelles, Rebelles“, “Doppelgänger“, “Sculpture“, et “Les mystères de Paris“. Les Concombres, court-métrage d’animation de 15min, réalisé par Leonid Shmelkov et co-produit par Amopix (France) et Shar-School Studio (Russie). Mesdemoiselles les palourdes, court-métrage d’animation de 12min, réalisé par Mickaël Delalande, produit par Amopix. Rebelles, rebelles, court-métrage d’animation de 15min, réalisé par Sophie Markatatos, co-produit par Amopix (France) et Animal Tank (Belgique). Doppelgänger, en avant le futur !, série d’animation de 9x10min, réalisée par Louise Cailliez, produit par Amopix. Les Mystères de Paris, série d’animation de 40x3min, réalisée par Véronique Puybaret, co-produit par Amopix et La Curieuse. Sculptures, série d’animation de 10×1’30”, réalisée par Olivia Benveniste, produit par Amopix. ANDARTA PICTURES Découvrez ANDARTA PICTURES, à travers 2 projets : “Baïdir” et “La Quête d’Ewilan“. • La Quête d’Ewilan : La vie de Camille, une orpheline de 13ans, bascule le jour où elle est projetée par accident dans le monde de Gwendalavir. Elle découvre une Terre peuplée de créatures aussi extraordinaires que dangereuses, qu’elle va explorer, accompagnée de son ami Salim, pour découvrir non seulement son véritable nom, Ewilan, mais aussi la vérité sur ses racines et sa destinée. • Baïdir : Comme tous les garçons de son âge, Baïdir a les yeux rivés sur Eccoh, une planète inconnue, lointaine et le dernier espoir de survie d’une Terre épuisée. Mais sa vie est bouleversée lorsque sa sœur Nayah est kidnappée sous ses yeux et emmenée sur Eccoh. Déterminé à la sauver, Baïdir se lance dans une course poursuite derrière ses ravisseurs. l l’ignore encore, mais le temps lui est compté, pour la survie de Nayah mais aussi celle de toute l’humanité. Andarta reprend le développement de « Baïdir », un concept de série d’animation développé par trois auteurs talentueux : Slimane ANISS, Charles LEFEBVRE et Thierry RIVIERE. Avec un format feuilletonnant de 26 épisodes de 26 minutes, Baidir est une fable écologique destinée aux 6-10 ans. Le premier développement d’Andarta est à la hauteur de ses ambitions : adapter en une série feuilletonnante les romans de Pierre Bottero, « La Quête d’Ewilan », « Les Mondes d’Ewilan » et « Ellana », trois trilogies d’héroïc fantasy parues aux éditions Rageot, qui comptent une importante communauté de fans.Chacune d’entre elles donnera lieu à 24 épisodes de 26 minutes. La série s’adresse aux 7 ans et plus. BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS Découvrez BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS, au travers de 3 projets : “Certains d’entre nous“, “Les Montagnes”, et “Nami“. • Certains d’entre nous : Dix histoires d’athlètes internationaux qui ont montré́ au monde que CERTAINS D’ENTRE NOUS peuvent aussi se battre pour un idéal, défendre ce qui est juste, et s’affirmer différents face à un monde où l’homme blanc valide hétérosexuel est la norme. Un projet de Karine Chaunac, Jean-Charles Mbotti Malolo et Camille Duvelleroy. Une série documentaire bimedia : 10 épisodes de 6min format DiViNa. 10 épisodes vidéos documentaire en animation de 10min. • Les Montagnes : Les montagnes est une œuvre narrative et ludique, pour téléphones, tablettes et consoles, en collages interactifs. Elle s’articule autour d’un conte – récit métaphorique du passage de l’enfance à l’âge adulte – et d’un univers visuel en collages que le spectateur est invité à façonner. C’est l’histoire d’une jeune fille qui se met en route pour un grand voyage. Les montagnes est une œuvre narrative et ludique en collage interactifs de Pia de la Plaine en collaboration avec Anne Cortey. Mais ici pas de photos Instagram, pas de hashtags ni de selfie devant le Machu Picchu ou la Grande Muraille de Chine. Le voyage est intime. Il se joue au coeur des steppes intérieures, de montagnes de souvenirs, de routes rêvées et de mers imaginaires. Le spectateur est invité à partager ce périple, à naviguer dans son paysage et à le faire sien. Il l’explore à son rythme et, grâce à la technique du collage, le façonne. A la fin du voyage, il goût au plaisir d’une baignade, un plongeon poétique dans la vie. • Nami : Nami, une petite fille de 3 ans, fait sa première rentrée des classes. Un nouveau monde s’ouvre à elle mais Nami n’est pas prête à abandonner son doudou, son alter ego, sa baleine à bosse ! Nami est une série vidéo de 30×30 secondes, mélangeant images réelles, dessins et images animées. Diffusée sur Instagram et les réseaux sociaux, Nami questionne notre rapport à la nature et au monde des océans. Nami est une série de 30 x 30 secondes de Célia Féchino et Kloé Lang. BAGAN FILMS Découvrez BAGAN FILMS, à travers “Dislocations“, une oeuvre en réalité virtuelle. • Dislocation : Déplacement. Le départ forcé de gens de chez eux, généralement à cause de guerres, de persécutions ou de catastrophes naturelles. Ce film montre un moment absurde de doute et de peur. Il examine les processus internes qui se créent et offre une représentation visuelle d’un moment dans le temps d’une personne forcée à se battre pour survivre dans un pays étranger – un moment de déplacement. A la réalisation de l’expérience VR “Dislocation”, on retrouve Milivoj POPOVIC et Veljko POPOVIC. CAIMANS PRODUCTIONS Découvrez BACHIBOUZOUK PRODUCTIONS, au travers de 3 projets : “Le monde en soi”, “A cœur perdu“, et “Shlomo et le Rabbin“. • Le monde en soi : Une jeune peintre préparant sa première exposition s’investit dans sa création jusqu’à perdre pied avec le réel et sombrer dans un chaos hallucinatoire. Dans la claustration d’une clinique, elle se reconstruit lentement par la peinture et l’observation quotidienne d’un écureuil à travers la fenêtre. “Le monde en soi” est un film de Sandrine Stoïanov et Jean-Charles Finck. Il dure 18 minutes. • A coeur perdu : Omid est un immigré iranien qui fait de son mieux pour s’intégrer avec sa famille au sein de la société française. Un soir, dans la rue, il se fait agresser par un groupe de jeunes fachos qui le poignardent en plein cœur. Mais à la stupeur des jeunes qui s’enfuient, Omid se relève ! A l’hôpital, les médecins l’examinent et découvrent effarés qu’il n’a pas de cœur… Omid décide de retourner en Iran pour retrouver son cœur mais rien ne se passe comme prévu. “A coeur perdu” est réalisé par Sarah Saidan. • Shlomo et le Rabbin : Hiver 1895, dans un petit village ukrainien, le modeste fermier Shlomo attend un dixième enfant. Affolé de ne pas pouvoir l’accueillir, il file chez le rabbin prendre conseil et découvre que dans la vie, comme en physique, tout est affaire de relativité. “Shlomo et le Rabbin” est un film de Julien …

16 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
ANIMATION : Le SPI, l’AFCA, L’Agence du court métrage, le SPFA s’associent autour du dispositif « France in shorts »

Pour la cinquième année consécutive, l’AFCA, L’Agence du court métrage, le SPFA et le SPI, avec le soutien de la Procirep, s’associent autour du dispositif « France in shorts » à l’occasion du Marché International du film d’Animation d’Annecy 2020.

En raison du basculement Online du MIFA, « France in shorts » propose de nouvelles actions de promotion et de valorisation pour les sociétés de productions et les courts métrages français d’animation.

Découvrez la bande-annonce des courts métrages français en sélection au Festival international du film d’animation d’Annecy 2020 réalisée dans le cadre de ce dispositif. Vingt courts métrages français en sélection (huit films en sélection officielle et douze films complémentaires en sélection pour le Prix André-Martin 2020).

Rendez-vous du 15 au 30 juin 2020 sur le stand virtuel de France in shorts au MIFA online et sur www.franceinshorts.fr !

Les sociétés de production inscrites sous l’ombrelle « France in shorts » bénéficieront d’une visibilité supplémentaire dans le Annecy network.

Merci à Christelle Imbert de Time-Line Factory

Pour la cinquième année consécutive, l’AFCA, L’Agence du court métrage, le SPFA et le SPI, avec le soutien de la Procirep, s’associent autour du dispositif « France in shorts » à l’occasion du Marché International du film d’Animation d’Annecy 2020. En raison du basculement Online du MIFA, « France in shorts » propose de nouvelles actions de promotion et de valorisation pour les sociétés de productions et les courts métrages français d’animation. Découvrez la bande-annonce des courts métrages français en sélection au Festival international du film d’animation d’Annecy 2020 réalisée dans le cadre de ce dispositif. Vingt courts métrages français en sélection (huit films en sélection officielle et douze films complémentaires en sélection pour le Prix André-Martin 2020). Rendez-vous du 15 au 30 juin 2020 sur le stand virtuel de France in shorts au MIFA online et sur www.franceinshorts.fr ! Les sociétés de production inscrites sous l’ombrelle « France in shorts » bénéficieront d’une visibilité supplémentaire dans le Annecy network. Merci à Christelle Imbert de Time-Line …

15 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs sélections au MIFA 2020

Bravo à nos adhérents pour leurs sélections au Festival International du Film d’Animation d’Annecy, et son marché le MIFA. L’édition 2020 est online, et se déroulera du 15 au 30 juin. Les maîtres-mots de cette édition si particulière seront échanges, découvertes et rencontres. A vos marques, prêts, feu…!

SELECTION OFFICIELLE MIFA 2020

COURTS MÉTRAGES :

Sélection officielle

Genius Loci, d’Adrien Merigeau,

Produit par Kazak Productions

Jeune public

Boriya, de Sung-ah Min,

Produit par Marmitafilms

Films de télévision en compétition

Culottées “Leymah Gbowee”, de Phuong Mai Nguyen et Charlotte Cambon,

Produit par Silex Films

Films de commande en compétition

Jo Goes Hunting “Careful”, de Alice Saey,

produit par Miyu Productions

France “Patrouille de France / Dernier tour”, de Emmanuel Lantam-Ninsao,

produit par Miyu Productions

Short Cuts “Cris et chuchotements”, d’Inés Sedan,

produit par Caïmans Productions

ŒUVRES VR :

Minimum Mass, de Raqi Syed et Areito Echevarria,

coproduit par Floréal Films

Odyssey 1.4.9, de François Vautier,

produit par Da Prod

LES WORK IN PROGRESS :

Longs métrages

L’île, d’Anca Damian,

coproduit par Komadoli et Amopix

Interdit aux chiens et aux italiens, d’Alain Ughetto,

coproduit par Les Films du Tambour de Soie et Foliascope

Spécial TV

Maman pleut des cordes, de Hugo de Faucompret,

coproduit par Laïdak Films

VR

The Hangman at home, de Michelle Kranot et Uri Kranot,

coproduit par Miyu Productions et Floréal Films

PREVIEW :

Longs métrages

Même les souris vont au paradis, de Denisa Grimmova et Jan Bubenicek,

Coproduit par Les Films du Cygne

VR

Dislocation, de Veljko Popovic et Milivoj Popovic,

Coproduit par Bagan Films

PITCH :

Courts métrages

300 000 kms par seconde, de Clément Courcier,

produit par Miyu Productions

27 – My Last Day at Home, de Flora Buda,

Produit par Miyu Productions

Série TV

Boys boys boys, de Valentine Vendroux et Clawdia Prolongeau,

Produit par Melting Productions

Prix André-Martin :

Longs métrages

Funan, de Denis Do,

coproduit par Les Films d’Ici

Wardi, de Mats Grorud,

coproduit par Les Contes Modernes

Courts métrages

Boriya, de Sung-ah Min

Produit par Marmitafilms

Genius Loci, d’Adrien Merigeau

Produit par Kazak Productions

Jean, de Marion Auvin,

produit par Doncvoilà Production

Montagne, de Louise Cailliez,

coproduit par SaNoSi Productions

Moutons, loup et tasse de thé, de Marion Lacourt

Produit par Ikki Films

Les Songes de L’homme, de Florent Morin,

produit par Miyu Productions

Sororelle, de Frédéric Even et Louise Mercadier,

coproduit par Papy3D Productions et JPL Films

Traces, de Hugo Frassetto et Sophie Tavert Macian,

coproduit par Les Films du Nord

Bravo à nos adhérents pour leurs sélections au Festival International du Film d’Animation d’Annecy, et son marché le MIFA. L’édition 2020 est online, et se déroulera du 15 au 30 juin. Les maîtres-mots de cette édition si particulière seront échanges, découvertes et rencontres. A vos marques, prêts, feu…! SELECTION OFFICIELLE MIFA 2020 COURTS MÉTRAGES : Sélection officielle Genius Loci, d’Adrien Merigeau, Produit par Kazak Productions Jeune public Boriya, de Sung-ah Min, Produit par Marmitafilms Films de télévision en compétition Culottées “Leymah Gbowee”, de Phuong Mai Nguyen et Charlotte Cambon, Produit par Silex Films Films de commande en compétition Jo Goes Hunting “Careful”, de Alice Saey, produit par Miyu Productions France “Patrouille de France / Dernier tour”, de Emmanuel Lantam-Ninsao, produit par Miyu Productions Short Cuts “Cris et chuchotements”, d’Inés Sedan, produit par Caïmans Productions ŒUVRES VR : Minimum Mass, de Raqi Syed et Areito Echevarria, coproduit par Floréal Films Odyssey 1.4.9, de François Vautier, produit par Da Prod LES WORK IN PROGRESS : Longs métrages L’île, d’Anca Damian, coproduit par Komadoli et Amopix Interdit aux chiens et aux italiens, d’Alain Ughetto, coproduit par Les Films du Tambour de Soie et Foliascope Spécial TV Maman pleut des cordes, de Hugo de Faucompret, coproduit par Laïdak Films VR The Hangman at home, de Michelle Kranot et Uri Kranot, coproduit par Miyu Productions et Floréal Films PREVIEW : Longs métrages Même les souris vont au paradis, de Denisa Grimmova et Jan Bubenicek, Coproduit par Les Films du Cygne VR Dislocation, de Veljko Popovic et Milivoj Popovic, Coproduit par Bagan Films PITCH : Courts métrages 300 000 kms par seconde, de Clément Courcier, produit par Miyu Productions 27 – My Last Day at Home, de Flora Buda, Produit par Miyu Productions Série TV Boys boys boys, de Valentine Vendroux et Clawdia Prolongeau, Produit par Melting Productions Prix André-Martin : Longs métrages Funan, de Denis Do, coproduit par Les Films d’Ici Wardi, de Mats Grorud, coproduit par Les Contes Modernes Courts métrages Boriya, de Sung-ah Min Produit par Marmitafilms Genius Loci, d’Adrien Merigeau Produit par Kazak Productions Jean, de Marion Auvin, produit par Doncvoilà Production Montagne, de Louise Cailliez, coproduit par SaNoSi Productions Moutons, loup et tasse de thé, de Marion Lacourt Produit par Ikki Films Les Songes de L’homme, de Florent Morin, produit par Miyu Productions Sororelle, de Frédéric Even et Louise Mercadier, coproduit par Papy3D Productions et JPL Films Traces, de Hugo Frassetto et Sophie Tavert Macian, coproduit par Les Films du …

12 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Cellule d’écoute : Lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail

Le SPI se réjouit de la conclusion d’un plan d’action pour promouvoir l’égalité femmes-hommes et lutter contre les violences sexistes et sexuelles dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma entre la FESAC et les organisations syndicales de salariés.

L’une des actions phares de ce plan est la mise en place d’une cellule d’écoute et de suivi des victimes de violences sexistes ou sexuelles dans le cadre de leur relation de travail, qui comporte un volet « soutien psychologique » et un volet « orientation juridique ».

Cette cellule sera effective dès le 15 juin 2020. N’hésitez pas à en parler et à afficher ses coordonnées sur les lieux de tournage et de travail, elle est joignable au 01 87 20 30 90, du lundi au vendredi, de 8h30 à 10h30 et de 17h à 21h.

PLAN D’ACTION POUR PROMOUVOIR L’EGALITE FEMMES/HOMMES
ET LUTTER CONTRE LES VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLES
DANS LE SECTEUR DU SPECTACLE VIVANT, DE L’AUDIOVISUEL ET DU CINEMA

Préambule :

L’égalité entre les hommes et les femmes a été consacrée « grande cause nationale » par le Président de la République pour la durée de son quinquennat et le ministère de la Culture en a fait un sujet prioritaire dans sa feuille de route du 7 février 2018.

La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018 a par ailleurs renforcé les obligations des entreprises et des branches professionnelles en la matière.

Les partenaires sociaux du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma, conscients de la nécessité pour leur secteur d’être exemplaire en la matière — en raison de son rôle de miroir de la société — et du chemin restant à accomplir, ont décidé d’initier le présent plan d’action en y associant le ministère de la Culture ainsi que différents acteurs du secteur afin d’aboutir à une implication globale de l’ensemble des parties prenantes. Ces autres partenaires ont des implications diverses dans la gestion des droits sociaux des salariés, la structuration et la professionnalisation du secteur.

Les signataires du présent plan d’action souhaitent ainsi s’engager pleinement pour promouvoir l’égalité réelle entre les femmes et les hommes — tant au niveau de la valorisation de leurs emplois, de l’accès à tous les métiers qu’à tous les niveaux de responsabilités — et pour renforcer la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma.

Conscients que le secteur repose sur une économie de projets, des contrats de travail à durée déterminée d’usage et se compose en majorité d’entreprises de petites tailles qui n’ont pas d’instances représentatives du personnel, les signataires ont décidé de relever le défi de cette structuration particulière de l’emploi, en mettant en œuvre collectivement des mesures inédites. Ils porteront une attention particulière aux données statistiques et aux actions d’accompagnement concernant les techniciens et les artistes, intermittents du spectacle ou permanents. A l’appui des mesures prévues, les partenaires sociaux pourront mobiliser le dispositif de l’EDEC Culture Création et Communication, porté par les ministères de la Culture et du Travail, par les branches et par l’Afdas.

Convaincus de l’importance d’agir sur l’ensemble des leviers disponibles, en tenant compte des spécificités du secteur, les signataires ont convenu des actions suivantes à mener :

Action n°1 : Observation

Il est primordial de pouvoir poser un regard éclairé sur la situation du secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma au regard de la problématique des inégalités professionnelles femmes/hommes, et de suivre son évolution dans le temps.

C’est pourquoi, les signataires du présent plan d’action affirment leur volonté de mettre en place une observation fine des données sur l’emploi et les salaires des hommes et des femmes du secteur, ainsi que sur les inégalités et discriminations existantes. L’analyse de l’ensemble de ces données donnera lieu à un rapport annuel.

Cette observation doit pouvoir s’appuyer sur des indicateurs de suivi pertinents et communs à l’ensemble du champ visé par le plan d’action. Les indicateurs de suivi devront être des indicateurs genrés liés :

  • Au recrutement, notamment au regard des types de contrat (CDI, CDD, CDDU, temps partiel)
  • À l’évolution des carrières ;
  • À la rémunération et à l’égalité salariale ;
  • À l’articulation entre vie professionnelle et vie privée ;
  • À l’accès à la formation professionnelle

Ces indicateurs devront permettre que des focus soient produits sur des éléments statistiques concernant les salariés intermittents du spectacle et les artistes, au regard de leurs particularités d’emploi.

Ce travail pourra être mené en mobilisant les partenaires sociaux du secteur, à travers les CPNEF du spectacle vivant et de l’audiovisuel, en partenariat notamment avec le groupe Audiens qui réalise déjà la collecte et l’analyse de données statistiques pour le secteur, ainsi qu’avec l’Afdas pour la partie formation. Des solutions devront être trouvées pour agréger les données des structures culturelles de droit public entrant dans le champ et ne cotisant pas à Audiens (opéras, orchestres, théâtres…). Le ministère de la Culture sera également étroitement associé à cette démarche d’observation.

Des études thématiques complémentaires, quantitatives et qualitatives, pourront être menées afin d’affiner le diagnostic.

Action n°2 : Formation / insertion / emploi / conditions de travail/ lutte contre les représentations « genrées »

Alors que les femmes représentent plus de 60% des étudiants dans l’enseignement supérieur artistique, elles ne sont plus que 41% au sein du spectacle enregistré et 38% au sein du spectacle vivant.

Elles ne sont par ailleurs que 30% dans les métiers techniques.

Ces chiffres traduisent une difficulté particulière pour les femmes dans l’accès à l’emploi mais également pour le maintien dans l’emploi.

Le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma est particulièrement touché par des stéréotypes sexistes au nom desquels sont distribués les rôles, les métiers et les compétences, comme le souligne le rapport du Haut conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes. Par ailleurs, le secteur souffre également d’une exigence de jeunisme plus criante envers les femmes, rendant compliqué leur maintien dans l’emploi.

C’est pourquoi, les signataires du présent plan s’engagent à :

  • Travailler en lien avec les acteurs de l’éducation et de la formation pour inciter les femmes du secteur à se diriger vers des filières où l’emploi est en pratique traditionnellement moins féminin — réciproquement, inciter les hommes du secteur à se diriger vers des filières où l’emploi est en pratique moins traditionnellement masculin — aux fins de favoriser la mixité des métiers ;
  • Promouvoir des actions de formation et de sensibilisation destinées aux étudiants et aux enseignants, aux acteurs de l’orientation relatifs aux problématiques de genre ainsi qu’à la lutte contre les stéréotypes ;
  • Favoriser les objectifs de parité au sein du corps professoral des écoles et organismes de formation du secteur et dans les jurys ;
  • Lutter contre les stéréotypes à l’embauche via notamment une campagne de sensibilisation et de communication ;
  • Favoriser la représentation des femmes sur les plateaux, sans les cantonner à des stéréotypes ;
  • Développer des ateliers sur ces sujets dans le cadre des rencontres professionnelles ;
  • Promouvoir l’emploi des femmes de plus de 50 ans ;

Action n° 3 : Égalité salariale et égal accès aux métiers et aux responsabilités L’égalité salariale et l’égal accès aux métiers et responsabilités constituent un objectif majeur pour les signataires du présent plan d’action.

Ainsi, ils entendent encourager les entreprises du secteur à :

  • Prévoir tout mécanisme permettant de résorber les écarts salariaux entre les femmes et les hommes, notamment la constitution d’une enveloppe spécifique dans le cadre de la négociation annuelle obligatoire affectée à la réduction du différentiel global entre les femmes et les hommes ;
  • Appliquer la garantie d’évolution salariale aux salariés concernés par les congés de maternité, paternité ou d’adoption ;
  • Assurer un égal accès des femmes et des hommes aux fonctions de direction et d’encadrement ;
  • Informer les salariés embauchés à temps partiel que la possibilité leur est offerte de cotiser sur la base d’un temps plein, afin de réduire les inégalités qui s’accentuent à la retraite ;
  • Promouvoir les congés familiaux auprès des salariés et veiller à ce que les absences pour congés maternité, paternité, parental, d’adoption et de proche aidant, ainsi que l’exercice d’une activité à temps partiel, ne fassent pas obstacle à l’évolution de carrière.

Les signataires contribuant au financement des projets artistiques et culturels s’engagent à faire de la lutte contre les inégalités salariales un critère fort pour l’attribution de subventions et d’aides.

Action n°4 : Équilibre vie professionnelle / vie privée La difficulté à articuler vie professionnelle et vie personnelle constitue un facteur induisant des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes.

Cette difficulté se trouve renforcée dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma, fait de la prédominance d’horaires de travail atypiques.

L’amélioration de l’articulation entre vie professionnelle et vie privée passe par une prise de conscience au sein de nos professions et des entreprises, et par la participation active à la déconstruction des stéréotypes, notamment ceux liés aux responsabilités familiales.

Les signataires du présent plan d’action s’engagent ainsi à encourager les entreprises du secteur et les branches à :

  • Faciliter la mise en place des conditions favorisant la prise des congés familiaux ;
  • Planifier des réunions de travail compatibles avec les contraintes familiales des salariés ; dans la mesure du possible, et selon les contraintes spécifiques à chaque entreprise, sauf pour les équipes ayant des horaires décalés ;
  • Favoriser, tant pour les hommes que pour les femmes, les meilleures conditions pour l’accès au temps partiel choisi (répartition des horaires, conditions de travail et diminution réelle de la charge de travail) sans pénaliser les évolutions de carrière et de salaire ;
  • Prendre en compte dans l’organisation et l’aménagement du temps de travail des entreprises les besoins liés au soutien familial (longue maladie d’un conjoint, d’un parent, d’un enfant, dépendance, enfant malade…) ;
  • Favoriser la conclusion d’accords de télétravail lorsque l’activité des entreprises le permet ;
  • Développer des chartes pour mettre en œuvre le droit à la déconnexion.

Action n° 5 : Lutte contre les violences sexistes et sexuelles

La lutte contre les agissements sexistes, le harcèlement sexuel et les violences sexuelles en milieu professionnel constitue une priorité pour les signataires du présent plan d’action.

A ce titre, il convient de mettre en œuvre des mesures permettant d’agir concrètement dans ce domaine.

Les signataires du présent plan s’engagent ainsi à entreprendre les actions suivantes :

  • Mise en place d’une cellule d’écoute et de suivi sous l’égide d’Audiens, en collaboration avec le ministère de la Culture. Cette cellule doit permettre de répondre tout à la fois à des questions d’ordre pathologique ou de conseil juridique ;
  • Promouvoir la formation des médecins du travail à ces questions afin de déclencher la parole lors des visites à la médecine du travail ;
  • Promouvoir des outils de communication et d’information en direction des salariés et employeurs du secteur afin de les sensibiliser à la problématique. Un guide pourrait être ainsi rédigé en collaboration avec le ministère de la Culture, des informations pourraient être remises lors de l’embauche ;
  • Promouvoir des formations spécifiques en direction des managers et des représentants du personnel ;
  • Promouvoir la création d’une charte ou d’un label pour les castings et auditions.

Les signataires entendent affirmer qu’il ne peut y avoir d’impunité dans l’entreprise pour les auteurs de violences sexistes ou sexuelles, que les faits aient été portés à la connaissance de l’employeur suite à un signalement à la justice, ou à des démarches en direction des représentants du personnel ou de la hiérarchie.

En outre, il est rappelé que depuis le 1er janvier 2019 et conformément aux dispositions de l’article L1153- 5 du code du travail, l’employeur doit informer, par tout moyen, les salariés des voies de recours civiles et pénales ouvertes en matière de harcèlement sexuel ainsi que des coordonnées des autorités et des services compétents. L’employeur prend toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de harcèlement sexuel, d’y mettre un terme et de les sanctionner.

Les signataires encouragent ainsi les entreprises à définir des modalités de procédure de recours interne pour les salariés victimes de violences sexuelles ou sexistes. Les branches professionnelles pourront mettre le sujet à l’ordre du jour de leurs instances pour aider les entreprises dans leur démarche.

Les signataires s’engagent à promouvoir le présent plan d’action, notamment parmi leurs membres, leurs adhérents ou les structures partenaires. Un comité paritaire de pilotage aura la charge du déploiement des actions prévues au présent plan. Il établira et présentera un bilan annuel des mesures qui auront été prises.

Fait à Paris le 8 juin 2020.

Le SPI se réjouit de la conclusion d’un plan d’action pour promouvoir l’égalité femmes-hommes et lutter contre les violences sexistes et sexuelles dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma entre la FESAC et les organisations syndicales de salariés. L’une des actions phares de ce plan est la mise en place d’une cellule d’écoute et de suivi des victimes de violences sexistes ou sexuelles dans le cadre de leur relation de travail, qui comporte un volet « soutien psychologique » et un volet « orientation juridique ». Cette cellule sera effective dès le 15 juin 2020. N’hésitez pas à en parler et à afficher ses coordonnées sur les lieux de tournage et de travail, elle est joignable au 01 87 20 30 90, du lundi au vendredi, de 8h30 à 10h30 et de 17h à 21h. PLAN D’ACTION POUR PROMOUVOIR L’EGALITE FEMMES/HOMMESET LUTTER CONTRE LES VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLESDANS LE SECTEUR DU SPECTACLE VIVANT, DE L’AUDIOVISUEL ET DU CINEMA Préambule : L’égalité entre les hommes et les femmes a été consacrée « grande cause nationale » par le Président de la République pour la durée de son quinquennat et le ministère de la Culture en a fait un sujet prioritaire dans sa feuille de route du 7 février 2018. La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018 a par ailleurs renforcé les obligations des entreprises et des branches professionnelles en la matière. Les partenaires sociaux du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma, conscients de la nécessité pour leur secteur d’être exemplaire en la matière — en raison de son rôle de miroir de la société — et du chemin restant à accomplir, ont décidé d’initier le présent plan d’action en y associant le ministère de la Culture ainsi que différents acteurs du secteur afin d’aboutir à une implication globale de l’ensemble des parties prenantes. Ces autres partenaires ont des implications diverses dans la gestion des droits sociaux des salariés, la structuration et la professionnalisation du secteur. Les signataires du présent plan d’action souhaitent ainsi s’engager pleinement pour promouvoir l’égalité réelle entre les femmes et les hommes — tant au niveau de la valorisation de leurs emplois, de l’accès à tous les métiers qu’à tous les niveaux de responsabilités — et pour renforcer la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma. Conscients que le secteur repose sur une économie de projets, des contrats de travail à durée déterminée d’usage et se compose en majorité d’entreprises de petites tailles qui n’ont pas d’instances représentatives du personnel, les signataires ont décidé de relever le défi de cette structuration particulière de l’emploi, en mettant en œuvre collectivement des mesures inédites. Ils porteront une attention particulière aux données statistiques et aux actions d’accompagnement concernant les techniciens et les artistes, intermittents du spectacle ou permanents. A l’appui des mesures prévues, les partenaires sociaux pourront mobiliser le dispositif de l’EDEC Culture Création et Communication, porté par les ministères de la Culture et du Travail, par les branches et par l’Afdas. Convaincus de l’importance d’agir sur l’ensemble des leviers disponibles, en tenant compte des spécificités du secteur, les signataires ont convenu des actions suivantes à mener : Action n°1 : Observation Il est primordial de pouvoir poser un regard éclairé sur la situation du secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma au regard de la problématique des inégalités professionnelles femmes/hommes, et de suivre son évolution dans le temps. C’est pourquoi, les signataires du présent plan d’action affirment leur volonté de mettre en place une observation fine des données sur l’emploi et les salaires des hommes et des femmes du secteur, ainsi que sur les inégalités et discriminations existantes. L’analyse de l’ensemble de ces données donnera lieu à un rapport annuel. Cette observation doit pouvoir s’appuyer sur des indicateurs de suivi pertinents et communs à l’ensemble du champ visé par le plan d’action. Les indicateurs de suivi devront être des indicateurs genrés liés : Au recrutement, notamment au regard des types de contrat (CDI, CDD, CDDU, temps partiel) À l’évolution des carrières ; À la rémunération et à l’égalité salariale ; À l’articulation entre vie professionnelle et vie privée ; À l’accès à la formation professionnelle Ces indicateurs devront permettre que des focus soient produits sur des éléments statistiques concernant les salariés intermittents du spectacle et les artistes, au regard de leurs particularités d’emploi. Ce travail pourra être mené en mobilisant les partenaires sociaux du secteur, à travers les CPNEF du spectacle vivant et de l’audiovisuel, en partenariat notamment avec le groupe Audiens qui réalise déjà la collecte et l’analyse de données statistiques pour le secteur, ainsi qu’avec l’Afdas pour la partie formation. Des solutions devront être trouvées pour agréger les données des structures culturelles de droit public entrant dans le champ et ne cotisant pas à Audiens (opéras, orchestres, théâtres…). Le ministère de la Culture sera également étroitement associé à cette démarche d’observation. Des études thématiques complémentaires, quantitatives et qualitatives, pourront être menées afin d’affiner le diagnostic. Action n°2 : Formation / insertion / emploi / conditions de travail/ lutte contre les représentations « genrées » Alors que les femmes représentent plus de 60% des étudiants dans l’enseignement supérieur artistique, elles ne sont plus que 41% au sein du spectacle enregistré et 38% au sein du spectacle vivant. Elles ne sont par ailleurs que 30% dans les métiers techniques. Ces chiffres traduisent une difficulté particulière pour les femmes dans l’accès à l’emploi mais également pour le maintien dans l’emploi. Le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma est particulièrement touché par des stéréotypes sexistes au nom desquels sont distribués les rôles, les métiers et les compétences, comme le souligne le rapport du Haut conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes. Par ailleurs, le secteur souffre également d’une exigence de jeunisme plus criante envers les femmes, rendant compliqué leur maintien dans l’emploi. C’est pourquoi, les signataires du présent plan s’engagent à : Travailler en lien avec les acteurs de l’éducation et de la formation pour inciter les femmes du secteur à se diriger vers des filières où l’emploi est en pratique traditionnellement moins féminin — réciproquement, inciter les hommes du secteur à se diriger vers des filières où l’emploi est en pratique moins traditionnellement masculin — aux fins de favoriser la mixité des métiers ; Promouvoir des actions de formation et de sensibilisation destinées aux étudiants et aux enseignants, aux acteurs de l’orientation relatifs aux problématiques de genre ainsi qu’à la lutte contre les stéréotypes ; Favoriser les objectifs de parité au sein du corps professoral des écoles et organismes de formation du secteur et dans les jurys ; Lutter contre les stéréotypes à l’embauche via notamment une campagne de sensibilisation et de communication ; Favoriser la représentation des femmes sur les plateaux, sans les cantonner à des stéréotypes ; Développer des ateliers sur ces sujets dans le cadre des rencontres professionnelles ; Promouvoir l’emploi des femmes de plus de 50 ans ; Action n° 3 : Égalité salariale et égal accès aux métiers et aux responsabilités L’égalité salariale et l’égal accès aux métiers et responsabilités constituent un objectif majeur pour les signataires du présent plan d’action. Ainsi, ils entendent encourager les entreprises du secteur à : Prévoir tout mécanisme permettant de résorber les écarts salariaux entre les femmes et les hommes, notamment la constitution d’une enveloppe spécifique dans le cadre de la négociation annuelle obligatoire affectée à la réduction du différentiel global entre les femmes et les hommes ; Appliquer la garantie d’évolution salariale aux salariés concernés par les congés de maternité, paternité ou d’adoption ; Assurer un égal accès des femmes et des hommes aux fonctions de direction et d’encadrement ; Informer les salariés embauchés à temps partiel que la possibilité leur est offerte de cotiser sur la base d’un temps plein, afin de réduire les inégalités qui s’accentuent à la retraite ; Promouvoir les congés familiaux auprès des salariés et veiller à ce que les absences pour congés maternité, paternité, parental, d’adoption et de proche aidant, ainsi que l’exercice d’une activité à temps partiel, ne fassent pas obstacle à l’évolution de carrière. Les signataires contribuant au financement des projets artistiques et culturels s’engagent à faire de la lutte contre les inégalités salariales un critère fort pour l’attribution de subventions et d’aides. Action n°4 : Équilibre vie professionnelle / vie privée La difficulté à articuler vie professionnelle et vie personnelle constitue un facteur induisant des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes. Cette difficulté se trouve renforcée dans le secteur du spectacle vivant, de l’audiovisuel et du cinéma, fait de la prédominance d’horaires de travail atypiques. L’amélioration de l’articulation entre vie professionnelle et vie privée passe par une prise de conscience au sein de nos professions et des entreprises, et par la participation active à la déconstruction des stéréotypes, notamment ceux liés aux responsabilités familiales. Les signataires du présent plan d’action s’engagent ainsi à encourager les entreprises du secteur et les branches à : Faciliter la mise en place des conditions favorisant la prise des congés familiaux ; Planifier des réunions de travail compatibles avec les contraintes familiales des salariés ; dans la mesure du possible, et selon les contraintes spécifiques à chaque entreprise, sauf pour les équipes ayant des horaires décalés ; Favoriser, tant pour les hommes que pour les femmes, les meilleures conditions pour l’accès au temps partiel choisi (répartition des horaires, conditions de travail et diminution réelle de la charge de travail) sans pénaliser les évolutions de carrière et de salaire ; Prendre en compte dans l’organisation et l’aménagement du temps de travail des entreprises les besoins liés au soutien familial (longue maladie d’un conjoint, d’un parent, d’un enfant, dépendance, enfant malade…) ; Favoriser la conclusion d’accords de télétravail lorsque l’activité des entreprises le permet ; Développer des chartes pour mettre en œuvre le droit à la déconnexion. Action n° 5 : Lutte contre les violences sexistes et sexuelles La lutte contre les agissements sexistes, le harcèlement sexuel et les violences sexuelles en milieu professionnel constitue une priorité pour les signataires du présent plan d’action. A ce titre, il convient de mettre en œuvre des mesures permettant d’agir concrètement dans ce domaine. Les signataires du présent plan s’engagent ainsi à entreprendre les actions suivantes : Mise en place d’une cellule d’écoute et de suivi sous l’égide d’Audiens, en collaboration avec le ministère de la Culture. Cette cellule doit permettre de répondre tout à la fois à des questions d’ordre pathologique ou de conseil juridique ; Promouvoir la formation des médecins du travail à ces questions afin de déclencher la parole lors des visites à la médecine du travail ; Promouvoir des outils de communication et d’information en direction des salariés et employeurs du secteur afin de les sensibiliser à la problématique. Un guide pourrait être ainsi rédigé en collaboration avec le ministère de la Culture, des informations pourraient être remises lors de l’embauche ; Promouvoir des formations spécifiques en direction des managers et des représentants du personnel ; Promouvoir la création d’une charte ou d’un label pour les castings et auditions. Les signataires entendent affirmer qu’il ne peut y avoir d’impunité dans l’entreprise pour les auteurs de violences sexistes ou sexuelles, que les faits aient été portés à la connaissance de l’employeur suite à un signalement à la justice, ou à des démarches en direction des représentants du personnel ou de la hiérarchie. En outre, il est rappelé que depuis le 1er janvier 2019 et conformément aux dispositions de l’article L1153- 5 du code du travail, l’employeur doit informer, par tout moyen, les salariés des voies de recours civiles et pénales ouvertes en matière de harcèlement sexuel ainsi que des coordonnées des autorités et des services compétents. L’employeur prend toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de harcèlement sexuel, d’y mettre un terme et de les sanctionner. Les signataires encouragent ainsi les entreprises à définir des modalités de procédure de recours interne pour les salariés victimes de violences sexuelles ou sexistes. Les branches professionnelles pourront mettre le sujet à l’ordre du jour de leurs instances pour aider les entreprises dans leur démarche. Les signataires s’engagent à promouvoir le présent plan d’action, notamment parmi leurs membres, leurs adhérents ou les structures partenaires. Un comité paritaire de pilotage aura la charge du déploiement des actions prévues au présent plan. Il établira et présentera un bilan annuel des mesures qui auront été prises. Fait à Paris le 8 juin …

12 juin 2020Actus-SPIactus-spi
“L’ordre des choses”, de Marc Fayet en diffusion samedi 13 juin sur Paris Première

Le label Bonne Pioche Spectacle est dédié à la production de captations de spectacles vivants de tous genres, pour les chaines de télévision et les plateformes. En cette période difficile pour le monde du spectacle, Paris Première soutient le théâtre en programmant une pièce chaque samedi soir. Samedi 13 juin à 20h50, la chaîne vous propose de voir ou revoir la captation de “L’ordre du jour” pièce produite par Bonne Pioche Télévision.

À soixante ans Bernard Hubert s’est enfin fixé et vit le parfait amour avec Juliette qui a plus de vingt ans de moins que lui. Seule petite ombre dans leur relation, Juliette aimerait avoir un enfant mais Bernard est stérile. Enfin c’est ce que croyait Juliette jusqu’à ce que Thomas, un sympathique trentenaire, fasse brusquement irruption et se présente comme étant le fils de Bernard. Le problème c’est que tout semble parfaitement véridique. Bernard va devoir maintenant expliquer à Juliette comment il a pu avoir un enfant et pourquoi il ne peut plus. Mission complexe pour celui qui savait sans savoir. Et bientôt, Juliette, succombe au charme de son supposé beau-fils

Peut-on désirer un enfant à tout prix ? Qu’implique la renonciation à la parentalité ? Pour rester dans le ton de la comédie, Richard Berry pose un casting aussi rock’n’roll que son décor : l’inénarrable Pascal Légitimus, l’irrésistible Valentin de Carbonnières, l’ensorcelante Pascale Louange. « Parce que je suis ton fils, je ne peux pas être l’amant de ta femme ? »

Autant le dire, l’ordre des choses est ici fort chahuté !

Texte Marc Fayet Mise en scène Richard Berry Scénographie Philippe Chiffre Assistante mise en scène Brigitte Villanueva Costumes Laurence Struz Lumières Thomas Hardmeier Son Michel Winogradoff

Le label Bonne Pioche Spectacle est dédié à la production de captations de spectacles vivants de tous genres, pour les chaines de télévision et les plateformes. En cette période difficile pour le monde du spectacle, Paris Première soutient le théâtre en programmant une pièce chaque samedi soir. Samedi 13 juin à 20h50, la chaîne vous propose de voir ou revoir la captation de “L’ordre du jour” pièce produite par Bonne Pioche Télévision. À soixante ans Bernard Hubert s’est enfin fixé et vit le parfait amour avec Juliette qui a plus de vingt ans de moins que lui. Seule petite ombre dans leur relation, Juliette aimerait avoir un enfant mais Bernard est stérile. Enfin c’est ce que croyait Juliette jusqu’à ce que Thomas, un sympathique trentenaire, fasse brusquement irruption et se présente comme étant le fils de Bernard. Le problème c’est que tout semble parfaitement véridique. Bernard va devoir maintenant expliquer à Juliette comment il a pu avoir un enfant et pourquoi il ne peut plus. Mission complexe pour celui qui savait sans savoir. Et bientôt, Juliette, succombe au charme de son supposé beau-fils Peut-on désirer un enfant à tout prix ? Qu’implique la renonciation à la parentalité ? Pour rester dans le ton de la comédie, Richard Berry pose un casting aussi rock’n’roll que son décor : l’inénarrable Pascal Légitimus, l’irrésistible Valentin de Carbonnières, l’ensorcelante Pascale Louange. « Parce que je suis ton fils, je ne peux pas être l’amant de ta femme ? » Autant le dire, l’ordre des choses est ici fort chahuté ! Texte Marc Fayet Mise en scène Richard Berry Scénographie Philippe Chiffre Assistante mise en scène Brigitte Villanueva Costumes Laurence Struz Lumières Thomas Hardmeier Son Michel …

12 juin 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le SPI sera présent à l’édition online du Festival International du Film d’Animation d’Annecy

Le rassemblement de professionnels et de passionnés du cinéma d’animation fait tous les ans d’Annecy le rendez-vous mondial de l’image animée. Parallèlement aux projections et à la compétition (longs métrages, courts métrages, films de télévision et de commande, films de fin d’étude), des avant-premières, retrospectives, hommages, dédicaces, expositions et projections en plein air jalonnent la semaine du festival et son marché le MIFA…Cette année, crise sanitaire oblige, le festival se déroule en ligne.

Depuis l’annonce d’une version en ligne du Festival d’Annecy et de son Marché le Mifa, le monde de l’animation se mobilise pour préparer l’édition 2020, qui se tiendra du 15 au 30 juin. Une édition qui entend refléter toute la richesse, la créativité, l’originalité, la spécificité et la profusion de la production audiovisuelle et cinématographique des œuvres d’animation. Auteurs, producteurs, acheteurs et studios continuent leur travail pour permettre au public de découvrir les prochains succès animés.

Afin d’accompagner les professionnels de l’animation à travers le monde et contribuer à la bonne santé du secteur, le Mifa a préparé une édition 2020 en ligne riche de contenus et de rencontres.

Des stands virtuels sont ainsi mis en place pour permettre à une seule personne (ou à des comités), après avoir construit son profil, de converser en direct par live-chat avec des représentants de pays tels que le Japon, la Chine, la Belgique, le Royaume-Uni, l’Argentine, le Mexique et l’Afrique du Sud…

Les « Pitchs Mifa » (mettant en avant chaque année les meilleurs projets de films d’animation, tous inédits et en développement) s’enrichissent de leur côté des « Pitchs Mifa BD » qui permettront à des auteurs d’évaluer avec des producteurs les possibilités d’adaptations de leurs œuvres.

Parmi les autres dispositifs : « Sessions Share With » (pour réserver un créneau avec les responsables d’acquisitions des principaux diffuseurs), « Industry Territory Focus » (pour découvrir les opportunités de coproduction à l’international), les « Conférences de presse » (organisées en live sessions questions-réponses avec les chaînes, plateformes et organisations professionnelles), les « Mifa Special Events » (pour écouter les prises de paroles institutionnelles)…

Dans l’espace « Vidéothèque », enfin, les producteurs peuvent mettre en ligne tous leurs contenus -une accréditation Mifa valant pour trois films. Ils peuvent s’inscrire depuis le 18 mai et les acheteurs peuvent d’ores et déjà consulter tout ce contenu.

Les maîtres-mots de cette édition si particulière du MIFA seront échanges, découvertes, rencontres, réseautage et bien sûr, négociations et achats !

Si la programmation prévue pour célébrer le 60e anniversaire ainsi que l’animation africaine est reportée à 2021, le reste de la sélection sera disponible sur la plateforme du festival. Une partie des films à découvrir en ligne cette année a été dévoilée.

PROGRAMME : https://www.annecy.org/programme

VIDEOS : https://www.online.annecy.org

Le rassemblement de professionnels et de passionnés du cinéma d’animation fait tous les ans d’Annecy le rendez-vous mondial de l’image animée. Parallèlement aux projections et à la compétition (longs métrages, courts métrages, films de télévision et de commande, films de fin d’étude), des avant-premières, retrospectives, hommages, dédicaces, expositions et projections en plein air jalonnent la semaine du festival et son marché le MIFA…Cette année, crise sanitaire oblige, le festival se déroule en ligne. Depuis l’annonce d’une version en ligne du Festival d’Annecy et de son Marché le Mifa, le monde de l’animation se mobilise pour préparer l’édition 2020, qui se tiendra du 15 au 30 juin. Une édition qui entend refléter toute la richesse, la créativité, l’originalité, la spécificité et la profusion de la production audiovisuelle et cinématographique des œuvres d’animation. Auteurs, producteurs, acheteurs et studios continuent leur travail pour permettre au public de découvrir les prochains succès animés. Afin d’accompagner les professionnels de l’animation à travers le monde et contribuer à la bonne santé du secteur, le Mifa a préparé une édition 2020 en ligne riche de contenus et de rencontres. Des stands virtuels sont ainsi mis en place pour permettre à une seule personne (ou à des comités), après avoir construit son profil, de converser en direct par live-chat avec des représentants de pays tels que le Japon, la Chine, la Belgique, le Royaume-Uni, l’Argentine, le Mexique et l’Afrique du Sud… Les « Pitchs Mifa » (mettant en avant chaque année les meilleurs projets de films d’animation, tous inédits et en développement) s’enrichissent de leur côté des « Pitchs Mifa BD » qui permettront à des auteurs d’évaluer avec des producteurs les possibilités d’adaptations de leurs œuvres. Parmi les autres dispositifs : « Sessions Share With » (pour réserver un créneau avec les responsables d’acquisitions des principaux diffuseurs), « Industry Territory Focus » (pour découvrir les opportunités de coproduction à l’international), les « Conférences de presse » (organisées en live sessions questions-réponses avec les chaînes, plateformes et organisations professionnelles), les « Mifa Special Events » (pour écouter les prises de paroles institutionnelles)… Dans l’espace « Vidéothèque », enfin, les producteurs peuvent mettre en ligne tous leurs contenus -une accréditation Mifa valant pour trois films. Ils peuvent s’inscrire depuis le 18 mai et les acheteurs peuvent d’ores et déjà consulter tout ce contenu. Les maîtres-mots de cette édition si particulière du MIFA seront échanges, découvertes, rencontres, réseautage et bien sûr, négociations et achats ! Si la programmation prévue pour célébrer le 60e anniversaire ainsi que l’animation africaine est reportée à 2021, le reste de la sélection sera disponible sur la plateforme du festival. Une partie des films à découvrir en ligne cette année a été dévoilée. PROGRAMME : https://www.annecy.org/programme VIDEOS : …

10 juin 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le Collège audiovisuel du SPI échange sur les conditions concrètes de reprise d’activité

La réunion du collège audiovisuel de la semaine dernière a été l’occasion d’échanges sur la question des conditions de la reprise d’activité, mais également sur celle du chômage partiel dans le cadre de cette reprise…des sujets encore abordés ce matin par les membres du collège.

***Alors que le Gouvernement n’a toujours pas rendu publique sa décision sur le chômage partiel dans le cadre de la reprise d’activité, le collège audiovisuel a de nouveau échangé sur la question. En effet, le SPI et les autres organisations professionnelles d’employeurs de l’audiovisuel et du cinéma, ainsi que des organisations syndicales et des associations d’auteurs-réalisateurs avaient envoyé un courrier aux ministres de l’économie et du travail afin d’obtenir le maintien du dispositif d’activité partielle en l’état pour le secteur, en exposant concrètement des exemples de situations où la reprise est tout simplement impossible du fait des mesures sanitaires.

Les producteurs veulent reprendre l’activité en pleine responsabilité, mais dans un contexte sécurisé. Ils sont nombreux à s’interroger sur les risques en cas de nouveau COVID, et aimeraient connaitre la position du CNC, quant au barème d’indemnisation finalement retenu.

Quels suite au courrier adressé à Bruno Le Maire (Lire ICI)

En annonçant, dans son communiqué du 25 mai, son intention au 1er juin de réduire le remboursement de l’indemnité d’activité partielle versée aux salariés par les employeurs de 100% de l’indemnité à 85% et de rembourser les entreprises à hauteur de 60% du salaire brut au lieu des 70% actuels (sauf « dans les secteurs faisant l’objet de restrictions législatives ou réglementaires particulières en raison de la crise sanitaire »), le Gouvernement a surpris. Cette mesure n’est pas encore actée puisqu’il faudra d’abord validation d’un projet de loi au parlement et publication d’un décret.

Les axes principaux qui sont ressortis de la réunion de collège de mercredi ont également portés sur la situation des producteurs contraints de définitivement arrêter leurs tournages et les producteurs de documentaires, notamment ceux tournant ou ayant démarré des tournages à l’étranger, pour qui rien n’est fait ou prévu. Ce qui, à titre d’exemple n’est pas le cas au Canada, où l’Etat a mis en place une prise en charge pour ces producteurs.

***Le Gouvernement vient de prolonger le dispositif de chômage partiel que nous appelions de nos vœux (Mise à jour du 11 Juin 2020)

A LIRE EGALEMENT

Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire »

Production audiovisuelle et cinématographique : les conditions de la reprise sont-elles réunies ?

Courrier commun à Bruno Le Maire concernant l’activité partielle

TRIBUNE – “Une mobilisation solidaire pour relancer la création française !” par Simon Arnal (SPI)

La réunion du collège audiovisuel de la semaine dernière a été l’occasion d’échanges sur la question des conditions de la reprise d’activité, mais également sur celle du chômage partiel dans le cadre de cette reprise…des sujets encore abordés ce matin par les membres du collège. ***Alors que le Gouvernement n’a toujours pas rendu publique sa décision sur le chômage partiel dans le cadre de la reprise d’activité, le collège audiovisuel a de nouveau échangé sur la question. En effet, le SPI et les autres organisations professionnelles d’employeurs de l’audiovisuel et du cinéma, ainsi que des organisations syndicales et des associations d’auteurs-réalisateurs avaient envoyé un courrier aux ministres de l’économie et du travail afin d’obtenir le maintien du dispositif d’activité partielle en l’état pour le secteur, en exposant concrètement des exemples de situations où la reprise est tout simplement impossible du fait des mesures sanitaires. Les producteurs veulent reprendre l’activité en pleine responsabilité, mais dans un contexte sécurisé. Ils sont nombreux à s’interroger sur les risques en cas de nouveau COVID, et aimeraient connaitre la position du CNC, quant au barème d’indemnisation finalement retenu. Quels suite au courrier adressé à Bruno Le Maire (Lire ICI) En annonçant, dans son communiqué du 25 mai, son intention au 1er juin de réduire le remboursement de l’indemnité d’activité partielle versée aux salariés par les employeurs de 100% de l’indemnité à 85% et de rembourser les entreprises à hauteur de 60% du salaire brut au lieu des 70% actuels (sauf « dans les secteurs faisant l’objet de restrictions législatives ou réglementaires particulières en raison de la crise sanitaire »), le Gouvernement a surpris. Cette mesure n’est pas encore actée puisqu’il faudra d’abord validation d’un projet de loi au parlement et publication d’un décret. Les axes principaux qui sont ressortis de la réunion de collège de mercredi ont également portés sur la situation des producteurs contraints de définitivement arrêter leurs tournages et les producteurs de documentaires, notamment ceux tournant ou ayant démarré des tournages à l’étranger, pour qui rien n’est fait ou prévu. Ce qui, à titre d’exemple n’est pas le cas au Canada, où l’Etat a mis en place une prise en charge pour ces producteurs. ***Le Gouvernement vient de prolonger le dispositif de chômage partiel que nous appelions de nos vœux (Mise à jour du 11 Juin 2020) A LIRE EGALEMENT Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » Production audiovisuelle et cinématographique : les conditions de la reprise sont-elles réunies ? Courrier commun à Bruno Le Maire concernant l’activité partielle TRIBUNE – “Une mobilisation solidaire pour relancer la création française !” par Simon Arnal …

10 juin 2020Actus-SPIactus-spi
Lettre des syndicats de producteurs à l’attention de M. Alain Weill, Président du groupe NextRadioTV

A l’attention de M. Alain Weill

Président Directeur Général

Altice France

16, rue du Général Alain de Boissieu

75015 Paris

Paris, le 5 juin 2020

Monsieur le Président,

De nombreux producteurs, membres de nos différents syndicats, avec lesquels vous travaillez régulièrement depuis plusieurs années, nous ont alerté ces derniers jours suite à des échanges avec vos équipes.

Il a été demandé aux producteurs de suspendre les productions en cours avec vos différentes antennes, le temps d’une revue générale de vos investissements. La possibilité d’une rupture contractuelle a même parfois été clairement évoquée.

Nous ne pouvons que vous faire part de notre stupéfaction si ces informations devaient se confirmer. La crise sanitaire à laquelle sont confrontés notre pays et l’économie française est d’une ampleur sans précédent. Nous sommes parfaitement conscients qu’elle a un impact majeur sur les recettes publicitaires des éditeurs de services. Néanmoins, elle n’autorise pas une rupture unilatérale des engagements contractuels de RMC Découverte ou de RMC Story avec des producteurs qui ont engagé des sommes importantes pour répondre à vos impératifs de livraison et mobilisé pour un certain nombre d’entre eux du soutien automatique ou sélectif auprès du CNC.

Nous tenons par la présente à rappeler au besoin que si de nombreux contrats n’ont pas pu être signés dans la période de confinement que nous venons de traverser les multiples échanges par mails que vos équipes ont pu avoir avec les producteurs concernés ont valeur de contrat.

Cette situation est d’autant plus regrettable que le groupe NextRadioTV est devenu en quelques années un partenaire important pour les producteurs de documentaire et de reportage avec des investissements en progression constante. Vous aviez déclaré en début d’année à l’occasion du dernier FIPADOC que le groupe entendait renforcer ses investissements, notamment au travers de RMC Story. Face à la crise que nous traversons, la solidarité de la filière est plus que jamais nécessaire. C’est en ce sens que nous nous sommes associés à la demande des éditeurs de services auprès des pouvoirs publics de mettre en place un crédit d’impôt pour relancer les investissements publicitaires des annonceurs.

Nous sollicitons sans attendre une réunion en visioconférence qui permettra, nous l’espérons, d’éviter que cette situation d’incertitude perdure.

Dans cette attente, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l’expression de notre respectueuse considération.

Signataires :
Thomas ANARGYROS, Président de l’USPA
Nicolas COPPERMANN, Président du SPECT
Christian GERIN, Président du SATEV
Simon ARNAL, Vice-Président du SPI en charge de l’audiovisuel

Copies :
Monsieur Roch-Olivier Maistre, Président du CSA
Monsieur Dominique Boutonnat, Président du CNC

Suite de l’article à lire sur www.lefilmfrancais.com © Le Film Français ©

A l’attention de M. Alain Weill Président Directeur Général Altice France 16, rue du Général Alain de Boissieu 75015 Paris Paris, le 5 juin 2020 Monsieur le Président, De nombreux producteurs, membres de nos différents syndicats, avec lesquels vous travaillez régulièrement depuis plusieurs années, nous ont alerté ces derniers jours suite à des échanges avec vos équipes. Il a été demandé aux producteurs de suspendre les productions en cours avec vos différentes antennes, le temps d’une revue générale de vos investissements. La possibilité d’une rupture contractuelle a même parfois été clairement évoquée. Nous ne pouvons que vous faire part de notre stupéfaction si ces informations devaient se confirmer. La crise sanitaire à laquelle sont confrontés notre pays et l’économie française est d’une ampleur sans précédent. Nous sommes parfaitement conscients qu’elle a un impact majeur sur les recettes publicitaires des éditeurs de services. Néanmoins, elle n’autorise pas une rupture unilatérale des engagements contractuels de RMC Découverte ou de RMC Story avec des producteurs qui ont engagé des sommes importantes pour répondre à vos impératifs de livraison et mobilisé pour un certain nombre d’entre eux du soutien automatique ou sélectif auprès du CNC. Nous tenons par la présente à rappeler au besoin que si de nombreux contrats n’ont pas pu être signés dans la période de confinement que nous venons de traverser les multiples échanges par mails que vos équipes ont pu avoir avec les producteurs concernés ont valeur de contrat. Cette situation est d’autant plus regrettable que le groupe NextRadioTV est devenu en quelques années un partenaire important pour les producteurs de documentaire et de reportage avec des investissements en progression constante. Vous aviez déclaré en début d’année à l’occasion du dernier FIPADOC que le groupe entendait renforcer ses investissements, notamment au travers de RMC Story. Face à la crise que nous traversons, la solidarité de la filière est plus que jamais nécessaire. C’est en ce sens que nous nous sommes associés à la demande des éditeurs de services auprès des pouvoirs publics de mettre en place un crédit d’impôt pour relancer les investissements publicitaires des annonceurs. Nous sollicitons sans attendre une réunion en visioconférence qui permettra, nous l’espérons, d’éviter que cette situation d’incertitude perdure. Dans cette attente, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l’expression de notre respectueuse considération. Signataires :Thomas ANARGYROS, Président de l’USPANicolas COPPERMANN, Président du SPECTChristian GERIN, Président du SATEVSimon ARNAL, Vice-Président du SPI en charge de l’audiovisuel Copies :Monsieur Roch-Olivier Maistre, Président du CSAMonsieur Dominique Boutonnat, Président du …

9 juin 2020Actus-SPIactus-spi
Le ROC s’inquiète de l’avenir du court métrage chez Canal+

Le Regroupement des organisations du court (ROC) s’interroge sur l’engagement de Canal+ en matière de court métrage. Depuis plusieurs mois, réalisateurs et producteurs sont privés d’interlocuteurs au sein du groupe pour la présentation de projets.

Canal+ n’a pas donné d’indications sur l’avenir de sa politique d’investissements en préachats comme d’éditorialisation et de diffusion du court. Les professionnels attendaient des réponses à Clermont-Ferrand, en février mais n’ont pas reçu d’éclaircissements. Le ROC avait fait part de ces interrogations et attentes auprès du CNC.

En prises de vue réelle comme en animation, l’engagement de Canal+ pour le court métrage est un pari historique du groupe, toujours aussi réussi ces dernières années. Il s’agit d’un partenariat décisif pour un secteur unique au monde, fort d’un réseau culturel et économique de diffusion et de promotion. Avec le court-métrage, Canal+ est aussi un partenaire indispensable du renouvellement du cinéma français et de l’émergence de nouveaux talents.

Le ROC tient à saluer le travail accompli par Pascale Faure et son équipe au service du court au sein du groupe. Pendant des années, ils ont accompagné l’émergence, insufflé un esprit singulier dans l’engagement de Canal+. Le ROC leur souhaite le meilleur pour la suite, et espère mener une coopération constructive auprès de la prochaine équipe.

Ces départs interrogent, et ravivent toutes les inquiétudes des professionnels sur les orientations du groupe. Après plusieurs mois d’incertitude, nous attendons aujourd’hui des réponses.

ROC — c / o SPI — 4 cité Griset, 75011 Paris — tel. 01 44 70 70 44 et SRF — 14, rue Alexandre Parodi, 75010 Paris — tel. 01 44 89 99 99

Le Regroupement des organisations du court (ROC) s’interroge sur l’engagement de Canal+ en matière de court métrage. Depuis plusieurs mois, réalisateurs et producteurs sont privés d’interlocuteurs au sein du groupe pour la présentation de projets. Canal+ n’a pas donné d’indications sur l’avenir de sa politique d’investissements en préachats comme d’éditorialisation et de diffusion du court. Les professionnels attendaient des réponses à Clermont-Ferrand, en février mais n’ont pas reçu d’éclaircissements. Le ROC avait fait part de ces interrogations et attentes auprès du CNC. En prises de vue réelle comme en animation, l’engagement de Canal+ pour le court métrage est un pari historique du groupe, toujours aussi réussi ces dernières années. Il s’agit d’un partenariat décisif pour un secteur unique au monde, fort d’un réseau culturel et économique de diffusion et de promotion. Avec le court-métrage, Canal+ est aussi un partenaire indispensable du renouvellement du cinéma français et de l’émergence de nouveaux talents. Le ROC tient à saluer le travail accompli par Pascale Faure et son équipe au service du court au sein du groupe. Pendant des années, ils ont accompagné l’émergence, insufflé un esprit singulier dans l’engagement de Canal+. Le ROC leur souhaite le meilleur pour la suite, et espère mener une coopération constructive auprès de la prochaine équipe. Ces départs interrogent, et ravivent toutes les inquiétudes des professionnels sur les orientations du groupe. Après plusieurs mois d’incertitude, nous attendons aujourd’hui des réponses. ROC — c / o SPI — 4 cité Griset, 75011 Paris — tel. 01 44 70 70 44 et SRF — 14, rue Alexandre Parodi, 75010 Paris — tel. 01 44 89 99 …

9 juin 2020Actus-SPIactus-spi
COMMUNIQUÉ : Le Groupe Canal+ oublierait-il le court métrage ?

Depuis l’automne dernier les producteurs français sont inquiets et partagent les appréhensions de tout le secteur, en ce qui concerne l’engagement de Canal+, partenaire majeur du court métrage.

Après des mois d’absence de visibilité sur la politique du groupe, elle semble désormais à l’arrêt. Les producteurs et les créateurs se retrouvent privés d’interlocuteurs pour la présentation de leurs projets. Ce gel paralyse les engagements de Canal+ et fragilise l’ensemble du secteur, avec des conséquences lourdes sur la continuité de la création dans les mois à venir, au moment où une crise profonde frappe de plein fouet le monde du cinéma.

Lors de la dernière édition du Festival de Clermont-Ferrand, une position claire était attendue de la part de Canal+ sur son soutien réaffirmé au court métrage, que ce soit en matière d’investissements en préachats dans les œuvres, ou de leur exposition dans une case éditorialisée, essentielle pour assurer le lien avec le public.

Six mois plus tard, aucune réponse n’a été apportée à ces inquiétudes.

Le Syndicat des Producteurs indépendants tient à rappeler que le soutien du Groupe CANAL+ au court-métrage a été et reste indispensable pour porter les nouvelles générations de créateurs du cinéma et de l’audiovisuel français. Aujourd’hui même, la sélection 2020 du Festival de Cannes présente de jeunes réalisateurs qui ont été accompagnés par Canal+ dans ce cadre, comme Just Philippot. De la même manière, ont été révélés des cinéastes comme Ladj Ly, dont le court métrage « Les Misérables » a remporté le prix Canal+ au Festival de Clermont-Ferrand en 2017, ou encore Xavier Legrand, Julia Ducournau, Yann Gonzalez… Enfin, l’engagement historique de Canal+ pour le court métrage d’animation a grandement favorisé la structuration du secteur et l’émergence des talents de l’animation indépendante.

C’est ainsi que le SPI tient à saluer le travail accompli par Pascale Faure et son équipe, pendant de nombreuses années, au service du court métrage. Leur action en faveur de la création a permis l’émergence continue de nouveaux talents. Les producteurs du SPI les remercient pour leur engagement, et leur souhaitent le meilleur pour la suite de leurs parcours, impatients de relancer au plus vite une coopération constructive avec la nouvelle équipe choisie par CANAL+, dès qu’elle sera connue.

 

Depuis l’automne dernier les producteurs français sont inquiets et partagent les appréhensions de tout le secteur, en ce qui concerne l’engagement de Canal+, partenaire majeur du court métrage. Après des mois d’absence de visibilité sur la politique du groupe, elle semble désormais à l’arrêt. Les producteurs et les créateurs se retrouvent privés d’interlocuteurs pour la présentation de leurs projets. Ce gel paralyse les engagements de Canal+ et fragilise l’ensemble du secteur, avec des conséquences lourdes sur la continuité de la création dans les mois à venir, au moment où une crise profonde frappe de plein fouet le monde du cinéma. Lors de la dernière édition du Festival de Clermont-Ferrand, une position claire était attendue de la part de Canal+ sur son soutien réaffirmé au court métrage, que ce soit en matière d’investissements en préachats dans les œuvres, ou de leur exposition dans une case éditorialisée, essentielle pour assurer le lien avec le public. Six mois plus tard, aucune réponse n’a été apportée à ces inquiétudes. Le Syndicat des Producteurs indépendants tient à rappeler que le soutien du Groupe CANAL+ au court-métrage a été et reste indispensable pour porter les nouvelles générations de créateurs du cinéma et de l’audiovisuel français. Aujourd’hui même, la sélection 2020 du Festival de Cannes présente de jeunes réalisateurs qui ont été accompagnés par Canal+ dans ce cadre, comme Just Philippot. De la même manière, ont été révélés des cinéastes comme Ladj Ly, dont le court métrage « Les Misérables » a remporté le prix Canal+ au Festival de Clermont-Ferrand en 2017, ou encore Xavier Legrand, Julia Ducournau, Yann Gonzalez… Enfin, l’engagement historique de Canal+ pour le court métrage d’animation a grandement favorisé la structuration du secteur et l’émergence des talents de l’animation indépendante. C’est ainsi que le SPI tient à saluer le travail accompli par Pascale Faure et son équipe, pendant de nombreuses années, au service du court métrage. Leur action en faveur de la création a permis l’émergence continue de nouveaux talents. Les producteurs du SPI les remercient pour leur engagement, et leur souhaitent le meilleur pour la suite de leurs parcours, impatients de relancer au plus vite une coopération constructive avec la nouvelle équipe choisie par CANAL+, dès qu’elle sera connue. …

4 juin 2020Actus-SPIactus-spi
Le « guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire »

Les partenaires sociaux des branches de la production audiovisuelle et cinématographique ont finalisé leurs travaux sur les conditions sanitaires de la reprise. Le « guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » est le résultat du dialogue social au sein des instances paritaires que sont les comités centraux d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) de nos branches.

Ce guide constitue un « socle commun de prévention » spécifique à l’activité de production et complémentaire aux dispositifs mis en place aux niveaux national et local par les autorités administratives (gestes barrières, protocole national de déconfinement, autorisations de tournage…), un ensemble de recommandations et de pistes de réflexion afin d’anticiper les questions que peuvent poser la reprise d’activité de production.

Des « fiches métiers/activités » compléteront au fur et à mesure ce socle commun de prévention, qui pourra évoluer en fonction des retours d’expérience des professionnels et des réglementations.

Toutes les mesures proposées doivent être adaptées au cas par cas à chaque entreprise en fonction de ses effectifs, de l’environnement de travail, de la nature des activités…

Ce socle de recommandations – issu d’un dialogue entre les organisations professionnelles de producteurs et les organisations syndicales représentatives de salariés dans les secteurs de la production cinématographique et audiovisuelle – vise à accompagner la reprise des tournages dans la priorité absolue que constitue la sécurité et la santé des équipes.

Il reprend les consignes de l’État pour la prévention des risques liés au coronavirus (Covid-19) et est appelé à évoluer en fonction des retours d’expérience des professionnels, des consignes gouvernementales et de l’évolution de la crise sanitaire.

QUELQUES INFORMATIONS :

Coordonnées médecins du travail :

Médecin coordinateur : Claude David Markus (CD.MARKUS@cmb.asso.fr)
Médecin référent cinéma : Marie Christine Tran (MC.TRAN@cmb.asso.fr)
Médecin référent audiovisuel : Vy Sock (V.SOCK@cmb.asso.fr)

Coordonnées délégués CCHSCT :

CCHSCT cinéma : Didier Carton (didier.carton@cchscinema.org)
CCHSCT audiovisuel : Ghania Tabourga (ghania.tabourga@chsctaudiovisuel.org)

Les partenaires sociaux des branches de la production audiovisuelle et cinématographique ont finalisé leurs travaux sur les conditions sanitaires de la reprise. Le « guide de préconisations de sécurité sanitaire pour les activités de production audiovisuelle, cinématographique et publicitaire » est le résultat du dialogue social au sein des instances paritaires que sont les comités centraux d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) de nos branches. Ce guide constitue un « socle commun de prévention » spécifique à l’activité de production et complémentaire aux dispositifs mis en place aux niveaux national et local par les autorités administratives (gestes barrières, protocole national de déconfinement, autorisations de tournage…), un ensemble de recommandations et de pistes de réflexion afin d’anticiper les questions que peuvent poser la reprise d’activité de production. Des « fiches métiers/activités » compléteront au fur et à mesure ce socle commun de prévention, qui pourra évoluer en fonction des retours d’expérience des professionnels et des réglementations. Toutes les mesures proposées doivent être adaptées au cas par cas à chaque entreprise en fonction de ses effectifs, de l’environnement de travail, de la nature des activités… Ce socle de recommandations – issu d’un dialogue entre les organisations professionnelles de producteurs et les organisations syndicales représentatives de salariés dans les secteurs de la production cinématographique et audiovisuelle – vise à accompagner la reprise des tournages dans la priorité absolue que constitue la sécurité et la santé des équipes. Il reprend les consignes de l’État pour la prévention des risques liés au coronavirus (Covid-19) et est appelé à évoluer en fonction des retours d’expérience des professionnels, des consignes gouvernementales et de l’évolution de la crise sanitaire. QUELQUES INFORMATIONS : Coordonnées médecins du travail : Médecin coordinateur : Claude David Markus (CD.MARKUS@cmb.asso.fr)Médecin référent cinéma : Marie Christine Tran (MC.TRAN@cmb.asso.fr)Médecin référent audiovisuel : Vy Sock (V.SOCK@cmb.asso.fr) Coordonnées délégués CCHSCT : CCHSCT cinéma : Didier Carton (didier.carton@cchscinema.org)CCHSCT audiovisuel : Ghania Tabourga …

27 mai 2020Actus-SPIactus-spi
Courrier commun à Bruno Le Maire concernant l’activité partielle

Le Ministère du Travail annonçait le 25 mai dernier dans un communiqué son intention de réduire le remboursement de l’indemnité d’activité partielle versée aux salariés par les employeurs : de 100% de l’indemnité, elle passerait à 85% au 1er juin 2020, sauf « dans les secteurs faisant l’objet de restrictions législatives ou réglementaires particulières en raison de la crise sanitaire ». Cette mesure n’est pas encore actée puisqu’il faudra d’abord validation d’un projet de loi au parlement et publication d’un décret.

Le SPI a immédiatement réagi à cette annonce en envoyant, avec les autres organisations professionnelles d’employeurs de l’audiovisuel et du cinéma, des organisations syndicales et des associations d’auteurs-réalisateurs, un courrier aux ministres de l’économie et du travail afin d’obtenir le maintien du dispositif d’activité partielle en l’état pour notre secteur, en expliquant concrètement des exemples de situations où la reprise est tout simplement impossible du fait des mesures sanitaires.

Paris, le 25 mai 2020
M. Bruno LE MAIRE,
Ministre de l’Économie et des Finances
139 rue de Bercy
75012 PARIS

Monsieur le Ministre,

De toutes les mesures adoptées par le Gouvernement pour faire face à l’arrêt d’activités économiques en raison de la crise sanitaire actuelle, la plus efficace et celle qui a été le plus utilisée par les sociétés de production, grandes et petites, est le remboursement par l’État des indemnités d’activité partielle versées à nos salariés permanents et intermittents. Elle a permis une sauvegarde des emplois, particulièrement importante dans une industrie où les talents sont essentiels et doivent être conservés pour affirmer notre souveraineté culturelle.

Le Président de la République s’est engagé à ce que ce dispositif soit maintenu dans les secteurs que les mesures sanitaires toujours en cours empêchent de redémarrer. Nous tenons à vous préciser que le secteur de la production audiovisuelle et cinématographique est dans ce cas, bloqué pour plusieurs mois encore. Malgré tous les efforts que nous faisons collectivement pour créer les conditions d’une reprise rapide des tournages, que ce soit par l’adoption de préconisations sanitaires spécifiques ou par la mise en place d’un fonds d’indemnisation sous l’égide du CNC, qui doit rapidement venir pallier le refus des assureurs de prendre en charge le risque COVID-19 sur les tournages.

La reprise partielle restera, dans un premier temps, limitée pour l’essentiel aux feuilletons quotidiens ou à quelques programmes en plateau, et ce pour plusieurs raisons structurelles:

• Le temps de préparation d’un tournage : identification des sites et studios, autorisations et réservations, nécessité de réécriture de certaines scènes du scénario, agrégation progressive de l’ensemble des professionnels pour engager le déroulement harmonieux des opérations qui s’enchaînent ensuite pendant plusieurs semaines. Ce temps de préparation et la difficulté d’obtenir les autorisations de tournage dans le contexte sanitaire actuel vont conduire à un redémarrage très progressif de l’activité au cours de l’été à venir.

• La dimension internationale de notre industrie : comme vous le savez, l’internationalisation des marchés audiovisuels et cinématographiques est une tendance de fond, dans laquelle nos sociétés de production sont fortement engagées, afin de favoriser le rayonnement de la France dans le monde et de contribuer à notre croissance : nombreux sont les documentaires français à se tourner à l’international, les séries sont le plus souvent produites en vue d’une distribution mondiale, tous les longs métrages intègrent cette dimension, soit au niveau du réalisateur, soit des acteurs, soit des distributeurs appelés à les diffuser ensuite. Là-encore, nous sommes bloqués par l’interdiction des déplacements et l’impossibilité d’assurer à distance les tâches très concrètes de tournage, réalisation et même de post-production, qui impliquent des équipes internationales voire pour la plupart des films des décors situés dans plusieurs pays auxquels les restrictions sanitaires interdisent encore l’accès.

• La panne généralisée de toute la chaîne de distribution de nos productions : d’une part du fait de la fermeture des salles, d’autre part du fait de l’annulation des festivals et marchés qui permettent de vendre œuvres audiovisuelles et cinématographiques, enfin parce que l’ensemble des acheteurs, qu’il s’agisse de distributeurs ou de diffuseurs, ont de fait cessé de commander de nouveaux programmes, dans la mesure où les délais de réalisation sont soumis à de nombreuses incertitudes et que leurs propres recettes, pour les acteurs financés par la publicité, sont en chute libre.

• La fermeture d’un certain nombre de lieux de spectacle qui touche plus particulièrement la captation audiovisuelle de spectacles vivants et les divertissements culturels : en l’absence de concerts, de représentations théâtrales et chorégraphiques, comme de festivals, leur activité restera tout simplement à l’arrêt.

Dans ces conditions, une reprise significative de l’activité de la plupart des sociétés de production cinématographique et audiovisuelle n’aura pas lieu avant la fin de l’été 2020.

Nous tenons en outre tout spécialement à attirer votre attention sur le cas spécifique de certaines entreprises qui sont à l’avant-garde de nos capacités d’exportations culturelles et qui pourraient connaître une période d’inactivité plus longue encore :

o celles qui produisent des documentaires internationaux imposant des déplacements hors de nos frontières, dans les domaines animalier, social, économique, historique, ethnographique, investigation,

o celles qui produisent des films, fictions et séries à vocation internationale, réclamant l’engagement de distributeurs ou diffuseurs européens et extra-européens et la mobilisation d’équipes issues de plusieurs pays,

o celles qui se consacrent à la captation audiovisuelle de spectacles vivants et aux divertissements, si les spectacles qu’elles couvrent restent interdits pendants de longs mois.

Ainsi que nous l’avons dit, les producteurs sont aujourd’hui totalement mobilisés pour relancer notre industrie cinématographique et audiovisuelle, dans les délais les plus brefs, afin de faire cesser l’hémorragie qu’ils subissent en termes de chiffre d’affaires. Notre priorité est donc la reprise d’activité dès que possible, mais la préservation de notre capacité de rebond dépend dans un premier temps, et pour la plupart a minima jusqu’à la fin de l’été, du maintien de la mesure de remboursement aux employeurs des indemnités d’activité partielle par l’État selon le modalités actuellement en vigueur sachant que ce remboursement ne couvre pas, d’ores et déjà, les charges qui y sont associées, et que nous continuons à supporter également les frais fixes du fonctionnement de nos structures. La relance, pour être réussie, ne pourrait pas s’appuyer sur un tissu d’entreprises certes très performantes, mais qu’une période prolongée d’inactivité forcée laisserait exsangues.

Cette mesure est absolument essentielle d’une part, pour éviter les licenciements économiques d’emplois pérennes parmi les permanents des sociétés de production, d’autre part, pour permettre aux entreprises de reprendre rapidement des engagements sur l’embauche d’intermittents du spectacle, et amorcer ainsi leur reprise d’activité.

Par ailleurs, pour toutes celles qui vont pouvoir ponctuellement relancer des tournages, elles restent confrontées à des risques de déclaration d’infections COVID-19 en dépit des mesures sanitaires prises avec pour conséquence très certainement un arrêt du tournage et la nécessité de pouvoir dans ce cas bénéficier du recours au chômage partiel.

Toutes ces raisons vous permettent de mieux comprendre la demande exprimée par la FESAC, dans sa lettre ouverte du 13 mai 2020 au Président de la République, qui plaide pour un maintien du remboursement de l’activité partielle selon les modalités actuellement en vigueur, pour les entreprises du champ de la culture, pendant au moins dix-huit mois. Au moment où les plateformes internationales de diffusion en ligne tirent le plus grand bénéfice de la crise sanitaire et consolident leurs parts de marché, il y va de la survie des pans les plus dynamiques et novateurs d’une industrie de prototypes à forte valeur ajoutée, secteur qui participe autant que l’automobile ou l’aéronautique au PNB français, et très fortement à l’emploi dans notre pays. Le renforcement de notre industrie audiovisuelle et cinématographique constitue donc bien aujourd’hui un enjeu économique majeur, et la relance d’un champion national.

En vous remerciant de l’attention que vous accorderez à l’ensemble de ces éléments d’appréciation de notre situation spécifique, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, au nom des Producteurs indépendants de cinéma et d’audiovisuel et des Organisations syndicales de cette filière, l’expression de notre haute considération.

Thomas ANARGYROS, Président de l’USPA, Dominique ATTAL, Groupe 25 Images, Frédéric BRILLION, Président de l’UPC, Françoise CHAZAUD, Secrétaire générale de la FASAP FO, Nicolas COPPERMANN, Président du SPECT, Elizabeth DREVILLON, Présidente de la GARRD, Sidonie DUMAS, Présidente de l’API, Sélim FARES, Secrétaire général adjoint de l’USNA-CFTC, Christophe PAULY, Secrétaire national de la F3C CFDT, Christian GERIN, Président du SATEV, Pascal ROGARD, Directeur général de la SACD, Hervé RONY, Directeur général de la SCAM, Gilles SACUTO, Président du SPI

Copies :

Franck RIESTER, Ministre de la Culture, Muriel PENICAUD, Ministre du Travail, et Dominique BOUTONNAT, Président du CNC

Le Ministère du Travail annonçait le 25 mai dernier dans un communiqué son intention de réduire le remboursement de l’indemnité d’activité partielle versée aux salariés par les employeurs : de 100% de l’indemnité, elle passerait à 85% au 1er juin 2020, sauf « dans les secteurs faisant l’objet de restrictions législatives ou réglementaires particulières en raison de la crise sanitaire ». Cette mesure n’est pas encore actée puisqu’il faudra d’abord validation d’un projet de loi au parlement et publication d’un décret. Le SPI a immédiatement réagi à cette annonce en envoyant, avec les autres organisations professionnelles d’employeurs de l’audiovisuel et du cinéma, des organisations syndicales et des associations d’auteurs-réalisateurs, un courrier aux ministres de l’économie et du travail afin d’obtenir le maintien du dispositif d’activité partielle en l’état pour notre secteur, en expliquant concrètement des exemples de situations où la reprise est tout simplement impossible du fait des mesures sanitaires. Paris, le 25 mai 2020M. Bruno LE MAIRE,Ministre de l’Économie et des Finances 139 rue de Bercy75012 PARIS Monsieur le Ministre, De toutes les mesures adoptées par le Gouvernement pour faire face à l’arrêt d’activités économiques en raison de la crise sanitaire actuelle, la plus efficace et celle qui a été le plus utilisée par les sociétés de production, grandes et petites, est le remboursement par l’État des indemnités d’activité partielle versées à nos salariés permanents et intermittents. Elle a permis une sauvegarde des emplois, particulièrement importante dans une industrie où les talents sont essentiels et doivent être conservés pour affirmer notre souveraineté culturelle. Le Président de la République s’est engagé à ce que ce dispositif soit maintenu dans les secteurs que les mesures sanitaires toujours en cours empêchent de redémarrer. Nous tenons à vous préciser que le secteur de la production audiovisuelle et cinématographique est dans ce cas, bloqué pour plusieurs mois encore. Malgré tous les efforts que nous faisons collectivement pour créer les conditions d’une reprise rapide des tournages, que ce soit par l’adoption de préconisations sanitaires spécifiques ou par la mise en place d’un fonds d’indemnisation sous l’égide du CNC, qui doit rapidement venir pallier le refus des assureurs de prendre en charge le risque COVID-19 sur les tournages. La reprise partielle restera, dans un premier temps, limitée pour l’essentiel aux feuilletons quotidiens ou à quelques programmes en plateau, et ce pour plusieurs raisons structurelles: • Le temps de préparation d’un tournage : identification des sites et studios, autorisations et réservations, nécessité de réécriture de certaines scènes du scénario, agrégation progressive de l’ensemble des professionnels pour engager le déroulement harmonieux des opérations qui s’enchaînent ensuite pendant plusieurs semaines. Ce temps de préparation et la difficulté d’obtenir les autorisations de tournage dans le contexte sanitaire actuel vont conduire à un redémarrage très progressif de l’activité au cours de l’été à venir. • La dimension internationale de notre industrie : comme vous le savez, l’internationalisation des marchés audiovisuels et cinématographiques est une tendance de fond, dans laquelle nos sociétés de production sont fortement engagées, afin de favoriser le rayonnement de la France dans le monde et de contribuer à notre croissance : nombreux sont les documentaires français à se tourner à l’international, les séries sont le plus souvent produites en vue d’une distribution mondiale, tous les longs métrages intègrent cette dimension, soit au niveau du réalisateur, soit des acteurs, soit des distributeurs appelés à les diffuser ensuite. Là-encore, nous sommes bloqués par l’interdiction des déplacements et l’impossibilité d’assurer à distance les tâches très concrètes de tournage, réalisation et même de post-production, qui impliquent des équipes internationales voire pour la plupart des films des décors situés dans plusieurs pays auxquels les restrictions sanitaires interdisent encore l’accès. • La panne généralisée de toute la chaîne de distribution de nos productions : d’une part du fait de la fermeture des salles, d’autre part du fait de l’annulation des festivals et marchés qui permettent de vendre œuvres audiovisuelles et cinématographiques, enfin parce que l’ensemble des acheteurs, qu’il s’agisse de distributeurs ou de diffuseurs, ont de fait cessé de commander de nouveaux programmes, dans la mesure où les délais de réalisation sont soumis à de nombreuses incertitudes et que leurs propres recettes, pour les acteurs financés par la publicité, sont en chute libre. • La fermeture d’un certain nombre de lieux de spectacle qui touche plus particulièrement la captation audiovisuelle de spectacles vivants et les divertissements culturels : en l’absence de concerts, de représentations théâtrales et chorégraphiques, comme de festivals, leur activité restera tout simplement à l’arrêt. Dans ces conditions, une reprise significative de l’activité de la plupart des sociétés de production cinématographique et audiovisuelle n’aura pas lieu avant la fin de l’été 2020. Nous tenons en outre tout spécialement à attirer votre attention sur le cas spécifique de certaines entreprises qui sont à l’avant-garde de nos capacités d’exportations culturelles et qui pourraient connaître une période d’inactivité plus longue encore : o celles qui produisent des documentaires internationaux imposant des déplacements hors de nos frontières, dans les domaines animalier, social, économique, historique, ethnographique, investigation, o celles qui produisent des films, fictions et séries à vocation internationale, réclamant l’engagement de distributeurs ou diffuseurs européens et extra-européens et la mobilisation d’équipes issues de plusieurs pays, o celles qui se consacrent à la captation audiovisuelle de spectacles vivants et aux divertissements, si les spectacles qu’elles couvrent restent interdits pendants de longs mois. Ainsi que nous l’avons dit, les producteurs sont aujourd’hui totalement mobilisés pour relancer notre industrie cinématographique et audiovisuelle, dans les délais les plus brefs, afin de faire cesser l’hémorragie qu’ils subissent en termes de chiffre d’affaires. Notre priorité est donc la reprise d’activité dès que possible, mais la préservation de notre capacité de rebond dépend dans un premier temps, et pour la plupart a minima jusqu’à la fin de l’été, du maintien de la mesure de remboursement aux employeurs des indemnités d’activité partielle par l’État selon le modalités actuellement en vigueur sachant que ce remboursement ne couvre pas, d’ores et déjà, les charges qui y sont associées, et que nous continuons à supporter également les frais fixes du fonctionnement de nos structures. La relance, pour être réussie, ne pourrait pas s’appuyer sur un tissu d’entreprises certes très performantes, mais qu’une période prolongée d’inactivité forcée laisserait exsangues. Cette mesure est absolument essentielle d’une part, pour éviter les licenciements économiques d’emplois pérennes parmi les permanents des sociétés de production, d’autre part, pour permettre aux entreprises de reprendre rapidement des engagements sur l’embauche d’intermittents du spectacle, et amorcer ainsi leur reprise d’activité. Par ailleurs, pour toutes celles qui vont pouvoir ponctuellement relancer des tournages, elles restent confrontées à des risques de déclaration d’infections COVID-19 en dépit des mesures sanitaires prises avec pour conséquence très certainement un arrêt du tournage et la nécessité de pouvoir dans ce cas bénéficier du recours au chômage partiel. Toutes ces raisons vous permettent de mieux comprendre la demande exprimée par la FESAC, dans sa lettre ouverte du 13 mai 2020 au Président de la République, qui plaide pour un maintien du remboursement de l’activité partielle selon les modalités actuellement en vigueur, pour les entreprises du champ de la culture, pendant au moins dix-huit mois. Au moment où les plateformes internationales de diffusion en ligne tirent le plus grand bénéfice de la crise sanitaire et consolident leurs parts de marché, il y va de la survie des pans les plus dynamiques et novateurs d’une industrie de prototypes à forte valeur ajoutée, secteur qui participe autant que l’automobile ou l’aéronautique au PNB français, et très fortement à l’emploi dans notre pays. Le renforcement de notre industrie audiovisuelle et cinématographique constitue donc bien aujourd’hui un enjeu économique majeur, et la relance d’un champion national. En vous remerciant de l’attention que vous accorderez à l’ensemble de ces éléments d’appréciation de notre situation spécifique, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, au nom des Producteurs indépendants de cinéma et d’audiovisuel et des Organisations syndicales de cette filière, l’expression de notre haute considération. Thomas ANARGYROS, Président de l’USPA, Dominique ATTAL, Groupe 25 Images, Frédéric BRILLION, Président de l’UPC, Françoise CHAZAUD, Secrétaire générale de la FASAP FO, Nicolas COPPERMANN, Président du SPECT, Elizabeth DREVILLON, Présidente de la GARRD, Sidonie DUMAS, Présidente de l’API, Sélim FARES, Secrétaire général adjoint de l’USNA-CFTC, Christophe PAULY, Secrétaire national de la F3C CFDT, Christian GERIN, Président du SATEV, Pascal ROGARD, Directeur général de la SACD, Hervé RONY, Directeur général de la SCAM, Gilles SACUTO, Président du SPI Copies : Franck RIESTER, Ministre de la Culture, Muriel PENICAUD, Ministre du Travail, et Dominique BOUTONNAT, Président du …

26 mai 2020Actus-SPIactus-spi
Production audiovisuelle et cinématographique : les conditions de la reprise sont-elles réunies ?

Des avancées importantes

Le SPI salue les engagements nécessaires et attendus pris par le Président de la République le 6 mai dernier tels la transposition en droit français de la Directive SMA d’ici la fin de l’année ou encore la sanctuarisation de notre catalogue d’œuvres cinématographiques françaises face à des prédateurs internationaux. La prolongation des droits au chômage partiel des intermittents du spectacle jusqu’à août 2021 est également une décision majeure que nous avons sollicitée.

Ces engagements sont essentiels à la survie de notre souveraineté culturelle, fortement mise à mal depuis le début de cette crise et qui doit désormais composer avec les plateformes mondiales de streaming, grandes bénéficiaires de la situation actuelle.

Les conditions de la reprise de l’activité

Pour que l’activité puisse reprendre de manière effective, il faut que le fonds d’indemnisation temporaire pour les futurs tournages, soit mis en œuvre de toute urgence avant le mois de juin 2020 et que les assureurs acceptent de contribuer dans ce cadre à l’effort fait par l’ensemble du secteur. L’engagement du Président de la République a été fort à ce sujet : sa mise en œuvre concrète est donc attendue !

Reste à savoir quelle considération sera accordée aux tournages définitivement arrêtés du fait de la crise sanitaire ? Nous pensons particulièrement aux captations audiovisuelles de spectacles lourdement touchées dès avant le confinement par les annulations qui ne peuvent être reportées, ou encore aux tournages de documentaires en cours à l’étranger qui ne pourront être terminés. Aujourd’hui, aucune solution n’est proposée pour ces productions.

La reprise est ardemment souhaitée par les producteurs. Nous travaillons activement à la finalisation du protocole sanitaire de reprise des tournages via les CCHSCT de la production cinématographique et audiovisuelle. Mais jusque dans les prochains mois, la question des conditions sanitaires des comédiens pourrait, dans certains cas empêcher la reprise des tournages, sauf à dénaturer les œuvres concernées. Il y a là un vrai problème dont nous devons avoir conscience.

C’est pourquoi il reste indispensable que les entreprises qui demeurent soumises au risque COVID puissent momentanément remettre leurs salariés au chômage partiel dans deux situations :

  • après la reprise d’un tournage, en cas d’interruption sanitaire forcée. Cette mesure est la mesure essentielle qui devrait permettre à la filière de faire face à cette crise. Elle demeure cruciale dans les mois qui viennent.
  •  pour les entreprises qui resteraient dans l’incapacité de reprendre les tournages programmés au cours des prochains mois et qui seraient dans l’incapacité de maintenir l’emploi dans cette attente.

Réinventer l’avenir de notre filière de production indépendante

D’autres questions fondamentales et tout aussi urgentes, touchant à l’économie même des entreprises de production doivent être envisagées, comme les surcoûts et pertes de productivité quotidienne engendrés par les mesures de sécurité sanitaire, l’absence de perspectives de relations d’affaires à moyen terme liée à la suppression des marchés et festivals, la fixation d’un calendrier clair pour la réouverture des salles de cinéma.

Dans ce contexte, la mise en place d’un fonds de solidarité pour les entreprises de production les plus fragilisées par la crise doit être envisagée pour préserver leur capacité à prendre des risques et donner ainsi aux créateurs la liberté d’inventer.

Au-delà de ces mesures propres à faire face aux conséquences d’une situation sanitaire exceptionnelle, le SPI appelle à la mise en place d’un véritable plan de relance structurant pour soutenir la reprise de tous les acteurs de la diversité et de l’indépendance de la création audiovisuelle et cinématographique française, justement salués par le Président de la République.

Des avancées importantes Le SPI salue les engagements nécessaires et attendus pris par le Président de la République le 6 mai dernier tels la transposition en droit français de la Directive SMA d’ici la fin de l’année ou encore la sanctuarisation de notre catalogue d’œuvres cinématographiques françaises face à des prédateurs internationaux. La prolongation des droits au chômage partiel des intermittents du spectacle jusqu’à août 2021 est également une décision majeure que nous avons sollicitée. Ces engagements sont essentiels à la survie de notre souveraineté culturelle, fortement mise à mal depuis le début de cette crise et qui doit désormais composer avec les plateformes mondiales de streaming, grandes bénéficiaires de la situation actuelle. Les conditions de la reprise de l’activité Pour que l’activité puisse reprendre de manière effective, il faut que le fonds d’indemnisation temporaire pour les futurs tournages, soit mis en œuvre de toute urgence avant le mois de juin 2020 et que les assureurs acceptent de contribuer dans ce cadre à l’effort fait par l’ensemble du secteur. L’engagement du Président de la République a été fort à ce sujet : sa mise en œuvre concrète est donc attendue ! Reste à savoir quelle considération sera accordée aux tournages définitivement arrêtés du fait de la crise sanitaire ? Nous pensons particulièrement aux captations audiovisuelles de spectacles lourdement touchées dès avant le confinement par les annulations qui ne peuvent être reportées, ou encore aux tournages de documentaires en cours à l’étranger qui ne pourront être terminés. Aujourd’hui, aucune solution n’est proposée pour ces productions. La reprise est ardemment souhaitée par les producteurs. Nous travaillons activement à la finalisation du protocole sanitaire de reprise des tournages via les CCHSCT de la production cinématographique et audiovisuelle. Mais jusque dans les prochains mois, la question des conditions sanitaires des comédiens pourrait, dans certains cas empêcher la reprise des tournages, sauf à dénaturer les œuvres concernées. Il y a là un vrai problème dont nous devons avoir conscience. C’est pourquoi il reste indispensable que les entreprises qui demeurent soumises au risque COVID puissent momentanément remettre leurs salariés au chômage partiel dans deux situations : après la reprise d’un tournage, en cas d’interruption sanitaire forcée. Cette mesure est la mesure essentielle qui devrait permettre à la filière de faire face à cette crise. Elle demeure cruciale dans les mois qui viennent.  pour les entreprises qui resteraient dans l’incapacité de reprendre les tournages programmés au cours des prochains mois et qui seraient dans l’incapacité de maintenir l’emploi dans cette attente. Réinventer l’avenir de notre filière de production indépendante D’autres questions fondamentales et tout aussi urgentes, touchant à l’économie même des entreprises de production doivent être envisagées, comme les surcoûts et pertes de productivité quotidienne engendrés par les mesures de sécurité sanitaire, l’absence de perspectives de relations d’affaires à moyen terme liée à la suppression des marchés et festivals, la fixation d’un calendrier clair pour la réouverture des salles de cinéma. Dans ce contexte, la mise en place d’un fonds de solidarité pour les entreprises de production les plus fragilisées par la crise doit être envisagée pour préserver leur capacité à prendre des risques et donner ainsi aux créateurs la liberté d’inventer. Au-delà de ces mesures propres à faire face aux conséquences d’une situation sanitaire exceptionnelle, le SPI appelle à la mise en place d’un véritable plan de relance structurant pour soutenir la reprise de tous les acteurs de la diversité et de l’indépendance de la création audiovisuelle et cinématographique française, justement salués par le Président de la …

11 mai 2020Actus-SPIactus-spi
“Père ou fils”, la comédie de Clément Michel produite par Bonne Pioche Télévision en diffusion samedi 9 mai sur Paris Première

Le label Bonne Pioche Spectacle est dédié à la production de captations de spectacles vivants de tous genres, pour les chaines de télévision et les plateformes. En cette période difficile pour le monde du spectacle, Paris Première soutient le théâtre en programmant une pièce chaque samedi soir. Ce samedi 9 mai à 20h50, la chaîne vous propose de voir ou revoir la captation de “Père ou fils” produite par Bonne Pioche Télévision.

Père ou fils” est une comédie de Clément Michel, mise en scène par David Roussel et Arthur Jugnot. Ses acteurs se nomment Patrick Braoudé, Arthur Jugnot, Catherine Hosmalin, Flavie Péan, Julien Personnaz et Laurence Porteil.

C’est l’histoire de Bertrand et Alexandre Delorme, père et fils, qui n’entretiennent pas d’excellentes relations. Le temps d’un week-end complètement fou, le père et le fils se retrouvent chacun dans le corps de l’autre.

Comment Bertrand va t’il gérer sa campagne des législatives ?

Comment Alexandre va t’il aller en week-end avec sa fiancé ?

Et si cette situation catastrophique et surréaliste devenait finalement une chance pour ré apprendre à se connaître ? Et à s’aimer…Véritable comédie menée à toute vitesse, Père ou Fils est aussi un tourbillon où l’émotion n’est jamais très loin.

Musique : Romain TROUILLET Décors : Juliette AZZOPARDI Costumes : Cécile MAGNAN

Lumières : Arthur GAUVIN Assistant mise en scène : Julien-Benoit BIRMAN

Plus d’informations au sujet des spectacles produits par Bonne Pioche : ICI

Le label Bonne Pioche Spectacle est dédié à la production de captations de spectacles vivants de tous genres, pour les chaines de télévision et les plateformes. En cette période difficile pour le monde du spectacle, Paris Première soutient le théâtre en programmant une pièce chaque samedi soir. Ce samedi 9 mai à 20h50, la chaîne vous propose de voir ou revoir la captation de “Père ou fils” produite par Bonne Pioche Télévision. “Père ou fils” est une comédie de Clément Michel, mise en scène par David Roussel et Arthur Jugnot. Ses acteurs se nomment Patrick Braoudé, Arthur Jugnot, Catherine Hosmalin, Flavie Péan, Julien Personnaz et Laurence Porteil. C’est l’histoire de Bertrand et Alexandre Delorme, père et fils, qui n’entretiennent pas d’excellentes relations. Le temps d’un week-end complètement fou, le père et le fils se retrouvent chacun dans le corps de l’autre. Comment Bertrand va t’il gérer sa campagne des législatives ? Comment Alexandre va t’il aller en week-end avec sa fiancé ? Et si cette situation catastrophique et surréaliste devenait finalement une chance pour ré apprendre à se connaître ? Et à s’aimer…Véritable comédie menée à toute vitesse, Père ou Fils est aussi un tourbillon où l’émotion n’est jamais très loin. Musique : Romain TROUILLET Décors : Juliette AZZOPARDI Costumes : Cécile MAGNAN Lumières : Arthur GAUVIN Assistant mise en scène : Julien-Benoit BIRMAN Plus d’informations au sujet des spectacles produits par Bonne Pioche : …

6 mai 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le spectacle de danse “Allegria” de Kader Attou et capté par Axe Sud Production en diffusion le 15 mai sur la chaîne Mezzo

« Raconter avec légèreté ce qui se passe dans le monde », voici l’idée qui a guidé Kader Attou tout au long de la création de « Allegria ». C’est à Chaillot – Théâtre national de la Danse que huit danseurs de la compagnie hip-hop Accrorap redonnent vie à ce spectacle créé en 2017. Une bouffée d’optimisme portée par l’énergie de la danse.

Pour donner corps à Allegria, Kader Attou s’est lancé dans une véritable quête poétique. Le chorégraphe a en effet cherché le beau dans le quotidien, les petits gestes. De ces mouvements ordinaires, l’artiste tisse des rêveries et de touchantes histoires.

Artistiquement, Kader Attou a pioché son inspiration dans le cinéma, le roman graphique ou encore le singspiel (genre lyrique allemand dans lequel alternent dialogues parlés ou chantés). Une large palette qui vient sublimer avec humour les pleins et déliés de la compagnie Accrorap. En ajoutant une pointe d’illusion à ce mélange, le chorégraphe joue les magiciens et invoque l’enfant qui sommeille en chacun de nous.

Allegria nous raconte le monde avec amour, même dans ce qu’il a de burlesque, grave, voire violent. Le tout est rendu sur scène avec douceur et optimisme, même si quelques touches de mélancolie affluent par moments.

direction artistique, dramaturgie et chorégraphie Kader Attou réalisation Mohamed Athamna
avec Gaetan Alin, Khalil Chabouni, Jackson Ntcham, Mehdi Ouachek, Artem Orlov, Sulian Rios, Hugo de Vathaire, Maxime Vicente
assistant Mehdi Ouachek scénographie Camille Duchemin
musique Régis Baillet – Diaphane
lumières Fabrice Crouzet

Plus d’information sur Axe Sud Production : ICI

« Raconter avec légèreté ce qui se passe dans le monde », voici l’idée qui a guidé Kader Attou tout au long de la création de « Allegria ». C’est à Chaillot – Théâtre national de la Danse que huit danseurs de la compagnie hip-hop Accrorap redonnent vie à ce spectacle créé en 2017. Une bouffée d’optimisme portée par l’énergie de la danse. Pour donner corps à Allegria, Kader Attou s’est lancé dans une véritable quête poétique. Le chorégraphe a en effet cherché le beau dans le quotidien, les petits gestes. De ces mouvements ordinaires, l’artiste tisse des rêveries et de touchantes histoires. Artistiquement, Kader Attou a pioché son inspiration dans le cinéma, le roman graphique ou encore le singspiel (genre lyrique allemand dans lequel alternent dialogues parlés ou chantés). Une large palette qui vient sublimer avec humour les pleins et déliés de la compagnie Accrorap. En ajoutant une pointe d’illusion à ce mélange, le chorégraphe joue les magiciens et invoque l’enfant qui sommeille en chacun de nous. Allegria nous raconte le monde avec amour, même dans ce qu’il a de burlesque, grave, voire violent. Le tout est rendu sur scène avec douceur et optimisme, même si quelques touches de mélancolie affluent par moments. direction artistique, dramaturgie et chorégraphie Kader Attou réalisation Mohamed Athamnaavec Gaetan Alin, Khalil Chabouni, Jackson Ntcham, Mehdi Ouachek, Artem Orlov, Sulian Rios, Hugo de Vathaire, Maxime Vicenteassistant Mehdi Ouachek scénographie Camille Ducheminmusique Régis Baillet – Diaphanelumières Fabrice Crouzet Plus d’information sur Axe Sud Production : …

5 mai 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
TRIBUNE – “Une mobilisation solidaire pour relancer la création française !” par Simon Arnal (SPI)

Simon Arnal de la société de production Haut et Court TV et vice-président du SPI, en charge de l’Audiovisuel, signait une tribune dans le numéro 3909 (édition 1er mai) du magazine Le Film Français. Une intervention à lire avec attention…

© Le Film Français ©

Simon Arnal de la société de production Haut et Court TV et vice-président du SPI, en charge de l’Audiovisuel, signait une tribune dans le numéro 3909 (édition 1er mai) du magazine Le Film Français. Une intervention à lire avec …

4 mai 2020Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus à l’occasion du Festival national du film d’animation 2020

En réaction à la situation exceptionnelle causée par le Covid-19, les organisateurs du Festival national du film d’animation ont innové afin de maintenir cette 26e édition. Ne pouvant se tenir dans les salles de Rennes métropole et de l’Ille-et-Vilaine, l’équipe du Festival a proposé une version Bis de l’événement avec la mise en ligne d’une partie de sa programmation. Le public, les partenaires et les différents jurys ont délibéré en vision-conférence. Parmi les lauréats, on note la présence de 4 films produits par les adhérents du SPI. Bravo !

Vitrine de l’animation française, le Festival national du film d’animation a été créé en 1983 par l’AFCA (Association Française du Cinéma d’Animation). Il a pour ambition de promouvoir le cinéma d’animation auprès de tous les publics et des professionnels, à travers des projections et des actions pédagogiques – sensibilisation, ateliers de pratiques, de programmation – menées avec les structures du territoire. C’est habituellement un temps de rencontres pour plus de 400 professionnels du secteur venus de toute la France, qui participent chaque année à la manifestation : deux jours d’échanges, de débats et d’informations autour des thématiques de la filière.

Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à féliciter tous les participant.e.s de l’édition 2020, et particulièrement ses adhérents, pour les prix obtenus à cette occasion.

PRIX DU PUBLIC POUR UN COURT MÉTRAGE PROFESSIONNEL (doté par UniversCiné)

SORORELLE

Réalisation : Frédéric Even, Louise Mercadier

Production : Papy 3D Productions, JPL Films

PRIX DU MEILLEUR PITCH DE COURT MÉTRAGE (Doté par Ciclic Animation)

PLUS DOUCE EST LA NUIT

Réalisation : Fabienne Wagenaar

Production : JPL Films

PRIX DU MEILLEUR PITCH DE SÉRIE (Doté par The Animation Workshop)

BOYS BOYS BOYS

Réalisation : Delphine Saltel, Valentine Vendroux

Production : Melting Productions

PRIX COUP DE COEUR “LES FEMMES S’ANIMENT”

LA VIE DE CHÂTEAU

Réalisation : Nathaniel H’Limi, Clémence Madeleine-Perdrillat 

Production : Films Grand Huit, MIYU Productions

Pour voir le palmarès complet de la 26e édition du Festival national du film d’animation 2020 : ICI

En réaction à la situation exceptionnelle causée par le Covid-19, les organisateurs du Festival national du film d’animation ont innové afin de maintenir cette 26e édition. Ne pouvant se tenir dans les salles de Rennes métropole et de l’Ille-et-Vilaine, l’équipe du Festival a proposé une version Bis de l’événement avec la mise en ligne d’une partie de sa programmation. Le public, les partenaires et les différents jurys ont délibéré en vision-conférence. Parmi les lauréats, on note la présence de 4 films produits par les adhérents du SPI. Bravo ! Vitrine de l’animation française, le Festival national du film d’animation a été créé en 1983 par l’AFCA (Association Française du Cinéma d’Animation). Il a pour ambition de promouvoir le cinéma d’animation auprès de tous les publics et des professionnels, à travers des projections et des actions pédagogiques – sensibilisation, ateliers de pratiques, de programmation – menées avec les structures du territoire. C’est habituellement un temps de rencontres pour plus de 400 professionnels du secteur venus de toute la France, qui participent chaque année à la manifestation : deux jours d’échanges, de débats et d’informations autour des thématiques de la filière. Le Syndicat des Producteurs Indépendants tient à féliciter tous les participant.e.s de l’édition 2020, et particulièrement ses adhérents, pour les prix obtenus à cette occasion. ● PRIX DU PUBLIC POUR UN COURT MÉTRAGE PROFESSIONNEL (doté par UniversCiné) SORORELLE Réalisation : Frédéric Even, Louise Mercadier Production : Papy 3D Productions, JPL Films ● PRIX DU MEILLEUR PITCH DE COURT MÉTRAGE (Doté par Ciclic Animation) PLUS DOUCE EST LA NUIT Réalisation : Fabienne Wagenaar Production : JPL Films ● PRIX DU MEILLEUR PITCH DE SÉRIE (Doté par The Animation Workshop) BOYS BOYS BOYS Réalisation : Delphine Saltel, Valentine Vendroux Production : Melting Productions ● PRIX COUP DE COEUR “LES FEMMES S’ANIMENT” LA VIE DE CHÂTEAU Réalisation : Nathaniel H’Limi, Clémence Madeleine-Perdrillat  Production : Films Grand Huit, MIYU Productions Pour voir le palmarès complet de la 26e édition du Festival national du film d’animation 2020 : …

4 mai 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le film “Sankara n’est pas mort” distribué par Météore Films est disponible en E-Cinéma sur la plateforme 25eHeure

“Sankara n’est pas mort”, le film documentaire de Lucie Viver produit par Les Films du Bilboquet et distribué par Météore Films devait initialement sortir en salle le 22 avril 2020. Pour raison de Coronavirus, le film est diffusé en E-cinéma via la plateforme 25ème Heure…Réservez-vos places pour un voyage au pays des Hommes intègres !

Au Burkina Faso, après l’insurrection populaire d’octobre 2014, Bikontine, un jeune poète, décide de partir à la rencontre de ses concitoyens le long de l’unique voie ferrée du pays. Du Sud au Nord, de villes en villages, d’espoirs en désillusions, il met à l’épreuve son rôle de poète face aux réalités d’une société en pleine transformation et révèle en chemin l’héritage politique toujours vivace d’un ancien président : Thomas Sankara.

Le Burkina Faso, littéralement « Pays des Hommes intègres », anciennement République de Haute-Volta, est un pays d’Afrique de l’Ouest sans accès à la mer. Peuplé de 20 millions d’habitants, c’est l’un des dix pays les plus pauvres du monde.

C’est le 4 août 1984, un an après le coup d’État qui avait porté le capitaine Thomas Sankara à la tête de la Haute-Volta, que celle-ci a été rebaptisée Burkina Faso. Dans l’esprit du nouveau pouvoir, il s’agissait non seulement de bannir une appellation héritée de la colonisation, mais aussi de trouver un nom susceptible de renforcer la cohésion nationale. C’est pourquoi celui-ci a été constitué d’emprunts à plusieurs langues. Burkina signifie « homme indépendant » ou « intègre » en mooré (parlé par les Mossis) alors que faso est la « maison du père », donc la patrie, en dioula. Ce n’est pas tout. Pour désigner la nationalité des habitants du pays, on a fait appel à une troisième langue en ajoutant au radical burkina le suffixe bè, qui veut dire « les enfants de », en fulfulde (parlé par les Peuls).

Le capitaine burkinabé n’est plus là, mais par son côté visionnaire, lui le protecteur de l’environnement, le défenseur de l’émancipation des femmes, le promoteur de projets de développement, est devenu la référence de la jeunesse africaine. Trente-deux ans après sa mort, ses idées sont plus vivantes que jamais. Ce qu’il a laissé à ses héritiers, d’Afrique ou d’ailleurs, c’est l’image d’un président humaniste, panafricain et tiers-mondiste, un homme intègre et pragmatique qui a dessiné un projet de société.

La mémoire de Thomas Sankara a survécu à la « rectification », cette campagne initiée par Blaise Compaoré qui lui a succédé et dont le but était d’effacer toute trace de lui. Leader charismatique, il est perçu comme le « Che Guevara africain », celui qui s’est dressé contre les injustices, celles des puissances occidentales et de leurs multinationales. « On peut tuer un homme mais pas ses idées », disait Sankara.

Réalisation Lucie Viver Durée 109 minutes Année de production 2019 Sortie en France en E-cinéma dès le 29 avril Pays France Visa En cours Format image 1.85 Format son 5.1 Image Lucie Viver Montage Nicolas Milteau Son Lucie Viver Production Les films du Bilboquet Distribution France Météore Films

  • PRIX SPECIAL DU JURY African International Film Festival AFRIFF – Lagos, Nigéria
  • JOHN MARSHALL AWARD for Contemporary Ethnographic Media – Camden IFF
  • PRIX FILM EN COURS 2018 Entrevues de Belfort

Après des études d’histoire et de philosophie, Lucie Viver travaille comme assistante de réalisation. Elle a notamment collaboré aux films d’Otar Iosseliani, de Mati Diop et de Rabah Ameur-Zaïmèche.

En 2013, elle se forme à l’Atelier Scénario de La Fémis. Depuis, elle développe plusieurs projets de documentaires et fictions.

“SANKARA N’EST PAS MORT” est son premier film.

Qu’est-ce que le E-Cinéma ? 
« Ce n’est pas de la VOD. Ce n’est pas du streaming. Ce n’est pas non plus un téléchargement du film sur votre ordinateur. Il s’agit d’une vraie séance de cinéma (mais à la maison !) à un horaire précis, suivie d’une vraie discussion avec le réalisateur et la réalisatrice du film ».

En partenariat avec les salles de cinéma, à des horaires fixes, dans un rayon géographique proche du cinéma, participez à votre séance de cinéma, à la maison. Les recettes de votre ticket d’entrée sera partagé entre l’exploitant et le distributeur, et la plateforme. 

Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de la Vingt-Cinquième Heure ou sur www.meteore-films.fr.

“Sankara n’est pas mort”, le film documentaire de Lucie Viver produit par Les Films du Bilboquet et distribué par Météore Films devait initialement sortir en salle le 22 avril 2020. Pour raison de Coronavirus, le film est diffusé en E-cinéma via la plateforme 25ème Heure…Réservez-vos places pour un voyage au pays des Hommes intègres ! Au Burkina Faso, après l’insurrection populaire d’octobre 2014, Bikontine, un jeune poète, décide de partir à la rencontre de ses concitoyens le long de l’unique voie ferrée du pays. Du Sud au Nord, de villes en villages, d’espoirs en désillusions, il met à l’épreuve son rôle de poète face aux réalités d’une société en pleine transformation et révèle en chemin l’héritage politique toujours vivace d’un ancien président : Thomas Sankara. Le Burkina Faso, littéralement « Pays des Hommes intègres », anciennement République de Haute-Volta, est un pays d’Afrique de l’Ouest sans accès à la mer. Peuplé de 20 millions d’habitants, c’est l’un des dix pays les plus pauvres du monde. C’est le 4 août 1984, un an après le coup d’État qui avait porté le capitaine Thomas Sankara à la tête de la Haute-Volta, que celle-ci a été rebaptisée Burkina Faso. Dans l’esprit du nouveau pouvoir, il s’agissait non seulement de bannir une appellation héritée de la colonisation, mais aussi de trouver un nom susceptible de renforcer la cohésion nationale. C’est pourquoi celui-ci a été constitué d’emprunts à plusieurs langues. Burkina signifie « homme indépendant » ou « intègre » en mooré (parlé par les Mossis) alors que faso est la « maison du père », donc la patrie, en dioula. Ce n’est pas tout. Pour désigner la nationalité des habitants du pays, on a fait appel à une troisième langue en ajoutant au radical burkina le suffixe bè, qui veut dire « les enfants de », en fulfulde (parlé par les Peuls). Le capitaine burkinabé n’est plus là, mais par son côté visionnaire, lui le protecteur de l’environnement, le défenseur de l’émancipation des femmes, le promoteur de projets de développement, est devenu la référence de la jeunesse africaine. Trente-deux ans après sa mort, ses idées sont plus vivantes que jamais. Ce qu’il a laissé à ses héritiers, d’Afrique ou d’ailleurs, c’est l’image d’un président humaniste, panafricain et tiers-mondiste, un homme intègre et pragmatique qui a dessiné un projet de société. La mémoire de Thomas Sankara a survécu à la « rectification », cette campagne initiée par Blaise Compaoré qui lui a succédé et dont le but était d’effacer toute trace de lui. Leader charismatique, il est perçu comme le « Che Guevara africain », celui qui s’est dressé contre les injustices, celles des puissances occidentales et de leurs multinationales. « On peut tuer un homme mais pas ses idées », disait Sankara. Réalisation Lucie Viver Durée 109 minutes Année de production 2019 Sortie en France en E-cinéma dès le 29 avril Pays France Visa En cours Format image 1.85 Format son 5.1 Image Lucie Viver Montage Nicolas Milteau Son Lucie Viver Production Les films du Bilboquet Distribution France Météore Films PRIX SPECIAL DU JURY African International Film Festival AFRIFF – Lagos, Nigéria JOHN MARSHALL AWARD for Contemporary Ethnographic Media – Camden IFF PRIX FILM EN COURS 2018 Entrevues de Belfort Après des études d’histoire et de philosophie, Lucie Viver travaille comme assistante de réalisation. Elle a notamment collaboré aux films d’Otar Iosseliani, de Mati Diop et de Rabah Ameur-Zaïmèche. En 2013, elle se forme à l’Atelier Scénario de La Fémis. Depuis, elle développe plusieurs projets de documentaires et fictions. “SANKARA N’EST PAS MORT” est son premier film. Qu’est-ce que le E-Cinéma ? « Ce n’est pas de la VOD. Ce n’est pas du streaming. Ce n’est pas non plus un téléchargement du film sur votre ordinateur. Il s’agit d’une vraie séance de cinéma (mais à la maison !) à un horaire précis, suivie d’une vraie discussion avec le réalisateur et la réalisatrice du film ». En partenariat avec les salles de cinéma, à des horaires fixes, dans un rayon géographique proche du cinéma, participez à votre séance de cinéma, à la maison. Les recettes de votre ticket d’entrée sera partagé entre l’exploitant et le distributeur, et la plateforme.  Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de la Vingt-Cinquième Heure ou sur …

1 mai 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
COMMUNIQUÉ : Le SPI pleure le décès d’Henri WEBER

Henri Weber, figure de Mai 68 et ancien sénateur PS, est décédé ce dimanche 26 avril 2020, des suites du coronavirus. Il avait 75 ans.

Paris, le 27 Avril 2020

Le Syndicat des Producteurs Indépendants pleure aujourd’hui le décès d’Henri Weber, dont la pensée et l’action nourrissaient le combat permanent pour la culture et la création.

Universitaire, philosophe, homme de presse et d’engagement, penseur sans cesse renouvelé de la politique contemporaine, Henri Weber a toujours su défendre les artistes, les créateurs, et l’économie de la production, partout où il est passé, à l’Assemblée nationale aux côtés de Laurent Fabius, au Sénat, au sein du Parlement européen. Homme souriant, volontaire, lumineux, plein d’humour et fort de ses convictions, Henri Weber était toujours prêt à monter au front pour les causes justes.

A Fabienne, sa compagne, à Clémence, Inès et Mathias, ses enfants, les producteurs du SPI expriment leurs plus profondes condoléances.

Henri Weber, figure de Mai 68 et ancien sénateur PS, est décédé ce dimanche 26 avril 2020, des suites du coronavirus. Il avait 75 ans. Paris, le 27 Avril 2020 Le Syndicat des Producteurs Indépendants pleure aujourd’hui le décès d’Henri Weber, dont la pensée et l’action nourrissaient le combat permanent pour la culture et la création. Universitaire, philosophe, homme de presse et d’engagement, penseur sans cesse renouvelé de la politique contemporaine, Henri Weber a toujours su défendre les artistes, les créateurs, et l’économie de la production, partout où il est passé, à l’Assemblée nationale aux côtés de Laurent Fabius, au Sénat, au sein du Parlement européen. Homme souriant, volontaire, lumineux, plein d’humour et fort de ses convictions, Henri Weber était toujours prêt à monter au front pour les causes justes. A Fabienne, sa compagne, à Clémence, Inès et Mathias, ses enfants, les producteurs du SPI expriment leurs plus profondes …

27 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Le SPI et les autres organisations syndicales appellent à une meilleure représentation des professionnels de l’animation aux César

Le SPI, l’AFCA, l’AGrAF, la Guilde française des scénaristes, le SPFA, et la SRF interpellent le CNC et les membres de l’APC pour une meilleure représentation des professionnels de l’animation au sein de son Assemblée générale et de son Conseil d’administration dans le cadre de la rénovation de l’Académie des César.

Paris, le 23 Avril 2020

L’Association française du cinéma d’animation (AFCA), les Auteurs Groupés de l’animation Française (AGrAF), la Guilde française des scénaristes, le Syndicat des producteurs de films d’animation (SPFA), le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et la Société des réalisateurs de films (SRF), ont pris acte de la réforme en cours de l’Académie des César, pilotée par le CNC, en vue de nouvelles modalités de gouvernance de l’Association pour la promotion du cinéma (APC), qui la régit.

Dans le cadre des concertations en cours, l’ensemble des organisations professionnelles réunies au sein de nos structures, réaffirment la place essentielle de l’animation au sein de la filière cinématographique française. 

Rassemblant plus de 7500 techniciens, auteurs et producteurs, le secteur de l’animation en France, en tant que leader européen de la production d’animation, est considéré aujourd’hui comme une filière d’excellence, dont les talents et les œuvres sont reconnus à l’échelle internationale. Salués par le public et les festivals les plus prestigieux, il est désormais indéniable que les films d’animation représentent une part non négligeable du marché. L’animation française connaît par ailleurs des records de recettes dans les salles étrangères. Le court métrage d’animation, quant à lui, représente plus de 46% de chiffres d’affaires en matière d’exportation (et se situe au premier rang en nombre de transactions) pour 14% de la production totale (Sources CNC et UniFrance).

Partant de ce constat, il devient indispensable qu’une entité emblématique telle que l’Académie des César intègre, dans son nouveau modèle de gouvernance, une représentation significative des professionnels de l’animation, tous métiers confondus (producteur·rice·s, réalisateur·rice·s, scénaristes, technicien.n.es).

L’AFCA, l’AGrAF, la Guilde française des scénaristes, le SPFA, le SPI et la SRF demandent que le futur Conseil d’administration de l’APC intègre de plein droit et de manière systématique, des professionnels de l’animation, de l’ordre d’un dixième de ses sièges avec une représentation égale en matière de parité. Sanctuariser un nombre défini de sièges pour les professionnels de l’animation garantit une représentation équitable de la filière et une véritable implication dans toutes les étapes de décisions pour l’ensemble des orientations et des actions qui seront mises en œuvre au sein de l’Académie des César.

Pour y parvenir, des contributions indépendantes ont été transmises par chacune de nos structures au CNC sur les questions inhérentes au statut des membres de l’APC ainsi qu’à la composition et au fonctionnement de son Assemblée générale et de son Conseil d’administration.

Nos structures se tiennent à la disposition du CNC et de l’ensemble des autres organismes professionnels œuvrant pour la rénovation de l’Académie des César, afin d’étudier les modalités de mise en œuvre de cette proposition.

Le SPI, l’AFCA, l’AGrAF, la Guilde française des scénaristes, le SPFA, et la SRF interpellent le CNC et les membres de l’APC pour une meilleure représentation des professionnels de l’animation au sein de son Assemblée générale et de son Conseil d’administration dans le cadre de la rénovation de l’Académie des César. Paris, le 23 Avril 2020 L’Association française du cinéma d’animation (AFCA), les Auteurs Groupés de l’animation Française (AGrAF), la Guilde française des scénaristes, le Syndicat des producteurs de films d’animation (SPFA), le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et la Société des réalisateurs de films (SRF), ont pris acte de la réforme en cours de l’Académie des César, pilotée par le CNC, en vue de nouvelles modalités de gouvernance de l’Association pour la promotion du cinéma (APC), qui la régit. Dans le cadre des concertations en cours, l’ensemble des organisations professionnelles réunies au sein de nos structures, réaffirment la place essentielle de l’animation au sein de la filière cinématographique française.  Rassemblant plus de 7500 techniciens, auteurs et producteurs, le secteur de l’animation en France, en tant que leader européen de la production d’animation, est considéré aujourd’hui comme une filière d’excellence, dont les talents et les œuvres sont reconnus à l’échelle internationale. Salués par le public et les festivals les plus prestigieux, il est désormais indéniable que les films d’animation représentent une part non négligeable du marché. L’animation française connaît par ailleurs des records de recettes dans les salles étrangères. Le court métrage d’animation, quant à lui, représente plus de 46% de chiffres d’affaires en matière d’exportation (et se situe au premier rang en nombre de transactions) pour 14% de la production totale (Sources CNC et UniFrance). Partant de ce constat, il devient indispensable qu’une entité emblématique telle que l’Académie des César intègre, dans son nouveau modèle de gouvernance, une représentation significative des professionnels de l’animation, tous métiers confondus (producteur·rice·s, réalisateur·rice·s, scénaristes, technicien.n.es). L’AFCA, l’AGrAF, la Guilde française des scénaristes, le SPFA, le SPI et la SRF demandent que le futur Conseil d’administration de l’APC intègre de plein droit et de manière systématique, des professionnels de l’animation, de l’ordre d’un dixième de ses sièges avec une représentation égale en matière de parité. Sanctuariser un nombre défini de sièges pour les professionnels de l’animation garantit une représentation équitable de la filière et une véritable implication dans toutes les étapes de décisions pour l’ensemble des orientations et des actions qui seront mises en œuvre au sein de l’Académie des César. Pour y parvenir, des contributions indépendantes ont été transmises par chacune de nos structures au CNC sur les questions inhérentes au statut des membres de l’APC ainsi qu’à la composition et au fonctionnement de son Assemblée générale et de son Conseil d’administration. Nos structures se tiennent à la disposition du CNC et de l’ensemble des autres organismes professionnels œuvrant pour la rénovation de l’Académie des César, afin d’étudier les modalités de mise en œuvre de cette …

27 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Le SPI encourage le Gouvernement à consolider un service public de l’audiovisuel fort au travers du maintien de France 4 et de France Ô.

Le SPI encourage le Gouvernement à consolider un service public de l’audiovisuel fort au travers du maintien de France 4 et de France Ô.

Paris, le 22 avril 2020

Le SPI prend acte des déclarations du ministre de la Culture en faveur du maintien d’une diffusion linéaire de programmes dédiés à la jeunesse et de contenus éducatifs sur le service public et l’encourage à confirmer les pistes de travail évoquées.

Le succès actuel de la grille de France 4, permise par la réactivité des équipes éditoriales et la qualité des programmes proposés, démontre l’importance de contenus de service public distinctifs des propositions des groupes privés à destination du public jeune. France 4 se distingue aujourd’hui par son offre de référence créative, originale, divertissante, comportant une dimension éthique, éducative et d’accès à la connaissance adaptée à chaque âge.

Le maintien de France 4 constituerait un signal fort pour toute la production française audiovisuelle et cinématographique. France 4 est la chaîne des enfants, à travers ses nombreux programmes d’animation, de documentaire et de magazine notamment, mais aussi la chaîne des plus grands avec des captations de spectacle vivant et une grande diversité de films de qualité, diffusés sur son antenne chaque année. La décision de maintenir la chaîne garantirait un soutien significatif à toute la filière cinématographique et audiovisuelle, dans une période de grande tension sur les commandes et les mises en production.

Bien entendu, tous les efforts de développement d’une offre non-linéaire doivent être maintenus. Les moyens mis en œuvre jusqu’alors pour Okoo et Slash doivent être garantis afin que le service public soit à même de proposer une offre numérique alternative forte.

Dans le cadre d’une nouvelle offre jeunesse de France Télévisions alliant linéaire et non-linéaire, le SPI continue de défendre des contenus adaptés à tous les publics, enfants, adolescents et ado-adulte, avec des propositions diversifiées, couvrant tous les genres de programmes et toutes les techniques (animation et prise de vue réelle). Le syndicat encourage donc les pouvoirs publics à poursuivre dans la voie empruntée par la chaîne durant la période de confinement.

Enfin, le SPI souligne qu’une réflexion parallèle doit également être conduite pour France Ô, dont la mobilisation a également été remarquable, la crise prouvant là-aussi, la pertinence du maintien de son offre spécifique, au service de nos concitoyens ultramarins qui ne bénéficient pas tous encore d’une couverture numérique suffisante à la réception d’une offre ultra-marine délinéarisée.

La crise que nous connaissons actuellement souligne une fois de plus la nécessité d’un service public présent et fort, pour tous les publics et tous les territoires.

Le SPI encourage le Gouvernement à consolider un service public de l’audiovisuel fort au travers du maintien de France 4 et de France Ô. Paris, le 22 avril 2020 Le SPI prend acte des déclarations du ministre de la Culture en faveur du maintien d’une diffusion linéaire de programmes dédiés à la jeunesse et de contenus éducatifs sur le service public et l’encourage à confirmer les pistes de travail évoquées. Le succès actuel de la grille de France 4, permise par la réactivité des équipes éditoriales et la qualité des programmes proposés, démontre l’importance de contenus de service public distinctifs des propositions des groupes privés à destination du public jeune. France 4 se distingue aujourd’hui par son offre de référence créative, originale, divertissante, comportant une dimension éthique, éducative et d’accès à la connaissance adaptée à chaque âge. Le maintien de France 4 constituerait un signal fort pour toute la production française audiovisuelle et cinématographique. France 4 est la chaîne des enfants, à travers ses nombreux programmes d’animation, de documentaire et de magazine notamment, mais aussi la chaîne des plus grands avec des captations de spectacle vivant et une grande diversité de films de qualité, diffusés sur son antenne chaque année. La décision de maintenir la chaîne garantirait un soutien significatif à toute la filière cinématographique et audiovisuelle, dans une période de grande tension sur les commandes et les mises en production. Bien entendu, tous les efforts de développement d’une offre non-linéaire doivent être maintenus. Les moyens mis en œuvre jusqu’alors pour Okoo et Slash doivent être garantis afin que le service public soit à même de proposer une offre numérique alternative forte. Dans le cadre d’une nouvelle offre jeunesse de France Télévisions alliant linéaire et non-linéaire, le SPI continue de défendre des contenus adaptés à tous les publics, enfants, adolescents et ado-adulte, avec des propositions diversifiées, couvrant tous les genres de programmes et toutes les techniques (animation et prise de vue réelle). Le syndicat encourage donc les pouvoirs publics à poursuivre dans la voie empruntée par la chaîne durant la période de confinement. Enfin, le SPI souligne qu’une réflexion parallèle doit également être conduite pour France Ô, dont la mobilisation a également été remarquable, la crise prouvant là-aussi, la pertinence du maintien de son offre spécifique, au service de nos concitoyens ultramarins qui ne bénéficient pas tous encore d’une couverture numérique suffisante à la réception d’une offre ultra-marine délinéarisée. La crise que nous connaissons actuellement souligne une fois de plus la nécessité d’un service public présent et fort, pour tous les publics et tous les …

22 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Lettre ouverte de la FESAC au Premier Ministre Édouard Philippe

Le SPI et les employeurs membres de la FESAC (Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma) réclament du gouvernement la suppression des charges pour toutes les entreprises de production culturelle à l’arrêt.

Paris, le 21 avril 2020

Lettre ouverte au Premier Ministre

Monsieur le Premier Ministre,

Notre Fédération a écouté avec attention l’allocution du Président de la République du 13 avril dernier et nous avons pris acte de son engagement de mettre en place des mesures de soutien spécifiques pour le secteur de la Culture dont l’activité restera à l’arrêt bien après la fin du confinement.

Nous avons également entendu l’annonce de votre ministre de l’Economie et des Finances concernant la possibilité de suppression des charges pour les entreprises les plus durement touchées.

Nous estimons indispensable que cette mesure bénéficie à toutes les entreprises du spectacle vivant et enregistré afin d’éviter qu’une grande partie d’entre elles ne soient contraintes au dépôt de bilan. Cette mesure devra impérativement se poursuivre en 2021 pour soutenir le redémarrage de l’activité de nos entreprises.

Nous tenons en effet à vous alerter sur la situation dramatique de notre secteur qui a été l’un des premiers touchés par la crise en raison de l’interdiction des rassemblements, et dont l’activité est aujourd’hui à l’arrêt. Il sera également l’un des derniers à entrevoir la reprise.

C’est pourquoi nous en appelons à un plan de soutien massif et ambitieux pour le secteur du spectacle vivant et enregistré. Ce plan doit s’inscrire dans la durée – 24 à 36 mois a minima – afin de permettre à nos entreprises de surmonter cette crise et d’être en capacité de redémarrer leur activité et de continuer à créer des emplois.

Nous sommes à la disposition de votre cabinet pour une réunion en visioconférence afin de vous présenter nos propositions.

La Culture ne doit pas être une variable d’ajustement. Elle doit être au cœur des préoccupations de votre gouvernement comme elle est au cœur de la vie de nos concitoyens qui ont démontré, depuis le début de cette période de confinement, qu’elle leur était essentielle.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’expression de notre respectueuse considération.

Jean-Yves Mirski
Président de la Fesac

Le SPI et les employeurs membres de la FESAC (Fédération des entreprises du spectacle vivant, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma) réclament du gouvernement la suppression des charges pour toutes les entreprises de production culturelle à l’arrêt. Paris, le 21 avril 2020 Lettre ouverte au Premier Ministre Monsieur le Premier Ministre, Notre Fédération a écouté avec attention l’allocution du Président de la République du 13 avril dernier et nous avons pris acte de son engagement de mettre en place des mesures de soutien spécifiques pour le secteur de la Culture dont l’activité restera à l’arrêt bien après la fin du confinement. Nous avons également entendu l’annonce de votre ministre de l’Economie et des Finances concernant la possibilité de suppression des charges pour les entreprises les plus durement touchées. Nous estimons indispensable que cette mesure bénéficie à toutes les entreprises du spectacle vivant et enregistré afin d’éviter qu’une grande partie d’entre elles ne soient contraintes au dépôt de bilan. Cette mesure devra impérativement se poursuivre en 2021 pour soutenir le redémarrage de l’activité de nos entreprises. Nous tenons en effet à vous alerter sur la situation dramatique de notre secteur qui a été l’un des premiers touchés par la crise en raison de l’interdiction des rassemblements, et dont l’activité est aujourd’hui à l’arrêt. Il sera également l’un des derniers à entrevoir la reprise. C’est pourquoi nous en appelons à un plan de soutien massif et ambitieux pour le secteur du spectacle vivant et enregistré. Ce plan doit s’inscrire dans la durée – 24 à 36 mois a minima – afin de permettre à nos entreprises de surmonter cette crise et d’être en capacité de redémarrer leur activité et de continuer à créer des emplois. Nous sommes à la disposition de votre cabinet pour une réunion en visioconférence afin de vous présenter nos propositions. La Culture ne doit pas être une variable d’ajustement. Elle doit être au cœur des préoccupations de votre gouvernement comme elle est au cœur de la vie de nos concitoyens qui ont démontré, depuis le début de cette période de confinement, qu’elle leur était essentielle. Nous vous prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’expression de notre respectueuse considération. Jean-Yves Mirski Président de la …

21 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Courrier adressé au Ministre de la Culture sur la nécessité de neutralisation des délais de franchises à l’assurance chômage des intermittents du spectacle

Le SPI et les syndicats d’employeurs de la production audiovisuelle et cinématographique (API, FICAM, SPECT, SPFA, UPC, USPA) saisissent Franck Riester, le Ministre de la Culture, pour l’alerter sur la nécessité de neutraliser les délais de franchises à l’assurance chômage pour les intermittents du spectacle.

Paris, le 17 avril 2020

Monsieur le Ministre,

Nous tenons d’abord à vous remercier d’avoir pris en compte la situation du secteur du cinéma et de l’audiovisuel en confirmant l’éligibilité des salariés intermittents du spectacle au dispositif d’activité partielle. Cela a permis à notre secteur, qui repose sur une économie de projets et de prestations discontinues, d’apporter une première réponse à l’ensemble de ses salariés et de ses entreprises, fortement impactés dès le début de cette crise.

Cependant, il nous semble nécessaire de porter à votre connaissance la problématique de l’application des franchises – salaires et congés payés – dans le cadre du calcul des droits à l’assurance chômage pour les salariés intermittents du spectacle qui ont un volume d’activité important. Cette situation concerne les salariés qui ont enchaîné des contrats à durée déterminée d’usage avec des interruptions très courtes, comme dans la production de longs métrages de fiction, de magazines, de jeux et divertissements, ou qui ont travaillé sur des œuvres aux cycles de production longs, comme dans la production de films d’animation.

Les franchises de ces salariés intermittents ont été reportées plusieurs fois. Ils ont cotisé à l’assurance chômage de façon continue pendant de très longues périodes. Au final, ils se trouvent devoir supporter des périodes de franchise cumulées très longues, pouvant dans certains cas aller jusqu’à 60 jours, et pendant lesquelles ils ne pourront percevoir les allocations de retour à l’emploi.

Les effets de cette situation sont significativement amplifiés dans cette période d’interruption brutale des activités. En effet, les intermittents du spectacle qui ne bénéficient pas de promesses unilatérales d’embauche – et ne peuvent, de ce fait, prétendre à l’activité partielle – mais également ceux dont le contrat, qui ne peut être renouvelé, se termine pendant cette période de suspension des activités. Dans ces cas, ils se verront opposer des franchises qui les laisseront sans aucune ressource puisqu’ils ne sont pas en capacité de retrouver du travail, en raison de la pandémie.

Nous demandons donc, à titre exceptionnel, pendant la durée de la crise actuelle, la neutralisation de ces délais de franchise, comme cela vient d’être fait pour d’autres dispositions relatives à l’accès à l’assurance chômage. Ces franchises s’appliqueraient à nouveau à la sortie de la période de crise que nous traversons.

Cela est d’autant plus nécessaire qu’il s’agit de talents – par exemple dans le secteur de la production de films d’animation – particulièrement recherchés et susceptibles pour beaucoup d’entre eux d’être recrutés par des studios étrangers, pénalisant directement les capacités des entreprises françaises lors de la reprise.

Il s’agit d’une mesure d‘équité et de cohérence, qui doit permettre ainsi que vous l’avez déclaré, de ne laisser aucun intermittent au bord de la route.

Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette demande et vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos salutations respectueuses.

API : Sidonie Dumas, Présidente
FICAM : Didier Huck, Président
SPECT : Nicolas Coppermann, Président
SPFA : Philippe Alessandri, Président
SPI : Gilles Sacuto, Président
UPC : Frédéric Brillion
USPA : Thomas Anargyros, Président

Copie à
Lucie Miniesa, Ministère de la Culture
Stephan Kutniak, Ministère de la Culture
Sylviane Tarsot-Gillery, DGCA
Ludovic Berthelot, DGMIC
Leslie Thomas, CNC

Le SPI et les syndicats d’employeurs de la production audiovisuelle et cinématographique (API, FICAM, SPECT, SPFA, UPC, USPA) saisissent Franck Riester, le Ministre de la Culture, pour l’alerter sur la nécessité de neutraliser les délais de franchises à l’assurance chômage pour les intermittents du spectacle. Paris, le 17 avril 2020 Monsieur le Ministre, Nous tenons d’abord à vous remercier d’avoir pris en compte la situation du secteur du cinéma et de l’audiovisuel en confirmant l’éligibilité des salariés intermittents du spectacle au dispositif d’activité partielle. Cela a permis à notre secteur, qui repose sur une économie de projets et de prestations discontinues, d’apporter une première réponse à l’ensemble de ses salariés et de ses entreprises, fortement impactés dès le début de cette crise. Cependant, il nous semble nécessaire de porter à votre connaissance la problématique de l’application des franchises – salaires et congés payés – dans le cadre du calcul des droits à l’assurance chômage pour les salariés intermittents du spectacle qui ont un volume d’activité important. Cette situation concerne les salariés qui ont enchaîné des contrats à durée déterminée d’usage avec des interruptions très courtes, comme dans la production de longs métrages de fiction, de magazines, de jeux et divertissements, ou qui ont travaillé sur des œuvres aux cycles de production longs, comme dans la production de films d’animation. Les franchises de ces salariés intermittents ont été reportées plusieurs fois. Ils ont cotisé à l’assurance chômage de façon continue pendant de très longues périodes. Au final, ils se trouvent devoir supporter des périodes de franchise cumulées très longues, pouvant dans certains cas aller jusqu’à 60 jours, et pendant lesquelles ils ne pourront percevoir les allocations de retour à l’emploi. Les effets de cette situation sont significativement amplifiés dans cette période d’interruption brutale des activités. En effet, les intermittents du spectacle qui ne bénéficient pas de promesses unilatérales d’embauche – et ne peuvent, de ce fait, prétendre à l’activité partielle – mais également ceux dont le contrat, qui ne peut être renouvelé, se termine pendant cette période de suspension des activités. Dans ces cas, ils se verront opposer des franchises qui les laisseront sans aucune ressource puisqu’ils ne sont pas en capacité de retrouver du travail, en raison de la pandémie. Nous demandons donc, à titre exceptionnel, pendant la durée de la crise actuelle, la neutralisation de ces délais de franchise, comme cela vient d’être fait pour d’autres dispositions relatives à l’accès à l’assurance chômage. Ces franchises s’appliqueraient à nouveau à la sortie de la période de crise que nous traversons. Cela est d’autant plus nécessaire qu’il s’agit de talents – par exemple dans le secteur de la production de films d’animation – particulièrement recherchés et susceptibles pour beaucoup d’entre eux d’être recrutés par des studios étrangers, pénalisant directement les capacités des entreprises françaises lors de la reprise. Il s’agit d’une mesure d‘équité et de cohérence, qui doit permettre ainsi que vous l’avez déclaré, de ne laisser aucun intermittent au bord de la route. Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette demande et vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos salutations respectueuses. API : Sidonie Dumas, PrésidenteFICAM : Didier Huck, PrésidentSPECT : Nicolas Coppermann, PrésidentSPFA : Philippe Alessandri, PrésidentSPI : Gilles Sacuto, PrésidentUPC : Frédéric BrillionUSPA : Thomas Anargyros, Président Copie àLucie Miniesa, Ministère de la CultureStephan Kutniak, Ministère de la CultureSylviane Tarsot-Gillery, DGCALudovic Berthelot, DGMICLeslie Thomas, …

20 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Courrier adressé à Madame la Ministre du Travail sur la nécessité de neutralisation des délais de franchises à l’assurance chômage des intermittents du spectacle

Le SPI et les syndicats d’employeurs de l’audiovisuel (API, FICAM, SPECT, SPFA, UPC, USPA) saisissent Muriel Pénicaud, la Ministre du Travail pour protéger les droits des intermittents en chômage partiel.

 

Paris, le 17 avril 2020

Madame la Ministre,

Nous tenons d’abord à vous remercier d’avoir pris en compte la situation du secteur du cinéma et de l’audiovisuel en confirmant l’éligibilité des salariés intermittents du spectacle au dispositif d’activité partielle. Cela a permis à notre secteur, qui repose sur une économie de projets et de prestations discontinues, d’apporter une première réponse à l’ensemble de ses salariés et de ses entreprises, fortement impactés dès le début de cette crise.

Cependant, il nous semble nécessaire de porter à votre connaissance la problématique de l’application des franchises – salaires et congés payés – dans le cadre du calcul des droits à l’assurance chômage pour les salariés intermittents du spectacle qui ont un volume d’activité important. Cette situation concerne les salariés qui ont enchaîné des contrats à durée déterminée d’usage avec des interruptions très courtes, comme dans la production de longs métrages de fiction, de magazines, de jeux et divertissements, ou qui ont travaillé sur des œuvres aux cycles de production longs, comme dans la production de films d’animation.

Les franchises de ces salariés intermittents ont été reportées plusieurs fois. Ils ont cotisé à l’assurance chômage de façon continue pendant de très longues périodes. Au final, ils se trouvent devoir supporter des périodes de franchise cumulées très longues, pouvant dans certains cas aller jusqu’à 60 jours, et pendant lesquelles ils ne pourront percevoir les allocations de retour à l’emploi.

Les effets de cette situation sont significativement amplifiés dans cette période d’interruption brutale des activités. En effet, les intermittents du spectacle qui ne bénéficient pas de promesses unilatérales d’embauche – et ne peuvent, de ce fait, prétendre à l’activité partielle – mais également ceux dont le contrat, qui ne peut être renouvelé, se termine pendant cette période de suspension des activités. Dans ces cas, ils se verront opposer des franchises qui les laisseront sans aucune ressource puisqu’ils ne sont pas en capacité de retrouver du travail, en raison de la pandémie.

Nous demandons donc, à titre exceptionnel, pendant la durée de la crise actuelle, la neutralisation de ces délais de franchise, comme cela vient d’être fait pour d’autres dispositions relatives à l’accès à l’assurance chômage. Ces franchises s’appliqueraient à nouveau à la sortie de la période de crise que nous traversons.

Cela est d’autant plus nécessaire qu’il s’agit de talents – par exemple dans le secteur de la production de films d’animation – particulièrement recherchés et susceptibles pour beaucoup d’entre eux d’être recrutés par des studios étrangers, pénalisant directement les capacités des entreprises françaises lors de la reprise.

Il s’agit d’une mesure d’équité et de cohérence, qui doit permettre ainsi que le déclarait Franck Riester sur France Inter jeudi 16 avril dernier, de ne laisser aucun intermittent au bord de la route.

Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette demande et vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de nos salutations respectueuses.

 

API : Sidonie Dumas, Présidente
FICAM : Didier Huck, Président
SPECT : Nicolas Coppermann, Président
SPFA : Philippe Alessandri, Président
SPI : Gilles Sacuto, Président
UPC : Frédéric Brillion
USPA : Thomas Anargyros, Président

Copie à

Antoine Foucher, Ministère du travail et de l’Emploi

Le SPI et les syndicats d’employeurs de l’audiovisuel (API, FICAM, SPECT, SPFA, UPC, USPA) saisissent Muriel Pénicaud, la Ministre du Travail pour protéger les droits des intermittents en chômage partiel.   Paris, le 17 avril 2020 Madame la Ministre, Nous tenons d’abord à vous remercier d’avoir pris en compte la situation du secteur du cinéma et de l’audiovisuel en confirmant l’éligibilité des salariés intermittents du spectacle au dispositif d’activité partielle. Cela a permis à notre secteur, qui repose sur une économie de projets et de prestations discontinues, d’apporter une première réponse à l’ensemble de ses salariés et de ses entreprises, fortement impactés dès le début de cette crise. Cependant, il nous semble nécessaire de porter à votre connaissance la problématique de l’application des franchises – salaires et congés payés – dans le cadre du calcul des droits à l’assurance chômage pour les salariés intermittents du spectacle qui ont un volume d’activité important. Cette situation concerne les salariés qui ont enchaîné des contrats à durée déterminée d’usage avec des interruptions très courtes, comme dans la production de longs métrages de fiction, de magazines, de jeux et divertissements, ou qui ont travaillé sur des œuvres aux cycles de production longs, comme dans la production de films d’animation. Les franchises de ces salariés intermittents ont été reportées plusieurs fois. Ils ont cotisé à l’assurance chômage de façon continue pendant de très longues périodes. Au final, ils se trouvent devoir supporter des périodes de franchise cumulées très longues, pouvant dans certains cas aller jusqu’à 60 jours, et pendant lesquelles ils ne pourront percevoir les allocations de retour à l’emploi. Les effets de cette situation sont significativement amplifiés dans cette période d’interruption brutale des activités. En effet, les intermittents du spectacle qui ne bénéficient pas de promesses unilatérales d’embauche – et ne peuvent, de ce fait, prétendre à l’activité partielle – mais également ceux dont le contrat, qui ne peut être renouvelé, se termine pendant cette période de suspension des activités. Dans ces cas, ils se verront opposer des franchises qui les laisseront sans aucune ressource puisqu’ils ne sont pas en capacité de retrouver du travail, en raison de la pandémie. Nous demandons donc, à titre exceptionnel, pendant la durée de la crise actuelle, la neutralisation de ces délais de franchise, comme cela vient d’être fait pour d’autres dispositions relatives à l’accès à l’assurance chômage. Ces franchises s’appliqueraient à nouveau à la sortie de la période de crise que nous traversons. Cela est d’autant plus nécessaire qu’il s’agit de talents – par exemple dans le secteur de la production de films d’animation – particulièrement recherchés et susceptibles pour beaucoup d’entre eux d’être recrutés par des studios étrangers, pénalisant directement les capacités des entreprises françaises lors de la reprise. Il s’agit d’une mesure d’équité et de cohérence, qui doit permettre ainsi que le déclarait Franck Riester sur France Inter jeudi 16 avril dernier, de ne laisser aucun intermittent au bord de la route. Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette demande et vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de nos salutations respectueuses.   API : Sidonie Dumas, PrésidenteFICAM : Didier Huck, PrésidentSPECT : Nicolas Coppermann, PrésidentSPFA : Philippe Alessandri, PrésidentSPI : Gilles Sacuto, PrésidentUPC : Frédéric BrillionUSPA : Thomas Anargyros, Président Copie à Antoine Foucher, Ministère du travail et de …

20 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Le documentaire “EN POLITICA” produit par Petit à Petit Production sortira en e-Cinéma le 22 avril

“En Politica”, le long métrage documentaire de Penda Houzangbe et Jean Gabriel Tregoat, produit par Petit à Petit Production devait sortir en salle de 18 mars 2020. Grâce à la complicité de DHR distribution/A vifs cinéma et La 25ème heure, le documentaire va bénéficier une sortie e-cinéma le 22 avril 2020…

Emilio et une petite équipe de militants des mouvements sociaux déterminés à changer les choses décident de se présenter pour la première fois à un scrutin électoral. Élus députés sous les couleurs de Podemos, ils se retrouvent plongés dans le monde politique auquel ils se sont toujours opposés. De leur campagne à leurs premiers mois au Parlement, nous suivons ces nouveaux politiques dans le quotidien de leur apprentissage.

En Politica” nous plonge dans le quotidien d’une petite équipe d’activistes se présentant pour la première fois à des élections et entrant au Parlement asturien. Pris entre leurs idéaux et la réalité pratique de l’institution politique, les nouveaux élus font l’apprentissage des rouages du pouvoir. Dès lors, une question se pose à eux : Comment changer les choses sans être changés par la politique ?

Réalisateur Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Production Rebecca HOUZEL Auteur Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Image Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Ingénieur du son Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Montage image Ael DALLIER Montage son Raphaël MOUTERDE Mixage Raphaël MOUTERDE Étalonnage Jean-Gabriel TREGOAT

PENDA HOUZANGBE : De nationalité togolaise, née en 1979, Penda Houzangbe grandit à Lomé, au Togo. Elle suit des études de cinéma en France puis à Cuba. Après avoir réalisé quelques courts métrages, elle travaille principalement comme monteuse (Linge Sale, fiction, 1395 Days Without Red, fiction, Atalaku, documentaire.

JEAN-GABRIEL TREGOAT ; De nationalité française, né en 1977, il fait des études d’Histoire à Toulouse puis émigre en Angleterre où il entame des études de chef opérateur qu’il poursuit à Cuba. Il participe à plusieurs courts et moyens métrages à divers postes, notamment à l’image (El Espino, Body Double XX).

Jean-Gabriel et Penda commencent à travailler en co-réalisation avec Atlantic Produce Togo s.a., un long-métrage documentaire. Quelqu’un de nouveau en politique est leur second documentaire à la réalisation.

Qu’est-ce que le e-Cinéma ? 
 

“Ce n’est pas de la VOD. Ce n’est pas du streaming. Ce n’est pas non plus un téléchargement du film sur votre ordinateur. Il s’agit d’une vraie séance de cinéma (mais à la maison !) à un horaire précis, suivie d’une vraie discussion avec le réalisateur et la réalisatrice du film”.

En partenariat avec les salles de cinéma, à des horaires fixes, dans un rayon géographique proche du cinéma, participez à votre séance de cinéma, à la maison. Les recettes de votre ticket d’entrée sera partagé entre l’exploitant et le distributeur, et la plateforme. 

Les premières e-séances :

Au Méliès à Montreuil
Le 22 avril, suivi d’une discussion avec Penda Houzangbe et Jean Gabriel Tregoat

A Paris, semaine du 22 avril
Jeudi 23 avril – 20h15 au Luminor suivi d’un débat avec les réalisateurs Penda Houzangbe et Jean-Gabriel Tregoat
Vendredi 24 avril – 20h15 à l’Entrepôt
Dimanche 26 avril – 16h00 au Luminor
Mardi 28 avril – 20h15 à l’Entrepôt suivi d’un débat

À Bazas,
Le 24 Avril à 20h30

À Caen,
Le 22 avril à 20h15 avec Emilio León de Podemos, l’un des personnages principaux du film 
Le 24 avril avec Penda Houzangbe et Jean Gabriel Tregoat à 20h15

Mais aussi

À Rennes
À Dunkerque
A Dinard / Saint-Malo


d’autres séances sont en préparation.


Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de la Vingt-Cinquième Heure ou suivez la Page Facebook du Film !

Plus d’informations sur Petit à Petit Production : www. petitapetitproduction.com

“En Politica”, le long métrage documentaire de Penda Houzangbe et Jean Gabriel Tregoat, produit par Petit à Petit Production devait sortir en salle de 18 mars 2020. Grâce à la complicité de DHR distribution/A vifs cinéma et La 25ème heure, le documentaire va bénéficier une sortie e-cinéma le 22 avril 2020… Emilio et une petite équipe de militants des mouvements sociaux déterminés à changer les choses décident de se présenter pour la première fois à un scrutin électoral. Élus députés sous les couleurs de Podemos, ils se retrouvent plongés dans le monde politique auquel ils se sont toujours opposés. De leur campagne à leurs premiers mois au Parlement, nous suivons ces nouveaux politiques dans le quotidien de leur apprentissage. “En Politica” nous plonge dans le quotidien d’une petite équipe d’activistes se présentant pour la première fois à des élections et entrant au Parlement asturien. Pris entre leurs idéaux et la réalité pratique de l’institution politique, les nouveaux élus font l’apprentissage des rouages du pouvoir. Dès lors, une question se pose à eux : Comment changer les choses sans être changés par la politique ? Réalisateur Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Production Rebecca HOUZEL Auteur Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Image Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Ingénieur du son Penda HOUZANGBE et Jean-Gabriel TREGOAT Montage image Ael DALLIER Montage son Raphaël MOUTERDE Mixage Raphaël MOUTERDE Étalonnage Jean-Gabriel TREGOAT PENDA HOUZANGBE : De nationalité togolaise, née en 1979, Penda Houzangbe grandit à Lomé, au Togo. Elle suit des études de cinéma en France puis à Cuba. Après avoir réalisé quelques courts métrages, elle travaille principalement comme monteuse (Linge Sale, fiction, 1395 Days Without Red, fiction, Atalaku, documentaire. JEAN-GABRIEL TREGOAT ; De nationalité française, né en 1977, il fait des études d’Histoire à Toulouse puis émigre en Angleterre où il entame des études de chef opérateur qu’il poursuit à Cuba. Il participe à plusieurs courts et moyens métrages à divers postes, notamment à l’image (El Espino, Body Double XX). Jean-Gabriel et Penda commencent à travailler en co-réalisation avec Atlantic Produce Togo s.a., un long-métrage documentaire. Quelqu’un de nouveau en politique est leur second documentaire à la réalisation. Qu’est-ce que le e-Cinéma ?   “Ce n’est pas de la VOD. Ce n’est pas du streaming. Ce n’est pas non plus un téléchargement du film sur votre ordinateur. Il s’agit d’une vraie séance de cinéma (mais à la maison !) à un horaire précis, suivie d’une vraie discussion avec le réalisateur et la réalisatrice du film”. En partenariat avec les salles de cinéma, à des horaires fixes, dans un rayon géographique proche du cinéma, participez à votre séance de cinéma, à la maison. Les recettes de votre ticket d’entrée sera partagé entre l’exploitant et le distributeur, et la plateforme.  Les premières e-séances : Au Méliès à MontreuilLe 22 avril, suivi d’une discussion avec Penda Houzangbe et Jean Gabriel Tregoat A Paris, semaine du 22 avrilJeudi 23 avril – 20h15 au Luminor suivi d’un débat avec les réalisateurs Penda Houzangbe et Jean-Gabriel TregoatVendredi 24 avril – 20h15 à l’EntrepôtDimanche 26 avril – 16h00 au LuminorMardi 28 avril – 20h15 à l’Entrepôt suivi d’un débat À Bazas,Le 24 Avril à 20h30 À Caen,Le 22 avril à 20h15 avec Emilio León de Podemos, l’un des personnages principaux du film Le 24 avril avec Penda Houzangbe et Jean Gabriel Tregoat à 20h15 Mais aussi À RennesÀ DunkerqueA Dinard / Saint-Malo d’autres séances sont en préparation. Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de la Vingt-Cinquième Heure ou suivez la Page Facebook du Film ! Plus d’informations sur Petit à Petit Production : www. …

17 avril 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Le BLIC, le BLOC, et l’ARP écrivent à Bruno Le Maire et Franck Riester

Courrier envoyé le 15 avril aux Ministres de l’Économie et des Finances et de la Culture signé par le BLIC, le  BLOC et l’ARP sollicitant la création d’un fonds d’urgence, destiné à toutes les professions du cinéma, supplémentaire et distinct des dispositifs de soutiens annoncés par l’État et de ceux habituellement mis en œuvre par le CNC.

Paris, le 15 avril 2020

Monsieur le Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur le Ministre de la Culture,

Dans le contexte de crise sanitaire que traverse la France aujourd’hui, les organisations professionnelles du cinéma regroupées au sein du BLIC, du BLOC et de l’ARP, sont conscientes de la mobilisation constante du gouvernement pour juguler la crise et ses effets socio- économiques.

A ce titre, nous souhaitons collectivement vous interpeller sur la situation particulièrement critique dans laquelle se trouvent un grand nombre d’entreprises et créateurs de la filière cinématographique, frappés de plein fouet par la crise actuelle.

Exploitants de salles de cinéma, éditeurs-distributeurs d’œuvres cinématographiques, producteurs, créateurs, éditeurs vidéo, exportateurs, artistes-interprètes, techniciens et industries techniques, doivent faire face à de graves difficultés de trésorerie, comme de nombreux autres secteurs d’activité. Ils doivent aussi faire face à l’arrêt de pans entiers de leur activité (fermeture des salles de cinéma et interruption des tournages notamment). Cette mise à l’arrêt aura des répercussions durables, compte tenu du temps long de conception et de réalisation de la production et d’édition-distribution des films. La crise vient en outre toucher un secteur dont certains segments étaient déjà structurellement fragilisés depuis de nombreuses années.

Le BLIC, le BLOC et l’ARP saluent l’implication du Président du CNC et de ses équipes avec lesquelles ils ont œuvré pour l’adoption ce 1er avril d’une mesure permettant à certains acteurs de la filière de mobiliser à hauteur de 30% les sommes inscrites sur leur compte de soutien automatique pour des besoins de trésorerie.

Cette mesure constitue une étape importante mais n’est pas suffisante pour soutenir l’ensemble de ces acteurs fortement impactés par la crise. Elle laisse par ailleurs de côté les acteurs économiques qui ne bénéficient pas du fonds de soutien (auteurs, compositeurs, éditeurs-distributeurs de films étrangers, industries techniques) et ceux qui en ont épuisé les montants disponibles du fait d’investissements récents.

Par ailleurs, comme vous le savez, les ressources du CNC vont, elles aussi, être mécaniquement impactées par la crise du fait de la forte baisse des recettes publicitaires des chaînes de télévision et du manque à gagner lié à l’absence de perception de la taxe sur les entrées en salles, elles-mêmes à l’arrêt. Les seules ressources du CNC ne peuvent donc suffire à relever les défis de la filière.

Dans ce contexte le BLIC, l’ARP et le BLOC se félicitent de l’annonce faite par le Président de la République d’un plan spécifique pour le secteur de la culture. Ils souhaitent qu’il y soit incluse la création d’un fonds d’urgence, destiné à toutes les professions du cinéma, supplémentaire et distinct des dispositifs de soutiens annoncés par l’État pour l’ensemble des entreprises et de ceux habituellement mis en œuvre par le CNC. Celui-ci a d’ailleurs, par le passé, contribué au budget général de l’État par le versement de sommes substantielles issues du fonds de soutien.

La mise en œuvre urgente de ce plan spécifique, doté à titre exceptionnel de crédits budgétaires issus des ressources de l’État, est aujourd’hui une condition essentielle de la survie des entreprises et des créateurs de la filière les plus fragilisés par cette crise.

C’est aussi le gage d’une reprise salutaire de l’activité de création, de diffusion des œuvres cinématographiques et de leur exposition dans des salles ouvertes au public dès lors que la France sera sortie de cette crise.

En vous remerciant de votre attention, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur le Ministre de la Culture, l’expression de notre haute considération.

16 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Communiqué de presse commun du secteur audiovisuel européen

Le SPI et toutes les organisations du cinéma et de l’audiovisuel européen, appellent l’attention de la Commission et du Conseil des Ministres de la Culture sur les répercussions colossales de la crise sanitaire sur la production européenne.

Joint Declaration – Fighting the COVID-19 crisis in the Film and TV Production in Europe 16 April 2020

The film and audiovisual sector in Europe calls for urgent action by EU and Member State decision-makers to safeguard the future of the sector in the wake of the COVID- 19 outbreak, following in the footsteps of initial emergency measures announced at national level, including by film funds and other bodies.

Why does it matter ? We are facing a profound crisis for creativity and culture in Europe – for businesses and for individuals. Our sector is at the heart of Europe’s cultural, creative and social identity and a key contributor to the European economy and employment; immediate intervention is therefore crucial and indeed strategic for European and national unity going forward. Without a firm commitment from European and national leaders, the film and audiovisual sector in Europe will not recover from the unprecedented impact of the health crisis.

Our sector could play a major role in the healing and recovery process that our societies are going to face in the months and years ahead – but only if its basic infrastructure can be saved.

Why is film/AV specific ? The sector is characterized by its project-based nature and irregular business cycles – a vast interconnected eco-system from project development through creation, financing, production, exhibition, distribution (online and offline), and. all forms of broadcasting. The sector’s activities are driven by numerous individual creators, entrepreneurs, companies of all sizes, including many SMEs and freelancers that have all been thrown into a social and economic crisis as a result of the pandemic. Each segment of the sector from project development, financing, production through exhibition, distribution and broadcasting will have its own specific challenges going forward. Different impacts are experienced in different Member States, including in different parts of each individual MemberState.

The negative impact will not stop when normal activities resume in our societies; rather it will continue through the medium- to long-term due to the long development/lead time nature of the sector.

Although gathering around screens at home has contributed to a sense of unity during the crisis, this has not stopped the current wave of mass job and income losses in the film and audiovisual sector, nor will it translate into recovery of investments, simple resumption of interrupted production, exhibition or distribution activities, or indeed funding for development of future projects.

What is needed ? Urgent financial support now and in the months to come to safeguard the existing film and audiovisual eco-system and the future of the sector in Europe which is suffering grievously because of valid social distancing measures and related societal consequences. The crisis in our sector will be felt way beyond the confinement period.

The film and audiovisual sector in Europe can be a conduit and a catalyst for the debates and discussions which will be essential in Europe’s democracies as its citizens come to terms with the consequences of this unprecedented crisis and lay the groundwork for new optimism and confidence in our shared European future.

Le SPI et toutes les organisations du cinéma et de l’audiovisuel européen, appellent l’attention de la Commission et du Conseil des Ministres de la Culture sur les répercussions colossales de la crise sanitaire sur la production européenne. Joint Declaration – Fighting the COVID-19 crisis in the Film and TV Production in Europe – 16 April 2020 The film and audiovisual sector in Europe calls for urgent action by EU and Member State decision-makers to safeguard the future of the sector in the wake of the COVID- 19 outbreak, following in the footsteps of initial emergency measures announced at national level, including by film funds and other bodies. Why does it matter ? We are facing a profound crisis for creativity and culture in Europe – for businesses and for individuals. Our sector is at the heart of Europe’s cultural, creative and social identity and a key contributor to the European economy and employment; immediate intervention is therefore crucial and indeed strategic for European and national unity going forward. Without a firm commitment from European and national leaders, the film and audiovisual sector in Europe will not recover from the unprecedented impact of the health crisis. Our sector could play a major role in the healing and recovery process that our societies are going to face in the months and years ahead – but only if its basic infrastructure can be saved. Why is film/AV specific ? The sector is characterized by its project-based nature and irregular business cycles – a vast interconnected eco-system from project development through creation, financing, production, exhibition, distribution (online and offline), and. all forms of broadcasting. The sector’s activities are driven by numerous individual creators, entrepreneurs, companies of all sizes, including many SMEs and freelancers that have all been thrown into a social and economic crisis as a result of the pandemic. Each segment of the sector from project development, financing, production through exhibition, distribution and broadcasting will have its own specific challenges going forward. Different impacts are experienced in different Member States, including in different parts of each individual MemberState. The negative impact will not stop when normal activities resume in our societies; rather it will continue through the medium- to long-term due to the long development/lead time nature of the sector. Although gathering around screens at home has contributed to a sense of unity during the crisis, this has not stopped the current wave of mass job and income losses in the film and audiovisual sector, nor will it translate into recovery of investments, simple resumption of interrupted production, exhibition or distribution activities, or indeed funding for development of future projects. What is needed ? Urgent financial support now and in the months to come to safeguard the existing film and audiovisual eco-system and the future of the sector in Europe which is suffering grievously because of valid social distancing measures and related societal consequences. The crisis in our sector will be felt way beyond the confinement period. The film and audiovisual sector in Europe can be a conduit and a catalyst for the debates and discussions which will be essential in Europe’s democracies as its citizens come to terms with the consequences of this unprecedented crisis and lay the groundwork for new optimism and confidence in our shared European …

9 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Audiovisuel : une réponse cohérente et concertée à la crise est nécessaire

Communiqué du 8 avril 2020

La filière de la production audiovisuelle et cinématographique française représente plus de 200 000 emplois, et une part du PNB français supérieure à l’industrie automobile, l’industrie aéronautique ou le secteur de la pharmacie. Or notre filière a été violemment percutée par la crise due au COVID 19 : arrêt brutal de tous les tournages, ceux qui étaient en préparation comme ceux qui étaient en cours, blocage des studios de post-production, fermeture des cinémas, annulation des marchés et festivals audiovisuels et cinématographiques. De l’amont à l’aval toute la filière connaît un gel complet de ses activités.

Depuis le début de cette crise sans précédent, les producteurs indépendants se sont mobilisés sans relâche : ils ont demandé au Premier ministre, avec les syndicats de salariés, de rendre possible le chômage partiel pour les intermittents et nous avons recommandé à nos adhérents d’y recourir, à chaque fois qu’ils le peuvent. Ainsi les producteurs indépendants tentent de garantir la continuité de l’activité à venir de toute la filière audiovisuelle. Ces efforts nécessitent d’énormes mobilisations de trésorerie. Les entreprises se mettent en danger, pour supporter le coût social des mesures sanitaires de confinement.

Aussi, les producteurs remercient tout particulièrement les pouvoirs publics, qui ont annoncé un certain nombre de dispositifs facilitant le recours à des crédits de trésorerie. C’est pour assurer la mise en place effective de ces outils financiers, d’une manière adaptée aux spécificités du secteur que les syndicats des producteurs indépendants de l’audiovisuel et du cinéma ont ensemble saisi la Fédération bancaire française ainsi que les ministres de l’Économie et de la Culture.

Il est important de noter l’engagement fort de France Télévisions, qui a été le premier diffuseur à réagir et à dialoguer avec l’ensemble des producteurs indépendants pour prendre sa part de l’effort de solidarité de toute la filière, par des mesures économiques adaptées.

C’est dans cet esprit que nous soutenons les initiatives prises en faveur d’une relance des financements de l’audiovisuel privé également, comme par exemple le projet d’un crédit d’impôt sur des dépenses de communication, indispensable pour favoriser un rebond de l’ensemble de l’activité économique, dès que cela sera possible. La communication est au cœur du fonctionnement de notre société et elle contribue à la bonne santé de tous les secteurs.

Dans ce contexte d’activité totalement bouleversée, au-delà des dispositifs conçus par le Gouvernement pour faciliter l‘accès aux crédits, le CNC a également mis en place des mesures importantes, mais encore partielles, pour consolider la trésorerie des entreprises de production confrontées à des dépenses aussi importantes qu’imprévues. Un secteur hautement culturel est particulièrement sinistré et en grave danger, celui de la captation de spectacles vivants : il réclame encore des mesures spécifiques. Les besoins du secteur de la production audiovisuelle sont multiples car notre filière est diverse. Les producteurs indépendants ont donc transmis au Président du CNC, une série de propositions complémentaires adaptées à l’ensemble de la filière de production audiovisuelle, destinées en particulier à soutenir le développement.

Dans cette situation, le SPI est soucieux de ce que les entreprises du secteur ne se retrouvent pas en situation de surendettement après la crise. Les facilités de trésorerie proposées par le Gouvernement (via l’IFCIC, BPI-France, les reports de remboursement de crédits… ) sont vitales pour répondre aux urgences, aux arrêts de tournages et de post-productions, mais de nombreuses entreprises auront besoin d’investissements et de commandes, pour survivre. Certaines ne se relèveront pas si les décalages étaient plus longs que prévus, si la reprise ne pouvait se faire avant plusieurs mois… Il est donc indispensable de créer un fonds de dotation qui soit capable de pallier les besoins qui ne sont pas pris en charge par les assurances.

Une concertation doit s’engager rapidement avec les compagnies d’assurance et la puissance publique sur les conditions qui garantiront la reprise de l’activité. Sans accord avec les assureurs pour garantir le risque de maladie lié au COVID19, aucun tournage ne pourra reprendre. On ne parlera plus de sinistre, mais d’hécatombe. Cette question primordiale doit être réglée de toute urgence et c’est le sens du courrier adressé par tous les syndicats de producteurs audiovisuels et cinématographiques au Président du CNC.

La place de la filière audiovisuelle et cinématographique dans l’économie de notre pays est très importante, et la préservation du tissu de producteurs qui la composent est essentielle à notre avenir : le Syndicat des Producteurs Indépendants appelle l’ensemble des pouvoirs publics, établissements financiers et assureurs, à agir de manière cohérente et concertée, afin que toutes les conditions soient réunies pour un redémarrage rapide des activités de production et de distribution des œuvres, sitôt levées les mesures sanitaires de confinement qui s’imposent aujourd’hui.

Contact presse :

Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général
SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset 75011 Paris
Tél. 01 44 70 70 44

Communiqué du 8 avril 2020 La filière de la production audiovisuelle et cinématographique française représente plus de 200 000 emplois, et une part du PNB français supérieure à l’industrie automobile, l’industrie aéronautique ou le secteur de la pharmacie. Or notre filière a été violemment percutée par la crise due au COVID 19 : arrêt brutal de tous les tournages, ceux qui étaient en préparation comme ceux qui étaient en cours, blocage des studios de post-production, fermeture des cinémas, annulation des marchés et festivals audiovisuels et cinématographiques. De l’amont à l’aval toute la filière connaît un gel complet de ses activités. Depuis le début de cette crise sans précédent, les producteurs indépendants se sont mobilisés sans relâche : ils ont demandé au Premier ministre, avec les syndicats de salariés, de rendre possible le chômage partiel pour les intermittents et nous avons recommandé à nos adhérents d’y recourir, à chaque fois qu’ils le peuvent. Ainsi les producteurs indépendants tentent de garantir la continuité de l’activité à venir de toute la filière audiovisuelle. Ces efforts nécessitent d’énormes mobilisations de trésorerie. Les entreprises se mettent en danger, pour supporter le coût social des mesures sanitaires de confinement. Aussi, les producteurs remercient tout particulièrement les pouvoirs publics, qui ont annoncé un certain nombre de dispositifs facilitant le recours à des crédits de trésorerie. C’est pour assurer la mise en place effective de ces outils financiers, d’une manière adaptée aux spécificités du secteur que les syndicats des producteurs indépendants de l’audiovisuel et du cinéma ont ensemble saisi la Fédération bancaire française ainsi que les ministres de l’Économie et de la Culture. Il est important de noter l’engagement fort de France Télévisions, qui a été le premier diffuseur à réagir et à dialoguer avec l’ensemble des producteurs indépendants pour prendre sa part de l’effort de solidarité de toute la filière, par des mesures économiques adaptées. C’est dans cet esprit que nous soutenons les initiatives prises en faveur d’une relance des financements de l’audiovisuel privé également, comme par exemple le projet d’un crédit d’impôt sur des dépenses de communication, indispensable pour favoriser un rebond de l’ensemble de l’activité économique, dès que cela sera possible. La communication est au cœur du fonctionnement de notre société et elle contribue à la bonne santé de tous les secteurs. Dans ce contexte d’activité totalement bouleversée, au-delà des dispositifs conçus par le Gouvernement pour faciliter l‘accès aux crédits, le CNC a également mis en place des mesures importantes, mais encore partielles, pour consolider la trésorerie des entreprises de production confrontées à des dépenses aussi importantes qu’imprévues. Un secteur hautement culturel est particulièrement sinistré et en grave danger, celui de la captation de spectacles vivants : il réclame encore des mesures spécifiques. Les besoins du secteur de la production audiovisuelle sont multiples car notre filière est diverse. Les producteurs indépendants ont donc transmis au Président du CNC, une série de propositions complémentaires adaptées à l’ensemble de la filière de production audiovisuelle, destinées en particulier à soutenir le développement. Dans cette situation, le SPI est soucieux de ce que les entreprises du secteur ne se retrouvent pas en situation de surendettement après la crise. Les facilités de trésorerie proposées par le Gouvernement (via l’IFCIC, BPI-France, les reports de remboursement de crédits… ) sont vitales pour répondre aux urgences, aux arrêts de tournages et de post-productions, mais de nombreuses entreprises auront besoin d’investissements et de commandes, pour survivre. Certaines ne se relèveront pas si les décalages étaient plus longs que prévus, si la reprise ne pouvait se faire avant plusieurs mois… Il est donc indispensable de créer un fonds de dotation qui soit capable de pallier les besoins qui ne sont pas pris en charge par les assurances. Une concertation doit s’engager rapidement avec les compagnies d’assurance et la puissance publique sur les conditions qui garantiront la reprise de l’activité. Sans accord avec les assureurs pour garantir le risque de maladie lié au COVID19, aucun tournage ne pourra reprendre. On ne parlera plus de sinistre, mais d’hécatombe. Cette question primordiale doit être réglée de toute urgence et c’est le sens du courrier adressé par tous les syndicats de producteurs audiovisuels et cinématographiques au Président du CNC. La place de la filière audiovisuelle et cinématographique dans l’économie de notre pays est très importante, et la préservation du tissu de producteurs qui la composent est essentielle à notre avenir : le Syndicat des Producteurs Indépendants appelle l’ensemble des pouvoirs publics, établissements financiers et assureurs, à agir de manière cohérente et concertée, afin que toutes les conditions soient réunies pour un redémarrage rapide des activités de production et de distribution des œuvres, sitôt levées les mesures sanitaires de confinement qui s’imposent aujourd’hui. Contact presse : Olivier ZEGNA RATA – Délégué Général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél. 01 44 70 70 …

9 avril 2020Actus-SPIactus-spi
ANIMATION : “La vie de château” produit par Films Grand Huit et Miyu Productions sur France 4

Orpheline, Violette, 8 ans, part vivre avec son oncle Régis, agent d’entretien au château de Versailles. Timide, Violette le déteste : elle trouve qu’il pue, elle décide alors qu’elle ne lui dira pas un mot. Dans les coulisses du Roi Soleil, la petite fille têtue et le grand ours vont se dompter et traverser ensemble leur deuil.

Le magazine Télérama vient de placer le film d’animation “La vie de château” (1×26), écrit et réalisé par Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi, en tête de ses recommandations TV enfants de la semaine.

Produit par Films Grand Huit, en coproduction avec Miyu Productions, “La vie de Château” est déjà disponible sur Okoo, la nouvelle offre enfants de France Télévisions.

Diffusion nationale prévue sur France 4 le dimanche 11 avril 2020.

Capture d’écran du site Télérama (Mis à jour le 03/04/2020 à 10h17 par Pascale Paoli-Lebailly)

Prix du Jury au Festival International du Film d’Annecy

Prix des enfants Courts des Petits – Premiers Plans d’Angers • Prix de la compétition Jeune Public et Prix Unifrance Jeune Public du Festival international du film en plein air de Grenoble • Best Animated Short Film for Kids – Imaginaria • Coup de Coeur du public – Coup de coeur du jury jeune – coup de coeur de 6NEMA au festival Les enfants terribles de Huy • Mention spéciale du Jury Festival Anima • Best Tv & educational Film – Réanimania • Best Tv Award Professional and Children Jury – Chicago International Children’s Film Festival • Best Animation Short – Dell-IKFF

Orpheline, Violette, 8 ans, part vivre avec son oncle Régis, agent d’entretien au château de Versailles. Timide, Violette le déteste : elle trouve qu’il pue, elle décide alors qu’elle ne lui dira pas un mot. Dans les coulisses du Roi Soleil, la petite fille têtue et le grand ours vont se dompter et traverser ensemble leur deuil. Le magazine Télérama vient de placer le film d’animation “La vie de château” (1×26), écrit et réalisé par Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi, en tête de ses recommandations TV enfants de la semaine. Produit par Films Grand Huit, en coproduction avec Miyu Productions, “La vie de Château” est déjà disponible sur Okoo, la nouvelle offre enfants de France Télévisions. Diffusion nationale prévue sur France 4 le dimanche 11 avril 2020. Prix du Jury au Festival International du Film d’Annecy Prix des enfants Courts des Petits – Premiers Plans d’Angers • Prix de la compétition Jeune Public et Prix Unifrance Jeune Public du Festival international du film en plein air de Grenoble • Best Animated Short Film for Kids – Imaginaria • Coup de Coeur du public – Coup de coeur du jury jeune – coup de coeur de 6NEMA au festival Les enfants terribles de Huy • Mention spéciale du Jury Festival Anima • Best Tv & educational Film – Réanimania • Best Tv Award Professional and Children Jury – Chicago International Children’s Film Festival • Best Animation Short – …

8 avril 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
Déclaration commune des organisations d’employeurs et de salariés du Spectacle Vivant et Enregistré

Nos organisations en appellent à un soutien effectif à l’ensemble des structures du secteur ainsi qu’à l’emploi

Face à l’ampleur de la crise que traversent actuellement nos différents secteurs d’activité du fait de l’épidémie du Covid-19, nos organisations tiennent à s’exprimer collectivement afin de :

  • Rappeler qu’au-delà des mesures générales prises par le gouvernement, il est nécessaire que des dispositifs de soutien complémentaires répondant aux spécificités de nos secteurs, de nos entreprises, soient mis en place rapidement et qu’ils puissent bénéficier à l’ensemble des structures de notre champ du spectacle vivant et enregistré. Un accompagnement pour bénéficier des mesures nationales est également nécessaire : s’agissant par exemple du Prêt garanti par l’État, le ministère de la Culture doit être en soutien, via l’outil IFCIC, comme peut l’être la caisse des dépôts dans le secteur du Tourisme. Nous demandons également un soutien particulier aux structures les plus fragiles.
  • Solliciter le maintien intégral et sans conditions de tous les financements publics, provenant de l’État ou des collectivités territoriales, pour permettre la continuité de l’activité.
  • Inviter l’ensemble des structures du secteur à soutenir l’emploi autant que possible : ainsi, nous incitons les structures subventionnées à honorer les contrats de travail ou contrats de cession, sur la base des financements qui leur ont été alloués. Par ailleurs, l’ensemble des employeurs peuvent recourir à l’activité partielle, y compris pour les CDDU ainsi que les promesses d’embauche formalisées. Nous recommandons l’usage de ce dispositif si nécessaire. A ce titre, il est primordial que le gouvernement en précise sans délai les modalités pour les salariés rémunérés au cachet, et cela sans minoration des droits des artistes au titre de l’indemnité de remplacement ni de leurs droits futurs à indemnisation. De même pour les artistes déclarés au GUSO.
  • Demander une concertation immédiate avec le gouvernement pour clarifier les modalités d’adaptation des annexes 8 et 10 – dont l’allongement de la période de référence et d’indemnisation, et la question des délais de franchise – ainsi que les modalités de prise en compte des périodes d’activité partielle au regard des droits à assurance chômage des salariés intermittents du spectacle.
  • Travailler avec le gouvernement à la préparation de la sortie de crise et de ses modalités : comment est envisagée la sortie du confinement et la reprise d’activité dans les conditions de sécurité sanitaire requise ? Quels sont les scénarios envisagés concernant la levée des interdictions de rassemblements ? De la réponse à ces questions dépend le redémarrage de l’activité dans le spectacle. Cette reprise devra également être soutenue financièrement par les pouvoirs publics.

Notre action doit être guidée par l’enjeu primordial de la pérennisation de nos entreprises, de leurs activités dans toute leur diversité ainsi que des emplois et des carrières des professionnels afin que très vite, la vie culturelle de notre pays puisse à nouveau s’exprimer et rayonner sur notre territoire et au-delà.

Nos organisations en appellent à un soutien effectif à l’ensemble des structures du secteur ainsi qu’à l’emploi Face à l’ampleur de la crise que traversent actuellement nos différents secteurs d’activité du fait de l’épidémie du Covid-19, nos organisations tiennent à s’exprimer collectivement afin de : Rappeler qu’au-delà des mesures générales prises par le gouvernement, il est nécessaire que des dispositifs de soutien complémentaires répondant aux spécificités de nos secteurs, de nos entreprises, soient mis en place rapidement et qu’ils puissent bénéficier à l’ensemble des structures de notre champ du spectacle vivant et enregistré. Un accompagnement pour bénéficier des mesures nationales est également nécessaire : s’agissant par exemple du Prêt garanti par l’État, le ministère de la Culture doit être en soutien, via l’outil IFCIC, comme peut l’être la caisse des dépôts dans le secteur du Tourisme. Nous demandons également un soutien particulier aux structures les plus fragiles. Solliciter le maintien intégral et sans conditions de tous les financements publics, provenant de l’État ou des collectivités territoriales, pour permettre la continuité de l’activité. Inviter l’ensemble des structures du secteur à soutenir l’emploi autant que possible : ainsi, nous incitons les structures subventionnées à honorer les contrats de travail ou contrats de cession, sur la base des financements qui leur ont été alloués. Par ailleurs, l’ensemble des employeurs peuvent recourir à l’activité partielle, y compris pour les CDDU ainsi que les promesses d’embauche formalisées. Nous recommandons l’usage de ce dispositif si nécessaire. A ce titre, il est primordial que le gouvernement en précise sans délai les modalités pour les salariés rémunérés au cachet, et cela sans minoration des droits des artistes au titre de l’indemnité de remplacement ni de leurs droits futurs à indemnisation. De même pour les artistes déclarés au GUSO. Demander une concertation immédiate avec le gouvernement pour clarifier les modalités d’adaptation des annexes 8 et 10 – dont l’allongement de la période de référence et d’indemnisation, et la question des délais de franchise – ainsi que les modalités de prise en compte des périodes d’activité partielle au regard des droits à assurance chômage des salariés intermittents du spectacle. Travailler avec le gouvernement à la préparation de la sortie de crise et de ses modalités : comment est envisagée la sortie du confinement et la reprise d’activité dans les conditions de sécurité sanitaire requise ? Quels sont les scénarios envisagés concernant la levée des interdictions de rassemblements ? De la réponse à ces questions dépend le redémarrage de l’activité dans le spectacle. Cette reprise devra également être soutenue financièrement par les pouvoirs publics. Notre action doit être guidée par l’enjeu primordial de la pérennisation de nos entreprises, de leurs activités dans toute leur diversité ainsi que des emplois et des carrières des professionnels afin que très vite, la vie culturelle de notre pays puisse à nouveau s’exprimer et rayonner sur notre territoire et …

8 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Courrier adressé à l’Association Française des Banques sur l’accès au crédit des Producteurs face au COVID-19

 Le SPI et tous les autres syndicats de producteurs saisissent l’AFB sur l’accès au crédit des producteurs et l’obtention de facilités de trésorerie et de reports d’échéances de prêts, telles qu’elles ont été annoncées par le Ministre de l’Économie et des Finances, afin que leurs sociétés, qui supportent le coût social de l’arrêt de leurs activités, en maintenant leurs employés en activité partielle, puissent faire face à la crise COVID-19 et reprendre leurs productions normalement après le confinement.

A : Fédération Bancaire Française
Madame Maya Atig
Directrice Générale
18 Rue Lafayette
75009 Paris

Paris, le 6 avril 2020

Madame la Directrice Générale,

Au-delà de la terrible crise sanitaire que traverse la France aujourd’hui, les organisations professionnelles d’employeurs du cinéma et de l’audiovisuel signataires du présent courrier, souhaitent solennellement faire appel à la mobilisation et à la solidarité des organismes bancaires pour participer à l’effort collectif national pour la survie du secteur audiovisuel et cinématographique.

En effet, nos sociétés de production audiovisuelles et cinématographiques indépendantes constituées essentiellement de TPE et de PME sont elles aussi, comme dans de nombreux autres secteurs d’activités, frappées de plein fouet par la crise actuelle et éprouvées par d’importantes difficultés de financement.

Dans le prolongement des mesures économiques annoncées par le Président de la République et le Ministre de l’Économie ces dernières semaines invitant les banques privées à soutenir les entreprises confrontées à une baisse drastique de leur activité, grâce notamment à l’intervention de l’État, de la Banque de France et à la garantie de BPI France, nous sollicitons l’adoption, en urgence, d’un certain nombre d’engagements collectifs de vos établissements bancaires. Ces mesures, indispensables à la préservation du tissu économique de la production audiovisuelle et cinématographique française, portent principalement sur :

– l’avance des besoins de trésorerie nécessités par le recours à l’activité partielle dans l’attente du remboursement par l’État de l’allocation versée à leurs employés par nos entreprises ;

– la suspension des échéances de remboursement d’emprunt, et ce, « jusqu’à 6 mois et sans pénalités ni frais additionnels », comme annoncé par le Ministre de l’Économie, du fait du décalage des sorties de films en salles et des livraisons des œuvres audiovisuelles ;

– l’annulation des agios et des frais financiers sur les prêts en cours, générés par la crise sanitaire et les retards qu’elle va engendrer ;

–  l’accès aux crédits à taux zéro pour résoudre les difficultés de trésorerie.

Sur ce dernier point, il a été précisé que le montant maximal du crédit qui pourrait être obtenu sera de 25% du chiffre d’affaires HT de l’année précédente. Nous souhaiterions que la base de calcul soit élargie à une partie des produits d’exploitation, de manière à pouvoir prendre en compte les subventions publiques qui viennent compléter les financements privés des œuvres audiovisuelles ou cinématographiques, et sont ainsi au cœur du modèle économique des sociétés de production.

La mise en œuvre de ces mesures dans les meilleurs délais par l’ensemble de vos organismes bancaires constitue la meilleure garantie pour qu’aucune de nos sociétés adhérentes ne soit livrée au risque de faillite. C’est aussi le gage d’une reprise salutaire de l’activité de production cinématographique et audiovisuelle dès lors que la France sera sortie de cette crise.

Nous nous tenons à votre entière disposition, grâce aux moyens de télécommunications à distance, pour d’éventuelles réunions de travail nécessaires à la mise en œuvre de ces mesures. Avec toute notre reconnaissance pour votre écoute et votre attention, nous vous prions d’agréer, Madame la Directrice générale, l’expression de notre haute considération.

Copies : Le Ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire
Le Ministre de la Culture, Franck Riester
Le Président du CNC, Dominique Boutonnat
Le Président et la Directrice générale de l’IFCIC
Le Président de BPI France
Les Président Directeurs généraux de Cofiloisirs, Coficiné, Neuflize OBC, BNP Paribas, de la Société Générale, du Crédit Agricole et de La Banque Palatine

 Le SPI et tous les autres syndicats de producteurs saisissent l’AFB sur l’accès au crédit des producteurs et l’obtention de facilités de trésorerie et de reports d’échéances de prêts, telles qu’elles ont été annoncées par le Ministre de l’Économie et des Finances, afin que leurs sociétés, qui supportent le coût social de l’arrêt de leurs activités, en maintenant leurs employés en activité partielle, puissent faire face à la crise COVID-19 et reprendre leurs productions normalement après le confinement. A : Fédération Bancaire Française Madame Maya Atig Directrice Générale 18 Rue Lafayette 75009 Paris Paris, le 6 avril 2020 Madame la Directrice Générale, Au-delà de la terrible crise sanitaire que traverse la France aujourd’hui, les organisations professionnelles d’employeurs du cinéma et de l’audiovisuel signataires du présent courrier, souhaitent solennellement faire appel à la mobilisation et à la solidarité des organismes bancaires pour participer à l’effort collectif national pour la survie du secteur audiovisuel et cinématographique. En effet, nos sociétés de production audiovisuelles et cinématographiques indépendantes constituées essentiellement de TPE et de PME sont elles aussi, comme dans de nombreux autres secteurs d’activités, frappées de plein fouet par la crise actuelle et éprouvées par d’importantes difficultés de financement. Dans le prolongement des mesures économiques annoncées par le Président de la République et le Ministre de l’Économie ces dernières semaines invitant les banques privées à soutenir les entreprises confrontées à une baisse drastique de leur activité, grâce notamment à l’intervention de l’État, de la Banque de France et à la garantie de BPI France, nous sollicitons l’adoption, en urgence, d’un certain nombre d’engagements collectifs de vos établissements bancaires. Ces mesures, indispensables à la préservation du tissu économique de la production audiovisuelle et cinématographique française, portent principalement sur : – l’avance des besoins de trésorerie nécessités par le recours à l’activité partielle dans l’attente du remboursement par l’État de l’allocation versée à leurs employés par nos entreprises ; – la suspension des échéances de remboursement d’emprunt, et ce, « jusqu’à 6 mois et sans pénalités ni frais additionnels », comme annoncé par le Ministre de l’Économie, du fait du décalage des sorties de films en salles et des livraisons des œuvres audiovisuelles ; – l’annulation des agios et des frais financiers sur les prêts en cours, générés par la crise sanitaire et les retards qu’elle va engendrer ; –  l’accès aux crédits à taux zéro pour résoudre les difficultés de trésorerie. Sur ce dernier point, il a été précisé que le montant maximal du crédit qui pourrait être obtenu sera de 25% du chiffre d’affaires HT de l’année précédente. Nous souhaiterions que la base de calcul soit élargie à une partie des produits d’exploitation, de manière à pouvoir prendre en compte les subventions publiques qui viennent compléter les financements privés des œuvres audiovisuelles ou cinématographiques, et sont ainsi au cœur du modèle économique des sociétés de production. La mise en œuvre de ces mesures dans les meilleurs délais par l’ensemble de vos organismes bancaires constitue la meilleure garantie pour qu’aucune de nos sociétés adhérentes ne soit livrée au risque de faillite. C’est aussi le gage d’une reprise salutaire de l’activité de production cinématographique et audiovisuelle dès lors que la France sera sortie de cette crise. Nous nous tenons à votre entière disposition, grâce aux moyens de télécommunications à distance, pour d’éventuelles réunions de travail nécessaires à la mise en œuvre de ces mesures. Avec toute notre reconnaissance pour votre écoute et votre attention, nous vous prions d’agréer, Madame la Directrice générale, l’expression de notre haute considération. Copies : Le Ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire Le Ministre de la Culture, Franck Riester Le Président du CNC, Dominique Boutonnat Le Président et la Directrice générale de l’IFCIC Le Président de BPI France Les Président Directeurs généraux de Cofiloisirs, Coficiné, Neuflize OBC, BNP Paribas, de la Société Générale, du Crédit Agricole et de La Banque …

7 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Courrier adressé à Dominique Boutonnat sur la problématique des Assurances face au COVID-19

Le SPI et tous les autres syndicats de producteurs réclament l’organisation d’une concertation avec les Assureurs sous l’égide du CNC afin que les pertes liées au confinement soient prises en compte par les assurances souscrites avant la crise, et que le risque COVID-19 puisse être assuré à l’avenir, afin que les tournages et l’ensemble des activités de production puissent reprendre rapidement après le confinement.

Paris, le 6 avril 2020

Monsieur le Président,

Les organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel vous remercient pour la mobilisation du CNC et de ses équipes depuis le début d’une crise sanitaire sans précédent qui touche la totalité des entreprises de notre secteur et met en péril l’économie du cinéma et de l’audiovisuel.

Elles souhaitent vous alerter sur l’impasse dans laquelle se trouvent les sociétés de production, compte tenu de la position des compagnies d’assurances qui assurent les secteurs du cinéma et de l’audiovisuel.

Outre leur refus de prendre en charge les dommages déjà subis par l’industrie, point sur lequel les syndicats de producteurs cinéma et audiovisuel ont alerté le ministre de la Culture par courrier dès le 23 mars dernier, les assureurs refusent catégoriquement de couvrir pour l’avenir, tout futur risque lié à une pandémie.

Cette position ne permet pas aux producteurs d’envisager une reprise normale de leur activité de production à l’issue du confinement et risque de paralyser notre secteur, au-delà de la reprise de l’activité économique.  

Nos partenaires financiers ne seront vraisemblablement pas disposés à accompagner des productions sans que ce risque soit couvert, sans surcoût, par les polices usuelles des sociétés de production, et ces dernières n’ont pas les moyens d’obtenir ce type de couverture de leurs assureurs. Nous allons nous trouver dans une situation de blocage complet de nos activités.

En conséquence, nous demandons aux pouvoirs publics, dans le prolongement des positions fermes prises par le Président de la République et par le ministre de l’Économie et des Finances,

de trouver une solution pour que les productions puissent être assurées dès la reprise, contre les effets directs et indirects du Covid-19, dont celui d’un nouveau confinement local et/ou national.

Compte-tenu du rôle essentiel et de la mission du CNC, nos organisations souhaiteraient que vous puissiez saisir à cet effet, le Ministre de l’Économie et des Finances afin qu’une solution soit trouvée sous son égide, pour que nos adhérents puissent envisager la reprise de leur activité.

En vous remerciant par avance de votre diligence, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre sincère considération.

Le SPI et tous les autres syndicats de producteurs réclament l’organisation d’une concertation avec les Assureurs sous l’égide du CNC afin que les pertes liées au confinement soient prises en compte par les assurances souscrites avant la crise, et que le risque COVID-19 puisse être assuré à l’avenir, afin que les tournages et l’ensemble des activités de production puissent reprendre rapidement après le confinement. Paris, le 6 avril 2020 Monsieur le Président, Les organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel vous remercient pour la mobilisation du CNC et de ses équipes depuis le début d’une crise sanitaire sans précédent qui touche la totalité des entreprises de notre secteur et met en péril l’économie du cinéma et de l’audiovisuel. Elles souhaitent vous alerter sur l’impasse dans laquelle se trouvent les sociétés de production, compte tenu de la position des compagnies d’assurances qui assurent les secteurs du cinéma et de l’audiovisuel. Outre leur refus de prendre en charge les dommages déjà subis par l’industrie, point sur lequel les syndicats de producteurs cinéma et audiovisuel ont alerté le ministre de la Culture par courrier dès le 23 mars dernier, les assureurs refusent catégoriquement de couvrir pour l’avenir, tout futur risque lié à une pandémie. Cette position ne permet pas aux producteurs d’envisager une reprise normale de leur activité de production à l’issue du confinement et risque de paralyser notre secteur, au-delà de la reprise de l’activité économique.   Nos partenaires financiers ne seront vraisemblablement pas disposés à accompagner des productions sans que ce risque soit couvert, sans surcoût, par les polices usuelles des sociétés de production, et ces dernières n’ont pas les moyens d’obtenir ce type de couverture de leurs assureurs. Nous allons nous trouver dans une situation de blocage complet de nos activités. En conséquence, nous demandons aux pouvoirs publics, dans le prolongement des positions fermes prises par le Président de la République et par le ministre de l’Économie et des Finances, de trouver une solution pour que les productions puissent être assurées dès la reprise, contre les effets directs et indirects du Covid-19, dont celui d’un nouveau confinement local et/ou national. Compte-tenu du rôle essentiel et de la mission du CNC, nos organisations souhaiteraient que vous puissiez saisir à cet effet, le Ministre de l’Économie et des Finances afin qu’une solution soit trouvée sous son égide, pour que nos adhérents puissent envisager la reprise de leur activité. En vous remerciant par avance de votre diligence, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre sincère …

7 avril 2020Actus-SPIactus-spi
COMMUNIQUÉ : Le BLIC, le BLOC, et l’ARP demandent la mise en place d’un fonds d’urgence

Le 03 avril 2020

Le BLIC, le BLOC et l’ARP appellent les pouvoirs publics à mettre en place un fonds exceptionnel d’urgence pour la filière.

Le BLIC, le BLOC et l’ARP ont bien pris acte des mesures prises par le CNC en faveur des entreprises du secteur cinématographique frappées de plein fouet par la crise de covid-19, et notamment de la possibilité offerte à tous les exploitants de salles de cinéma, éditeurs-distributeurs et producteurs d’œuvres cinématographiques de mobiliser à hauteur de 30% les sommes inscrites sur le compte de soutien automatique pour des besoins de trésorerie.

L’ensemble des organisations professionnelles réunies au sein du BLIC, du BLOC et de l’ARP adressent leurs remerciements au Président du CNC et à ses équipes pour avoir œuvré très rapidement à l’adoption de cette mesure.

Toutefois, cette facilité accordée par le CNC pour l’utilisation des fonds de soutiens automatiques, à enveloppe budgétaire constante, n’est absolument pas suffisante pour soutenir tous les acteurs de la filière cinématographique fortement éprouvés par la crise. Elle en laisse certains complètement à l’écart, notamment les plus fragiles.

Le BLIC, le BLOC et l’ARP appellent solennellement les pouvoirs publics à augmenter la capacité d’intervention du CNC en faveur de toutes les professions du secteur par un fonds exceptionnel, distinct des dispositifs de soutien annoncés par l’État et des dispositifs habituels du CNC. La mise en œuvre urgente de cette capacité d’action supplémentaire est aujourd’hui une condition essentielle de la survie des entreprises et des créateurs de la filière les plus fragilisés par cette crise. Elle permettra aussi de ne pas grever davantage les ressources du CNC déjà largement mises à mal par la perte des recettes directement prélevées sur l’activité du secteur.

C’est aussi le gage d’une reprise salutaire de l’activité de création, de diffusion des œuvres cinématographiques et de leur exposition dans des salles ouvertes au public dès que la France sera sortie de cette crise.

Le BLIC, le BLOC et l’ARP se tiennent à la disposition du CNC et de l’ensemble des pouvoirs publics pour étudier au plus tôt la mise en œuvre de ces moyens supplémentaires.

Contacts presse :

BLIC : helene.herschel@fnef.fr

BLOC : jlethiphu@la.srf.fr / mgollety@lespi.org

ARP : pcharpilloz@larp.fr

Le 03 avril 2020 Le BLIC, le BLOC et l’ARP appellent les pouvoirs publics à mettre en place un fonds exceptionnel d’urgence pour la filière. Le BLIC, le BLOC et l’ARP ont bien pris acte des mesures prises par le CNC en faveur des entreprises du secteur cinématographique frappées de plein fouet par la crise de covid-19, et notamment de la possibilité offerte à tous les exploitants de salles de cinéma, éditeurs-distributeurs et producteurs d’œuvres cinématographiques de mobiliser à hauteur de 30% les sommes inscrites sur le compte de soutien automatique pour des besoins de trésorerie. L’ensemble des organisations professionnelles réunies au sein du BLIC, du BLOC et de l’ARP adressent leurs remerciements au Président du CNC et à ses équipes pour avoir œuvré très rapidement à l’adoption de cette mesure. Toutefois, cette facilité accordée par le CNC pour l’utilisation des fonds de soutiens automatiques, à enveloppe budgétaire constante, n’est absolument pas suffisante pour soutenir tous les acteurs de la filière cinématographique fortement éprouvés par la crise. Elle en laisse certains complètement à l’écart, notamment les plus fragiles. Le BLIC, le BLOC et l’ARP appellent solennellement les pouvoirs publics à augmenter la capacité d’intervention du CNC en faveur de toutes les professions du secteur par un fonds exceptionnel, distinct des dispositifs de soutien annoncés par l’État et des dispositifs habituels du CNC. La mise en œuvre urgente de cette capacité d’action supplémentaire est aujourd’hui une condition essentielle de la survie des entreprises et des créateurs de la filière les plus fragilisés par cette crise. Elle permettra aussi de ne pas grever davantage les ressources du CNC déjà largement mises à mal par la perte des recettes directement prélevées sur l’activité du secteur. C’est aussi le gage d’une reprise salutaire de l’activité de création, de diffusion des œuvres cinématographiques et de leur exposition dans des salles ouvertes au public dès que la France sera sortie de cette crise. Le BLIC, le BLOC et l’ARP se tiennent à la disposition du CNC et de l’ensemble des pouvoirs publics pour étudier au plus tôt la mise en œuvre de ces moyens supplémentaires. Contacts presse : BLIC : helene.herschel@fnef.fr BLOC : jlethiphu@la.srf.fr / mgollety@lespi.org ARP : …

3 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Le BLOC et l’ARP appellent à un report du décret Pub

Le SPI a écrit à Franck Riester avec l’ARP et les autres organisations du cinéma membres du BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), afin de réclamer le report de l’ouverture de la publicité pour le cinéma à la télévision.

Paris, le 1er avril 2020

Monsieur le Ministre,

Dans le cadre de la réforme de l’audiovisuel, votre Ministère a lancé en décembre dernier une consultation publique auprès des organisations professionnelles du cinéma sur la modification des décrets dits « publicité » et « diffusion » pour lever, d’une part, l’interdiction de la publicité pour le cinéma à la télévision et, d’autre part, assouplir les règles de diffusion des œuvres cinématographiques sur les services de télévision.

Les différentes organisations professionnelles signataires de ce présent courrier vous ont fait part à cette occasion de leurs vives réserves et subsidiairement proposé des conditions restrictives liées à leur mise en œuvre. En février dernier, des modifications ont été apportées pour tenir compte des réponses données dans le cadre de cette consultation en vue de l’adoption de ces deux décrets en avril prochain.

Toutefois, ces modifications ne permettent pas à nos yeux d’envisager la publication du décret dit « publicité » dans un délai proche. Nous souhaitons en effet vous alerter sur les conséquences particulièrement néfastes et aggravantes qu’entrainerait, dans le contexte actuel de fermeture des salles de cinéma en raison de la crise sanitaire, l’adoption des mesures relatives à l’ouverture du secteur du cinéma à la publicité télévisée. En effet, les très nombreux reports de sorties de films déjà annoncés ou à venir vont conduire à une situation critique, au moment de la reprise de l’activité des salles, en raison d’une concurrence décuplée.

Dans ce contexte, la levée de l’interdiction de la publicité en faveur du cinéma à la télévision amplifierait fatalement la capacité des majors hollywoodiennes, au vu de leurs moyens financiers, à truster les écrans publicitaires à forte audience pour soutenir leurs sorties au détriment des films de la diversité et des acteurs nationaux indépendants, qui se trouvent d’ores et déjà dans les plus grandes difficultés et ne pourraient accompagner leur sortie d’une campagne de promotion en télévision.

Aussi, le BLOC et L’ARP, demandent solennellement un moratoire sur la publication du décret dit « publicité », ou à défaut et à tout le moins, la suppression de son article 15 relatif à la levée de l’interdiction de la publicité en faveur du cinéma à la télévision.

Avec toute notre considération pour votre écoute et votre attention, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de notre haute considération.

Edouard MAURIAT : Co-président du BLOC

Bertrand BONELLO : Co-président du BLOC

Pierre JOLIVET : Président de L’ARP

Le SPI a écrit à Franck Riester avec l’ARP et les autres organisations du cinéma membres du BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), afin de réclamer le report de l’ouverture de la publicité pour le cinéma à la télévision. Paris, le 1er avril 2020 Monsieur le Ministre, Dans le cadre de la réforme de l’audiovisuel, votre Ministère a lancé en décembre dernier une consultation publique auprès des organisations professionnelles du cinéma sur la modification des décrets dits « publicité » et « diffusion » pour lever, d’une part, l’interdiction de la publicité pour le cinéma à la télévision et, d’autre part, assouplir les règles de diffusion des œuvres cinématographiques sur les services de télévision. Les différentes organisations professionnelles signataires de ce présent courrier vous ont fait part à cette occasion de leurs vives réserves et subsidiairement proposé des conditions restrictives liées à leur mise en œuvre. En février dernier, des modifications ont été apportées pour tenir compte des réponses données dans le cadre de cette consultation en vue de l’adoption de ces deux décrets en avril prochain. Toutefois, ces modifications ne permettent pas à nos yeux d’envisager la publication du décret dit « publicité » dans un délai proche. Nous souhaitons en effet vous alerter sur les conséquences particulièrement néfastes et aggravantes qu’entrainerait, dans le contexte actuel de fermeture des salles de cinéma en raison de la crise sanitaire, l’adoption des mesures relatives à l’ouverture du secteur du cinéma à la publicité télévisée. En effet, les très nombreux reports de sorties de films déjà annoncés ou à venir vont conduire à une situation critique, au moment de la reprise de l’activité des salles, en raison d’une concurrence décuplée. Dans ce contexte, la levée de l’interdiction de la publicité en faveur du cinéma à la télévision amplifierait fatalement la capacité des majors hollywoodiennes, au vu de leurs moyens financiers, à truster les écrans publicitaires à forte audience pour soutenir leurs sorties au détriment des films de la diversité et des acteurs nationaux indépendants, qui se trouvent d’ores et déjà dans les plus grandes difficultés et ne pourraient accompagner leur sortie d’une campagne de promotion en télévision. Aussi, le BLOC et L’ARP, demandent solennellement un moratoire sur la publication du décret dit « publicité », ou à défaut et à tout le moins, la suppression de son article 15 relatif à la levée de l’interdiction de la publicité en faveur du cinéma à la télévision. Avec toute notre considération pour votre écoute et votre attention, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de notre haute considération. Edouard MAURIAT : Co-président du BLOC Bertrand BONELLO : Co-président du BLOC Pierre JOLIVET : Président de …

2 avril 2020Actus-SPIactus-spi
Courrier des syndicats de producteurs audiovisuels à D. Boutonnat

Face à la crise actuelle, le SPI et les autres syndicats de l’audiovisuel (SATEV, SPECT, SPFA, USPA) formulent des propositions d’aménagement du soutien du CNC aux producteurs audiovisuels.

Paris, le 31 mars 2020

Monsieur le Président,

Face à la crise sanitaire du Coronavirus que traverse le pays et le monde entier, nous tenons tout d’abord à saluer la réactivité du CNC et la mobilisation de ses équipes pour mettre en place le télétravail et assurer la continuité de l’activité. Une telle bascule à laquelle peu d’entreprises et institutions étaient préparées se fait aussi bien que possible dans les conditions auxquelles nous sommes confrontées, avec une écoute attentive et une véritable solidarité.

Cette crise, vous le savez touche de plein fouet les producteurs qui dès le début du mois de mars 2020 ont dû faire face, pour les captations de spectacles vivants à des annulations de concerts et autres spectacles et, pour les autres catégories d’œuvres, à des reports ou annulation de préparation, de tournages, de post-production et des fermetures de studios. Beaucoup d’œuvres ne pourront pas être livrées dans les délais, entraînant pour certains des pertes de chiffre d’affaires et pour d’autres des décalages très importants.

Par ailleurs, les producteurs demeurent dans l’incertitude la plus totale quant à l’étendue de la reprise de leur activité dans les mois qui viennent car tous les contrats en cours ne pourront pas nécessairement être reportés, plus particulièrement dans le domaine du spectacle vivant. Il faudra relouer des lieux de tournage, du matériel, des prestations techniques, être assuré que les différents intervenants sur les productions (auteurs, artistes-interprètes, techniciens et lieux de tournage) seront toujours disponibles pour honorer les prestations prévues à leurs contrats.

Enfin, les assureurs cherchent à fuir leurs responsabilités, y compris lorsque des contrats ont été conclus avec une prise d’effet avant janvier 2020. Nous avons été amenés à écrire au ministre de la Culture à ce sujet avec nos homologues du cinéma.

Le tissu de la production audiovisuelle française ressortira profondément fragilisée de cette crise inédite et, malgré le discours volontariste des pouvoirs publics et de vous-même, nous craignons une vague sans précédent de faillites.

Dans ce contexte, le ministre de la culture et vous-même avez annoncé un certain nombre de premières mesures visant à tout mettre en œuvre pour assurer la survie des professionnels de la culture, parmi lesquelles des assouplissements des critères de mobilisation des soutiens.

Les syndicats de producteurs audiovisuels ont dès à présent des premières demandes d’urgence à vous relayer de la part des professionnels confrontés à une dégradation sans précédent de leur activité.

Ces premières demandes devront s’accompagner de réformes structurelles plus larges pour permettre la relance de l’activité dans les meilleures conditions. Il est donc important de réfléchir ensemble dès les prochaines semaines à des dispositifs qui permettront de soutenir l’activité des sociétés, durablement affectées, au-delà des prochains mois jusqu’en 2021. Dans cette perspective, des sujets de fond devront être abordés : revenir sur l’augmentation des seuils d’accès au soutien automatique, prise en compte des PAD et non des diffusions pour le calcul du soutien généré en 2021, prolongation de la durée péremption des comptes automatiques d’un an, autres modifications propres à chacun des genres.

Dès à présent, nous avons pris bonne note du message de la Direction de l’audiovisuel de la semaine dernière visant à relancer les tenues des commissions sélectives. C’était essentiel pour des sociétés de production qui ne disposent pas de compte automatique. Dans cette même logique, pour soutenir leur capacité de développement et leur sortie de la crise, il nous semble indispensable dans la situation actuelle de supprimer l’exigence d’une convention de développement avec un diffuseur pour être éligible aux aides sélectives au développement.

Ensuite, nous tenons à souligner le caractère absolument crucial d’une notification très rapide des comptes automatiques. Nous savons que le processus est en cours de finalisation et nous souhaitons que cette notification puisse intervenir dès les premiers jours d’avril.

Nous espérons que vous pourrez être en mesure de revenir, au moins en partie, sur la baisse attendue de la valeur du point minute (de 565 € à 542 €) pour le calcul de ce généré. Ce serait un signal fort de la part du CNC dans la situation actuelle. Elle est attendue par les professionnels de l’audiovisuel, qui ont supporté l’essentiel des économies de ces dernières années.

La notification des comptes automatiques permettra aux producteurs qui en disposent de pouvoir les mobiliser au titre du développement. Il est essentiel que ces producteurs puissent bénéficier d’un accès assoupli à ceux-ci. Il n’est pas inutile de rappeler que les comptes automatiques audiovisuels sont beaucoup moins liquides que ceux existant pour le cinéma, ce qui est un véritable handicap dans une telle situation.

Ces comptes automatiques sont mobilisables pour du développement dans des conditions qui ne sont pas compatibles avec la situation à laquelle nous devons faire face. Une proportion à définir (40% actuellement) du compte automatique (qui pourrait être différente en fonction du compte notifié) pourrait être investi dans un ensemble de projets déterminés et limités à cinq dont les éléments juridiques et financiers pourront être remis au Centre d’ici la fin d’année.  Le plafond de soutien public devrait temporairement être levé et porté à 100%, les producteurs s’engageant sur un pourcentage à déterminer à flécher vers les auteurs.

En outre, pour répondre aux urgences de trésorerie des sociétés de production, nous souhaitons que la répartition entre autorisation préalable et autorisation définitive, actuellement de 75%/25%, soit portée à 90%/10% jusqu’à la fin de l’année 2020. Une telle mesure serait applicable aux œuvres qui ont déjà obtenu l’autorisation préalable et permettrait donc de débloquer immédiatement 15% du compte mobilisé en complément des 75% déjà reçu.

Par ailleurs, des mesures particulières devront être mises en œuvre pour des projets qui ont déjà fait l’objet d’une autorisation préalable mais qui ne pourront être livrés en raison des évènements liés au COVID-19.

Au-delà du traitement des dossiers et de la délivrance des autorisations préalables et définitives, nous nous permettons d’insister sur les délais de paiement du CNC qui doivent être raccourcis au maximum.

Nous demeurons à votre disposition pour en discuter à distance dès que possible. Il en va de la survie du tissu de la production française qui font la richesse de notre secteur et garantissent l’emploi de plus de 100 000 salariés.

Nous vous remercions de votre l’attention que vous porterez à nos demandes et de votre implication à nos côtés et vous prions de croire, Monsieur le Président, en l’expression de toute notre considération.

SATEV – Christian GERIN

SPECT – Nicolas COPPERMANN

SPFA – Philippe ALESSANDRI

SPI – Simon ARNAL

USPA – Thomas ANARGYROS

Face à la crise actuelle, le SPI et les autres syndicats de l’audiovisuel (SATEV, SPECT, SPFA, USPA) formulent des propositions d’aménagement du soutien du CNC aux producteurs audiovisuels. Paris, le 31 mars 2020 Monsieur le Président, Face à la crise sanitaire du Coronavirus que traverse le pays et le monde entier, nous tenons tout d’abord à saluer la réactivité du CNC et la mobilisation de ses équipes pour mettre en place le télétravail et assurer la continuité de l’activité. Une telle bascule à laquelle peu d’entreprises et institutions étaient préparées se fait aussi bien que possible dans les conditions auxquelles nous sommes confrontées, avec une écoute attentive et une véritable solidarité. Cette crise, vous le savez touche de plein fouet les producteurs qui dès le début du mois de mars 2020 ont dû faire face, pour les captations de spectacles vivants à des annulations de concerts et autres spectacles et, pour les autres catégories d’œuvres, à des reports ou annulation de préparation, de tournages, de post-production et des fermetures de studios. Beaucoup d’œuvres ne pourront pas être livrées dans les délais, entraînant pour certains des pertes de chiffre d’affaires et pour d’autres des décalages très importants. Par ailleurs, les producteurs demeurent dans l’incertitude la plus totale quant à l’étendue de la reprise de leur activité dans les mois qui viennent car tous les contrats en cours ne pourront pas nécessairement être reportés, plus particulièrement dans le domaine du spectacle vivant. Il faudra relouer des lieux de tournage, du matériel, des prestations techniques, être assuré que les différents intervenants sur les productions (auteurs, artistes-interprètes, techniciens et lieux de tournage) seront toujours disponibles pour honorer les prestations prévues à leurs contrats. Enfin, les assureurs cherchent à fuir leurs responsabilités, y compris lorsque des contrats ont été conclus avec une prise d’effet avant janvier 2020. Nous avons été amenés à écrire au ministre de la Culture à ce sujet avec nos homologues du cinéma. Le tissu de la production audiovisuelle française ressortira profondément fragilisée de cette crise inédite et, malgré le discours volontariste des pouvoirs publics et de vous-même, nous craignons une vague sans précédent de faillites. Dans ce contexte, le ministre de la culture et vous-même avez annoncé un certain nombre de premières mesures visant à tout mettre en œuvre pour assurer la survie des professionnels de la culture, parmi lesquelles des assouplissements des critères de mobilisation des soutiens. Les syndicats de producteurs audiovisuels ont dès à présent des premières demandes d’urgence à vous relayer de la part des professionnels confrontés à une dégradation sans précédent de leur activité. Ces premières demandes devront s’accompagner de réformes structurelles plus larges pour permettre la relance de l’activité dans les meilleures conditions. Il est donc important de réfléchir ensemble dès les prochaines semaines à des dispositifs qui permettront de soutenir l’activité des sociétés, durablement affectées, au-delà des prochains mois jusqu’en 2021. Dans cette perspective, des sujets de fond devront être abordés : revenir sur l’augmentation des seuils d’accès au soutien automatique, prise en compte des PAD et non des diffusions pour le calcul du soutien généré en 2021, prolongation de la durée péremption des comptes automatiques d’un an, autres modifications propres à chacun des genres. Dès à présent, nous avons pris bonne note du message de la Direction de l’audiovisuel de la semaine dernière visant à relancer les tenues des commissions sélectives. C’était essentiel pour des sociétés de production qui ne disposent pas de compte automatique. Dans cette même logique, pour soutenir leur capacité de développement et leur sortie de la crise, il nous semble indispensable dans la situation actuelle de supprimer l’exigence d’une convention de développement avec un diffuseur pour être éligible aux aides sélectives au développement. Ensuite, nous tenons à souligner le caractère absolument crucial d’une notification très rapide des comptes automatiques. Nous savons que le processus est en cours de finalisation et nous souhaitons que cette notification puisse intervenir dès les premiers jours d’avril. Nous espérons que vous pourrez être en mesure de revenir, au moins en partie, sur la baisse attendue de la valeur du point minute (de 565 € à 542 €) pour le calcul de ce généré. Ce serait un signal fort de la part du CNC dans la situation actuelle. Elle est attendue par les professionnels de l’audiovisuel, qui ont supporté l’essentiel des économies de ces dernières années. La notification des comptes automatiques permettra aux producteurs qui en disposent de pouvoir les mobiliser au titre du développement. Il est essentiel que ces producteurs puissent bénéficier d’un accès assoupli à ceux-ci. Il n’est pas inutile de rappeler que les comptes automatiques audiovisuels sont beaucoup moins liquides que ceux existant pour le cinéma, ce qui est un véritable handicap dans une telle situation. Ces comptes automatiques sont mobilisables pour du développement dans des conditions qui ne sont pas compatibles avec la situation à laquelle nous devons faire face. Une proportion à définir (40% actuellement) du compte automatique (qui pourrait être différente en fonction du compte notifié) pourrait être investi dans un ensemble de projets déterminés et limités à cinq dont les éléments juridiques et financiers pourront être remis au Centre d’ici la fin d’année.  Le plafond de soutien public devrait temporairement être levé et porté à 100%, les producteurs s’engageant sur un pourcentage à déterminer à flécher vers les auteurs. En outre, pour répondre aux urgences de trésorerie des sociétés de production, nous souhaitons que la répartition entre autorisation préalable et autorisation définitive, actuellement de 75%/25%, soit portée à 90%/10% jusqu’à la fin de l’année 2020. Une telle mesure serait applicable aux œuvres qui ont déjà obtenu l’autorisation préalable et permettrait donc de débloquer immédiatement 15% du compte mobilisé en complément des 75% déjà reçu. Par ailleurs, des mesures particulières devront être mises en œuvre pour des projets qui ont déjà fait l’objet d’une autorisation préalable mais qui ne pourront être livrés en raison des évènements liés au COVID-19. Au-delà du traitement des dossiers et de la délivrance des autorisations préalables et définitives, nous nous permettons d’insister sur les délais de paiement du CNC qui doivent être raccourcis au maximum. Nous demeurons à votre disposition pour en discuter à distance dès que possible. Il en va de la survie du tissu de la production française qui font la richesse de notre secteur et garantissent l’emploi de plus de 100 000 salariés. Nous vous remercions de votre l’attention que vous porterez à nos demandes et de votre implication à nos côtés et vous prions de croire, Monsieur le Président, en l’expression de toute notre considération. SATEV – Christian GERIN SPECT – Nicolas COPPERMANN SPFA – Philippe ALESSANDRI SPI – Simon ARNAL USPA – Thomas …

31 mars 2020Actus-SPIactus-spi
Palmarès FIGRA 2020

Un grand bravo à nos adhérents pour leur prix reçus lors du Festival International du Grand Reportage d’actualité et du documentaire de société !

SELECTION OFFICIELLE – COMPETITION INTERNATIONALE, PLUS DE 40 MINUTES :
*Grand Prix du FIGRA plus de 40 minutes*
“Le feu sacré” de Éric Guéret
BONNE PIOCHE


*Mention spéciale*
“Columbia in my arms” de Jussi Rastas et Jenni Kivisto
LES FILMS D’UN JOUR


*Prix du public*
“La face cachée du cacao” de Paul Moreira
PREMIERES LIGNES TELEVISION


SELECTION OFFICIELLE TERRE(S) D’HISTOIRE :
*Prix Terre(s) d’histoire*
“Retour à Kigali, une affaire française” de Jean-Christophe Klotz
LES FILMS DU POISSON

AUTRE PRIX :
*Prix Aïna Roger Esj Lille – FIGRA*
“Columbia in my arms” de Jussi Rastas et Jenni Kivisto
LES FILMS D’UN JOUR

Un grand bravo à nos adhérents pour leur prix reçus lors du Festival International du Grand Reportage d’actualité et du documentaire de société ! SELECTION OFFICIELLE – COMPETITION INTERNATIONALE, PLUS DE 40 MINUTES :*Grand Prix du FIGRA plus de 40 minutes*“Le feu sacré” de Éric GuéretBONNE PIOCHE *Mention spéciale*“Columbia in my arms” de Jussi Rastas et Jenni KivistoLES FILMS D’UN JOUR *Prix du public*“La face cachée du cacao” de Paul MoreiraPREMIERES LIGNES TELEVISION SELECTION OFFICIELLE TERRE(S) D’HISTOIRE :*Prix Terre(s) d’histoire*“Retour à Kigali, une affaire française” de Jean-Christophe KlotzLES FILMS DU POISSON AUTRE PRIX :*Prix Aïna Roger Esj Lille – FIGRA*“Columbia in my arms” de Jussi Rastas et Jenni KivistoLES FILMS D’UN …

16 mars 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
COMMUNIQUÉ : Élections du nouveau Comité Directeur du SPI (12 mars 2020)

Chers adhérents,

L’Assemblée générale annuelle du SPI qui s’est tenue le 12 mars 2020 a élu son nouveau Comité directeur, représentatif de toute la diversité de la production française Cinéma et Audiovisuel.

Réuni à l’issue de l’Assemblée générale, le Comité directeur a procédé à l’élection du Président et du trésorier du syndicat, pour deux ans.

Le Comité directeur a remercié chaleureusement Emmanuel PRIOU, qui n’était pas candidat à sa reconduction, pour son implication constante dans la vie du syndicat, dont il demeure Président d’honneur.

Comité directeur du SPI

PRÉSIDENT DU SPI : Gilles SACUTO – TS Productions
PRÉSIDENT D’HONNEUR : Emmanuel PRIOU – Bonne Pioche
VICE-PRÉSIDENT ANIMATION : Emmanuel-Alain RAYNAL – Miyu Productions
VICE-PRÉSIDENT AUDIOVISUEL : Simon ARNAL – Haut et Court TV
VICE-PRÉSIDENT COURT MÉTRAGE : Pierre-Yves JOURDAIN – Yggdrasil Pictures
VICE-PRÉSIDENTE LONG MÉTRAGE : Marie MASMONTEIL – Elzévir Films
TRÉSORIER : Richard MAGNIEN – Mat Productions

Membres du Bureau Animation :

Alexandre CHARLET (LES FILMS DU CYGNE)
Florent GUIMBERTEAU (MELTING PRODUCTIONS)
Edwina LIARD (IKKI FILMS)
Sébastien ONOMO (LES FILMS D’ICI)
Emmanuel-Alain RAYNAL (MIYU PRODUCTIONS)
Sophie SAGET (ANDARTA PICTURES)

Membres du Bureau Audiovisuel :

Caroline ADRIAN (DELANTE PRODUCTIONS)
Simon ARNAL (HAUT ET COURT TV)
Olivier DE BANNES (O2B FILMS)
Augustin BERNARD (BLACK SHEEP FILMS)
François BERTRAND (CAMERA LUCIDA)
Sébastien DEGENNE (BONNE PIOCHE)
Sophie DELOCHE (ASTHARTÉ ET COMPAGNIE)
Nora MELHLI (ALEF ONE)
Margaux MISSIKA (UPIAN)
Valérie MONTMARTIN (LITTLE BIG STORY)
Cyrille PEREZ (13 PRODUCTIONS)
Caroline ROUSSEL (ARTURO MIO)

Membres du Bureau Court-Métrage :

Anaïs BERTRAND (INSOLENCE PRODUCTIONS)
Pierre-Yves JOURDAIN (YGGDRASIL PICTURES)
Margaux LORIER (WRONG FILMS)
Lionel MASSOL (FILMS GRAND HUIT)
Hélène MITJAVILE (MELOCOTON FILMS)
Stéphane ROCHE (ARTS FILMS)

Membres du Bureau Long-Métrage :

Caroline BONMARCHAND (AVENUE B PRODUCTIONS)
Florence BORELLY (SÉSAME FILMS)
Bénédicte COUVREUR (HOLD UP FILMS)
Didar DOMEHRI (MANEKI FILMS)
Charles GILLIBERT (CG CINÉMA)
Marie MASMONTEIL (ELZÉVIR FILMS)
Edouard MAURIAT (MILLE ET UNE PRODUCTIONS)
Bruno NAHON (UNITÉ DE PRODUCTION)
Elisabeth PEREZ (CHAZ PRODUCTIONS)
Eve ROBIN (LES FILMS DU BAL)
Gilles SACUTO (TS PRODUCTIONS)
Candice ZACCAGNINO (ELIANE ANTOINETTE)

Équipe Permanente du SPI :

Délégué général : Olivier ZEGNA RATA
Déléguée générale adjointe : Emmanuelle MAUGER
Déléguée cinéma : Marion GOLLÉTY
Déléguée à l’animation et Chargée de mission Cinéma et Audiovisuel : Céline HAUTIER
Déléguée aux affaires sociales : Louise LEBECQ
Chef comptable : Gilles BAUDOUIN
Assistante Audiovisuel : Laurie QUIMBEL
Assistante Cinéma et responsable administrative des services généraux : Anne-Sophie POIROT

Chers adhérents, L’Assemblée générale annuelle du SPI qui s’est tenue le 12 mars 2020 a élu son nouveau Comité directeur, représentatif de toute la diversité de la production française Cinéma et Audiovisuel. Réuni à l’issue de l’Assemblée générale, le Comité directeur a procédé à l’élection du Président et du trésorier du syndicat, pour deux ans. Le Comité directeur a remercié chaleureusement Emmanuel PRIOU, qui n’était pas candidat à sa reconduction, pour son implication constante dans la vie du syndicat, dont il demeure Président d’honneur. Comité directeur du SPI PRÉSIDENT DU SPI : Gilles SACUTO – TS Productions PRÉSIDENT D’HONNEUR : Emmanuel PRIOU – Bonne Pioche VICE-PRÉSIDENT ANIMATION : Emmanuel-Alain RAYNAL – Miyu Productions VICE-PRÉSIDENT AUDIOVISUEL : Simon ARNAL – Haut et Court TV VICE-PRÉSIDENT COURT MÉTRAGE : Pierre-Yves JOURDAIN – Yggdrasil Pictures VICE-PRÉSIDENTE LONG MÉTRAGE : Marie MASMONTEIL – Elzévir Films TRÉSORIER : Richard MAGNIEN – Mat Productions Membres du Bureau Animation : • Alexandre CHARLET (LES FILMS DU CYGNE) • Florent GUIMBERTEAU (MELTING PRODUCTIONS) • Edwina LIARD (IKKI FILMS) • Sébastien ONOMO (LES FILMS D’ICI) • Emmanuel-Alain RAYNAL (MIYU PRODUCTIONS) • Sophie SAGET (ANDARTA PICTURES) Membres du Bureau Audiovisuel : • Caroline ADRIAN (DELANTE PRODUCTIONS) • Simon ARNAL (HAUT ET COURT TV) • Olivier DE BANNES (O2B FILMS) • Augustin BERNARD (BLACK SHEEP FILMS) • François BERTRAND (CAMERA LUCIDA) • Sébastien DEGENNE (BONNE PIOCHE) • Sophie DELOCHE (ASTHARTÉ ET COMPAGNIE) • Nora MELHLI (ALEF ONE) • Margaux MISSIKA (UPIAN) • Valérie MONTMARTIN (LITTLE BIG STORY) • Cyrille PEREZ (13 PRODUCTIONS) • Caroline ROUSSEL (ARTURO MIO) Membres du Bureau Court-Métrage : • Anaïs BERTRAND (INSOLENCE PRODUCTIONS) • Pierre-Yves JOURDAIN (YGGDRASIL PICTURES) • Margaux LORIER (WRONG FILMS) • Lionel MASSOL (FILMS GRAND HUIT) • Hélène MITJAVILE (MELOCOTON FILMS) • Stéphane ROCHE (ARTS FILMS) Membres du Bureau Long-Métrage : • Caroline BONMARCHAND (AVENUE B PRODUCTIONS) • Florence BORELLY (SÉSAME FILMS) • Bénédicte COUVREUR (HOLD UP FILMS) • Didar DOMEHRI (MANEKI FILMS) • Charles GILLIBERT (CG CINÉMA) • Marie MASMONTEIL (ELZÉVIR FILMS) • Edouard MAURIAT (MILLE ET UNE PRODUCTIONS) • Bruno NAHON (UNITÉ DE PRODUCTION) • Elisabeth PEREZ (CHAZ PRODUCTIONS) • Eve ROBIN (LES FILMS DU BAL) • Gilles SACUTO (TS PRODUCTIONS) • Candice ZACCAGNINO (ELIANE ANTOINETTE) Équipe Permanente du SPI : Délégué général : Olivier ZEGNA RATA Déléguée générale adjointe : Emmanuelle MAUGER Déléguée cinéma : Marion GOLLÉTY Déléguée à l’animation et Chargée de mission Cinéma et Audiovisuel : Céline HAUTIER Déléguée aux affaires sociales : Louise LEBECQ Chef comptable : Gilles BAUDOUIN Assistante Audiovisuel : Laurie QUIMBEL Assistante Cinéma et responsable administrative des services généraux : Anne-Sophie …

13 mars 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Animation Production Days 2020 : quatre projets français sélectionnés

Le jury des Animation Production Days 2020, qui se tiendront les 7 et 8 mai à Stuttgart, a sélectionné plus de 50 projets de séries et de longs métrages d’animation en recherche de coproduction ou de financement, provenant de 19 pays, ont annoncé les organisateurs, mercredi 4 mars. Environ 60% d’entre eux sont destinés à la cible des 6-12 ans, 20 % aux préscolaires et les 20 % restants aux adolescents et adultes.

Dans cette sélection qui donne une large place à des projets venus d’Europe du Nord, centrale et orientale, l’Allemagne est le pays le plus représenté avec 18 projets, suivie du Danemark avec sept et de la France avec quatre. Parmi les 53 projets, 13 seront présentés dans la catégorie Talent Projects 2020. Les Animation Production Days font partie du Festival international du film d’animation de Stuttgart et du FMX, conférence sur l’animation, les effets spéciaux, les jeux et les médias immersifs.

Les quatre projets français, tous sélectionnés dans la catégorie principale, sont :

My Life in Versailles (6 x 26′), développé par Films Grand Huit, qui reprend les personnages de l’unitaire Ma vie de château (26’) de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’limi, récompensé d’un prix du jury pour un spécial TV au dernier Festival d’Annecy

Le Refuge d’Audrey / Audrey’s Shelter (52 x 11′), série développée par Watch Next Media

Sirocco et le Royaume des courants d’air / Sirocco and The Kingdom of The Winds, long métrage (80′) produit par Sacrebleu Productions

The Golden Apple (13 x 26′), série développée par Dandelooo.

Pour plus d’informations :

FILMS GRAND HUIT

Lionel MASSOL

+33 6 29 46 45 31

13, rue des Trois Couronnes

75011 PARIS

http://www.filmsgrandhuit.com/

https://www.facebook.com/FilmsGrandHuit/

https://www.instagram.com/filmsgrandhuit/

Le jury des Animation Production Days 2020, qui se tiendront les 7 et 8 mai à Stuttgart, a sélectionné plus de 50 projets de séries et de longs métrages d’animation en recherche de coproduction ou de financement, provenant de 19 pays, ont annoncé les organisateurs, mercredi 4 mars. Environ 60% d’entre eux sont destinés à la cible des 6-12 ans, 20 % aux préscolaires et les 20 % restants aux adolescents et adultes. Dans cette sélection qui donne une large place à des projets venus d’Europe du Nord, centrale et orientale, l’Allemagne est le pays le plus représenté avec 18 projets, suivie du Danemark avec sept et de la France avec quatre. Parmi les 53 projets, 13 seront présentés dans la catégorie Talent Projects 2020. Les Animation Production Days font partie du Festival international du film d’animation de Stuttgart et du FMX, conférence sur l’animation, les effets spéciaux, les jeux et les médias immersifs. Les quatre projets français, tous sélectionnés dans la catégorie principale, sont : • My Life in Versailles (6 x 26′), développé par Films Grand Huit, qui reprend les personnages de l’unitaire Ma vie de château (26’) de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’limi, récompensé d’un prix du jury pour un spécial TV au dernier Festival d’Annecy • Le Refuge d’Audrey / Audrey’s Shelter (52 x 11′), série développée par Watch Next Media • Sirocco et le Royaume des courants d’air / Sirocco and The Kingdom of The Winds, long métrage (80′) produit par Sacrebleu Productions • The Golden Apple (13 x 26′), série développée par Dandelooo. Pour plus d’informations : FILMS GRAND HUIT Lionel MASSOL +33 6 29 46 45 31 13, rue des Trois Couronnes 75011 PARIS http://www.filmsgrandhuit.com/ https://www.facebook.com/FilmsGrandHuit/ …

7 mars 2020Actus-Adhérentsactus-adherents
BERLINALE 2020 : Insolence Productions remporte le GUILD FILM PRIZE

Le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) adresse ses vives et chaleureuses félicitations à Anaïs BERTRAND et INSOLENCE PRODUCTIONS, dont le long métrage “JUMBO” s’est illustré lors des Berlinales 2020 (section GENERATION 14+). En effet, le film réalisé par ZOÉ WITTOCK a obtenu le GUILD FILM PRIZE – AG Kino Gilde14+, prix remis par The Association of German Art House Cinemas.

JUMBO” est un long métrage de fiction dramatique et fantastique, qui raconte l’histoire de Jeanne (Noémie Merlant), une jeune femme timide travaillant comme gardienne de nuit dans un parc d’attraction. Cette dernière vit une relation fusionnelle avec sa mère, l’extravertie Margarette (Emmanuelle Bercot). Alors qu’aucun homme n’arrive à trouver sa place au sein du duo que tout oppose, Jeanne développe d’étranges sentiments amoureux envers Jumbo, l’attraction phare du parc.

Date de sortie en salle : le 18 Mars 2020

Pour plus d’informations:

INSOLENCE PRODUCTIONS
+33 (0) 1 83 97 10 92

www.insolenceproductions.com
vimeo.com/insolenceproductions/
facebook.com/Insolence.Productions/

Siège social // Correspondance : 115, rue Saint Dominique – 75007 Paris
Bureaux : 15, place de la Nation – 75011 Paris

Le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) adresse ses vives et chaleureuses félicitations à Anaïs BERTRAND et INSOLENCE PRODUCTIONS, dont le long métrage “JUMBO” s’est illustré lors des Berlinales 2020 (section GENERATION 14+). En effet, le film réalisé par ZOÉ WITTOCK a obtenu le GUILD FILM PRIZE – AG Kino Gilde14+, prix remis par The Association of German Art House Cinemas. “JUMBO” est un long métrage de fiction dramatique et fantastique, qui raconte l’histoire de Jeanne (Noémie Merlant), une jeune femme timide travaillant comme gardienne de nuit dans un parc d’attraction. Cette dernière vit une relation fusionnelle avec sa mère, l’extravertie Margarette (Emmanuelle Bercot). Alors qu’aucun homme n’arrive à trouver sa place au sein du duo que tout oppose, Jeanne développe d’étranges sentiments amoureux envers Jumbo, l’attraction phare du parc. Date de sortie en salle : le 18 Mars 2020 Pour plus d’informations: INSOLENCE PRODUCTIONS +33 (0) 1 83 97 10 92 www.insolenceproductions.com vimeo.com/insolenceproductions/ facebook.com/Insolence.Productions/ Siège social // Correspondance : 115, rue Saint Dominique – 75007 Paris Bureaux : 15, place de la Nation – 75011 …

5 mars 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
CESAR 2020 : Les adhérents du SPI se distinguent !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents, dont les films ont été couronnés par 6 récompenses, lors de la 45ème cérémonie des César du cinéma, organisée par l’Académie des arts et techniques du cinéma. BRAVO !

 

CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR:

Roschdy ZEM dans “ROUBAIX, UNE LUMIÈRE

de Arnaud Desplechin (produit par WHY NOT PRODUCTIONS)

 

CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE:

Anaïs DEMOUSTIER dans “ALICE ET LE MAIRE

de Nicolas Pariser (produit par BIZIBI PRODUCTIONS)

 

CÉSAR DU MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE:

M” de Yolande ZAUBERMAN

(produit par CG CINEMA)

 

CÉSAR DE LA MEILLEURE PHOTOGRAPHIE:

Claire MATHON pour “PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU

de Céline SCIAMMA (produit par HOLD UP FILMS)

 

CÉSAR DU MEILLEUR FILM DE COURT-MÉTRAGE:

PILE POIL” de Lauriane ESCAFFRE et Yvonnick MULLER

(produit par QUI VIVE !)

 

CÉSAR DU MEILLEUR COURT-MÉTRAGE D’ANIMATION:

LA NUIT DES SACS PLASTIQUES” de Gabriel HAREL

(produit par KAZAK PRODUCTIONS)

 

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents, dont les films ont été couronnés par 6 récompenses, lors de la 45ème cérémonie des César du cinéma, organisée par l’Académie des arts et techniques du cinéma. BRAVO !   CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR: Roschdy ZEM dans “ROUBAIX, UNE LUMIÈRE“ de Arnaud Desplechin (produit par WHY NOT PRODUCTIONS)   CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE: Anaïs DEMOUSTIER dans “ALICE ET LE MAIRE“ de Nicolas Pariser (produit par BIZIBI PRODUCTIONS)   CÉSAR DU MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE: “M” de Yolande ZAUBERMAN (produit par CG CINEMA)   CÉSAR DE LA MEILLEURE PHOTOGRAPHIE: Claire MATHON pour “PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU “ de Céline SCIAMMA (produit par HOLD UP FILMS)   CÉSAR DU MEILLEUR FILM DE COURT-MÉTRAGE: “PILE POIL” de Lauriane ESCAFFRE et Yvonnick MULLER (produit par QUI VIVE !)   CÉSAR DU MEILLEUR COURT-MÉTRAGE D’ANIMATION: “LA NUIT DES SACS PLASTIQUES” de Gabriel HAREL (produit par KAZAK PRODUCTIONS) …

29 février 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
TRIBUNE : Vive la liberté !

Le 28 février 2020,

La démocratie est fondée sur des principes fondamentaux. La liberté, inscrite au fronton de nos mairies en est un des piliers.
La liberté consiste « à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui », précise l’article 4 de la déclaration des droits de l’Homme. Dans la clarté de sa rédaction, ce texte implique que la liberté de chacun soit encadrée, pour que nos libertés individuelles et collectives soient garanties.
La liberté d’accéder aux oeuvres, de les regarder, voir, entendre, partager, diffuser doit tenir compte des publics, spectateurs et auditeurs, tout autant que des auteurs, compositeurs, réalisateurs producteurs, éditeurs et autres titulaires de droits. Cet équilibre a été trouvé grâce au droit d’auteur, invention française, elle aussi issue de l’Esprit des lumières, et qui a résisté à l’air du temps et à la démagogie.

Le droit d’auteur et ses déclinaisons ont permis à la création française, notamment cinématographique, d’être ce qu’elle est, la deuxième du monde occidental, celle qui accueille tous les cinémas du monde, celle qui est portée par plus de 6 000 écrans de cinéma sur tout notre territoire. Au-delà, l’animation française est une référence mondiale incontestée, le documentaire français a un savoir-faire unique au monde et la fiction française a su reconquérir son public. Pour préserver ce modèle et projeter son succès dans les années à venir, notre création doit, au-delà du talent de chacun, trouver son équilibre économique. Les oeuvres, littéraires, cinématographiques, audiovisuelles existent grâce à la volonté de leur auteur mais aussi grâce à une filière fragile, une économie du prototype, soutenue pour l’essentiel par le secteur privé, qui doit réunir des financements. Le piratage, aujourd’hui encore, en pair à pair ou en « streaming » constitue un pillage des oeuvres et une limite évidente au financement de nouvelles oeuvres.

Il en est de même du sport où les droits télévisés constituent une source de financement majeur, à la fois pour le sport professionnel mais aussi pour le sport amateur qui en bénéficie grâce à plusieurs mécanismes de solidarité dont la taxe Buffet. Les chaînes qui diffusent les rencontres sportives achètent l’exclusivité d’une rencontre en direct. Le piratage des matchs sur Internet menace donc, au détriment de toute la collectivité, cet équilibre économique.

La justice s’est toujours montrée favorable à la préservation des droits. Mais ceux qui piratent – et concourent au financement de filières criminelles – seront toujours plus rapides que le temps judiciaire, et les pirates trop agiles pour contourner les mesures de blocage ordonnées par un juge. Depuis maintenant une quinzaine d’années, le téléchargement, le « streaming » et la télévision par Internet sont utilisés pour violer nos droits. L’usage illicite de ces technologies éreinte nos secteurs et menace la survie de notre diversité culturelle. Il s’agit maintenant de réagir avec force et d’envoyer un signal clair.
Deux réponses concrètes peuvent être apportées au piratage. Elles n’auront de caractère pleinement opérationnel que si elles se cumulent. D’un côté, le blocage efficace et instantané de l’accès aux sites et aux services pirates par l’ensemble des intermédiaires techniques dont les fournisseurs d’accès à internet, permettrait de réduire significativement ces usages illicites, dispositif abordé dans le projet de loi sur la réforme de l’audiovisuel avec les ordonnances dynamiques. C’est une bonne chose. Mais il faut aller plus loin en permettant de rétablir une réponse graduée véritablement efficace. C’est tout le sens de la proposition de transaction pénale que nous soutenons : une sanction simple, après deux rappels à la loi pour réaffirmer que le piratage est un vol que le pays de l’exception culturelle ne peut tolérer plus longtemps.

Les forces vives de la création, littéraire, musicale, audiovisuelle et cinématographique, et le monde du sport demandent avec insistance que leurs droits soient enfin respectés comme ils respectent ceux de tous : la loi audiovisuelle qui sera examinée dès la semaine prochaine à l’Assemblée nationale, est une occasion unique que nous ne pouvons pas manquer. Il faut avoir le courage de faire ce qui est juste.

La liberté de télécharger s’arrête là où commence le vol de ceux qui créent, innovent, prennent tous les risques : il s’agit maintenant de le rappeler, ensemble et avec force.

Signataires :
Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (ACID)
Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA)
Association des Producteurs Indépendants (API)
Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs (L’ARP)
Distributeurs Indépendants Réunis Européens (DIRE)
Fédération des industries du Cinéma de l’Audiovisuel et du Multimédia (FICAM)
Fédération Nationale des Editeurs de Films (FNEF)
Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF)
Guilde Française des Scénaristes
Groupement National des Cinémas de Recherche (GNCR)
Société civile des Producteurs de Cinéma et de Télévision (PROCIREP)
Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD)
Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM)
Scénaristes de Cinéma Associés (SCA)
Société civile des auteurs multimédia (SCAM)
Syndicat des Distributeurs Indépendants (SDI)
Syndicat de l’Edition Vidéo Numérique (SEVN)
Syndicat Français des Artistes Interprètes (SFA)
Syndicat Français des Agents Artistiques et Littéraires (SFAAL)
Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs (SNAC)
Syndicat des Producteurs de Films d’Animation (SPFA)
Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI)
Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma (SPIAC)
Société des Réalisateurs de Films (SRF)
Union des Producteurs de Cinéma (UPC)
Union Syndicale de la Production Audiovisuelle (USPA)

Le 28 février 2020, La démocratie est fondée sur des principes fondamentaux. La liberté, inscrite au fronton de nos mairies en est un des piliers.La liberté consiste « à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui », précise l’article 4 de la déclaration des droits de l’Homme. Dans la clarté de sa rédaction, ce texte implique que la liberté de chacun soit encadrée, pour que nos libertés individuelles et collectives soient garanties.La liberté d’accéder aux oeuvres, de les regarder, voir, entendre, partager, diffuser doit tenir compte des publics, spectateurs et auditeurs, tout autant que des auteurs, compositeurs, réalisateurs producteurs, éditeurs et autres titulaires de droits. Cet équilibre a été trouvé grâce au droit d’auteur, invention française, elle aussi issue de l’Esprit des lumières, et qui a résisté à l’air du temps et à la démagogie. Le droit d’auteur et ses déclinaisons ont permis à la création française, notamment cinématographique, d’être ce qu’elle est, la deuxième du monde occidental, celle qui accueille tous les cinémas du monde, celle qui est portée par plus de 6 000 écrans de cinéma sur tout notre territoire. Au-delà, l’animation française est une référence mondiale incontestée, le documentaire français a un savoir-faire unique au monde et la fiction française a su reconquérir son public. Pour préserver ce modèle et projeter son succès dans les années à venir, notre création doit, au-delà du talent de chacun, trouver son équilibre économique. Les oeuvres, littéraires, cinématographiques, audiovisuelles existent grâce à la volonté de leur auteur mais aussi grâce à une filière fragile, une économie du prototype, soutenue pour l’essentiel par le secteur privé, qui doit réunir des financements. Le piratage, aujourd’hui encore, en pair à pair ou en « streaming » constitue un pillage des oeuvres et une limite évidente au financement de nouvelles oeuvres. Il en est de même du sport où les droits télévisés constituent une source de financement majeur, à la fois pour le sport professionnel mais aussi pour le sport amateur qui en bénéficie grâce à plusieurs mécanismes de solidarité dont la taxe Buffet. Les chaînes qui diffusent les rencontres sportives achètent l’exclusivité d’une rencontre en direct. Le piratage des matchs sur Internet menace donc, au détriment de toute la collectivité, cet équilibre économique. La justice s’est toujours montrée favorable à la préservation des droits. Mais ceux qui piratent – et concourent au financement de filières criminelles – seront toujours plus rapides que le temps judiciaire, et les pirates trop agiles pour contourner les mesures de blocage ordonnées par un juge. Depuis maintenant une quinzaine d’années, le téléchargement, le « streaming » et la télévision par Internet sont utilisés pour violer nos droits. L’usage illicite de ces technologies éreinte nos secteurs et menace la survie de notre diversité culturelle. Il s’agit maintenant de réagir avec force et d’envoyer un signal clair.Deux réponses concrètes peuvent être apportées au piratage. Elles n’auront de caractère pleinement opérationnel que si elles se cumulent. D’un côté, le blocage efficace et instantané de l’accès aux sites et aux services pirates par l’ensemble des intermédiaires techniques dont les fournisseurs d’accès à internet, permettrait de réduire significativement ces usages illicites, dispositif abordé dans le projet de loi sur la réforme de l’audiovisuel avec les ordonnances dynamiques. C’est une bonne chose. Mais il faut aller plus loin en permettant de rétablir une réponse graduée véritablement efficace. C’est tout le sens de la proposition de transaction pénale que nous soutenons : une sanction simple, après deux rappels à la loi pour réaffirmer que le piratage est un vol que le pays de l’exception culturelle ne peut tolérer plus longtemps. Les forces vives de la création, littéraire, musicale, audiovisuelle et cinématographique, et le monde du sport demandent avec insistance que leurs droits soient enfin respectés comme ils respectent ceux de tous : la loi audiovisuelle qui sera examinée dès la semaine prochaine à l’Assemblée nationale, est une occasion unique que nous ne pouvons pas manquer. Il faut avoir le courage de faire ce qui est juste. La liberté de télécharger s’arrête là où commence le vol de ceux qui créent, innovent, prennent tous les risques : il s’agit maintenant de le rappeler, ensemble et avec force. Signataires :Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (ACID)Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA)Association des Producteurs Indépendants (API)Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs (L’ARP)Distributeurs Indépendants Réunis Européens (DIRE)Fédération des industries du Cinéma de l’Audiovisuel et du Multimédia (FICAM)Fédération Nationale des Editeurs de Films (FNEF)Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF)Guilde Française des ScénaristesGroupement National des Cinémas de Recherche (GNCR)Société civile des Producteurs de Cinéma et de Télévision (PROCIREP)Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD)Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM)Scénaristes de Cinéma Associés (SCA)Société civile des auteurs multimédia (SCAM)Syndicat des Distributeurs Indépendants (SDI)Syndicat de l’Edition Vidéo Numérique (SEVN)Syndicat Français des Artistes Interprètes (SFA)Syndicat Français des Agents Artistiques et Littéraires (SFAAL)Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs (SNAC)Syndicat des Producteurs de Films d’Animation (SPFA)Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI)Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma (SPIAC)Société des Réalisateurs de Films (SRF)Union des Producteurs de Cinéma (UPC)Union Syndicale de la Production Audiovisuelle …

28 février 2020Actus-SPIactus-spi
COMMUNIQUÉ BLOC : France Télévisions, l’ARP et le BLOC signent un Accord sur l’exposition du cinéma dans les offres de France Télévisions

France Télévisions, le BLOC et l’ARP, ont signé un accord le 27 février 2020 sur « l’exposition du cinéma dans les offres de France Télévisions » en vue de renouveler leur partenariat au service d’une ambition partagée pour le cinéma.

Le BLOC et l’ARP se félicitent que France Télévisions s’engage à renforcer l’éditorialisation du cinéma et la mise en valeur de son offre de cinéma sur ses antennes hertziennes comme en non-linéaires.

Cet objectif de bonne exposition du cinéma se concrétisera par la diffusion d’au moins 250 films de cinéma par an sur ses antennes hertziennes et l’exposition d’au moins 50 films en non-linéaire, dans un contexte où France 4 et France Ô cesseront d’émettre en 2020.

Cet accord prévoit que France Télévisions pourra acquérir pour les films de cinéma qu’elle a préfinancés des droits de mise à disposition en télévision de rattrapage, pendant une durée maximum de 7 jours.

Enfin, France Télévisions s’engage également à investir via ses filiales cinéma au moins 60M€ par an dans les œuvres de cinéma européenne et d’expression originale française, ainsi qu’à poursuivre la politique de soutien au cinéma dans toute sa diversité, aussi bien pour les achats que les préachats, sur le plan artistique comme financier.

France Télévisions, l’ARP et le BLOC se réjouissent de cet accord au service d’une meilleure exposition du cinéma dans toute sa diversité, adaptée aux nouveaux usages, pour tous les publics.

Contacts presse :

L’ARP : Pierre Charpilloz 06 79 01 22 10

Le BLOC : Julie Lethiphu 06 12 25 93 31 / Marion Golléty 06 14 74 58 82

France Télévisions : Muriel Attal 01 56 22 67 09 / Véronique Provost 01 56 22 23 53

France Télévisions, le BLOC et l’ARP, ont signé un accord le 27 février 2020 sur « l’exposition du cinéma dans les offres de France Télévisions » en vue de renouveler leur partenariat au service d’une ambition partagée pour le cinéma. Le BLOC et l’ARP se félicitent que France Télévisions s’engage à renforcer l’éditorialisation du cinéma et la mise en valeur de son offre de cinéma sur ses antennes hertziennes comme en non-linéaires. Cet objectif de bonne exposition du cinéma se concrétisera par la diffusion d’au moins 250 films de cinéma par an sur ses antennes hertziennes et l’exposition d’au moins 50 films en non-linéaire, dans un contexte où France 4 et France Ô cesseront d’émettre en 2020. Cet accord prévoit que France Télévisions pourra acquérir pour les films de cinéma qu’elle a préfinancés des droits de mise à disposition en télévision de rattrapage, pendant une durée maximum de 7 jours. Enfin, France Télévisions s’engage également à investir via ses filiales cinéma au moins 60M€ par an dans les œuvres de cinéma européenne et d’expression originale française, ainsi qu’à poursuivre la politique de soutien au cinéma dans toute sa diversité, aussi bien pour les achats que les préachats, sur le plan artistique comme financier. France Télévisions, l’ARP et le BLOC se réjouissent de cet accord au service d’une meilleure exposition du cinéma dans toute sa diversité, adaptée aux nouveaux usages, pour tous les publics. Contacts presse : L’ARP : Pierre Charpilloz 06 79 01 22 10 Le BLOC : Julie Lethiphu 06 12 25 93 31 / Marion Golléty 06 14 74 58 82 France Télévisions : Muriel Attal 01 56 22 67 09 / Véronique Provost 01 56 22 23 …

27 février 2020Actus-SPI, Non classéactus-spi non-classe
Adieu à Hervé Bourges

C’est avec une très grande tristesse que nous saluons le décès d’Hervé Bourges, ancien président de RFI, de TF1, de Canal + Afrique, d’Antenne 2, de France 3, dont il fit France Télévision, avant de devenir Président du Conseil supérieur de l’Audiovisuel.  

Inlassable combattant de l’indépendance des journalistes et de la liberté de création, il fut en Algérie, en Afrique, en France, l’inspirateur de plusieurs générations de professionnels de l’audiovisuel formés dans les écoles qu’il créa, comme l’École supérieure internationale de journalisme de Yaoundé, ou qu’il dirigea, comme l’École supérieure de Journalisme de Lille. Grand patron de médias, il fut avec Pascal Josèphe l’inventeur de la télévision contemporaine, offrant des moyens nouveaux à la fiction et au documentaire français.  

Profondément engagé pour la francophonie, il défendit toute sa vie les valeurs de diversité et de métissage inséparables du combat francophone, et la fécondité de tous les héritages culturels qu’il recouvre.

Homme de culture et de mémoire, il fut toujours aux côtés des producteurs et des créateurs, animé par sa confiance inébranlable dans la mission sociale et humaniste des médias et du cinéma, au service de nos valeurs collectives.   

A sa famille et à ses proches, à tous ceux qu’il a formés ou guidés, le SPI exprime ses plus profondes condoléances.

Contact presse :  
Olivier ZEGNA-RATA – Délégué général

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél. 01 44 70 70 44

C’est avec une très grande tristesse que nous saluons le décès d’Hervé Bourges, ancien président de RFI, de TF1, de Canal + Afrique, d’Antenne 2, de France 3, dont il fit France Télévision, avant de devenir Président du Conseil supérieur de l’Audiovisuel.   Inlassable combattant de l’indépendance des journalistes et de la liberté de création, il fut en Algérie, en Afrique, en France, l’inspirateur de plusieurs générations de professionnels de l’audiovisuel formés dans les écoles qu’il créa, comme l’École supérieure internationale de journalisme de Yaoundé, ou qu’il dirigea, comme l’École supérieure de Journalisme de Lille. Grand patron de médias, il fut avec Pascal Josèphe l’inventeur de la télévision contemporaine, offrant des moyens nouveaux à la fiction et au documentaire français.   Profondément engagé pour la francophonie, il défendit toute sa vie les valeurs de diversité et de métissage inséparables du combat francophone, et la fécondité de tous les héritages culturels qu’il recouvre. Homme de culture et de mémoire, il fut toujours aux côtés des producteurs et des créateurs, animé par sa confiance inébranlable dans la mission sociale et humaniste des médias et du cinéma, au service de nos valeurs collectives.    A sa famille et à ses proches, à tous ceux qu’il a formés ou guidés, le SPI exprime ses plus profondes condoléances. Contact presse :   Olivier ZEGNA-RATA – Délégué général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél. 01 44 70 70 …

24 février 2020Actus-SPIactus-spi
Bravo à nos adhérents pour leurs sélections à Séries Mania !
Ces sélections illustrent la vitalité et le dynamisme d’une production française indépendante résolument tournée vers l’international.  

*Compétition internationale*
No man’s land de Maria Feldman, Eitan Mansuri, Amit Cohen et Ron Leshem
(Arte et Hulu)
HAUT ET COURT TV    


*Compétition format court*
18h30 de Maxime Chamoux et Sylvain Gouverneur
(Arte.tv)
LA BLOGOTHÈQUE PRODUCTIONS  
 

*Panorama international*
Wara de Charli Beléteau
(TV5 Monde)
ASTHARTÉ & COMPAGNIE    


*Séance spéciale*
Laëtitia de Jean-Xavier Lestrade et Antoine Lacomblez
(France Télévisions, RTBF, RTS et TV5 Monde)
CPB FILMS


*Co-pro pitching session*
Good People
UNITÉ DE PRODUCTION  

My First Family
HAUT ET COURT TV      

Contact presse :
Olivier ZEGNA-RATA – Délégué général

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Ces sélections illustrent la vitalité et le dynamisme d’une production française indépendante résolument tournée vers l’international.   *Compétition internationale* No man’s land de Maria Feldman, Eitan Mansuri, Amit Cohen et Ron Leshem (Arte et Hulu) HAUT ET COURT TV     *Compétition format court* 18h30 de Maxime Chamoux et Sylvain Gouverneur(Arte.tv) LA BLOGOTHÈQUE PRODUCTIONS     *Panorama international* Wara de Charli Beléteau (TV5 Monde) ASTHARTÉ & COMPAGNIE     *Séance spéciale*Laëtitia de Jean-Xavier Lestrade et Antoine Lacomblez (France Télévisions, RTBF, RTS et TV5 Monde)CPB FILMS *Co-pro pitching session* Good People UNITÉ DE PRODUCTION   My First Family HAUT ET COURT TV       Contact presse :Olivier ZEGNA-RATA – Délégué général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

24 février 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
COMMUNIQUÉ : Bravo à nos lauréats pour leurs récompenses à Clermont-Ferrand !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus au Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand 2020.

* 24ème Prix du Producteur de Court Métrage de la Procirep :

Ikki Films – Edwina Liard & Nidia Santiago

*Grand Prix National : 

« Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films

*Prix Étudiant National : 

« Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films

* Mention Spéciale du Jury National :

« Genius Loci » d’Adrien Merigeau produit par Kazak Productions 

* 11ème Prix France Télévisions du court métrage : 

« Blaké » de Vincent Fontano produit par We Film

*Prix du Meilleur Film d’Animation Francophone (SACD) :

« Traces » de Hugo Frassetto et Sophie Tavert Macian produit par Les Films du Nord

*Prix de la Meilleure Première Œuvre de Fiction (SACD) : 

« Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films

* Prix d’interprétation – Meilleur Comédien (ADAMI) : 

« The Loyal Man » de Lawrence Valin produit par Agat Films & Cie

* Prix ex æquo de la Meilleure Musique Originale (SACEM) :

 « Champ de Bosses » d’Anne Brouillet produit par Avenue B Productions

« Massacre » de Maïté Sonnet produit par Quartett Production

*Coup de Cœur Canal+ Family :

« Opinci» d’Anton et Damian Groves produit par Bagan Films

*Bourse des Festivals : 

« Des Jeunes Filles Enterrent leur Vie » deMaïté Sonnet produit par Quartett Production

* Mention d’interprétation féminine du jury France Télévisions/Unifrance :

« Je Serai parmi les Amandiers » de Marie Le Floc’h produit par Films Grand Huit

* Mention d’interprétation masculine du jury France Télévisions/Unifrance : 

« Mars Colony » de Noël Fuzellier produit Les Films Norfolk

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus au Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand 2020. * 24ème Prix du Producteur de Court Métrage de la Procirep : Ikki Films – Edwina Liard & Nidia Santiago *Grand Prix National :  « Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films *Prix Étudiant National :  « Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films * Mention Spéciale du Jury National : « Genius Loci » d’Adrien Merigeau produit par Kazak Productions  * 11ème Prix France Télévisions du court métrage :  « Blaké » de Vincent Fontano produit par We Film *Prix du Meilleur Film d’Animation Francophone (SACD) : « Traces » de Hugo Frassetto et Sophie Tavert Macian produit par Les Films du Nord *Prix de la Meilleure Première Œuvre de Fiction (SACD) :  « Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films * Prix d’interprétation – Meilleur Comédien (ADAMI) :  « The Loyal Man » de Lawrence Valin produit par Agat Films & Cie * Prix ex æquo de la Meilleure Musique Originale (SACEM) :  « Champ de Bosses » d’Anne Brouillet produit par Avenue B Productions « Massacre » de Maïté Sonnet produit par Quartett Production *Coup de Cœur Canal+ Family : « Opinci» d’Anton et Damian Groves produit par Bagan Films *Bourse des Festivals :  « Des Jeunes Filles Enterrent leur Vie » deMaïté Sonnet produit par Quartett Production * Mention d’interprétation féminine du jury France Télévisions/Unifrance : « Je Serai parmi les Amandiers » de Marie Le Floc’h produit par Films Grand Huit * Mention d’interprétation masculine du jury France Télévisions/Unifrance :  « Mars Colony » de Noël Fuzellier produit Les Films …

12 février 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI félicite ses adhérents récompensés à la cérémonie des Lauriers de l’audiovisuel.

*Laurier Première oeuvre – Prix Marcel Jullian*

“Vénézuela, L’ombre de Chavez” de Laurence Debray

Sandrine Brauer et Marie Masmonteil

*Laurier d’Interprétation Masculine : Roschdy Zem*

“Les Sauvages” de Rebecca Zlotowski

CPB Films

*Laurier Première oeuvre – Prix Marcel Jullian* “Vénézuela, L’ombre de Chavez” de Laurence Debray Sandrine Brauer et Marie Masmonteil *Laurier d’Interprétation Masculine : Roschdy Zem* “Les Sauvages” de Rebecca Zlotowski CPB …

11 février 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Bravo à nos lauréats de Luchon !

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2020.

En fiction comme en documentaire, les membres du SPI illustrent la vitalité de la création indépendante.

Prix du meilleur espoir masculin : deux prix ex æquo pour Maxence Danet-Fauvel et Félix Lefebvre

Le Diable au cœur de Christian Faure

(France 2)

FRENCH CANCAN PRODUCTION 

Pyrénées d’or du meilleur documentaire

Incassables de Ketty Rios Palma

(France 2)

416 PROD

Prix de l’originalité du sujet

Les Damnés – Des ouvriers en abattoirs d’Anne-Sophie Reinhardt

(France Télévisions)

LES BATELIÈRES PRODUCTIONS

Prix de la réalisation montage

Les Lycéens, le Traître et les Nazis de David André

(France Télévisions)

CPB FILMS

Prix du public de la websérie

T.A.C. Troubles Absurdes du Comportement de Nicolas Capus

ASM FILMS

Paris, le 10 février 2020

Contact presse : 

Olivier ZEGNA-RATA – Délégué Général

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2020. En fiction comme en documentaire, les membres du SPI illustrent la vitalité de la création indépendante. Prix du meilleur espoir masculin : deux prix ex æquo pour Maxence Danet-Fauvel et Félix Lefebvre Le Diable au cœur de Christian Faure (France 2) FRENCH CANCAN PRODUCTION  Pyrénées d’or du meilleur documentaire Incassables de Ketty Rios Palma (France 2) 416 PROD Prix de l’originalité du sujet Les Damnés – Des ouvriers en abattoirs d’Anne-Sophie Reinhardt (France Télévisions) LES BATELIÈRES PRODUCTIONS Prix de la réalisation montage Les Lycéens, le Traître et les Nazis de David André (France Télévisions) CPB FILMS Prix du public de la websérie T.A.C. Troubles Absurdes du Comportement de Nicolas Capus ASM FILMS Paris, le 10 février 2020 Contact presse :  Olivier ZEGNA-RATA – Délégué Général SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

10 février 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Le SPI au Festival de Clermont-Ferrand

5 février 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Disparition de David Kessler
Le SPI salue avec une grande tristesse la disparition de David Kessler, qui dirigeait la division « contenus » d’Orange.   

A toutes les étapes de son parcours, David Kessler a été un partenaire privilégié de la création française, au CSA avec Hervé Bourges, à France Télévisions, puis comme Président du CNC, par exemple, ou comme conseiller de Lionel Jospin à Matignon, et de François Hollande à l’Élysée. Nourri de culture, avec un appétit permanent pour la création, une vitalité gourmande pour les arts et avant tout le cinéma, David était une personnalité à la fois profondément libre dans ses engagements et ouverte au dialogue.   

Philosophe et juriste, passionné et tolérant, il était un interlocuteur de choix pour les producteurs français, comme lui attachés à la défense de l’indépendance, de la diversité et de la liberté de la création. A ses proches, à sa famille, à ses enfants, le SPI adresse ses plus profondes condoléances.   
       

Le SPI salue avec une grande tristesse la disparition de David Kessler, qui dirigeait la division « contenus » d’Orange.    A toutes les étapes de son parcours, David Kessler a été un partenaire privilégié de la création française, au CSA avec Hervé Bourges, à France Télévisions, puis comme Président du CNC, par exemple, ou comme conseiller de Lionel Jospin à Matignon, et de François Hollande à l’Élysée. Nourri de culture, avec un appétit permanent pour la création, une vitalité gourmande pour les arts et avant tout le cinéma, David était une personnalité à la fois profondément libre dans ses engagements et ouverte au dialogue.    Philosophe et juriste, passionné et tolérant, il était un interlocuteur de choix pour les producteurs français, comme lui attachés à la défense de l’indépendance, de la diversité et de la liberté de la création. A ses proches, à sa famille, à ses enfants, le SPI adresse ses plus profondes condoléances.          …

4 février 2020Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 38 nominations aux César 2020.

Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma, produit par Hold Up Films : Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleure actrice, Meilleur espoir féminin, Meilleur scénario original, Meilleurs costumes, Meilleurs décors, Meilleure photographie, Meilleur son

Roubaix, une lumière d’Arnaud Desplechin, produit par Why Not Productions : Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur acteur, Meilleure actrice dans un second rôle, Meilleure adaptation, Meilleure photographie, Meilleure musique originale originale

Atlantique de Mati Diop, produit par Les Films du Bal : Meilleure actrice dans un second rôle, Meilleure adaptation

Chanson douce de Lucie Borleteau, produit par Why Not Productions : Meilleur espoir féminin, Meilleur premier film, Meilleure musique originale

Seules les bêtes de Dominik Moll, produit par Haut et Court : Meilleure actrice

Alice et le maire de Nicolas Pariser, produit par Bizibi : Meilleure actrice

Chambre 212 de Christophe Honoré, produit par Les Films Pelléas : Meilleure actrice

Camille de Boris Lojkine, produit par Unité de production : Meilleur espoir féminin

Jeanne de Bruno Dumont, produit par 3B Productions : Meilleurs costumes

68, mon père et les clous de Samuel Bigiaoui, produit par Petit à Petit Production : Meilleur documentaire


M de Yolande Zauberman, produit par CG Cinéma : Meilleur documentaire


Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre et Luc Dardenne, produit par Archipel 35 : Meilleur film étranger


Lola vers la mer de Laurent Micheli, produit par 10:15 Productions: Meilleur film étranger


Le Traitre de Marco Bellocchio, produit par Ad Vitam : Meilleur film étranger

Beautiful Loser de Maxime Roy, produit par TS Productions : Meilleur court métrage

Le Chant d’Ahmed de Foued Mansour, produit par Offshore : Meilleur court métrage

Pile poil de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller, produit par Qui Vive ! : Meilleur court métrage

Je sors acheter des cigarettes d’Osman Cerfon, produit par Miyu Productions : Meilleur court métrage d’animation

Make it soul de Jean-Charles Mbotti Malolo, produit par Kazak Productions : Meilleur court métrage d’animation

La nuit des sacs plastiques de Gabriel Harel, produit par Kazak Productions : Meilleur court métrage d’animation

Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma, produit par Hold Up Films : Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleure actrice, Meilleur espoir féminin, Meilleur scénario original, Meilleurs costumes, Meilleurs décors, Meilleure photographie, Meilleur son Roubaix, une lumière d’Arnaud Desplechin, produit par Why Not Productions : Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur acteur, Meilleure actrice dans un second rôle, Meilleure adaptation, Meilleure photographie, Meilleure musique originale originale Atlantique de Mati Diop, produit par Les Films du Bal : Meilleure actrice dans un second rôle, Meilleure adaptation Chanson douce de Lucie Borleteau, produit par Why Not Productions : Meilleur espoir féminin, Meilleur premier film, Meilleure musique originale Seules les bêtes de Dominik Moll, produit par Haut et Court : Meilleure actrice Alice et le maire de Nicolas Pariser, produit par Bizibi : Meilleure actrice Chambre 212 de Christophe Honoré, produit par Les Films Pelléas : Meilleure actrice Camille de Boris Lojkine, produit par Unité de production : Meilleur espoir féminin Jeanne de Bruno Dumont, produit par 3B Productions : Meilleurs costumes 68, mon père et les clous de Samuel Bigiaoui, produit par Petit à Petit Production : Meilleur documentaire M de Yolande Zauberman, produit par CG Cinéma : Meilleur documentaire Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre et Luc Dardenne, produit par Archipel 35 : Meilleur film étranger Lola vers la mer de Laurent Micheli, produit par 10:15 Productions: Meilleur film étranger Le Traitre de Marco Bellocchio, produit par Ad Vitam : Meilleur film étranger Beautiful Loser de Maxime Roy, produit par TS Productions : Meilleur court métrage Le Chant d’Ahmed de Foued Mansour, produit par Offshore : Meilleur court métrage Pile poil de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller, produit par Qui Vive ! : Meilleur court métrage Je sors acheter des cigarettes d’Osman Cerfon, produit par Miyu Productions : Meilleur court métrage d’animation Make it soul de Jean-Charles Mbotti Malolo, produit par Kazak Productions : Meilleur court métrage d’animation La nuit des sacs plastiques de Gabriel Harel, produit par Kazak Productions : Meilleur court métrage …

29 janvier 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
DEUX ACCORDS POUR DE MEILLEURES RELATIONS CONTRACTUELLES AU SEIN DE LA PROFESSION DOCUMENTAIRE

Scam – SRF – Addoc – Spi – Satev – Uspa

À l’occasion du Fipadoc, deux accords professionnels sont signés ce vendredi 24 janvier par les auteurs et autrices représenté(e)s par la Scam, Addoc et la SRF, et les sociétés de production représentées par le Satev, le Spi et l’Uspa.

Ces accords ont pour vocation commune d’encadrer les relations de la profession dans les secteurs du documentaire et du reportage.

Pour actualiser et consolider la charte des usages professionnels signée en 2015 au Fipa, le premier accord tient compte des évolutions en matière de transparence des comptes, notamment en ce qui concerne la communication des comptes de production, et vient également préciser les rôles et responsabilités de chacun lors de la production et l’exploitation des œuvres.

Le second accord met en œuvre un Glossaire du documentaire relatif aux textes élaborés dans le cadre de l’écriture des œuvres à caractère documentaire. Il définit chacun d’entre eux et ses fonctions précises au cours du processus d’élaboration des œuvres.

Les organisations signataires se félicitent de leur collaboration fructueuse permettant, par le biais des accords interprofessionnels, de définir des usages vertueux et d’encadrer les pratiques contractuelles dans le respect mutuel.

Scam – SRF – Addoc – Spi – Satev – Uspa À l’occasion du Fipadoc, deux accords professionnels sont signés ce vendredi 24 janvier par les auteurs et autrices représenté(e)s par la Scam, Addoc et la SRF, et les sociétés de production représentées par le Satev, le Spi et l’Uspa. Ces accords ont pour vocation commune d’encadrer les relations de la profession dans les secteurs du documentaire et du reportage. Pour actualiser et consolider la charte des usages professionnels signée en 2015 au Fipa, le premier accord tient compte des évolutions en matière de transparence des comptes, notamment en ce qui concerne la communication des comptes de production, et vient également préciser les rôles et responsabilités de chacun lors de la production et l’exploitation des œuvres. Le second accord met en œuvre un Glossaire du documentaire relatif aux textes élaborés dans le cadre de l’écriture des œuvres à caractère documentaire. Il définit chacun d’entre eux et ses fonctions précises au cours du processus d’élaboration des œuvres. Les organisations signataires se félicitent de leur collaboration fructueuse permettant, par le biais des accords interprofessionnels, de définir des usages vertueux et d’encadrer les pratiques contractuelles dans le respect …

24 janvier 2020Actus-SPIactus-spi
Lettre ouverte à M. Alain Terzian, Président de l’Académie des Arts et Techniques du Cinéma

Monsieur le Président, Cher Alain,

J’ai pris connaissance avec la plus grande attention de la lettre ouverte que vous m’avez adressée suite à la publication du communiqué du SPI mettant en cause le fonctionnement et les pratiques de l’Académie des Arts et Techniques du Cinéma que vous présidez.

Dans cette lettre et à l’occasion de l’entretien que nous avons eu la semaine dernière, vous avez pu apporter un éclairage, par des éléments de contexte et des précisions qui ne nous étaient jusqu’alors pas connus, sur le statut juridique de l’Académie des César et son mode de gouvernance.

Nous reconnaissons ainsi les inexactitudes contenues dans notre communiqué dans lequel était notamment questionné de manière erronée le passage de l’Académie du statut associatif à celui de société privée.

Nous avons bien entendu votre volonté de garantir l’indépendance de l’Académie des César et d’engager un dialogue ouvert et constructif avec les organisations professionnelles pour moderniser et proposer des évolutions sur le fonctionnement de cette institution.

Dans cette perspective, le SPI, particulièrement attaché aux principes de transparence et de renouvellement des pratiques au sein d’entités comme la vôtre de défense et de promotion du cinéma français, est prêt à contribuer avec l’Académie des César à des propositions concrètes d’évolution de son fonctionnement.

Nous serons très heureux de poursuivre avec vous cette collaboration constructive.

Marie Masmonteil,Vice-Présidente du SPI, Présidente du Bureau Long-Métrage

Monsieur le Président, Cher Alain, J’ai pris connaissance avec la plus grande attention de la lettre ouverte que vous m’avez adressée suite à la publication du communiqué du SPI mettant en cause le fonctionnement et les pratiques de l’Académie des Arts et Techniques du Cinéma que vous présidez. Dans cette lettre et à l’occasion de l’entretien que nous avons eu la semaine dernière, vous avez pu apporter un éclairage, par des éléments de contexte et des précisions qui ne nous étaient jusqu’alors pas connus, sur le statut juridique de l’Académie des César et son mode de gouvernance. Nous reconnaissons ainsi les inexactitudes contenues dans notre communiqué dans lequel était notamment questionné de manière erronée le passage de l’Académie du statut associatif à celui de société privée. Nous avons bien entendu votre volonté de garantir l’indépendance de l’Académie des César et d’engager un dialogue ouvert et constructif avec les organisations professionnelles pour moderniser et proposer des évolutions sur le fonctionnement de cette institution. Dans cette perspective, le SPI, particulièrement attaché aux principes de transparence et de renouvellement des pratiques au sein d’entités comme la vôtre de défense et de promotion du cinéma français, est prêt à contribuer avec l’Académie des César à des propositions concrètes d’évolution de son fonctionnement. Nous serons très heureux de poursuivre avec vous cette collaboration constructive. Marie Masmonteil,Vice-Présidente du SPI, Présidente du Bureau …

24 janvier 2020Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs films sélectionnés au Festival du Court-Métrage de Clermont-Ferrand 2020.

Nous sommes heureux que les producteurs de court-métrage du SPI soient autant représentés pour cette 42ème édition :
38 films sélectionnés dans les compétitions nationale, internationale, jeune public et films en région, produits par 34 sociétés adhérentes du SPI.

Compétition Nationale
« Aline » de Simon Guélat produit par Les Films du Bélier

« Anna Vernor II » de Eduardo Carretié produit par Envie de Tempête Productions

« Blaké » de Vincent Fontano produit par We Film
« Ce n’est qu’Après » de Vincent Pouplard produit par Deuxième Ligne Films

« Champ de Bosses » d’Anne Brouillet produit par Avenue B Productions

« Genius Loci » d’Adrien Merigeau produit par Kazak Productions
« Je Serai parmi les Amandiers » de Marie Le Floc’h produit par Films Grand Huit

« Jusqu’à l’Os » de Sébastien Betbeder produit par Envie de Tempête Productions

« L’Âge Tendre » de Julien Gaspar-Oliveri produit par Melocoton Films

« L’Année du Robot » de Yves Gellie produit par Upian

« La Veillée » de Riad Bouchoucha produit par Pictor et Qui Vive !

« Madame Baurès » de Mehdi Benallal produit par Triptyque Films

« Mars Colony » de Noël Fuzellier produit Les Films Norfolk

« Massacre » de Maïté Sonnet produit par Quartett Production

« Moutons, Loup et tasse de thé » de Marion Lacourtproduit par Ikki Films

« Mortenol » de Julien Silloray produit par Sésame Films

« Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films

« Premier Amour » de Haris Raftogiannis produit par Filmo 2

« Qu’importe si les Bêtes Meurent » de Sofia Alaoui produit par Envie de Tempête Productions

« Shānzhài Screens » de Paul Heintz produit par Petit Chaos

« Teen Horses » de Valérie Leroy produit par Offshore

« The Loyal Man » de Lawrence Valin produit par Agat Films & Cie

« Traces » de Hugo Frassetto et Sophie Tavert Macian produit par Les Films du Nord

« Une Chance Unique » de Joël Curtz produit par Wrong Films « Yandere » de William Laboury produit par Kazak Productions

Compétition Internationale

« La Distance entre le Ciel et Nous » de Vasilis Kekatoproduit par Tripode Productions

« Matriochkas » de Bérangère McNeese produit par Punchline Cinéma

« Sh_t Happens » de Michaela Mikalyiova et David Stumpfproduit par Bagan Films

« Toomas dans la Vallée des Loups Sauvages » de Chintis Lundgren produit par Miyu Productions

Compétition Jeune Public

« Chicken of the dead » de Julien David produit par Melting Productions

« Jeûne d’été » d’Abdenoure Ziane produit par Melocoton Films
« La Cerise sur le Gâteau » de Frits Standaert produit par Les Films du Nord

« Le Dernier Jour d’Automne » de Marjolaine Perretenproduit par Les Films du Nord

« Le Petit Poussin Roux » de Célia Tisserant produit par Les Films du Nord

« La Vie de Château » de Nathaniel H’limi et Clémence Madeleine- Perdrillat produit par Films Grand Huit et co-produit par Miyu Productions

« Mardi de 8 à 18 » de Cecilia De Arce produit par Kazak Productions « Opinci » d’Anton et Damian Groves produit par Bagan Films

Pays à l’honneur : la Pologne

« Portrait En Pied De Suzanne » d’Izabela Plucinska produit par Films de Force Majeure

Rétrospective thématique : Mondes paysans
« À la Chasse » d’Akihiro Hata produit par Good Fortune Films

« La Parcelle » de Michael Guerraz produit par Les Films du Cygne

Regards d’Afrique
« Bablinga » de Fabien Dao produit par Don Quichotte Films

Films en Région

« Amerigo et le Nouveau Monde » de Luis Briceno et Laurent Crouzeix produit par Metronomic Productions

Programme Décibels !

« Nlemand » de Bertrand Mandico produit par Affreux Sales et Méchants Productions

Carte Blanche à Insolence Productions

La Collection CANAL+ 2020 : comédies musicales

« Belle Étoile » de Valérie Leroy produit par Offshore
« Rap Night » de Salvatore Lista produit par Offshore

L’Adami fait son cinéma

« L’aventure Atomique » de Loïc Barché produit par Punchline Cinéma

« Quand On Ne Sait Pas Voler » de Thomas Keumurian produit par Filmo 2

« Traverser la Nuit » de Johann G. Louis produit par Insolence Productions

Sélection SACEM
« Écailles de Rose » de Kloé Lang produit par Mood Films

« Nouvelle Saveur » de Merryl Roche produit par Topshot Films Sélection Polar SNCF

« Speed/Dating » de Nicolas Douste et Daniel Brunet produit par Affreux Sales et Méchants Productions

« Troc Mort » de Martin Darondeau produit par La Voie Lactée

Prix du Public Européen « Vihta » de François Bierry produit par Offshore

Audiodescription

« Roberto le Canari » de Nathalie Saugeon produit par 10 : 15 Productions

« Pile Poil » de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller produit par Qui Vive !

Nous sommes heureux que les producteurs de court-métrage du SPI soient autant représentés pour cette 42ème édition : 38 films sélectionnés dans les compétitions nationale, internationale, jeune public et films en région, produits par 34 sociétés adhérentes du SPI. Compétition Nationale « Aline » de Simon Guélat produit par Les Films du Bélier « Anna Vernor II » de Eduardo Carretié produit par Envie de Tempête Productions « Blaké » de Vincent Fontano produit par We Film « Ce n’est qu’Après » de Vincent Pouplard produit par Deuxième Ligne Films « Champ de Bosses » d’Anne Brouillet produit par Avenue B Productions « Genius Loci » d’Adrien Merigeau produit par Kazak Productions « Je Serai parmi les Amandiers » de Marie Le Floc’h produit par Films Grand Huit « Jusqu’à l’Os » de Sébastien Betbeder produit par Envie de Tempête Productions « L’Âge Tendre » de Julien Gaspar-Oliveri produit par Melocoton Films « L’Année du Robot » de Yves Gellie produit par Upian « La Veillée » de Riad Bouchoucha produit par Pictor et Qui Vive ! « Madame Baurès » de Mehdi Benallal produit par Triptyque Films « Mars Colony » de Noël Fuzellier produit Les Films Norfolk « Massacre » de Maïté Sonnet produit par Quartett Production « Moutons, Loup et tasse de thé » de Marion Lacourtproduit par Ikki Films « Mortenol » de Julien Silloray produit par Sésame Films « Olla » d’Ariane Labed produit par Apsara Films « Premier Amour » de Haris Raftogiannis produit par Filmo 2 « Qu’importe si les Bêtes Meurent » de Sofia Alaoui produit par Envie de Tempête Productions « Shānzhài Screens » de Paul Heintz produit par Petit Chaos « Teen Horses » de Valérie Leroy produit par Offshore « The Loyal Man » de Lawrence Valin produit par Agat Films & Cie « Traces » de Hugo Frassetto et Sophie Tavert Macian produit par Les Films du Nord « Une Chance Unique » de Joël Curtz produit par Wrong Films « Yandere » de William Laboury produit par Kazak Productions Compétition Internationale « La Distance entre le Ciel et Nous » de Vasilis Kekatoproduit par Tripode Productions « Matriochkas » de Bérangère McNeese produit par Punchline Cinéma « Sh_t Happens » de Michaela Mikalyiova et David Stumpfproduit par Bagan Films « Toomas dans la Vallée des Loups Sauvages » de Chintis Lundgren produit par Miyu Productions Compétition Jeune Public « Chicken of the dead » de Julien David produit par Melting Productions « Jeûne d’été » d’Abdenoure Ziane produit par Melocoton Films « La Cerise sur le Gâteau » de Frits Standaert produit par Les Films du Nord « Le Dernier Jour d’Automne » de Marjolaine Perretenproduit par Les Films du Nord « Le Petit Poussin Roux » de Célia Tisserant produit par Les Films du Nord « La Vie de Château » de Nathaniel H’limi et Clémence Madeleine- Perdrillat produit par Films Grand Huit et co-produit par Miyu Productions « Mardi de 8 à 18 » de Cecilia De Arce produit par Kazak Productions « Opinci » d’Anton et Damian Groves produit par Bagan Films Pays à l’honneur : la Pologne « Portrait En Pied De Suzanne » d’Izabela Plucinska produit par Films de Force Majeure Rétrospective thématique : Mondes paysans « À la Chasse » d’Akihiro Hata produit par Good Fortune Films « La Parcelle » de Michael Guerraz produit par Les Films du Cygne Regards d’Afrique « Bablinga » de Fabien Dao produit par Don Quichotte Films Films en Région « Amerigo et le Nouveau Monde » de Luis Briceno et Laurent Crouzeix produit par Metronomic Productions Programme Décibels ! « Nlemand » de Bertrand Mandico produit par Affreux Sales et Méchants Productions Carte Blanche à Insolence Productions La Collection CANAL+ 2020 : comédies musicales « Belle Étoile » de Valérie Leroy produit par Offshore« Rap Night » de Salvatore Lista produit par Offshore L’Adami fait son cinéma « L’aventure Atomique » de Loïc Barché produit par Punchline Cinéma « Quand On Ne Sait Pas Voler » de Thomas Keumurian produit par Filmo 2 « Traverser la Nuit » de Johann G. Louis produit par Insolence Productions Sélection SACEM « Écailles de Rose » de Kloé Lang produit par Mood Films « Nouvelle Saveur » de Merryl Roche produit par Topshot Films Sélection Polar SNCF « Speed/Dating » de Nicolas Douste et Daniel Brunet produit par Affreux Sales et Méchants Productions « Troc Mort » de Martin Darondeau produit par La Voie Lactée Prix du Public Européen « Vihta » de François Bierry produit par Offshore Audiodescription « Roberto le Canari » de Nathalie Saugeon produit par 10 : 15 Productions « Pile Poil » de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller produit par Qui Vive …

22 janvier 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Académie des César : comment faire évoluer les pratiques et les règles ?

Le fonctionnement de l’Académie des César et sa crédibilité réclament plus de transparence et de modernité.

En ligne avec la prise de parole des réalisateurs et réalisatrices ainsi que des acteurs et actrices, dénonçant la décision de l’Académie des César de refuser le parrainage des jeunes espoirs du cinéma français, Jean-Christophe Folly (L’Angle mort de Pierre Trividic et Patrick Mario-Bernard), par Virginie Despentes, et Amadou Mbow (Atlantique de Mati Diop), par Claire Denis, lors du dîner des Révélations des César lundi 13 janvier, le SPI s’interroge sur les pratiques opaques et discriminatoires à l’origine de ces mises à l’écart et des décisions de refus exprimées par l’Académie des César.

Au-delà du processus d’invitation des marraines et parrains des Révélations, c’est plus largement l’absence de transparence dans les dispositifs de présélections et de votes, voire un manque de sens de l’intérêt collectif dans la gouvernance de l’institution.

Sur quels fondements peut-on légitimer la représentativité accordée aux différents corps de métiers de la profession dans les Comités de présélection ?

Comment l’Académie des César, association à l’origine à but non lucratif, a-t-elle pu devenir aujourd’hui une société privée, détenue par un seul actionnaire, avec un conseil d’administration non élu et non renouvelé ? Quels choix et surtout quels objectifs sont induits par ce changement ?

L’application d’un tarif unique et élevé aux ayants droits qui souhaitent proposer leur film dans le Coffret DVD César mis à disposition des votants répond-elle à ce modèle de gouvernance ? N’y aurait-il pas dans une logique économique et écologique une plateforme en ligne sécurisée à inventer ?

Le SPI exprime par ailleurs son incompréhension en constatant cette année que les techniciens membres de l’Académie ont d’ores et déjà constitué des listes de films présélectionnés, chacun selon de leur corps de métier, afin de « faciliter » le choix des votants dans l’attribution des différents César Techniques.

De telles pratiques ne vont pas dans le sens du renouvellement de nos professions ni de la découverte des talents créatifs du cinéma de demain.

Pour que ces usages et pratiques changent, le SPI souhaite discuter avec l’Académie des César pour favoriser la modernisation et l’amélioration de l’ensemble des dispositifs en place, au service de la diversité des œuvres et des créateurs.

Le fonctionnement de l’Académie des César et sa crédibilité réclament plus de transparence et de modernité. En ligne avec la prise de parole des réalisateurs et réalisatrices ainsi que des acteurs et actrices, dénonçant la décision de l’Académie des César de refuser le parrainage des jeunes espoirs du cinéma français, Jean-Christophe Folly (L’Angle mort de Pierre Trividic et Patrick Mario-Bernard), par Virginie Despentes, et Amadou Mbow (Atlantique de Mati Diop), par Claire Denis, lors du dîner des Révélations des César lundi 13 janvier, le SPI s’interroge sur les pratiques opaques et discriminatoires à l’origine de ces mises à l’écart et des décisions de refus exprimées par l’Académie des César. Au-delà du processus d’invitation des marraines et parrains des Révélations, c’est plus largement l’absence de transparence dans les dispositifs de présélections et de votes, voire un manque de sens de l’intérêt collectif dans la gouvernance de l’institution. Sur quels fondements peut-on légitimer la représentativité accordée aux différents corps de métiers de la profession dans les Comités de présélection ? Comment l’Académie des César, association à l’origine à but non lucratif, a-t-elle pu devenir aujourd’hui une société privée, détenue par un seul actionnaire, avec un conseil d’administration non élu et non renouvelé ? Quels choix et surtout quels objectifs sont induits par ce changement ? L’application d’un tarif unique et élevé aux ayants droits qui souhaitent proposer leur film dans le Coffret DVD César mis à disposition des votants répond-elle à ce modèle de gouvernance ? N’y aurait-il pas dans une logique économique et écologique une plateforme en ligne sécurisée à inventer ? Le SPI exprime par ailleurs son incompréhension en constatant cette année que les techniciens membres de l’Académie ont d’ores et déjà constitué des listes de films présélectionnés, chacun selon de leur corps de métier, afin de « faciliter » le choix des votants dans l’attribution des différents César Techniques. De telles pratiques ne vont pas dans le sens du renouvellement de nos professions ni de la découverte des talents créatifs du cinéma de demain. Pour que ces usages et pratiques changent, le SPI souhaite discuter avec l’Académie des César pour favoriser la modernisation et l’amélioration de l’ensemble des dispositifs en place, au service de la diversité des œuvres et des …

17 janvier 2020Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs films sélectionnés au festival international du documentaire, le FIPADOC 2020.

Nous sommes heureux que les producteurs indépendants français soient aussi nombreux à être sélectionnés pour cette deuxième édition.

Compétition nationale

« L’affaire Caravage » de Frédéric BIAMONTI

(LES BATELIÈRES – Arte, France 3 Île de France)

« Les Lycéens, le Traître et les Nazis » de David ANDRÉ

(CPB FILMS – France 2)

« Pays Basque et liberté, un long chemin vers la paix » de Thomas LACOSTE

(SISTER PRODUCTIONS – France 3 Nouvelle-Aquitaine, Public Sénat)

« Vie et destin du Livre noir. La destruction des juifs d’URSS » de Guillaume RIBOT

(LES FILMS DU POISSON – France 5)

Compétition documentaire musical

« Solo » d’Artemio BENKI

(PETIT À PETIT PRODUCTION)

Compétition Impact

« L’homme a mangé la Terre » de Jean-Robert VIALLET

(CINÉPHAGE PRODUCTIONS et LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE – Arte, RTBF)

« Numéro 387 disparu en Méditerranée » de Madeleine LEROYER

(LITTLE BIG STORY – Arte, RTBF)

Compétition Smart

« Chef.fe », websérie verticale de Camille DUCELLIER

(UPIAN – YouTube)

« Claude Monet, l’obsession des Nymphéas », VR de Nicolas THÉPOT

(LUCID REALITIES – Arte360VR)

« Gymnastique », websérie de David CAILLON, Stefan CORNIC et Hélène BIGOT

(LA BLOGOTHÈQUE PRODUCTIONS et MILGRAM – Arte)

« Mano Solo, vive la révolution ! », narration interactive pour mobile de Nicolas ROUILLEAULT
(LA VINGT-CINQUIÈME HEURE)

Compétition courts-métrages

« Malanka » de Paul-Louis LEGER et Pascal MESSAOUDI

(LES PRODUITS FRAIS)

« Les songes de l’homme » de Florent MORIN

(MIYU PRODUCTIONS – Arte)

Sélection Panorama de la création francophone

« Arguments » d’Olivier ZABAT

(LES FILMS D’ICI – Arte)

« À vous de juger » de Brigitte CHEVET

(13 PRODUCTIONS – France 3 Paris Île de France, France 3 Bretagne)

« La SNCF sous l’Occupation » de Catherine BERNSTEIN

(ZADIG PRODUCTIONS – France 3)

« Sans frapper » d’Alexe POUKINE

(ALTER EGO PRODUCTION – RTBF, Bip TV)

Sélection Histoires d’Europe

« Les murs de la honte » de Sylvie GARAT

(13 PRODUCTIONS– France 3 Corse ViaStella)

Sélection les remarqués

« Little America » de Marc WEYMULLER

(L’IMAGE D’APRÈS)

« Apnée » de Baptiste DE CAZENOVE

(COCOTTESMINUTE PRODUCTIONS – France 3)

« Babel sur scène » de Dominique FISCHBACH

(ELDA PRODUCTIONS – France 2)

« Julie Andrews, la mélodie d’une vie » d’Yves RIOU

(ZADIG PRODUCTIONS – Arte)

« Un dernier été » de Ruth ZYLBERMAN

(ZADIG PRODUCTIONS – France 3)

« Que l’amour » de Laetitia MIKLES

(ALTER EGO PRODUCTION – TV7 Bordeaux)

« Les rêves siamois » d’Iv CHARBONNEAU-CHING

(ACROBATES FILMS)

« FBI : Le dossier Chaplin » de Patrick CABOUAT

(SKOPIA FILMS – France 5, RTS)

« Juppé, un roman Bordelais » d’Antoine LAURA

(13 PRODUCTIONS – Public Sénat)

Sélection Focus Réalisatrice

« Chili 1973, une ambassade face au coup d’État » de Carmen CASTILLO

(LES FILMS D’ICI – France 5)

« On est vivants » de Carmen CASTILLO

(LES FILMS D’ICI – Ciné + )

« Calle Santa Fe » de Carmen CASTILLO

(LES FILMS D’ICI)

Sélection séances spéciales

« Asmahan la diva » de Cholé MAZLO

(DONCVOILÀ PRODUCTIONS)

« Les plages d’Agnès » d’Agnès VARDA

(CINÉ-TAMARIS)

Nous sommes heureux que les producteurs indépendants français soient aussi nombreux à être sélectionnés pour cette deuxième édition. Compétition nationale « L’affaire Caravage » de Frédéric BIAMONTI (LES BATELIÈRES – Arte, France 3 Île de France) « Les Lycéens, le Traître et les Nazis » de David ANDRÉ (CPB FILMS – France 2) « Pays Basque et liberté, un long chemin vers la paix » de Thomas LACOSTE (SISTER PRODUCTIONS – France 3 Nouvelle-Aquitaine, Public Sénat) « Vie et destin du Livre noir. La destruction des juifs d’URSS » de Guillaume RIBOT (LES FILMS DU POISSON – France 5) Compétition documentaire musical « Solo » d’Artemio BENKI (PETIT À PETIT PRODUCTION) Compétition Impact « L’homme a mangé la Terre » de Jean-Robert VIALLET (CINÉPHAGE PRODUCTIONS et LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE – Arte, RTBF) « Numéro 387 disparu en Méditerranée » de Madeleine LEROYER (LITTLE BIG STORY – Arte, RTBF) Compétition Smart « Chef.fe », websérie verticale de Camille DUCELLIER (UPIAN – YouTube) « Claude Monet, l’obsession des Nymphéas », VR de Nicolas THÉPOT (LUCID REALITIES – Arte360VR) « Gymnastique », websérie de David CAILLON, Stefan CORNIC et Hélène BIGOT (LA BLOGOTHÈQUE PRODUCTIONS et MILGRAM – Arte) « Mano Solo, vive la révolution ! », narration interactive pour mobile de Nicolas ROUILLEAULT (LA VINGT-CINQUIÈME HEURE) Compétition courts-métrages « Malanka » de Paul-Louis LEGER et Pascal MESSAOUDI (LES PRODUITS FRAIS) « Les songes de l’homme » de Florent MORIN (MIYU PRODUCTIONS – Arte) Sélection Panorama de la création francophone « Arguments » d’Olivier ZABAT (LES FILMS D’ICI – Arte) « À vous de juger » de Brigitte CHEVET (13 PRODUCTIONS – France 3 Paris Île de France, France 3 Bretagne) « La SNCF sous l’Occupation » de Catherine BERNSTEIN (ZADIG PRODUCTIONS – France 3) « Sans frapper » d’Alexe POUKINE (ALTER EGO PRODUCTION – RTBF, Bip TV) Sélection Histoires d’Europe « Les murs de la honte » de Sylvie GARAT (13 PRODUCTIONS– France 3 Corse ViaStella) Sélection les remarqués « Little America » de Marc WEYMULLER (L’IMAGE D’APRÈS) « Apnée » de Baptiste DE CAZENOVE (COCOTTESMINUTE PRODUCTIONS – France 3) « Babel sur scène » de Dominique FISCHBACH (ELDA PRODUCTIONS – France 2) « Julie Andrews, la mélodie d’une vie » d’Yves RIOU (ZADIG PRODUCTIONS – Arte) « Un dernier été » de Ruth ZYLBERMAN (ZADIG PRODUCTIONS – France 3) « Que l’amour » de Laetitia MIKLES (ALTER EGO PRODUCTION – TV7 Bordeaux) « Les rêves siamois » d’Iv CHARBONNEAU-CHING (ACROBATES FILMS) « FBI : Le dossier Chaplin » de Patrick CABOUAT (SKOPIA FILMS – France 5, RTS) « Juppé, un roman Bordelais » d’Antoine LAURA (13 PRODUCTIONS – Public Sénat) Sélection Focus Réalisatrice « Chili 1973, une ambassade face au coup d’État » de Carmen CASTILLO (LES FILMS D’ICI – France 5) « On est vivants » de Carmen CASTILLO (LES FILMS D’ICI – Ciné + ) « Calle Santa Fe » de Carmen CASTILLO (LES FILMS D’ICI) Sélection séances spéciales « Asmahan la diva » de Cholé MAZLO (DONCVOILÀ PRODUCTIONS) « Les plages d’Agnès » d’Agnès VARDA …

9 janvier 2020Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
NOUVELLE COPRÉSIDENCE DU BLOC

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 14 organisations professionnelles du cinéma représentant des scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens a désigné ses deux coprésidents pour l’année 2020.

Bertrand Bonello, co-président de la SRF, a été désigné comme co-président au titre des réalisateurs. Cinéaste, producteur, scénariste et compositeur, Bertrand Bonello est un auteur protéiforme dont l’œuvre a fait naître notamment Le Pornographe (2001), Tiresia (2003), L’Apollonide (2011), Saint Laurent (2014) et Zombi Child (2019).

Edouard Mauriat, membre du bureau long métrage du SPI, a été désigné comme co-président au titre des producteurs. Il a fondé la société Mille et une productions et a produit notamment Le Cauchemar de Darwin de Hubert Sauper, César 2006 du meilleur premier film, Merci patron ! de François Ruffin, César du meilleur documentaire 2017. Mille et une productions produit actuellement l’Etat sauvage de David Perrault et Slalom de Charlène Favier.

En cette année 2020 aux nombreux enjeux pour l’avenir de la création et de la diffusion cinématographique indépendante, le BLOC continuera de défendre une politique culturelle ambitieuse et diversifiée, garante du rayonnement artistique national et international du cinéma français.

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 14 organisations professionnelles du cinéma représentant des scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens a désigné ses deux coprésidents pour l’année 2020. Bertrand Bonello, co-président de la SRF, a été désigné comme co-président au titre des réalisateurs. Cinéaste, producteur, scénariste et compositeur, Bertrand Bonello est un auteur protéiforme dont l’œuvre a fait naître notamment Le Pornographe (2001), Tiresia (2003), L’Apollonide (2011), Saint Laurent (2014) et Zombi Child (2019). Edouard Mauriat, membre du bureau long métrage du SPI, a été désigné comme co-président au titre des producteurs. Il a fondé la société Mille et une productions et a produit notamment Le Cauchemar de Darwin de Hubert Sauper, César 2006 du meilleur premier film, Merci patron ! de François Ruffin, César du meilleur documentaire 2017. Mille et une productions produit actuellement l’Etat sauvage de David Perrault et Slalom de Charlène Favier. En cette année 2020 aux nombreux enjeux pour l’avenir de la création et de la diffusion cinématographique indépendante, le BLOC continuera de défendre une politique culturelle ambitieuse et diversifiée, garante du rayonnement artistique national et international du cinéma …

2 janvier 2020Actus-SPIactus-spi
Avec fierté, le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les récents prix qu’ils ont remportés

PRIX LOUIS-DELLUC 2019 : Jeanne de Bruno Dumont (3B PRODUCTIONS)

PRIX LOUIS-DELLUC DU PREMIER FILM 2019 : Vif-argent de Stéphane Batut (ZADIG PRODUCTIONS)

PRIX DU CINÉMA EUROPÉEN DU MEILLEUR SCÉNARISTE : Céline Sciamma pour Portrait de la jeune fille en feu (LILIES FILMS)

Saison après saison, les producteurs indépendants font rayonner l’excellence de la création française.

PRIX LOUIS-DELLUC 2019 : Jeanne de Bruno Dumont (3B PRODUCTIONS) PRIX LOUIS-DELLUC DU PREMIER FILM 2019 : Vif-argent de Stéphane Batut (ZADIG PRODUCTIONS) PRIX DU CINÉMA EUROPÉEN DU MEILLEUR SCÉNARISTE : Céline Sciamma pour Portrait de la jeune fille en feu (LILIES FILMS) Saison après saison, les producteurs indépendants font rayonner l’excellence de la création …

12 décembre 2019Actus-Adhérents, Actus-SPIactus-adherents actus-spi
Décès d’Yves Jeanneau

Nous avons appris avec une infinie tristesse le décès d’Yves Jeanneau, commissaire général du Sunny side of the doc, qu’il a créé il y a plus de trente ans.

Yves Jeanneau a été un partenaire indéfectible et une personnalité majeure du secteur documentaire français, oeuvrant toujours pour son rayonnement, dans toute sa diversité, en France et dans le monde.

Il s’est acharné sans cesse à créer des ponts, à développer des réseaux entre les professionnels français et les autres continents pour faire vivre une création documentaire libre et indépendante.

Les producteurs indépendants présentent toutes leurs condoléances et apportent tout leur soutien, à sa famille et à ses proches.

Nous avons appris avec une infinie tristesse le décès d’Yves Jeanneau, commissaire général du Sunny side of the doc, qu’il a créé il y a plus de trente ans. Yves Jeanneau a été un partenaire indéfectible et une personnalité majeure du secteur documentaire français, oeuvrant toujours pour son rayonnement, dans toute sa diversité, en France et dans le monde. Il s’est acharné sans cesse à créer des ponts, à développer des réseaux entre les professionnels français et les autres continents pour faire vivre une création documentaire libre et indépendante. Les producteurs indépendants présentent toutes leurs condoléances et apportent tout leur soutien, à sa famille et à ses …

15 novembre 2019Actus-SPIactus-spi
Redevance : stupeur et incrédulité

Le SPI accueille avec stupeur et incrédulité le projet annoncé par le Ministre du Budget d’une baisse de un euro de la contribution à l’audiovisuel public.

A contre-courant de tous les pays européens, qui ont fait le choix de consolider leurs médias publics en modernisant et en rendant plus équitable la perception de la redevance, le gouvernement français fait le choix d’affaiblir nos capacités d’investissement dans la création.

Cette baisse correspond en effet exactement à la diminution annoncée de la contribution de France télévisions au compte de soutien aux industries de programme, géré par le CNC. Ce qui signifie en clair qu’elle grèvera directement le financement des fictions, des documentaires, de l’animation, des captations de spectacles, des créations numériques interactives et des films français.

Cette annonce survient au moment précis où les grands groupes américains, Netflix, Disney, Apple, Universal, annoncent une augmentation de plus de 30 milliards d’euros de leurs investissements dans la production, ce qui constitue une offensive audiovisuelle internationale sans précédent. La production française se trouverait ainsi désarmée au pire moment, face au déferlement des séries anglo-saxonnes, mettant en péril à brève échéance notre souveraineté culturelle.

Une autre réforme de la contribution à l’audiovisuel public est possible, à l’image de celle qui a été menée en Finlande, en Suisse, en Allemagne, où elle n’est plus liée à la détention d’un téléviseur (référence désormais obsolète) et où elle touche désormais tous les foyers imposables, ainsi que les implantations des entreprises qui reçoivent du public. En élargissant l’assiette de la contribution à l’audiovisuel public, mais aussi en la rendant progressive et plus équitable socialement, ces pays ont su réduire significativement son poids sur la plus grande partie des foyers qui la payent, dans un dispositif perenne.

Le SPI exprime son incompréhension totale face à une mesure qui sera lourde de conséquences pour le financement de la création française, tout en étant dépourvue de toute ambition quant à la nécessaire modernisation d’une taxe plus que jamais indispensable à la sauvegarde de l’exception culturelle, donc de notre capacité à exprimer et à défendre librement, face à la mondialisation des réseaux de distribution, le rayonnement national et international de notre culture, de nos valeurs et de notre identité.

Plus d’informations : https://www.youtube.com/watch?v=RfLAYyowgsg

Contact presse : Olivier Zegna Rata, Délégué général

Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Le SPI accueille avec stupeur et incrédulité le projet annoncé par le Ministre du Budget d’une baisse de un euro de la contribution à l’audiovisuel public. A contre-courant de tous les pays européens, qui ont fait le choix de consolider leurs médias publics en modernisant et en rendant plus équitable la perception de la redevance, le gouvernement français fait le choix d’affaiblir nos capacités d’investissement dans la création. Cette baisse correspond en effet exactement à la diminution annoncée de la contribution de France télévisions au compte de soutien aux industries de programme, géré par le CNC. Ce qui signifie en clair qu’elle grèvera directement le financement des fictions, des documentaires, de l’animation, des captations de spectacles, des créations numériques interactives et des films français. Cette annonce survient au moment précis où les grands groupes américains, Netflix, Disney, Apple, Universal, annoncent une augmentation de plus de 30 milliards d’euros de leurs investissements dans la production, ce qui constitue une offensive audiovisuelle internationale sans précédent. La production française se trouverait ainsi désarmée au pire moment, face au déferlement des séries anglo-saxonnes, mettant en péril à brève échéance notre souveraineté culturelle. Une autre réforme de la contribution à l’audiovisuel public est possible, à l’image de celle qui a été menée en Finlande, en Suisse, en Allemagne, où elle n’est plus liée à la détention d’un téléviseur (référence désormais obsolète) et où elle touche désormais tous les foyers imposables, ainsi que les implantations des entreprises qui reçoivent du public. En élargissant l’assiette de la contribution à l’audiovisuel public, mais aussi en la rendant progressive et plus équitable socialement, ces pays ont su réduire significativement son poids sur la plus grande partie des foyers qui la payent, dans un dispositif perenne. Le SPI exprime son incompréhension totale face à une mesure qui sera lourde de conséquences pour le financement de la création française, tout en étant dépourvue de toute ambition quant à la nécessaire modernisation d’une taxe plus que jamais indispensable à la sauvegarde de l’exception culturelle, donc de notre capacité à exprimer et à défendre librement, face à la mondialisation des réseaux de distribution, le rayonnement national et international de notre culture, de nos valeurs et de notre identité. Plus d’informations : https://www.youtube.com/watch?v=RfLAYyowgsg Contact presse : Olivier Zegna Rata, Délégué général Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

24 septembre 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leur prix obtenus au Festival de la Fiction de La Rochelle

* Meilleure série 26′

Mental” de Slimane-Baptiste Berhoun

BLACK SHEEP FILMS
(France.tv Slash)

* Meilleure réalisation

Simon Bouisson pour “Stalk

SILEX FILMS
(France.tv Slash)

* Meilleur scénario

L’agent immobilier” de Etgar Keret et Shira Geffen

LES FILMS DU POISSON
(Arte France)

* Jeune espoir masculin

Théo Fernandez dans “Stalk” de Simon Bouisson

SILEX FILMS
(France.tv Slash)

* Prix Nouvelle Aquitaine

Si tu vois ma mère” de Nathanaël Guedj

ALLIANCE DE PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE
(Arte France)

* Meilleure série 26′ “Mental” de Slimane-Baptiste Berhoun BLACK SHEEP FILMS (France.tv Slash) * Meilleure réalisation Simon Bouisson pour “Stalk” SILEX FILMS (France.tv Slash) * Meilleur scénario “L’agent immobilier” de Etgar Keret et Shira Geffen LES FILMS DU POISSON (Arte France) * Jeune espoir masculin Théo Fernandez dans “Stalk” de Simon Bouisson SILEX FILMS (France.tv Slash) * Prix Nouvelle Aquitaine “Si tu vois ma mère” de Nathanaël Guedj ALLIANCE DE PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE (Arte …

16 septembre 2019Actus-SPIactus-spi
Tribune Le Figaro “Préservons les producteurs français indépendants !”
Veuillez trouver ci-joint le lien de notre Tribune dans Le Figaro : http://www.lefigaro.fr/vox/economie/loi-audiovisuelle-preservons-les-producteurs-francais-independants-20190912

13 septembre 2019Actus-SPIactus-spi
Nomination Déléguée à l’animation et Déléguée aux affaires sociales

Céline HAUTIER est nommée Déléguée à l’Animation, et chargée de missions transverses Cinéma et Audiovisuel auprès de la Déléguée générale adjointe et de la Déléguée Cinéma.

Juriste de formation (master de droit de la communication, Paris II), titulaire du Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat et diplômée du master Médias, Art et Création d’HEC Paris, elle a été juriste en droit de l’audiovisuel avant d’intégrer le SPI en octobre 2018 en tant que chargée de mission.

Elle coordonnera l’action et les réflexions du syndicat sur l’Animation. Un collège Animation a été créé au sein du SPI en mars 2018. Il est présidé par Emmanuel-Alain Raynal (Miyu Productions). Le SPI regroupe aujourd’hui une soixantaine de producteurs d’animation aussi bien dans le secteur audiovisuel que cinéma. Elle sera également en charge de questions transverses en cinéma et en audiovisuel.

****

Louise LEBECQ est nommée Déléguée aux affaires sociales.

Juriste de formation (master « Juriste de droit social », Paris I), elle a travaillé au sein de la Direction des ressources humaines de la société Vice Media France puis à la Direction générale de Pôle emploi au sein du service des relations sociales et juridiques.

Elle participera en particulier aux négociations paritaires de branche, représentera le SPI dans différentes instances sociales et accompagnera les adhérents sur les problématiques juridiques et sociales qu’ils rencontrent au quotidien.

Contact presse :
Olivier Zegna Rata, Délégué général
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Céline HAUTIER est nommée Déléguée à l’Animation, et chargée de missions transverses Cinéma et Audiovisuel auprès de la Déléguée générale adjointe et de la Déléguée Cinéma. Juriste de formation (master de droit de la communication, Paris II), titulaire du Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat et diplômée du master Médias, Art et Création d’HEC Paris, elle a été juriste en droit de l’audiovisuel avant d’intégrer le SPI en octobre 2018 en tant que chargée de mission. Elle coordonnera l’action et les réflexions du syndicat sur l’Animation. Un collège Animation a été créé au sein du SPI en mars 2018. Il est présidé par Emmanuel-Alain Raynal (Miyu Productions). Le SPI regroupe aujourd’hui une soixantaine de producteurs d’animation aussi bien dans le secteur audiovisuel que cinéma. Elle sera également en charge de questions transverses en cinéma et en audiovisuel. **** Louise LEBECQ est nommée Déléguée aux affaires sociales. Juriste de formation (master « Juriste de droit social », Paris I), elle a travaillé au sein de la Direction des ressources humaines de la société Vice Media France puis à la Direction générale de Pôle emploi au sein du service des relations sociales et juridiques. Elle participera en particulier aux négociations paritaires de branche, représentera le SPI dans différentes instances sociales et accompagnera les adhérents sur les problématiques juridiques et sociales qu’ils rencontrent au quotidien. Contact presse : Olivier Zegna Rata, Délégué général Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

11 septembre 2019Actus-SPIactus-spi
BLIC-BLOC-ARP : Réforme audiovisuelle // Les organisations du cinéma se mobilisent face à une réforme sans concertation ni ambition culturelle

Le Ministre de la Culture a présenté cette semaine les grandes lignes de la prochaine loi audiovisuelle à l’ensemble des acteurs du cinéma français.

Adapter notre modèle de financement au nouvel environnement concurrentiel mondial et aux nouveaux usages est un objectif que nous partageons tous.

Cette loi est l’occasion pour le gouvernement de donner la mesure d’une politique culturelle qui soit à la hauteur des enjeux que traverse le secteur et tenant compte du rôle fondamental du cinéma. Au-delà d’être un atout économique, social et culturel majeur, le cinéma français est essentiel à la cohésion de nos territoires, constitue un vivier unique d’emplois et de créativité et permet à la France de rayonner dans le monde entier. Ce succès est le fruit d’une politique volontariste, depuis plus de cinquante ans.

Cela reste notre ambition commune.

Force est de constater que le ministère de la culture en a décidé autrement.

A travers une méthode autoritaire, ce projet de loi est l’expression d’un Etat qui renonce à toute ambition culturelle, à la faveur des seuls diffuseurs.

Il ne répond pas non plus aux enjeux industriels qui ont permis à la France d’être à ce jour le troisième cinéma au monde. Il donne des réponses souvent théoriques à une recherche d’équilibres économiques complexe et qui, sous prétexte de rénovation, briseront les fondations du cinéma en France.

Nous sommes collectivement prêts à travailler en véritable concertation avec les pouvoirs publics. Une concertation suppose des délais raisonnables et la communication d’un texte sur lequel s’appuyer.

La méthode inacceptable et le calendrier intenable qui nous sont imposés empêchent toute réforme sereine.
Nous demandons solennellement au Ministre de la Culture un report des arbitrages finaux des projets de textes réglementaires et législatifs, pour permettre une véritable concertation.

Contacts presse :

BLIC : 01 56 90 33 00 / helene.herschel@fnef.fr

BLOC : 01 44 89 99 65 / jlethiphu@la.srf.fr

01 53 89 01 30 / upc@producteurscinema.fr

L’ARP : pcharpilloz@larp.fr

Organisations membres du Bureau de Liaison des Industries Cinématographiques (BLIC) :

Association des Producteurs Indépendants (API)

Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF)

Fédération Nationale des Éditeurs de Films (FNEF)

Fédération des industries du Cinéma, de l’Audiovisuel et du Multimédia (FICAM)

Syndicat de l’Edition Vidéo Numérique (SEVN)

Organisations membres du Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) :

Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (ACID)

Distributeurs Indépendants Réunis Européens (DIRE)

Groupement National des Cinémas de Recherche (GNCR)

Guilde Française des Scénaristes

Scénaristes de Cinéma Associés (SCA)

Société des Réalisateurs de Films (SRF)

Syndicat des Distributeurs Indépendants (SDI)

Syndicat Français des Artistes Interprètes (SFA)

Syndicat Français des Agents Artistiques et Littéraires de l’Audiovisuel et du Spectacle Vivant Dramatique (SFAAL)

Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs (SNAC)

Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma (SPIAC-CGT)

Syndicat des Producteurs de Films d’Animation (SPFA)

Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI)

Union de l’Édition Numérique et Vidéographique Indépendante (UNEVI)

Union des Producteurs de Cinéma (UPC)

Le Ministre de la Culture a présenté cette semaine les grandes lignes de la prochaine loi audiovisuelle à l’ensemble des acteurs du cinéma français. Adapter notre modèle de financement au nouvel environnement concurrentiel mondial et aux nouveaux usages est un objectif que nous partageons tous. Cette loi est l’occasion pour le gouvernement de donner la mesure d’une politique culturelle qui soit à la hauteur des enjeux que traverse le secteur et tenant compte du rôle fondamental du cinéma. Au-delà d’être un atout économique, social et culturel majeur, le cinéma français est essentiel à la cohésion de nos territoires, constitue un vivier unique d’emplois et de créativité et permet à la France de rayonner dans le monde entier. Ce succès est le fruit d’une politique volontariste, depuis plus de cinquante ans. Cela reste notre ambition commune. Force est de constater que le ministère de la culture en a décidé autrement. A travers une méthode autoritaire, ce projet de loi est l’expression d’un Etat qui renonce à toute ambition culturelle, à la faveur des seuls diffuseurs. Il ne répond pas non plus aux enjeux industriels qui ont permis à la France d’être à ce jour le troisième cinéma au monde. Il donne des réponses souvent théoriques à une recherche d’équilibres économiques complexe et qui, sous prétexte de rénovation, briseront les fondations du cinéma en France. Nous sommes collectivement prêts à travailler en véritable concertation avec les pouvoirs publics. Une concertation suppose des délais raisonnables et la communication d’un texte sur lequel s’appuyer. La méthode inacceptable et le calendrier intenable qui nous sont imposés empêchent toute réforme sereine. Nous demandons solennellement au Ministre de la Culture un report des arbitrages finaux des projets de textes réglementaires et législatifs, pour permettre une véritable concertation. Contacts presse : BLIC : 01 56 90 33 00 / helene.herschel@fnef.fr BLOC : 01 44 89 99 65 / jlethiphu@la.srf.fr 01 53 89 01 30 / upc@producteurscinema.fr L’ARP : pcharpilloz@larp.fr Organisations membres du Bureau de Liaison des Industries Cinématographiques (BLIC) : Association des Producteurs Indépendants (API) Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF) Fédération Nationale des Éditeurs de Films (FNEF) Fédération des industries du Cinéma, de l’Audiovisuel et du Multimédia (FICAM) Syndicat de l’Edition Vidéo Numérique (SEVN) Organisations membres du Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) : Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (ACID) Distributeurs Indépendants Réunis Européens (DIRE) Groupement National des Cinémas de Recherche (GNCR) Guilde Française des Scénaristes Scénaristes de Cinéma Associés (SCA) Société des Réalisateurs de Films (SRF) Syndicat des Distributeurs Indépendants (SDI) Syndicat Français des Artistes Interprètes (SFA) Syndicat Français des Agents Artistiques et Littéraires de l’Audiovisuel et du Spectacle Vivant Dramatique (SFAAL) Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs (SNAC) Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma (SPIAC-CGT) Syndicat des Producteurs de Films d’Animation (SPFA) Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) Union de l’Édition Numérique et Vidéographique Indépendante (UNEVI) Union des Producteurs de Cinéma …

9 septembre 2019Actus-SPIactus-spi
Nomination d’une nouvelle Déléguée Cinéma

Marion GOLLÉTY est nommée Déléguée Cinéma du Syndicat des Producteurs Indépendants.

Juriste de formation (maitrise Droit des affaires et DEA Droit des médias) et diplômée de la Fémis (Formation Directrice d’exploitation cinématographique), elle a commencé à travailler en 2005 à la Direction du développement des médias sur l’étude d’impact des Décrets production audiovisuelle. En 2006, elle a rejoint le CSA, comme chargée de mission des obligations d’investissement des diffuseurs dans la production audiovisuelle.
En 2007, Marion Golléty a intégré la Direction du Cinéma du CNC, comme chargée de mission au service de l’Exploitation, puis en 2013, elle est nommée Adjointe au Chef de service de l’Exploitation. Dans ce cadre elle a coordonné les différents dispositifs d’aide à l’exploitation (classement art et essai, aide à la création de salles, aide à la programmation difficile, soutien automatique) et a contribué à la rédaction du rapport sur La salle de cinéma de demain sous la direction de Jean-Marie Dura.

En tant que Déléguée Cinéma, elle est chargée de mettre en œuvre la politique du syndicat en matière cinématographique et d’animer dans ce secteur la réflexion et l’action des instances syndicales Long métrage et Court métrage sur les évolutions économiques et juridiques.

Elle négocie les accords interprofessionnels et sera également en charge aux côtés du Délégué général du suivi de la réforme sur l’organisation et l’économie du cinéma dans le cadre du projet de loi sur l’audiovisuel.

Le Président, Emmanuel PRIOU.

Contact presse :
Olivier Zegna Rata, Délégué général
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Marion GOLLÉTY est nommée Déléguée Cinéma du Syndicat des Producteurs Indépendants. Juriste de formation (maitrise Droit des affaires et DEA Droit des médias) et diplômée de la Fémis (Formation Directrice d’exploitation cinématographique), elle a commencé à travailler en 2005 à la Direction du développement des médias sur l’étude d’impact des Décrets production audiovisuelle. En 2006, elle a rejoint le CSA, comme chargée de mission des obligations d’investissement des diffuseurs dans la production audiovisuelle. En 2007, Marion Golléty a intégré la Direction du Cinéma du CNC, comme chargée de mission au service de l’Exploitation, puis en 2013, elle est nommée Adjointe au Chef de service de l’Exploitation. Dans ce cadre elle a coordonné les différents dispositifs d’aide à l’exploitation (classement art et essai, aide à la création de salles, aide à la programmation difficile, soutien automatique) et a contribué à la rédaction du rapport sur La salle de cinéma de demain sous la direction de Jean-Marie Dura. En tant que Déléguée Cinéma, elle est chargée de mettre en œuvre la politique du syndicat en matière cinématographique et d’animer dans ce secteur la réflexion et l’action des instances syndicales Long métrage et Court métrage sur les évolutions économiques et juridiques. Elle négocie les accords interprofessionnels et sera également en charge aux côtés du Délégué général du suivi de la réforme sur l’organisation et l’économie du cinéma dans le cadre du projet de loi sur l’audiovisuel. Le Président, Emmanuel PRIOU. Contact presse : Olivier Zegna Rata, Délégué général Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

3 septembre 2019Actus-SPIactus-spi
LOCATION DE BUREAU

Bureau à louer au centre de Paris, dans le 9e
17 m2, disponible dès que possible, meublé, 3 postes.
Espace lumineux, balcon.
+ Espace commun (accès sanitaire et coin cuisine) à partager avec l’équipe de Takami Productions.
850 € HT / mois (électricité et internet inclus)

Bureau à louer au centre de Paris, dans le 9e 17 m2, disponible dès que possible, meublé, 3 postes. Espace lumineux, balcon. + Espace commun (accès sanitaire et coin cuisine) à partager avec l’équipe de Takami Productions. 850 € HT / mois (électricité et internet …

3 septembre 2019Annoncesannonces
LOCATION SALLE DE MONTAGE PARIS

Notre salle de montage est disponible à la location, contactez nous pour la post-production de vos films…

Situé dans le 9 e arrondissement de Paris, nous mettons en location notre salle de montage (Avid et Final Cut).
Possibilités de 3 écrans + 1 grand écran.
N’hésitez pas à nous contacter pour vos projets ! Devis sur demande.
contact@takami-productions.com
01 42 93 56 64

Notre salle de montage est disponible à la location, contactez nous pour la post-production de vos films… Situé dans le 9 e arrondissement de Paris, nous mettons en location notre salle de montage (Avid et Final Cut). Possibilités de 3 écrans + 1 grand écran. N’hésitez pas à nous contacter pour vos projets ! Devis sur demande. contact@takami-productions.com 01 42 93 56 …

26 août 2019Annoncesannonces
Nomination de Dominique Boutonnat au CNC

Le SPI prend acte de la nomination de Dominique Boutonnat à la présidence du CNC par le Président de la République.

Dans un contexte de fragilisation des équilibres réglementaires et économiques du secteur du cinéma et de l’audiovisuel, l’action du CNC est décisive pour préserver la richesse, la diversité et la liberté de la création française.

Le SPI sera attentif à ce que les réformes qui sont sur le point de s’engager ne remettent pas en cause la spécificité des financements de la production française, qui sont le premier ressort de la capacité de notre pays à rayonner culturellement dans le monde.

La transposition des dispositions nouvelles des Directives Services de Médias Audiovisuels et Droit d’Auteur comme la réécriture de la Loi sur la Liberté de la communication audiovisuelle, permettront de concrétiser en France même, les avancées obtenues de haute lutte en Europe.

Le SPI espère que le nouveau président du CNC sera un interlocuteur ouvert et attentif pour l’ensemble du secteur, permettant de développer encore la création patrimoniale française sous toutes ses formes, cinéma long et court, fiction, documentaire, spectacle vivant, animation, œuvres numériques.


Contact presse :
Olivier Zegna Rata, Délégué général
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Le SPI prend acte de la nomination de Dominique Boutonnat à la présidence du CNC par le Président de la République. Dans un contexte de fragilisation des équilibres réglementaires et économiques du secteur du cinéma et de l’audiovisuel, l’action du CNC est décisive pour préserver la richesse, la diversité et la liberté de la création française. Le SPI sera attentif à ce que les réformes qui sont sur le point de s’engager ne remettent pas en cause la spécificité des financements de la production française, qui sont le premier ressort de la capacité de notre pays à rayonner culturellement dans le monde. La transposition des dispositions nouvelles des Directives Services de Médias Audiovisuels et Droit d’Auteur comme la réécriture de la Loi sur la Liberté de la communication audiovisuelle, permettront de concrétiser en France même, les avancées obtenues de haute lutte en Europe. Le SPI espère que le nouveau président du CNC sera un interlocuteur ouvert et attentif pour l’ensemble du secteur, permettant de développer encore la création patrimoniale française sous toutes ses formes, cinéma long et court, fiction, documentaire, spectacle vivant, animation, œuvres numériques. Contact presse : Olivier Zegna Rata, Délégué général Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

25 juillet 2019Actus-SPIactus-spi
Nomination Déléguée générale adjointe

Emmanuelle MAUGER est nommée Déléguée générale adjointe du Syndicat des producteurs indépendants.

Elle a été successivement depuis 1997 chargée de mission auprès du conseiller médias de l’ambassadeur de Corée à Paris, chargée de mission à l’unité des achats cinéma de la SEPT-ARTE, puis juriste à la Banque de programmes et de services de La Cinquième, avant d’intégrer le Bureau des industries de programmes de la Direction du développement des médias des services du Premier ministre auprès de Laurence Franceschini puis d’Anne Durupty. En charge du suivi de l’évolution économique et juridique des secteurs de l’audiovisuel et du cinéma, elle y a plus particulièrement coordonné les travaux de l’Observatoire de la production audiovisuelle.

Emmanuelle Mauger exerce depuis 2007 les fonctions de Déléguée Télévision du SPI, puis Déléguée à l’audiovisuel depuis que le SPI a intégré dans son périmètre des nouvelles créations numériques. Les sociétés adhérentes du SPI produisent également des œuvres documentaires, de fiction, de captation de spectacles vivants, d’animation et sont présentes sur l’ensemble du territoire hexagonal et ultra-marin.

En tant que Déléguée générale adjointe, elle demeure en charge du secteur audiovisuel dans ses différentes composantes. Elle anime dans ce domaine, la réflexion et l’action du syndicat sur les évolutions économiques, sociales, juridiques (conventionnelles, règlementaires et législatives). Elle négocie les accords interprofessionnels et sera également en charge du suivi de dossiers stratégiques transversaux aux côtés du Délégué général, notamment dans le cadre du projet de loi sur l’audiovisuel.

Le Président, Emmanuel PRIOU.


Contact presse :
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Emmanuelle MAUGER est nommée Déléguée générale adjointe du Syndicat des producteurs indépendants. Elle a été successivement depuis 1997 chargée de mission auprès du conseiller médias de l’ambassadeur de Corée à Paris, chargée de mission à l’unité des achats cinéma de la SEPT-ARTE, puis juriste à la Banque de programmes et de services de La Cinquième, avant d’intégrer le Bureau des industries de programmes de la Direction du développement des médias des services du Premier ministre auprès de Laurence Franceschini puis d’Anne Durupty. En charge du suivi de l’évolution économique et juridique des secteurs de l’audiovisuel et du cinéma, elle y a plus particulièrement coordonné les travaux de l’Observatoire de la production audiovisuelle. Emmanuelle Mauger exerce depuis 2007 les fonctions de Déléguée Télévision du SPI, puis Déléguée à l’audiovisuel depuis que le SPI a intégré dans son périmètre des nouvelles créations numériques. Les sociétés adhérentes du SPI produisent également des œuvres documentaires, de fiction, de captation de spectacles vivants, d’animation et sont présentes sur l’ensemble du territoire hexagonal et ultra-marin. En tant que Déléguée générale adjointe, elle demeure en charge du secteur audiovisuel dans ses différentes composantes. Elle anime dans ce domaine, la réflexion et l’action du syndicat sur les évolutions économiques, sociales, juridiques (conventionnelles, règlementaires et législatives). Elle négocie les accords interprofessionnels et sera également en charge du suivi de dossiers stratégiques transversaux aux côtés du Délégué général, notamment dans le cadre du projet de loi sur l’audiovisuel. Le Président, Emmanuel PRIOU. Contact presse : Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

22 juillet 2019Actus-SPIactus-spi
Nomination d’un nouveau Délégué général

Catherine BERTIN quitte les fonctions de Déléguée générale du SPI qu’elle occupait depuis octobre 2015. A cette occasion, le Bureau du Syndicat la remercie tout particulièrement du travail accompli pendant son mandat. Le SPI est désormais un syndicat représentatif unitaire regroupant 420 adhérents, seul à couvrir l’intégralité du secteur cinématographique et audiovisuel, dans tous les genres : cinéma court et long, documentaire, fiction, spectacle vivant, animation, création numérique et sur tout le territoire national.

Olivier ZEGNA RATA est nommé Délégué général du SPI à compter du lundi 22 juillet 2019. Olivier ZEGNA RATA a été successivement depuis 1993 conseiller des présidents de France Télévisions, Jean-Pierre Elkabbach et Xavier Gouyou Beauchamps, puis Directeur de cabinet du Président du CSA, Hervé Bourges, jusqu’en 2000, et co-fondateur du doyen des médias numériques francophones, AFRIK.COM ; Directeur de cabinet de la Directrice générale de France 2, Michèle Cotta, puis directeur des chaînes thématiques de France télévisions auprès de Marc Tessier, et Directeur des Relations extérieures du Groupe Canal Plus auprès de Bertrand Meheut de 2003 à 2013, enfin Directeur des Relations institutionnelles et internationales de Radio France de 2015 à 2019 auprès de Mathieu Gallet puis de Sibyle Veil. Il a par ailleurs été le co-fondateur en 2006 avec Philippe Chazal du Club Galilée, think tank sectoriel consacré aux évolutions stratégiques des médias et du cinéma à l’ère numérique.

Les enjeux à relever désormais sont ceux d’une réforme en profondeur de l’organisation et de l’économie du secteur, à la fois législative et réglementaire, dans laquelle la voix des producteurs indépendants doit nécessairement être entendue : la force de notre création, en France comme à l’international, repose sur la diversité, la richesse et la liberté de la production.

Alors que le poste de Président du CNC est en suspension, ce qui est un mauvais signal inédit, donné par les pouvoirs publics à la création patrimoniale française, le SPI sera particulièrement vigilant pour préserver toutes ces valeurs qui font la force d’un pays, qui a su porter haut la cause des auteurs pour assurer son rayonnement dans le monde.

Le Président, Emmanuel PRIOU.

Contact presse :
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

Catherine BERTIN quitte les fonctions de Déléguée générale du SPI qu’elle occupait depuis octobre 2015. A cette occasion, le Bureau du Syndicat la remercie tout particulièrement du travail accompli pendant son mandat. Le SPI est désormais un syndicat représentatif unitaire regroupant 420 adhérents, seul à couvrir l’intégralité du secteur cinématographique et audiovisuel, dans tous les genres : cinéma court et long, documentaire, fiction, spectacle vivant, animation, création numérique et sur tout le territoire national. Olivier ZEGNA RATA est nommé Délégué général du SPI à compter du lundi 22 juillet 2019. Olivier ZEGNA RATA a été successivement depuis 1993 conseiller des présidents de France Télévisions, Jean-Pierre Elkabbach et Xavier Gouyou Beauchamps, puis Directeur de cabinet du Président du CSA, Hervé Bourges, jusqu’en 2000, et co-fondateur du doyen des médias numériques francophones, AFRIK.COM ; Directeur de cabinet de la Directrice générale de France 2, Michèle Cotta, puis directeur des chaînes thématiques de France télévisions auprès de Marc Tessier, et Directeur des Relations extérieures du Groupe Canal Plus auprès de Bertrand Meheut de 2003 à 2013, enfin Directeur des Relations institutionnelles et internationales de Radio France de 2015 à 2019 auprès de Mathieu Gallet puis de Sibyle Veil. Il a par ailleurs été le co-fondateur en 2006 avec Philippe Chazal du Club Galilée, think tank sectoriel consacré aux évolutions stratégiques des médias et du cinéma à l’ère numérique. Les enjeux à relever désormais sont ceux d’une réforme en profondeur de l’organisation et de l’économie du secteur, à la fois législative et réglementaire, dans laquelle la voix des producteurs indépendants doit nécessairement être entendue : la force de notre création, en France comme à l’international, repose sur la diversité, la richesse et la liberté de la production. Alors que le poste de Président du CNC est en suspension, ce qui est un mauvais signal inédit, donné par les pouvoirs publics à la création patrimoniale française, le SPI sera particulièrement vigilant pour préserver toutes ces valeurs qui font la force d’un pays, qui a su porter haut la cause des auteurs pour assurer son rayonnement dans le monde. Le Président, Emmanuel PRIOU. Contact presse : Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

19 juillet 2019Actus-SPIactus-spi
Incertitude au CNC

La Présidente du CNC, Frédérique Bredin vient d’annoncer son départ. Son mandat a été marqué par une profonde mutation du secteur du cinéma et de l’audiovisuel.

Le siège reste vide, pour la première fois dans l’histoire du CNC. Le SPI exprime une très vive inquiétude face à cette situation inédite qui pourrait bloquer l’institution.

Le CNC doit être le garant de la stabilité du secteur, conserver une autonomie financière, sans compromettre la continuité de l’activité de la production.

Il est essentiel que la présidence du CNC préserve notre création audiovisuelle et cinématographique dans toute sa diversité contre une logique de marché financier et de rentabilité de la culture. Nous souhaitons nous engager à ses côtés dans un dialogue constructif.

Le SPI défend des valeurs d’indépendance et de liberté de création, dans le respect de la diversité des œuvres et des producteurs. Négliger à ce point le rôle et l’importance du CNC les mettra rapidement en péril.

La création ne peut être au service des marchés, la liberté de création impose cette indépendance.

Le SPI appelle les autorités politiques de tutelle à intervenir rapidement pour clarifier cette situation vis-à-vis d’un secteur déjà déstabilisé par les plans d’économies et par l’arrivée des plateformes.

Contact presse :
Catherine Bertin, Déléguée générale
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 44

La Présidente du CNC, Frédérique Bredin vient d’annoncer son départ. Son mandat a été marqué par une profonde mutation du secteur du cinéma et de l’audiovisuel. Le siège reste vide, pour la première fois dans l’histoire du CNC. Le SPI exprime une très vive inquiétude face à cette situation inédite qui pourrait bloquer l’institution. Le CNC doit être le garant de la stabilité du secteur, conserver une autonomie financière, sans compromettre la continuité de l’activité de la production. Il est essentiel que la présidence du CNC préserve notre création audiovisuelle et cinématographique dans toute sa diversité contre une logique de marché financier et de rentabilité de la culture. Nous souhaitons nous engager à ses côtés dans un dialogue constructif. Le SPI défend des valeurs d’indépendance et de liberté de création, dans le respect de la diversité des œuvres et des producteurs. Négliger à ce point le rôle et l’importance du CNC les mettra rapidement en péril. La création ne peut être au service des marchés, la liberté de création impose cette indépendance. Le SPI appelle les autorités politiques de tutelle à intervenir rapidement pour clarifier cette situation vis-à-vis d’un secteur déjà déstabilisé par les plans d’économies et par l’arrivée des plateformes. Contact presse : Catherine Bertin, Déléguée générale Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset, 75011 Paris – 01 44 70 70 …

12 juillet 2019Actus-SPIactus-spi
BLOC : Les organisations professionnelles du cinéma se réjouissent de l’accord conclu avec Ciné +

Le BLIC, le BLOC et L’ARP se réjouissent de la conclusion d’un nouvel accord avec Ciné + concernant le financement et l’exposition des films de cinéma sur ce service jusqu’au 31 décembre 2022.

Ce nouvel accord prend pleinement en compte l’évolution des usages et valorise les œuvres dans toute leur diversité pour une offre de cinéma attractive et différenciée sur les chaînes de Ciné +.

Dans une période de profonde remise en cause de leur écosystème, les organisations professionnelles du cinéma ont fait preuve d’unité et de responsabilité, en accompagnant un partenaire historique du cinéma dans la mutation de son environnement.

Cet accord confirme une nouvelle fois la pertinence des accords interprofessionnels comme principal outil d’adaptation vertueux des règles actuellement applicables au cinéma. Ce modèle de régulation doit ainsi être réaffirmé durant les travaux menés actuellement par les pouvoirs publics, dans le cadre du projet de loi sur l’audiovisuel.

Contacts :

BLIC : Hélène Herschel – 01 56 90 33 00 / helene.herschel@fnef.fr

BLOC : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 / jlethiphu@la.srf.fr

Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 / frederic.goldsmith@producteurscinema.fr

L’ARP : Pierre Charpilloz 06 79 01 22 10 / pcharpilloz@larp.fr

Le BLIC, le BLOC et L’ARP se réjouissent de la conclusion d’un nouvel accord avec Ciné + concernant le financement et l’exposition des films de cinéma sur ce service jusqu’au 31 décembre 2022. Ce nouvel accord prend pleinement en compte l’évolution des usages et valorise les œuvres dans toute leur diversité pour une offre de cinéma attractive et différenciée sur les chaînes de Ciné +. Dans une période de profonde remise en cause de leur écosystème, les organisations professionnelles du cinéma ont fait preuve d’unité et de responsabilité, en accompagnant un partenaire historique du cinéma dans la mutation de son environnement. Cet accord confirme une nouvelle fois la pertinence des accords interprofessionnels comme principal outil d’adaptation vertueux des règles actuellement applicables au cinéma. Ce modèle de régulation doit ainsi être réaffirmé durant les travaux menés actuellement par les pouvoirs publics, dans le cadre du projet de loi sur l’audiovisuel. Contacts : BLIC : Hélène Herschel – 01 56 90 33 00 / helene.herschel@fnef.fr BLOC : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 / jlethiphu@la.srf.fr Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 / frederic.goldsmith@producteurscinema.fr L’ARP : Pierre Charpilloz 06 79 01 22 10 / …

8 juillet 2019Actus-SPIactus-spi
TRIBUNE LE MONDE – La France : le seul pays au monde qui pense avoir trop de cinéma d’auteur

Les indépendants réagissent aux rapports sur le financement privé du cinéma et de l’audiovisuel (Dominique Boutonnat) et sur le contrôle du CNC (Céline Calvez et Marie-Ange Magne).

Nous sommes scénaristes, cinéastes, producteurs, distributeurs et exploitants du cinéma indépendant.
Indépendant ne veut pas dire que nous sommes la part intime du secteur : les indépendants fabriquent plus de 90% des films. Ils sont le modèle industriel du cinéma français.

Nous le rappelons en préambule car c’est précisément cela qui est remis en question dans le Rapport sur le financement privé du cinéma et de l’audiovisuel (Dominique Boutonnat) dont les préconisations vont pour la majorité dans le sens d’une norme industrielle. En favorisant la logique d’exploitation commerciale plutôt que de préfinancement. En augmentant la taille des structures et leur verticalité (lier les structures de production et de distribution). En accentuant les effets de concentration, dans une logique libérale qui vient totalement contredire et mettre en péril ce qui fait, aujourd’hui encore, le succès économique et créatif du cinéma français.

Au cœur des deux rapports, il y a le même argument central : une politique « nataliste » du cinéma français. Autrement dit : on ferait trop de films en France (237 Films d’Initiative Française en 2018). Avec pour conséquence trop d’éparpillement des investissements et surtout pas assez de rentabilité des œuvres. Il faudrait donc qu’il y ait moins de films.
Le rapport insiste sur un chiffre : plus de la moitié des œuvres font moins de 50 000 entrées en salle. Ce serait donc ces films-là qu’il faudrait mettre en question.
La majorité de ces films sont du cinéma d’auteur.

Assorti à ce chiffre, cet argument d’une surproduction a sa popularité, d’autant qu’il offre une clef de lecture facile à diffuser dans l’espace public, donnant aux spectateurs l’impression de participer à la défense de leur propre goût et de leurs propres décisions de public. Comme si les spectateurs sanctionnaient les mauvais films par leur absence. La tendance des rapports à incriminer l’écriture même des films va jusqu’à blâmer leurs auteurs pour leurs piètres performances. Les auteurs feraient trop de mauvais films.

Oui, un trop grand nombre de films connaissent un destin médiocre en salle, mais c’est un constat politique. Ce sont souvent moins les spectateurs qui les rejettent que les acteurs du marché. Les films ne sont pas tous à égalité face à la salle, ils n’ont pas les mêmes opportunités. Ceux qui ont moins de pouvoir sont victimes des sorties massives dans les circuits qui jouent la carte des effets de concentration et imposent de violents turn-over d’une semaine à l’autre. En bref, on reproche des mauvais scores à des films qui ne sont parfois volontairement pas montrés.

Parlons précisément de ce trop grand nombre de films. En 2012, il y avait 209 films d’initiative française, en 2018 il y en avait 237. On parle de 28 films de plus. D’autant que sur la même période la transition numérique rendait la diffusion des films plus simple et moins onéreuse tandis que le nombre d’écrans augmentait. En 2010, il y avait 6,8 millions de séances au total. En 2018, 8,4 millions. Nous avons le tissu de salles et les ressources pour faire vivre les œuvres. Vouloir en supprimer est un contresens historique quand la multiplication des canaux de diffusion réclame en fait toujours plus de « contenus ».

Le problème n’est pas la surproduction. Le problème est surtout du côté des effets de concentration dans l’exploitation. Entre 2010 et 2017, le nombre total de films sortis en France a augmenté de 20 %. Sur la même période, celui des films sortis sur plus de 500 copies augmentait de 28 %. Parmi eux, celui des films français sortis sur plus de 500 copies augmentait de 90 %. Surexploitation et surexposition de certains films, c’est là qu’est la dérive des dernières années. C’est notamment là qu’il y a urgence à réformer.

À ce mauvais effet de lecture vient s’ajouter une analyse volontairement partielle. On ne saurait questionner sérieusement la rentabilité d’un film à l’aune de sa seule recette salle. D’abord parce que la rentabilité d’un film se calcule sur un minimum de 5 ans. Ensuite parce que bon nombre de films millionnaires ne sont pas rentables vu leur coût de fabrication quand, pour certains, quelques dizaines de milliers d’entrées suffisent à être à l’équilibre. Mais, plus important, parce que la salle n’est qu’une partie de la carrière et de la rentabilité d’un film. Surtout s’il s’agit d’un cinéma d’auteur. Car nos films vont dans les plus grands festivals de cinéma. Nos films s’exportent dans un très grand nombre de territoires à l’étranger. Nos films sont convoités par les plateformes extraterritoriales. Nombre d’entre eux poursuivent aussi leur carrière dans le cadre des dispositifs scolaires nationaux, continuant de faire des dizaines de milliers d’entrées, et participant ainsi à l’éducation au cinéma des écoliers, collégiens, lycéens et apprentis français. Enfin, ce sont nos films qui permettent au cinéma français de se renouveler, puisque nous produisons 30 % de premières œuvres, révélant ainsi les auteurs et les succès de demain.

Nous sommes rentables. Pas toujours pour nous-mêmes car l’argent est à l’écran, mais pour l’industrie, c’est certain.

Il faut enfin rappeler que la part de marché des films français est de 40 % et qu’elle est en progression. Cette part de marché exceptionnelle est directement liée à la richesse de l’offre. Supprimer ces fameux films « en trop », c’est mettre en péril cette part de marché que toute l’Europe nous envie. C’est un enjeu de santé collective.

Rappeler également, qu’un film – qu’il marche ou non – participe à l’économie de l’industrie et du pays. Le cinéma français joue un rôle économique de premier plan, avec 5,8 Md€ de valeur ajoutée. Son impact social est évalué à 127 395 emplois, dont 92 775 emplois directs.

La part d’analyse concernant le CNC dans les deux rapports vient enfoncer le clou. Le CNC y est pensé comme un incubateur, censé promouvoir une logique industrielle et entrepreneuriale. Chez Magne et Calvez, il s’agit de plafonner les ressources qu’il collecte de la taxe affectée, instaurer des critères de succès à l’export ou d’entrées en salles pour l’éligibilité des films aux aides publiques. Ce rapport, le moins bien informé sur une institution très régulièrement auditée, va à l’encontre de toutes les préconisations de ses prédécesseurs.

Nous renouvelons ici notre confiance et notre soutien au CNC, outil toujours moderne de concertation et de régulation. Nous participerons en son sein aux discussions que nous appelons de nos vœux car sur ce point nous sommes d’accord : il y a urgence à réformer. C’est pourquoi il nous semble capital de faire les bons diagnostics. Et de ne pas laisser grandir cette nouvelle exception culturelle française : être le seul pays au monde qui pense avoir trop de cinéma d’auteur.

La tribune a été signée par 11 organisations professionnelles et 800 signataires représentant la filière indépendante, parmi lesquels :

Organisations signataires

La SRF (Société des Réalisateurs de Films), Le SCA (Scénaristes Cinéma Associés), la Guilde des scénaristes, l’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion), l’ADDOC (Association des cinéastes documentaristes), le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants), le SDI (Syndicat des Distributeurs Indépendants), le GNCR (Groupement National des Cinémas de Recherche), l’AFCAE (Association Française des Cinémas Art et Essai), AAFA (Actrices et Acteurs de France Associés), l’AFC (Association Française des directeurs de la photographie cinématographique)

Ont signé individuellement :

Scénaristes :

Jacques Akchoti , Maud Ameline , Yacine Badday , Loïc Barrère , Jamal Belmahi, Christophe Botti , Fanny Burdino , Giulio Callegari , Fanny Chesnel, Pierre Chosson , Olivier Demangel , Mariette Désert , Raphaëlle Desplechin, Martin Drouot , Jeremie Dubois , Julien Farrugia , Jean-Luc Gaget , Zoé Galeron , Olivier Gorce , Maya Haffar, Arnaud Hémery , Nathalie Hertzberg , Mélina Jochum , Nathalie Lafaurie , Nadine Lamari , Philippe Lasry, Guillaume Laurant , Benjamin Legrand , Yasmine Louati , Lise Macheboeuf, Gaëlle Mace , Gladys Marciano, Frédérique Moreau , Caroline Ophelie , Julie Peyr , Anne Peyrègne , Agnès de Sacy, Nathalie Saugeon , Fabien Suarez , Anne-Louise Trividic , Cecile Vargaftig , Isabelle Wolgust , Iris Wong

Cinéastes :

Jean Achache, Barmak Akram, Sofia Alaoui , Fleur Albert , Anne Alix , Siegrid Alnoy, Maud Alpi , Cristele Alves Meira , Marie Amachoukeli, David André , Guillaume André , Hélène Angel , Claire Angelini , Lionel Vania Arazi , Frederik Arens Grandin , Stephane Arnoux , Jacques Audiard , Myriam Aziza , Sébastien Bailly , René Ballesteros , François Barat , Aurélia Barbet , Patricia Bardon , Ange Basterga , Rémy Batteault , Michel Baulez , Xavier Beauvois , Laurent Bécue-Renard , Vesna Bejic , Sébastien Bellaval , Lucas Belvaux , Laurent Bénégui , Arnaud Bénoliel , Luc Beraud , Julie Bertuccelli , Sebastien Betbeder , Gilles Bindi , Pascale Bodet , Bertrand Bonello , Bruno Bontzolakis , Claudine Bories , Lucie Borleteau , Marie Borrelli , Laurent Bouhnik , Guillaume Brac , Jean Breschand , Marie-Pierre Bretas , Pascale Breton , Emilie Brisavoine , Cyril Brody , Claire Burger , Doris Buttignol , Dominique Cabrera , François Caillat , Thomas Cailley , Robin Campillo , Laurent Cantet , Caroline Capelle , Ugo Casabianca , Idit Cebula , Patrice Chagnard , Claude Chamis , Béatrice Champanier , Hubert Charuel , Matthieu Chatellier , Chad Chenouga , Hugo Chesnard , Patric Chiha , Dominique Choisy , Caroline Chomienne , Anne Cissé , Christophe Clavert , Romain Cogitore , Christophe Cognet , Renaud Cohen , Christophe Colliat-Dragon , Gilles Combet , Jean-Louis Comolli , Catherine Corsini , Paul Costes , Amélie Covillard, Vero Cratzborn , Jeanne Crépeau , Dominique Crèvecoeur , Marine de Contes , Daniela de Felice , Thierry de Peretti , Marina Déak , Emad Dehkordi , Emilie Deleuze , Delphine Deloget , Edouard Deluc , Sophie Delvallée , Jean Denizot , Dante Desarthe , Fabianny Deschamps , Sylvain Desclous , Antoine Desrosières , Marion Desseigne Ravel , Pascal Deux , Marguerite Didierjean , Vincent Dieutre , Mati Diop, Alexandra Dols , Ariane Doublet , James Down , Céline Drean , Olivier Ducastel , Steve Duchesne , Marie Dumora , Jean-Pierre Dupuy , Pierre-Nicolas Durand , Claude Duty , Roland Edzard , Nadia El Fani , Licia Eminenti , Nicolas Engel , Liam Engle , Guillaume Fabre-Luce , Fabienne Facco , Abbas Fahdel , Jacques Fansten , Francois Farellacci , Joel Farges , Lea Fehner , Anna Feillou , Pascale Ferran , Laurence Ferreira Barbosa , Sophie Fillières , Aline Fischer , Kathleen Fonmarty , Marine Francen , Brahim Fritah , François Fronty , Luc Galissaires , Jean-Raymond Garcia , Marielle Gautier , Dyana Gaye , Fabrice Genestal , Aurélia Georges , Jean-Baptiste Germain , Bernard Gilhodes , Lucas Gloppe , Mathias Gokalp , Jean-Louis Gonnet , Yann Gonzalez , Maryam Goormaghtigh , Diego Governatori , Emmanuel Gras , Eugène Green , Mallory Grolleau , Lionel Guedj , Julien Guetta , Gallien Guibert , Liza Guillamot , Sylvia Guillet , Alain Guiraudie , Patrick Hadjadj , Pascale Hannoyer , Michel Hazanavicius , Laurent Herbiet , Laurent Heynemann , Esther Hoffenberg , Aline Holcman , Florence Hugues , Françoise Huguier , Danielle Jaeggi , Nadia Jandeau , Agnes Jaoui , Thomas Jenkoe , Naruna Kaplan de Macedo , Vergine Keaton , Héléna Klotz , Nicolas Klotz , Julia Kowalski , Lech Kowalski , Hadrien La Vapeur , Alexandre Labarussiat , Jeanne Labrune , Pierre Lacan , Victoria Lafaurie , Joachim Lafosse , Daisy Lamothe , Christophe Lamotte , Alexandre Lança , Kloe Lang , Laurent Lariviere , Arnaud Larrieu , Sonia Larue , Nicolas Lasnibat , Sébastien Laudenbach , Pierre Le Gall , Serge Le Péron , Julien Lecat, Luc Leclerc du Sablon , Adrien Lecouturier , Nolwenn Lemesle , Valérie Leroy , Guillaume Levil , Christelle Lheureux , Sébastien Lifshitz , Thomas Lilti , Jean Pierre Limosin , Carl Lionnet , Salvatore Lista , Linda Lo , Jacques Lœuille , Christophe Loizillon , Philippe Lopes Curval , Marie Losier , Nicolas Lugli , Vincent Macaigne , Chloé Mahieu , Guillaume Mainguet , Erick Malabry , Marie Mandy , Naël Marandin , Pascal Marc , Dominique Marchais , Keren Marciano , François Margolin , Sébastien Marnier , Paul Marques Duarte , Emmanuel Marre , Clément Martin , Sophie Martin d autryve , Jacques Martineau , Pierre Mazingarbe , Marie-Castille Mention-Schaar , Agnes Merlet , Frédéric Mermoud , Nicolas Mesdom , Perrine Michel , Laetitia Mikles , Hélène Milano , Viktor Miletic , Valerie Minetto , Gérard Mordillat , Lisbeth Mornet , Emmanuelle Mougne , Christophe Nanga-Oly , Fred Nicolas , Anna Novion , Michel Ocelot , Agathe Oléron , Valerie Osouf , Mariana Otero , Bénédicte Pagnot , Christine Paillard , Enrika Panero , Rithy Panh , Richard Paraiso , Emmanuel Parraud , Claire Patronik , Héloïse Pelloquet , Antonin Peretjatko , Monique Perez , Vladimir Perisic , Louis-Julien Petit, Laurence Petit-Jouvet , Nicolas Philibert , Lila Pinell , Sylvain Pioutaz , Bruno Podalydès , Gilles Porte , Martin Provost , Tony Quéméré , Katell Quillévéré , Nick Quinn , Frederic Ramade , Alain Raoust , Alban Ravassard , Anna Recalde Miranda , Philippe Renault , Dania Reymond , Adrien Ricciardelli , Agathe Riedinger , Raphaël Rivière , Axelle Ropert , Brigitte Roüan , Christian Rouaud , Baptiste Rouget-Luchaire , David Roux , Jean Michel Roux , Céline Rouzet , Christophe Ruggia , Daisy Sadler , Thomas Salvador , Pierre Salvadori , Julien Samani , Srinath Christopher Samarasinghe , Hedi Sassi , Régis Sauder , Clément Schneider , Céline Sciamma , Christine Seghezzi , Julien Selleron , Guillaume Senez , Idir Serghine , Reza Serkanian , Louis Albert Serrut , Olivier Sigaut , Charlotte Silvera , Morgan Simon , Bastien Simon , Claire Simon , Jan Sitta , Alexandra Sollogoub , Christian Sonderegger , Brigitte Sy , Bernard Tanguy , Coco Tassel , Sébastien Téot , Pascal Tessaud , Hugo Thomas , Pascal Thomas , Jean-Pierre Thorn , Nadejda Tilhou , Léa Todorov , Marie-Claude Treilhou , Justine Triet , Gilles Trinques , Martin Tronquart , Corto Vaclav , Philippe Van leeuw , André Van ln , Christian Vandelet , Pamela Varela , Lise Vayssiere , Marie Vermillard , Aurélien Vernhes-Lermusiaux , Jean-Robert Viallet , Vanina Vignal , Caroline Vignal , Anne Villacèque , Pascal-Alex Vincent , Pierre Vinour , Maxence Voiseux , Luc Wouters , François Zabaleta , Olivier Zabat , Nicolas Zappi , Jules Zingg , Rebecca Zlotowski , Patrick Zocco

Producteurs.trices :

10:15 PRODUCTIONS (Sébastien Haguenauer), 18 JOURS (Frédéric Marboeuf), 3B PRODUCTIONS (Jean Bréhat et Muriel Merlin), 31 JUIN FILMS (Emmanuel Barraux et Agnès Vallée), 416 PROD (Mélissa Theuriau), ABSOLUMENT FILMS (Jacques Aflalo), ACROBATES FILMS (Claire Lajoumard), ADVITA PRODUCTIONS (Bernard Dal Molin), AETERNAM FILMS (Arnaud Louvet), AGAT FILMS/EX NIHILO (Marc Bordure et Patrick Sobelman), AIRNZOOM FILMS (Marc Chicaud), ALTERMEDIA (Caroline Chomienne), ANDOLFI (Arnaud Dommerc), APACHES FILMS (Jeanne Ezvan et Marthe Lamy), A PERTE DE VUE (Colette Quesson), APSARA FILMS (Marine Arrighi de Casanova), ARCHES FILMS (Etienne Comar), ARCHIPEL 35 (Denis Freyd), ARDECHE IMAGES PRODUCTION (Jean-Marie Barbe), ARI PICTURES (Sébastien Baudier et Arthur Choupin), ARTISANS DU FILM (Valéry du Peloux), ARTURO MIO (Caroline Roussel), ASTHARTE & CIE (Sophie Deloche), AURORA FILMS (Charlotte Vincent), AXE SUD PRODUCTION (Marie-Pierre Bousquet), AYOTL (Thiébaut Viel), BAC FILMS (David Grumbach), BACHIBOUZOUK (Laurent Duret), BAGAN FILMS (Patrick Hernandez et Véronique Siegel), BALDANDERS FILMS (Mathias Bourrissoux), BEALL PRODUCTIONS (Jean-Marie Nizan), BLUE MONDAY (Sandra Da Fonseca, Bertrand Gore et Nathalie Mesuret), BOCALUPO FILMS (Jasmina Sijercic), BON VOYAGE FILMS PRODUCTION (Bruno François-Boucher), BONNE PIOCHE (Emmanuel Priou), C-P PRODUCTIONS (Annie Gonzalez), CARAVAN PASS (Natalie Dana), CENTRALE ELECTRIQUE (Olivier Boischot), CHAZ PRODUCTIONS (Elisabeth Perez), CHEVALDEUXTROIS (Jérémy Forni), CHRISTMAS IN JULY (Julie Salvador), CINE SUD PROMOTION (Pierre Grangereau et Thierry Lenouvel), CINEMA DEFACTO (Tom Dercourt et Sophie Erbs), CINEPHAGE PRODUCTIONS (Victor Ede), COLORED FILMS (Isabelle Parion), CONTI FILMS (Jean-Frédéric Samie), CRESCENDO MEDIA FILMS (Serge Guez et Maud Reynaud), DAISY DAY FILMS (Céline Farmachi et Florent Lacaze), DELANTE PRODUCTIONS (Caroline Adrian), DEUXIEME LIGNE FILMS (Marie Dubas), DOC&ROLL FILMS PRODUCTION (Véronique Radovic), DOLCE VITA FILMS (Marc Irmer), DON QUICHOTTE FILMS (Yannick Beauquis et Quentin Brayer), DROLE DE TRAME (Maud Huynh), DUBLIN FILMS (David Hurst), DUNO FILMS (Jérémie Chevret), ECOMEDIA (Marie-Hélène Baconnet), ELEAZAR (Edmée Millo), ELEVER LA VOIX FILMS (Eric Vernière), ELIANEANTOINETTE (Candice Zaccagnino), ELLABEL PRODUCTIONS (Alain Bellon), ELZEVIR FILMS (Marie Masmonteil), EN COMPAGNIE DES LAMAS (Sandrine Brauer), ENVIE DE TEMPÊTE PRODUCTIONS (Frédéric Dubreuil), EPICENTRE FILMS (Daniel Chabannes), EVERYBODY ON DECK (Gaëlle Bayssière et Didier Creste), FASTPROD (Jean-François Moussié), FELICITE PRODUCTION (Claire Duguet et Cécilia Rose), FILMS DE FORCE MAJEURE (Jean-Laurent Csinidis), FILMS GRAND HUIT (Lionel Massol et Pauline Seigland), FIN AOUT PRODUCTIONS (Marielle Duigou), FIVE2ONE FILMS (Alain Grandgerard), FRANCE MOVIE SERVICES (Léna Lavant et Xavier Lavant), FRENCH CANCAN PRODUCTION (Nicolas Traube), GABI PRODUCTION (Barbara Schuerrer), GASP! (Olivier Chabalier et Clémence Marcadier), GIRELLE PRODUCTION (Christophe Camoirano et Marion Lacôte), GLORIA FILMS PRODUCTION (Laurent Lavolé), GOGOGO FILMS (Carine Ruszniewski), GOOD FORTUNE FILMS (Clément Duboin), HAUTLESMAINS PRODUCTIONS (Thomas Micoulet), HIPPOCAMPE (Jordane Oudin), IKKI FILMS (Edwina Liard et Nidia Santiago), ILIADE ET FILMS (Oury Milshtein), ILLEGITIME DEFENSE (Arnaud Xainte), INSOLENCE PRODUCTIONS (Anaïs Bertrand), ISKRA (Viviane Aquilli, Matthieu de Laborde et Inger Servolin), J+B SEQUENCES (Béatrice Camurat Jaud), JOPARIGE FILMS (Marianne Lère), KALEO FILMS (Olivier Charvet et Sophie Germain), KAZAK PRODUCTIONS (Jean-Christophe Reymond et Amaury Ovise), KEREN PRODUCTION (Samuel Moutel), KOLAM PRODUCTIONS (Olga Prud’homme Farges), L’IMAGE D’APRES (Orlane Dumas, Annabelle Gangneux, Maud Martin, Damien Monnier et Charlie Rojo), LA COMPAGNIE DES TAXI-BROUSSE (Karim Samai), LADYBIRDS FILMS (Hélène Badinter), LA FABRICA NOCTURNA CINEMA (Marina Perales Marhuenda et Xavier Rocher), LA HUIT (Stéphane Jourdain), LA LUNA PRODUCTIONS (Sébastien Hussenot), LALILULELO PRODUCTIONS (Mehdi Haddou), LA MER A BOIRE PRODUCTIONS (Ludovic Henry), LA PETITE PROD (Camille Chandellier), LA VINGT-CINQUIEME HEURE (Pierre-Emmanuel Le Goff et Guilhem Olive), LAIDAK FILMS (Antoine Liétout et Ivan Zuber), LA VIE EST BELLE (Céline Maugis), LE BUREAU (Bertrand Faivre), LES CONTES MODERNES (Patrice Nezan), LES FILMS D’ANTOINE (Antoine Simkine), LES FILMS D’ICI (Richard Copans, Camille Laemlé, Serge Lalou et Charlotte Uzu), LES FILMS D’ICI 2 (Claire Dornoy), LES FILMS DE L’APRES-MIDI (François d’Artemare), LES FILMS DE L’AUTRE COUGAR (Annabelle Bouzom), LES FILMS DE LA CAPITAINE (Laurine Pelassy), LES FILMS DE FRANCOISE (Mina Driouche), LES FILMS DE L’ŒIL SAUVAGE (Frédéric Féraud), LES FILMS DE PIERRE (Marie Ange Luciani), LES FILMS DU BAL (Judith Lou Lévy et Eve Robin) , LES FILMS DU BELIER (Justin Taurand), LES FILMS DU CLAN (Charles Philippe et Lucile Ric), LES FILMS DU CYGNE (Alexandre Charlet et Jonathan Hazan), LES FILMS HATARI (Michel Klein), LES FILMS NORFLOK (Noël Fuzellier, Marine Lepaulmier et Philippe Wendling), LES FILMS PELLEAS (David Thion et Philippe Martin), LES FILMS VELVET (Frédéric Jouve), LES GRANDS ESPACES (Florian Mole), LES PRODUITS FRAIS (Oriane Hurard et Damien Lagogué), LES TOILES DU COSMOS PRODUCTIONS (Hugo Lagorce), LILIES FILMS & HOLD-UP FILMS (Bénédicte Couvreur), LOCAL FILMS (Nicolas Brevière), LOOK AT SCIENCES (Vincent Gaullier), LUMINA FILMS (Marie Napoli), MANEKI FILMS (Didar Domehri), MAT PRODUCTIONS (Richard Magnien et Marie Mouchel-Blaisot), MAZEL PRODUCTIONS et NELKA FILMS (Nelly Kafsky), MELOCOTON FILMS (Julien Gaspar-Oliveri, Théo Laboulandine, Archibald Martin et Hélène Mitjavile), MELTING PRODUCTIONS (Florent Guimberteau), MEROE FILMS (Marie Gutmann), METORES FILMS (Ariane Métais), MEZZANINE FILMS (Mathieu Bompoint), MIL SABORDS (Laurent Pannier), MILGRAM (Clément Mathon), MILLE ET UNE PRODUCTIONS (Edouard Mauriat), MISIA FILMS (Valentina Merli), MOTEUR S’IL VOUS PLAIT (Christie Molia), MPM FILM (Marie-Pierre Macia), NO GRAVITY FILMS (Nicolas Djian), NORTE PRODUCTIONS (Valentina Novati), O2B FILMS (Olivier De Bannes), OFFSHORE (Fabrice Préel-Cléach et Emmanuelle Latourrette), OLYMPE STAR FILMS (Antoine Dumats et Guillaume Quetel), ORIFLAMME FILMS (Christophe Delsaux), ORIGINE FILMS (Olivier BERLEMONT), OROK FILMS (Salam Jawad), OVERLAP FILMS (Juliane Meyer), PAPY3D PRODUCTIONS (Richard Van Den Boom), PARAISON PRODUCTION (Camille Genaud, Nathalie Trafford et Clarisse Tupin), PATAFILM (Antonin Ehrenberg), PERSPECTIVE FILMS (Gaëlle Jones), PETIT A PETIT PRODUCTION (Rebecca Houzel), PICTOR (Adrien Bretet), PILI FILMS (Florence Stern), PLAN LIBRE (David Da Costa), QUARTETT PRODUCTION (Alexis Boulanger et Ethan Selcer), REBOOT FILMS (Olivier Aknin), RECTANGLE PRODUCTIONS (Alice Girard et Edouard Weil), RESPIRO PRODUCTIONS (Amélie Quéret), RNB!FILMS (Brigitte Coquelle et Roland Tcherkezian), ROUGE INTERNATIONAL (Julien Naveau), SBS PRODUCTIONS (Saïd Ben Saïd), SEDNA FILMS (Cécile Vacheret), SEPPIA (Pascaline Geoffroy), SESAME FILMS (Florence Borelly), SILEX FILMS (Priscilla Bertin et Judith NORA), SISTER PRODUCTIONS (Julie Paratian), SLOT MACHINE (Marianne Slot), SPECIAL TOUCH STUDIOS (Sébastien Onomo), SRAB FILMS (Toufik Ayadi, Christophe Barral), SUNRISE FILMS (Anne Rapczyk), SUPERMOUCHE PRODUCTIONS (Brigitte Ducottet et Emmanuel Georges), SURVIVANCE (Carine Chichkowsky), SYNECDOCHE (David Frenkel), TAKAMI PRODUCTIONS (Karine Blanc), TEN2TEN FILMS (Gwenaelle Clauwaert), TESSALIT PRODUCTIONS (Rachid Bouchareb), THE LIVING (Nathalie Dennes), TIRESIAS FILMS (Laure Dahout et Anne-Sophie Derez), TO BE CONTINUED (Lionel Guedj et Dominique Marzotto), TOPSHOT FILMS (Robin Robles), TRIPODE PRODUCTIONS (Guillaume Dreyfus et Delphine Schmit), TRIPTYQUE FILMS (Guillaume Massart), TS PRODUCTIONS (Miléna Poylo et Gilles Sacuto), UNITE DE PRODUCTION (Bruno Nahon et Caroline Nataf), WALLWORKS (Claude Kunetz), WE FILM (Jonathan Rubin), WHY NOT PRODUCTIONS (Pascal Caucheteux et Grégoire Sorlat), YAMI 2 (Christophe Nick), YGGDRASIL (Pierre-Yves Jourdain), YSE PRODUCTIONS (Marie Agnely), YUKUNKUN (Nelson Ghrénassia)

Distributeurs :

AD VITAM (Alexandra Henochsberg), ARIZONA DISTRIBUTION (Bénédicte Thomas), L’ATELIER D’IMAGES (Hugues Peysson), BOBINE FILMS (Jovita Maeder), CARLOTTA FILMS (Vincent Paul-Boncour), CINEMA PUBLIC FILMS (Valentin Rebondy), CONDOR DISTRIBUTION (Anne-Cécile Rolland), DAMNED (Yohann Cornu), DIAPHANA (Michel Saint-Jean), DOCKS 66 (Violaine Harchin, Aleksandra Cheuvreux), DOCUMENTAIRE SUR GRAND ECRAN (Annick Peigné-Giuly), LES ACACIAS (Jean-Fabrice Janaudy), LES FILMS DE L’ATALANTE (Gérard Vaugeois), LES FILMS DU WHIPPET (Maud Weicherding) , GEBEKA FILMS (Valérie Yendt), HAUT ET COURT (Carole Scotta), JHR FILMS (Jane Roger), JOUR2FETE (Etienne Ollagnier, Sarah Chazelle), MALAVIDA (Anne-Laure Brénéol, Lionel Ithurralde), NEW STORY (Elisabeth Perlié), NEXT FILM DISTRIBUTION (Patrick Hernandez), OUTPLAY (Thibaut Fougères), PREMIUM FILMS (Jean-Charles Mille), PYRAMIDE DISTRIBUTION (Eric Lagesse), REZO FILMS (Jean-Michel Rey), SHELLAC (Thomas Ordonneau), UFO DISTRIBUTION (Stéphane Auclaire et William Jéhannin), WAYNA PITCH (Jonathan Musset)

Exploitants :

Chlorofilm, Quimperlé, (Gérard Le Neven), Ciné Melle, Melle (Danièle Hivert), Cinéphare Le Relecq Kerhuon, (Olivier Bitoun), Association Créa, Saint-Georges-de-Didonne, (Denis Lecat), Association des Cinémas de l’Ouest pour la Recherche (ACOR), Saint-Sulpice-sur-Loire, (Antoine Glémain), Association des Cinémas de Recherche d’Ile-de-France (ACRIF), Paris, (Didier Kiner), Association Nationale des Cinémas Itinérants (ANCI), Sillingy, (Eric Raguet), 3 Cinés Robespierre, Vitry-sur-seine , (Julien Fabre), Ciné 104, Pantin, (Anne Huet), Ciné Saint-Leu, Amiens, (Boris Thomas), Cinébus, Pays de Savoie, (Alain Tourrès), Cinéma Eldorado, Saint-Pierre d’Oléron (Philippe Chagneau), Cinéma Etoile, Mortagne-au-Perche, (Philippe Gautier), Cinéma François Truffaut, Chilly-Mazarin, (Marie Baldo), Cinéma Jean Renoir, Martigues, (Henri Denicourt), Cinéma Jean Vigo, Gennevilliers, (Jean-Serge Pennetier), Cinéma La Rivière, Etel, (Pierre Gicquel), Cinéma Pax, Le Pouliguen, (Jean-François Coyon), Cinéma Studio République, Le Blanc, (Véronique Champigny), Cinéma Yves Robert, Evron, (Imad Makhzoum), Cinemas 93, Montreuil, (Vincent Merlin), Cinemas du Sud, Marseille (Vincent Thabourey), Cinétoile, Carantec, (Emilie Josien), De la suite dans les images, Lille, (David Broutin), Ecrans VO, Cergy, (Yves Bouveret), Espace 1789, Saint-Ouen, (Marguerite Heme De Lacotte), Espace Marcel Carné, Saint-Michel/orge, (Pascal Platel), Groupement Régional d’Actions Cinématographiques (GRAC), Lyon, (Juliette Boutin), Iris Cinéma, Questembert, (Stéphanie Jourde), Jacques Prévert, Gonesse, (Thomas Petit), Jacques Tati, Orsay, (Thierry Soret), L’American Cosmograph, Toulouse, (Annie Mahot), L’Archipel, Paris, (Damien Truchot), L’Atalante, Bayonne, (Sylvie Laroque), L’Ecran, Saint-Denis, (Boris Spire), L’Omnia, Rouen, (Jean-Marc Delacruz), La Baleine, Marseille, (Bénédicte Hazé), La Coursive, La Rochelle, (Edith Périn), La Ferme du Buisson, Noisiel, (Dominique Toulat), La Palette, Tournus, (Bertrand Porcherot), La règle du jeu, Landerneau, (Alain Durand), La Salamandre, Morlaix, (Véronique L’Allain), Le Bretagne, Saint Renan, (Muriel Senant), Le Cin’Hoche, Bagnolet, (Frank Sescousse), Le Cinématographe, Nantes, (tous les administrateurs et salariés), Le Club, Nantua, (Casimir Miguelez), Le Concorde, La Roche-sur-Yon, (Paolo Moretti), Le Concorde, Mitry-Mory, (Maelig Cozic-Sova), Le Cratère, Toulouse, (Pierre-Alexandre Nicaise), Le Cyrano, Montgeron, (Sonia Brun), Le Dauphin, Plougonvelin, (Pascale Sarcou), Le Dietrich, Poitiers, (Marjorie Dangel), Le Familia, Bourgueil, (Isabelle Lacroix), Le Galaxy, Lecci de Porto-Vecchio, (Thierry Dorangeon), Le Gyptis, Marseille, (Juliette Grimont), Le Kosmos, Fontenay-sous-bois, (Nicolas Reyboubet), Le Lux, Caen, (Gautier Labrusse), Le Luxy, Ivry/seine, (Jean-Jacques Ruttner), Le Majestic Bastille, Paris (Mathieu Guetta), Le Méliès, Montreuil, (Stéphane Goudet), Le Méliès, Villeneuve-d’ascq, (Antoine Tilard), Le Rex, Brive-la-Gaillarde, (Romain Grosjean), Le Rex, Chauvigny, (Mario Rocchitelli), Le Rocher, La Garde, (Valérie Bersia), Le Sévigné, Cesson-Sévigné, (Jean-Pierre Houdeau), Le Studio, Tours, (Daniel Blanvillain), Le TAP, Poitiers, (Aldric Bostffocher), Le Zola, Villeurbanne, (Olivier Calonnec), Les Toiles, Saint Gratien, (Séverine Rocaboy), Maison de la Culture, Bourges, (Benoît Piederrière), Quai des images, Loudéac, (Isabelle Allo).
Directeur.trices de la photographie :

Pierre Aim, Richard Andry, Noé Bach, Sébastien Buchmann, Stephane Cami, Jean Charruyer, Laurent Chevallier, Axel Cosnefroy, Gregoire Darrasse, Gérard de Battista, Guillaume Deffontaines, Jimmy Glasberg, Antoine Héberlé , Vincent Jeannot, Lara Laigneau, Claire Mathon, Lionel Perrin, Pascal Poucet, Julien Poupard, Isabelle Razavet, Philippe Ros

Autres professions signataires :

Juliette Maillard (1 ère assistante réalisation), Nathalie Serriere (1ère assistante décoration), Stephane Rozenbaum (chef décorateur), Olivier Mauvezin (chef opérateur du son), Marie-noelle Horvath (Costumière) , Alice Beaucourt (Diffuseur), lan Hoang Xuan (Directrice de casting), Sylvie Buscall (Directrice de cinéma), Emmanuel Tronquart (Ecrivain public), Philippe Hédouin (Enseignant de cinéma, ancien président du Pôle Image Haute-Normandie), Natacha Juniot (Exploitante), Philippe Coroyer (Formateur) , Leïla Bergougnoux (Graphiste), Martin Boissau (Ingénieur du son), Arnaud Laporte (Journaliste), Daniel Deshays (Monteur son), Marie Bottois (Monteuse), Johanne Schatz (Monteuse), Anne Weil (Monteuse), Anaïs Pélaquier (Plasticienne), Olivier Williame (Professeur en BTS AUDIOVISUEL), Raphaël Gallet (Programmateur), Marianne Geslin (Programmatrice de films art et essai), Grégory Moro (Régisseur général), Antoine Dubois (Repéreur), Bénédicte Darblay (Scripte), Patrick Dekeyser (Technicien restauration numérique image) …

Contacts presse :

Julie Lethiphu (SRF) – 01 44 89 99 65 / contact@la-srf.fr
Sabine Le Stum (SCA) – 06 84 54 39 89 / sabinelestum@scenaristesdecinemaassocies.fr
Mickaël Lemesle (Guilde des scénaristes) – 06 84 04 09 26 / m.lemesle@guildedesscenaristes.org
Fabienne Hanclot (ACID) – 01 44 89 99 74 / dg@lacid.org
Charlotte Grosse (Addoc) – 01 44 89 99 88 / courrier@addoc.net
Catherine Bertin (SPI) – 01 44 70 70 44 / info@lespi.org
Emmanuelle Döry (SDI) 06 64 30 05 06 / emmanuelle.dory@sdicine.fr
Jérôme Brodier (GNCR)- 01 42 82 94 06 / gncr@gncr.fr
Renaud Laville (AFCAE) – 01 56 33 13 20 / renaud.laville@art-et-essai.org
Xavier Mussel (AAFA) – 06 61 55 91 34 / xaviermussel@gmail.com
Marie Garric (AFC) – 01 42 64 41 41 / afc@afcinema.com

Les indépendants réagissent aux rapports sur le financement privé du cinéma et de l’audiovisuel (Dominique Boutonnat) et sur le contrôle du CNC (Céline Calvez et Marie-Ange Magne). Nous sommes scénaristes, cinéastes, producteurs, distributeurs et exploitants du cinéma indépendant. Indépendant ne veut pas dire que nous sommes la part intime du secteur : les indépendants fabriquent plus de 90% des films. Ils sont le modèle industriel du cinéma français. Nous le rappelons en préambule car c’est précisément cela qui est remis en question dans le Rapport sur le financement privé du cinéma et de l’audiovisuel (Dominique Boutonnat) dont les préconisations vont pour la majorité dans le sens d’une norme industrielle. En favorisant la logique d’exploitation commerciale plutôt que de préfinancement. En augmentant la taille des structures et leur verticalité (lier les structures de production et de distribution). En accentuant les effets de concentration, dans une logique libérale qui vient totalement contredire et mettre en péril ce qui fait, aujourd’hui encore, le succès économique et créatif du cinéma français. Au cœur des deux rapports, il y a le même argument central : une politique « nataliste » du cinéma français. Autrement dit : on ferait trop de films en France (237 Films d’Initiative Française en 2018). Avec pour conséquence trop d’éparpillement des investissements et surtout pas assez de rentabilité des œuvres. Il faudrait donc qu’il y ait moins de films. Le rapport insiste sur un chiffre : plus de la moitié des œuvres font moins de 50 000 entrées en salle. Ce serait donc ces films-là qu’il faudrait mettre en question. La majorité de ces films sont du cinéma d’auteur. Assorti à ce chiffre, cet argument d’une surproduction a sa popularité, d’autant qu’il offre une clef de lecture facile à diffuser dans l’espace public, donnant aux spectateurs l’impression de participer à la défense de leur propre goût et de leurs propres décisions de public. Comme si les spectateurs sanctionnaient les mauvais films par leur absence. La tendance des rapports à incriminer l’écriture même des films va jusqu’à blâmer leurs auteurs pour leurs piètres performances. Les auteurs feraient trop de mauvais films. Oui, un trop grand nombre de films connaissent un destin médiocre en salle, mais c’est un constat politique. Ce sont souvent moins les spectateurs qui les rejettent que les acteurs du marché. Les films ne sont pas tous à égalité face à la salle, ils n’ont pas les mêmes opportunités. Ceux qui ont moins de pouvoir sont victimes des sorties massives dans les circuits qui jouent la carte des effets de concentration et imposent de violents turn-over d’une semaine à l’autre. En bref, on reproche des mauvais scores à des films qui ne sont parfois volontairement pas montrés. Parlons précisément de ce trop grand nombre de films. En 2012, il y avait 209 films d’initiative française, en 2018 il y en avait 237. On parle de 28 films de plus. D’autant que sur la même période la transition numérique rendait la diffusion des films plus simple et moins onéreuse tandis que le nombre d’écrans augmentait. En 2010, il y avait 6,8 millions de séances au total. En 2018, 8,4 millions. Nous avons le tissu de salles et les ressources pour faire vivre les œuvres. Vouloir en supprimer est un contresens historique quand la multiplication des canaux de diffusion réclame en fait toujours plus de « contenus ». Le problème n’est pas la surproduction. Le problème est surtout du côté des effets de concentration dans l’exploitation. Entre 2010 et 2017, le nombre total de films sortis en France a augmenté de 20 %. Sur la même période, celui des films sortis sur plus de 500 copies augmentait de 28 %. Parmi eux, celui des films français sortis sur plus de 500 copies augmentait de 90 %. Surexploitation et surexposition de certains films, c’est là qu’est la dérive des dernières années. C’est notamment là qu’il y a urgence à réformer. À ce mauvais effet de lecture vient s’ajouter une analyse volontairement partielle. On ne saurait questionner sérieusement la rentabilité d’un film à l’aune de sa seule recette salle. D’abord parce que la rentabilité d’un film se calcule sur un minimum de 5 ans. Ensuite parce que bon nombre de films millionnaires ne sont pas rentables vu leur coût de fabrication quand, pour certains, quelques dizaines de milliers d’entrées suffisent à être à l’équilibre. Mais, plus important, parce que la salle n’est qu’une partie de la carrière et de la rentabilité d’un film. Surtout s’il s’agit d’un cinéma d’auteur. Car nos films vont dans les plus grands festivals de cinéma. Nos films s’exportent dans un très grand nombre de territoires à l’étranger. Nos films sont convoités par les plateformes extraterritoriales. Nombre d’entre eux poursuivent aussi leur carrière dans le cadre des dispositifs scolaires nationaux, continuant de faire des dizaines de milliers d’entrées, et participant ainsi à l’éducation au cinéma des écoliers, collégiens, lycéens et apprentis français. Enfin, ce sont nos films qui permettent au cinéma français de se renouveler, puisque nous produisons 30 % de premières œuvres, révélant ainsi les auteurs et les succès de demain. Nous sommes rentables. Pas toujours pour nous-mêmes car l’argent est à l’écran, mais pour l’industrie, c’est certain. Il faut enfin rappeler que la part de marché des films français est de 40 % et qu’elle est en progression. Cette part de marché exceptionnelle est directement liée à la richesse de l’offre. Supprimer ces fameux films « en trop », c’est mettre en péril cette part de marché que toute l’Europe nous envie. C’est un enjeu de santé collective. Rappeler également, qu’un film – qu’il marche ou non – participe à l’économie de l’industrie et du pays. Le cinéma français joue un rôle économique de premier plan, avec 5,8 Md€ de valeur ajoutée. Son impact social est évalué à 127 395 emplois, dont 92 775 emplois directs. La part d’analyse concernant le CNC dans les deux rapports vient enfoncer le clou. Le CNC y est pensé comme un incubateur, censé promouvoir une logique industrielle et entrepreneuriale. Chez Magne et Calvez, il s’agit de plafonner les ressources qu’il collecte de la taxe affectée, instaurer des critères de succès à l’export ou d’entrées en salles pour l’éligibilité des films aux aides publiques. Ce rapport, le moins bien informé sur une institution très régulièrement auditée, va à l’encontre de toutes les préconisations de ses prédécesseurs. Nous renouvelons ici notre confiance et notre soutien au CNC, outil toujours moderne de concertation et de régulation. Nous participerons en son sein aux discussions que nous appelons de nos vœux car sur ce point nous sommes d’accord : il y a urgence à réformer. C’est pourquoi il nous semble capital de faire les bons diagnostics. Et de ne pas laisser grandir cette nouvelle exception culturelle française : être le seul pays au monde qui pense avoir trop de cinéma d’auteur. La tribune a été signée par 11 organisations professionnelles et 800 signataires représentant la filière indépendante, parmi lesquels : Organisations signataires La SRF (Société des Réalisateurs de Films), Le SCA (Scénaristes Cinéma Associés), la Guilde des scénaristes, l’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion), l’ADDOC (Association des cinéastes documentaristes), le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants), le SDI (Syndicat des Distributeurs Indépendants), le GNCR (Groupement National des Cinémas de Recherche), l’AFCAE (Association Française des Cinémas Art et Essai), AAFA (Actrices et Acteurs de France Associés), l’AFC (Association Française des directeurs de la photographie cinématographique) Ont signé individuellement : Scénaristes : Jacques Akchoti , Maud Ameline , Yacine Badday , Loïc Barrère , Jamal Belmahi, Christophe Botti , Fanny Burdino , Giulio Callegari , Fanny Chesnel, Pierre Chosson , Olivier Demangel , Mariette Désert , Raphaëlle Desplechin, Martin Drouot , Jeremie Dubois , Julien Farrugia , Jean-Luc Gaget , Zoé Galeron , Olivier Gorce , Maya Haffar, Arnaud Hémery , Nathalie Hertzberg , Mélina Jochum , Nathalie Lafaurie , Nadine Lamari , Philippe Lasry, Guillaume Laurant , Benjamin Legrand , Yasmine Louati , Lise Macheboeuf, Gaëlle Mace , Gladys Marciano, Frédérique Moreau , Caroline Ophelie , Julie Peyr , Anne Peyrègne , Agnès de Sacy, Nathalie Saugeon , Fabien Suarez , Anne-Louise Trividic , Cecile Vargaftig , Isabelle Wolgust , Iris Wong Cinéastes : Jean Achache, Barmak Akram, Sofia Alaoui , Fleur Albert , Anne Alix , Siegrid Alnoy, Maud Alpi , Cristele Alves Meira , Marie Amachoukeli, David André , Guillaume André , Hélène Angel , Claire Angelini , Lionel Vania Arazi , Frederik Arens Grandin , Stephane Arnoux , Jacques Audiard , Myriam Aziza , Sébastien Bailly , René Ballesteros , François Barat , Aurélia Barbet , Patricia Bardon , Ange Basterga , Rémy Batteault , Michel Baulez , Xavier Beauvois , Laurent Bécue-Renard , Vesna Bejic , Sébastien Bellaval , Lucas Belvaux , Laurent Bénégui , Arnaud Bénoliel , Luc Beraud , Julie Bertuccelli , Sebastien Betbeder , Gilles Bindi , Pascale Bodet , Bertrand Bonello , Bruno Bontzolakis , Claudine Bories , Lucie Borleteau , Marie Borrelli , Laurent Bouhnik , Guillaume Brac , Jean Breschand , Marie-Pierre Bretas , Pascale Breton , Emilie Brisavoine , Cyril Brody , Claire Burger , Doris Buttignol , Dominique Cabrera , François Caillat , Thomas Cailley , Robin Campillo , Laurent Cantet , Caroline Capelle , Ugo Casabianca , Idit Cebula , Patrice Chagnard , Claude Chamis , Béatrice Champanier , Hubert Charuel , Matthieu Chatellier , Chad Chenouga , Hugo Chesnard , Patric Chiha , Dominique Choisy , Caroline Chomienne , Anne Cissé , Christophe Clavert , Romain Cogitore , Christophe Cognet , Renaud Cohen , Christophe Colliat-Dragon , Gilles Combet , Jean-Louis Comolli , Catherine Corsini , Paul Costes , Amélie Covillard, Vero Cratzborn , Jeanne Crépeau , Dominique Crèvecoeur , Marine de Contes , Daniela de Felice , Thierry de Peretti , Marina Déak , Emad Dehkordi , Emilie Deleuze , Delphine Deloget , Edouard Deluc , Sophie Delvallée , Jean Denizot , Dante Desarthe , Fabianny Deschamps , Sylvain Desclous , Antoine Desrosières , Marion Desseigne Ravel , Pascal Deux , Marguerite Didierjean , Vincent Dieutre , Mati Diop, Alexandra Dols , Ariane Doublet , James Down , Céline Drean , Olivier Ducastel , Steve Duchesne , Marie Dumora , Jean-Pierre Dupuy , Pierre-Nicolas Durand , Claude Duty , Roland Edzard , Nadia El Fani , Licia Eminenti , Nicolas Engel , Liam Engle , Guillaume Fabre-Luce , Fabienne Facco , Abbas Fahdel , Jacques Fansten , Francois Farellacci , Joel Farges , Lea Fehner , Anna Feillou , Pascale Ferran , Laurence Ferreira Barbosa , Sophie Fillières , Aline Fischer , Kathleen Fonmarty , Marine Francen , Brahim Fritah , François Fronty , Luc Galissaires , Jean-Raymond Garcia , Marielle Gautier , Dyana Gaye , Fabrice Genestal , Aurélia Georges , Jean-Baptiste Germain , Bernard Gilhodes , Lucas Gloppe , Mathias Gokalp , Jean-Louis Gonnet , Yann Gonzalez , Maryam Goormaghtigh , Diego Governatori , Emmanuel Gras , Eugène Green , Mallory Grolleau , Lionel Guedj , Julien Guetta , Gallien Guibert , Liza Guillamot , Sylvia Guillet , Alain Guiraudie , Patrick Hadjadj , Pascale Hannoyer , Michel Hazanavicius , Laurent Herbiet , Laurent Heynemann , Esther Hoffenberg , Aline Holcman , Florence Hugues , Françoise Huguier , Danielle Jaeggi , Nadia Jandeau , Agnes Jaoui , Thomas Jenkoe , Naruna Kaplan de Macedo , Vergine Keaton , Héléna Klotz , Nicolas Klotz , Julia Kowalski , Lech Kowalski , Hadrien La Vapeur , Alexandre Labarussiat , Jeanne Labrune , Pierre Lacan , Victoria Lafaurie , Joachim Lafosse , Daisy Lamothe , Christophe Lamotte , Alexandre Lança , Kloe Lang , Laurent Lariviere , Arnaud Larrieu , Sonia Larue , Nicolas Lasnibat , Sébastien Laudenbach , Pierre Le Gall , Serge Le Péron , Julien Lecat, Luc Leclerc du Sablon , Adrien Lecouturier , Nolwenn Lemesle , Valérie Leroy , Guillaume Levil , Christelle Lheureux , Sébastien Lifshitz , Thomas Lilti , Jean Pierre Limosin , Carl Lionnet , Salvatore Lista , Linda Lo , Jacques Lœuille , Christophe Loizillon , Philippe Lopes Curval , Marie Losier , Nicolas Lugli , Vincent Macaigne , Chloé Mahieu , Guillaume Mainguet , Erick Malabry , Marie Mandy , Naël Marandin , Pascal Marc , Dominique Marchais , Keren Marciano , François Margolin , Sébastien Marnier , Paul Marques Duarte , Emmanuel Marre , Clément Martin , Sophie Martin d autryve , Jacques Martineau , Pierre Mazingarbe , Marie-Castille Mention-Schaar , Agnes Merlet , Frédéric Mermoud , Nicolas Mesdom , Perrine Michel , Laetitia Mikles , Hélène Milano , Viktor Miletic , Valerie Minetto , Gérard Mordillat , Lisbeth Mornet , Emmanuelle Mougne , Christophe Nanga-Oly , Fred Nicolas , Anna Novion , Michel Ocelot , Agathe Oléron , Valerie Osouf , Mariana Otero , Bénédicte Pagnot , Christine Paillard , Enrika Panero , Rithy Panh , Richard Paraiso , Emmanuel Parraud , Claire Patronik , Héloïse Pelloquet , Antonin Peretjatko , Monique Perez , Vladimir Perisic , Louis-Julien Petit, Laurence Petit-Jouvet , Nicolas Philibert , Lila Pinell , Sylvain Pioutaz , Bruno Podalydès , Gilles Porte , Martin Provost , Tony Quéméré , Katell Quillévéré , Nick Quinn , Frederic Ramade , Alain Raoust , Alban Ravassard , Anna Recalde Miranda , Philippe Renault , Dania Reymond , Adrien Ricciardelli , Agathe Riedinger , Raphaël Rivière , Axelle Ropert , Brigitte Roüan , Christian Rouaud , Baptiste Rouget-Luchaire , David Roux , Jean Michel Roux , Céline Rouzet , Christophe Ruggia , Daisy Sadler , Thomas Salvador , Pierre Salvadori , Julien Samani , Srinath Christopher Samarasinghe , Hedi Sassi , Régis Sauder , Clément Schneider , Céline Sciamma , Christine Seghezzi , Julien Selleron , Guillaume Senez , Idir Serghine , Reza Serkanian , Louis Albert Serrut , Olivier Sigaut , Charlotte Silvera , Morgan Simon , Bastien Simon , Claire Simon , Jan Sitta , Alexandra Sollogoub , Christian Sonderegger , Brigitte Sy , Bernard Tanguy , Coco Tassel , Sébastien Téot , Pascal Tessaud , Hugo Thomas , Pascal Thomas , Jean-Pierre Thorn , Nadejda Tilhou , Léa Todorov , Marie-Claude Treilhou , Justine Triet , Gilles Trinques , Martin Tronquart , Corto Vaclav , Philippe Van leeuw , André Van ln , Christian Vandelet , Pamela Varela , Lise Vayssiere , Marie Vermillard , Aurélien Vernhes-Lermusiaux , Jean-Robert Viallet , Vanina Vignal , Caroline Vignal , Anne Villacèque , Pascal-Alex Vincent , Pierre Vinour , Maxence Voiseux , Luc Wouters , François Zabaleta , Olivier Zabat , Nicolas Zappi , Jules Zingg , Rebecca Zlotowski , Patrick Zocco Producteurs.trices : 10:15 PRODUCTIONS (Sébastien Haguenauer), 18 JOURS (Frédéric Marboeuf), 3B PRODUCTIONS (Jean Bréhat et Muriel Merlin), 31 JUIN FILMS (Emmanuel Barraux et Agnès Vallée), 416 PROD (Mélissa Theuriau), ABSOLUMENT FILMS (Jacques Aflalo), ACROBATES FILMS (Claire Lajoumard), ADVITA PRODUCTIONS (Bernard Dal Molin), AETERNAM FILMS (Arnaud Louvet), AGAT FILMS/EX NIHILO (Marc Bordure et Patrick Sobelman), AIRNZOOM FILMS (Marc Chicaud), ALTERMEDIA (Caroline Chomienne), ANDOLFI (Arnaud Dommerc), APACHES FILMS (Jeanne Ezvan et Marthe Lamy), A PERTE DE VUE (Colette Quesson), APSARA FILMS (Marine Arrighi de Casanova), ARCHES FILMS (Etienne Comar), ARCHIPEL 35 (Denis Freyd), ARDECHE IMAGES PRODUCTION (Jean-Marie Barbe), ARI PICTURES (Sébastien Baudier et Arthur Choupin), ARTISANS DU FILM (Valéry du Peloux), ARTURO MIO (Caroline Roussel), ASTHARTE & CIE (Sophie Deloche), AURORA FILMS (Charlotte Vincent), AXE SUD PRODUCTION (Marie-Pierre Bousquet), AYOTL (Thiébaut Viel), BAC FILMS (David Grumbach), BACHIBOUZOUK (Laurent Duret), BAGAN FILMS (Patrick Hernandez et Véronique Siegel), BALDANDERS FILMS (Mathias Bourrissoux), BEALL PRODUCTIONS (Jean-Marie Nizan), BLUE MONDAY (Sandra Da Fonseca, Bertrand Gore et Nathalie Mesuret), BOCALUPO FILMS (Jasmina Sijercic), BON VOYAGE FILMS PRODUCTION (Bruno François-Boucher), BONNE PIOCHE (Emmanuel Priou), C-P PRODUCTIONS (Annie Gonzalez), CARAVAN PASS (Natalie Dana), CENTRALE ELECTRIQUE (Olivier Boischot), CHAZ PRODUCTIONS (Elisabeth Perez), CHEVALDEUXTROIS (Jérémy Forni), CHRISTMAS IN JULY (Julie Salvador), CINE SUD PROMOTION (Pierre Grangereau et Thierry Lenouvel), CINEMA DEFACTO (Tom Dercourt et Sophie Erbs), CINEPHAGE PRODUCTIONS (Victor Ede), COLORED FILMS (Isabelle Parion), CONTI FILMS (Jean-Frédéric Samie), CRESCENDO MEDIA FILMS (Serge Guez et Maud Reynaud), DAISY DAY FILMS (Céline Farmachi et Florent Lacaze), DELANTE PRODUCTIONS (Caroline Adrian), DEUXIEME LIGNE FILMS (Marie Dubas), DOC&ROLL FILMS PRODUCTION (Véronique Radovic), DOLCE VITA FILMS (Marc Irmer), DON QUICHOTTE FILMS (Yannick Beauquis et Quentin Brayer), DROLE DE TRAME (Maud Huynh), DUBLIN FILMS (David Hurst), DUNO FILMS (Jérémie Chevret), ECOMEDIA (Marie-Hélène Baconnet), ELEAZAR (Edmée Millo), ELEVER LA VOIX FILMS (Eric Vernière), ELIANEANTOINETTE (Candice Zaccagnino), ELLABEL PRODUCTIONS (Alain Bellon), ELZEVIR FILMS (Marie Masmonteil), EN COMPAGNIE DES LAMAS (Sandrine Brauer), ENVIE DE TEMPÊTE PRODUCTIONS (Frédéric Dubreuil), EPICENTRE FILMS (Daniel Chabannes), EVERYBODY ON DECK (Gaëlle Bayssière et Didier Creste), FASTPROD (Jean-François Moussié), FELICITE PRODUCTION (Claire Duguet et Cécilia Rose), FILMS DE FORCE MAJEURE (Jean-Laurent Csinidis), FILMS GRAND HUIT (Lionel Massol et Pauline Seigland), FIN AOUT PRODUCTIONS (Marielle Duigou), FIVE2ONE FILMS (Alain Grandgerard), FRANCE MOVIE SERVICES (Léna Lavant et Xavier Lavant), FRENCH CANCAN PRODUCTION (Nicolas Traube), GABI PRODUCTION (Barbara Schuerrer), GASP! (Olivier Chabalier et Clémence Marcadier), GIRELLE PRODUCTION (Christophe Camoirano et Marion Lacôte), GLORIA FILMS PRODUCTION (Laurent Lavolé), GOGOGO FILMS (Carine Ruszniewski), GOOD FORTUNE FILMS (Clément Duboin), HAUTLESMAINS PRODUCTIONS (Thomas Micoulet), HIPPOCAMPE (Jordane Oudin), IKKI FILMS (Edwina Liard et Nidia Santiago), ILIADE ET FILMS (Oury Milshtein), ILLEGITIME DEFENSE (Arnaud Xainte), INSOLENCE PRODUCTIONS (Anaïs Bertrand), ISKRA (Viviane Aquilli, Matthieu de Laborde et Inger Servolin), J+B SEQUENCES (Béatrice Camurat Jaud), JOPARIGE FILMS (Marianne Lère), KALEO FILMS (Olivier Charvet et Sophie Germain), KAZAK PRODUCTIONS (Jean-Christophe Reymond et Amaury Ovise), KEREN PRODUCTION (Samuel Moutel), KOLAM PRODUCTIONS (Olga Prud’homme Farges), L’IMAGE D’APRES (Orlane Dumas, Annabelle Gangneux, Maud Martin, Damien Monnier et Charlie Rojo), LA COMPAGNIE DES TAXI-BROUSSE (Karim Samai), LADYBIRDS FILMS (Hélène Badinter), LA FABRICA NOCTURNA CINEMA (Marina Perales Marhuenda et Xavier Rocher), LA HUIT (Stéphane Jourdain), LA LUNA PRODUCTIONS (Sébastien Hussenot), LALILULELO PRODUCTIONS (Mehdi Haddou), LA MER A BOIRE PRODUCTIONS (Ludovic Henry), LA PETITE PROD (Camille Chandellier), LA VINGT-CINQUIEME HEURE (Pierre-Emmanuel Le Goff et Guilhem Olive), LAIDAK FILMS (Antoine Liétout et Ivan Zuber), LA VIE EST BELLE (Céline Maugis), LE BUREAU (Bertrand Faivre), LES CONTES MODERNES (Patrice Nezan), LES FILMS D’ANTOINE (Antoine Simkine), LES FILMS D’ICI (Richard Copans, Camille Laemlé, Serge Lalou et Charlotte Uzu), LES FILMS D’ICI 2 (Claire Dornoy), LES FILMS DE L’APRES-MIDI (François d’Artemare), LES FILMS DE L’AUTRE COUGAR (Annabelle Bouzom), LES FILMS DE LA CAPITAINE (Laurine Pelassy), LES FILMS DE FRANCOISE (Mina Driouche), LES FILMS DE L’ŒIL SAUVAGE (Frédéric Féraud), LES FILMS DE PIERRE (Marie Ange Luciani), LES FILMS DU BAL (Judith Lou Lévy et Eve Robin) , LES FILMS DU BELIER (Justin Taurand), LES FILMS DU CLAN (Charles Philippe et Lucile Ric), LES FILMS DU CYGNE (Alexandre Charlet et Jonathan Hazan), LES FILMS HATARI (Michel Klein), LES FILMS NORFLOK (Noël Fuzellier, Marine Lepaulmier et Philippe Wendling), LES FILMS PELLEAS (David Thion et Philippe Martin), LES FILMS VELVET (Frédéric Jouve), LES GRANDS ESPACES (Florian Mole), LES PRODUITS FRAIS (Oriane Hurard et Damien Lagogué), LES TOILES DU COSMOS PRODUCTIONS (Hugo Lagorce), LILIES FILMS & HOLD-UP FILMS (Bénédicte Couvreur), LOCAL FILMS (Nicolas Brevière), LOOK AT SCIENCES (Vincent Gaullier), LUMINA FILMS (Marie Napoli), MANEKI FILMS (Didar Domehri), MAT PRODUCTIONS (Richard Magnien et Marie Mouchel-Blaisot), MAZEL PRODUCTIONS et NELKA FILMS (Nelly Kafsky), MELOCOTON FILMS (Julien Gaspar-Oliveri, Théo Laboulandine, Archibald Martin et Hélène Mitjavile), MELTING PRODUCTIONS (Florent Guimberteau), MEROE FILMS (Marie Gutmann), METORES FILMS (Ariane Métais), MEZZANINE FILMS (Mathieu Bompoint), MIL SABORDS (Laurent Pannier), MILGRAM (Clément Mathon), MILLE ET UNE PRODUCTIONS (Edouard Mauriat), MISIA FILMS (Valentina Merli), MOTEUR S’IL VOUS PLAIT (Christie Molia), MPM FILM (Marie-Pierre Macia), NO GRAVITY FILMS (Nicolas Djian), NORTE PRODUCTIONS (Valentina Novati), O2B FILMS (Olivier De Bannes), OFFSHORE (Fabrice Préel-Cléach et Emmanuelle Latourrette), OLYMPE STAR FILMS (Antoine Dumats et Guillaume Quetel), ORIFLAMME FILMS (Christophe Delsaux), ORIGINE FILMS (Olivier BERLEMONT), OROK FILMS (Salam Jawad), OVERLAP FILMS (Juliane Meyer), PAPY3D PRODUCTIONS (Richard Van Den Boom), PARAISON PRODUCTION (Camille Genaud, Nathalie Trafford et Clarisse Tupin), PATAFILM (Antonin Ehrenberg), PERSPECTIVE FILMS (Gaëlle Jones), PETIT A PETIT PRODUCTION (Rebecca Houzel), PICTOR (Adrien Bretet), PILI FILMS (Florence Stern), PLAN LIBRE (David Da Costa), QUARTETT PRODUCTION (Alexis Boulanger et Ethan Selcer), REBOOT FILMS (Olivier Aknin), RECTANGLE PRODUCTIONS (Alice Girard et Edouard Weil), RESPIRO PRODUCTIONS (Amélie Quéret), RNB!FILMS (Brigitte Coquelle et Roland Tcherkezian), ROUGE INTERNATIONAL (Julien Naveau), SBS PRODUCTIONS (Saïd Ben Saïd), SEDNA FILMS (Cécile Vacheret), SEPPIA (Pascaline Geoffroy), SESAME FILMS (Florence Borelly), SILEX FILMS (Priscilla Bertin et Judith NORA), SISTER PRODUCTIONS (Julie Paratian), SLOT MACHINE (Marianne Slot), SPECIAL TOUCH STUDIOS (Sébastien Onomo), SRAB FILMS (Toufik Ayadi, Christophe Barral), SUNRISE FILMS (Anne Rapczyk), SUPERMOUCHE PRODUCTIONS (Brigitte Ducottet et Emmanuel Georges), SURVIVANCE (Carine Chichkowsky), SYNECDOCHE (David Frenkel), TAKAMI PRODUCTIONS (Karine Blanc), TEN2TEN FILMS (Gwenaelle Clauwaert), TESSALIT PRODUCTIONS (Rachid Bouchareb), THE LIVING (Nathalie Dennes), TIRESIAS FILMS (Laure Dahout et Anne-Sophie Derez), TO BE CONTINUED (Lionel Guedj et Dominique Marzotto), TOPSHOT FILMS (Robin Robles), TRIPODE PRODUCTIONS (Guillaume Dreyfus et Delphine Schmit), TRIPTYQUE FILMS (Guillaume Massart), TS PRODUCTIONS (Miléna Poylo et Gilles Sacuto), UNITE DE PRODUCTION (Bruno Nahon et Caroline Nataf), WALLWORKS (Claude Kunetz), WE FILM (Jonathan Rubin), WHY NOT PRODUCTIONS (Pascal Caucheteux et Grégoire Sorlat), YAMI 2 (Christophe Nick), YGGDRASIL (Pierre-Yves Jourdain), YSE PRODUCTIONS (Marie Agnely), YUKUNKUN (Nelson Ghrénassia) Distributeurs : AD VITAM (Alexandra Henochsberg), ARIZONA DISTRIBUTION (Bénédicte Thomas), L’ATELIER D’IMAGES (Hugues Peysson), BOBINE FILMS (Jovita Maeder), CARLOTTA FILMS (Vincent Paul-Boncour), CINEMA PUBLIC FILMS (Valentin Rebondy), CONDOR DISTRIBUTION (Anne-Cécile Rolland), DAMNED (Yohann Cornu), DIAPHANA (Michel Saint-Jean), DOCKS 66 (Violaine Harchin, Aleksandra Cheuvreux), DOCUMENTAIRE SUR GRAND ECRAN (Annick Peigné-Giuly), LES ACACIAS (Jean-Fabrice Janaudy), LES FILMS DE L’ATALANTE (Gérard Vaugeois), LES FILMS DU WHIPPET (Maud Weicherding) , GEBEKA FILMS (Valérie Yendt), HAUT ET COURT (Carole Scotta), JHR FILMS (Jane Roger), JOUR2FETE (Etienne Ollagnier, Sarah Chazelle), MALAVIDA (Anne-Laure Brénéol, Lionel Ithurralde), NEW STORY (Elisabeth Perlié), NEXT FILM DISTRIBUTION (Patrick Hernandez), OUTPLAY (Thibaut Fougères), PREMIUM FILMS (Jean-Charles Mille), PYRAMIDE DISTRIBUTION (Eric Lagesse), REZO FILMS (Jean-Michel Rey), SHELLAC (Thomas Ordonneau), UFO DISTRIBUTION (Stéphane Auclaire et William Jéhannin), WAYNA PITCH (Jonathan Musset) Exploitants : Chlorofilm, Quimperlé, (Gérard Le Neven), Ciné Melle, Melle (Danièle Hivert), Cinéphare Le Relecq Kerhuon, (Olivier Bitoun), Association Créa, Saint-Georges-de-Didonne, (Denis Lecat), Association des Cinémas de l’Ouest pour la Recherche (ACOR), Saint-Sulpice-sur-Loire, (Antoine Glémain), Association des Cinémas de Recherche d’Ile-de-France (ACRIF), Paris, (Didier Kiner), Association Nationale des Cinémas Itinérants (ANCI), Sillingy, (Eric Raguet), 3 Cinés Robespierre, Vitry-sur-seine , (Julien Fabre), Ciné 104, Pantin, (Anne Huet), Ciné Saint-Leu, Amiens, (Boris Thomas), Cinébus, Pays de Savoie, (Alain Tourrès), Cinéma Eldorado, Saint-Pierre d’Oléron (Philippe Chagneau), Cinéma Etoile, Mortagne-au-Perche, (Philippe Gautier), Cinéma François Truffaut, Chilly-Mazarin, (Marie Baldo), Cinéma Jean Renoir, Martigues, (Henri Denicourt), Cinéma Jean Vigo, Gennevilliers, (Jean-Serge Pennetier), Cinéma La Rivière, Etel, (Pierre Gicquel), Cinéma Pax, Le Pouliguen, (Jean-François Coyon), Cinéma Studio République, Le Blanc, (Véronique Champigny), Cinéma Yves Robert, Evron, (Imad Makhzoum), Cinemas 93, Montreuil, (Vincent Merlin), Cinemas du Sud, Marseille (Vincent Thabourey), Cinétoile, Carantec, (Emilie Josien), De la suite dans les images, Lille, (David Broutin), Ecrans VO, Cergy, (Yves Bouveret), Espace 1789, Saint-Ouen, (Marguerite Heme De Lacotte), Espace Marcel Carné, Saint-Michel/orge, (Pascal Platel), Groupement Régional d’Actions Cinématographiques (GRAC), Lyon, (Juliette Boutin), Iris Cinéma, Questembert, (Stéphanie Jourde), Jacques Prévert, Gonesse, (Thomas Petit), Jacques Tati, Orsay, (Thierry Soret), L’American Cosmograph, Toulouse, (Annie Mahot), L’Archipel, Paris, (Damien Truchot), L’Atalante, Bayonne, (Sylvie Laroque), L’Ecran, Saint-Denis, (Boris Spire), L’Omnia, Rouen, (Jean-Marc Delacruz), La Baleine, Marseille, (Bénédicte Hazé), La Coursive, La Rochelle, (Edith Périn), La Ferme du Buisson, Noisiel, (Dominique Toulat), La Palette, Tournus, (Bertrand Porcherot), La règle du jeu, Landerneau, (Alain Durand), La Salamandre, Morlaix, (Véronique L’Allain), Le Bretagne, Saint Renan, (Muriel Senant), Le Cin’Hoche, Bagnolet, (Frank Sescousse), Le Cinématographe, Nantes, (tous les administrateurs et salariés), Le Club, Nantua, (Casimir Miguelez), Le Concorde, La Roche-sur-Yon, (Paolo Moretti), Le Concorde, Mitry-Mory, (Maelig Cozic-Sova), Le Cratère, Toulouse, (Pierre-Alexandre Nicaise), Le Cyrano, Montgeron, (Sonia Brun), Le Dauphin, Plougonvelin, (Pascale Sarcou), Le Dietrich, Poitiers, (Marjorie Dangel), Le Familia, Bourgueil, (Isabelle Lacroix), Le Galaxy, Lecci de Porto-Vecchio, (Thierry Dorangeon), Le Gyptis, Marseille, (Juliette Grimont), Le Kosmos, Fontenay-sous-bois, (Nicolas Reyboubet), Le Lux, Caen, (Gautier Labrusse), Le Luxy, Ivry/seine, (Jean-Jacques Ruttner), Le Majestic Bastille, Paris (Mathieu Guetta), Le Méliès, Montreuil, (Stéphane Goudet), Le Méliès, Villeneuve-d’ascq, (Antoine Tilard), Le Rex, Brive-la-Gaillarde, (Romain Grosjean), Le Rex, Chauvigny, (Mario Rocchitelli), Le Rocher, La Garde, (Valérie Bersia), Le Sévigné, Cesson-Sévigné, (Jean-Pierre Houdeau), Le Studio, Tours, (Daniel Blanvillain), Le TAP, Poitiers, (Aldric Bostffocher), Le Zola, Villeurbanne, (Olivier Calonnec), Les Toiles, Saint Gratien, (Séverine Rocaboy), Maison de la Culture, Bourges, (Benoît Piederrière), Quai des images, Loudéac, (Isabelle Allo). Directeur.trices de la photographie : Pierre Aim, Richard Andry, Noé Bach, Sébastien Buchmann, Stephane Cami, Jean Charruyer, Laurent Chevallier, Axel Cosnefroy, Gregoire Darrasse, Gérard de Battista, Guillaume Deffontaines, Jimmy Glasberg, Antoine Héberlé , Vincent Jeannot, Lara Laigneau, Claire Mathon, Lionel Perrin, Pascal Poucet, Julien Poupard, Isabelle Razavet, Philippe Ros Autres professions signataires : Juliette Maillard (1 ère assistante réalisation), Nathalie Serriere (1ère assistante décoration), Stephane Rozenbaum (chef décorateur), Olivier Mauvezin (chef opérateur du son), Marie-noelle Horvath (Costumière) , Alice Beaucourt (Diffuseur), lan Hoang Xuan (Directrice de casting), Sylvie Buscall (Directrice de cinéma), Emmanuel Tronquart (Ecrivain public), Philippe Hédouin (Enseignant de cinéma, ancien président du Pôle Image Haute-Normandie), Natacha Juniot (Exploitante), Philippe Coroyer (Formateur) , Leïla Bergougnoux (Graphiste), Martin Boissau (Ingénieur du son), Arnaud Laporte (Journaliste), Daniel Deshays (Monteur son), Marie Bottois (Monteuse), Johanne Schatz (Monteuse), Anne Weil (Monteuse), Anaïs Pélaquier (Plasticienne), Olivier Williame (Professeur en BTS AUDIOVISUEL), Raphaël Gallet (Programmateur), Marianne Geslin (Programmatrice de films art et essai), Grégory Moro (Régisseur général), Antoine Dubois (Repéreur), Bénédicte Darblay (Scripte), Patrick Dekeyser (Technicien restauration numérique image) … Contacts presse : Julie Lethiphu (SRF) – 01 44 89 99 65 / contact@la-srf.fr Sabine Le Stum (SCA) – 06 84 54 39 89 / sabinelestum@scenaristesdecinemaassocies.fr Mickaël Lemesle (Guilde des scénaristes) – 06 84 04 09 26 / m.lemesle@guildedesscenaristes.org Fabienne Hanclot (ACID) – 01 44 89 99 74 / dg@lacid.org Charlotte Grosse (Addoc) – 01 44 89 99 88 / courrier@addoc.net Catherine Bertin (SPI) – 01 44 70 70 44 / info@lespi.org Emmanuelle Döry (SDI) 06 64 30 05 06 / emmanuelle.dory@sdicine.fr Jérôme Brodier (GNCR)- 01 42 82 94 06 / gncr@gncr.fr Renaud Laville (AFCAE) – 01 56 33 13 20 / renaud.laville@art-et-essai.org Xavier Mussel (AAFA) – 06 61 55 91 34 / xaviermussel@gmail.com Marie Garric (AFC) – 01 42 64 41 41 / …

4 juillet 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les prix obtenus à l’occasion du Festival international du film d’animation d’Annecy 2019

* Prix du jury pour un spécial TV : “La vie de château” de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi – Films Grand Huit et Miyu Productions

* Prix André-Martin pour un long métrage français : “Le Procès contre Mandela et les autres” de Nicolas Champeaux et Gilles Porte – Rouge International

* Prix André-Martin pour un court métrage français : “Mon juke box” de Florentine Grelier – Girelle Production

* Prix Fondation Gan à la Diffusion : “Josep” d’Aurel – Les Films d’Ici Méditerranée

* Prix CANAL + Jeune public : “Grand Loup & Petit Loup” de Rémi Durin – Les Films du Nord

LAURÉATS DES PITCHS MIFA :

Séries et spéciaux TV :

* Prix Ciclic : “Patrouille” de Inès Bernard-Espina, Mélody Boulissière et Clémentine Campos – Miyu Productions

Courts métrages :

* Prix SACD: “La Grande Arche” de Camille Authouart – Miyu Productions

* Prix Ciclic et Prix NEF Animation : “Hide” de Daniel Benjamin Gray – La Cellule Productions

Créations interactives et transmédia :

* Prix SACD « Œuvre interactive » : “Néphélé” d’Alexandre Perez – Floréal Films

* Prix du jury pour un spécial TV : “La vie de château” de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi – Films Grand Huit et Miyu Productions * Prix André-Martin pour un long métrage français : “Le Procès contre Mandela et les autres” de Nicolas Champeaux et Gilles Porte – Rouge International * Prix André-Martin pour un court métrage français : “Mon juke box” de Florentine Grelier – Girelle Production * Prix Fondation Gan à la Diffusion : “Josep” d’Aurel – Les Films d’Ici Méditerranée * Prix CANAL + Jeune public : “Grand Loup & Petit Loup” de Rémi Durin – Les Films du Nord LAURÉATS DES PITCHS MIFA : Séries et spéciaux TV : * Prix Ciclic : “Patrouille” de Inès Bernard-Espina, Mélody Boulissière et Clémentine Campos – Miyu Productions Courts métrages : * Prix SACD: “La Grande Arche” de Camille Authouart – Miyu Productions * Prix Ciclic et Prix NEF Animation : “Hide” de Daniel Benjamin Gray – La Cellule Productions Créations interactives et transmédia : * Prix SACD « Œuvre interactive » : “Néphélé” d’Alexandre Perez – Floréal …

17 juin 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les nombreux et prestigieux prix obtenus à l’occasion de la 72ème édition du festival de Cannes

* Grand Prix – Sélection officielle en compétition / Mention Spéciale CST de l’Artiste-Technicien 2019 (Claire Mathon)

Atlantique de Mati Diop

LES FILMS DU BAL

* Prix de la mise en scène – Sélection officielle en compétition

Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre et Luc Dardenne

ARCHIPEL 35

* Prix du scénario – Sélection officielle en compétition / Queer Palm / Prix CST de l’Artiste-Technicien 2019 (Claire Mathon)

Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma

LILIES FILMS & HOLD UP FILMS

* Prix d’interprétation féminine (Emily Beecham) – Sélection officielle en compétition

Little Joe de Jessica Hausner

THE BUREAU

* Caméra d’or / Prix SACD – Semaine de la critique

Nuestras Madres de César Díaz

PERSPECTIVE FILMS

* Palme d’or du court métrage / Queer Palm du court métrage 2019

La Distance entre le ciel et nous de Vasilis Kekatos

TRIPODE PRODUCTIONS

* Prix du jury – Un Certain Regard / Prix de la meilleure création sonore – La Semaine du son

Viendra le feu de Oliver Laxe

4 A 4 PRODUCTIONS

* Prix d’interprétation (Chiara Mastroianni) – Un Certain Regard

Chambre 212 de Christophe Honoré

LES FILMS PELLÉAS

* Mention spéciale – Un Certain Regard

Jeanne de Bruno Dumont

3B PRODUCTIONS

* Prix SACD 2019 – Quinzaine des réalisateurs

Une fille facile de Rebecca Zlotowski

LES FILMS VELVET

* Europa Cinemas Cannes Label – Quinzaine des réalisateurs

Alice et le maire de Nicolas Pariser

BIZIBI

* Prix International Students Award UniFrance / France Culture

Mes Provinciales de Jean-Paul Civeyrac

MOBY DICK FILMS

* Grand prix et Prix Grand Action – Prix UniFrance du Court-Métrage

Le Chant d’Ahmed de Foued Mansour

OFFSHORE

* Prix Spécial du Jury – Prix UniFrance du Court-Métrage

Plein Ouest de Alice Douard

THE LIVING & DEUXIEME LIGNE FILMS

* Prix Be TV – Prix UniFrance du Court-Métrage

One After the Other de Nicolas Pegon

MIYU PRODUCTIONS

* Prix Movistar+ – Prix UniFrance du Court-Métrage

Per Aspera Ad Astra de Franck Dion

PAPY3D PRODUCTIONS

* Prix RTBF – Prix UniFrance du Court-Métrage

Demain il fera beau de Jean-Baptiste Del Amo

RnB ! FILMS

* Mention spéciale – Prix UniFrance du Court-Métrage

Ma branche toute fine de Dinara Droukarova

ROUGE INTERNATIONAL & REZINA PRODUCTIONS


Contact :
Catherine BERTIN, Déléguée générale
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 44

* Grand Prix – Sélection officielle en compétition / Mention Spéciale CST de l’Artiste-Technicien 2019 (Claire Mathon) Atlantique de Mati Diop LES FILMS DU BAL * Prix de la mise en scène – Sélection officielle en compétition Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre et Luc Dardenne ARCHIPEL 35 * Prix du scénario – Sélection officielle en compétition / Queer Palm / Prix CST de l’Artiste-Technicien 2019 (Claire Mathon) Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma LILIES FILMS & HOLD UP FILMS * Prix d’interprétation féminine (Emily Beecham) – Sélection officielle en compétition Little Joe de Jessica Hausner THE BUREAU * Caméra d’or / Prix SACD – Semaine de la critique Nuestras Madres de César Díaz PERSPECTIVE FILMS * Palme d’or du court métrage / Queer Palm du court métrage 2019 La Distance entre le ciel et nous de Vasilis Kekatos TRIPODE PRODUCTIONS * Prix du jury – Un Certain Regard / Prix de la meilleure création sonore – La Semaine du son Viendra le feu de Oliver Laxe 4 A 4 PRODUCTIONS * Prix d’interprétation (Chiara Mastroianni) – Un Certain Regard Chambre 212 de Christophe Honoré LES FILMS PELLÉAS * Mention spéciale – Un Certain Regard Jeanne de Bruno Dumont 3B PRODUCTIONS * Prix SACD 2019 – Quinzaine des réalisateurs Une fille facile de Rebecca Zlotowski LES FILMS VELVET * Europa Cinemas Cannes Label – Quinzaine des réalisateurs Alice et le maire de Nicolas Pariser BIZIBI * Prix International Students Award UniFrance / France Culture Mes Provinciales de Jean-Paul Civeyrac MOBY DICK FILMS * Grand prix et Prix Grand Action – Prix UniFrance du Court-Métrage Le Chant d’Ahmed de Foued Mansour OFFSHORE * Prix Spécial du Jury – Prix UniFrance du Court-Métrage Plein Ouest de Alice Douard THE LIVING & DEUXIEME LIGNE FILMS * Prix Be TV – Prix UniFrance du Court-Métrage One After the Other de Nicolas Pegon MIYU PRODUCTIONS * Prix Movistar+ – Prix UniFrance du Court-Métrage Per Aspera Ad Astra de Franck Dion PAPY3D PRODUCTIONS * Prix RTBF – Prix UniFrance du Court-Métrage Demain il fera beau de Jean-Baptiste Del Amo RnB ! FILMS * Mention spéciale – Prix UniFrance du Court-Métrage Ma branche toute fine de Dinara Droukarova ROUGE INTERNATIONAL & REZINA PRODUCTIONS Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 …

27 mai 2019Actus-SPIactus-spi
TRIBUNE : Les producteurs indépendants au service de la création

Le SPI félicite ses adhérents pour la production de 30 films retenus dans les sélections du 72ème Festival de Cannes, avec notamment 9 films en compétition officielle.

Ces sélections honorent le SPI et démontrent que la richesse du cinéma français, européen et du cinéma d’auteur international passe par son tissu de producteurs indépendants qui accompagnent les réalisateurs et scénaristes du monde entier.

Fédérateurs de talents, stratèges d’une ambition artistique, le rôle des producteurs est sous-estimé.

Etre producteur indépendant, c’est défendre l’ambition artistique d’un projet, avec la pensée de son économie.

C’est garantir la bonne fin technique, artistique et juridique de l’œuvre pour tous les ayants droit, pendant toute la durée de vie de cette œuvre.

C’est trouver la meilleure exposition du film, au bénéfice de l’ensemble des ayants droit. Faire en sorte qu’il soit accessible sur tous les territoires, dans une offre grandisssante.

Etre producteur français, c’est préserver les droits moraux et patrimoniaux des artistes, dans un contexte qui s’internationalise, s’uniformise et se durcit.

Les producteurs sont les premiers à subir la raréfaction des financements de notre secteur.

Les producteurs sont les premiers à subir les conséquences de la raréfaction des financements. Pourtant, ils continuent d’accompagner les auteurs, d’investir dans le développement des projets.

On nous explique que les dispositifs existants ne sont pas là pour financer nos frais généraux. En niant l’évidence que ce sont nos structures qui accompagnent les créateurs, portent l’écriture de nouveaux projets, dans un cercle vertueux qui se perpétue et s’inscrit dans la durée.

Plutôt que d’encourager ce cercle vertueux et la solidarité entre les différents métiers, la liberté d’action des producteurs est mise à mal, alors que nous sommes la profession la plus réglementée de notre écosytème.

Les producteurs français indépendants sont pourtant notre plus grande force dans un contexte qui s’internationalise.

Regardons en face les enjeux essentiels qui sont les nôtres. Faisons en sorte que la création française perdure, dans le contexte incertain du développement incontrôlé des GAFAN.

La stratégie de ces multinationales est pourtant claire : capter les spectateurs, les talents, les droits, en échappant en même temps à toute forme de contribution à l’intérêt général.

Notre système est simple, efficace, vertueux, créateur de valeur : une régulation éclairée et la mutualisation de certaines ressources, pour assurer le dynamisme et le renouvellement de notre création.

Permettre l’emergence de nouveaux talents, préserver les droits et la liberté des créateurs, assurer une exploitation suivie et transparente des œuvres : face à la logique de copyright des plateformes, comment mieux défendre notre patrimoine commun qu’en s’appuyant sur l’exceptionnel tissu de producteurs français indépendants ?

Les producteurs indépendants sont les garants de la création cinématographique, et le socle de la création de valeur dans notre écosystème.

A l’aune de la transposition de la Directive Services de Médias Audiovisuels, le SPI appelle les pouvoirs publics à s’engager pour la défense de la production indépendante.

Le SPI félicite ses adhérents pour la production de 30 films retenus dans les sélections du 72ème Festival de Cannes, avec notamment 9 films en compétition officielle. Ces sélections honorent le SPI et démontrent que la richesse du cinéma français, européen et du cinéma d’auteur international passe par son tissu de producteurs indépendants qui accompagnent les réalisateurs et scénaristes du monde entier. Fédérateurs de talents, stratèges d’une ambition artistique, le rôle des producteurs est sous-estimé. Etre producteur indépendant, c’est défendre l’ambition artistique d’un projet, avec la pensée de son économie. C’est garantir la bonne fin technique, artistique et juridique de l’œuvre pour tous les ayants droit, pendant toute la durée de vie de cette œuvre. C’est trouver la meilleure exposition du film, au bénéfice de l’ensemble des ayants droit. Faire en sorte qu’il soit accessible sur tous les territoires, dans une offre grandisssante. Etre producteur français, c’est préserver les droits moraux et patrimoniaux des artistes, dans un contexte qui s’internationalise, s’uniformise et se durcit. Les producteurs sont les premiers à subir la raréfaction des financements de notre secteur. Les producteurs sont les premiers à subir les conséquences de la raréfaction des financements. Pourtant, ils continuent d’accompagner les auteurs, d’investir dans le développement des projets. On nous explique que les dispositifs existants ne sont pas là pour financer nos frais généraux. En niant l’évidence que ce sont nos structures qui accompagnent les créateurs, portent l’écriture de nouveaux projets, dans un cercle vertueux qui se perpétue et s’inscrit dans la durée. Plutôt que d’encourager ce cercle vertueux et la solidarité entre les différents métiers, la liberté d’action des producteurs est mise à mal, alors que nous sommes la profession la plus réglementée de notre écosytème. Les producteurs français indépendants sont pourtant notre plus grande force dans un contexte qui s’internationalise. Regardons en face les enjeux essentiels qui sont les nôtres. Faisons en sorte que la création française perdure, dans le contexte incertain du développement incontrôlé des GAFAN. La stratégie de ces multinationales est pourtant claire : capter les spectateurs, les talents, les droits, en échappant en même temps à toute forme de contribution à l’intérêt général. Notre système est simple, efficace, vertueux, créateur de valeur : une régulation éclairée et la mutualisation de certaines ressources, pour assurer le dynamisme et le renouvellement de notre création. Permettre l’emergence de nouveaux talents, préserver les droits et la liberté des créateurs, assurer une exploitation suivie et transparente des œuvres : face à la logique de copyright des plateformes, comment mieux défendre notre patrimoine commun qu’en s’appuyant sur l’exceptionnel tissu de producteurs français indépendants ? Les producteurs indépendants sont les garants de la création cinématographique, et le socle de la création de valeur dans notre écosystème. A l’aune de la transposition de la Directive Services de Médias Audiovisuels, le SPI appelle les pouvoirs publics à s’engager pour la défense de la production …

15 mai 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs sélections au 72ème Festival de Cannes:

**SELECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION

***Longs Métrages

LE TRAÎTRE

Marco BELLOCCHIO

AD VITAM PRODUCTION

LE JEUNE AHMED

Jean-Pierre & Luc DARDENNE

ARCHIPEL 35

ATLANTIQUE

Mati DIOP

LES FILMS DU BAL

ROUBAIX, UNE LUMIÈRE

Arnaud DESPLECHIN

WHY NOT PRODUCTIONS

LITTLE JOE

Jessica HAUSNER

THE BUREAU

SORRY WE MISSED YOU

Ken LOACH

WHY NOT PRODUCTIONS

PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU

Céline SCIAMMA

LILIES FILMS & HOLD UP FILMS

SIBYL

Justine TRIET

LES FILMS PELLÉAS & LES FILMS DE PIERRE

***Courts Métrages

LA DISTANCE ENTRE NOUS ET LE CIEL

Vasilis KEKATOS

TRIPODE PRODUCTIONS

**UN CERTAIN REGARD

JEANNE

Bruno DUMONT

3B PRODUCTIONS

VIENDRA LE FEU (O QUE ARDE)

Oliver LAXE

4 A 4 PRODUCTIONS

CHAMBRE 212

Christophe HONORÉ

LES FILMS PELLÉAS

**CANNES CLASSICS

LA PASSION D’ANNA MAGNANI

Enrico CERASUOLO

LES FILMS DU POISSON

**LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS

***Longs Métrages

ALICE ET LE MAIRE

Nicolas PARISER

BIZIBI

LES PARTICULES

Blaise HARRISON

LES FILMS DU POISSON

SICK, SICK, SICK

Alice FURTADO

IKKI FILMS

THE ORPHANAGE

Shahrbanoo SADAT

LA FABRICA NOCTURNA CINÉMA

TO LIVE TO SING

Johnny MA

HOUSE ON FIRE

UNE FILLE FACILE

Rebecca ZLOTOWSKI

LES FILMS VELVET

ZOMBI CHILD

Bertrand BONELLO

LES FILMS DU BAL

***Courts Métrages

LES EXTRAORDINAIRES MÉSAVENTURES DE LA JEUNE FILLE DE PIERRE

Gabriel ABRANTES

LES FILMS DU BÉLIER

PLAISIR FANTÔME

Morgan SIMON

TROIS BRIGANDS PRODUCTIONS

OLLA

Ariane LABED

APSARA FILMS

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE

***Longs Métrages

ABOU LEILA

Amin SIDI-BOUMÉDIÈNE

IN VIVO FILMS

NUESTRAS MADRES

César DIAZ

PERSPECTIVE FILMS

***Courts Métrages

MARDI DE 8 A 18

Cecilia DE ARCE

KAZAK PRODUCTIONS

**LA SELECTION ACID

L’ANGLE MORT

Patrick-Mario BERNARD & Pierre TRIVIDIC

EX NIHILO, LES FILMS DE PIERRE & ROUGE INTERNATIONAL

DES HOMMES

Alice ODIOT & Jean-Robert VIALLET

UNITÉ DE PRODUCTION

RÊVES DE JEUNESSE

Alain RAOUST

CINÉMA DEFACTO

SOLO

Artemio BENKI

PETIT A PETIT PRODUCTION

VIF-ARGENT

Stéphane BATUT

ZADIG FILMS

**SELECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION ***Longs Métrages LE TRAÎTRE Marco BELLOCCHIO AD VITAM PRODUCTION LE JEUNE AHMED Jean-Pierre & Luc DARDENNE ARCHIPEL 35 ATLANTIQUE Mati DIOP LES FILMS DU BAL ROUBAIX, UNE LUMIÈRE Arnaud DESPLECHIN WHY NOT PRODUCTIONS LITTLE JOE Jessica HAUSNER THE BUREAU SORRY WE MISSED YOU Ken LOACH WHY NOT PRODUCTIONS PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU Céline SCIAMMA LILIES FILMS & HOLD UP FILMS SIBYL Justine TRIET LES FILMS PELLÉAS & LES FILMS DE PIERRE ***Courts Métrages LA DISTANCE ENTRE NOUS ET LE CIEL Vasilis KEKATOS TRIPODE PRODUCTIONS **UN CERTAIN REGARD JEANNE Bruno DUMONT 3B PRODUCTIONS VIENDRA LE FEU (O QUE ARDE) Oliver LAXE 4 A 4 PRODUCTIONS CHAMBRE 212 Christophe HONORÉ LES FILMS PELLÉAS **CANNES CLASSICS LA PASSION D’ANNA MAGNANI Enrico CERASUOLO LES FILMS DU POISSON **LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS ***Longs Métrages ALICE ET LE MAIRE Nicolas PARISER BIZIBI LES PARTICULES Blaise HARRISON LES FILMS DU POISSON SICK, SICK, SICK Alice FURTADO IKKI FILMS THE ORPHANAGE Shahrbanoo SADAT LA FABRICA NOCTURNA CINÉMA TO LIVE TO SING Johnny MA HOUSE ON FIRE UNE FILLE FACILE Rebecca ZLOTOWSKI LES FILMS VELVET ZOMBI CHILD Bertrand BONELLO LES FILMS DU BAL ***Courts Métrages LES EXTRAORDINAIRES MÉSAVENTURES DE LA JEUNE FILLE DE PIERRE Gabriel ABRANTES LES FILMS DU BÉLIER PLAISIR FANTÔME Morgan SIMON TROIS BRIGANDS PRODUCTIONS OLLA Ariane LABED APSARA FILMS **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE ***Longs Métrages ABOU LEILA Amin SIDI-BOUMÉDIÈNE IN VIVO FILMS NUESTRAS MADRES César DIAZ PERSPECTIVE FILMS ***Courts Métrages MARDI DE 8 A 18 Cecilia DE ARCE KAZAK PRODUCTIONS **LA SELECTION ACID L’ANGLE MORT Patrick-Mario BERNARD & Pierre TRIVIDIC EX NIHILO, LES FILMS DE PIERRE & ROUGE INTERNATIONAL DES HOMMES Alice ODIOT & Jean-Robert VIALLET UNITÉ DE PRODUCTION RÊVES DE JEUNESSE Alain RAOUST CINÉMA DEFACTO SOLO Artemio BENKI PETIT A PETIT PRODUCTION VIF-ARGENT Stéphane BATUT ZADIG …

15 mai 2019Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement la société de production Unité de production pour ses prix obtenus au Festival Séries Mania 2019.

Compétition internationale – Prix de la meilleure actrice décerné à Marina Hands

Prix du public

« Mytho » de Fabrice GOBERT

Bruno NAHON – UNITÉ DE PRODUCTION et ARTE FRANCE (Arte et Netflix)

Elle illustre le professionnalisme, la prise de risque, l’originalité de la production indépendante française résolument tournée vers l’international.

Contact :
Catherine BERTIN, Déléguée générale – Syndicat des Producteurs Indépendants
Tél. 01 44 70 70 44

Compétition internationale – Prix de la meilleure actrice décerné à Marina Hands Prix du public « Mytho » de Fabrice GOBERT Bruno NAHON – UNITÉ DE PRODUCTION et ARTE FRANCE (Arte et Netflix) Elle illustre le professionnalisme, la prise de risque, l’originalité de la production indépendante française résolument tournée vers l’international. Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale – Syndicat des Producteurs Indépendants Tél. 01 44 70 70 …

1 avril 2019Actus-SPIactus-spi
Non à la suppression de la redevance audiovisuelle


De nombreuses organisations de l’audiovisuel et du cinéma réagissent aux déclarations faites ce matin par le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin concernant la suppression de la redevance audiovisuelle.

Les organisations de l’audiovisuel et du cinéma signataires sont abasourdies par les déclarations faites ce matin sur BFM TV et RMC par Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, affirmant avoir proposé au Président de la République et au Premier ministre la suppression de la redevance audiovisuelle, mettant ainsi en danger l’ensemble du secteur audiovisuel français en plus de l’audiovisuel public.

Alors que depuis plusieurs années, de nombreux rapports parlementaires, portés par des députés et sénateurs de couleurs politiques très différentes, ont appelé les pouvoirs publics à réformer et à moderniser le financement du service public et la contribution à l’audiovisuel public, Gérald Darmanin semble y apporter une réponse technocratique, simpliste et démagogique : puisque la taxe est difficile à percevoir, supprimons-la !

Toutes les propositions des parlementaires ont convergé sur l’urgence de la réforme et la nécessité d’étendre l’assiette de la redevance pour tenir compte des nouveaux usages.

Nous partageons ces constats et ces propositions. La contribution à l’audiovisuel public est aujourd’hui déconnectée des usages et des modes d’accès au service public. Elle est aussi amenée à décroître avec la baisse attendue du taux d’équipements en poste de télévision. À la faveur de la disparition de la taxe d’habitation, il est impératif de la remplacer par une contribution universelle, affectée de façon pérenne au service public, déconnectée de tout support et qui concernerait l’ensemble des foyers fiscaux.

Toutes les grandes démocraties européennes ont fait le choix d’une ressource pérenne et affectée pour leur service public audiovisuel.

A contrario, tous les rapports ont rejeté cette voie facile de la suppression de la redevance qui s’avérerait très dangereuse pour le financement de l’audiovisuel public. Elle ouvrirait la porte à une budgétisation du financement des entreprises de l’audiovisuel public.

La possibilité pour l’État de fixer chaque année et à sa guise le montant affecté aux entreprises publiques ferait peser de lourdes craintes sur :

  • l’indépendance des services publics, notamment en matière d’information et de création
  • la visibilité et la pérennité du financement pour construire des stratégies sur le long terme
  • la confiance face à un État qui n’a jamais tenu ses engagements financiers dans le cadre des contrats d’objectifs et de moyens

Vouloir ainsi jouer avec le financement du service public, pour des raisons comptables et des petits calculs électoraux, n’est ni responsable ni à la hauteur de la réforme globale de l’audiovisuel public que le gouvernement entend également mener.

Redéfinir les missions, l’organisation et le financement du service public audiovisuel requiert un travail sérieux, collectif, approfondi dont l’intention n’apparaît pas dans les déclarations à l’emporte-pièce du ministre des comptes publics.

Le chantier de la réforme du service public est un enjeu démocratique pour notre pays. Il est aussi un enjeu pour l’ensemble du secteur de la création, du cinéma, de la fiction, du documentaire, de l’animation, de l’information, du spectacle vivant qui pourrait se trouver gravement affaibli par la réforme comptable qui semble en préparation à Bercy.

Les organisations signataires demandent au gouvernement de clarifier sans délai ses intentions sur le financement de l’audiovisuel public.

Sans la garantie d’un financement pérenne et ambitieux, la réforme du service public serait celle de la démagogie et du démantèlement.

De nombreuses organisations de l’audiovisuel et du cinéma réagissent aux déclarations faites ce matin par le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin concernant la suppression de la redevance audiovisuelle. Les organisations de l’audiovisuel et du cinéma signataires sont abasourdies par les déclarations faites ce matin sur BFM TV et RMC par Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, affirmant avoir proposé au Président de la République et au Premier ministre la suppression de la redevance audiovisuelle, mettant ainsi en danger l’ensemble du secteur audiovisuel français en plus de l’audiovisuel public. Alors que depuis plusieurs années, de nombreux rapports parlementaires, portés par des députés et sénateurs de couleurs politiques très différentes, ont appelé les pouvoirs publics à réformer et à moderniser le financement du service public et la contribution à l’audiovisuel public, Gérald Darmanin semble y apporter une réponse technocratique, simpliste et démagogique : puisque la taxe est difficile à percevoir, supprimons-la ! Toutes les propositions des parlementaires ont convergé sur l’urgence de la réforme et la nécessité d’étendre l’assiette de la redevance pour tenir compte des nouveaux usages. Nous partageons ces constats et ces propositions. La contribution à l’audiovisuel public est aujourd’hui déconnectée des usages et des modes d’accès au service public. Elle est aussi amenée à décroître avec la baisse attendue du taux d’équipements en poste de télévision. À la faveur de la disparition de la taxe d’habitation, il est impératif de la remplacer par une contribution universelle, affectée de façon pérenne au service public, déconnectée de tout support et qui concernerait l’ensemble des foyers fiscaux. Toutes les grandes démocraties européennes ont fait le choix d’une ressource pérenne et affectée pour leur service public audiovisuel. A contrario, tous les rapports ont rejeté cette voie facile de la suppression de la redevance qui s’avérerait très dangereuse pour le financement de l’audiovisuel public. Elle ouvrirait la porte à une budgétisation du financement des entreprises de l’audiovisuel public. La possibilité pour l’État de fixer chaque année et à sa guise le montant affecté aux entreprises publiques ferait peser de lourdes craintes sur : l’indépendance des services publics, notamment en matière d’information et de création la visibilité et la pérennité du financement pour construire des stratégies sur le long terme la confiance face à un État qui n’a jamais tenu ses engagements financiers dans le cadre des contrats d’objectifs et de moyens Vouloir ainsi jouer avec le financement du service public, pour des raisons comptables et des petits calculs électoraux, n’est ni responsable ni à la hauteur de la réforme globale de l’audiovisuel public que le gouvernement entend également mener. Redéfinir les missions, l’organisation et le financement du service public audiovisuel requiert un travail sérieux, collectif, approfondi dont l’intention n’apparaît pas dans les déclarations à l’emporte-pièce du ministre des comptes publics. Le chantier de la réforme du service public est un enjeu démocratique pour notre pays. Il est aussi un enjeu pour l’ensemble du secteur de la création, du cinéma, de la fiction, du documentaire, de l’animation, de l’information, du spectacle vivant qui pourrait se trouver gravement affaibli par la réforme comptable qui semble en préparation à Bercy. Les organisations signataires demandent au gouvernement de clarifier sans délai ses intentions sur le financement de l’audiovisuel public. Sans la garantie d’un financement pérenne et ambitieux, la réforme du service public serait celle de la démagogie et du …

29 mars 2019Actus-SPIactus-spi
API-PROCIREP-ANGOA-EUROCINEMA-SATEV-SPECT-SPFA-SPI-UPC-USPA – Directive sur la radiodiffusion en ligne : la production française salue un nouveau vote positif du Parlement européen en faveur de la modernisation du droit d’auteur en Europe

Les organisations professionnelles des producteurs cinématographiques et audiovisuels français se réjouissent du vote du Parlement européen qui a approuvé ce jeudi 28 mars la directive destinée à moderniser la directive « câble et satellite » de 1993.

Après l’adoption mardi de la Directive sur le droit d’auteur, c’est un pas de plus qui est fait pour moderniser le cadre européen de protection de la création.

Cette nouvelle Directive va faciliter la retransmission linéaire des chaînes de télévision sur les différentes plateformes en Europe, en étendant le régime de gestion collective obligatoire qui existe déjà pour le câble aux autres formes de retransmission, par ADSL, par bouquet satellite et, sous certaines conditions, par Internet. Par ailleurs, elle clarifie le statut juridique de la retransmission de ces chaînes en cas d’injection directe, mettant ainsi fin aux incertitudes nées de décisions européennes contradictoires en la matière, dont certains opérateurs ou diffuseurs se revendiquaient pour échapper à leurs obligations à l’égard des titulaires de droits. Enfin, elle va permettre aux diffuseurs de mettre plus facilement à disposition partout en Europe leurs programmes d’informations, ainsi que les œuvres qu’ils ont intégralement financées et qui sont proposées sur leurs services en ligne.

La nécessaire protection de la production indépendante a quant à elle été assurée grâce à la sauvegarde du principe clé de la territorialité des droits pour ce qui concerne les productions externes des chaînes. Ce principe reste et demeurera le seul moyen pour la production européenne de financer les œuvres et d’amortir les risques financiers pris lors de la production.

Contacts :

API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro

Procirep-Angoa – Idzard Van Der Puyl – 01 53 83 91 83 – ivdp@procirep.fr

SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr

SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr

SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr

SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – upc@producteurscinema.fr

USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – j.dechesne@uspa.fr

Les organisations professionnelles des producteurs cinématographiques et audiovisuels français se réjouissent du vote du Parlement européen qui a approuvé ce jeudi 28 mars la directive destinée à moderniser la directive « câble et satellite » de 1993. Après l’adoption mardi de la Directive sur le droit d’auteur, c’est un pas de plus qui est fait pour moderniser le cadre européen de protection de la création. Cette nouvelle Directive va faciliter la retransmission linéaire des chaînes de télévision sur les différentes plateformes en Europe, en étendant le régime de gestion collective obligatoire qui existe déjà pour le câble aux autres formes de retransmission, par ADSL, par bouquet satellite et, sous certaines conditions, par Internet. Par ailleurs, elle clarifie le statut juridique de la retransmission de ces chaînes en cas d’injection directe, mettant ainsi fin aux incertitudes nées de décisions européennes contradictoires en la matière, dont certains opérateurs ou diffuseurs se revendiquaient pour échapper à leurs obligations à l’égard des titulaires de droits. Enfin, elle va permettre aux diffuseurs de mettre plus facilement à disposition partout en Europe leurs programmes d’informations, ainsi que les œuvres qu’ils ont intégralement financées et qui sont proposées sur leurs services en ligne. La nécessaire protection de la production indépendante a quant à elle été assurée grâce à la sauvegarde du principe clé de la territorialité des droits pour ce qui concerne les productions externes des chaînes. Ce principe reste et demeurera le seul moyen pour la production européenne de financer les œuvres et d’amortir les risques financiers pris lors de la production.   Contacts : API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro Procirep-Angoa – Idzard Van Der Puyl – 01 53 83 91 83 – ivdp@procirep.fr SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – upc@producteurscinema.fr USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – …

29 mars 2019Actus-SPIactus-spi
API-PROCIREP-SATEV-SPECT-SPFA-SPI-UPC-USPA – Directive sur le droit d’auteur : la production française salue une nouvelle étape essentielle dans la régulation du marché numérique

L’ensemble des organisations représentant la production française, tant cinématographique qu’audiovisuelle, salue le vote du Parlement européen approuvant définitivement la directive sur le droit d’auteur, ce mardi 26 mars. Après une campagne sans précédent de la part des géants américains destinée à remettre en cause ce texte par tous les moyens, y compris en faisant circuler des informations mensongères, ce vote est un acte courageux et historique de la part du Parlement européen.

Avec l’adoption de cette directive, l’Europe ouvre en effet la voie à une vraie régulation des plateformes, à rebours de la culture du laisser-faire et du pillage de la création qui a prévalu jusqu’à présent. En généralisant le modèle français de protection des créateurs et en instaurant des obligations proportionnées qui confirment la responsabilité des plateformes de partage en ligne lorsqu’elles utilisent des œuvres protégées par le droit d’auteur, cette directive va par ailleurs assurer un meilleur partage de la valeur et une lutte accrue contre le piratage, en mettant fin à l’enrichissement exclusif de moteurs de recherche ou de réseaux sociaux grâce aux contenus qu’ils diffusent.

Le vote de la directive sur les services de médias audiovisuels survenu le 14/11/2018 avait déjà commencé à responsabiliser ces acteurs quant aux contenus menaçant l’ordre public. Avec ce nouveau texte, c’est désormais de la propriété intellectuelle dont ils devront se préoccuper.

Ce vote offre à voir une Europe courageuse, protectrice et exemplaire qui va inspirer de nombreux pays dans les années qui viennent. Ce choix ferme d’une régulation mesurée, car tenant compte aussi des garanties de liberté d’expression et de protection des personnes, est au cœur de l’esprit européen. A deux mois d’élections européennes aux résultats incertains, la production cinématographique et audiovisuelle française remercie les parlementaires européens pour ce vote historique, et les pouvoirs publics français, en particulier le ministère de la culture, pour leur mobilisation inébranlable.

Contacts :

API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro

Procirep – Idzard Van Der Puyl – 01 53 83 91 83 – ivdp@procirep.fr

SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr

SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr

SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr

SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – upc@producteurscinema.fr

USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – j.dechesne@uspa.fr

L’ensemble des organisations représentant la production française, tant cinématographique qu’audiovisuelle, salue le vote du Parlement européen approuvant définitivement la directive sur le droit d’auteur, ce mardi 26 mars. Après une campagne sans précédent de la part des géants américains destinée à remettre en cause ce texte par tous les moyens, y compris en faisant circuler des informations mensongères, ce vote est un acte courageux et historique de la part du Parlement européen. Avec l’adoption de cette directive, l’Europe ouvre en effet la voie à une vraie régulation des plateformes, à rebours de la culture du laisser-faire et du pillage de la création qui a prévalu jusqu’à présent. En généralisant le modèle français de protection des créateurs et en instaurant des obligations proportionnées qui confirment la responsabilité des plateformes de partage en ligne lorsqu’elles utilisent des œuvres protégées par le droit d’auteur, cette directive va par ailleurs assurer un meilleur partage de la valeur et une lutte accrue contre le piratage, en mettant fin à l’enrichissement exclusif de moteurs de recherche ou de réseaux sociaux grâce aux contenus qu’ils diffusent. Le vote de la directive sur les services de médias audiovisuels survenu le 14/11/2018 avait déjà commencé à responsabiliser ces acteurs quant aux contenus menaçant l’ordre public. Avec ce nouveau texte, c’est désormais de la propriété intellectuelle dont ils devront se préoccuper. Ce vote offre à voir une Europe courageuse, protectrice et exemplaire qui va inspirer de nombreux pays dans les années qui viennent. Ce choix ferme d’une régulation mesurée, car tenant compte aussi des garanties de liberté d’expression et de protection des personnes, est au cœur de l’esprit européen. A deux mois d’élections européennes aux résultats incertains, la production cinématographique et audiovisuelle française remercie les parlementaires européens pour ce vote historique, et les pouvoirs publics français, en particulier le ministère de la culture, pour leur mobilisation inébranlable. Contacts : API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro Procirep – Idzard Van Der Puyl – 01 53 83 91 83 – ivdp@procirep.fr SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – upc@producteurscinema.fr USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – …

26 mars 2019Actus-SPIactus-spi
Prix Procirep du Producteur français de documentaire de l’année

A l’occasion de la cérémonie de remise des 25ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 18 mars 2019, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement

LES FILMS DU BALIBARI

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE DE L’ANNÉE

Ce prix récompense les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, la prise de risque du producteur délégué au travers de projets de proximité mais également à dimension internationale. Il représente tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante.

Le SPI félicite également ses adhérents nommés à la 25ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée :

BONNE PIOCHE

PETIT À PETIT PRODUCTION

QUARK PRODUCTION

Les producteurs indépendants s’illustrent par une constante recherche d’originalité et de mise en avant d’une pluralité des regards d’auteurs. Leur travail au service de la diversité culturelle française nous honore. Ils défendent en pleine responsabilité, le pluralisme des points de vue et la liberté de création, si essentiels au fonctionnement de notre société démocratique.

Contact Presse :
Catherine BERTIN, Déléguée Générale – Tél. 01 44 70 70 44

A l’occasion de la cérémonie de remise des 25ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 18 mars 2019, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement LES FILMS DU BALIBARI POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE DE L’ANNÉE Ce prix récompense les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions, la prise de risque du producteur délégué au travers de projets de proximité mais également à dimension internationale. Il représente tout le savoir-faire d’une production française indépendante, libre et innovante. Le SPI félicite également ses adhérents nommés à la 25ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée : BONNE PIOCHE PETIT À PETIT PRODUCTION QUARK PRODUCTION Les producteurs indépendants s’illustrent par une constante recherche d’originalité et de mise en avant d’une pluralité des regards d’auteurs. Leur travail au service de la diversité culturelle française nous honore. Ils défendent en pleine responsabilité, le pluralisme des points de vue et la liberté de création, si essentiels au fonctionnement de notre société démocratique. Contact Presse : Catherine BERTIN, Déléguée Générale – Tél. 01 44 70 70 …

19 mars 2019Actus-SPIactus-spi
Journée professionnelle du ROC : De la création à la diffusion, de nouvelles opportunités pour le court métrage dans l’écosystème numérique

Le ROC (Regroupement des Organisations du Court) a organisé la 5ème édition de sa journée professionnelle, ce jeudi 14 mars 2019 au Ciné 104 de Pantin, à l’occasion de la « Fête du court métrage ».

Le ROC tient tout d’abord à remercier Côte Court et le Ciné 104 de Pantin pour leur accueil, Xavier Leherpeur pour la modération des tables rondes, les chercheurs ayant accepté de les introduire, l’ensemble des intervenants et le public, mobilisé comme chaque année.


* * * * *

La première table ronde de cette journée a permis d’interroger la place des nouveaux moyens de production en faveur de l’émergence des nouveaux talents. La légèreté et l’accessibilité technique ont permis une multiplication des pratiques de création. Selon Sejeong Hahn, doctorante à Paris 3, le développement des nouveaux outils « facilite le passage à la pratique », notamment pour les amateurs autodidactes ou les cinéastes en devenir. Néanmoins, cette nouvelle manière de créer, fortement basée sur le « do it yourself », se cherche des garants à travers concours et festivals, notamment en ligne.

Parmi les festivals en ligne, Alexandre Dino, du Nikon Film Festival, insiste sur l’importance de la créativité émanant d’un concours ayant une durée et un thème imposé, qui « permet de donner une réelle visibilité à des auteurs dans une logique de tremplin ». En effet, si l’accès direct à la diffusion sur Internet a ouvert un champ de création inédit, ce nouvel environnement créatif s’articule à unese pense, pour nombre de réalisateurs, comme une étape vers une économie économie plus classique du court métrage.

Guillaume Renusson, réalisateur qui prépare actuellement son premier long métrage et lauréat du Mobile Film Festival, insiste sur le fait que malgré le fait d’avoir tourné un film avec son téléphone portable, « même avec un téléphone portable, il faut réfléchir à la mise en scène et à la question du point de vue, ce ne sont que les moyens qui changent avec le passage à la production dans des conditions professionnelles » et a évoqué le parcours avec son équipe (scénariste, chef opérateur, compositeur), avec lesquels « il était sur le banc de l’école de cinéma ». Guillaume Renusson a également souligné l’importance des structures d’accompagnement telles que la Maison du Film qui accompagnent les créateurs émergents.

À ce sujet, Sébastien Lasserre, co-directeur du festival de Gindou, a présenté le dispositif d’accompagnement « La Ruche » qui vise à accompagner « des apprentis cinéastes qui œuvrent dans les marges et qui font par eux-mêmes », éloignés du réseau professionnel.

Lucie Fichot, productrice (Folle Allure), rebondit en soulignant l’intérêt pour elle d’aller « chercher des jeunes auteurs éloignés géographiquement ou culturellement du monde du cinéma », qu’elle accompagne souvent sur leurs premiers films.

Dans les grands rendez-vous du court, le travail des sélectionneurs est de plus en plus conséquent face à l’augmentation du nombre de films présentés, par exemple plus de 2 000 films français cette année pour la compétition nationale.
Calmin Borel, délégué général du festival international de Clermont-Ferrand, souligne la place plus que jamais nécessaire des festivals, pour accueillir ces réalisateurs émergents et faire que « tout le monde ait un maximum d’opportunités ».


* * * * *

Le court métrage est plus que jamais un « incubateur de talents » : la découverte du cinéma de demain y exige justement davantage de moyens. Dans un univers affranchi de nombreuses contraintes, les regards avertis sont encore plus précieux pour dénicher et accompagner les talents.

La deuxième table ronde de la journée a questionné la place du court sur les plateformes digitales, acteurs de la diffusion devenus incontournables en l’espace de quelques années, le format court se prêtant facilement aux nouveaux usages liés à la SVOD et à l’utilisation nomade. Jean-Samuel Beuscart, sociologue et chercheur en économie des contenus numériques, souligne que les algorithmes, outre qu’ils augmentent la consommation et les ventes sur les plateformes digitales, contribuent à élargir les choix du spectateur vers de nouvelles œuvres, dans une logique de diversité. Les recherches s’orientent aujourd’hui sur la façon dont les algorithmes s’adaptent à une demande plus ou moins grande de découverte et de diversité du spectateur.

Dans ce contexte, Alexis Viprey, chargé de la distribution digitale à L’Agence du court métrage, souligne l’importance cruciale de l’éditorialisation pour développer la distribution sur les plateformes en ligne et explique que L’Agence du court métrage est en train de tester différents modèles auprès d’une vingtaine plateformes afin d’avoir un retour d’expérience en faveur des ayants droit.

Lucie Carette, chargée de mission vidéo à la demande et innovation VOD au CNC, souligne que l’économie des plateformes est désormais dominée par les offres d’abonnement des « GAFAN ». Néanmoins, le CNC, qui accompagne aujourd’hui 50 plateformes françaises, a dans l’attribution de ses aides, une attention particulière vis-à-vis du travail éditorial mené. Dans ce cadre, des politiques d’incitation à la diffusion du court ont été mises en place, attribuant notamment des bonus aux plateformes diffusant des courts métrages. De nombreuses plateformes se saisissent ainsi avec succès du format court.

Lucie Canistro, responsable des acquisitions court métrage chez Universciné, rappelle que le court métrage, avec plus de 100 acquisitions en 2018, s’inscrit pleinement dans la stratégie éditoriale d’Universciné, qui a un public cinéphile et avide de découverte. Le court métrage est ainsi éditorialisé via des opérations événementielles, des partenariats et des présentations de filmographies de cinéastes, où courts et longs métrages sont présentés ensemble.

Cyril Barthet, fondateur de Vodkaster et responsable de l’offre VOD de Télérama, présente la démarche de Télérama qui vise à offrir prochainement à ses abonnés un « bouquet de contenus », éditorialisés par les journalistes de la rédaction et mené en partenariat avec des plateformes partenaires (Tenk, Mubi, Brefcinema, etc.). L’enjeu, à travers la prescription des journalistes, est ainsi de « susciter du désir » et à « dénicher des pépites », notamment pour le court métrage, qui sera, comme le rappelle Cyril Barthet, présenté à égal avec d’autres œuvres cinématographiques et audiovisuelles.

Cette logique de mise en avant éditoriale doit être étendue et renforcée par de nouveaux leviers, notamment par la mise en place d’un référencement des courts métrages disponibles sur les différentes plateformes. Le court métrage doit également être identifié au sein des obligations de diffusion qui seront imposées aux plateformes internationales.


* * * * *

Cette journée du ROC ponctuait avec enthousiasme la « Fête du court métrage ». Nous souhaitons une belle semaine et beaucoup de succès aux centaines de films et de talents programmés du 13 au 19 mars, en France et dans le monde, et aux milliers de lieux de projection qui se sont mobilisés pour leur défense et leur découverte.

Le ROC (Regroupement des Organisations du Court) a organisé la 5ème édition de sa journée professionnelle, ce jeudi 14 mars 2019 au Ciné 104 de Pantin, à l’occasion de la « Fête du court métrage ». Le ROC tient tout d’abord à remercier Côte Court et le Ciné 104 de Pantin pour leur accueil, Xavier Leherpeur pour la modération des tables rondes, les chercheurs ayant accepté de les introduire, l’ensemble des intervenants et le public, mobilisé comme chaque année. * * * * * La première table ronde de cette journée a permis d’interroger la place des nouveaux moyens de production en faveur de l’émergence des nouveaux talents. La légèreté et l’accessibilité technique ont permis une multiplication des pratiques de création. Selon Sejeong Hahn, doctorante à Paris 3, le développement des nouveaux outils « facilite le passage à la pratique », notamment pour les amateurs autodidactes ou les cinéastes en devenir. Néanmoins, cette nouvelle manière de créer, fortement basée sur le « do it yourself », se cherche des garants à travers concours et festivals, notamment en ligne. Parmi les festivals en ligne, Alexandre Dino, du Nikon Film Festival, insiste sur l’importance de la créativité émanant d’un concours ayant une durée et un thème imposé, qui « permet de donner une réelle visibilité à des auteurs dans une logique de tremplin ». En effet, si l’accès direct à la diffusion sur Internet a ouvert un champ de création inédit, ce nouvel environnement créatif s’articule à unese pense, pour nombre de réalisateurs, comme une étape vers une économie économie plus classique du court métrage. Guillaume Renusson, réalisateur qui prépare actuellement son premier long métrage et lauréat du Mobile Film Festival, insiste sur le fait que malgré le fait d’avoir tourné un film avec son téléphone portable, « même avec un téléphone portable, il faut réfléchir à la mise en scène et à la question du point de vue, ce ne sont que les moyens qui changent avec le passage à la production dans des conditions professionnelles » et a évoqué le parcours avec son équipe (scénariste, chef opérateur, compositeur), avec lesquels « il était sur le banc de l’école de cinéma ». Guillaume Renusson a également souligné l’importance des structures d’accompagnement telles que la Maison du Film qui accompagnent les créateurs émergents. À ce sujet, Sébastien Lasserre, co-directeur du festival de Gindou, a présenté le dispositif d’accompagnement « La Ruche » qui vise à accompagner « des apprentis cinéastes qui œuvrent dans les marges et qui font par eux-mêmes », éloignés du réseau professionnel. Lucie Fichot, productrice (Folle Allure), rebondit en soulignant l’intérêt pour elle d’aller « chercher des jeunes auteurs éloignés géographiquement ou culturellement du monde du cinéma », qu’elle accompagne souvent sur leurs premiers films. Dans les grands rendez-vous du court, le travail des sélectionneurs est de plus en plus conséquent face à l’augmentation du nombre de films présentés, par exemple plus de 2 000 films français cette année pour la compétition nationale. Calmin Borel, délégué général du festival international de Clermont-Ferrand, souligne la place plus que jamais nécessaire des festivals, pour accueillir ces réalisateurs émergents et faire que « tout le monde ait un maximum d’opportunités ». * * * * * Le court métrage est plus que jamais un « incubateur de talents » : la découverte du cinéma de demain y exige justement davantage de moyens. Dans un univers affranchi de nombreuses contraintes, les regards avertis sont encore plus précieux pour dénicher et accompagner les talents. La deuxième table ronde de la journée a questionné la place du court sur les plateformes digitales, acteurs de la diffusion devenus incontournables en l’espace de quelques années, le format court se prêtant facilement aux nouveaux usages liés à la SVOD et à l’utilisation nomade. Jean-Samuel Beuscart, sociologue et chercheur en économie des contenus numériques, souligne que les algorithmes, outre qu’ils augmentent la consommation et les ventes sur les plateformes digitales, contribuent à élargir les choix du spectateur vers de nouvelles œuvres, dans une logique de diversité. Les recherches s’orientent aujourd’hui sur la façon dont les algorithmes s’adaptent à une demande plus ou moins grande de découverte et de diversité du spectateur. Dans ce contexte, Alexis Viprey, chargé de la distribution digitale à L’Agence du court métrage, souligne l’importance cruciale de l’éditorialisation pour développer la distribution sur les plateformes en ligne et explique que L’Agence du court métrage est en train de tester différents modèles auprès d’une vingtaine plateformes afin d’avoir un retour d’expérience en faveur des ayants droit. Lucie Carette, chargée de mission vidéo à la demande et innovation VOD au CNC, souligne que l’économie des plateformes est désormais dominée par les offres d’abonnement des « GAFAN ». Néanmoins, le CNC, qui accompagne aujourd’hui 50 plateformes françaises, a dans l’attribution de ses aides, une attention particulière vis-à-vis du travail éditorial mené. Dans ce cadre, des politiques d’incitation à la diffusion du court ont été mises en place, attribuant notamment des bonus aux plateformes diffusant des courts métrages. De nombreuses plateformes se saisissent ainsi avec succès du format court. Lucie Canistro, responsable des acquisitions court métrage chez Universciné, rappelle que le court métrage, avec plus de 100 acquisitions en 2018, s’inscrit pleinement dans la stratégie éditoriale d’Universciné, qui a un public cinéphile et avide de découverte. Le court métrage est ainsi éditorialisé via des opérations événementielles, des partenariats et des présentations de filmographies de cinéastes, où courts et longs métrages sont présentés ensemble. Cyril Barthet, fondateur de Vodkaster et responsable de l’offre VOD de Télérama, présente la démarche de Télérama qui vise à offrir prochainement à ses abonnés un « bouquet de contenus », éditorialisés par les journalistes de la rédaction et mené en partenariat avec des plateformes partenaires (Tenk, Mubi, Brefcinema, etc.). L’enjeu, à travers la prescription des journalistes, est ainsi de « susciter du désir » et à « dénicher des pépites », notamment pour le court métrage, qui sera, comme le rappelle Cyril Barthet, présenté à égal avec d’autres œuvres cinématographiques et audiovisuelles. Cette logique de mise en avant éditoriale doit être étendue et renforcée par de nouveaux leviers, notamment par la mise en place d’un référencement des courts métrages disponibles sur les différentes plateformes. Le court métrage doit également être identifié au sein des obligations de diffusion qui seront imposées aux plateformes internationales. * * * * * Cette journée du ROC ponctuait avec enthousiasme la « Fête du court métrage ». Nous souhaitons une belle semaine et beaucoup de succès aux centaines de films et de talents programmés du 13 au 19 mars, en France et dans le monde, et aux milliers de lieux de projection qui se sont mobilisés pour leur défense et leur …

15 mars 2019Actus-SPIactus-spi
API-SPI-UPC : Annexe III du Titre II de la Convention collective nationale de la production cinématographique (CCNPC) : les syndicats de producteurs se réjouissent de la signature d’un accord d’étape

Après plusieurs mois de discussions, les partenaires sociaux de la branche de la production cinématographique ont signé un accord qui sécurise les films en développement pendant la durée des négociations relatives au renouvellement de l’Annexe III. La signature de cet accord permet de maintenir un ensemble conventionnel indissociable et un dialogue social efficient dans le secteur.

Le 20 février 2019, les partenaires sociaux de la production cinématographique ont signé un accord, entré en vigueur le 9 mars dernier, dans lequel ils envisagent de reconduire le dispositif de l’Annexe III du Titre II de la CCNPC, après accord sur plusieurs mesures, à l’issue d’un calendrier de négociation dont le terme est fixé au 31 juillet 2019.

A défaut d’accord conclu à cette date, le texte prévoit que les entreprises ayant commencé l’écriture d’un film avant l’échéance de l’Annexe III, le 10 avril 2020, pourront continuer à bénéficier du régime prévu par celle-ci pendant une année supplémentaire, soit jusqu’au 10 avril 2021.

L’API, le SPI et l’UPC se réjouissent de la signature de cet accord qui sécurise les films en préparation et permet la reprise des négociations, à l’arrêt depuis plusieurs semaines, dans un cadre serein et constructif.

Les deux organisations syndicales signataires ont pris toute la mesure de l’importance de l’Annexe III pour la production des films à petit budget et pour l’emploi de plusieurs milliers de techniciens chaque année.

Le maintien de ce dispositif est indispensable pour maintenir un socle conventionnel complet et cohérent, tenant compte de la diversité de la production cinématographique.

Les syndicats de producteurs rappellent que la convention collective ne pourrait exister sans l’Annexe III qui en est une composante indissociable.

Contacts presse :

API – Hortense de Labriffe Tél : 01 42 89 31 50 – hla@lapi.pro

SPI – Catherine Bertin Tél : 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

UPC – Frédéric Goldsmith Tél : 01 53 89 01 30 –frederic.goldsmith@producteurscinema.fr

Après plusieurs mois de discussions, les partenaires sociaux de la branche de la production cinématographique ont signé un accord qui sécurise les films en développement pendant la durée des négociations relatives au renouvellement de l’Annexe III. La signature de cet accord permet de maintenir un ensemble conventionnel indissociable et un dialogue social efficient dans le secteur. Le 20 février 2019, les partenaires sociaux de la production cinématographique ont signé un accord, entré en vigueur le 9 mars dernier, dans lequel ils envisagent de reconduire le dispositif de l’Annexe III du Titre II de la CCNPC, après accord sur plusieurs mesures, à l’issue d’un calendrier de négociation dont le terme est fixé au 31 juillet 2019. A défaut d’accord conclu à cette date, le texte prévoit que les entreprises ayant commencé l’écriture d’un film avant l’échéance de l’Annexe III, le 10 avril 2020, pourront continuer à bénéficier du régime prévu par celle-ci pendant une année supplémentaire, soit jusqu’au 10 avril 2021. L’API, le SPI et l’UPC se réjouissent de la signature de cet accord qui sécurise les films en préparation et permet la reprise des négociations, à l’arrêt depuis plusieurs semaines, dans un cadre serein et constructif. Les deux organisations syndicales signataires ont pris toute la mesure de l’importance de l’Annexe III pour la production des films à petit budget et pour l’emploi de plusieurs milliers de techniciens chaque année. Le maintien de ce dispositif est indispensable pour maintenir un socle conventionnel complet et cohérent, tenant compte de la diversité de la production cinématographique. Les syndicats de producteurs rappellent que la convention collective ne pourrait exister sans l’Annexe III qui en est une composante indissociable. Contacts presse : API – Hortense de Labriffe Tél : 01 42 89 31 50 – hla@lapi.pro SPI – Catherine Bertin Tél : 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org UPC – Frédéric Goldsmith Tél : 01 53 89 01 30 …

13 mars 2019Actus-SPIactus-spi
BLOC : Alors que le succès actuel des grands opérateurs internationaux tient à leurs investissements massifs dans les œuvres, l’Autorité de la Concurrence recommande d’affaiblir la création française et européenne

Le BLOC tient à exprimer son profond désaccord avec l’Avis rendu par l’Autorité de la Concurrence dans la perspective de la réforme de l’audiovisuel, à la suite de sa saisine par la Commission des affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale pour analyser le secteur de la communication audiovisuelle, notamment les relations entre les différents acteurs, et évaluer l’efficacité et la pertinence des possibles évolutions législatives et réglementaires.
La remise en cause de l’indépendance de la production ou la confusion entre les obligations portant respectivement sur le cinéma et l’audiovisuel sont autant d’exemples parmi d’autres de partis pris hostiles aux principes fondamentaux de notre politique culturelle, autant d’expédients dangereux pour un système de régulation vertueux et efficace pour la diversité des œuvres.

À l’heure où la France et ses partenaires européens agissent pour faire contribuer les opérateurs internationaux au financement de la création française et européenne, cet avis propose de résorber les différences par un «moins-disant» culturel, à rebours de toute ambition politique et économique.

En occultant opportunément une partie significative des enjeux, particulièrement ceux portant sur la création, il n’interroge pas, ni même analyse, ce qui fait de la France le premier pays de cinéma en Europe, acteur exemplaire des coproductions internationales et exportateur de premier plan.

Le BLOC appelle à une régulation juste, adaptée à l’environnement numérique, soucieuse du dynamisme du secteur cinématographique et de son rayonnement. La France doit être à la hauteur de ce défi, en plaçant au centre du débat l’exception culturelle, la diversité de la création, la diffusion des œuvres et la sauvegarde de l’indépendance.
Ce n’est pas en les mettant à mal que l’on résoudra la situation des opérateurs historiques face aux GAFAN. C’est au contraire par la création, ceux qui l’initient et la développent, que la France construira de véritables perspectives d’avenir.

Le BLOC tient à exprimer son profond désaccord avec l’Avis rendu par l’Autorité de la Concurrence dans la perspective de la réforme de l’audiovisuel, à la suite de sa saisine par la Commission des affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale pour analyser le secteur de la communication audiovisuelle, notamment les relations entre les différents acteurs, et évaluer l’efficacité et la pertinence des possibles évolutions législatives et réglementaires. La remise en cause de l’indépendance de la production ou la confusion entre les obligations portant respectivement sur le cinéma et l’audiovisuel sont autant d’exemples parmi d’autres de partis pris hostiles aux principes fondamentaux de notre politique culturelle, autant d’expédients dangereux pour un système de régulation vertueux et efficace pour la diversité des œuvres. À l’heure où la France et ses partenaires européens agissent pour faire contribuer les opérateurs internationaux au financement de la création française et européenne, cet avis propose de résorber les différences par un «moins-disant» culturel, à rebours de toute ambition politique et économique. En occultant opportunément une partie significative des enjeux, particulièrement ceux portant sur la création, il n’interroge pas, ni même analyse, ce qui fait de la France le premier pays de cinéma en Europe, acteur exemplaire des coproductions internationales et exportateur de premier plan. Le BLOC appelle à une régulation juste, adaptée à l’environnement numérique, soucieuse du dynamisme du secteur cinématographique et de son rayonnement. La France doit être à la hauteur de ce défi, en plaçant au centre du débat l’exception culturelle, la diversité de la création, la diffusion des œuvres et la sauvegarde de l’indépendance. Ce n’est pas en les mettant à mal que l’on résoudra la situation des opérateurs historiques face aux GAFAN. C’est au contraire par la création, ceux qui l’initient et la développent, que la France construira de véritables perspectives …

27 février 2019Actus-SPIactus-spi
Face à l’attaque sans précédent contre la diversité culturelle exprimée par l’Autorité de la concurrence, le SPI demande au Gouvernement de réaffirmer les fondamentaux de sa politique culturelle.

Le SPI a pris connaissance avec inquiétude et consternation de l’avis de l’Autorité de la concurrence sur l’avenir du secteur audiovisuel.

Cet avis réitère les vieilles recettes telles que la levée de toutes les interdictions de la publicité à la télévision, ou à nouveau la réduction de la notion d’indépendance des sociétés, et même la remise en cause des obligations de production des chaînes, toutes mesures qui seraient censées « libérer » les diffuseurs de leurs contraintes.

Sa philosophie générale peut se résumer assez sommairement : plutôt que de moderniser et d’adapter la réglementation du secteur et chercher à imposer une régulation intelligente aux nouveaux acteurs et notamment aux plateformes de S-VOD extra-européennes, ce que le Gouvernement s’apprête à faire à travers la loi sur l’audiovisuel transposant la directive SMA, l’Autorité de la Concurrence préconise de supprimer purement et simplement l’essentiel de la régulation des chaînes nationales, sans même s’interroger sur ses fondements.

S’élevant contre cette philosophie délétère qui conduit à sacrifier à court terme tous les fondements de notre exception culturelle, le SPI tient à rappeler que le pluralisme et la diversité des expressions culturelles sont au cœur de notre démocratie. Ils garantissent le vivre ensemble par la construction d’un imaginaire collectif, de plus en plus indispensable face à la mondialisation. Ils permettent également de maintenir un tissu créatif de producteurs indépendants qui assument le rôle essentiel de la recherche-développement de notre secteur et sont le plus souvent à l’origine des créations les plus audacieuses susceptibles de trouver un fort écho à l’international.

Le réquisitoire à charge de l’Autorité de la concurrence contre notre système de régulation n’a toutefois rien de nouveau, et ces propositions de dérégulation, sont portées depuis des années par nombre d’opérateurs privés, soucieux de préserver leur pré carré.

Ce qui est nouveau, c’est qu’une autorité administrative se les approprie à ce point.

Jamais la diversité culturelle n’avait été ainsi menacée sans détours par une vision d’inspiration aussi libérale.

Depuis plusieurs années, le Gouvernement français se bat, aux côtés des professionnels, pour apporter des réponses politiques à la concurrence internationale des GAFAN. Dans ce contexte, le SPI demande solennellement au ministre de la Culture de réaffirmer son attachement à la défense du pluralisme et de la diversité culturelle dans notre pays, sans lesquels il n’y a plus de création libre et indépendante.

Le 26 février 2019
Contact :
Catherine BERTIN – Déléguée Générale
Syndicat des Producteurs Indépendants – Tél. 01 44 70 70 44

Le SPI a pris connaissance avec inquiétude et consternation de l’avis de l’Autorité de la concurrence sur l’avenir du secteur audiovisuel. Cet avis réitère les vieilles recettes telles que la levée de toutes les interdictions de la publicité à la télévision, ou à nouveau la réduction de la notion d’indépendance des sociétés, et même la remise en cause des obligations de production des chaînes, toutes mesures qui seraient censées « libérer » les diffuseurs de leurs contraintes. Sa philosophie générale peut se résumer assez sommairement : plutôt que de moderniser et d’adapter la réglementation du secteur et chercher à imposer une régulation intelligente aux nouveaux acteurs et notamment aux plateformes de S-VOD extra-européennes, ce que le Gouvernement s’apprête à faire à travers la loi sur l’audiovisuel transposant la directive SMA, l’Autorité de la Concurrence préconise de supprimer purement et simplement l’essentiel de la régulation des chaînes nationales, sans même s’interroger sur ses fondements. S’élevant contre cette philosophie délétère qui conduit à sacrifier à court terme tous les fondements de notre exception culturelle, le SPI tient à rappeler que le pluralisme et la diversité des expressions culturelles sont au cœur de notre démocratie. Ils garantissent le vivre ensemble par la construction d’un imaginaire collectif, de plus en plus indispensable face à la mondialisation. Ils permettent également de maintenir un tissu créatif de producteurs indépendants qui assument le rôle essentiel de la recherche-développement de notre secteur et sont le plus souvent à l’origine des créations les plus audacieuses susceptibles de trouver un fort écho à l’international. Le réquisitoire à charge de l’Autorité de la concurrence contre notre système de régulation n’a toutefois rien de nouveau, et ces propositions de dérégulation, sont portées depuis des années par nombre d’opérateurs privés, soucieux de préserver leur pré carré. Ce qui est nouveau, c’est qu’une autorité administrative se les approprie à ce point. Jamais la diversité culturelle n’avait été ainsi menacée sans détours par une vision d’inspiration aussi libérale. Depuis plusieurs années, le Gouvernement français se bat, aux côtés des professionnels, pour apporter des réponses politiques à la concurrence internationale des GAFAN. Dans ce contexte, le SPI demande solennellement au ministre de la Culture de réaffirmer son attachement à la défense du pluralisme et de la diversité culturelle dans notre pays, sans lesquels il n’y a plus de création libre et indépendante. Le 26 février 2019 Contact : Catherine BERTIN – Déléguée Générale Syndicat des Producteurs Indépendants – Tél. 01 44 70 70 …

26 février 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour les Prix obtenus à l’occasion des César 2019 :

Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour les Prix obtenus à l’occasion des César 2019 :

Les frères Sisters de Jacques Audiard, produit par Why Not Productions

– Meilleur son

– Meilleure photo

– Meilleurs décors

– Meilleure réalisation

Guy d’Alex Lutz, produit par Iliade & Films

– Meilleur acteur

– Meilleure musique originale

Mademoiselle de Joncquières d’Emmanuel Mouret, produit par Moby Dick Films

– Meilleurs costumes

Les petites mains de Rémi Allier, produit par Films Grand Huit

– Meilleur film de court métrage

Ni juge, ni soumise d’Yves Hinant & Jean Libon, produit par Le Bureau

– Meilleur film documentaire

Paris, le 25 février 2019

Contact Presse :

Catherine Bertin – Déléguée générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour les Prix obtenus à l’occasion des César 2019 : Les frères Sisters de Jacques Audiard, produit par Why Not Productions – Meilleur son – Meilleure photo – Meilleurs décors – Meilleure réalisation Guy d’Alex Lutz, produit par Iliade & Films – Meilleur acteur – Meilleure musique originale Mademoiselle de Joncquières d’Emmanuel Mouret, produit par Moby Dick Films – Meilleurs costumes Les petites mains de Rémi Allier, produit par Films Grand Huit – Meilleur film de court métrage Ni juge, ni soumise d’Yves Hinant & Jean Libon, produit par Le Bureau – Meilleur film documentaire Paris, le 25 février 2019 Contact Presse : Catherine Bertin – Déléguée générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

25 février 2019Actus-SPIactus-spi
Directive droit d’auteur dans le marché unique numérique (Issue du trilogue du 13.02.2019)

Les organisations professionnelles représentant les producteurs d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles se félicitent qu’un accord soit intervenu en Trilogue relatif à la directive droit d’auteur dans le marché unique numérique.

Aujourd’hui, l’accord obtenu sur la directive droit d’auteur constitue un acte fondateur visant à mettre fin à l’hégémonie des plateformes et la culture du pillage qu’elles ont générée. L’adoption de cette directive qui vise à mieux protéger les droits de propriété intellectuelle, les œuvres et leurs créateurs constitue un premier pas dans la régulation des plateformes. La révision d’autres dispositions du droit de l’Union européenne reste en effet urgente, notamment la directive 2004/48/CE relative au respect des droits de propriété intellectuelle et la directive 2000/31/CE sur le commerce électronique.

Nous remercions les députés européens, MM. Jean-Marie Cavada et Marc Joulaud, et le ministre de la culture, M. Frank Riester, sans lesquels les dispositions clefs du texte n’auraient pu faire l’objet d’un accord.

Paris, le 15 février 2019

API – Hortense De Labriffe – hla@lapi.pro | EUROCINEMA – Yvon Thiec – yvon.thiec@eurocinema.eu | PROCIREP – Idzard van der Puyl – ivdp@procirep.fr | SATEV – Florence Braka – f.braka@ffap.fr | SPFA – Stéphane Le Bars – s.lebars@spfa-france.fr | SPI – Catherine Bertin – cbertin@lespi.org | UPC – Frédéric Goldsmith – upc@producteurscinema.fr | USPA – Jérôme Dechesne – j.dechesne@uspa.fr

Les organisations professionnelles représentant les producteurs d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles se félicitent qu’un accord soit intervenu en Trilogue relatif à la directive droit d’auteur dans le marché unique numérique. Aujourd’hui, l’accord obtenu sur la directive droit d’auteur constitue un acte fondateur visant à mettre fin à l’hégémonie des plateformes et la culture du pillage qu’elles ont générée. L’adoption de cette directive qui vise à mieux protéger les droits de propriété intellectuelle, les œuvres et leurs créateurs constitue un premier pas dans la régulation des plateformes. La révision d’autres dispositions du droit de l’Union européenne reste en effet urgente, notamment la directive 2004/48/CE relative au respect des droits de propriété intellectuelle et la directive 2000/31/CE sur le commerce électronique. Nous remercions les députés européens, MM. Jean-Marie Cavada et Marc Joulaud, et le ministre de la culture, M. Frank Riester, sans lesquels les dispositions clefs du texte n’auraient pu faire l’objet d’un accord. Paris, le 15 février 2019 API – Hortense De Labriffe – hla@lapi.pro | EUROCINEMA – Yvon Thiec – yvon.thiec@eurocinema.eu | PROCIREP – Idzard van der Puyl – ivdp@procirep.fr | SATEV – Florence Braka – f.braka@ffap.fr | SPFA – Stéphane Le Bars – s.lebars@spfa-france.fr | SPI – Catherine Bertin – cbertin@lespi.org | UPC – Frédéric Goldsmith – upc@producteurscinema.fr | USPA – Jérôme Dechesne – …

16 février 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents et leurs équipes pour leurs prix obtenus au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2019

Pyrénées d’or de la meilleure fiction unitaire

Prix de la meilleure interprétation masculine

Prix du meilleur scénario

« Illégitime » de Renaud BERTRAND

PATAFILM pour FRANCE TÉLÉVISIONS (France 2)

Pyrénées d’or de la meilleure mini-série

Prix du public de la mini-série

« À l’intérieur » de Vincent LANNO

ELZÉVIR FILMS pour FRANCE TÉLÉVISIONS (France 2)

Prix de la meilleure interprétation féminine

« L’enfant que je n’attendais pas » de Bruno GARCIA

PAMPA PRODUCTION pour FRANCE TÉLÉVISIONS
(France 2)

Prix spécial du jury documentaire

« La Bataille de l’acier » d’Eric GUÉRET

BONNE PIOCHE TÉLÉVISION (France 3, Public Sénat)

Prix de la série digitale documentaire

« Gender Derby » de Camille DUCELLIER

FLAIR PRODUCTION (France.tv)

Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants
Tél. 01 44 70 70 44

Pyrénées d’or de la meilleure fiction unitaire Prix de la meilleure interprétation masculine Prix du meilleur scénario « Illégitime » de Renaud BERTRAND PATAFILM pour FRANCE TÉLÉVISIONS (France 2) Pyrénées d’or de la meilleure mini-série Prix du public de la mini-série « À l’intérieur » de Vincent LANNO ELZÉVIR FILMS pour FRANCE TÉLÉVISIONS (France 2) Prix de la meilleure interprétation féminine « L’enfant que je n’attendais pas » de Bruno GARCIA PAMPA PRODUCTION pour FRANCE TÉLÉVISIONS (France 2) Prix spécial du jury documentaire « La Bataille de l’acier » d’Eric GUÉRET BONNE PIOCHE TÉLÉVISION (France 3, Public Sénat) Prix de la série digitale documentaire « Gender Derby » de Camille DUCELLIER FLAIR PRODUCTION (France.tv) Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants Tél. 01 44 70 70 …

12 février 2019Actus-SPIactus-spi
A l’occasion du 41ème Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix

A l’occasion du 41ème Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix :

* 23ème Prix Producteur de Court Métrage de la Procirep :

Insolence ProductionsAnaïs Bertrand, Pascaline Saillant et Vincent Antonini

* Mention Spéciale du Jury :

« Côté cœur » d’Héloïse Pelloquet produit par Why Not Productions

* Mention Spéciale du Jury :

« Souvenir inoubliable d’un ami » de Wissam Charaf produit par Aurora Films

* Prix Égalité et Diversité :
« Braquer Poitiers » de Claude Schmitz produit par Les Films de l’Autre Cougar

* Prix du Rire Fernand Raynaud :

« Pile poil » de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller produit par Qui Vive !

* Prix Canal + :

« Tigre » de Delphine Deloget produit par Unité de Production

* Prix de la meilleure œuvre de fiction SACD :

« Beautiful loser » de Maxime Roy produit par TS Productions

* Mention spéciale du Jury SACD (Animation francophone) :

« Raymonde ou l’évasion verticale » de Sarah Van Den Boom produit par Papy3D Productions

* 10ème Prix France Télévisions du court métrage :

« Raymonde ou l’évasion verticale » de Sarah Van Den Boom produit par Papy3D Productions

* Mention d’interprétation féminine du jury France Télévisions :

« Fatiya » de Marion Desseigne-Ravel produit par Tripode Productions et 31 Juin Films

* Mention d’interprétation masculine du jury France Télévisions :

« Air comprimé » d’Antoine Giorgini produit par Deuxième Ligne Films

* Prix ADAMI d’interprétation, Meilleure Comédienne :

« Côté cœur » d’Héloïse Pelloquet produit par Why Not Productions

* Prix ADAMI d’interprétation, Meilleur Comédien :

« Beautiful loser » de Maxime Roy produit par TS Productions

Paris, le 11 février 2019

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

A l’occasion du 41ème Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix : * 23ème Prix Producteur de Court Métrage de la Procirep : Insolence Productions – Anaïs Bertrand, Pascaline Saillant et Vincent Antonini * Mention Spéciale du Jury : « Côté cœur » d’Héloïse Pelloquet produit par Why Not Productions * Mention Spéciale du Jury : « Souvenir inoubliable d’un ami » de Wissam Charaf produit par Aurora Films * Prix Égalité et Diversité : « Braquer Poitiers » de Claude Schmitz produit par Les Films de l’Autre Cougar * Prix du Rire Fernand Raynaud : « Pile poil » de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller produit par Qui Vive ! * Prix Canal + : « Tigre » de Delphine Deloget produit par Unité de Production * Prix de la meilleure œuvre de fiction SACD : « Beautiful loser » de Maxime Roy produit par TS Productions * Mention spéciale du Jury SACD (Animation francophone) : « Raymonde ou l’évasion verticale » de Sarah Van Den Boom produit par Papy3D Productions * 10ème Prix France Télévisions du court métrage : « Raymonde ou l’évasion verticale » de Sarah Van Den Boom produit par Papy3D Productions * Mention d’interprétation féminine du jury France Télévisions : « Fatiya » de Marion Desseigne-Ravel produit par Tripode Productions et 31 Juin Films * Mention d’interprétation masculine du jury France Télévisions : « Air comprimé » d’Antoine Giorgini produit par Deuxième Ligne Films * Prix ADAMI d’interprétation, Meilleure Comédienne : « Côté cœur » d’Héloïse Pelloquet produit par Why Not Productions * Prix ADAMI d’interprétation, Meilleur Comédien : « Beautiful loser » de Maxime Roy produit par TS Productions Paris, le 11 février 2019 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

11 février 2019Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs prix obtenus à la première édition du festival international du documentaire, le FIPADOC 2019.

Grand Prix Documentaire Nationale & Prix Mitrani

« Quelle folie » de Diego GOVERNATORI

Laëtitia FEVRE et Michel KLEIN – LES FILMS HATARI (Ciné +, BIP TV)

Compétition Impact – Prix du jury des jeunes européens

« A Thousand Girls Like Me » de Sahra MANI

Nicole LEVIGNE – LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE et Martine VIDALENC – MARMITAFILMS (Al Jazeera, RTS)

Prix Pitch français

« L’Hypothèse de Zimov » projet de Denis SNEGUIREV

Caroline ROUSSEL – ARTURO MIO

Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel. 01 44 70 70 44

Grand Prix Documentaire Nationale & Prix Mitrani « Quelle folie » de Diego GOVERNATORI Laëtitia FEVRE et Michel KLEIN – LES FILMS HATARI (Ciné +, BIP TV) Compétition Impact – Prix du jury des jeunes européens « A Thousand Girls Like Me » de Sahra MANI Nicole LEVIGNE – LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE et Martine VIDALENC – MARMITAFILMS (Al Jazeera, RTS) Prix Pitch français « L’Hypothèse de Zimov » projet de Denis SNEGUIREV Caroline ROUSSEL – ARTURO MIO Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel. 01 44 70 70 …

28 janvier 2019Actus-SPIactus-spi
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 62 nominations aux César :

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 62 nominations aux César :

En liberté ! de Pierre Salvadori, produit par Les Films Pelléas

– Meilleure actrice

– Meilleur acteur

– Meilleure actrice dans un second rôle

– Meilleur acteur dans un second rôle

– Meilleur scénario original

– Meilleure musique originale

– Meilleur montage

– Meilleure réalisation

– Meilleur film

Les frères Sisters de Jacques Audiard, produit par Why Not Productions

– Meilleure adaptation

– Meilleure musique originale

– Meilleur son

– Meilleure photo

– Meilleur montage

– Meilleurs costumes

– Meilleurs décors

– Meilleure réalisation

– Meilleur film

La douleur d’Emmanuel Finkiel, produit par Les Films du Poisson

– Meilleure actrice

– Meilleure adaptation

– Meilleur son

– Meilleure photo

– Meilleurs costumes

– Meilleurs décors

– Meilleure réalisation

– Meilleur film

Guy d’Alex Lutz, produit par Iliade & Films

– Meilleur acteur

– Meilleur scénario original

– Meilleure musique originale

– Meilleur son

– Meilleure réalisation

– Meilleur film

Mademoiselle de Joncquières d’Emmanuel Mouret, produit par Moby Dick Films

– Meilleure actrice

– Meilleur acteur

– Meilleure adaptation

– Meilleure photo

– Meilleurs costumes

– Meilleurs décors

Un amour impossible de Catherine Corsini, produit par Chaz Productions

– Meilleure actrice

– Meilleur espoir féminin

– Meilleure adaptation

– Meilleure musique originale

Nos batailles de Guillaume Senez, produit par Les Films Pelléas

– Meilleur acteur

– Meilleur film étranger

Un peuple et son roi de Pierre Schoeller, produit par Archipel 35

– Meilleurs costumes

– Meilleurs décors

America de Claus Drexel, produit par Gloria Films Production

– Meilleur film documentaire

Braguino de Clément Cogitore, produit par Seppia

– Meilleur film de court métrage

De chaque instant de Nicolas Philibert, produit par Archipel 35

– Meilleur film documentaire

Hannah d’Andrea Pallaoro, produit par Good Fortune Films

– Meilleur film étranger

Laissez-moi danser de Valérie Leroy, produit par Offshore

– Meilleur film de court métrage

L’amour flou de Romane Bohringer & Philippe Rebbot, produit par Escazal Films

– Meilleur premier film

Le grand bal de Laetitia Carton, produit par SaNoSi Productions

– Meilleur film documentaire

Les indes galantes de Clément Cogitore, produit par Les Films Pelléas

– Meilleur film de court métrage

Les petites mains de Rémi Allier, produit par Films Grand Huit

– Meilleur film de court métrage

L’homme fidèle de Louis Garrel, produit par Why Not Productions

– Meilleur espoir féminin

Ni juge, ni soumise d’Yves Hinant & Jean Libon, produit par Le Bureau

– Meilleur film documentaire

Pachamama de Juan Antin, produit par O2B Films

– Meilleur film d’animation de long métrage

Plaire, aimer et courir vite de Christophe Honoré, produit par Les Films Pelléas

– Meilleur acteur dans un second rôle

Première année de Thomas Lilti, produit par 31 Juin

– Meilleur espoir masculin

Raymonde ou l’évasion verticale de Sarah Van Den Boom, produit par Papy3D Productions

– Meilleur film d’animation de court métrage

Sauvage de Camille Vidal Naquet, produit par La Voie Lactée

– Meilleur premier film

Paris, le 24 janvier 2019

Contact Presse :

Catherine Bertin – Déléguée générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 62 nominations aux César : En liberté ! de Pierre Salvadori, produit par Les Films Pelléas – Meilleure actrice – Meilleur acteur – Meilleure actrice dans un second rôle – Meilleur acteur dans un second rôle – Meilleur scénario original – Meilleure musique originale – Meilleur montage – Meilleure réalisation – Meilleur film Les frères Sisters de Jacques Audiard, produit par Why Not Productions – Meilleure adaptation – Meilleure musique originale – Meilleur son – Meilleure photo – Meilleur montage – Meilleurs costumes – Meilleurs décors – Meilleure réalisation – Meilleur film La douleur d’Emmanuel Finkiel, produit par Les Films du Poisson – Meilleure actrice – Meilleure adaptation – Meilleur son – Meilleure photo – Meilleurs costumes – Meilleurs décors – Meilleure réalisation – Meilleur film Guy d’Alex Lutz, produit par Iliade & Films – Meilleur acteur – Meilleur scénario original – Meilleure musique originale – Meilleur son – Meilleure réalisation – Meilleur film Mademoiselle de Joncquières d’Emmanuel Mouret, produit par Moby Dick Films – Meilleure actrice – Meilleur acteur – Meilleure adaptation – Meilleure photo – Meilleurs costumes – Meilleurs décors Un amour impossible de Catherine Corsini, produit par Chaz Productions – Meilleure actrice – Meilleur espoir féminin – Meilleure adaptation – Meilleure musique originale Nos batailles de Guillaume Senez, produit par Les Films Pelléas – Meilleur acteur – Meilleur film étranger Un peuple et son roi de Pierre Schoeller, produit par Archipel 35 – Meilleurs costumes – Meilleurs décors America de Claus Drexel, produit par Gloria Films Production – Meilleur film documentaire Braguino de Clément Cogitore, produit par Seppia – Meilleur film de court métrage De chaque instant de Nicolas Philibert, produit par Archipel 35 – Meilleur film documentaire Hannah d’Andrea Pallaoro, produit par Good Fortune Films – Meilleur film étranger Laissez-moi danser de Valérie Leroy, produit par Offshore – Meilleur film de court métrage L’amour flou de Romane Bohringer & Philippe Rebbot, produit par Escazal Films – Meilleur premier film Le grand bal de Laetitia Carton, produit par SaNoSi Productions – Meilleur film documentaire Les indes galantes de Clément Cogitore, produit par Les Films Pelléas – Meilleur film de court métrage Les petites mains de Rémi Allier, produit par Films Grand Huit – Meilleur film de court métrage L’homme fidèle de Louis Garrel, produit par Why Not Productions – Meilleur espoir féminin Ni juge, ni soumise d’Yves Hinant & Jean Libon, produit par Le Bureau – Meilleur film documentaire Pachamama de Juan Antin, produit par O2B Films – Meilleur film d’animation de long métrage Plaire, aimer et courir vite de Christophe Honoré, produit par Les Films Pelléas – Meilleur acteur dans un second rôle Première année de Thomas Lilti, produit par 31 Juin – Meilleur espoir masculin Raymonde ou l’évasion verticale de Sarah Van Den Boom, produit par Papy3D Productions – Meilleur film d’animation de court métrage Sauvage de Camille Vidal Naquet, produit par La Voie Lactée – Meilleur premier film Paris, le 24 janvier 2019 Contact Presse : Catherine Bertin – Déléguée générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

24 janvier 2019Actus-SPIactus-spi
Annexes 8 et 10 : Signature d’un avenant à l’accord du 28 avril 2016 par la FESAC

Le SPI salue la signature unanime de l’avenant du 21 janvier 2018 par la FESAC et l’ensemble des partenaires sociaux du secteur.

Cet avenant consolide et sécurise l’accord signé le 26 avril 2016 sur le régime d’assurance chômage des annexes 8 et 10.

A l’issue de leur réunion de négociation du 21 janvier, la Fesac et les organisations représentatives des salariés du secteur du spectacle vivant et enregistré ont unanimement signé un avenant à leur accord du 28 avril 2016 dans un contexte difficile et un calendrier particulièrement court.

Le texte de l’avenant complète et renforce l’accord du 28 avril 2016, fondateur pour le secteur. Outre des ajustements nécessaires, il prévoit également des mesures d’adaptation aux différentes réformes en cours (sécurisation du champ de l’annexe 8 en cas de rapprochement de branches ou encore modalités de prise en compte des périodes de reconversion professionnelle).

Les partenaires sociaux du secteur s’engagent par ailleurs à rouvrir les négociations à la suite de l’évaluation complète de l’accord du 28 avril 2016 qui sera réalisée par le comité d’expertise à l’automne 2019 et ce, dans un délai raisonnable.

La Fesac invite les partenaires sociaux de l’interprofession et le gouvernement à respecter le résultat de la négociation, comptant notamment sur ce dernier pour renforcer son soutien à l’emploi pérenne dans le secteur.

Le SPI salue la signature unanime de l’avenant du 21 janvier 2018 par la FESAC et l’ensemble des partenaires sociaux du secteur. Cet avenant consolide et sécurise l’accord signé le 26 avril 2016 sur le régime d’assurance chômage des annexes 8 et 10. A l’issue de leur réunion de négociation du 21 janvier, la Fesac et les organisations représentatives des salariés du secteur du spectacle vivant et enregistré ont unanimement signé un avenant à leur accord du 28 avril 2016 dans un contexte difficile et un calendrier particulièrement court. Le texte de l’avenant complète et renforce l’accord du 28 avril 2016, fondateur pour le secteur. Outre des ajustements nécessaires, il prévoit également des mesures d’adaptation aux différentes réformes en cours (sécurisation du champ de l’annexe 8 en cas de rapprochement de branches ou encore modalités de prise en compte des périodes de reconversion professionnelle). Les partenaires sociaux du secteur s’engagent par ailleurs à rouvrir les négociations à la suite de l’évaluation complète de l’accord du 28 avril 2016 qui sera réalisée par le comité d’expertise à l’automne 2019 et ce, dans un délai raisonnable. La Fesac invite les partenaires sociaux de l’interprofession et le gouvernement à respecter le résultat de la négociation, comptant notamment sur ce dernier pour renforcer son soutien à l’emploi pérenne dans le …

23 janvier 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections au FIPADOC 2019

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs films sélectionnés en compétition au nouveau festival international du documentaire, le FIPADOC 2019.

Nous sommes heureux que les producteurs indépendants français soient autant représentés dès cette première édition.

Dans la compétition internationale :

« Oscuro y Lucientes » de Samuel ALARCON

Martine VIDALENC – MARMITAFILMS et TOURMALET FILMS – RTVE, France 3

Dans la compétition nationale :

« On nous appelait beurettes » de Bouchera AZZOUZ

Olivier de BANNES – O2B FILMS – France 2, Public Sénat

« Les Petits Maîtres du grand hôtel » de Jacques DESCHAMPS

Céline LOISEAU, Miléna POYLO et Gilles SACUTO – TS PRODUCTIONS – France 3

« Quelle folie » de Diego GOVERNATORI

Laëtitia FEVRE et Michel KLEIN – LES FILMS HATARI – Ciné +

« Le Souffle du canon » de Nicolas MINGASSON

Vincent GAULLIER – LOOK AT SCIENCES – Public Sénat

« La Disgrâce » de Didier CROS

Félicie ROBLIN – ZADIG PRODUCTIONS – France Télévisions

Dans la compétition Impact :

« A Thousand Girls Like Me » de Sahra MANI

Nicole LEVIGNE – LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE et Martine VIDALENC – MARMITAFILMS – Al Jazeera, RTS

« Défi de solidarité » d’Anne RICHARD et Caroline DARROQUY

Christie MOLIA et Agnès MOLIA – TOURNEZ S’IL VOUS PLAÎT – France 2

« Les Promesses en plastique de Coca-Cola » de Sandrine RIGAUD

Luc HERMANN – PREMIÈRES LIGNES TÉLÉVISION – France 2

Panorama de la création francophone :

« Les Bergers du Futur » de Lionel ROUX

Valérie DUPIN – LES PRODUCTIONS DU LAGON et Patrice NEZAN – LES CONTES MODERNES – France 3

« Les Cobayes du cosmos, confidences d’astronautes » de Jean-Christophe RIBOT

Jérôme DUC-MAUGÉ – COCOTTES-MINUTES PRODUCTIONS – France 5, Sciences & Vie TV

« Joan Miró, le feu intérieur » d’Albert SOLÉ

Anne LABRO / Jean LABIB – COMPAGNIE DES PHARES ET BALISES – Arte

« Ouaga Girls » de THERESA DAHLBERG

Estelle ROBIN YOU – LES FILMS DU BALIBARI et MOMENTO FILM

Dans la sélection Smart :

« Commises d’Office – Saison 2 » d’Olivia BARLIER

Théo LABOULANDINE – MELOCOTON FILMS – France Télévisions

« L’île des morts » de Benjamin NUEL

Oriane HURARD – LES PRODUITS FRAIS – Arte

« Panama Al Brown, L’énigme de la force » de Camille DUVELLEROY

Laurent DURET – BACHIBOUZOUK – Arte

Dans la sélection Les Remarqués :

« La ville monde » d’Antarès BASSIS

Estelle ROBIN YOU – LES FILMS DU BALIBARI – France 3, L’Heure D, RTBF

Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel. 01 44 70 70 44

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs films sélectionnés en compétition au nouveau festival international du documentaire, le FIPADOC 2019. Nous sommes heureux que les producteurs indépendants français soient autant représentés dès cette première édition. Dans la compétition internationale : « Oscuro y Lucientes » de Samuel ALARCON Martine VIDALENC – MARMITAFILMS et TOURMALET FILMS – RTVE, France 3 Dans la compétition nationale : « On nous appelait beurettes » de Bouchera AZZOUZ Olivier de BANNES – O2B FILMS – France 2, Public Sénat « Les Petits Maîtres du grand hôtel » de Jacques DESCHAMPS Céline LOISEAU, Miléna POYLO et Gilles SACUTO – TS PRODUCTIONS – France 3 « Quelle folie » de Diego GOVERNATORI Laëtitia FEVRE et Michel KLEIN – LES FILMS HATARI – Ciné + « Le Souffle du canon » de Nicolas MINGASSON Vincent GAULLIER – LOOK AT SCIENCES – Public Sénat « La Disgrâce » de Didier CROS Félicie ROBLIN – ZADIG PRODUCTIONS – France Télévisions Dans la compétition Impact : « A Thousand Girls Like Me » de Sahra MANI Nicole LEVIGNE – LES FILMS DU TAMBOUR DE SOIE et Martine VIDALENC – MARMITAFILMS – Al Jazeera, RTS « Défi de solidarité » d’Anne RICHARD et Caroline DARROQUY Christie MOLIA et Agnès MOLIA – TOURNEZ S’IL VOUS PLAÎT – France 2 « Les Promesses en plastique de Coca-Cola » de Sandrine RIGAUD Luc HERMANN – PREMIÈRES LIGNES TÉLÉVISION – France 2 Panorama de la création francophone : « Les Bergers du Futur » de Lionel ROUX Valérie DUPIN – LES PRODUCTIONS DU LAGON et Patrice NEZAN – LES CONTES MODERNES – France 3 « Les Cobayes du cosmos, confidences d’astronautes » de Jean-Christophe RIBOT Jérôme DUC-MAUGÉ – COCOTTES-MINUTES PRODUCTIONS – France 5, Sciences & Vie TV « Joan Miró, le feu intérieur » d’Albert SOLÉ Anne LABRO / Jean LABIB – COMPAGNIE DES PHARES ET BALISES – Arte « Ouaga Girls » de THERESA DAHLBERG Estelle ROBIN YOU – LES FILMS DU BALIBARI et MOMENTO FILM Dans la sélection Smart : « Commises d’Office – Saison 2 » d’Olivia BARLIER Théo LABOULANDINE – MELOCOTON FILMS – France Télévisions « L’île des morts » de Benjamin NUEL Oriane HURARD – LES PRODUITS FRAIS – Arte « Panama Al Brown, L’énigme de la force » de Camille DUVELLEROY Laurent DURET – BACHIBOUZOUK – Arte Dans la sélection Les Remarqués : « La ville monde » d’Antarès BASSIS Estelle ROBIN YOU – LES FILMS DU BALIBARI – France 3, L’Heure D, RTBF Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel. 01 44 70 70 …

15 janvier 2019Actus-SPIactus-spi
Le SPI signe un nouvel accord avec France Télévisions

France Télévisions, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI, et l’USPA ont signé le 21 décembre 2018 un accord qui consolide leur partenariat historique.
Signé par l’ensemble des syndicats de producteurs audiovisuels qui ont ainsi marqué leur volonté d’accompagner France Télévisions dans sa transformation numérique, cet accord permet à France Télévisions de relever le défi numérique, de s’adapter de manière dynamique à l’évolution des usages, aux attentes de ses publics et aux spécificités de chaque oeuvre, en élargissant l’exposition non-linéaire de ses programmes dans ses offres conformément aux objectifs fixés par le Gouvernement.

Il sanctuarise l’investissement de France Télévisions dans la création patrimoniale, et garantit aux producteurs d’oeuvres audiovisuelles un engagement financier dans les différents genres jusqu’en 2022.

Il permet également d’accroitre la création de valeur des investissements de France Télévisions et la protection vis-à-vis des opérateurs n’ayant pas participé au préfinancement de l’oeuvre. Il maintient également une part importante des
investissements dans la production indépendante, tout en permettant à France
Télévisions de développer sa propre capacité de production.

Cet accord démontre la capacité des acteurs de la filière audiovisuelle à construire un avenir commun avec pour ambition de relever les nouveaux défis du secteur, de soutenir la diversité de la création audiovisuelle, et de trouver, pour chacun des partenaires, un meilleur équilibre économique. Il montre ainsi la pertinence des accords professionnels pour faire évoluer les relations entre les producteurs et les éditeurs.

France Télévisions et les syndicats de producteurs audiovisuels sont ainsi convenus des principales évolutions suivantes :

Investissements dans la création :
– Le principe d’engagement par France Télévisions d’au moins 420M€ par an dans la création patrimoniale sera sanctuarisé, au travers d’une modification de son cahier des charges devant être réalisée par l’Etat.
– France Télévisions s’engage à maintenir les engagements annuels d’investissement minimum par genre pour la période 2019-2022.
– La part « indépendante » de l’investissement dans la création est portée de 75% à 82.5% minimum à compter de 2019.
– La part « dépendante » réservée aux filiales de France Télévisions est portée de 12.5% à 17.5% au maximum à compter de 2019.
– La part dépendante dite « de souplesse » de 12.5% est supprimée à compter de 2019.
– Sur la période 2019-2022, l’objectif de France Télévisions est de porter à au moins 50M€ par an son investissement dans la production d’oeuvres patrimoniales faisant l’objet d’une première exploitation non-linéaire.

Partage de la valeur :
– Le seuil de déclenchement des parts de coproduction est ramené de 70% à 60%.
– Le niveau de droit à recettes de France Télévisions sur les exploitations des oeuvresindépendantes préachetées a été aligné sur celui des oeuvres coproduites, soit 50% de sa part de financement rapporté au coût définitif de l’oeuvre.

Cadre général des droits d’exploitation des oeuvres :
– Les droits d’exploitation des oeuvres sont cédés au bénéfice des services de télévision linéaires édités par France Télévisions, ou des sites et/ou medias audiovisuels à la demande édités ou coédités par France Télévisions ainsi que des offres de distributeurs tiers reprenant licitement l’offre délinéarisée de France Télévisions.
– La durée des droits d’exploitation linéaire à titre exclusif est de 36 mois pour les séries et collections, et 30 mois pour les unitaires.
– La durée de la TVR et de la « preview » reste de 7 jours. Elle est cependant élargie pour les séries de fictions et de documentaires, dans la mesure où France Télévisions aura la possibilité de donner au public l’accès à l’intégralité des épisodes jusqu’à 7 jours après la diffusion du dernier épisode.

– La période de protection exclusive des droits de France Télévisions vis-à-vis des
exploitations SVàD est étendue. Elle est déterminée par le niveau de financement de l’oeuvre par France Télévisions. Elle est négociée de gré à gré dans des limites de 12 à 24 mois pour les oeuvres dont le financement de France Télévisions est supérieur à 65 % pour la fiction, 55% pour le documentaire et 45% pour le spectacle vivant. Elle est de 0 à 12 mois en dessous de ces seuils.

– Pour les exploitations non-linéaires gratuites, une période d’exclusivité est accordée à France Télévisions pendant la durée de ses droits linéaires.

France Télévisions pourra exploiter les oeuvres en non linéaire dans ses offres, de manière continue ou discontinue, pendant la période d’exclusivité SVàD. La durée de ces exploitations est liée au niveau de financement de l’oeuvre par France Télévisions (voir supra), de 6 à 9 mois pour les oeuvres les mieux financées, de 0 à 6 mois pour les autres.
Cet accord, qui s’applique de 2019 à 2022 entrera en vigueur le 1er janvier 2019 et devra être complété d’ici le 31 mars 2019 par des dispositions relatives à un certain nombre de sujets additionnels devant être négociés d’ici là, notamment celles concernant l’animation qui nécessite un traitement particulier au regard des évolutions à venir de la diffusion des oeuvres.

Contacts

France Télévisions : Muriel Attal, Direction de la communication corporate – 01 56 22 67 09

Véronique Provost, Responsable des relations presse corporate – 01 56 22 23 53

SATEV : Florence Braka, Déléguée générale – 01 42 47 01 00

SPECT : Vincent Gisbert, Délégué général – 01 40 53 23 00

SPFA et UPSA : Stéphane Le Bars, Délégué général – 01 40 53 23 00

SPI : Catherine Bertin, Déléguée générale – 01 44 70 70 44

France Télévisions, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI, et l’USPA ont signé le 21 décembre 2018 un accord qui consolide leur partenariat historique. Signé par l’ensemble des syndicats de producteurs audiovisuels qui ont ainsi marqué leur volonté d’accompagner France Télévisions dans sa transformation numérique, cet accord permet à France Télévisions de relever le défi numérique, de s’adapter de manière dynamique à l’évolution des usages, aux attentes de ses publics et aux spécificités de chaque oeuvre, en élargissant l’exposition non-linéaire de ses programmes dans ses offres conformément aux objectifs fixés par le Gouvernement. Il sanctuarise l’investissement de France Télévisions dans la création patrimoniale, et garantit aux producteurs d’oeuvres audiovisuelles un engagement financier dans les différents genres jusqu’en 2022. Il permet également d’accroitre la création de valeur des investissements de France Télévisions et la protection vis-à-vis des opérateurs n’ayant pas participé au préfinancement de l’oeuvre. Il maintient également une part importante des investissements dans la production indépendante, tout en permettant à France Télévisions de développer sa propre capacité de production. Cet accord démontre la capacité des acteurs de la filière audiovisuelle à construire un avenir commun avec pour ambition de relever les nouveaux défis du secteur, de soutenir la diversité de la création audiovisuelle, et de trouver, pour chacun des partenaires, un meilleur équilibre économique. Il montre ainsi la pertinence des accords professionnels pour faire évoluer les relations entre les producteurs et les éditeurs. France Télévisions et les syndicats de producteurs audiovisuels sont ainsi convenus des principales évolutions suivantes : Investissements dans la création : – Le principe d’engagement par France Télévisions d’au moins 420M€ par an dans la création patrimoniale sera sanctuarisé, au travers d’une modification de son cahier des charges devant être réalisée par l’Etat. – France Télévisions s’engage à maintenir les engagements annuels d’investissement minimum par genre pour la période 2019-2022. – La part « indépendante » de l’investissement dans la création est portée de 75% à 82.5% minimum à compter de 2019. – La part « dépendante » réservée aux filiales de France Télévisions est portée de 12.5% à 17.5% au maximum à compter de 2019. – La part dépendante dite « de souplesse » de 12.5% est supprimée à compter de 2019. – Sur la période 2019-2022, l’objectif de France Télévisions est de porter à au moins 50M€ par an son investissement dans la production d’oeuvres patrimoniales faisant l’objet d’une première exploitation non-linéaire. Partage de la valeur : – Le seuil de déclenchement des parts de coproduction est ramené de 70% à 60%. – Le niveau de droit à recettes de France Télévisions sur les exploitations des oeuvresindépendantes préachetées a été aligné sur celui des oeuvres coproduites, soit 50% de sa part de financement rapporté au coût définitif de l’oeuvre. Cadre général des droits d’exploitation des oeuvres : – Les droits d’exploitation des oeuvres sont cédés au bénéfice des services de télévision linéaires édités par France Télévisions, ou des sites et/ou medias audiovisuels à la demande édités ou coédités par France Télévisions ainsi que des offres de distributeurs tiers reprenant licitement l’offre délinéarisée de France Télévisions. – La durée des droits d’exploitation linéaire à titre exclusif est de 36 mois pour les séries et collections, et 30 mois pour les unitaires. – La durée de la TVR et de la « preview » reste de 7 jours. Elle est cependant élargie pour les séries de fictions et de documentaires, dans la mesure où France Télévisions aura la possibilité de donner au public l’accès à l’intégralité des épisodes jusqu’à 7 jours après la diffusion du dernier épisode. – La période de protection exclusive des droits de France Télévisions vis-à-vis des exploitations SVàD est étendue. Elle est déterminée par le niveau de financement de l’oeuvre par France Télévisions. Elle est négociée de gré à gré dans des limites de 12 à 24 mois pour les oeuvres dont le financement de France Télévisions est supérieur à 65 % pour la fiction, 55% pour le documentaire et 45% pour le spectacle vivant. Elle est de 0 à 12 mois en dessous de ces seuils. – Pour les exploitations non-linéaires gratuites, une période d’exclusivité est accordée à France Télévisions pendant la durée de ses droits linéaires. France Télévisions pourra exploiter les oeuvres en non linéaire dans ses offres, de manière continue ou discontinue, pendant la période d’exclusivité SVàD. La durée de ces exploitations est liée au niveau de financement de l’oeuvre par France Télévisions (voir supra), de 6 à 9 mois pour les oeuvres les mieux financées, de 0 à 6 mois pour les autres. Cet accord, qui s’applique de 2019 à 2022 entrera en vigueur le 1er janvier 2019 et devra être complété d’ici le 31 mars 2019 par des dispositions relatives à un certain nombre de sujets additionnels devant être négociés d’ici là, notamment celles concernant l’animation qui nécessite un traitement particulier au regard des évolutions à venir de la diffusion des oeuvres. Contacts France Télévisions : Muriel Attal, Direction de la communication corporate – 01 56 22 67 09 Véronique Provost, Responsable des relations presse corporate – 01 56 22 23 53 SATEV : Florence Braka, Déléguée générale – 01 42 47 01 00 SPECT : Vincent Gisbert, Délégué général – 01 40 53 23 00 SPFA et UPSA : Stéphane Le Bars, Délégué général – 01 40 53 23 00 SPI : Catherine Bertin, Déléguée générale – 01 44 70 70 …

11 janvier 2019Actus-SPIactus-spi
Nouvelle co-présidence du BLOC

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 15
organisations professionnelles du cinéma représentant scénaristes, réalisateurs,
producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et
techniciens a désigné ses deux Coprésidents pour l’année 2019.

Katell Quillévéré, cinéaste, membre du Conseil d’administration de la SRF,
assurera la Co-Présidence au titre des réalisateurs. Son premier film, « Un poison violent », a reçu le prix Jean Vigo en 2010 après son passage à la Quinzaine des réalisateurs. Elle réalise ensuite « Suzanne » (ouverture de la Semaine de la critique à Cannes 2013, César du meilleur second rôle pour Adèle Haenel) puis « Réparer les vivants » (Mostra de Venise 2016, nominé aux Césars pour la meilleure adaptation). Avec Sébastien Bailly, elle est à l’origine de la création du festival du cinéma de Brive, consacré au moyen métrage. Elle cosigne avec Hélier Cisterne le scénario de « De nos frères blessés », qui sortira en salles cette année.

Xavier Rigault, Vice-Président de l’UPC, assurera la Co-Présidence au titre des
producteurs. Il est cofondateur et codirigeant avec Marc-Antoine Robert de la
société 2.4 .7. Films qui a produit plus de 12 films, en commençant par
« Persepolis » de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud (Prix du Jury Cannes
2007, César 2008 du Meilleur Premier Film et de la Meilleure Adaptation et
Nominé aux Oscars 2008) jusqu’aujourd’hui avec « Victor et Célia » de Pierre
Jolivet qui sortira en salles cette année.

L’année 2019 sera essentielle pour l’avenir de la création cinématographique,
notamment à travers l’examen du projet de loi audiovisuel qui doit en particulier
transposer en droit français la directive sur les services de médias audiovisuels
mais aussi via la mise en place sous l’égide du CNC d’une régulation efficiente de l’exploitation des films dans les salles de cinéma à l’ère numérique pour une
meilleure exposition de ceux-ci auprès du public dans le cadre de la nouvelle
chronologie des médias.

Le BLOC sera plus que jamais actif dans son combat pour la création et la diffusion indépendantes, piliers de la diversité culturelle.

Contacts :

Julie Lethiphu, Déléguée Générale de la SRF

jlethiphu@la-srf.fr / +33 1 44 89 62 58

Frédéric Goldsmith, Délégué Général de l’UPC

frederic.goldsmith@producteurscinema.fr / + 33 1 53 89 01 30

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 15 organisations professionnelles du cinéma représentant scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens a désigné ses deux Coprésidents pour l’année 2019. Katell Quillévéré, cinéaste, membre du Conseil d’administration de la SRF, assurera la Co-Présidence au titre des réalisateurs. Son premier film, « Un poison violent », a reçu le prix Jean Vigo en 2010 après son passage à la Quinzaine des réalisateurs. Elle réalise ensuite « Suzanne » (ouverture de la Semaine de la critique à Cannes 2013, César du meilleur second rôle pour Adèle Haenel) puis « Réparer les vivants » (Mostra de Venise 2016, nominé aux Césars pour la meilleure adaptation). Avec Sébastien Bailly, elle est à l’origine de la création du festival du cinéma de Brive, consacré au moyen métrage. Elle cosigne avec Hélier Cisterne le scénario de « De nos frères blessés », qui sortira en salles cette année. Xavier Rigault, Vice-Président de l’UPC, assurera la Co-Présidence au titre des producteurs. Il est cofondateur et codirigeant avec Marc-Antoine Robert de la société 2.4 .7. Films qui a produit plus de 12 films, en commençant par « Persepolis » de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud (Prix du Jury Cannes 2007, César 2008 du Meilleur Premier Film et de la Meilleure Adaptation et Nominé aux Oscars 2008) jusqu’aujourd’hui avec « Victor et Célia » de Pierre Jolivet qui sortira en salles cette année. L’année 2019 sera essentielle pour l’avenir de la création cinématographique, notamment à travers l’examen du projet de loi audiovisuel qui doit en particulier transposer en droit français la directive sur les services de médias audiovisuels mais aussi via la mise en place sous l’égide du CNC d’une régulation efficiente de l’exploitation des films dans les salles de cinéma à l’ère numérique pour une meilleure exposition de ceux-ci auprès du public dans le cadre de la nouvelle chronologie des médias. Le BLOC sera plus que jamais actif dans son combat pour la création et la diffusion indépendantes, piliers de la diversité culturelle. Contacts : Julie Lethiphu, Déléguée Générale de la SRF jlethiphu@la-srf.fr / +33 1 44 89 62 58 Frédéric Goldsmith, Délégué Général de l’UPC frederic.goldsmith@producteurscinema.fr / + 33 1 53 89 01 …

8 janvier 2019Actus-SPIactus-spi
AFAA Tunnel des 50 – appel à signatures

Marina Tomé, au sein de AAFA ( Actrices Acteurs de France Associés) a créé et mène depuis trois ans la commission AAFA-Tunnel de la Comédienne de 50 ans en collaboration avec Catherine Piffaretti.

Nous sommes aujourd’hui plus de quarante femmes et hommes à retrousser nos manches.

En avril dernier nous avons lancé le Manifeste AAFA-Tunnel des 50.

Signature en ligne : bit.ly/ManifesteAAFA-TunnelDes50

Nous avons à ce jour, plus de 10 400 signatures, beaucoup de relais dans les médias, presse radio, TV… Et ce 12 décembre, de nombreux syndicats et organismes professionnels ont signé officiellement notre manifeste.

Nous nous en réjouissons. C’est tous et toutes ensemble que nous pourrons agir.

– ARDA, Association des Responsables de Distribution Artistique
– ARP, Auteurs Réalisateurs Producteurs
– Collectif A Mots Découverts
– Collectif 50X50 en 2020
– Collectif 52
– Deuxieme Regard
– EAT, Écrivains Associés du Théâtre
– Groupe 25 Images
– Guilde Française des Scénaristes
– Lab Femmes de Cinéma
– Les cinquantièmes jubilantes
– Les Sentinelles
– Maison du Film
– Mouvement HF
– SFA, Syndicat Français des Artistes-interprètes
– SFAAL, Syndicat Français des Agents Artistiques et Littéraires
– SNMS, Syndicat National des Metteurs en Scène
– SPI, Syndicat des Producteurs Indépendants
– USPA, Union Syndicale de la Production Audiovisuelle

Ce combat est important, non seulement pour nous les actrices mais aussi pour toutes les femmes de plus de 50 ans que nous représentons, parce que nous sommes dans une société de l’image, où qui n’est pas représenté·e, n’existe pas.

Alors si nous voulons que ça avance, pour toutes les femmes, dans tous les secteurs de la société, il faut que ça avance dans les représentations. Il faut que les femmes existent dans les films pour que ça change dans la vie !

C’est pourquoi notre Manifeste AAFA-Tunnel des 50 appelle les signatures des professionnels, des artistes mais aussi de tout le public, de tout le monde.

Vous trouverez ci-dessous toutes les informations sur le Manifeste AAFA-Tunnel des 50.

Si vous l’avez déjà signé, nous vous en remercions…

Et merci de le faire circuler et circuler…
Image supprimée par l’expéditeur.

Manifeste AAFA-TUNNEL DES 50

Aujourd’hui en France, une femme majeure sur deux a plus de 50 ans.

Et dans les fictions, elles sont où ?

Sur tous les films français sortis en 2015, seulement 8 % des rôles sont attribués à des comédiennes de plus de 50 ans. Oui, vous avez bien lu : 8 % ! En 2016 c’est encore moins, 6 %. À partir de 50 ans, les femmes développent un super-pouvoir, elles deviennent invisibles. Surtout à l’écran !

Depuis décembre 2015, l’AAFA-Tunnel de la Comédienne de 50 ans retrousse ses manches pour nommer le problème, briser l’omerta et faire bouger le curseur de la représentation des femmes de plus de 50 ans. Les personnages féminins ne vieillissent pas, ils disparaissent des écrans… Qui n’est pas représenté n’existe pas !

Oui, rendre visibles les femmes de plus de 50 ans dans les fictions est un véritable enjeu de société.
Signature en ligne du Manifeste AAFA-Tunnel des 50: bit.ly/ManifesteAAFA-TunnelDes50

A ce jour plus de 10 400 Signatures.
Parmi lesquels Pierre Arditi, acteur ; Ariane Ascaride, actrice ; Lionnel Astier, acteur ; Marie-Christine Barrault, actrice ; Michèle Bernier, actrice ; Dominique Besnehard, producteur ; Jean Benguigui, acteur ; Jean-Marie Bigard, acteur ; Bernard Blancan, acteur ; Isabelle de Botton, actrice ; Évelyne Bouix, actrice ; Michel Boujenah, acteur, réalisateur ; Patrick Braoudé, acteur, réalisateur ; Pascale Breugnot, productrice ; Dominique Cabrera, réalisatrice ; Nicole Calfan, actrice ; Philippe Carcassonne, producteur ; Catherine Ceylac, journaliste ; Marie Chaix, écrivain Noëlle Châtelet, sociologue, écrivaine ; Nathalie Chéron, directrice de casting ; Patrick Chesnais, acteur ; Fanny Cottençon, actrice ; Laurent Couraud, directeur de casting ; Audrey Dana, actrice, réalisatrice ; Éva Darlan, actrice ; Marine Delterme, actrice ; Marianne Denicourt, actrice ; Claire Denis, réalisatrice ; Michel Denisot , journaliste, producteur ; Sophie Deschamps, scénariste ; Maruschka Detmers, actrice ; Franck Dubosc, acteur, réalisateur ; Xavier Durringer, auteur, réalisateur, metteur en scène ; Pascal Elbé, acteur, réalisateur ; Michèle Fitoussi, journaliste, romancière ; Stéphane Foenkinos, réalisateur ; Anne Fontaine, réalisatrice ; Stephen Frears, réalisateur ; Mata Gabin, actrice, écrivaine ; Jacques Gamblin, acteur ; Véronique Genest, actrice ; Gwendoline Hamon, actrice ; Fanny Herrero, scénariste ; Véronique Jannot, actrice ; Agnès Jaoui, actrice, réalisatrice ; Jean–Pierre Kalfon, acteur ; Sam Karmann, acteur, réalisateur ; Valérie Karsenti, actrice ; Corinne Klomp, scénariste ; Gérard Krawczyk, réalisateur ; Dominique Lavanant, actrice ; Bernard Le Coq, acteur ; Patrice Leconte, réalisateur ; Pascal Légitimus, acteur ; Virginie Lemoine, actrice, metteuse en scène ; Blandine Lenoir, réalisatrice ; Anne Le Ny, actrice, réalisatrice ; Lorraine Lévy, réalisatrice ; Caroline Loeb, actrice, chanteuse ; Elsa Lunghini, actrice, chanteuse ; Valérie Mairesse, actrice ; Olivier Marchal, acteur, réalisateur ; Corinne Masiero, actrice ; Mimie Mathy, actrice ; Mathilda May, actrice, metteuse en scène ; Cyril Mennegun, scénariste, réalisateur ; Thibault de Montalembert, acteur ; Jean-Luc Moreau, acteur, metteur en scène ; François Morel auteur, acteur, chanteur ; Nagui, producteur, animateur ; Claire Nebout, actrice ; Tom Novembre, acteur, chanteur ; Isabel Otero, actrice ; Martin Provost, réalisateur ; Robin Renucci, acteur, réalisateur ; Sonia Rolland, actrice ; Patrice Romedenne, journaliste ; Laurence Rossignol, sénatrice ; Alain Sachs, metteur en scène ; Pierre Santini, acteur ; Marion Sarraut, réalisatrice ; Samira Sedira, autrice, actrice ; Coline Serreau, réalisatrice ; Marianne Sergent, actrice ; Julien Seri, réalisateur ; Fabienne Servan-Schreiber, productrice ; Anouche Setbon, metteuse en scène; Charlotte Silvera, réalisatrice ; Olivier Sitruk, acteur, coprésident d’AAFA ; Agnès Soral, actrice ; Anne Sylvestre, auteur-compositrice-interprète ; Élisabeth Tanner, agent artistique, présidente du SFAAL ; Lidia Terki, réalisatrice ; Nicolas Vaude, acteur ; Paul Vecchiali, réalisateur ; Karin Viard, actrice ; Jean–Philippe Viaud, journaliste ; Roschdy Zem, acteur, réalisateur… Et tant d’autres!

En pièces jointes, ci-après,
– Manifeste AAFA-Tunel des 50
– l’infographie des chiffres du cinéma 2016

Pour plus d’informations,
– lien vers notre page sur le site AAFA
https://aafa-asso.info/tunnel-de-la-comedienne-de-50-ans/
– lien pour notre revue de presse

Marina Tomé, au sein de AAFA ( Actrices Acteurs de France Associés) a créé et mène depuis trois ans la commission AAFA-Tunnel de la Comédienne de 50 ans en collaboration avec Catherine Piffaretti. Nous sommes aujourd’hui plus de quarante femmes et hommes à retrousser nos manches. En avril dernier nous avons lancé le Manifeste AAFA-Tunnel des 50. Signature en ligne : bit.ly/ManifesteAAFA-TunnelDes50 Nous avons à ce jour, plus de 10 400 signatures, beaucoup de relais dans les médias, presse radio, TV… Et ce 12 décembre, de nombreux syndicats et organismes professionnels ont signé officiellement notre manifeste. Nous nous en réjouissons. C’est tous et toutes ensemble que nous pourrons agir. – ARDA, Association des Responsables de Distribution Artistique – ARP, Auteurs Réalisateurs Producteurs – Collectif A Mots Découverts – Collectif 50X50 en 2020 – Collectif 52 – Deuxieme Regard – EAT, Écrivains Associés du Théâtre – Groupe 25 Images – Guilde Française des Scénaristes – Lab Femmes de Cinéma – Les cinquantièmes jubilantes – Les Sentinelles – Maison du Film – Mouvement HF – SFA, Syndicat Français des Artistes-interprètes – SFAAL, Syndicat Français des Agents Artistiques et Littéraires – SNMS, Syndicat National des Metteurs en Scène – SPI, Syndicat des Producteurs Indépendants – USPA, Union Syndicale de la Production Audiovisuelle Ce combat est important, non seulement pour nous les actrices mais aussi pour toutes les femmes de plus de 50 ans que nous représentons, parce que nous sommes dans une société de l’image, où qui n’est pas représenté·e, n’existe pas. Alors si nous voulons que ça avance, pour toutes les femmes, dans tous les secteurs de la société, il faut que ça avance dans les représentations. Il faut que les femmes existent dans les films pour que ça change dans la vie ! C’est pourquoi notre Manifeste AAFA-Tunnel des 50 appelle les signatures des professionnels, des artistes mais aussi de tout le public, de tout le monde. Vous trouverez ci-dessous toutes les informations sur le Manifeste AAFA-Tunnel des 50. Si vous l’avez déjà signé, nous vous en remercions… Et merci de le faire circuler et circuler… Image supprimée par l’expéditeur. Manifeste AAFA-TUNNEL DES 50 Aujourd’hui en France, une femme majeure sur deux a plus de 50 ans. Et dans les fictions, elles sont où ? Sur tous les films français sortis en 2015, seulement 8 % des rôles sont attribués à des comédiennes de plus de 50 ans. Oui, vous avez bien lu : 8 % ! En 2016 c’est encore moins, 6 %. À partir de 50 ans, les femmes développent un super-pouvoir, elles deviennent invisibles. Surtout à l’écran ! Depuis décembre 2015, l’AAFA-Tunnel de la Comédienne de 50 ans retrousse ses manches pour nommer le problème, briser l’omerta et faire bouger le curseur de la représentation des femmes de plus de 50 ans. Les personnages féminins ne vieillissent pas, ils disparaissent des écrans… Qui n’est pas représenté n’existe pas ! Oui, rendre visibles les femmes de plus de 50 ans dans les fictions est un véritable enjeu de société. Signature en ligne du Manifeste AAFA-Tunnel des 50: bit.ly/ManifesteAAFA-TunnelDes50 A ce jour plus de 10 400 Signatures. Parmi lesquels Pierre Arditi, acteur ; Ariane Ascaride, actrice ; Lionnel Astier, acteur ; Marie-Christine Barrault, actrice ; Michèle Bernier, actrice ; Dominique Besnehard, producteur ; Jean Benguigui, acteur ; Jean-Marie Bigard, acteur ; Bernard Blancan, acteur ; Isabelle de Botton, actrice ; Évelyne Bouix, actrice ; Michel Boujenah, acteur, réalisateur ; Patrick Braoudé, acteur, réalisateur ; Pascale Breugnot, productrice ; Dominique Cabrera, réalisatrice ; Nicole Calfan, actrice ; Philippe Carcassonne, producteur ; Catherine Ceylac, journaliste ; Marie Chaix, écrivain Noëlle Châtelet, sociologue, écrivaine ; Nathalie Chéron, directrice de casting ; Patrick Chesnais, acteur ; Fanny Cottençon, actrice ; Laurent Couraud, directeur de casting ; Audrey Dana, actrice, réalisatrice ; Éva Darlan, actrice ; Marine Delterme, actrice ; Marianne Denicourt, actrice ; Claire Denis, réalisatrice ; Michel Denisot , journaliste, producteur ; Sophie Deschamps, scénariste ; Maruschka Detmers, actrice ; Franck Dubosc, acteur, réalisateur ; Xavier Durringer, auteur, réalisateur, metteur en scène ; Pascal Elbé, acteur, réalisateur ; Michèle Fitoussi, journaliste, romancière ; Stéphane Foenkinos, réalisateur ; Anne Fontaine, réalisatrice ; Stephen Frears, réalisateur ; Mata Gabin, actrice, écrivaine ; Jacques Gamblin, acteur ; Véronique Genest, actrice ; Gwendoline Hamon, actrice ; Fanny Herrero, scénariste ; Véronique Jannot, actrice ; Agnès Jaoui, actrice, réalisatrice ; Jean–Pierre Kalfon, acteur ; Sam Karmann, acteur, réalisateur ; Valérie Karsenti, actrice ; Corinne Klomp, scénariste ; Gérard Krawczyk, réalisateur ; Dominique Lavanant, actrice ; Bernard Le Coq, acteur ; Patrice Leconte, réalisateur ; Pascal Légitimus, acteur ; Virginie Lemoine, actrice, metteuse en scène ; Blandine Lenoir, réalisatrice ; Anne Le Ny, actrice, réalisatrice ; Lorraine Lévy, réalisatrice ; Caroline Loeb, actrice, chanteuse ; Elsa Lunghini, actrice, chanteuse ; Valérie Mairesse, actrice ; Olivier Marchal, acteur, réalisateur ; Corinne Masiero, actrice ; Mimie Mathy, actrice ; Mathilda May, actrice, metteuse en scène ; Cyril Mennegun, scénariste, réalisateur ; Thibault de Montalembert, acteur ; Jean-Luc Moreau, acteur, metteur en scène ; François Morel auteur, acteur, chanteur ; Nagui, producteur, animateur ; Claire Nebout, actrice ; Tom Novembre, acteur, chanteur ; Isabel Otero, actrice ; Martin Provost, réalisateur ; Robin Renucci, acteur, réalisateur ; Sonia Rolland, actrice ; Patrice Romedenne, journaliste ; Laurence Rossignol, sénatrice ; Alain Sachs, metteur en scène ; Pierre Santini, acteur ; Marion Sarraut, réalisatrice ; Samira Sedira, autrice, actrice ; Coline Serreau, réalisatrice ; Marianne Sergent, actrice ; Julien Seri, réalisateur ; Fabienne Servan-Schreiber, productrice ; Anouche Setbon, metteuse en scène; Charlotte Silvera, réalisatrice ; Olivier Sitruk, acteur, coprésident d’AAFA ; Agnès Soral, actrice ; Anne Sylvestre, auteur-compositrice-interprète ; Élisabeth Tanner, agent artistique, présidente du SFAAL ; Lidia Terki, réalisatrice ; Nicolas Vaude, acteur ; Paul Vecchiali, réalisateur ; Karin Viard, actrice ; Jean–Philippe Viaud, journaliste ; Roschdy Zem, acteur, réalisateur… Et tant d’autres! En pièces jointes, ci-après, – Manifeste AAFA-Tunel des 50 – l’infographie des chiffres du cinéma 2016 Pour plus d’informations, – lien vers notre page sur le site AAFA https://aafa-asso.info/tunnel-de-la-comedienne-de-50-ans/ – lien pour notre revue de …

17 décembre 2018Actus-SPIactus-spi
Le BLOC salue le renforcement du partenariat entre OCS et le cinéma français

Le BLOC salue la signature d’un nouvel accord interprofessionnel entre OCS et les organisations professionnelles du cinéma.

Cet accord, d’une durée de 3 ans, renforce les engagements d’OCS en faveur du cinéma européen et français, pour un montant de 125 millions d’euros sur trois ans. Dans une logique vertueuse, il prend en compte à la fois la spécificité du modèle d’OCS, le contexte concurrentiel de la télévision payante, et l’évolution des secteurs de la production et de la distribution cinématographiques.

Dix ans après son lancement, la chaîne OCS réaffirme sa place parmi les principaux acteurs du financement du cinéma français.

Paris, le 14 décembre 2018.

Contacts presse :

Catherine Bertin- Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44

Julie Lethiphu- Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr / 01 44 89 99 65

Le BLOC salue la signature d’un nouvel accord interprofessionnel entre OCS et les organisations professionnelles du cinéma. Cet accord, d’une durée de 3 ans, renforce les engagements d’OCS en faveur du cinéma européen et français, pour un montant de 125 millions d’euros sur trois ans. Dans une logique vertueuse, il prend en compte à la fois la spécificité du modèle d’OCS, le contexte concurrentiel de la télévision payante, et l’évolution des secteurs de la production et de la distribution cinématographiques. Dix ans après son lancement, la chaîne OCS réaffirme sa place parmi les principaux acteurs du financement du cinéma français. Paris, le 14 décembre 2018. Contacts presse : Catherine Bertin- Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44 Julie Lethiphu- Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr / 01 44 89 99 …

14 décembre 2018Actus-SPIactus-spi
Accès transfrontière aux contenus en ligne : la production française salue une directive équilibrée et un nouveau cadre sécurisé

Communiqué de presse – Paris, le 13 décembre 2018

Accès transfrontière aux contenus en ligne : la production française salue une directive équilibrée et un nouveau cadre sécurisé

Les producteurs français d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles saluent le compromis politique trouvé ce jour sur le projet de directive venant moderniser la directive « câble et satellite » de 1993.
Cette nouvelle directive facilite la retransmission linéaire des chaînes de télévision sur les différentes plateformes en Europe en étendant le régime de gestion collective obligatoire qui existe déjà pour le câble aux autres formes de retransmission, par ADSL, par bouquet satellite et, sous certaines conditions, par Internet. Elle clarifie également le statut juridique de la retransmission de ces chaînes en cas d’injection directe, mettant ainsi fin aux incertitudes majeures nées de décisions européennes contradictoires en la matière. Enfin, la directive va permettre aux diffuseurs de mettre plus facilement à disposition partout en Europe leurs programmes d’informations et les autres productions internes proposées sur leurs services en ligne.
Ce texte renouvelle ainsi le cadre juridique européen lié aux retransmissions et le modernise en facilitant l’accès aux contenus, notamment ceux liés à l’information.
La nécessaire protection de la production indépendante a été assurée grâce à la sauvegarde du principe clé de la territorialité des droits pour ce qui concerne les productions externes des chaînes. Ce principe reste et demeurera le seul moyen pour la production européenne de financer les œuvres et d’amortir les risques financiers pris lors de la production. Au-delà de ce texte qui a enfin abouti, la vigilance des producteurs sera maintenue à l’égard des projets de texte futurs qui ne rappelleraient pas avec force la nécessité de protéger la territorialité des droits. Les producteurs français saluent la mobilisation efficace du Ministère de la Culture et du CNC dans la défense de ce principe fondamental qui assure la diversité culturelle dans le secteur audiovisuel européen.

EUROCINEMA – Yvon Thiec – yvon.thiec@eurocinema.eu / PROCIREP ANGOA – Idzard van der Puyl ivdp@procirep.fr / SATEV– Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr / SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 vincentgisbert@spect.fr / SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr / SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org / UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 -upc@producteurscinema.fr / USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – j.dechesne@uspa.fr

Communiqué de presse – Paris, le 13 décembre 2018 Accès transfrontière aux contenus en ligne : la production française salue une directive équilibrée et un nouveau cadre sécurisé Les producteurs français d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles saluent le compromis politique trouvé ce jour sur le projet de directive venant moderniser la directive « câble et satellite » de 1993. Cette nouvelle directive facilite la retransmission linéaire des chaînes de télévision sur les différentes plateformes en Europe en étendant le régime de gestion collective obligatoire qui existe déjà pour le câble aux autres formes de retransmission, par ADSL, par bouquet satellite et, sous certaines conditions, par Internet. Elle clarifie également le statut juridique de la retransmission de ces chaînes en cas d’injection directe, mettant ainsi fin aux incertitudes majeures nées de décisions européennes contradictoires en la matière. Enfin, la directive va permettre aux diffuseurs de mettre plus facilement à disposition partout en Europe leurs programmes d’informations et les autres productions internes proposées sur leurs services en ligne. Ce texte renouvelle ainsi le cadre juridique européen lié aux retransmissions et le modernise en facilitant l’accès aux contenus, notamment ceux liés à l’information. La nécessaire protection de la production indépendante a été assurée grâce à la sauvegarde du principe clé de la territorialité des droits pour ce qui concerne les productions externes des chaînes. Ce principe reste et demeurera le seul moyen pour la production européenne de financer les œuvres et d’amortir les risques financiers pris lors de la production. Au-delà de ce texte qui a enfin abouti, la vigilance des producteurs sera maintenue à l’égard des projets de texte futurs qui ne rappelleraient pas avec force la nécessité de protéger la territorialité des droits. Les producteurs français saluent la mobilisation efficace du Ministère de la Culture et du CNC dans la défense de ce principe fondamental qui assure la diversité culturelle dans le secteur audiovisuel européen. EUROCINEMA – Yvon Thiec – yvon.thiec@eurocinema.eu / PROCIREP ANGOA – Idzard van der Puyl ivdp@procirep.fr / SATEV– Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr / SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 vincentgisbert@spect.fr / SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr / SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org / UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 -upc@producteurscinema.fr / USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – …

13 décembre 2018Actus-SPIactus-spi
Emile Awards 2018 Le SPI félicite ses adhérents

Le SPI félicite vivement ses adhérents pour les prix obtenus à Lille samedi 8 décembre 2018 à l’occasion de la deuxième édition des trophées des Emile Awards qui récompensent le film d’animation européen :

– le long métrage Funan de Denis Do produit par Sébastien Onomo (Les Films d’Ici) pour le prix du meilleur scénario et celui des meilleurs conception et habillage sonores pour un long métrage,

– le court métrage (Fool Time) Job de Gilles Cuvelier produit par Richard Van Den Boom (Papy 3D Productions) pour les meilleurs décors et design de personnage dans un court métrage.

Les récompensent obtenues témoignent de la qualité et du dynamisme de la production d’animation française indépendante au niveau européen.

Paris, le 10 décembre 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél – 01 44 70 70 44

Le SPI félicite vivement ses adhérents pour les prix obtenus à Lille samedi 8 décembre 2018 à l’occasion de la deuxième édition des trophées des Emile Awards qui récompensent le film d’animation européen : – le long métrage Funan de Denis Do produit par Sébastien Onomo (Les Films d’Ici) pour le prix du meilleur scénario et celui des meilleurs conception et habillage sonores pour un long métrage, – le court métrage (Fool Time) Job de Gilles Cuvelier produit par Richard Van Den Boom (Papy 3D Productions) pour les meilleurs décors et design de personnage dans un court métrage. Les récompensent obtenues témoignent de la qualité et du dynamisme de la production d’animation française indépendante au niveau européen. Paris, le 10 décembre 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél – 01 44 70 70 …

10 décembre 2018Actus-SPIactus-spi
« Plan de décroissance au CNC »

Le SPI exprime sa plus vive inquiétude après l’adoption d’un plan d’économies du CNC par son Conseil d’Administration du 29 novembre 2018. Ce plan est prévu sur deux exercices, 2019 et 2020, et il est inédit par son ampleur puisque ce n’est pas moins de 30 millions d’économies qui sont demandés à la seule production audiovisuelle. Au total, cela représente près de 12% du soutien que le Centre apporte aux œuvres audiovisuelles, tous les genres aidés seront par conséquent très fortement impactés.

Le SPI dénonce le fait que sur un sujet aussi majeur, le CNC se soit livré à un simulacre de concertation, pour une simple information, la veille du Conseil d’administration dans une absence totale de transparence sur l’impact économique pour le secteur des mesures prises.

Alors que la filière est confrontée depuis plusieurs années à une concurrence exponentielle et sans aucun contrôle des plateformes et éditeurs de services, ce plan dit « d’adaptation », va ajouter un handicap lourd pour la croissance de la production audiovisuelle. Le secteur va mécaniquement connaître un très fort ralentissement et les sociétés les plus fragiles ne résisteront pas à ce véritable plan de décroissance. Ces réductions drastiques vont inévitablement impacter le volume de production et avoir des conséquences funestes en termes d’emplois au sein du premier employeur des industries culturelles.

Ce plan s’inscrit par ailleurs dans un contexte de très forte incertitude pour la production indépendante avec la disparition programmée de France 4 et de France Ô et le plan d’économies de 160 millions d’ici 2022 engagé par France Télévisions.

Ce choix du régulateur est d’autant plus incompréhensible que l’année 2019 va voir la transposition de la directive SMA dans la prochaine loi audiovisuelle ce qui va nécessairement réorganiser le partage de la valeur dans tout le secteur.

Le SPI appelle à la mise en place d’une réflexion collective sous l’égide du ministre sur l’avenir du secteur et à la constitution de la mission d’information préconisée par le rapport de Madame Calvez, Députée membre de la commission culture de l’Assemblée nationale, sur le fonctionnement du CNC.

Seule agence culturelle de l’État à ne pas associer les professionnels du secteur à son Conseil d’administration, le CNC prend aujourd’hui un chemin pavé de dangers et d’incertitudes, dans la plus haute des solitudes.

Paris, le 6 décembre 2018

***

Contact Presse :

***

Catherine BERTIN – Déléguée Générale –
SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants –
4, Cité Griset 75011 Paris –
Tél – 01 44 70 70 44

Le SPI exprime sa plus vive inquiétude après l’adoption d’un plan d’économies du CNC par son Conseil d’Administration du 29 novembre 2018. Ce plan est prévu sur deux exercices, 2019 et 2020, et il est inédit par son ampleur puisque ce n’est pas moins de 30 millions d’économies qui sont demandés à la seule production audiovisuelle. Au total, cela représente près de 12% du soutien que le Centre apporte aux œuvres audiovisuelles, tous les genres aidés seront par conséquent très fortement impactés. Le SPI dénonce le fait que sur un sujet aussi majeur, le CNC se soit livré à un simulacre de concertation, pour une simple information, la veille du Conseil d’administration dans une absence totale de transparence sur l’impact économique pour le secteur des mesures prises. Alors que la filière est confrontée depuis plusieurs années à une concurrence exponentielle et sans aucun contrôle des plateformes et éditeurs de services, ce plan dit « d’adaptation », va ajouter un handicap lourd pour la croissance de la production audiovisuelle. Le secteur va mécaniquement connaître un très fort ralentissement et les sociétés les plus fragiles ne résisteront pas à ce véritable plan de décroissance. Ces réductions drastiques vont inévitablement impacter le volume de production et avoir des conséquences funestes en termes d’emplois au sein du premier employeur des industries culturelles. Ce plan s’inscrit par ailleurs dans un contexte de très forte incertitude pour la production indépendante avec la disparition programmée de France 4 et de France Ô et le plan d’économies de 160 millions d’ici 2022 engagé par France Télévisions. Ce choix du régulateur est d’autant plus incompréhensible que l’année 2019 va voir la transposition de la directive SMA dans la prochaine loi audiovisuelle ce qui va nécessairement réorganiser le partage de la valeur dans tout le secteur. Le SPI appelle à la mise en place d’une réflexion collective sous l’égide du ministre sur l’avenir du secteur et à la constitution de la mission d’information préconisée par le rapport de Madame Calvez, Députée membre de la commission culture de l’Assemblée nationale, sur le fonctionnement du CNC. Seule agence culturelle de l’État à ne pas associer les professionnels du secteur à son Conseil d’administration, le CNC prend aujourd’hui un chemin pavé de dangers et d’incertitudes, dans la plus haute des solitudes. Paris, le 6 décembre 2018 *** Contact Presse : *** Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél – 01 44 70 70 …

6 décembre 2018Actus-SPIactus-spi
L’Europe doit résister au chantage de Google et YouTube

Depuis plusieurs semaines, Google et YouTube mènent une campagne de désinformation massive et sans précédent contre la directive sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique qui est aujourd’hui en discussion au niveau européen.

Les puissants moyens utilisés par ces entreprises pour défendre leurs seuls intérêts sont basés sur la manipulation des utilisateurs, des vidéastes influents et des jeunes. C’est inacceptable. Google et YouTube franchissent de nouveau une ligne rouge en abusant de leur position dominante.

Dans ce contexte, les représentants français des ayants droit remercient chaleureusement Franck Riester, ministre de la Culture, de les avoir assurés du soutien du gouvernement sur ce projet capital de directive européenne.

Ils ont rappelé au ministre que cette directive défend les intérêts de l’ensemble des citoyens européens pour lesquels l’accès aux œuvres et à une presse libre sont gages de la diversité culturelle et d’une démocratie renforcée.

Cette directive est essentielle pour rééquilibrer un partage de la valeur aujourd’hui inégalitaire entre les plateformes et les industries de la culture et des médias.

Dans l’intérêt des internautes et des citoyens, comme des créateurs et de l’Europe toute entière, il convient de soutenir sans faiblir les enjeux de cette directive.

A défaut, l’Europe ferait l’aveu de son impuissance et de sa soumission aux GAFA.

Les signataires :

ADAGP – Alliance Presse IG – API – CFC – CSDEM – FFAP – FNDF – FNPS – France Télévisions – GAM – Groupe CANAL+ – M6 – PROCIREP – SACEM – SAIF – SATEV – SCAM – SCPP – SEPM – SGDL – SNAC – SNE – SNEP – SNJ – SOFIA – SPFA – SPI – SPPF – TF1 – UCMF – UNAC – UPAD – UPC – UPFI – USPA

Depuis plusieurs semaines, Google et YouTube mènent une campagne de désinformation massive et sans précédent contre la directive sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique qui est aujourd’hui en discussion au niveau européen. Les puissants moyens utilisés par ces entreprises pour défendre leurs seuls intérêts sont basés sur la manipulation des utilisateurs, des vidéastes influents et des jeunes. C’est inacceptable. Google et YouTube franchissent de nouveau une ligne rouge en abusant de leur position dominante. Dans ce contexte, les représentants français des ayants droit remercient chaleureusement Franck Riester, ministre de la Culture, de les avoir assurés du soutien du gouvernement sur ce projet capital de directive européenne. Ils ont rappelé au ministre que cette directive défend les intérêts de l’ensemble des citoyens européens pour lesquels l’accès aux œuvres et à une presse libre sont gages de la diversité culturelle et d’une démocratie renforcée. Cette directive est essentielle pour rééquilibrer un partage de la valeur aujourd’hui inégalitaire entre les plateformes et les industries de la culture et des médias. Dans l’intérêt des internautes et des citoyens, comme des créateurs et de l’Europe toute entière, il convient de soutenir sans faiblir les enjeux de cette directive. A défaut, l’Europe ferait l’aveu de son impuissance et de sa soumission aux GAFA. Les signataires : ADAGP – Alliance Presse IG – API – CFC – CSDEM – FFAP – FNDF – FNPS – France Télévisions – GAM – Groupe CANAL+ – M6 – PROCIREP – SACEM – SAIF – SATEV – SCAM – SCPP – SEPM – SGDL – SNAC – SNE – SNEP – SNJ – SOFIA – SPFA – SPI – SPPF – TF1 – UCMF – UNAC – UPAD – UPC – UPFI – …

4 décembre 2018Actus-SPIactus-spi
La production cinématographique des films de la diversité en danger : les syndicats de producteurs appellent à la responsabilité de chacun

Les négociations sur la reconduction du dispositif de la convention collective en faveur des films de la diversité engagées depuis plus d’un an n’aboutissent pas. Les organisations de producteurs appellent à la signature d’un accord de méthode pour favoriser les négociations et préserver les films en écriture.

La convention collective de la production cinématographique est le pacte social du secteur. Elle définit les conditions dans lesquelles les producteurs, réalisateurs, techniciens et artistes travaillent ensemble à la réalisation des films, notamment à la réalisation des films à petits budgets grâce à un dispositif
spécifique : l’annexe 3 du titre 2 qui concerne les équipes techniques.

L’annexe 3 permet chaque année à plus de 40 films d’exister, à plus de 1 500 salariés – techniciens et artistes – de travailler et à des réalisateurs – souvent débutants – de concrétiser leurs films. Vecteur de nombreuses récompenses et de milliers d’emplois, cette annexe est essentielle pour la création et la richesse du cinéma français. Elle permet à la diversité de l’écosystème du cinéma de vivre.

Mais l’annexe 3 prend fin en avril 2020. Les partenaires sociaux du secteur sont donc appelés à la renégocier dans le but de la proroger en l’améliorant.

Or, les syndicats de salariés sont profondément divisés sur le principe de sa reconduction et, en dépit des propositions faites par les syndicats d’employeurs pour améliorer la prise en compte des heures supplémentaires et la transparence des intéressements, les négociations entamées depuis plus d’un an n’aboutissent pas.

Cette situation est grave pour les films en écriture qui ne pourraient continuer à se structurer sans ce dispositif spécifique.

Ainsi, un accord de méthode a été proposé aux syndicats de salariés pour organiser la poursuite des négociations et sécuriser la production de ces films. Le but est de n’exposer aucun d’entre eux à la menace d’une absence d’annexe 3 pour cause de négociation dans l’impasse.

Malheureusement, cet accord d’étape a été refusé par l’un des trois syndicats de salariés représentatifs et un autre syndicat de salariés ne peut s’engager à ce stade.

Les syndicats de producteurs du secteur du cinéma en appellent à la raison, qui rend nécessaire la signature rapide de cet accord.

Le secteur du cinéma ne peut exister sans cette économie protégée et seuls les partenaires sociaux peuvent la rénover et la sécuriser.

Chacun doit maintenant prendre ses responsabilités dans la perspective de la réunion des partenaires sociaux de la production cinématographique au ministère du travail le 13 décembre prochain.

Les films en annexe 3, c’est notamment :

Le nouveau de Rudy Rosenberg en 2015

Mustang de Deniz Gamze Erguven en 2016

Divines de Houda Benyamina en 2016

L’effet aquatique de Solveig Anspach en 2016

Aurore de Blandine Lenoir en 2017

Petit paysan de Hubert Charuel en 2017

Carré 35 de Eric Caravaca en 2017

Les chatouilles de Andréa Bescond et Eric Metayer en 2018

Contacts presse

API – Hortense de Labriffe Tél : 01 42 89 31 50 – hla@lapi.pro

SPI – Catherine Bertin Tél : 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

UPC – Frédéric Goldsmith Tél : 01 53 89 01 30 –frederic.goldsmith@producteurscinema.fr

Les négociations sur la reconduction du dispositif de la convention collective en faveur des films de la diversité engagées depuis plus d’un an n’aboutissent pas. Les organisations de producteurs appellent à la signature d’un accord de méthode pour favoriser les négociations et préserver les films en écriture. La convention collective de la production cinématographique est le pacte social du secteur. Elle définit les conditions dans lesquelles les producteurs, réalisateurs, techniciens et artistes travaillent ensemble à la réalisation des films, notamment à la réalisation des films à petits budgets grâce à un dispositif spécifique : l’annexe 3 du titre 2 qui concerne les équipes techniques. L’annexe 3 permet chaque année à plus de 40 films d’exister, à plus de 1 500 salariés – techniciens et artistes – de travailler et à des réalisateurs – souvent débutants – de concrétiser leurs films. Vecteur de nombreuses récompenses et de milliers d’emplois, cette annexe est essentielle pour la création et la richesse du cinéma français. Elle permet à la diversité de l’écosystème du cinéma de vivre. Mais l’annexe 3 prend fin en avril 2020. Les partenaires sociaux du secteur sont donc appelés à la renégocier dans le but de la proroger en l’améliorant. Or, les syndicats de salariés sont profondément divisés sur le principe de sa reconduction et, en dépit des propositions faites par les syndicats d’employeurs pour améliorer la prise en compte des heures supplémentaires et la transparence des intéressements, les négociations entamées depuis plus d’un an n’aboutissent pas. Cette situation est grave pour les films en écriture qui ne pourraient continuer à se structurer sans ce dispositif spécifique. Ainsi, un accord de méthode a été proposé aux syndicats de salariés pour organiser la poursuite des négociations et sécuriser la production de ces films. Le but est de n’exposer aucun d’entre eux à la menace d’une absence d’annexe 3 pour cause de négociation dans l’impasse. Malheureusement, cet accord d’étape a été refusé par l’un des trois syndicats de salariés représentatifs et un autre syndicat de salariés ne peut s’engager à ce stade. Les syndicats de producteurs du secteur du cinéma en appellent à la raison, qui rend nécessaire la signature rapide de cet accord. Le secteur du cinéma ne peut exister sans cette économie protégée et seuls les partenaires sociaux peuvent la rénover et la sécuriser. Chacun doit maintenant prendre ses responsabilités dans la perspective de la réunion des partenaires sociaux de la production cinématographique au ministère du travail le 13 décembre prochain. Les films en annexe 3, c’est notamment : Le nouveau de Rudy Rosenberg en 2015 Mustang de Deniz Gamze Erguven en 2016 Divines de Houda Benyamina en 2016 L’effet aquatique de Solveig Anspach en 2016 Aurore de Blandine Lenoir en 2017 Petit paysan de Hubert Charuel en 2017 Carré 35 de Eric Caravaca en 2017 Les chatouilles de Andréa Bescond et Eric Metayer en 2018 Contacts presse API – Hortense de Labriffe Tél : 01 42 89 31 50 – hla@lapi.pro SPI – Catherine Bertin Tél : 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org UPC – Frédéric Goldsmith Tél : 01 53 89 01 30 …

23 novembre 2018Actus-SPIactus-spi
Eurocinéma : Directive Services de médias audiovisuels (SMA)

Eurocinéma exprime sa vive satisfaction du fait de l’adoption ce 6 novembre 2018 par le Conseil des Ministres de l’Union européenne de la directive sur les services de médias audiovisuels.

Pierre d’angle de la régulation des services audiovisuels en Europe, la révision confirme certains grands principes tels que l’assujettissement des services traditionnels à des quotas d’oeuvres et à des obligations d’investissement, mais elle étend son champs d’application aux nouveaux médias (les plates-formes) en les soumettant à des obligations en matière de protection des mineurs et de respect de règles en matière de publicité. Elle améliore les aspects relatifs au pays de juridiction compétente, elle innove en introduisant un principe de pays de destination en matière d’investissements dans la production audiovisuelle et cinématographique, elle prévoit a minima un pourcentage de 30% pour l’exposition d’oeuvres européennes pour les services en ligne, elle renforce également le rôle du Groupe des régulateurs européens des services de médias audiovisuels (ERGA).

Cette directive, fruit d’un travail de longue haleine entre Commission, parlementaires européens et ministres, assistés de représentants de la création, marquera cette législature.

Eurocinéma appelle le Parlement européen, le Conseil et la Commission à conclure rapidement l’examen du Règlement établissant des règles sur l’exercice du droit d’auteur et des droits voisins applicables à certaines diffusions en ligne d’organismes de radiodiffusion et retransmissions d’émissions de télévision et de radio (dit “SatCab”) et de la directive sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique.

Bruxelles, le 9 novembre 2018

Eurocinéma exprime sa vive satisfaction du fait de l’adoption ce 6 novembre 2018 par le Conseil des Ministres de l’Union européenne de la directive sur les services de médias audiovisuels. Pierre d’angle de la régulation des services audiovisuels en Europe, la révision confirme certains grands principes tels que l’assujettissement des services traditionnels à des quotas d’oeuvres et à des obligations d’investissement, mais elle étend son champs d’application aux nouveaux médias (les plates-formes) en les soumettant à des obligations en matière de protection des mineurs et de respect de règles en matière de publicité. Elle améliore les aspects relatifs au pays de juridiction compétente, elle innove en introduisant un principe de pays de destination en matière d’investissements dans la production audiovisuelle et cinématographique, elle prévoit a minima un pourcentage de 30% pour l’exposition d’oeuvres européennes pour les services en ligne, elle renforce également le rôle du Groupe des régulateurs européens des services de médias audiovisuels (ERGA). Cette directive, fruit d’un travail de longue haleine entre Commission, parlementaires européens et ministres, assistés de représentants de la création, marquera cette législature. Eurocinéma appelle le Parlement européen, le Conseil et la Commission à conclure rapidement l’examen du Règlement établissant des règles sur l’exercice du droit d’auteur et des droits voisins applicables à certaines diffusions en ligne d’organismes de radiodiffusion et retransmissions d’émissions de télévision et de radio (dit “SatCab”) et de la directive sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique. Bruxelles, le 9 novembre …

9 novembre 2018Actus-SPIactus-spi
Le BLOC se félicite du renouvellement de l’accord interprofessionnel avec Canal Plus pour une durée de 4 ans

À l’occasion des rencontres cinématographiques de Dijon, les organisations professionnelles du BLOC, du BLIC et de l’ARP ont signé pour une durée de quatre ans le renouvellement de leur accord interprofessionnel avec Canal+.

Ce texte établit de nouvelles dispositions notamment en lien avec l’évolution de l’offre de Canal +.

À quelques mois de la future loi audiovisuelle, et dans un contexte d’évolution des usages, cet accord montre la capacité de notre secteur à construire de nouvelles règles, en lien avec la future chronologie des médias.

Paris, le 9 novembre 2018.

Contacts presse :

Catherine Bertin – Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44

Julie Lethiphu – Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr / 01 44 89 99 65

À l’occasion des rencontres cinématographiques de Dijon, les organisations professionnelles du BLOC, du BLIC et de l’ARP ont signé pour une durée de quatre ans le renouvellement de leur accord interprofessionnel avec Canal+. Ce texte établit de nouvelles dispositions notamment en lien avec l’évolution de l’offre de Canal +. À quelques mois de la future loi audiovisuelle, et dans un contexte d’évolution des usages, cet accord montre la capacité de notre secteur à construire de nouvelles règles, en lien avec la future chronologie des médias. Paris, le 9 novembre 2018. Contacts presse : Catherine Bertin – Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44 Julie Lethiphu – Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr / 01 44 89 99 …

9 novembre 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI salue la mémoire de Francis Boespflug

Le SPI a appris avec tristesse la disparition de Francis Boespflug.

Homme de cinéma, il était un ardent défenseur de la création cinématographique dans toute sa diversité.

En tant que producteur et distributeur indépendant, il a découvert et accompagné de nombreux cinéastes, tout au long de leur carrière.

Le SPI adresse ses sincères condoléances à sa famille et à toute l’équipe de Pyramide.

Paris, le 8 novembre 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le SPI a appris avec tristesse la disparition de Francis Boespflug. Homme de cinéma, il était un ardent défenseur de la création cinématographique dans toute sa diversité. En tant que producteur et distributeur indépendant, il a découvert et accompagné de nombreux cinéastes, tout au long de leur carrière. Le SPI adresse ses sincères condoléances à sa famille et à toute l’équipe de Pyramide. Paris, le 8 novembre 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

8 novembre 2018Actus-SPIactus-spi
Le BLOC salue la nomination de Franck Riester en tant que Ministre de la Culture

Le BLOC salue la nomination de Franck Riester en tant que Ministre de la Culture. Sa connaissance des secteurs cinématographiques et audiovisuels sera extrêmement précieuse dans les mois à venir pour répondre aux nombreux enjeux essentiels pour notre secteur.

Le BLOC remercie également Madame Françoise Nyssen pour le travail accompli au cours des derniers mois au Ministère de la Culture, tant au niveau européen, dans le cadre de la renégociation de la directive SMA, qu’au niveau national, pour la modernisation de la chronologie des médias, pour la défense de la diversité culturelle et pour l’égalité femme-homme dans notre secteur.

Dans le cadre de la prochaine loi audiovisuelle, les défis seront nombreux pour la défense de la création cinématographique indépendante : renforcement de la lutte contre la piraterie, contribution des services de VOD au financement de la création, renforcement du rôle et du financement du service public de télévision, modernisation des assiettes et des taux de contribution au CNC. Plus largement, face aux mutations et aux mouvements de concentration que connaît notre secteur, le développement et la modernisation de la régulation seront également nécessaires, afin d’améliorer l’exposition du cinéma dans toute sa diversité.

Nous ne doutons pas que dans l’ensemble de ces combats, Monsieur le Ministre Franck Riester, sera aux côtés de la création indépendante.

***

Paris, le 18 octobre 2018.

***

Contacts presse :

Catherine Bertin – Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org/01 44 70 70 44

Julie Lethiphu – Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr/01 44 89 99 65

Le BLOC salue la nomination de Franck Riester en tant que Ministre de la Culture. Sa connaissance des secteurs cinématographiques et audiovisuels sera extrêmement précieuse dans les mois à venir pour répondre aux nombreux enjeux essentiels pour notre secteur. Le BLOC remercie également Madame Françoise Nyssen pour le travail accompli au cours des derniers mois au Ministère de la Culture, tant au niveau européen, dans le cadre de la renégociation de la directive SMA, qu’au niveau national, pour la modernisation de la chronologie des médias, pour la défense de la diversité culturelle et pour l’égalité femme-homme dans notre secteur. Dans le cadre de la prochaine loi audiovisuelle, les défis seront nombreux pour la défense de la création cinématographique indépendante : renforcement de la lutte contre la piraterie, contribution des services de VOD au financement de la création, renforcement du rôle et du financement du service public de télévision, modernisation des assiettes et des taux de contribution au CNC. Plus largement, face aux mutations et aux mouvements de concentration que connaît notre secteur, le développement et la modernisation de la régulation seront également nécessaires, afin d’améliorer l’exposition du cinéma dans toute sa diversité. Nous ne doutons pas que dans l’ensemble de ces combats, Monsieur le Ministre Franck Riester, sera aux côtés de la création indépendante. *** Paris, le 18 octobre 2018. *** Contacts presse : Catherine Bertin – Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org/01 44 70 70 44 Julie Lethiphu – Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr/01 44 89 99 …

18 octobre 2018Actus-SPIactus-spi
Nomination de Franck Riester au ministère de la Culture

Le SPI salue la nomination de Franck Riester au ministère de la Culture et lui adresse tous ses vœux de succès dans ses nouvelles fonctions.

Il succède à ce poste à Françoise Nyssen que nous remercions chaleureusement pour le travail accompli au cours de ces derniers mois notamment pour la construction d’une régulation européenne du secteur, pour la modernisation de la chronologie des médias et pour la défense constante de la création. Elle s’est engagée personnellement pour l’adoption des directives sur le droit d’auteur et les services de médias audiovisuels (SMA), éléments fondamentaux pour préserver la création dans l’espace européen. Nous saluons également son implication en faveur de l’égalité entre hommes et femmes dans le secteur du cinéma.

Par sa participation à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale et en tant que rapporteur des lois Hadopi, Frank Riester a prouvé sa fine connaissance des enjeux cinématographiques et audiovisuels.

Il a montré son vif intérêt pour les questions clés de ces secteurs, et nous ne doutons pas qu’il défendra fortement le financement du service public, afin d’être enfin capable de se mesurer aux autres grands pays européens comme l’Allemagne et le Royaume Uni.

Alors que la culture a plus que jamais un rôle à jouer dans notre société, les défis seront nombreux pour que la création indépendante, le renouvellement des talents et l’exposition des œuvres soient au cœur de nos politiques publiques. Le maintien de la diversité culturelle devra être un objectif prioritaire dans les nombreux arbitrages à venir, notamment dans le cadre de la réforme audiovisuelle.

Le SPI appelle à mettre en place très rapidement une concertation avec les acteurs du secteur, afin de mener à bien, dans un dialogue nécessaire, ces différents chantiers essentiels pour la culture.

Paris, le 17 octobre 2018

Le SPI salue la nomination de Franck Riester au ministère de la Culture et lui adresse tous ses vœux de succès dans ses nouvelles fonctions. Il succède à ce poste à Françoise Nyssen que nous remercions chaleureusement pour le travail accompli au cours de ces derniers mois notamment pour la construction d’une régulation européenne du secteur, pour la modernisation de la chronologie des médias et pour la défense constante de la création. Elle s’est engagée personnellement pour l’adoption des directives sur le droit d’auteur et les services de médias audiovisuels (SMA), éléments fondamentaux pour préserver la création dans l’espace européen. Nous saluons également son implication en faveur de l’égalité entre hommes et femmes dans le secteur du cinéma. Par sa participation à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale et en tant que rapporteur des lois Hadopi, Frank Riester a prouvé sa fine connaissance des enjeux cinématographiques et audiovisuels. Il a montré son vif intérêt pour les questions clés de ces secteurs, et nous ne doutons pas qu’il défendra fortement le financement du service public, afin d’être enfin capable de se mesurer aux autres grands pays européens comme l’Allemagne et le Royaume Uni. Alors que la culture a plus que jamais un rôle à jouer dans notre société, les défis seront nombreux pour que la création indépendante, le renouvellement des talents et l’exposition des œuvres soient au cœur de nos politiques publiques. Le maintien de la diversité culturelle devra être un objectif prioritaire dans les nombreux arbitrages à venir, notamment dans le cadre de la réforme audiovisuelle. Le SPI appelle à mettre en place très rapidement une concertation avec les acteurs du secteur, afin de mener à bien, dans un dialogue nécessaire, ces différents chantiers essentiels pour la culture. Paris, le 17 octobre …

17 octobre 2018Actus-SPIactus-spi
Le BLOC salue l’apport du rapport d’Aurore Bergé pour une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l’ère numérique

Le BLOC a pris connaissance avec attention du rapport d’Aurore Bergé, rapporteure, et de Pierre-Yves Bournazel, président de la mission sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l’ère numérique, qui pose des jalons essentiels pour repenser notre système de régulation dans un environnement en pleine mutation.

Préalablement, ce rapport pose le principe selon lequel il ne peut y avoir de politique publique de soutien à la création sans que le droit d’auteur soit respecté et considère à juste titre comme prioritaire de mettre en place une politique efficace de lutte contre le piratage et de défendre les droits des auteurs et des producteurs sur les plateformes numériques extra-territoriales.

En outre, dans un paysage qui se complexifie, le rapport développe l’idée selon laquelle la contribution au financement de la création doit être assise sur l’ensemble des recettes générées par les œuvres, indépendamment des technologies de diffusion. De ce fait, il est donc équitable que l’ensemble des ressources des opérateurs chargés de la diffusion des oeuvres contribuent à l’écosystème du cinéma (salle, diffuseurs…).

De même, le rapport préconise d’aligner les obligations des services non linéaires avec celles des services linéaires, afin de préserver la diversité culturelle tout en garantissant une équité entre les opérateurs. Le BLOC souscrit pleinement à cet objectif et sera particulièrement attentif à la mise en place de ces engagements.

Enfin, le rapport pose l’idée que dans l’univers numérique, les règles d’exposition des œuvres françaises et européennes sont absolument essentielles. Le BLOC partage cette analyse et souhaite le renforcement de la régulation en la matière.

Le BLOC souhaite toutefois exprimer ses réserves sur deux points susceptibles d’affaiblir la création indépendante : la publicité pour le cinéma à la télévision fragiliserait de façon irrémédiable le tissu de distributeurs indépendants ; par ailleurs, la garantie d’un socle règlementaire sur la détention des mandats pour la production indépendante est indispensable dans la relation entre les producteurs et les chaînes de télévision.

Le BLOC remercie Aurore Bergé, et Pierre-Yves Bournazel, Président de la mission, ainsi que l’ensemble des parlementaires qui ont contribué à l’élaboration de ce rapport et appelle à la poursuite de la concertation avec les pouvoirs publics sur la mise en place d’une régulation adaptée et modernisée, préservant la diversité culturelle et le tissu d’acteurs indépendants, qui contribuent de façon décisive au rayonnement culturel et économique du secteur.

***

Paris, le 12 octobre 2018.

***

Contacts presse – co-présidence du BLOC:

Catherine Bertin- Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44

Julie Lethiphu- Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr/ 01 44 89 99 65

Le BLOC a pris connaissance avec attention du rapport d’Aurore Bergé, rapporteure, et de Pierre-Yves Bournazel, président de la mission sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l’ère numérique, qui pose des jalons essentiels pour repenser notre système de régulation dans un environnement en pleine mutation. Préalablement, ce rapport pose le principe selon lequel il ne peut y avoir de politique publique de soutien à la création sans que le droit d’auteur soit respecté et considère à juste titre comme prioritaire de mettre en place une politique efficace de lutte contre le piratage et de défendre les droits des auteurs et des producteurs sur les plateformes numériques extra-territoriales. En outre, dans un paysage qui se complexifie, le rapport développe l’idée selon laquelle la contribution au financement de la création doit être assise sur l’ensemble des recettes générées par les œuvres, indépendamment des technologies de diffusion. De ce fait, il est donc équitable que l’ensemble des ressources des opérateurs chargés de la diffusion des oeuvres contribuent à l’écosystème du cinéma (salle, diffuseurs…). De même, le rapport préconise d’aligner les obligations des services non linéaires avec celles des services linéaires, afin de préserver la diversité culturelle tout en garantissant une équité entre les opérateurs. Le BLOC souscrit pleinement à cet objectif et sera particulièrement attentif à la mise en place de ces engagements. Enfin, le rapport pose l’idée que dans l’univers numérique, les règles d’exposition des œuvres françaises et européennes sont absolument essentielles. Le BLOC partage cette analyse et souhaite le renforcement de la régulation en la matière. Le BLOC souhaite toutefois exprimer ses réserves sur deux points susceptibles d’affaiblir la création indépendante : la publicité pour le cinéma à la télévision fragiliserait de façon irrémédiable le tissu de distributeurs indépendants ; par ailleurs, la garantie d’un socle règlementaire sur la détention des mandats pour la production indépendante est indispensable dans la relation entre les producteurs et les chaînes de télévision. Le BLOC remercie Aurore Bergé, et Pierre-Yves Bournazel, Président de la mission, ainsi que l’ensemble des parlementaires qui ont contribué à l’élaboration de ce rapport et appelle à la poursuite de la concertation avec les pouvoirs publics sur la mise en place d’une régulation adaptée et modernisée, préservant la diversité culturelle et le tissu d’acteurs indépendants, qui contribuent de façon décisive au rayonnement culturel et économique du secteur. *** Paris, le 12 octobre 2018. *** Contacts presse – co-présidence du BLOC: Catherine Bertin- Déléguée Générale SPI : cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44 Julie Lethiphu- Déléguée Générale SRF : jlethiphu@la-srf.fr/ 01 44 89 99 …

12 octobre 2018Actus-SPIactus-spi
Plan animation du CNC : un soutien indispensable

Le CNC vient d’annoncer une première série de mesures pour le soutien et le développement du long métrage d’animation.

Le SPI salue l’enveloppe de 2,5 M€ annoncée par le CNC à l’issue d’un travail de concertation avec l’ensemble des professionnels de la filière. Il estime cet effort indispensable au maintien du développement du secteur et à la valorisation d’un savoir-faire français.

Le SPI souligne que ce plan ne doit être qu’une première étape vers une réflexion plus globale sur le développement d’une filière d’animation tenant compte de la spécificité de la création française, à la fois ouverte sur le monde via des coproductions internationales, et assise sur un marché domestique qui doit être consolidé.

Dans la mise en œuvre de ces mesures, et notamment dans le cadre de l’enveloppe supplémentaire de 1,5 M€ destinée à renforcer le dispositif sélectif des aides à la création visuelle et sonore par le biais d’une majoration accordée aux projets les plus ambitieux, le SPI sera particulièrement attentif à ce que soit prise en considération la création dans toute sa diversité : que ce soit au niveau des techniques (2D, 3D, Stop motion) et des publics (jeune public et public adulte).

En outre, des mesures complémentaires devront notamment être prises afin de revoir les règles d’intensité d’aides publiques, qui continuent de définir les films d’animation « à petit budget » comme les films à moins de 1,25 M€.

C’est pourquoi, dans les prochains mois, le SPI continuera de défendre une création cinématographique d’animation inscrite au sein d’une politique de soutien à la diversité culturelle, créative, audacieuse, porteuse de valeurs et prônant le renouvellement des talents, tout en s’appuyant sur un tissu de producteurs indépendants.

***

Paris, le 10 octobre 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale –
SPI – Le Syndicat des Producteurs Indépendants –
4, Cité Griset 75011 Paris –
Tél – 01 44 70 70 44

Le CNC vient d’annoncer une première série de mesures pour le soutien et le développement du long métrage d’animation. Le SPI salue l’enveloppe de 2,5 M€ annoncée par le CNC à l’issue d’un travail de concertation avec l’ensemble des professionnels de la filière. Il estime cet effort indispensable au maintien du développement du secteur et à la valorisation d’un savoir-faire français. Le SPI souligne que ce plan ne doit être qu’une première étape vers une réflexion plus globale sur le développement d’une filière d’animation tenant compte de la spécificité de la création française, à la fois ouverte sur le monde via des coproductions internationales, et assise sur un marché domestique qui doit être consolidé. Dans la mise en œuvre de ces mesures, et notamment dans le cadre de l’enveloppe supplémentaire de 1,5 M€ destinée à renforcer le dispositif sélectif des aides à la création visuelle et sonore par le biais d’une majoration accordée aux projets les plus ambitieux, le SPI sera particulièrement attentif à ce que soit prise en considération la création dans toute sa diversité : que ce soit au niveau des techniques (2D, 3D, Stop motion) et des publics (jeune public et public adulte). En outre, des mesures complémentaires devront notamment être prises afin de revoir les règles d’intensité d’aides publiques, qui continuent de définir les films d’animation « à petit budget » comme les films à moins de 1,25 M€. C’est pourquoi, dans les prochains mois, le SPI continuera de défendre une création cinématographique d’animation inscrite au sein d’une politique de soutien à la diversité culturelle, créative, audacieuse, porteuse de valeurs et prônant le renouvellement des talents, tout en s’appuyant sur un tissu de producteurs indépendants. *** Paris, le 10 octobre 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Le Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél – 01 44 70 70 …

10 octobre 2018Actus-SPIactus-spi
Rapport sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle : de solides bases de réforme pour l’ensemble du secteur

La mission d’information de l’Assemblée nationale sur « une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l’ère du numérique » était présentée hier par Aurore Bergé rapporteure de la mission, et Pierre-Yves Bournazel, son Président.

Après plus de 220 auditions, notamment des professionnels du secteur, ce rapport brosse avec exigence et précision un état des lieux de la réglementation du secteur et formule une quarantaine de propositions qui serviront de base à la réforme annoncée de l’audiovisuel.

Ce rapport se construit sur quatre chapitres, traduisant les orientations politiques à mettre en œuvre, telles que la volonté de lutter contre le piratage, la sécurisation du financement de la création, une nouvelle alliance entre les acteurs de l’audiovisuel et la promotion de la diversité et la visibilité de la création française.

Le SPI salue l’important travail accompli pour établir ce rapport et l’ensemble de ces objectifs. Ils doivent répondre aux enjeux de l’avenir du secteur, dans un contexte de fragilisation des acteurs par l’entrée des plateformes et GAFAN, mais aussi de remise en cause des systèmes de financement de la création.

Plusieurs mesures préconisées dans ce rapport reprennent d’anciennes et fortes revendications du SPI.

Ainsi, le SPI, très engagé dans la lutte contre le piratage, approuve le fait que cet objectif soit posé comme un préalable à toute réforme de fond.

Le financement du secteur doit passer par une sécurisation et un renforcement du financement de la création, sur la base de l’ensemble des recettes liées à l’exploitation des œuvres et à laquelle les nouveaux acteurs doivent participer. La loi viendra ainsi transposer la directive SMA, adoptée définitivement par le Parlement européen, qui permettra de faire converger la fiscalité des acteurs historiques avec celle des nouveaux services numériques présents sur le marché français.

Le SPI salue la volonté affirmée par le rapport de réformer la CAP, pour lui donner un caractère universel adapté à l’évolution des usages. Néanmoins, le SPI considère que l’hypothèse de financements supplémentaires dégagés ne doit pas être fléchée vers une suppression de la publicité pour France 5 et Radio France mais vers un engagement renforcé à l’égard de la création. Rappelons que le secteur audiovisuel français totalise 11 milliards d’euros de chiffre d’affaire alors que les secteurs audiovisuels allemands et britannique sont chacun à plus de 18 milliards.

La diversité de la création française est une richesse qui repose sur un tissu de producteurs indépendants innovants et réactifs dont la dynamique doit être confortée. Le SPI salue la définition proposée pour une réelle et nécessaire indépendance de la production, exigeant l’absence de liens capitalistiques entre diffuseur et producteur. Elle doit s’articuler avec un encadrement des étendues de droits cédés. Il en va de la diversité et de la liberté de la création.

Enfin le Président de la mission a réaffirmé une ambition forte pour le service public de l’audiovisuel français, présenté comme pilier de l’exception culturelle.

Le SPI s’engagera avec confiance, sur la base de ces propositions, pour une profonde et nécessaire réforme du secteur, appelant une nouvelle fois de ses vœux une large concertation avec les autorités publiques qui seront appelées à la rédiger et la mettre en œuvre.

Paris, le 5 octobre 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

La mission d’information de l’Assemblée nationale sur « une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l’ère du numérique » était présentée hier par Aurore Bergé rapporteure de la mission, et Pierre-Yves Bournazel, son Président. Après plus de 220 auditions, notamment des professionnels du secteur, ce rapport brosse avec exigence et précision un état des lieux de la réglementation du secteur et formule une quarantaine de propositions qui serviront de base à la réforme annoncée de l’audiovisuel. Ce rapport se construit sur quatre chapitres, traduisant les orientations politiques à mettre en œuvre, telles que la volonté de lutter contre le piratage, la sécurisation du financement de la création, une nouvelle alliance entre les acteurs de l’audiovisuel et la promotion de la diversité et la visibilité de la création française. Le SPI salue l’important travail accompli pour établir ce rapport et l’ensemble de ces objectifs. Ils doivent répondre aux enjeux de l’avenir du secteur, dans un contexte de fragilisation des acteurs par l’entrée des plateformes et GAFAN, mais aussi de remise en cause des systèmes de financement de la création. Plusieurs mesures préconisées dans ce rapport reprennent d’anciennes et fortes revendications du SPI. Ainsi, le SPI, très engagé dans la lutte contre le piratage, approuve le fait que cet objectif soit posé comme un préalable à toute réforme de fond. Le financement du secteur doit passer par une sécurisation et un renforcement du financement de la création, sur la base de l’ensemble des recettes liées à l’exploitation des œuvres et à laquelle les nouveaux acteurs doivent participer. La loi viendra ainsi transposer la directive SMA, adoptée définitivement par le Parlement européen, qui permettra de faire converger la fiscalité des acteurs historiques avec celle des nouveaux services numériques présents sur le marché français. Le SPI salue la volonté affirmée par le rapport de réformer la CAP, pour lui donner un caractère universel adapté à l’évolution des usages. Néanmoins, le SPI considère que l’hypothèse de financements supplémentaires dégagés ne doit pas être fléchée vers une suppression de la publicité pour France 5 et Radio France mais vers un engagement renforcé à l’égard de la création. Rappelons que le secteur audiovisuel français totalise 11 milliards d’euros de chiffre d’affaire alors que les secteurs audiovisuels allemands et britannique sont chacun à plus de 18 milliards. La diversité de la création française est une richesse qui repose sur un tissu de producteurs indépendants innovants et réactifs dont la dynamique doit être confortée. Le SPI salue la définition proposée pour une réelle et nécessaire indépendance de la production, exigeant l’absence de liens capitalistiques entre diffuseur et producteur. Elle doit s’articuler avec un encadrement des étendues de droits cédés. Il en va de la diversité et de la liberté de la création. Enfin le Président de la mission a réaffirmé une ambition forte pour le service public de l’audiovisuel français, présenté comme pilier de l’exception culturelle. Le SPI s’engagera avec confiance, sur la base de ces propositions, pour une profonde et nécessaire réforme du secteur, appelant une nouvelle fois de ses vœux une large concertation avec les autorités publiques qui seront appelées à la rédiger et la mettre en œuvre. Paris, le 5 octobre 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

5 octobre 2018Actus-SPIactus-spi
Modernisation de la contribution audiovisuelle publique : un rendez-vous à nouveau manqué ?

La ministre de la culture, Madame Nyssen, annonçait le 14 septembre, dans le cadre du festival de la fiction audiovisuelle, le lancement d’une réflexion devant aboutir dans un an à la modernisation de la contribution à l’audiovisuel public (CAP), pour la déconnecter de la détention d’un téléviseur. Dans les heures qui suivirent, les services du Premier ministre indiquaient que ce sujet n’était pas à l’étude. Puis le ministre des comptes publics, Monsieur Darmanin, annonçait le 17 septembre qu’il réfléchissait bien à une évolution de la redevance, d’ici 3 ans, évoquant les nouvelles façons de regarder la télévision, à condition que cette réforme n’entraîne pas de création ou de hausse d’impôt. Il précisait que cette réforme procédait de la suppression de la taxe d’habitation. Que penser ?

Le BLOC, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA appellent de ses leurs vœux depuis plus de 10 ans une telle modernisation de la CAP en cohérence avec les usages du 21ème siècle.

La CAP sert à financer l’audiovisuel public : France Télévisions, ARTE, TV5 monde, France 24, toutes les chaînes de Radio France, mais aussi leurs plateformes gratuites, et l’INA. Ce secteur est en pleine mutation et une importante réforme en est annoncée pour 2019. Quelle est la logique qui consiste à décorréler les moyens des objectifs ?

Cette réforme, comme plusieurs membres du gouvernement et du parlement l’ont souligné, apparaît comme une évidence. La législation doit s’adapter aux nouveaux usages. Le nombre de foyers possédant un téléviseur est nécessairement amené à décliner alors que de plus en plus de personnes font le choix d’avoir ordinateurs, tablettes ou smartphones comme seuls écrans à la maison. Il faut donc débattre des modalités d’une redevance assise sur les foyers fiscaux de référence.

Cette modernisation est en effet inévitable puisque la CAP ne pourra plus être perçue en même temps que la taxe d’habitation.

Cette réforme est possible, juste et nécessaire. Pour le BLOC, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA, elle doit intervenir maintenant.

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Paris, le 21 septembre 2018

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Contact Presse :

BLOC : Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 / Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 44

SATEV : Florence Braka – Déléguée Générale – 01 42 47 01 00

SPECT : Vincent Gisbert – Délégué Général – 01 40 53 23 38

SPFA/USPA : Stéphane Le BARS – Délégué Général – 01 40 53 23 19

SPI : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – 01 44 70 70 44

La ministre de la culture, Madame Nyssen, annonçait le 14 septembre, dans le cadre du festival de la fiction audiovisuelle, le lancement d’une réflexion devant aboutir dans un an à la modernisation de la contribution à l’audiovisuel public (CAP), pour la déconnecter de la détention d’un téléviseur. Dans les heures qui suivirent, les services du Premier ministre indiquaient que ce sujet n’était pas à l’étude. Puis le ministre des comptes publics, Monsieur Darmanin, annonçait le 17 septembre qu’il réfléchissait bien à une évolution de la redevance, d’ici 3 ans, évoquant les nouvelles façons de regarder la télévision, à condition que cette réforme n’entraîne pas de création ou de hausse d’impôt. Il précisait que cette réforme procédait de la suppression de la taxe d’habitation. Que penser ? Le BLOC, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA appellent de ses leurs vœux depuis plus de 10 ans une telle modernisation de la CAP en cohérence avec les usages du 21ème siècle. La CAP sert à financer l’audiovisuel public : France Télévisions, ARTE, TV5 monde, France 24, toutes les chaînes de Radio France, mais aussi leurs plateformes gratuites, et l’INA. Ce secteur est en pleine mutation et une importante réforme en est annoncée pour 2019. Quelle est la logique qui consiste à décorréler les moyens des objectifs ? Cette réforme, comme plusieurs membres du gouvernement et du parlement l’ont souligné, apparaît comme une évidence. La législation doit s’adapter aux nouveaux usages. Le nombre de foyers possédant un téléviseur est nécessairement amené à décliner alors que de plus en plus de personnes font le choix d’avoir ordinateurs, tablettes ou smartphones comme seuls écrans à la maison. Il faut donc débattre des modalités d’une redevance assise sur les foyers fiscaux de référence. Cette modernisation est en effet inévitable puisque la CAP ne pourra plus être perçue en même temps que la taxe d’habitation. Cette réforme est possible, juste et nécessaire. Pour le BLOC, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA, elle doit intervenir maintenant. *** *** Paris, le 21 septembre 2018 *** *** Contact Presse : BLOC : Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 / Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 44 SATEV : Florence Braka – Déléguée Générale – 01 42 47 01 00 SPECT : Vincent Gisbert – Délégué Général – 01 40 53 23 38 SPFA/USPA : Stéphane Le BARS – Délégué Général – 01 40 53 23 19 SPI : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – 01 44 70 70 …

21 septembre 2018Actus-SPIactus-spi
Le groupe TF1, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA renouvellent leur partenariat en faveur de la création

Le groupe TF1 et le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA annoncent la signature d’un nouvel accord, symbole de la volonté des acteurs de la filière audiovisuelle de la création française d’accompagner les transformations du secteur et l’évolution des usages dans le cadre d’une relation constructive.

Cet accord vient modifier celui signé le 24 mai 2016.

Les organisations professionnelles représentatives des producteurs audiovisuels et le groupe TF1 sont ainsi convenus des éléments suivants :

  • la part des investissements du groupe TF1 consacrée aux œuvres relevant de la production dite « indépendante » est désormais portée à 8,75% de son chiffre d’affaires net, (soit 70% de son obligation d’investissement dans les œuvres patrimoniales) contre 8,0% aujourd’hui ;
  • la part des investissements du groupe TF1 consacrée aux œuvres relevant de la production dite « dépendante », réservée à ses filiales, est désormais portée à 3,75% de son chiffre d’affaires net (soit 30% de son obligation d’investissement dans les œuvres patrimoniales) contre 3,25% aujourd’hui ;
  • pour ce faire, le couloir dit « zone de souplesse »[1] est supprimé, simplifiant ainsi le dispositif des obligations de production du groupe TF1.

Avec cet avenant, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2019 et s’appliquera pour une durée de 3 ans, indépendamment de toute évolution législative ou réglementaire, le groupe TF1 renouvelle son engagement en faveur de la création d’œuvres patrimoniales à hauteur de 12,5% du chiffre d’affaires net pour une année supplémentaire par rapport à l’accord signé le 24 mai 2016.

Cette annonce démontre la capacité des acteurs de la filière audiovisuelle à construire un avenir commun avec pour ambition de relever les nouveaux défis du secteur, de soutenir la diversité de la création audiovisuelle et de trouver, pour chacun des partenaires, un meilleur équilibre économique.

Les signataires sont convaincus que la relation construite depuis 2016 entre les producteurs et les diffuseurs dans le cadre d’accords interprofessionnels, en anticipant notamment les besoins d’exploitation sur le numérique, contribue au dynamisme de la filière de la création audiovisuelle et participe par exemple de la croissance des volumes de production et de l’essor de l’export enregistrés ces deux dernières années.

L’urgence d’un meilleur financement de la filière audiovisuelle

Dans la perspective des évolutions législatives et réglementaires à venir, il paraît essentiel au groupe TF1 et aux organisations professionnelles représentatives des producteurs audiovisuels que les accords interprofessionnels soient au cœur de l’organisation des relations entre diffuseurs et producteurs, car ils constituent un instrument souple et flexible qui permet de s’adapter régulièrement aux évolutions du marché et d’accompagner l’évolution des technologies et des usages du public.

Le groupe TF1 et les organisations professionnelles signataires, qui représentent l’ensemble du tissu de la production audiovisuelle française, en appellent aux pouvoirs publics pour que soient apportées de manière urgente des réponses à la nécessaire amélioration du financement de la filière audiovisuelle, en desserrant notamment les contraintes qui ne s’imposent qu’aux éditeurs de télévision, socle du financement de la création audiovisuelle.

Cela passe ainsi par :

  • La levée de certains secteurs interdits à la publicité TV, à savoir notamment les actions de promotion de la distribution. Cette levée sera précédée d’une phase d’expérimentation d’un ou deux ans pour évaluer l’impact économique de cette mesure notamment sur les autres médias et pourra être encadrée, cette phase d’expérimentation pouvant démarrer dès le 1er janvier 2019.
  • L’autorisation, pour les chaînes, de déployer la publicité adressée. Face à la croissance exponentielle du marché de la publicité Internet qui a dépassé depuis plusieurs années celui de la télévision, il est urgent de donner aux chaînes les mêmes armes que leurs concurrents.
  • Le soutien à l’équilibre des accords signés entre diffuseurs et distributeurs de TV payante et, ainsi, l’absence d’intervention législative ou réglementaire qui le remettrait en cause. Alors que ces operateurs commercialisent depuis longtemps, au sein de leurs offres, les chaines de la TNT en clair sans les rémunérer, il est normal que celles-ci bénéficient d’une juste rémunération de ces opérateurs pour la reprise de leurs programmes, comme de leurs services associés. C’est sur la base de ce modèle que l’ensemble des opérateurs FAI ont signé des accords avec le groupe TF1.
  • La capacité du CNC à accompagner le développement du dynamisme de la production audiovisuelle patrimoniale et la pérennité des mécanismes de crédits d’impôt actuellement en place. Pour permettre la poursuite de la croissance de ce secteur, la dynamique de relocalisation des investissements en France et notamment en régions, la préservation du bassin d’emplois…. Autant d’éléments qui ont permis l’augmentation du volume d’œuvres audiovisuelles produites et la croissance de l’exportation de nos programmes à l’étranger.
  • L’intensification de la lutte contre le piratage des œuvres audiovisuelles, qui détruit de la valeur pour l’ensemble de la filière. Celle-ci devrait se traduire par des mesures concrètes telles que des obligations pour les FAI et les moteurs de recherche de déréférencer les sites illégaux et la création de forces de police spécialisées.
  • Une harmonisation équitable du cadre fiscal, législatif et réglementaire pour permettre une réelle intégration et participation des GAFAN au financement de la filière nationale ainsi qu’une véritable protection de la propriété intellectuelle créée par les acteurs nationaux, s’inscrivant notamment dans la régulation posée par la directive SMA.

[1] La « zone de souplesse » permet notamment à TF1 dans le cadre de l’accord du 24 mai 2016 d’obtenir, dans des conditions encadrées par l’accord, des droits plus étendus (linéaires et non linéaires), le cas échéant auprès de sociétés de production indépendantes détenues à moins de 25% par le groupe TF1.

Le groupe TF1 et le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA annoncent la signature d’un nouvel accord, symbole de la volonté des acteurs de la filière audiovisuelle de la création française d’accompagner les transformations du secteur et l’évolution des usages dans le cadre d’une relation constructive. Cet accord vient modifier celui signé le 24 mai 2016. Les organisations professionnelles représentatives des producteurs audiovisuels et le groupe TF1 sont ainsi convenus des éléments suivants : la part des investissements du groupe TF1 consacrée aux œuvres relevant de la production dite « indépendante » est désormais portée à 8,75% de son chiffre d’affaires net, (soit 70% de son obligation d’investissement dans les œuvres patrimoniales) contre 8,0% aujourd’hui ; la part des investissements du groupe TF1 consacrée aux œuvres relevant de la production dite « dépendante », réservée à ses filiales, est désormais portée à 3,75% de son chiffre d’affaires net (soit 30% de son obligation d’investissement dans les œuvres patrimoniales) contre 3,25% aujourd’hui ; pour ce faire, le couloir dit « zone de souplesse »[1] est supprimé, simplifiant ainsi le dispositif des obligations de production du groupe TF1. Avec cet avenant, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2019 et s’appliquera pour une durée de 3 ans, indépendamment de toute évolution législative ou réglementaire, le groupe TF1 renouvelle son engagement en faveur de la création d’œuvres patrimoniales à hauteur de 12,5% du chiffre d’affaires net pour une année supplémentaire par rapport à l’accord signé le 24 mai 2016. Cette annonce démontre la capacité des acteurs de la filière audiovisuelle à construire un avenir commun avec pour ambition de relever les nouveaux défis du secteur, de soutenir la diversité de la création audiovisuelle et de trouver, pour chacun des partenaires, un meilleur équilibre économique. Les signataires sont convaincus que la relation construite depuis 2016 entre les producteurs et les diffuseurs dans le cadre d’accords interprofessionnels, en anticipant notamment les besoins d’exploitation sur le numérique, contribue au dynamisme de la filière de la création audiovisuelle et participe par exemple de la croissance des volumes de production et de l’essor de l’export enregistrés ces deux dernières années. L’urgence d’un meilleur financement de la filière audiovisuelle Dans la perspective des évolutions législatives et réglementaires à venir, il paraît essentiel au groupe TF1 et aux organisations professionnelles représentatives des producteurs audiovisuels que les accords interprofessionnels soient au cœur de l’organisation des relations entre diffuseurs et producteurs, car ils constituent un instrument souple et flexible qui permet de s’adapter régulièrement aux évolutions du marché et d’accompagner l’évolution des technologies et des usages du public. Le groupe TF1 et les organisations professionnelles signataires, qui représentent l’ensemble du tissu de la production audiovisuelle française, en appellent aux pouvoirs publics pour que soient apportées de manière urgente des réponses à la nécessaire amélioration du financement de la filière audiovisuelle, en desserrant notamment les contraintes qui ne s’imposent qu’aux éditeurs de télévision, socle du financement de la création audiovisuelle. Cela passe ainsi par : La levée de certains secteurs interdits à la publicité TV, à savoir notamment les actions de promotion de la distribution. Cette levée sera précédée d’une phase d’expérimentation d’un ou deux ans pour évaluer l’impact économique de cette mesure notamment sur les autres médias et pourra être encadrée, cette phase d’expérimentation pouvant démarrer dès le 1er janvier 2019. L’autorisation, pour les chaînes, de déployer la publicité adressée. Face à la croissance exponentielle du marché de la publicité Internet qui a dépassé depuis plusieurs années celui de la télévision, il est urgent de donner aux chaînes les mêmes armes que leurs concurrents. Le soutien à l’équilibre des accords signés entre diffuseurs et distributeurs de TV payante et, ainsi, l’absence d’intervention législative ou réglementaire qui le remettrait en cause. Alors que ces operateurs commercialisent depuis longtemps, au sein de leurs offres, les chaines de la TNT en clair sans les rémunérer, il est normal que celles-ci bénéficient d’une juste rémunération de ces opérateurs pour la reprise de leurs programmes, comme de leurs services associés. C’est sur la base de ce modèle que l’ensemble des opérateurs FAI ont signé des accords avec le groupe TF1. La capacité du CNC à accompagner le développement du dynamisme de la production audiovisuelle patrimoniale et la pérennité des mécanismes de crédits d’impôt actuellement en place. Pour permettre la poursuite de la croissance de ce secteur, la dynamique de relocalisation des investissements en France et notamment en régions, la préservation du bassin d’emplois…. Autant d’éléments qui ont permis l’augmentation du volume d’œuvres audiovisuelles produites et la croissance de l’exportation de nos programmes à l’étranger. L’intensification de la lutte contre le piratage des œuvres audiovisuelles, qui détruit de la valeur pour l’ensemble de la filière. Celle-ci devrait se traduire par des mesures concrètes telles que des obligations pour les FAI et les moteurs de recherche de déréférencer les sites illégaux et la création de forces de police spécialisées. Une harmonisation équitable du cadre fiscal, législatif et réglementaire pour permettre une réelle intégration et participation des GAFAN au financement de la filière nationale ainsi qu’une véritable protection de la propriété intellectuelle créée par les acteurs nationaux, s’inscrivant notamment dans la régulation posée par la directive SMA. [1] La « zone de souplesse » permet notamment à TF1 dans le cadre de l’accord du 24 mai 2016 d’obtenir, dans des conditions encadrées par l’accord, des droits plus étendus (linéaires et non linéaires), le cas échéant auprès de sociétés de production indépendantes détenues à moins de 25% par le groupe …

14 septembre 2018Actus-SPIactus-spi
Présentation de la Conférence de presse du SPI du 13 09 18 au Festival de la fiction de La Rochelle

14 septembre 2018Actus-SPIactus-spi
Les producteurs français se félicitent de l’adoption du projet de directive sur le droit d’auteur par le Parlement européen

Les producteurs français de cinéma et de télévision saluent le vote par le Parlement européen du projet de directive sur le droit d’auteur. Malgré les campagnes de désinformation sur une soi-disant censure de l’Internet, la mobilisation de tous les défenseurs de la création européenne aura finalement permis de convaincre une large majorité de parlementaires de la nécessité absolue de disposer d’un texte ambitieux et équilibré qui embrasse tous les secteurs culturels, de la presse aux œuvres audiovisuelles, et qui ouvre la voie à une régulation proportionnée et ciblée des plateformes numériques aux fins d’assurer un meilleur partage de la valeur et, partant, le renouvellement de la création.

Ainsi se trouvent confortées les politiques qui, en Europe et plus particulièrement en France, visent à assurer une meilleure protection des œuvres et de la création face aux enjeux posés par le numérique.

Nos organisations remercient le Président de la République, la ministre de la Culture et leurs services, ainsi que les parlementaires européens, qui ont œuvré à ce pas décisif pour l’Europe de la création.

Les producteurs français et européens resteront par ailleurs vigilants pour que les négociations en trilogue entre la Commission, le Conseil et le Parlement viennent conforter cet acquis.

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API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro /
EUROCINEMA – Yvon Thiec – yvon.thiec@eurocinema.eu /
PROCIREP – Idzard van der Puyl – ivdp@procirep.fr /
SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr /
SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr /
SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr /
SPI – Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org /
UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 -upc@producteurscinema.fr /
USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – j.dechesne@uspa.fr

Les producteurs français de cinéma et de télévision saluent le vote par le Parlement européen du projet de directive sur le droit d’auteur. Malgré les campagnes de désinformation sur une soi-disant censure de l’Internet, la mobilisation de tous les défenseurs de la création européenne aura finalement permis de convaincre une large majorité de parlementaires de la nécessité absolue de disposer d’un texte ambitieux et équilibré qui embrasse tous les secteurs culturels, de la presse aux œuvres audiovisuelles, et qui ouvre la voie à une régulation proportionnée et ciblée des plateformes numériques aux fins d’assurer un meilleur partage de la valeur et, partant, le renouvellement de la création. Ainsi se trouvent confortées les politiques qui, en Europe et plus particulièrement en France, visent à assurer une meilleure protection des œuvres et de la création face aux enjeux posés par le numérique. Nos organisations remercient le Président de la République, la ministre de la Culture et leurs services, ainsi que les parlementaires européens, qui ont œuvré à ce pas décisif pour l’Europe de la création. Les producteurs français et européens resteront par ailleurs vigilants pour que les négociations en trilogue entre la Commission, le Conseil et le Parlement viennent conforter cet acquis. *** *** *** API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro / EUROCINEMA – Yvon Thiec – yvon.thiec@eurocinema.eu / PROCIREP – Idzard van der Puyl – ivdp@procirep.fr / SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr / SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr / SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr / SPI – Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org / UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 -upc@producteurscinema.fr / USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – …

13 septembre 2018Actus-SPIactus-spi
Une réforme de l’audiovisuel public à l’économie ?

Le SPI a pris connaissance le 19 juillet 2018 des arbitrages communiqués par le Premier ministre concernant la réforme de l’audiovisuel public, alors que les conclusions de la mission confiée à Catherine Smadja par la ministre de la culture, devant faire état de la « concertation » avec le secteur, venaient juste d’être rendues.

Ces arbitrages sont marqués par la suppression annoncée de deux chaînes hertziennes d’ici 2020 et par une mesure d’économie à échéance 2022. Les efforts demandés à FTV seront certainement bien supérieurs à ce chiffrage de 160 millions d’euros.

A ce chiffre devra en effet s’ajouter l’effort déjà réalisé en 2018 et le redéploiement de 150 millions d’euros visant à financer le développement et le lancement des nouvelles offres numériques. Il est donc certain que l’effort demandé sera de plus de 300 M€.

Alors que le Premier ministre annonce un maintien des engagements dans la création, l’ambition de la réforme nécessite impérativement d’aller au-delà et de renforcer cet investissement comme le préconise la mission Smadja. Cette ambition doit être accompagnée d’une réforme urgente du financement de l’audiovisuel public.

A cette fin, nous réitérons notre vœu impérieux d’une modernisation dynamique de ce financement par une contribution à l’audiovisuel public (CAP) proportionnelle aux revenus permettant à 65% des français de payer moins pour un meilleur rendement.

La méthode pour une réforme ambitieuse aurait dû également passer par une période transitoire permettant la construction d’un projet numérique réfléchi s’appuyant sur une offre linéaire identifiée et puissante.

Le défi du numérique suppose une offre de contenus forts. L’investissement dans des créations initiées pour les plateformes n’est pas, pour les producteurs, un investissement à moindre coût. Cela nécessite à minima un budget dédié à la création numérique au sein de l’enveloppe des 150 M€ supplémentaires.

Le SPI appelle à un travail entre professionnels partenaires du service public pour renforcer l’offre de programmes jeunesse ainsi que l’offre de proximité, qu’elle soit initiée en régions métropolitaine ou ultra-marines, sur les antennes linéaires et offres non linéaires tout en maintenant une offre nationale forte. Nous savons que les grilles des antennes existantes ne sont pas extensibles et nous sommes inquiets des modalités de basculement des programmes de France 4 et France Ô sur les autres antennes.

Nous saluons le cap fixé par le Premier ministre pour que l’offre de programmes régionaux concerne l’ensemble des genres. Le renforcement de l’offre de proximité ne doit pas se contenter d’un temps d’antenne régionale alimenté par des émissions de radio filmées. Un travail essentiel de promotion de l’offre régionale doit être mis en place.

Par souci d’efficacité, le SPI est favorable à la détermination d’engagements au sein du cahier des charges de France Télévisions concernant l’offre de création de proximité ultra-marine. En revanche, l’enveloppe budgétaire allouée à la création initiée en régions ultra-marines est aujourd’hui totalement insuffisante et à clarifier pour accomplir une vraie politique de création à dimension décentralisée sur l’ensemble du territoire français.

Cette nouvelle offre de proximité doit s’inscrire dans une réflexion tenant compte du développement des politiques des territoires en direction de la création, en métropole comme en outre-mer, mais également dans une dimension de partenariat international autour de bassins géographiques.

Aucune précision n’est apportée sur la question des programmes « jeunesse », et le calendrier et les contraintes budgétaires annoncées ne permettent toujours pas d’aborder sereinement cette transition. Nous ne pouvons envisager d’éteindre France 4 pour une offre numérique sans la mise en place préalable d’une plateforme solide, au risque de mettre en danger toute la filière française d’animation.

Enfin, la création cinématographique, de court et de long métrage, devra également être au cœur de ce projet : la diversité de l’offre cinématographique proposée devra être maintenue, tout en renforçant l’éditorialisation sur un nombre de chaînes restreint. Le maintien des deux filiales Cinéma est à ce titre indispensable, et le SPI rappelle son souhait de trouver un accord avec France Télévisions sur la mise à disposition des films préachetés en télévision de rattrapage.

Le projet comptable est fixé mais le projet éditorial reste à construire. Tous ces chantiers s’ouvrent désormais et doivent associer plus concrètement l’équipe dirigeante de FTV, les professionnels et les parlementaires dans une réflexion constructive et ambitieuse pour le service public, dans l’année qui vient.

Paris, le 23 juillet 2018

***

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale du SPI

Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le SPI a pris connaissance le 19 juillet 2018 des arbitrages communiqués par le Premier ministre concernant la réforme de l’audiovisuel public, alors que les conclusions de la mission confiée à Catherine Smadja par la ministre de la culture, devant faire état de la « concertation » avec le secteur, venaient juste d’être rendues. Ces arbitrages sont marqués par la suppression annoncée de deux chaînes hertziennes d’ici 2020 et par une mesure d’économie à échéance 2022. Les efforts demandés à FTV seront certainement bien supérieurs à ce chiffrage de 160 millions d’euros. A ce chiffre devra en effet s’ajouter l’effort déjà réalisé en 2018 et le redéploiement de 150 millions d’euros visant à financer le développement et le lancement des nouvelles offres numériques. Il est donc certain que l’effort demandé sera de plus de 300 M€. Alors que le Premier ministre annonce un maintien des engagements dans la création, l’ambition de la réforme nécessite impérativement d’aller au-delà et de renforcer cet investissement comme le préconise la mission Smadja. Cette ambition doit être accompagnée d’une réforme urgente du financement de l’audiovisuel public. A cette fin, nous réitérons notre vœu impérieux d’une modernisation dynamique de ce financement par une contribution à l’audiovisuel public (CAP) proportionnelle aux revenus permettant à 65% des français de payer moins pour un meilleur rendement. La méthode pour une réforme ambitieuse aurait dû également passer par une période transitoire permettant la construction d’un projet numérique réfléchi s’appuyant sur une offre linéaire identifiée et puissante. Le défi du numérique suppose une offre de contenus forts. L’investissement dans des créations initiées pour les plateformes n’est pas, pour les producteurs, un investissement à moindre coût. Cela nécessite à minima un budget dédié à la création numérique au sein de l’enveloppe des 150 M€ supplémentaires. Le SPI appelle à un travail entre professionnels partenaires du service public pour renforcer l’offre de programmes jeunesse ainsi que l’offre de proximité, qu’elle soit initiée en régions métropolitaine ou ultra-marines, sur les antennes linéaires et offres non linéaires tout en maintenant une offre nationale forte. Nous savons que les grilles des antennes existantes ne sont pas extensibles et nous sommes inquiets des modalités de basculement des programmes de France 4 et France Ô sur les autres antennes. Nous saluons le cap fixé par le Premier ministre pour que l’offre de programmes régionaux concerne l’ensemble des genres. Le renforcement de l’offre de proximité ne doit pas se contenter d’un temps d’antenne régionale alimenté par des émissions de radio filmées. Un travail essentiel de promotion de l’offre régionale doit être mis en place. Par souci d’efficacité, le SPI est favorable à la détermination d’engagements au sein du cahier des charges de France Télévisions concernant l’offre de création de proximité ultra-marine. En revanche, l’enveloppe budgétaire allouée à la création initiée en régions ultra-marines est aujourd’hui totalement insuffisante et à clarifier pour accomplir une vraie politique de création à dimension décentralisée sur l’ensemble du territoire français. Cette nouvelle offre de proximité doit s’inscrire dans une réflexion tenant compte du développement des politiques des territoires en direction de la création, en métropole comme en outre-mer, mais également dans une dimension de partenariat international autour de bassins géographiques. Aucune précision n’est apportée sur la question des programmes « jeunesse », et le calendrier et les contraintes budgétaires annoncées ne permettent toujours pas d’aborder sereinement cette transition. Nous ne pouvons envisager d’éteindre France 4 pour une offre numérique sans la mise en place préalable d’une plateforme solide, au risque de mettre en danger toute la filière française d’animation. Enfin, la création cinématographique, de court et de long métrage, devra également être au cœur de ce projet : la diversité de l’offre cinématographique proposée devra être maintenue, tout en renforçant l’éditorialisation sur un nombre de chaînes restreint. Le maintien des deux filiales Cinéma est à ce titre indispensable, et le SPI rappelle son souhait de trouver un accord avec France Télévisions sur la mise à disposition des films préachetés en télévision de rattrapage. Le projet comptable est fixé mais le projet éditorial reste à construire. Tous ces chantiers s’ouvrent désormais et doivent associer plus concrètement l’équipe dirigeante de FTV, les professionnels et les parlementaires dans une réflexion constructive et ambitieuse pour le service public, dans l’année qui vient. Paris, le 23 juillet 2018 *** Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale du SPI Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

23 juillet 2018Actus-SPIactus-spi
Directive droit d’auteur : les producteurs français regrettent profondément le vote négatif du Parlement européen

Suite au vote du Parlement européen survenu ce jeudi 5 juillet, le refus de suivre l’avis de sa commission juridique témoigne de la perte de repères des instances européennes confrontées à des campagnes de désinformation très agressives orchestrées par les géants américains de l’Internet. Même si certains points de rédaction demeurent perfectibles pour protéger les usages et les droits de la production européenne, les producteurs cinématographiques et audiovisuels français tiennent à rappeler l’équilibre que représentent certaines avancées majeures attendues par ce texte :

  • la création d’un droit voisin pour les éditeurs et agences de presse qui préserve pleinement les liens hypertexte ;
  • un renforcement des obligations de coopération des plateformes pour lutter contre le piratage sur les sites de partage de vidéo ;
  • des obligations renforcées de transparence aux fins de mieux rémunérer la création.

Ce texte fort crée donc les conditions d’un rééquilibrage face aux défis culturels posés par les réseaux numériques et les usages massivement répandus qui y sont liés, en contraignant les géants du net à partager équitablement, avec tous les ayants droit, les recettes qu’ils génèrent sur notre continent grâce à l’exploitation de nos œuvres. Il crée des mécanismes simples et équilibrés qui protègent la propriété intellectuelle européenne sans nuire ni à la liberté de l’internet, ni à son développement, ni à sa libre utilisation par les internautes.

Par son ambition, ce projet de directive constitue un exemple de notre capacité à mieux réguler les plateformes aujourd’hui et dans le futur. Les producteurs français espèrent donc que l’esprit de responsabilité des parlementaires européens permettra très vite de finaliser les discussions autour ce projet qui est un traceur politique fort pour l’Europe.


API – Hortense de Labriffe

EUROCINEMA – Yvon Thiec

PROCIREP – Idzard van der Puyl

SATEV – Florence Braka

SPECT – Vincent Gisbert

SPFA – Stéphane Le Bars

SPI – Catherine Bertin

UPC – Frédéric Goldsmith

USPA – Jérôme Dechesne

Suite au vote du Parlement européen survenu ce jeudi 5 juillet, le refus de suivre l’avis de sa commission juridique témoigne de la perte de repères des instances européennes confrontées à des campagnes de désinformation très agressives orchestrées par les géants américains de l’Internet. Même si certains points de rédaction demeurent perfectibles pour protéger les usages et les droits de la production européenne, les producteurs cinématographiques et audiovisuels français tiennent à rappeler l’équilibre que représentent certaines avancées majeures attendues par ce texte : la création d’un droit voisin pour les éditeurs et agences de presse qui préserve pleinement les liens hypertexte ; un renforcement des obligations de coopération des plateformes pour lutter contre le piratage sur les sites de partage de vidéo ; des obligations renforcées de transparence aux fins de mieux rémunérer la création. Ce texte fort crée donc les conditions d’un rééquilibrage face aux défis culturels posés par les réseaux numériques et les usages massivement répandus qui y sont liés, en contraignant les géants du net à partager équitablement, avec tous les ayants droit, les recettes qu’ils génèrent sur notre continent grâce à l’exploitation de nos œuvres. Il crée des mécanismes simples et équilibrés qui protègent la propriété intellectuelle européenne sans nuire ni à la liberté de l’internet, ni à son développement, ni à sa libre utilisation par les internautes. Par son ambition, ce projet de directive constitue un exemple de notre capacité à mieux réguler les plateformes aujourd’hui et dans le futur. Les producteurs français espèrent donc que l’esprit de responsabilité des parlementaires européens permettra très vite de finaliser les discussions autour ce projet qui est un traceur politique fort pour l’Europe. API – Hortense de Labriffe EUROCINEMA – Yvon Thiec PROCIREP – Idzard van der Puyl SATEV – Florence Braka SPECT – Vincent Gisbert SPFA – Stéphane Le Bars SPI – Catherine Bertin UPC – Frédéric Goldsmith USPA – Jérôme …

5 juillet 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leur prix obtenus au Festival international du film d’animation d’Annecy 2018.

À l’occasion de l’édition 2018 du Festival international du film d’animation d’Annecy, le SPI salue le dynamisme de l’animation Française, filière d’excellence qui doit s’exprimer dans toute sa diversité. Ces prix récompensent le talent et le savoir-faire de producteurs indépendants d’œuvres cinématographique et audiovisuelle d’animation, au bénéfice de la création française et de son rayonnement international.

**Cristal du long métrage

Funan

de Denis Do,

[**Les Films d’Ici*]

**Prix “Jean-Luc Xiberras” de la première œuvre

Egg

de Martina Scarpelli,

[**Miyu Productions*]

**Mention du jury

Biciklisti (Cyclists)

de Veljko Popovic,

[**Bagan Films*]

**Mention spéciale André-Martin pour un court métrage français
Prix FIPRESCI

La Chute

de Boris Labbé,

[**Sacrebleu Productions*]

**Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Arte France

**Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Ciclic

Christopher at Sea

de Tom CJ Brown,

[**Miyu Productions*]

**Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Open Workshop

I’m Late

de Sawako Kabuki,

[**Miyu Productions*]

**Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Les Affranchis/Ville de Toulouse

Prends chair

de Armin Assadipour,

[**UProduction*]

**Pitch MIFA « Séries et spéciaux TV » – Prix Ciclic

Lionceau et les Lucioles

de Eloic Gimenez

[**Girelle Production*]

**Prix de l’export UniFrance

[**Sacrebleu Productions – Ron Dyens*]

Paris, le 19 juin 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

À l’occasion de l’édition 2018 du Festival international du film d’animation d’Annecy, le SPI salue le dynamisme de l’animation Française, filière d’excellence qui doit s’exprimer dans toute sa diversité. Ces prix récompensent le talent et le savoir-faire de producteurs indépendants d’œuvres cinématographique et audiovisuelle d’animation, au bénéfice de la création française et de son rayonnement international. **Cristal du long métrage Funan de Denis Do, [**Les Films d’Ici*] **Prix “Jean-Luc Xiberras” de la première œuvre Egg de Martina Scarpelli, [**Miyu Productions*] **Mention du jury Biciklisti (Cyclists) de Veljko Popovic, [**Bagan Films*] **Mention spéciale André-Martin pour un court métrage français Prix FIPRESCI La Chute de Boris Labbé, [**Sacrebleu Productions*] **Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Arte France **Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Ciclic Christopher at Sea de Tom CJ Brown, [**Miyu Productions*] **Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Open Workshop I’m Late de Sawako Kabuki, [**Miyu Productions*] **Pitch MIFA « Courts métrages » – Prix Les Affranchis/Ville de Toulouse Prends chair de Armin Assadipour, [**UProduction*] **Pitch MIFA « Séries et spéciaux TV » – Prix Ciclic Lionceau et les Lucioles de Eloic Gimenez [**Girelle Production*] **Prix de l’export UniFrance [**Sacrebleu Productions – Ron Dyens*] Paris, le 19 juin 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

19 juin 2018Actus-SPIactus-spi
Annecy 2018 : Le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections

_ A l’occasion du Festival international du Film d’Animation d’Annecy 2018, le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections.

**Longs métrages en compétition

Funan

de Denis Do,

[**produit par Les Films d’Ici*]

Virus Tropical

de Santiago Caicedo,

[**co-produit par Ikki Films*]

**Long métrage hors compétition

La Tour

de Mats Grorud,

[**produit par Les Contes Modernes*]

**Courts métrages en compétition

Biciklisti (Cyclists)

de Veljko Popovic,

[**produit par Bagan Films*]

Egg

de Martina Scarpelli,

[**produit par Miyu Productions*]

Étreintes

de Justine Vuylsteker,

[**produit par Offshore*]

(Fool Time) JOB

de Gilles Cuvelier,

[**produit par Papy3D Productions*]

La Chute

de Boris Labbé,

[**produit par Sacrebleu Productions*]

Raymonde ou l’Évasion Verticale

de Sarah Van Den Boom,

[**produit par Papy3D Productions*]

Vibrato

de Sébastien Laudenbach,

[**produit par Les Films Pelléas*]

**Court métrage compétition jeune public

Promenons-nous

de Hugo Frassetto,

[**produit par Les Films du Nord*]

**Films de commande en compétition

Dominique A – Toute latitude,

de Sébastien Laudenbach,

[**produit par Miyu Productions*]

La Grenouillère

de Ulysse Lefort et Martin Wiklund,

[**produit par Miyu Productions*]

**Films de télévision en compétition

Culte : Lecteurs sous influence “1984”

de Aurélie Pollet,

[**produit par Quark Productions*]

**Midnight Specials

Negative Space,

de Max Porter et Ru Kuwahata,

[**produit par Ikki Films*]

**Séance événement

Make it Soul

de Jean-Charles Mbotti Malolo,

[**produit par Kazak Productions*]

**Prix André Martin du court métrage : Sont également sélectionnés en plus des films en compétition

L’Après-midi de Clémence,

de Lénaïg Le Moigne,

[**produit par Miyu Productions*]

La Nuit des Sacs Plastiques,

de Gabriel Harel,

[**produit par Kazak Productions*]

Le Tigre de Tasmanie,

de Vergine Keaton,

[**produit par Sacrebleu Productions*]

Sahara Palace,

de Zélie Durand,

[**produit par Ikki Films*]

Conférence de presse

Jeudi 14 Juin de 14h à 15h

À l’Impérial Palace, Terrasse Presse du MIFA


Sur Invitation

Le SPI sera également présent au MIFA dans le cadre de « France in shorts », une action collective de valorisation du court métrage d’animation français et de ses acteurs, coordonnée par l’AFCA, pour soutenir la production française de courts métrages.

_ A l’occasion du Festival international du Film d’Animation d’Annecy 2018, le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections. **Longs métrages en compétition Funan de Denis Do, [**produit par Les Films d’Ici*] Virus Tropical de Santiago Caicedo, [**co-produit par Ikki Films*] **Long métrage hors compétition La Tour de Mats Grorud, [**produit par Les Contes Modernes*] **Courts métrages en compétition Biciklisti (Cyclists) de Veljko Popovic, [**produit par Bagan Films*] Egg de Martina Scarpelli, [**produit par Miyu Productions*] Étreintes de Justine Vuylsteker, [**produit par Offshore*] (Fool Time) JOB de Gilles Cuvelier, [**produit par Papy3D Productions*] La Chute de Boris Labbé, [**produit par Sacrebleu Productions*] Raymonde ou l’Évasion Verticale de Sarah Van Den Boom, [**produit par Papy3D Productions*] Vibrato de Sébastien Laudenbach, [**produit par Les Films Pelléas*] **Court métrage compétition jeune public Promenons-nous de Hugo Frassetto, [**produit par Les Films du Nord*] **Films de commande en compétition Dominique A – Toute latitude, de Sébastien Laudenbach, [**produit par Miyu Productions*] La Grenouillère de Ulysse Lefort et Martin Wiklund, [**produit par Miyu Productions*] **Films de télévision en compétition Culte : Lecteurs sous influence “1984” de Aurélie Pollet, [**produit par Quark Productions*] **Midnight Specials Negative Space, de Max Porter et Ru Kuwahata, [**produit par Ikki Films*] **Séance événement Make it Soul de Jean-Charles Mbotti Malolo, [**produit par Kazak Productions*] **Prix André Martin du court métrage : Sont également sélectionnés en plus des films en compétition L’Après-midi de Clémence, de Lénaïg Le Moigne, [**produit par Miyu Productions*] La Nuit des Sacs Plastiques, de Gabriel Harel, [**produit par Kazak Productions*] Le Tigre de Tasmanie, de Vergine Keaton, [**produit par Sacrebleu Productions*] Sahara Palace, de Zélie Durand, [**produit par Ikki Films*] Conférence de presse Jeudi 14 Juin de 14h à 15h À l’Impérial Palace, Terrasse Presse du MIFA Sur Invitation Le SPI sera également présent au MIFA dans le cadre de « France in shorts », une action collective de valorisation du court métrage d’animation français et de ses acteurs, coordonnée par l’AFCA, pour soutenir la production française de courts …

8 juin 2018Actus-SPIactus-spi
Une forte volonté de réforme de l’audiovisuel public

La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, vient de présenter les premières esquisses de réforme de l‘audiovisuel public, afin de créer « un média global à vocation universelle ». Le SPI salue une ambition, placée dans cette intervention sous le signe de l’avenir, du renouveau du service public, de la proximité et de la promotion de la création, et de l’accès à la connaissance et à l’éducation quand d’autres reléguaient depuis plusieurs semaines cette réforme aux seules contraintes d’économies budgétaires.

La ministre annonce une sanctuarisation des investissements dans la création, pour une enveloppe de 560 millions d’euros, mais demande à faire évoluer les rapports entre l’audiovisuel public et les producteurs. Le SPI a toujours défendu le principe de l’indépendance et de la totale transparence en la matière. La production interne renforcée et intégrée n’est pas gage de liberté de création, ni d’économies.

L’avenir de France 4 doit être précisé et nous devons rester vigilants à ne pas déstabiliser notre production audiovisuelle d’animation, reconnue dans le monde entier, en proposant une offre de qualité, créative et diverse, à destination du jeune public et des familles.

Le rapprochement de France bleu et de France 3, avec une demande de triplement des heures de programmes régionaux est un axe majeur, porteur d’émergence, de création et d’emplois sur les territoires. Le SPI, seul syndicat implanté dans les régions a toujours plaidé pour le respect et le développement du secteur dans les territoires. De même, l’avenir de France O et des antennes d’outre-mer nous semble devoir être un axe de réflexion politique et concret majeur dans la transformation de l’audiovisuel public qui porte un enjeu de cohésion sociale et d’expression des pluralités culturelles sur tout le territoire.

Les nouveaux outils numériques annoncés dès le mois de juin doivent se construire avec les professionnels du secteur, dans la concertation et le respect des engagements pris, à la fois dans les accords signés mais aussi dans la volonté exprimée par la ministre.

Le SPI fera des propositions détaillées à la commission Smadja, chargée de bâtir les éléments concrets de cette réforme et de proposer les termes de leur traduction dans la loi annoncée pour 2020.

***

Contact :

Catherine BERTIN, Déléguée générale

Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 44

La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, vient de présenter les premières esquisses de réforme de l‘audiovisuel public, afin de créer « un média global à vocation universelle ». Le SPI salue une ambition, placée dans cette intervention sous le signe de l’avenir, du renouveau du service public, de la proximité et de la promotion de la création, et de l’accès à la connaissance et à l’éducation quand d’autres reléguaient depuis plusieurs semaines cette réforme aux seules contraintes d’économies budgétaires. La ministre annonce une sanctuarisation des investissements dans la création, pour une enveloppe de 560 millions d’euros, mais demande à faire évoluer les rapports entre l’audiovisuel public et les producteurs. Le SPI a toujours défendu le principe de l’indépendance et de la totale transparence en la matière. La production interne renforcée et intégrée n’est pas gage de liberté de création, ni d’économies. L’avenir de France 4 doit être précisé et nous devons rester vigilants à ne pas déstabiliser notre production audiovisuelle d’animation, reconnue dans le monde entier, en proposant une offre de qualité, créative et diverse, à destination du jeune public et des familles. Le rapprochement de France bleu et de France 3, avec une demande de triplement des heures de programmes régionaux est un axe majeur, porteur d’émergence, de création et d’emplois sur les territoires. Le SPI, seul syndicat implanté dans les régions a toujours plaidé pour le respect et le développement du secteur dans les territoires. De même, l’avenir de France O et des antennes d’outre-mer nous semble devoir être un axe de réflexion politique et concret majeur dans la transformation de l’audiovisuel public qui porte un enjeu de cohésion sociale et d’expression des pluralités culturelles sur tout le territoire. Les nouveaux outils numériques annoncés dès le mois de juin doivent se construire avec les professionnels du secteur, dans la concertation et le respect des engagements pris, à la fois dans les accords signés mais aussi dans la volonté exprimée par la ministre. Le SPI fera des propositions détaillées à la commission Smadja, chargée de bâtir les éléments concrets de cette réforme et de proposer les termes de leur traduction dans la loi annoncée pour 2020. *** Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 …

5 juin 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les nombreux et prestigieux prix obtenus à l’occasion de la 71e édition du festival de Cannes :

_

***Prix du scénario – Sélection officielle en compétition

Heureux comme Lazzaro

d’Alice Rohrwacher

[**Ad Vitam Production*]

***Prix de la mise en scène – Un Certain Regard

Donbass

de Sergei Loznitsa

[**JBA Production*]

***Prix SACD de de la Quinzaine des Réalisateurs

En Liberté !

de Pierre Salvadori

[**Les Films Pelléas*]

***Grand Prix Nespresso – Semaine de la critique

Diamantino

de Gabriel Abrantes & Daniel Schmidt

[**Les Films du Bélier*]

***Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation- Semaine de la critique

Sauvage

de Camille Vidal-Naquet

[**La Voie Lactée*]

***Prix Fondation Gan à la diffusion- Semaine de la critique

Sir (Monsieur)

de Rohena Gera

[**Ciné-Sud Promotion*]

***Prix SACD de la Semaine de la Critique

Woman at War

de Benedikt Erlingsson

[**Slot Machine*]

***Prix ARTE International – Cinéfondation

The Color of the Skull

de Sibs Shongwe-La Mer

[**Mille et Une Productions / Uproduction*]

***Prix de L’Œil d’or du documentaire

Samouni Road

de Stefano Savona

[**Alter Ego Production*]

***Mention, L’Œil d’or du documentaire

Libre

de Michel Toesca

[**SaNoSi Productions*]

***Grand prix Unifrance

Les Indes galantes

de Clément Cogitore

[**Les Films Pelléas*]

***Prix spécial du jury Unifrance

Grain de poussière

de Léopold Kraus

[**Les Films Norfolk*]

***Prix Grand Action et la mention spéciale du jury Unifrance

Master of the Classe

de Carine May et Hakim Zouhani

[**Kazak Productions*]

***Prix des diffuseurs Unifrance

Artem Silendi

de Frank Ychou

[**Triade Films*]

Contact :

Catherine BERTIN, Déléguée générale –

Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 44

_ ***Prix du scénario – Sélection officielle en compétition Heureux comme Lazzaro d’Alice Rohrwacher [**Ad Vitam Production*] ***Prix de la mise en scène – Un Certain Regard Donbass de Sergei Loznitsa [**JBA Production*] ***Prix SACD de de la Quinzaine des Réalisateurs En Liberté ! de Pierre Salvadori [**Les Films Pelléas*] ***Grand Prix Nespresso – Semaine de la critique Diamantino de Gabriel Abrantes & Daniel Schmidt [**Les Films du Bélier*] ***Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation- Semaine de la critique Sauvage de Camille Vidal-Naquet [**La Voie Lactée*] ***Prix Fondation Gan à la diffusion- Semaine de la critique Sir (Monsieur) de Rohena Gera [**Ciné-Sud Promotion*] ***Prix SACD de la Semaine de la Critique Woman at War de Benedikt Erlingsson [**Slot Machine*] ***Prix ARTE International – Cinéfondation The Color of the Skull de Sibs Shongwe-La Mer [**Mille et Une Productions / Uproduction*] ***Prix de L’Œil d’or du documentaire Samouni Road de Stefano Savona [**Alter Ego Production*] ***Mention, L’Œil d’or du documentaire Libre de Michel Toesca [**SaNoSi Productions*] ***Grand prix Unifrance Les Indes galantes de Clément Cogitore [**Les Films Pelléas*] ***Prix spécial du jury Unifrance Grain de poussière de Léopold Kraus [**Les Films Norfolk*] ***Prix Grand Action et la mention spéciale du jury Unifrance Master of the Classe de Carine May et Hakim Zouhani [**Kazak Productions*] ***Prix des diffuseurs Unifrance Artem Silendi de Frank Ychou [**Triade Films*] Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 …

22 mai 2018Actus-SPIactus-spi
Promouvoir le soutien à la création dans un monde numérique

Conférence de presse du SPI,

Le mardi 15 mai

A 10h00

Au STUDIO Cannes

Dans un contexte de numérisation et d’hyper concurrence entre les différents diffuseurs, les stratégies des différents acteurs du marché tendent à se concentrer autour de quelques œuvres, diffusées et rediffusées. Cette stratégie d’optimisation des investissements dans le cinéma s’illustre parfaitement chez les GAFAN, qui concentrent leurs financements sur 2 ou 3 films de réalisateurs confirmés dans chaque pays.

Marie Masmonteil, Vice-présidente long métrage, a expliqué que derrière les chiffres macro économiques favorables du secteur, se cachent de réelles disparités et une grande fragilité pour la production indépendante et la diversité.

Notre système de soutien à la diversité culturelle trouve sa force dans notre capacité à construire, sur plusieurs films, des parcours de cinéastes, français et internationaux. La présence française à Cannes se fait notamment via l’accompagnement des cinéastes du monde entier par ce tissu de producteurs indépendants.

Son existence est une condition essentielle de l’écosystème. Pourtant, la situation des entreprises de production fait partie des angles morts de l’analyse publique sectorielle, alors qu’elles en sont le maillon central.

Dans le même temps, les effets du numérique et l’entrée de ses nouveaux acteurs pèsent sur toute la filière de la création, créent des déséquilibres de plus en plus importants dans le financement et la diffusion des œuvres, à commencer par la salle de cinéma.

La numérisation de la filière de diffusion des œuvres entraine des phénomènes de concentration d’une ampleur jusque-là inconnue. Les diffuseurs s’inscrivent dans un contexte de concurrence exacerbée, et, pour se protéger, prennent de moins en moins de risques. Ainsi, dès la salle de cinéma, et quel que soit le mode de diffusion, les écarts d’exposition entre les films se creusent.

A l’aune de ces constats, une politique de soutien volontariste est plus que jamais nécessaire, afin de conserver une création riche et diversifiée. Alors que la dimension économique de notre système de soutien tend à croître, il est nécessaire de contrebalancer cette tendance à la concentration des financements en renforçant leur dimension culturelle de nos soutiens, en axant davantage sur la création et les parcours professionnels.

La chronologie des médias est l’instrument central de cette régulation et doit se moderniser, dans le cadre d’un accord professionnel, dont le SPI souhaite la signature rapide. Face à l’accélération rapide des modèles économiques, la réflexion doit, de façon pragmatique, s’orienter autour de la contribution effective à la création, tout en aménageant la possibilité pour les nouveaux acteurs de s’inscrire dans notre système vertueux. Cette signature montrerait également que la filière est forte et sait s’entendre sur des enjeux cruciaux.

Les chaînes de télévision demeurent le socle de financement de la création cinématographique et le rôle du service public dans le financement des œuvres doit être conforté.

Parallèlement, le développement de la télévision numérique terrestre a profondément modifié le rapport du cinéma à la télévision, avec des chaînes de télévision qui diffusent abondement des œuvres cinématographiques, sans contribuer à leur préfinancement. Il est donc nécessaire, enfin, d’adapter le cadre juridique de ce nouveau paysage audiovisuel, alors que les chaînes non historiques représentent désormais 30 % de l’audience linéaire, en ne contribuant que très faiblement à la création.

Une modernisation doit s’enclencher à toutes les étapes de notre système de soutien et de régulation, afin que la France demeure le pays de la création cinématographique, le lieu d’émergence des nouveaux talents, d’ouverture sur le monde et de diversité de la création. Deux premières étapes essentielles viennent d’être franchies dans la reconstitution de notre modèle de soutien à la création :

  • La prise de conscience que la lutte contre le piratage, et donc plus largement la défense du droit d’auteur, est une condition indispensable à la modernisation de notre modèle culturel.
  • La nécessité d’empêcher les acteurs mondiaux de contourner les règles nationales de défense la diversité culturelle. Le compromis obtenu, sous réserve de sa rédaction finale, dans le cadre du projet de révision de la Directive Services de Médias Audiovisuels constitue une avancée fondamentale en ce sens.

Sur ces deux points, nous saluons le travail effectué par le Ministère de la Culture, qui cherche à poser les fondements de cette régulation renouvelée, et appelons dès à présent à une réflexion que ces acteurs contribuent effectivement au financement de la création.

Ainsi, le SPI s’inscrit dans cette réflexion en prenant en compte l’ensemble des acteurs de la filière, et dans une logique d’intérêt général, afin de ne fragiliser aucun des maillons de la chaîne, tout en rappelant que le producteur est au centre de ce processus de création.

Fort de ces constats, le SPI formule les propositions suivantes :

**I. Repenser la diffusion des œuvres dans une filière entièrement numérisée :

  • Trouver rapidement un nouvel accord concernant la chronologie des médias, permettant d’insérer les acteurs du numérique en fonction de leur juste contribution à l’écosytème de la création et de la diffusion des œuvres,
  • Réguler la salle de cinéma comme tous les autres médias numériques, par un cadre juridique adapté garantissant la diversité dans l’exposition des œuvres, passant par un renforcement des engagements de programmation et la création d’une instance de régulation indépendante,
  • Accorder les droits de télévision de rattrapage pour les films coproduits à France Télévisions, pour permettre l’émergence d’un service public de l’audiovisuel linéaire et linéaire,

    **II. Renforcer la dimension culturelle de nos soutiens publics :

  • Engager une réflexion sur les aides à l’écriture et au développement, en mettant le trio scénariste-réalisateur-producteur et les parcours professionnels au centre du processus,
  • Renforcer l’avance sur recettes, notamment en augmentant son budget et en garantissant un niveau de chiffrage minimal très en amont de la mise en production des projets,
  • Modifier les règles d’intensité d’aides publiques, afin de permettre aux différents dispositifs d’aides d’atteindre pleinement leur objectif de soutien à une création diversifiée,
  • Développer des indicateurs permettant, au delà de la simple dimension économique, d’analyser le fonctionnement de nos soutiens sous un angle culturel : parcours professionnels, passage du court au long métrage, diversité des œuvres produites, présence dans des festivals internationaux, égalité femme-homme…

    **III. S’appuyer sur le tissu d’entreprises de production pour promouvoir la diversité culturelle cinématographique dans le monde :

  • Analyser la situation économique du tissu de producteurs indépendants,
  • Augmenter le budget de l’Aide aux cinémas du monde, afin de soutenir plus et mieux les coproductions internationales,
  • Permettre, dans des conditions à définir, l’accès au crédit d’impôt pour les dépenses de production en France dans le cadre de coproductions internationales,

    **IV. Favoriser la diversité de l’investissement des chaînes de télévision dans le cinéma :

  • Consolider le financement de l’audiovisuel public, en modernisant la Contribution à l’Audiovisuel public et en garantissant l’investissement dans la diversité de la création cinématographique, notamment en créant une nouvelle filiale « cinéma » pour France 4,
  • Diversifier les investissements des chaînes gratuites privées, par la mise en place d’obligations groupe en contrepartie d’une obligation de préfinancement d’un nombre minimal de films,
  • Inscrire les chaînes de la TNT comme réels contributeurs à la création, en baissant le seuil de déclenchement de l’obligation de préfinancement,

    **V. Réguler les services de VAD pour en faire des acteurs de la diversité culturelle :

  • Mettre en place une contribution effective des plateformes de vidéo à la demande au préfinancement des œuvres, avec des engagements de diversité,
  • Modifier le décret régulant les services de VADA afin de permettre une diversité des catalogues disponibles,

    Contact :

    Catherine BERTIN, Déléguée générale

    Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 44

Conférence de presse du SPI, Le mardi 15 mai A 10h00 Au STUDIO Cannes Dans un contexte de numérisation et d’hyper concurrence entre les différents diffuseurs, les stratégies des différents acteurs du marché tendent à se concentrer autour de quelques œuvres, diffusées et rediffusées. Cette stratégie d’optimisation des investissements dans le cinéma s’illustre parfaitement chez les GAFAN, qui concentrent leurs financements sur 2 ou 3 films de réalisateurs confirmés dans chaque pays. Marie Masmonteil, Vice-présidente long métrage, a expliqué que derrière les chiffres macro économiques favorables du secteur, se cachent de réelles disparités et une grande fragilité pour la production indépendante et la diversité. Notre système de soutien à la diversité culturelle trouve sa force dans notre capacité à construire, sur plusieurs films, des parcours de cinéastes, français et internationaux. La présence française à Cannes se fait notamment via l’accompagnement des cinéastes du monde entier par ce tissu de producteurs indépendants. Son existence est une condition essentielle de l’écosystème. Pourtant, la situation des entreprises de production fait partie des angles morts de l’analyse publique sectorielle, alors qu’elles en sont le maillon central. Dans le même temps, les effets du numérique et l’entrée de ses nouveaux acteurs pèsent sur toute la filière de la création, créent des déséquilibres de plus en plus importants dans le financement et la diffusion des œuvres, à commencer par la salle de cinéma. La numérisation de la filière de diffusion des œuvres entraine des phénomènes de concentration d’une ampleur jusque-là inconnue. Les diffuseurs s’inscrivent dans un contexte de concurrence exacerbée, et, pour se protéger, prennent de moins en moins de risques. Ainsi, dès la salle de cinéma, et quel que soit le mode de diffusion, les écarts d’exposition entre les films se creusent. A l’aune de ces constats, une politique de soutien volontariste est plus que jamais nécessaire, afin de conserver une création riche et diversifiée. Alors que la dimension économique de notre système de soutien tend à croître, il est nécessaire de contrebalancer cette tendance à la concentration des financements en renforçant leur dimension culturelle de nos soutiens, en axant davantage sur la création et les parcours professionnels. La chronologie des médias est l’instrument central de cette régulation et doit se moderniser, dans le cadre d’un accord professionnel, dont le SPI souhaite la signature rapide. Face à l’accélération rapide des modèles économiques, la réflexion doit, de façon pragmatique, s’orienter autour de la contribution effective à la création, tout en aménageant la possibilité pour les nouveaux acteurs de s’inscrire dans notre système vertueux. Cette signature montrerait également que la filière est forte et sait s’entendre sur des enjeux cruciaux. Les chaînes de télévision demeurent le socle de financement de la création cinématographique et le rôle du service public dans le financement des œuvres doit être conforté. Parallèlement, le développement de la télévision numérique terrestre a profondément modifié le rapport du cinéma à la télévision, avec des chaînes de télévision qui diffusent abondement des œuvres cinématographiques, sans contribuer à leur préfinancement. Il est donc nécessaire, enfin, d’adapter le cadre juridique de ce nouveau paysage audiovisuel, alors que les chaînes non historiques représentent désormais 30 % de l’audience linéaire, en ne contribuant que très faiblement à la création. Une modernisation doit s’enclencher à toutes les étapes de notre système de soutien et de régulation, afin que la France demeure le pays de la création cinématographique, le lieu d’émergence des nouveaux talents, d’ouverture sur le monde et de diversité de la création. Deux premières étapes essentielles viennent d’être franchies dans la reconstitution de notre modèle de soutien à la création : La prise de conscience que la lutte contre le piratage, et donc plus largement la défense du droit d’auteur, est une condition indispensable à la modernisation de notre modèle culturel. La nécessité d’empêcher les acteurs mondiaux de contourner les règles nationales de défense la diversité culturelle. Le compromis obtenu, sous réserve de sa rédaction finale, dans le cadre du projet de révision de la Directive Services de Médias Audiovisuels constitue une avancée fondamentale en ce sens. Sur ces deux points, nous saluons le travail effectué par le Ministère de la Culture, qui cherche à poser les fondements de cette régulation renouvelée, et appelons dès à présent à une réflexion que ces acteurs contribuent effectivement au financement de la création. Ainsi, le SPI s’inscrit dans cette réflexion en prenant en compte l’ensemble des acteurs de la filière, et dans une logique d’intérêt général, afin de ne fragiliser aucun des maillons de la chaîne, tout en rappelant que le producteur est au centre de ce processus de création. Fort de ces constats, le SPI formule les propositions suivantes : **I. Repenser la diffusion des œuvres dans une filière entièrement numérisée : Trouver rapidement un nouvel accord concernant la chronologie des médias, permettant d’insérer les acteurs du numérique en fonction de leur juste contribution à l’écosytème de la création et de la diffusion des œuvres, Réguler la salle de cinéma comme tous les autres médias numériques, par un cadre juridique adapté garantissant la diversité dans l’exposition des œuvres, passant par un renforcement des engagements de programmation et la création d’une instance de régulation indépendante, Accorder les droits de télévision de rattrapage pour les films coproduits à France Télévisions, pour permettre l’émergence d’un service public de l’audiovisuel linéaire et linéaire, **II. Renforcer la dimension culturelle de nos soutiens publics : Engager une réflexion sur les aides à l’écriture et au développement, en mettant le trio scénariste-réalisateur-producteur et les parcours professionnels au centre du processus, Renforcer l’avance sur recettes, notamment en augmentant son budget et en garantissant un niveau de chiffrage minimal très en amont de la mise en production des projets, Modifier les règles d’intensité d’aides publiques, afin de permettre aux différents dispositifs d’aides d’atteindre pleinement leur objectif de soutien à une création diversifiée, Développer des indicateurs permettant, au delà de la simple dimension économique, d’analyser le fonctionnement de nos soutiens sous un angle culturel : parcours professionnels, passage du court au long métrage, diversité des œuvres produites, présence dans des festivals internationaux, égalité femme-homme… **III. S’appuyer sur le tissu d’entreprises de production pour promouvoir la diversité culturelle cinématographique dans le monde : Analyser la situation économique du tissu de producteurs indépendants, Augmenter le budget de l’Aide aux cinémas du monde, afin de soutenir plus et mieux les coproductions internationales, Permettre, dans des conditions à définir, l’accès au crédit d’impôt pour les dépenses de production en France dans le cadre de coproductions internationales, **IV. Favoriser la diversité de l’investissement des chaînes de télévision dans le cinéma : Consolider le financement de l’audiovisuel public, en modernisant la Contribution à l’Audiovisuel public et en garantissant l’investissement dans la diversité de la création cinématographique, notamment en créant une nouvelle filiale « cinéma » pour France 4, Diversifier les investissements des chaînes gratuites privées, par la mise en place d’obligations groupe en contrepartie d’une obligation de préfinancement d’un nombre minimal de films, Inscrire les chaînes de la TNT comme réels contributeurs à la création, en baissant le seuil de déclenchement de l’obligation de préfinancement, **V. Réguler les services de VAD pour en faire des acteurs de la diversité culturelle : Mettre en place une contribution effective des plateformes de vidéo à la demande au préfinancement des œuvres, avec des engagements de diversité, Modifier le décret régulant les services de VADA afin de permettre une diversité des catalogues disponibles, Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 …

16 mai 2018Actus-SPIactus-spi
Conférence de presse du SPI : Promouvoir le soutien à la création dans un monde numérique

_

Le mardi 15 mai

A 10h00

« Le Studio Cannes » (5 Rue des Belges 06400 Cannes)

Dans un contexte de numérisation et d’hyper concurrence entre les différents diffuseurs et modes de diffusion, les stratégies des différents acteurs du marché tendent à se concentrer autour de quelques œuvres, diffusées et rediffusées. Cette stratégie d’optimisation des investissements dans le cinéma s’illustre parfaitement parmi les GAFAN, qui privilégient l’optimisation de leurs investissements, en finançant 2 ou 3 films de réalisateurs confirmés dans chaque pays.

Pourtant, notre système de soutien à la diversité culturelle trouve sa force dans notre capacité à construire, sur plusieurs films, des parcours de cinéastes, français et internationaux. A l’aune de ces constats, une politique de soutien volontariste est plus que jamais nécessaire, afin de conserver une création riche et diversifiée.

A l’occasion du Festival de Cannes, le SPI exposera les moyens de promouvoir l’émergence de nouveaux talents et la diversité de la création, à toutes les étapes de notre système de soutien et de régulation, pour que la France demeure le pays de la création cinématographique.

Réservation indispensable à l’adresse : cannes@lespi.org

_ Le mardi 15 mai A 10h00 « Le Studio Cannes » (5 Rue des Belges 06400 Cannes) Dans un contexte de numérisation et d’hyper concurrence entre les différents diffuseurs et modes de diffusion, les stratégies des différents acteurs du marché tendent à se concentrer autour de quelques œuvres, diffusées et rediffusées. Cette stratégie d’optimisation des investissements dans le cinéma s’illustre parfaitement parmi les GAFAN, qui privilégient l’optimisation de leurs investissements, en finançant 2 ou 3 films de réalisateurs confirmés dans chaque pays. Pourtant, notre système de soutien à la diversité culturelle trouve sa force dans notre capacité à construire, sur plusieurs films, des parcours de cinéastes, français et internationaux. A l’aune de ces constats, une politique de soutien volontariste est plus que jamais nécessaire, afin de conserver une création riche et diversifiée. A l’occasion du Festival de Cannes, le SPI exposera les moyens de promouvoir l’émergence de nouveaux talents et la diversité de la création, à toutes les étapes de notre système de soutien et de régulation, pour que la France demeure le pays de la création cinématographique. Réservation indispensable à l’adresse : …

7 mai 2018Actus-SPIactus-spi
Festival de Cannes 2018 : Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs sélections

**SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Longs Métrages

Asako (Netemo Sametemo)

de Ryusuke Hamaguchi

[**Comme des Cinémas*]

Heureux comme Lazzaro

d’Alice Rohrwacher

[**Ad Vitam Production*]

Les Filles du Soleil

d’Eva Husson

[**Maneki Films*]

Plaire, Aimer et Courir Vite

de Christophe Honoré

[**Les Films Pelléas*]

Un Couteau dans le Coeur

de Yann Gonzalez

[**CG Cinéma*]

**SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Court Métrage

Gabriel

de Oren Gerner

[**Why Not Productions*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Un Certain Regard

À Genoux les Gars

d’Antoine Desrosières

[**Les Films de l’Autre Cougar*]

Die Stropers

d’Étienne Kallos

[**Cinéma Defacto*]

Long Day’s Journey Into Night

de Bi Gan

[**CG Cinéma*]

Manto

de Nandita Das

[**En Compagnie des Lamas*]

Mon Tissu Préféré

de Gaya Jiji

[**Gloria Films / Dublin Films / Les Films de la Capitaine*]

Rafiki

de Wanuri Kahiu

[**MPM Films*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Film d’Ouverture – Un Certain Regard

Donbass

de Sergei Loznitsa

[**JBA Production*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Séances Spéciales

La Traversée

de Romain Goupil

[**Siècle Productions*]

Les Âmes Mortes (Dead Souls)

de Wang Bing

[**Les Films d’Ici*]

Libre

de Michel Toesca

[**SaNoSi Productions*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Hors Compétition

The House that Jack Built

de Lars Von Trier

[**Slot Machine*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Cinéma de la Plage

Le Grand Bal

de Lætitia Carton

[**SaNoSi Productions*]

**LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS – Longs Métrages

El Motoarrebatador

d’Agustin Toscano

[**Gloria Films*]

En Liberté !

de Pierre Salvadori

[**Les Films Pelléas*]

Los Silencios

de Beatriz Seigner

[**Ciné-Sud Promotion*]

Petra
de Jaime Rosales
Les Productions Balthazar*]

Samouni Road

de Stefano Savona

[**Alter Ego Production*]

Teret

d’Ognjen Glavonic

[**Cinéma Defacto*]

**LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS – Court Métrage

La Nuit des Sacs Plastiques

de Gabriel Harel

[**Kazak Productions*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Longs Métrages

Diamantino

de Gabriel Abrantes & Daniel Schmidt

[**Les Films du Bélier*]

Sauvage
de Camille Vidal-Naquet

[**La Voie Lactée*]

Sir (Monsieur)

de Rohena Gera

[**Ciné-Sud Promotion*]

Woman at War

de Benedikt Erlingsson

[**Slot Machine*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Court Métrage

La Persistente

de Camille Lugan

[**Caïmans Productions*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Film de Clôture

Guy

d’Alex Lutz

[**Iliade & Films*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Séance Spéciale – Long Métrage

Nos Batailles

de Guillaume Senez

[**Les Films Pelléas*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Séance Spéciale – Court Métrage

La Chute
de Boris Labbé

[**Sacrebleu Productions*]

**LA SÉLECTION ACID – Longs Métrages

Cassandro the Exotico !

de Marie Losier

[**Tamara Films*]

Il se Passe Quelque Chose

d’Anne Alix

[**Shellac Sud*]

L’Amour Debout

de Michaël Dacheux

[**Perspective Films*]

Seule à mon Mariage

de Marta Bergman

[**Avenue B Productions*]

**LA SÉLECTION ACID – Séance Spéciale

Reprise

d’Hervé Leroux

[**Les Films d’Ici*]

**SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Longs Métrages Asako (Netemo Sametemo) de Ryusuke Hamaguchi [**Comme des Cinémas*] Heureux comme Lazzaro d’Alice Rohrwacher [**Ad Vitam Production*] Les Filles du Soleil d’Eva Husson [**Maneki Films*] Plaire, Aimer et Courir Vite de Christophe Honoré [**Les Films Pelléas*] Un Couteau dans le Coeur de Yann Gonzalez [**CG Cinéma*] **SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Court Métrage Gabriel de Oren Gerner [**Why Not Productions*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Un Certain Regard À Genoux les Gars d’Antoine Desrosières [**Les Films de l’Autre Cougar*] Die Stropers d’Étienne Kallos [**Cinéma Defacto*] Long Day’s Journey Into Night de Bi Gan [**CG Cinéma*] Manto de Nandita Das [**En Compagnie des Lamas*] Mon Tissu Préféré de Gaya Jiji [**Gloria Films / Dublin Films / Les Films de la Capitaine*] Rafiki de Wanuri Kahiu [**MPM Films*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Film d’Ouverture – Un Certain Regard Donbass de Sergei Loznitsa [**JBA Production*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Séances Spéciales La Traversée de Romain Goupil [**Siècle Productions*] Les Âmes Mortes (Dead Souls) de Wang Bing [**Les Films d’Ici*] Libre de Michel Toesca [**SaNoSi Productions*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Hors Compétition The House that Jack Built de Lars Von Trier [**Slot Machine*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Cinéma de la Plage Le Grand Bal de Lætitia Carton [**SaNoSi Productions*] **LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS – Longs Métrages El Motoarrebatador d’Agustin Toscano [**Gloria Films*] En Liberté ! de Pierre Salvadori [**Les Films Pelléas*] Los Silencios de Beatriz Seigner [**Ciné-Sud Promotion*] Petra de Jaime Rosales Les Productions Balthazar*] Samouni Road de Stefano Savona [**Alter Ego Production*] Teret d’Ognjen Glavonic [**Cinéma Defacto*] **LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS – Court Métrage La Nuit des Sacs Plastiques de Gabriel Harel [**Kazak Productions*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Longs Métrages Diamantino de Gabriel Abrantes & Daniel Schmidt [**Les Films du Bélier*] Sauvage de Camille Vidal-Naquet [**La Voie Lactée*] Sir (Monsieur) de Rohena Gera [**Ciné-Sud Promotion*] Woman at War de Benedikt Erlingsson [**Slot Machine*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Court Métrage La Persistente de Camille Lugan [**Caïmans Productions*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Film de Clôture Guy d’Alex Lutz [**Iliade & Films*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Séance Spéciale – Long Métrage Nos Batailles de Guillaume Senez [**Les Films Pelléas*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Séance Spéciale – Court Métrage La Chute de Boris Labbé [**Sacrebleu Productions*] **LA SÉLECTION ACID – Longs Métrages Cassandro the Exotico ! de Marie Losier [**Tamara Films*] Il se Passe Quelque Chose d’Anne Alix [**Shellac Sud*] L’Amour Debout de Michaël Dacheux [**Perspective Films*] Seule à mon Mariage de Marta Bergman [**Avenue B Productions*] **LA SÉLECTION ACID – Séance Spéciale Reprise d’Hervé Leroux [**Les Films …

7 mai 2018Actus-SPIactus-spi
Directive sur les services de médias audiovisuels : une avancée décisive pour la création européenne

Les producteurs de cinéma et de télévision se félicitent de l’aboutissement hier des discussions entre le Conseil, la Commission et le Parlement relatives à la révision de la Directive sur les services de médias audiovisuels.

Après plusieurs années de négociations, les bases d’une nouvelle régulation européenne ont été posées garantissant le financement et l’exposition de la création européenne.

Toutes les plateformes de vidéo à la demande en Europe devront proposer à minima 30% d’œuvres audiovisuelles et cinématographiques européennes dans leurs catalogues. Par ailleurs, chacun des États européens va pouvoir les soumettre à ses obligations d’investissement dans la création, même quand elles sont établies à l’étranger, en proportion du chiffre d’affaires généré sur son territoire.

Les discussions de ces derniers mois, sous l’impulsion de la France mais aussi de nombreux autres pays européens, ont permis d’étendre ce principe du pays de destination aux services linéaires afin de remédier aux distorsions de concurrence et d’apporter une réponse aux délocalisations opportunistes de certains pour contourner les obligations nationales de soutien à la création.

Les producteurs remercient chaleureusement la ministre de la Culture, Madame Françoise Nyssen, qui s’est emparée avec force et détermination de ce dossier essentiel dès son arrivée. Ils remercient également l’ensemble des autorités françaises, les parlementaires et la Commission, pour ce texte ambitieux qui permet de moderniser la régulation européenne et de répondre aux défis posés par les évolutions numériques.

Les producteurs resteront pleinement mobilisés dans les prochaines semaines afin que la finalisation du compromis, trouvé hier au sein du « trilogue » entre le Parlement, le Conseil et la Commission, garantisse une application pleine et entière du principe du pays de destination en matière d’investissement dans la création.

L’aboutissement de ce texte ambitieux est une avancée décisive pour la création européenne. Les producteurs rappellent leur vigilance sur les discussions en cours concernant le projet de règlement sur les retransmissions en ligne, et sur la nécessité de préserver le principe de la territorialité des droits pour assurer le financement et le développement de la création européenne. L’Europe protectrice de la création audiovisuelle ne peut se construire qu’à l’appui d’une législation forte et cohérente dans tous ses textes.

Contacts :

API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro

SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr

SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr

SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr

SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – upc@producteurscinema.fr

USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – j.dechesne@uspa.fr

Les producteurs de cinéma et de télévision se félicitent de l’aboutissement hier des discussions entre le Conseil, la Commission et le Parlement relatives à la révision de la Directive sur les services de médias audiovisuels. Après plusieurs années de négociations, les bases d’une nouvelle régulation européenne ont été posées garantissant le financement et l’exposition de la création européenne. Toutes les plateformes de vidéo à la demande en Europe devront proposer à minima 30% d’œuvres audiovisuelles et cinématographiques européennes dans leurs catalogues. Par ailleurs, chacun des États européens va pouvoir les soumettre à ses obligations d’investissement dans la création, même quand elles sont établies à l’étranger, en proportion du chiffre d’affaires généré sur son territoire. Les discussions de ces derniers mois, sous l’impulsion de la France mais aussi de nombreux autres pays européens, ont permis d’étendre ce principe du pays de destination aux services linéaires afin de remédier aux distorsions de concurrence et d’apporter une réponse aux délocalisations opportunistes de certains pour contourner les obligations nationales de soutien à la création. Les producteurs remercient chaleureusement la ministre de la Culture, Madame Françoise Nyssen, qui s’est emparée avec force et détermination de ce dossier essentiel dès son arrivée. Ils remercient également l’ensemble des autorités françaises, les parlementaires et la Commission, pour ce texte ambitieux qui permet de moderniser la régulation européenne et de répondre aux défis posés par les évolutions numériques. Les producteurs resteront pleinement mobilisés dans les prochaines semaines afin que la finalisation du compromis, trouvé hier au sein du « trilogue » entre le Parlement, le Conseil et la Commission, garantisse une application pleine et entière du principe du pays de destination en matière d’investissement dans la création. L’aboutissement de ce texte ambitieux est une avancée décisive pour la création européenne. Les producteurs rappellent leur vigilance sur les discussions en cours concernant le projet de règlement sur les retransmissions en ligne, et sur la nécessité de préserver le principe de la territorialité des droits pour assurer le financement et le développement de la création européenne. L’Europe protectrice de la création audiovisuelle ne peut se construire qu’à l’appui d’une législation forte et cohérente dans tous ses textes. Contacts : API – Hortense de Labriffe – 06 80 20 52 25 – hla@lapi.pro SATEV – Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr SPECT – Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr SPFA – Stéphane Le Bars – 01 40 53 23 19 – s.lebars@spfa-france.fr SPI – Catherine Bertin -– 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org UPC – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – upc@producteurscinema.fr USPA – Jérôme Dechesne – 01 40 53 23 18 – …

27 avril 2018Actus-SPIactus-spi
OFFRE LOCATION CANNES

4 A 4 Productions loue un appartement à Cannes du 15 au 20 Mai ( inclus)

Celui-ci se situe au 27 Boulevard du Général Vautrin ( 5 min à pied de la Semaine de la critique et 8 min à pied de la Quinzaine des Réalisateurs ),
il comporte 4 couchages ( Un lit double et 2 lits simples), une cuisine, une sdb et une terasse, très calme.

Prix : 180€ par jour.

Merci de contacter Barthélémy au 06 98 94 22 66 ou à infos@4a4productions.fr

4 A 4 Productions loue un appartement à Cannes du 15 au 20 Mai ( inclus) Celui-ci se situe au 27 Boulevard du Général Vautrin ( 5 min à pied de la Semaine de la critique et 8 min à pied de la Quinzaine des Réalisateurs ), il comporte 4 couchages ( Un lit double et 2 lits simples), une cuisine, une sdb et une terasse, très calme. Prix : 180€ par jour. Merci de contacter Barthélémy au 06 98 94 22 66 ou à …

26 avril 2018Annoncesannonces
Table Ronde ROC : “Court métrage et festivals, vecteurs essentiels de l’aménagement culturel des territoires

Les festivals et les associations culturelles ont un rôle déterminant dans la découverte par le plus large public des œuvres de court métrage.

Aménagement culturel du territoire, transmission de la culture, rencontre entre le public et les artistes, ce n’est pas sans raison que les festivals constituent le « marché directeur » du court métrage.

Dans un contexte de fragilisation et d’inquiétude pour ces acteurs de terrain, comment penser l’efficacité et la complémentarité des politiques publiques en faveur de l’action culturelle cinématographique ?

Débat modéré par Pierre Gras, enseignant en économie du cinéma à l’Université Paris 8 Saint-Denis.

Intervenants :
· Julie Guégan, chargée de mission diffusion culturelle, Cinémas 93
· Emeric de Lastens, conseiller cinéma à la DRAC Ile-de-France
· Antoine Leclerc, délégué général de Carrefour des festivals
· Eric Wojcik, Sauve qui peut le court métrage, Festival de Clermont-Ferrand

Les festivals et les associations culturelles ont un rôle déterminant dans la découverte par le plus large public des œuvres de court métrage. Aménagement culturel du territoire, transmission de la culture, rencontre entre le public et les artistes, ce n’est pas sans raison que les festivals constituent le « marché directeur » du court métrage. Dans un contexte de fragilisation et d’inquiétude pour ces acteurs de terrain, comment penser l’efficacité et la complémentarité des politiques publiques en faveur de l’action culturelle cinématographique ? Débat modéré par Pierre Gras, enseignant en économie du cinéma à l’Université Paris 8 Saint-Denis. Intervenants : · Julie Guégan, chargée de mission diffusion culturelle, Cinémas 93 · Emeric de Lastens, conseiller cinéma à la DRAC Ile-de-France · Antoine Leclerc, délégué général de Carrefour des festivals · Eric Wojcik, Sauve qui peut le court métrage, Festival de …

24 avril 2018Actus-SPIactus-spi
Table Ronde ROC : “Le court métrage : Incubateur de talents”

Le court métrage est la « tête chercheuse », le secteur « recherche et développement » du cinéma, et, plus largement, de l’audiovisuel et des nouveaux médias. Son économie permet de véritables innovations et expérimentations, en termes visuel, narratif et esthétique.

Le court métrage joue ainsi un véritable rôle d’incubateur de talents. Il permet aux professionnels émergents de faire leurs premières armes, de tester des formes nouvelles et d’irriguer de leurs idées les filières audiovisuelles et cinématographiques.

Producteurs, auteurs, réalisateurs, techniciens, comédiens viendront témoigner de leur expérience et de la place du court métrage dans leur parcours, et réfléchir aux moyens de valoriser davantage le rôle d’incubateur de ce secteur.

Débat modéré par Xavier Leherpeur, journaliste.

Intervenants :
· Lucie Borleteau, réalisatrice
· Sigrid Bouaziz, comédienne
· Marine Jouven, responsable des préachats chez OCS
· Arnaud Gourmelen, responsable de la programmation de Premiers Plans et membre du comité de sélection de la Quinzaine des réalisateurs (sous réserve)
· Jean-Christophe Reymond, producteur, Kazak Productions

Le court métrage est la « tête chercheuse », le secteur « recherche et développement » du cinéma, et, plus largement, de l’audiovisuel et des nouveaux médias. Son économie permet de véritables innovations et expérimentations, en termes visuel, narratif et esthétique. Le court métrage joue ainsi un véritable rôle d’incubateur de talents. Il permet aux professionnels émergents de faire leurs premières armes, de tester des formes nouvelles et d’irriguer de leurs idées les filières audiovisuelles et cinématographiques. Producteurs, auteurs, réalisateurs, techniciens, comédiens viendront témoigner de leur expérience et de la place du court métrage dans leur parcours, et réfléchir aux moyens de valoriser davantage le rôle d’incubateur de ce secteur. Débat modéré par Xavier Leherpeur, journaliste. Intervenants : · Lucie Borleteau, réalisatrice · Sigrid Bouaziz, comédienne · Marine Jouven, responsable des préachats chez OCS · Arnaud Gourmelen, responsable de la programmation de Premiers Plans et membre du comité de sélection de la Quinzaine des réalisateurs (sous réserve) · Jean-Christophe Reymond, producteur, Kazak …

24 avril 2018Actus-SPIactus-spi
Location Appartement Cannes

Bonjour,

Pour le festival de Cannes, nous proposons de partager la location d’un appartement situé Georges Clémenceau (proche du Palais et de la plage)?
La location s’étend sur la période du 07 au 19 mai.

L’appartement se compose de deux chambres, d’un salon et d’une terrase (wifi + TV).

Il a était décidé qu’il serait divisé ainsi :
– Chambre lit double: 150€ la chambre, soit 75€/nuit par personne si louée à deux
– Chambre deux lits simples: 85€/nuit le lit
– Canapé: 75€/nuit
– Matelas (non fourni): 50€/nuit
A savoir qu’il faut apporter vos propres draps et serviettes .

Votre réservation sera payable à l’avance et une facture pourra vous être transmise si besoin.

Pour le moment, le calendrier des réservation se présente ainsi :

Du 11 au 14 : 1 réservation lit simple.

Du 08 au 15 : 1 réservation lit simple.

Du 11 au 15 : 1 réservation canapé.

Soit la chambre avec les deux lits simples complet sur la période du 11 et 14 mai.

Si vous êtes intéressés, vous pouvez nous contacter à l’adresse mail suivante:
c.versal@titaprod.com
ou au 02.98.11.23.70

Cordialement,
Caroline Versal

Bonjour, Pour le festival de Cannes, nous proposons de partager la location d’un appartement situé Georges Clémenceau (proche du Palais et de la plage)? La location s’étend sur la période du 07 au 19 mai. L’appartement se compose de deux chambres, d’un salon et d’une terrase (wifi + TV). Il a était décidé qu’il serait divisé ainsi : – Chambre lit double: 150€ la chambre, soit 75€/nuit par personne si louée à deux – Chambre deux lits simples: 85€/nuit le lit – Canapé: 75€/nuit – Matelas (non fourni): 50€/nuit A savoir qu’il faut apporter vos propres draps et serviettes . Votre réservation sera payable à l’avance et une facture pourra vous être transmise si besoin. Pour le moment, le calendrier des réservation se présente ainsi : Du 11 au 14 : 1 réservation lit simple. Du 08 au 15 : 1 réservation lit simple. Du 11 au 15 : 1 réservation canapé. Soit la chambre avec les deux lits simples complet sur la période du 11 et 14 mai. Si vous êtes intéressés, vous pouvez nous contacter à l’adresse mail suivante: c.versal@titaprod.com ou au 02.98.11.23.70 Cordialement, Caroline …

23 avril 2018Annoncesannonces
BLOC : Agrément de l’offre promotionnelle d’UGC Illimité : En renonçant à sa fonction de régulation, le CNC approuve la perte de valeur des ayants droit

Le BLOC s’insurge de la modification de l’agrément de l’offre UGC illimité, qui autorise la diminution du prix de référence sur lequel est basée la rémunération des ayants droit, alors que selon les éléments à notre disposition, le prix des abonnements est, lui, maintenu (sauf pour les 12 premiers mois des nouveaux abonnements) !

La suppression, en mai 2017 – sans aucune concertation ni information – de la commission d’agrément des formules d’accès illimité au cinéma qui permettait d’associer les ayants droit aux questions de rémunération, se révèle, comme le craignait le BLOC, lourde de conséquences.

Les deux courriers du BLOC au CNC sur cette question, le 13 octobre et le 15 mars, sont restés sans réponse. Cette absence de transparence de la part de l’instance de régulation du secteur ne peut qu’interroger.

Une fois de plus, et comme pour la modification du prix de référence de la formule CinéPass des cinémas Gaumont Pathé aucune concertation n’ayant eu lieu sur ce sujet avec nos organisations, nous découvrons cette décision a posteriori, alors qu’au vu du poids des cartes illimitées dans la structure des entrées des films issus de la filière indépendante, toute modification tarifaire sur le sujet a un impact important sur l’équilibre économique de cette dernière.

Cette décision s’inscrit dans la continuité logique de l’arrêt par le CNC, à la demande de la grande exploitation, des Assises pour la diversité du cinéma, qui devaient entre autres porter sur le partage de valeur.

Nous faisons une nouvelle fois le constat que la filière indépendante, pourtant représentante de la création et de la diversité cinématographique en France, n’est pas écoutée par les pouvoirs publics.

A quand une réelle concertation ? A quand une réelle régulation ?

Ce type de pratiques unilatérales et abusives met en exergue la nécessité d’une régulation de la salle et l’enjeu de conditionner la chronologie de la salle à la signature d’accords professionnels, comme l’a demandé le BLOC dans son courrier à la Ministre.

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Contact presse

Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58

Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 44

Le BLOC s’insurge de la modification de l’agrément de l’offre UGC illimité, qui autorise la diminution du prix de référence sur lequel est basée la rémunération des ayants droit, alors que selon les éléments à notre disposition, le prix des abonnements est, lui, maintenu (sauf pour les 12 premiers mois des nouveaux abonnements) ! La suppression, en mai 2017 – sans aucune concertation ni information – de la commission d’agrément des formules d’accès illimité au cinéma qui permettait d’associer les ayants droit aux questions de rémunération, se révèle, comme le craignait le BLOC, lourde de conséquences. Les deux courriers du BLOC au CNC sur cette question, le 13 octobre et le 15 mars, sont restés sans réponse. Cette absence de transparence de la part de l’instance de régulation du secteur ne peut qu’interroger. Une fois de plus, et comme pour la modification du prix de référence de la formule CinéPass des cinémas Gaumont Pathé aucune concertation n’ayant eu lieu sur ce sujet avec nos organisations, nous découvrons cette décision a posteriori, alors qu’au vu du poids des cartes illimitées dans la structure des entrées des films issus de la filière indépendante, toute modification tarifaire sur le sujet a un impact important sur l’équilibre économique de cette dernière. Cette décision s’inscrit dans la continuité logique de l’arrêt par le CNC, à la demande de la grande exploitation, des Assises pour la diversité du cinéma, qui devaient entre autres porter sur le partage de valeur. Nous faisons une nouvelle fois le constat que la filière indépendante, pourtant représentante de la création et de la diversité cinématographique en France, n’est pas écoutée par les pouvoirs publics. A quand une réelle concertation ? A quand une réelle régulation ? Ce type de pratiques unilatérales et abusives met en exergue la nécessité d’une régulation de la salle et l’enjeu de conditionner la chronologie de la salle à la signature d’accords professionnels, comme l’a demandé le BLOC dans son courrier à la Ministre. _ _ Contact presse Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 …

16 avril 2018Actus-SPIactus-spi
Chronologie des médias : De nombreux professionnels demandent en urgence un rendez-vous à Françoise NYSSEN pour obtenir des mesures contre le piratage

Les organisations professionnelles ACID, API, DIRE, FNCF, FNDF, FICAM, LA GUILDE FRANÇAISE DES SCENARISTES, SDI, SEVN, SPFA, SPI, SRF, UNEVI et les diffuseurs historiques CANAL +, M6 et TF1, rappellent qu’ils ne pourront, sans préjudice d’autres réserves, trouver un accord réformant la chronologie tant que les Pouvoirs Publics ne s’engageront pas à adopter des mesures fortes et concrètes pour mettre fin à la destruction considérable de valeur tenant au piratage massif des oeuvres cinématographiques et de l’ensemble des contenus audiovisuels.

Les signataires soulignent qu’ils ont, ensemble ou séparément, alerté les Pouvoirs Publics non seulement pendant la conduite de la mission D’Hinnin mais également en amont de celle‐ci et, très récemment encore, lors de la remise de son projet.

Aucun de ces appels n’a été pris en compte et le sujet, qui était pourtant un préalable pour la quasi‐totalité des membres de la filière cinématographique et audiovisuelle, n’est à ce jour pas traité.

En conséquence, les signataires demandent instamment à être reçus par la Ministre de la Culture afin d’évaluer avec elle quels engagements pourraient être pris par les Pouvoirs Publics sur cette question majeure
pour l’avenir du cinéma et de l’audiovisuel.

Le 9 avril 2018

Les organisations professionnelles ACID, API, DIRE, FNCF, FNDF, FICAM, LA GUILDE FRANÇAISE DES SCENARISTES, SDI, SEVN, SPFA, SPI, SRF, UNEVI et les diffuseurs historiques CANAL +, M6 et TF1, rappellent qu’ils ne pourront, sans préjudice d’autres réserves, trouver un accord réformant la chronologie tant que les Pouvoirs Publics ne s’engageront pas à adopter des mesures fortes et concrètes pour mettre fin à la destruction considérable de valeur tenant au piratage massif des oeuvres cinématographiques et de l’ensemble des contenus audiovisuels. Les signataires soulignent qu’ils ont, ensemble ou séparément, alerté les Pouvoirs Publics non seulement pendant la conduite de la mission D’Hinnin mais également en amont de celle‐ci et, très récemment encore, lors de la remise de son projet. Aucun de ces appels n’a été pris en compte et le sujet, qui était pourtant un préalable pour la quasi‐totalité des membres de la filière cinématographique et audiovisuelle, n’est à ce jour pas traité. En conséquence, les signataires demandent instamment à être reçus par la Ministre de la Culture afin d’évaluer avec elle quels engagements pourraient être pris par les Pouvoirs Publics sur cette question majeure pour l’avenir du cinéma et de l’audiovisuel. Le 9 avril …

10 avril 2018Actus-SPIactus-spi
Assemblée générale du SPI le 27 mars 2018

Le Syndicat des producteurs indépendants, SPI, tenait son Assemblée générale le 27 mars 2018 à la FEMIS.

A cette occasion, le SPI a adopté de nouveaux statuts, renforçant l’unité et la cohésion syndicales. Le syndicat crée un nouveau collège dédié à l’animation. Ainsi le SPI, fort de ses 420 adhérents, répartis sur tout le territoire français, seul syndicat représentant le cinéma court et long métrage, ainsi que tous les genres audiovisuels, ajoute une nouvelle dimension à sa représentativité syndicale. Cette stratégie de diversification est à l’image des sociétés adhérentes du syndicat, plurielles dans leurs activités, unies dans les mêmes valeurs, réunies dans leur diversité et leur indépendance.

Ont été élus au Comité Directeur (renouvellement partiel) :

– Collège long métrage :

  • Mathieu Bompoint, Mezzanine Films
  • Bertrand Gore, Blue Monday Productions
  • Marie-Ange Luciani, Les Films de Pierre
  • Edouard Mauriat, Mille et une Productions
  • Gilles Sacuto, TS Productions
  • Patrick Sobelman, Agat Films & Cie
  • Marie Masmonteil, Elzevir Films, Présidente du collège long métrage

– Collège court métrage :

  • Anaïs Bertrand, Insolence Productions
  • Jean-Laurent Csinidis, Films de Force Majeure
  • Lionel Massol, Films Grand Huit
  • Laura Townsend, La Ruche Productions
  • Pierre Yves Jourdain, Méroé Films, Président du collège court métrage

– Collège audiovisuel :

  • François Bertrand, Camera Lucida
  • Olivier De Bannes, O2B Films
  • Victor Ede, Cinéphage
  • Valérie Montmartin, Little Big Story
  • Simon Arnal, Haut et court TV, Président du collège audiovisuel
  • Emmanuel Priou, Bonne Pioche, Président du SPI

Le 28 mars 2018

Contact :
Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel 01 44 70 70 44

Le Syndicat des producteurs indépendants, SPI, tenait son Assemblée générale le 27 mars 2018 à la FEMIS. A cette occasion, le SPI a adopté de nouveaux statuts, renforçant l’unité et la cohésion syndicales. Le syndicat crée un nouveau collège dédié à l’animation. Ainsi le SPI, fort de ses 420 adhérents, répartis sur tout le territoire français, seul syndicat représentant le cinéma court et long métrage, ainsi que tous les genres audiovisuels, ajoute une nouvelle dimension à sa représentativité syndicale. Cette stratégie de diversification est à l’image des sociétés adhérentes du syndicat, plurielles dans leurs activités, unies dans les mêmes valeurs, réunies dans leur diversité et leur indépendance. Ont été élus au Comité Directeur (renouvellement partiel) : – Collège long métrage : Mathieu Bompoint, Mezzanine Films Bertrand Gore, Blue Monday Productions Marie-Ange Luciani, Les Films de Pierre Edouard Mauriat, Mille et une Productions Gilles Sacuto, TS Productions Patrick Sobelman, Agat Films & Cie Marie Masmonteil, Elzevir Films, Présidente du collège long métrage – Collège court métrage : Anaïs Bertrand, Insolence Productions Jean-Laurent Csinidis, Films de Force Majeure Lionel Massol, Films Grand Huit Laura Townsend, La Ruche Productions Pierre Yves Jourdain, Méroé Films, Président du collège court métrage – Collège audiovisuel : François Bertrand, Camera Lucida Olivier De Bannes, O2B Films Victor Ede, Cinéphage Valérie Montmartin, Little Big Story Simon Arnal, Haut et court TV, Président du collège audiovisuel Emmanuel Priou, Bonne Pioche, Président du SPI Le 28 mars 2018 Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel 01 44 70 70 …

28 mars 2018Actus-SPIactus-spi
L’indispensable préservation de la diversité culturelle en Europe

La transformation des moyens de production et de diffusion rebat complètement les cartes du financement et de la circulation des oeuvres européennes. Elle remet au premier plan la préservation de la diversité culturelle en Europe, enjeu fondamental du projet de directive en cours d’adoption.

La préservation de la diversité culturelle repose sur un principe vertueux : quiconque tire profit d’un marché audiovisuel doit contribuer au financement d’oeuvres produites dans ce pays. C’est ce qui prévaut dans de nombreux pays européens qui s’appuient sur des systèmes d’obligations d’investissement et/ou taxes alimentant les différents fonds de soutien.

Ce dispositif est le coeur du système permettant d’asseoir le développement d’oeuvres dans les langues nationales, mais aussi d’oeuvres européennes issues de coproductions avec d’autres pays européens. Pour assurer une compétition équitable et une performance optimale, ce principe a vocation à s’appliquer à tous les services qui ciblent un territoire, pas seulement à ceux qui y sont installés. Pour faire en sorte que la loi nationale s’adresse à tous les services audiovisuels qui tirent profit du marché national, il faut que ce soit les règles en vigueur dans le pays ciblé par le service qui s’appliquent.

Une directive européenne en discussion actuellement a déjà permis de dégager un consensus pour rendre ce principe du pays ciblé applicable à tous les services de vidéo à la demande. Des opérateurs comme Netflix ou Amazon, installés hors du territoire, ne pourront alors plus échapper aux dispositifs réglementaires de chaque pays dans lesquels ils proposent leurs services, et le marché sera alors pleinement équitable entre tous les services concurrents. Sur une initiative irlandaise, soutenue avec force par la France, l’idée qu’il fallait étendre ce principe à tous les services de télévision afin de ne pas créer de distorsion de concurrence entre deux types d’opérateurs de plus en plus proches est désormais soutenue par une quinzaine d’États membres.

Mais alors que l’Europe s’apprête par ce texte à faire un pas important pour la défense de la création européenne, d’incroyables résistances au Parlement européen et de la Commission européenne se font sentir quand il s’agit d’assurer le même traitement aux services à la demande et services de télévision. L’extension primordiale du principe du pays ciblé aux chaînes de télévision est loin d’être acquis. Il est pourtant crucial.

Par ailleurs, le contrôle du respect de ce principe de pays ciblé est, à ce stade des discussions, encore aux mains du pays d’origine. En clair, une plateforme basée, par exemple, aux Pays Bas devra donc respecter la réglementation française en matière de contributions à la création, du moment où elle dégage de la valeur grâce aux citoyens/abonnés français ; mais ce sont les Pays-°©‐Bas qui seront en charge de vérifier si ces obligations sont bien remplies. Cela n’a évidemment aucun sens et il s’agit là de garantir l’efficacité même de la Directive.

Les organisations professionnelles alertent sur le grave danger que représenterait un texte qui ne ferait que la moitié du chemin, laissant tout le secteur audiovisuel à la merci de groupes faisant leur marché parmi les dispositifs réglementaires pour s’installer dans le pays le moins disant pour cibler un ou plusieurs autres marchés. Laisser ces brèches pernicieuses dans la loi européenne serait une faute et ne ferait d’abord qu’une victime : la création audiovisuelle européenne. Les efforts français pour convaincre d’adopter cette extension et cette clarification sont à la mesure du rendez-°©‐vous important créé avec ce projet de texte. Les organisations d’auteurs et de producteurs français réunies dans ce communiqué tiennent à rappeler leur soutien total au Gouvernement et aux parlementaires français et à leurs partenaires européens qui font de cette extension un point essentiel du texte envisagé.

La transformation des moyens de production et de diffusion rebat complètement les cartes du financement et de la circulation des oeuvres européennes. Elle remet au premier plan la préservation de la diversité culturelle en Europe, enjeu fondamental du projet de directive en cours d’adoption. La préservation de la diversité culturelle repose sur un principe vertueux : quiconque tire profit d’un marché audiovisuel doit contribuer au financement d’oeuvres produites dans ce pays. C’est ce qui prévaut dans de nombreux pays européens qui s’appuient sur des systèmes d’obligations d’investissement et/ou taxes alimentant les différents fonds de soutien. Ce dispositif est le coeur du système permettant d’asseoir le développement d’oeuvres dans les langues nationales, mais aussi d’oeuvres européennes issues de coproductions avec d’autres pays européens. Pour assurer une compétition équitable et une performance optimale, ce principe a vocation à s’appliquer à tous les services qui ciblent un territoire, pas seulement à ceux qui y sont installés. Pour faire en sorte que la loi nationale s’adresse à tous les services audiovisuels qui tirent profit du marché national, il faut que ce soit les règles en vigueur dans le pays ciblé par le service qui s’appliquent. Une directive européenne en discussion actuellement a déjà permis de dégager un consensus pour rendre ce principe du pays ciblé applicable à tous les services de vidéo à la demande. Des opérateurs comme Netflix ou Amazon, installés hors du territoire, ne pourront alors plus échapper aux dispositifs réglementaires de chaque pays dans lesquels ils proposent leurs services, et le marché sera alors pleinement équitable entre tous les services concurrents. Sur une initiative irlandaise, soutenue avec force par la France, l’idée qu’il fallait étendre ce principe à tous les services de télévision afin de ne pas créer de distorsion de concurrence entre deux types d’opérateurs de plus en plus proches est désormais soutenue par une quinzaine d’États membres. Mais alors que l’Europe s’apprête par ce texte à faire un pas important pour la défense de la création européenne, d’incroyables résistances au Parlement européen et de la Commission européenne se font sentir quand il s’agit d’assurer le même traitement aux services à la demande et services de télévision. L’extension primordiale du principe du pays ciblé aux chaînes de télévision est loin d’être acquis. Il est pourtant crucial. Par ailleurs, le contrôle du respect de ce principe de pays ciblé est, à ce stade des discussions, encore aux mains du pays d’origine. En clair, une plateforme basée, par exemple, aux Pays Bas devra donc respecter la réglementation française en matière de contributions à la création, du moment où elle dégage de la valeur grâce aux citoyens/abonnés français ; mais ce sont les Pays-°©‐Bas qui seront en charge de vérifier si ces obligations sont bien remplies. Cela n’a évidemment aucun sens et il s’agit là de garantir l’efficacité même de la Directive. Les organisations professionnelles alertent sur le grave danger que représenterait un texte qui ne ferait que la moitié du chemin, laissant tout le secteur audiovisuel à la merci de groupes faisant leur marché parmi les dispositifs réglementaires pour s’installer dans le pays le moins disant pour cibler un ou plusieurs autres marchés. Laisser ces brèches pernicieuses dans la loi européenne serait une faute et ne ferait d’abord qu’une victime : la création audiovisuelle européenne. Les efforts français pour convaincre d’adopter cette extension et cette clarification sont à la mesure du rendez-°©‐vous important créé avec ce projet de texte. Les organisations d’auteurs et de producteurs français réunies dans ce communiqué tiennent à rappeler leur soutien total au Gouvernement et aux parlementaires français et à leurs partenaires européens qui font de cette extension un point essentiel du texte …

23 mars 2018Actus-SPIactus-spi
ROC : le court métrage est l’avenir du cinéma et de l’audiovisuel. Protégeons sa production et les acteurs de sa diffusion !

Le ROC (Regroupement des Organisations du Court) a organisé la 4ème édition de sa journée professionnelle, ce jeudi 15 mars 2018 à la Fémis, à l’occasion de la « Fête du court métrage ».

Le ROC tient tout d’abord à remercier la Fémis pour son accueil, Xavier Leherpeur et Pierre Gras pour la modération des tables rondes, l’ensemble des intervenants et le public, mobilisé nombreux chaque année.

* * * * *

La première table ronde de cette journée a permis de rappeler l’importance du court métrage comme « incubateur de talents » pour l’ensemble des filières cinématographique et audiovisuelle. Le court métrage est une étape importante dans la carrière de beaucoup de professionnels ; il leur permet d’affiner leurs compétences, de trouver leur style ; de rencontrer des collaborateurs ; d’inventer de nouvelles formes esthétiques, de nouveaux récits, de nouveaux langages. « C’est un endroit où l’on n’est pas pris par la contrainte, il faut s’emparer de cette liberté, c’est l’occasion de faire les choses différemment », selon Lucie Borleteau (réalisatrice). « Il faut oser être radical dans ses idées, aller jusqu’au bout. L’originalité est la seule manière d’exister dans un marché saturé », selon Jean-Christophe Reymond (producteur, Kazak Productions).

Le court métrage permet de révéler des talents et de repérer très en amont les nouveaux auteurs, comédiens, techniciens et producteurs de demain, comme l’a montré Arnaud Gourmelen (responsable de la programmation du festival Premiers Plans d’Angers). « Le court métrage est un exercice passionnant qui m’a permis d’interpréter 25 rôles différents, d’explorer des genres nouveaux. Le court métrage a été ma plus grande école de cinéma. » a ainsi déclaré Sigrid Bouaziz (comédienne), qui vient de recevoir le prix d’interprétation féminine pour deux films en compétition au Festival de Clermont-Ferrand.

Il est important que cette place déterminante du court métrage dans la filière cinématographique et audiovisuelle soit reconnue à sa juste valeur, et que le court métrage fasse l’objet d’investissements en conséquence. Marine Jouven (responsable des préachats chez OCS) a montré comment la chaine intégrait pleinement le court métrage dans sa réflexion globale sur le cinéma et l’audiovisuel, en accompagnant les auteurs, du court vers le long métrage ou la série. Lors d’une récente plateforme sur la réforme de l’audiovisuel public, le ROC a proposé que 1% des investissements de France Télévisions consacrés à la création patrimoniale soit dédié au court métrage. Par ailleurs, il nous semble primordial que cette dynamique et cette richesse du court métrage, démontrées par l’ensemble des intervenants présents aujourd’hui, soient mieux intégrées dans la stratégie et les pratiques de davantage d’acteurs du financement et de la diffusion, du long métrage, de l’audiovisuel, comme des nouvelles formes d’écriture.

* * * * *

La deuxième table ronde de la journée, consacrée à la diffusion, s’est concentrée plus spécifiquement sur les problématiques actuellement rencontrées par les festivals.

Les festivals ont un rôle déterminant dans la découverte par un large public des œuvres de court métrage. Comme l’avait conceptualisé Alain Rocca dans un rapport sur le secteur en 2006, « le court métrage bénéficie, par le réseau des festivals, d’un véritable dispositif de “marché directeur”. »

Les festivals sont souvent à l’initiative d’actions culturelles et d’éducation à l’image à l’année sur leur territoire, l’événementiel étant ainsi complété par un travail de fond avec le public, les deux se nourrissant naturellement, comme l’a rappelé Eric Wojcik, délégué général de Sauve qui peut le court métrage et du Festival international de Clermont-Ferrand. « Sauve qui peut le court métrage est une association qui porte un événement majeur (le festival et son marché du film) mais également beaucoup de projets à l’année, à Clermont-Ferrand et dans l’ensemble de la région. Nous travaillons l’ensemble des publics : les séniors, le jeune public, les étudiants, les publics empêchés, etc. Le succès du festival (165 000 spectateurs en 2018) s’est construit dans la durée, c’est un travail de très longue haleine. »

Pourtant, les inquiétudes sont actuellement de mise chez ces acteurs de terrain, qui dépendent de politiques culturelles fortes et volontaristes. Antoine Leclerc (délégué général de Carrefour des festivals) a tiré la sonnette d’alarme : « Nous sommes dans un contexte de fragilisation des festivals, alors qu’ils sont un enjeu majeur pour la filière. Les festivals sont le lieu de la détection des talents et de leur rencontre avec un public nombreux. Certains courts métrages ont une durée de vie extrêmement longue, de l’ordre de plusieurs années, notamment portée par les acteurs associatifs. Dans un contexte où les politiques culturelles autour du cinéma se redéfinissent, ce sujet ne doit pas être négligé. Les phénomènes d’érosion du soutien, au niveau des acteurs privés et publics sont pourtant actuellement indéniables. » La réorganisation territoriale, la redistribution des compétences des collectivités, et les nouvelles modalités de soutien de l’Etat insécurisent actuellement le réseau des festivals, et plus largement l’ensemble des acteurs de l’action culturelle.

Comme l’a rappelé Emeric de Lastens (conseiller pour le cinéma et l’audiovisuel à la DRAC Ile-de-France), « l’Etat est très attaché à l’aménagement culturel du territoire par les festivals. Les festivals de court métrage permettent la rencontre entre les créateurs et le public, l’émergence des talents et l’éducation à l’image ; c’est un lieu qui participe de la construction d’un lien social et de la démocratisation culturelle au sens large. » Il nous semble donc nécessaire et urgent de réfléchir à la complémentarité des politiques publiques en faveur de ces acteurs de l’action culturelle cinématographique (que ce soit les festivals ou les autres initiatives comme celles de l’association Cinémas 93 aujourd’hui représentée par Julie Guégan).

Le ROC souhaite par ailleurs qu’un Observatoire de l’action culturelle cinématographique et de la diffusion non commerciale des films soit enfin créé afin de mettre en lumière l’impact indéniable de ces réseaux et son importance pour la création et pour les citoyens. Le ROC est déterminé à faire du soutien aux festivals un de ses chantiers prioritaires pour l’année 2018.

* * * * *

Cette journée du ROC ouvrait avec passion et détermination le volet professionnel de la « Fête du court métrage ». Nous souhaitons une belle semaine et beaucoup de succès aux centaines de films et de talents programmés du 14 au 20 mars, en France et dans le monde, et aux milliers de lieux de projection qui se sont mobilisés pour leur défense et leur découverte.

Le ROC (Regroupement des Organisations du Court) a organisé la 4ème édition de sa journée professionnelle, ce jeudi 15 mars 2018 à la Fémis, à l’occasion de la « Fête du court métrage ». Le ROC tient tout d’abord à remercier la Fémis pour son accueil, Xavier Leherpeur et Pierre Gras pour la modération des tables rondes, l’ensemble des intervenants et le public, mobilisé nombreux chaque année. * * * * * La première table ronde de cette journée a permis de rappeler l’importance du court métrage comme « incubateur de talents » pour l’ensemble des filières cinématographique et audiovisuelle. Le court métrage est une étape importante dans la carrière de beaucoup de professionnels ; il leur permet d’affiner leurs compétences, de trouver leur style ; de rencontrer des collaborateurs ; d’inventer de nouvelles formes esthétiques, de nouveaux récits, de nouveaux langages. « C’est un endroit où l’on n’est pas pris par la contrainte, il faut s’emparer de cette liberté, c’est l’occasion de faire les choses différemment », selon Lucie Borleteau (réalisatrice). « Il faut oser être radical dans ses idées, aller jusqu’au bout. L’originalité est la seule manière d’exister dans un marché saturé », selon Jean-Christophe Reymond (producteur, Kazak Productions). Le court métrage permet de révéler des talents et de repérer très en amont les nouveaux auteurs, comédiens, techniciens et producteurs de demain, comme l’a montré Arnaud Gourmelen (responsable de la programmation du festival Premiers Plans d’Angers). « Le court métrage est un exercice passionnant qui m’a permis d’interpréter 25 rôles différents, d’explorer des genres nouveaux. Le court métrage a été ma plus grande école de cinéma. » a ainsi déclaré Sigrid Bouaziz (comédienne), qui vient de recevoir le prix d’interprétation féminine pour deux films en compétition au Festival de Clermont-Ferrand. Il est important que cette place déterminante du court métrage dans la filière cinématographique et audiovisuelle soit reconnue à sa juste valeur, et que le court métrage fasse l’objet d’investissements en conséquence. Marine Jouven (responsable des préachats chez OCS) a montré comment la chaine intégrait pleinement le court métrage dans sa réflexion globale sur le cinéma et l’audiovisuel, en accompagnant les auteurs, du court vers le long métrage ou la série. Lors d’une récente plateforme sur la réforme de l’audiovisuel public, le ROC a proposé que 1% des investissements de France Télévisions consacrés à la création patrimoniale soit dédié au court métrage. Par ailleurs, il nous semble primordial que cette dynamique et cette richesse du court métrage, démontrées par l’ensemble des intervenants présents aujourd’hui, soient mieux intégrées dans la stratégie et les pratiques de davantage d’acteurs du financement et de la diffusion, du long métrage, de l’audiovisuel, comme des nouvelles formes d’écriture. * * * * * La deuxième table ronde de la journée, consacrée à la diffusion, s’est concentrée plus spécifiquement sur les problématiques actuellement rencontrées par les festivals. Les festivals ont un rôle déterminant dans la découverte par un large public des œuvres de court métrage. Comme l’avait conceptualisé Alain Rocca dans un rapport sur le secteur en 2006, « le court métrage bénéficie, par le réseau des festivals, d’un véritable dispositif de “marché directeur”. » Les festivals sont souvent à l’initiative d’actions culturelles et d’éducation à l’image à l’année sur leur territoire, l’événementiel étant ainsi complété par un travail de fond avec le public, les deux se nourrissant naturellement, comme l’a rappelé Eric Wojcik, délégué général de Sauve qui peut le court métrage et du Festival international de Clermont-Ferrand. « Sauve qui peut le court métrage est une association qui porte un événement majeur (le festival et son marché du film) mais également beaucoup de projets à l’année, à Clermont-Ferrand et dans l’ensemble de la région. Nous travaillons l’ensemble des publics : les séniors, le jeune public, les étudiants, les publics empêchés, etc. Le succès du festival (165 000 spectateurs en 2018) s’est construit dans la durée, c’est un travail de très longue haleine. » Pourtant, les inquiétudes sont actuellement de mise chez ces acteurs de terrain, qui dépendent de politiques culturelles fortes et volontaristes. Antoine Leclerc (délégué général de Carrefour des festivals) a tiré la sonnette d’alarme : « Nous sommes dans un contexte de fragilisation des festivals, alors qu’ils sont un enjeu majeur pour la filière. Les festivals sont le lieu de la détection des talents et de leur rencontre avec un public nombreux. Certains courts métrages ont une durée de vie extrêmement longue, de l’ordre de plusieurs années, notamment portée par les acteurs associatifs. Dans un contexte où les politiques culturelles autour du cinéma se redéfinissent, ce sujet ne doit pas être négligé. Les phénomènes d’érosion du soutien, au niveau des acteurs privés et publics sont pourtant actuellement indéniables. » La réorganisation territoriale, la redistribution des compétences des collectivités, et les nouvelles modalités de soutien de l’Etat insécurisent actuellement le réseau des festivals, et plus largement l’ensemble des acteurs de l’action culturelle. Comme l’a rappelé Emeric de Lastens (conseiller pour le cinéma et l’audiovisuel à la DRAC Ile-de-France), « l’Etat est très attaché à l’aménagement culturel du territoire par les festivals. Les festivals de court métrage permettent la rencontre entre les créateurs et le public, l’émergence des talents et l’éducation à l’image ; c’est un lieu qui participe de la construction d’un lien social et de la démocratisation culturelle au sens large. » Il nous semble donc nécessaire et urgent de réfléchir à la complémentarité des politiques publiques en faveur de ces acteurs de l’action culturelle cinématographique (que ce soit les festivals ou les autres initiatives comme celles de l’association Cinémas 93 aujourd’hui représentée par Julie Guégan). Le ROC souhaite par ailleurs qu’un Observatoire de l’action culturelle cinématographique et de la diffusion non commerciale des films soit enfin créé afin de mettre en lumière l’impact indéniable de ces réseaux et son importance pour la création et pour les citoyens. Le ROC est déterminé à faire du soutien aux festivals un de ses chantiers prioritaires pour l’année 2018. * * * * * Cette journée du ROC ouvrait avec passion et détermination le volet professionnel de la « Fête du court métrage ». Nous souhaitons une belle semaine et beaucoup de succès aux centaines de films et de talents programmés du 14 au 20 mars, en France et dans le monde, et aux milliers de lieux de projection qui se sont mobilisés pour leur défense et leur …

16 mars 2018Actus-SPIactus-spi
ARP-SACD-SRF-SPI-UPC : Les créateurs et les producteurs soutiennent une vraie modernisation de la chronologie des médias

Nous, créateurs et producteurs de cinéma, avons pris connaissance des propositions des Médiateurs, mandatés en octobre dernier par la Ministre de la culture pour parvenir à un accord sur la chronologie des médias.

Nous avons tous participé à cette réflexion collective de façon constructive et en ayant pour objectif une amélioration du financement de la création, avec une réelle exposition du cinéma dans toute sa diversité, un accès aux œuvres sur tout le territoire, pour l’ensemble des spectateurs et sans interruption, et une meilleure intégration des nouveaux usages ainsi que des nouveaux acteurs.

Dans leur proposition « de compromis », les Médiateurs proposent que toutes les fenêtres soient raccourcies, poursuivant un objectif légitime de contraction globale de la chronologie des médias. Ceci est vrai pour l’ensemble des fenêtres, sauf pour la fenêtre salle, qui resterait à 4 mois, alors que 69% des spectateurs estiment que les films restent visibles moins de 3 semaines dans les salles de cinéma et 67% que le délai pertinent entre la sortie en salles et la sortie en VOD doit être de 3 mois maximum*.

Nous sommes favorables à un délai de 3 mois pour tous les films, afin que cette réforme soit la plus lisible possible. En l’état, le 4e mois serait soumis à un élargissement du mécanisme de dérogation actuellement existant et jamais utilisé à ce jour. Les modalités de cette dérogation restent floues et manqueront de clarté pour les usagers. Par ailleurs, le principe d’expérimentations durant cette fenêtre salle est retenu par le médiateur mais il importe que celles-ci soient précisées et garanties.

Une réelle régulation des salles doit être mise en place. Il s’agit de garantir un avenir à la création indépendante, qui se retrouve aujourd’hui étranglée par un décrochage des plus en plus rapide des films, et par des prix prohibitifs imposés par les circuits pour la diffusion de leurs bandes annonces et affiches. Comme tous les acteurs de la diffusion des films, les salles de cinéma doivent avoir des obligations effectives et la valeur créée grâce aux œuvres doit être mieux répartie. Il est notamment inacceptable que les créateurs ne bénéficient aucunement des revenus annexes perçus en salles (publicité et autres revenus perçus grâce aux films projetés).

Par ailleurs, l’avancement des fenêtres de télévision payante et de service de VADA, pour les acteurs les plus vertueux, qui s’engagent à respecter les obligations issues des accords interprofessionnels va en soi dans le sens d’une modernisation. Il conviendra d’aller vers un alignement des modalités de régulation entre services non linéaires et service linéaires, afin de répondre à l’évolution des usages et à la grande mutation numérique mondiale.

Dans cet esprit, l’accord professionnel qui est prévu comme condition de cet avancement doit par ailleurs reposer, pour la 1ère fenêtre payante comme pour la 2nde, sur des règles préalablement établies et formalisées dans l’accord, en termes notamment de modalités d’investissement en préachats, de diversité des œuvres, de pérennité et de respect du droit d’auteur. Nous souhaitons également que la durée des fenêtres reste identique quelle que soit la durée de la fenêtre salle.

De la même manière, et dans la mesure où les engagements seront fixés en minimum garanti par abonné, il faudra clarifier la notion d’« abonné » comme toute personne qui a « accès à l’œuvre », quelle que soit l’offre par laquelle l’œuvre a été mise à disposition du public.

A ce stade, le projet de texte n’a pas pleinement retenu le principe de neutralité technologique aux termes duquel il n’y a plus de distinction entre télévision payante linéaire et plateforme de vidéo à la demande par abonnement. Un alignement des modalités de régulation entre services non linéaires et services linéaires reste un objectif fondamental.

Enfin, la proposition des Médiateurs d’énoncer dans l’accord la nécessité d’un plan déterminé de la part des pouvoirs publics pour intensifier la lutte contre le piratage des films fait l’unanimité et demeure une attente forte des créateurs et des producteurs.

Les résistances et l’inertie de certains acteurs ne doivent pas nous empêcher d’aller de l’avant. Si nous soutiendrons les efforts des Médiateurs pour parvenir à un accord, nous continuerons à défendre une réforme de la chronologie des médias à la hauteur des enjeux liés au financement de la création et à la diffusion des oeuvres.

Nous, créateurs et producteurs de cinéma, avons pris connaissance des propositions des Médiateurs, mandatés en octobre dernier par la Ministre de la culture pour parvenir à un accord sur la chronologie des médias. Nous avons tous participé à cette réflexion collective de façon constructive et en ayant pour objectif une amélioration du financement de la création, avec une réelle exposition du cinéma dans toute sa diversité, un accès aux œuvres sur tout le territoire, pour l’ensemble des spectateurs et sans interruption, et une meilleure intégration des nouveaux usages ainsi que des nouveaux acteurs. Dans leur proposition « de compromis », les Médiateurs proposent que toutes les fenêtres soient raccourcies, poursuivant un objectif légitime de contraction globale de la chronologie des médias. Ceci est vrai pour l’ensemble des fenêtres, sauf pour la fenêtre salle, qui resterait à 4 mois, alors que 69% des spectateurs estiment que les films restent visibles moins de 3 semaines dans les salles de cinéma et 67% que le délai pertinent entre la sortie en salles et la sortie en VOD doit être de 3 mois maximum*. Nous sommes favorables à un délai de 3 mois pour tous les films, afin que cette réforme soit la plus lisible possible. En l’état, le 4e mois serait soumis à un élargissement du mécanisme de dérogation actuellement existant et jamais utilisé à ce jour. Les modalités de cette dérogation restent floues et manqueront de clarté pour les usagers. Par ailleurs, le principe d’expérimentations durant cette fenêtre salle est retenu par le médiateur mais il importe que celles-ci soient précisées et garanties. Une réelle régulation des salles doit être mise en place. Il s’agit de garantir un avenir à la création indépendante, qui se retrouve aujourd’hui étranglée par un décrochage des plus en plus rapide des films, et par des prix prohibitifs imposés par les circuits pour la diffusion de leurs bandes annonces et affiches. Comme tous les acteurs de la diffusion des films, les salles de cinéma doivent avoir des obligations effectives et la valeur créée grâce aux œuvres doit être mieux répartie. Il est notamment inacceptable que les créateurs ne bénéficient aucunement des revenus annexes perçus en salles (publicité et autres revenus perçus grâce aux films projetés). Par ailleurs, l’avancement des fenêtres de télévision payante et de service de VADA, pour les acteurs les plus vertueux, qui s’engagent à respecter les obligations issues des accords interprofessionnels va en soi dans le sens d’une modernisation. Il conviendra d’aller vers un alignement des modalités de régulation entre services non linéaires et service linéaires, afin de répondre à l’évolution des usages et à la grande mutation numérique mondiale. Dans cet esprit, l’accord professionnel qui est prévu comme condition de cet avancement doit par ailleurs reposer, pour la 1ère fenêtre payante comme pour la 2nde, sur des règles préalablement établies et formalisées dans l’accord, en termes notamment de modalités d’investissement en préachats, de diversité des œuvres, de pérennité et de respect du droit d’auteur. Nous souhaitons également que la durée des fenêtres reste identique quelle que soit la durée de la fenêtre salle. De la même manière, et dans la mesure où les engagements seront fixés en minimum garanti par abonné, il faudra clarifier la notion d’« abonné » comme toute personne qui a « accès à l’œuvre », quelle que soit l’offre par laquelle l’œuvre a été mise à disposition du public. A ce stade, le projet de texte n’a pas pleinement retenu le principe de neutralité technologique aux termes duquel il n’y a plus de distinction entre télévision payante linéaire et plateforme de vidéo à la demande par abonnement. Un alignement des modalités de régulation entre services non linéaires et services linéaires reste un objectif fondamental. Enfin, la proposition des Médiateurs d’énoncer dans l’accord la nécessité d’un plan déterminé de la part des pouvoirs publics pour intensifier la lutte contre le piratage des films fait l’unanimité et demeure une attente forte des créateurs et des producteurs. Les résistances et l’inertie de certains acteurs ne doivent pas nous empêcher d’aller de l’avant. Si nous soutiendrons les efforts des Médiateurs pour parvenir à un accord, nous continuerons à défendre une réforme de la chronologie des médias à la hauteur des enjeux liés au financement de la création et à la diffusion des …

14 mars 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour les Prix obtenus à l’occasion des Césars 2018

Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour les Prix obtenus à l’occasion des Césars 2018 :

120 battements par minute, de Robin Campillo, produit par Les Films de Pierre

– Meilleur film

– Meilleur montage

– Meilleure musique originale

– Meilleur scénario original

– Meilleur espoir masculin

– Meilleure acteur dans un second rôle

Faute d’amour d’Andreï Zviaguintsev, produit par Why Not Productions

– Meilleur film étranger

I am not your negro de Raoul Peck, produit par Velvet Film

– Meilleur documentaire

Pépé le Morse de Lucrèce Andreae, produit par Caïmans Productions

– Meilleur film d’animation – catégorie court métrage

Les bigorneaux de Alice Vial, produit par Les Films du Cygne

– Meilleur court métrage

Paris, le 5 mars 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour les Prix obtenus à l’occasion des Césars 2018 : 120 battements par minute, de Robin Campillo, produit par Les Films de Pierre – Meilleur film – Meilleur montage – Meilleure musique originale – Meilleur scénario original – Meilleur espoir masculin – Meilleure acteur dans un second rôle Faute d’amour d’Andreï Zviaguintsev, produit par Why Not Productions – Meilleur film étranger I am not your negro de Raoul Peck, produit par Velvet Film – Meilleur documentaire Pépé le Morse de Lucrèce Andreae, produit par Caïmans Productions – Meilleur film d’animation – catégorie court métrage Les bigorneaux de Alice Vial, produit par Les Films du Cygne – Meilleur court métrage Paris, le 5 mars 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

5 mars 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI salue l’attribution du prix Toscan-du-Plantier 2018 à Marie-Ange Luciani et Hugues Charbonneau (Les Films de Pierre)

Le SPI salue l’attribution du Prix Toscan-du-Plantier 2018 à :

Marie-Ange Luciani et Hugues Charbonneau

Les Films de Pierre.

Ce Prix salue le travail de producteurs indépendants qui chaque jour mettent l’accompagnement des auteurs et l’ambition artistique des projets au cœur de leurs préoccupations.

Il récompense un engagement envers la création, et notamment le film ” 120 battements par Minute “, de Robin Campillo, film d’une rare intensité, empreint de militantisme, qui a su parfaitement mêler destins individuels et grande histoire.

Ces producteurs honorent notre syndicat : le dynamisme du cinéma français passe par son tissu de producteurs indépendants, qui fédèrent les talents et les énergies, tant au profit des premiers films que de cinéastes reconnus internationalement, et participent ainsi au rayonnement de notre art cinématographique en France et dans le monde.

Paris, le 28 Février 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le SPI salue l’attribution du Prix Toscan-du-Plantier 2018 à : Marie-Ange Luciani et Hugues Charbonneau Les Films de Pierre. Ce Prix salue le travail de producteurs indépendants qui chaque jour mettent l’accompagnement des auteurs et l’ambition artistique des projets au cœur de leurs préoccupations. Il récompense un engagement envers la création, et notamment le film ” 120 battements par Minute “, de Robin Campillo, film d’une rare intensité, empreint de militantisme, qui a su parfaitement mêler destins individuels et grande histoire. Ces producteurs honorent notre syndicat : le dynamisme du cinéma français passe par son tissu de producteurs indépendants, qui fédèrent les talents et les énergies, tant au profit des premiers films que de cinéastes reconnus internationalement, et participent ainsi au rayonnement de notre art cinématographique en France et dans le monde. Paris, le 28 Février 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

1 mars 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI salue l’attribution de L’Ours d’Or et du Prix du meilleur premier film à “Touch Me Not” de Adina Pintilie produit par Les Films de l’Etranger

A l’occasion du 68ème Festival de Berlin, le SPI salue chaleureusement l’attribution de :

L’Ours d’Or

et du

Prix du meilleur premier film

au film :

Touch Me Not

de Adina Pintilie

produit par Les Films de l’Etranger – Philippe Avril

Ces Prix récompensent le travail des producteurs français qui, dans le cadre de coproductions internationales, accompagnent les cinéastes du monde entier et fédèrent les compétences pour porter des projets artistiquement ambitieux.

Alors que les enjeux européens sont au cœur des questions de régulation de notre secteur, ces prix démontrent que l’Europe de la culture se construit par l’investissement des producteurs français, qui démontrent chaque jour les vertus de notre système de soutien.

Paris, le 27 Février 2018

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

A l’occasion du 68ème Festival de Berlin, le SPI salue chaleureusement l’attribution de : L’Ours d’Or et du Prix du meilleur premier film au film : Touch Me Not de Adina Pintilie produit par Les Films de l’Etranger – Philippe Avril Ces Prix récompensent le travail des producteurs français qui, dans le cadre de coproductions internationales, accompagnent les cinéastes du monde entier et fédèrent les compétences pour porter des projets artistiquement ambitieux. Alors que les enjeux européens sont au cœur des questions de régulation de notre secteur, ces prix démontrent que l’Europe de la culture se construit par l’investissement des producteurs français, qui démontrent chaque jour les vertus de notre système de soutien. Paris, le 27 Février 2018 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

27 février 2018Actus-SPIactus-spi
Sélection “Un peu après minuit”

Sélection “Un peu après minuit” de Jean-Raymond Garcia & Anne-Marie Puga au Festival International du Film de Femmes de Créteil

Sélection “Un peu après minuit” de Jean-Raymond Garcia & Anne-Marie Puga au Festival International du Film de Femmes de …

27 février 2018Actus-Adhérentsactus-adherents
Le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs Prix remportés : Au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2018 et au 15ème Festival International du film documentaire océanien (FIFO)

Au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon :

Dans la catégorie ” FICTION ”

PRIX DE LA MEILLEURE FICTION UNITAIRE

PRIX DU MEILLEUR SCENARIO pour Gaëlle BELLAN

PRIX DE LA MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE pour Nathaniel MECHALY

” Le temps des égarés “ de Virginie SAUVEUR

Caroline ADRIAN – DELANTE PRODUCTIONS

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PRIX DE LA MEILLEURE INTERPRETATION FEMININE pour Elsa LUNGHINI

PRIX DU PUBLIC DE LA MEILLEURE FICTION UNITAIRE

” Parole contre parole ” de Didier BIVEL

Sophie DELOCHE – ASTHARTÉ & COMPAGNIE

***

PRIX DU PUBLIC DU MEILLEUR PROGRAMME COURT TV

” Vestiaire “ de Vincent BURGEVIN, Fabrice CHANUT et Franck LEBON

Sophie DELOCHE – ASTHARTÉ & COMPAGNIE et Philippe BRAUNSTEIN – LES FILMS D’AVALON

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PRIX DE LA MEILLEURE SERIE / MINI-SERIE / COLLECTION

” Fiertés ” de Philippe FAUCON

Cyrille PEREZ, Gilles PEREZ et Chantal FISCHER – 13 PRODUCTIONS et Joëy FARE – SCARLETT PRODUCTION

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Dans la catégorie ” DOCUMENTAIRE ”

PRIX DU JURY

” Itinéraire d’un enfant placé ” de Ketty RIOS PALMA

Mélissa THEURIAU – 416 PRODUCTIONS

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MENTION SPECIALE

” 39-45 : La guerre des enfants “ de Julien JOHAN

Jean LABIB et Fanny GLISSANT – COMPAGNIE DES PHARES et BALISES

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PRIX DU PUBLIC DU MEILLEUR DOCUMENTAIRE

” 39-45 : La guerre des enfants “ de Julien JOHAN

Jean LABIB et Fanny GLISSANT – COMPAGNIE DES PHARES et BALISES

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*****************

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Au FIFO :

PRIX DU PUBLIC

” Frères des arbres, l’appel d’un chef papou ” de Marc DOZIER et Luc MARESCOT

Muriel BARA – LATO SENSU PRODUCTIONS

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3ème PRIX SPECIAL DU JURY

” Pouvana’a, ni haine ni rancune ” de Jacques NAVARRO-ROVIRA

Hervé BOITELLE – BLEU LAGON PRODUCTIONS

Le 12 février 2018

Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel 01 44 70 70 44

Au Festival des Créations Télévisuelles de Luchon : Dans la catégorie ” FICTION ” PRIX DE LA MEILLEURE FICTION UNITAIRE PRIX DU MEILLEUR SCENARIO pour Gaëlle BELLAN PRIX DE LA MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE pour Nathaniel MECHALY ” Le temps des égarés “ de Virginie SAUVEUR Caroline ADRIAN – DELANTE PRODUCTIONS *** *** PRIX DE LA MEILLEURE INTERPRETATION FEMININE pour Elsa LUNGHINI PRIX DU PUBLIC DE LA MEILLEURE FICTION UNITAIRE ” Parole contre parole ” de Didier BIVEL Sophie DELOCHE – ASTHARTÉ & COMPAGNIE *** PRIX DU PUBLIC DU MEILLEUR PROGRAMME COURT TV ” Vestiaire “ de Vincent BURGEVIN, Fabrice CHANUT et Franck LEBON Sophie DELOCHE – ASTHARTÉ & COMPAGNIE et Philippe BRAUNSTEIN – LES FILMS D’AVALON *** PRIX DE LA MEILLEURE SERIE / MINI-SERIE / COLLECTION ” Fiertés ” de Philippe FAUCON Cyrille PEREZ, Gilles PEREZ et Chantal FISCHER – 13 PRODUCTIONS et Joëy FARE – SCARLETT PRODUCTION *** Dans la catégorie ” DOCUMENTAIRE ” PRIX DU JURY ” Itinéraire d’un enfant placé ” de Ketty RIOS PALMA Mélissa THEURIAU – 416 PRODUCTIONS *** MENTION SPECIALE ” 39-45 : La guerre des enfants “ de Julien JOHAN Jean LABIB et Fanny GLISSANT – COMPAGNIE DES PHARES et BALISES *** PRIX DU PUBLIC DU MEILLEUR DOCUMENTAIRE ” 39-45 : La guerre des enfants “ de Julien JOHAN Jean LABIB et Fanny GLISSANT – COMPAGNIE DES PHARES et BALISES *** ***************** *** Au FIFO : PRIX DU PUBLIC ” Frères des arbres, l’appel d’un chef papou ” de Marc DOZIER et Luc MARESCOT Muriel BARA – LATO SENSU PRODUCTIONS *** 3ème PRIX SPECIAL DU JURY ” Pouvana’a, ni haine ni rancune ” de Jacques NAVARRO-ROVIRA Hervé BOITELLE – BLEU LAGON PRODUCTIONS Le 12 février 2018 Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel 01 44 70 70 …

13 février 2018Actus-SPIactus-spi
Prix Festival Clermont 2018

A l’occasion du 40e Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix :

* 22ème Prix Producteur de Court Métrage de la Procirep :

Caïmans Productions – Jérôme Barthelemy & Daniel Sauvage

* Prix Spécial du Jury :

” Vihta “ de François Bierry produit par Offshore – Fabrice Preel-Cléach

* Prix du Public :

” Les Indes galantes “ de Clément Cogitore produit par L.F.P. Les Films Pelleas – Dimitri Krassoulia

* Prix de la meilleure musique originale (SACEM) :

” Braguino “ de Clément Cogitore produit par Seppia Film – Cedric Bonin

* Prix SACD de la Meilleure 1ère Œuvre de Fiction :

” Pourquoi j’ai écrit la Bible “ de Alexandre Steiger produit par 10:15 Productions – Sébastien Haguenauer

* Mention Spécial du Jury :

” Master of the Classe “ de Carine May & Hakim Zouhani produit par Kazak Productions – Amaury Ovise & Jean-Christophe Reymond

* Mention du Jury Télérama :

” Les Indes galantes “ de Clément Cogitore produit par L.F.P. Les Films Pelleas – Dimitri Krassoulia

* Prix Etudiant de la Jeunesse :

” Gros chagrin “ de Céline Devaux produit par Sacrebleu Productions – Ron Dyens

* Mention spéciale du jury SACD 1ère œuvre de fiction SACD :

” Junk love “ de Jonathan Rochart produit par Chevaldeuxtrois – Jéremy Forni

A l’occasion de ce 40ème Festival de Clermont Ferrand, le SPI et la SRF ont présenté un ” Guide de recommandations sur les relations réalisateur-trice / producteur-trice de courts métrages ” le mercredi 7 février dans la salle de conférence du Marché du Film Court.

Puis, le jeudi 8 février, un déjeuner a été organisé, permettant aux producteurs adhérents de rencontrer les représentants des chaînes de télévision et des collectivités territoriales. Enfin, le bureau court métrage du SPI a animé une réunion ouverte à tous les producteurs présents sur les enjeux actuels de la production de courts métrages.

Le SPI remercie chaleureusement le Festival de Clermont-Ferrand pour son accueil, et la qualité de son organisation.

Paris, le 12 Février 2018.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

A l’occasion du 40e Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix : * 22ème Prix Producteur de Court Métrage de la Procirep : Caïmans Productions – Jérôme Barthelemy & Daniel Sauvage * Prix Spécial du Jury : ” Vihta “ de François Bierry produit par Offshore – Fabrice Preel-Cléach * Prix du Public : ” Les Indes galantes “ de Clément Cogitore produit par L.F.P. Les Films Pelleas – Dimitri Krassoulia * Prix de la meilleure musique originale (SACEM) : ” Braguino “ de Clément Cogitore produit par Seppia Film – Cedric Bonin * Prix SACD de la Meilleure 1ère Œuvre de Fiction : ” Pourquoi j’ai écrit la Bible “ de Alexandre Steiger produit par 10:15 Productions – Sébastien Haguenauer * Mention Spécial du Jury : ” Master of the Classe “ de Carine May & Hakim Zouhani produit par Kazak Productions – Amaury Ovise & Jean-Christophe Reymond * Mention du Jury Télérama : ” Les Indes galantes “ de Clément Cogitore produit par L.F.P. Les Films Pelleas – Dimitri Krassoulia * Prix Etudiant de la Jeunesse : ” Gros chagrin “ de Céline Devaux produit par Sacrebleu Productions – Ron Dyens * Mention spéciale du jury SACD 1ère œuvre de fiction SACD : ” Junk love “ de Jonathan Rochart produit par Chevaldeuxtrois – Jéremy Forni A l’occasion de ce 40ème Festival de Clermont Ferrand, le SPI et la SRF ont présenté un ” Guide de recommandations sur les relations réalisateur-trice / producteur-trice de courts métrages ” le mercredi 7 février dans la salle de conférence du Marché du Film Court. Puis, le jeudi 8 février, un déjeuner a été organisé, permettant aux producteurs adhérents de rencontrer les représentants des chaînes de télévision et des collectivités territoriales. Enfin, le bureau court métrage du SPI a animé une réunion ouverte à tous les producteurs présents sur les enjeux actuels de la production de courts métrages. Le SPI remercie chaleureusement le Festival de Clermont-Ferrand pour son accueil, et la qualité de son organisation. Paris, le 12 Février 2018. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

12 février 2018Actus-SPIactus-spi
SPI/SRF : Lancement du ” Guide de recommandations sur les relations entre réalisateur-trice et producteur-trice de courts métrages “.

_ La production d’un court métrage est une expérience au long cours pendant laquelle le réalisateur et le producteur s’engagent mutuellement pour plusieurs années afin de voir aboutir le film.

Cependant, les professionnels du court métrage ne disposent pas toujours de l’expérience nécessaire pour appréhender les enjeux de ce moment décisif dans leur carrière, et notamment la construction d’une relation de long terme entre un réalisateur et un producteur.

C’est pourquoi, le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants) et la SRF (Société des Réalisateurs de Films) ont établi un “Guide de recommandations sur les relations entre réalisateur-trice et producteur-trice de courts métrages”.

Dans le prolongement de la mission d’information portée par ces organisations, ce guide aborde les différentes questions susceptibles de se poser dans la relation entre un réalisateur et un producteur, tout au long du processus de développement, de recherche de financement, de fabrication et de diffusion. Cet outil rappelle en outre les différentes obligations légales, et formule quelques conseils.

Ce guide (ci-joint) a été présenté à l’occasion du 40ème Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, devant une salle enthousiaste et est désormais disponible sur les sites du SPI et de la SRF.

Contact presse :

SRF – Société des Réalisateurs de Films – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 70

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – Cyril Smet – 01 44 70 70 44

_ La production d’un court métrage est une expérience au long cours pendant laquelle le réalisateur et le producteur s’engagent mutuellement pour plusieurs années afin de voir aboutir le film. Cependant, les professionnels du court métrage ne disposent pas toujours de l’expérience nécessaire pour appréhender les enjeux de ce moment décisif dans leur carrière, et notamment la construction d’une relation de long terme entre un réalisateur et un producteur. C’est pourquoi, le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants) et la SRF (Société des Réalisateurs de Films) ont établi un “Guide de recommandations sur les relations entre réalisateur-trice et producteur-trice de courts métrages”. Dans le prolongement de la mission d’information portée par ces organisations, ce guide aborde les différentes questions susceptibles de se poser dans la relation entre un réalisateur et un producteur, tout au long du processus de développement, de recherche de financement, de fabrication et de diffusion. Cet outil rappelle en outre les différentes obligations légales, et formule quelques conseils. Ce guide (ci-joint) a été présenté à l’occasion du 40ème Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, devant une salle enthousiaste et est désormais disponible sur les sites du SPI et de la SRF. Contact presse : SRF – Société des Réalisateurs de Films – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 70 SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – Cyril Smet – 01 44 70 70 …

8 février 2018Actus-SPIactus-spi
ROC : Lettre ouverte au Président de la République : Faire du court métrage un acteur du renouvellement de l’audiovisuel public !

_ Monsieur le Président de la République,

Au moment où les réflexions sur l’avenir de l’audiovisuel public occupent tous les esprits, une question ne nous semble pas suffisamment abordée : quelle place sera donnée à la création dans cette réforme ambitieuse ?

Il est, selon nous, primordial qu’une véritable stratégie en faveur d’une création de qualité soit développée et que le service public de l’audiovisuel soit le lieu central de la rencontre des créateurs et des publics.

L’audiovisuel public doit parier sur la diversité, la créativité, le dynamisme et l’audace de la jeunesse. La place réservée au court métrage doit donc être centrale dans le futur audiovisuel public.

Le court métrage est une œuvre de moins de 60 minutes. Ce territoire d’expérimentation produit chaque année les œuvres les plus originales, les plus libres et les plus inventives du paysage audiovisuel et cinématographique. Il est aussi un lieu de l’émergence des jeunes talents. Il n’est pour l’heure présent qu’à travers 2 émissions diffusées après minuit sur les antennes de France Télévisions.

Aujourd’hui, investir dans le court métrage, c’est changer le rapport du service public à la jeune génération.

Le court métrage est la « tête chercheuse », le secteur « recherche et développement » du cinéma, et, plus largement, de l’audiovisuel et des nouveaux médias. Son économie permet de véritables innovations et expérimentations, en termes visuel, narratif et esthétique.

Le court métrage joue ainsi un véritable rôle d’incubateur de talents. Il permet aux jeunes professionnels – auteurs, artistes, producteurs, techniciens – de faire leurs premières armes, de tester des formes nouvelles et d’irriguer de leurs idées les filières audiovisuelles et cinématographiques.

En termes d’audience, il permet, dans un effet miroir, de rajeunir l’age moyen des téléspectateurs, comme l’illustre la jeunesse du public qui se presse dans les salles bondées des festivals de Clermont Ferrand, d’Annecy ou de dizaines d’autres festivals en France.

Par sa durée, il s’adapte parfaitement aux nouveaux usages du public en termes de visionnage des œuvres, notamment sur les plateformes délinéarisées. Le court métrage permet ainsi de conquérir de nouveaux publics, qui tendent de plus en plus à s’éloigner de la diffusion linéaire des œuvres.

Anne Bennet écrivait, dans son rapport sur le court métrage en novembre 2015 : « dans un paysage audiovisuel et cinématographique extrêmement mouvant, le court métrage est un segment qui nécessite une attention particulière, tant du fait de sa fragilité économique, que parce qu’il est un vecteur essentiel du renouvellement des talents et du tissus productif de la filière. »

La reconnaissance du court métrage sur France Télévisions, que ce soit à l’antenne ou en télévision de rattrapage, nous apparaît donc comme une priorité.

Elle permettra à l’audiovisuel public de se démarquer fortement des autres télévisions, en pariant sur l’excellence, l’intelligence, le dynamisme et le talent.

Nous sommes prêts à vous rencontrer, ainsi que les équipes de France Télévisions, pour vous présenter nos propositions concrètes sur le sujet. Certains qu’elles retiendront votre attention, nous vous adressons, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre haute considération.

Le ROC

Le ROC rassemble l’AFCA, l’Agence du court métrage, Carrefour des festivals, la Maison du film, Sauve qui peut le court métrage, le SFA-CGT, le SPI, la SRF, et s’attache à garantir la pérennité et la diversité de la création et de la production des œuvres de format court, notamment en termes de financement et de diffusion.

Pièce jointe : Plateforme de propositions sur la réforme de l’audiovisuel public

Contacts presse :

SPI – Cyril Smet – 01 44 70 70 44

SRF – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 70

_ Monsieur le Président de la République, Au moment où les réflexions sur l’avenir de l’audiovisuel public occupent tous les esprits, une question ne nous semble pas suffisamment abordée : quelle place sera donnée à la création dans cette réforme ambitieuse ? Il est, selon nous, primordial qu’une véritable stratégie en faveur d’une création de qualité soit développée et que le service public de l’audiovisuel soit le lieu central de la rencontre des créateurs et des publics. L’audiovisuel public doit parier sur la diversité, la créativité, le dynamisme et l’audace de la jeunesse. La place réservée au court métrage doit donc être centrale dans le futur audiovisuel public. Le court métrage est une œuvre de moins de 60 minutes. Ce territoire d’expérimentation produit chaque année les œuvres les plus originales, les plus libres et les plus inventives du paysage audiovisuel et cinématographique. Il est aussi un lieu de l’émergence des jeunes talents. Il n’est pour l’heure présent qu’à travers 2 émissions diffusées après minuit sur les antennes de France Télévisions. Aujourd’hui, investir dans le court métrage, c’est changer le rapport du service public à la jeune génération. Le court métrage est la « tête chercheuse », le secteur « recherche et développement » du cinéma, et, plus largement, de l’audiovisuel et des nouveaux médias. Son économie permet de véritables innovations et expérimentations, en termes visuel, narratif et esthétique. Le court métrage joue ainsi un véritable rôle d’incubateur de talents. Il permet aux jeunes professionnels – auteurs, artistes, producteurs, techniciens – de faire leurs premières armes, de tester des formes nouvelles et d’irriguer de leurs idées les filières audiovisuelles et cinématographiques. En termes d’audience, il permet, dans un effet miroir, de rajeunir l’age moyen des téléspectateurs, comme l’illustre la jeunesse du public qui se presse dans les salles bondées des festivals de Clermont Ferrand, d’Annecy ou de dizaines d’autres festivals en France. Par sa durée, il s’adapte parfaitement aux nouveaux usages du public en termes de visionnage des œuvres, notamment sur les plateformes délinéarisées. Le court métrage permet ainsi de conquérir de nouveaux publics, qui tendent de plus en plus à s’éloigner de la diffusion linéaire des œuvres. Anne Bennet écrivait, dans son rapport sur le court métrage en novembre 2015 : « dans un paysage audiovisuel et cinématographique extrêmement mouvant, le court métrage est un segment qui nécessite une attention particulière, tant du fait de sa fragilité économique, que parce qu’il est un vecteur essentiel du renouvellement des talents et du tissus productif de la filière. » La reconnaissance du court métrage sur France Télévisions, que ce soit à l’antenne ou en télévision de rattrapage, nous apparaît donc comme une priorité. Elle permettra à l’audiovisuel public de se démarquer fortement des autres télévisions, en pariant sur l’excellence, l’intelligence, le dynamisme et le talent. Nous sommes prêts à vous rencontrer, ainsi que les équipes de France Télévisions, pour vous présenter nos propositions concrètes sur le sujet. Certains qu’elles retiendront votre attention, nous vous adressons, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre haute considération. Le ROC Le ROC rassemble l’AFCA, l’Agence du court métrage, Carrefour des festivals, la Maison du film, Sauve qui peut le court métrage, le SFA-CGT, le SPI, la SRF, et s’attache à garantir la pérennité et la diversité de la création et de la production des œuvres de format court, notamment en termes de financement et de diffusion. Pièce jointe : Plateforme de propositions sur la réforme de l’audiovisuel public Contacts presse : SPI – Cyril Smet – 01 44 70 70 44 SRF – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 …

5 février 2018Actus-SPIactus-spi
Direction transverse de la fiction de France Télévisions : vives inquiétudes des auteurs et des producteurs

France Télévisions a annoncé mardi 30 janvier par voie de communiqué de presse la prochaine création d’une direction transverse de la fiction.

Le Groupe 25 Images, la Guilde des Scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA prennent acte de cette annonce mais s’étonnent que cette organisation, déjà mise en œuvre au sein du service public en 2008-2009 et qui s’était conclue par un échec cuisant, retrouve grâce aujourd’hui aux yeux des dirigeants de France Télévisions. Lors de sa mise en place, celle-ci s’était traduite par un allongement démesuré des prises de décision, une déresponsabilisation dangereuse de tous les interlocuteurs des producteurs et des auteurs et au final, une contraction de la diversité néfaste pour les créateurs comme pour le public.

Les organisations d’auteurs et de producteurs sont convaincues que, dans le cadre de ses missions de service public et de la réforme annoncée par le gouvernement, France Télévisions doit renforcer son rôle et sa responsabilité dans le financement, la diffusion et la promotion d’une création française diversifiée pour assurer une réelle différenciation vis-à-vis de la télévision commerciale et pour la faire rayonner dans un marché international en pleine effervescence.

C’est d’ailleurs dans cet objectif que le Groupe 25 Images, la Guilde des Scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA appellent depuis plusieurs années à une nouvelle politique de la fiction pour :
” augmenter de façon importante le volume de production de la fiction française, afin de se rapprocher des standards des grands pays européens ;
” renforcer l’investissement dans l’écriture ;
” lutter contre l’uniformité en accroissant fortement la diversité des genres, des cases et des formats et en développant des fictions pour tous les publics et pour tous les écrans.

France Télévisions a, par sa nature et par ses missions, un rôle moteur à jouer dans cette ambition collective.
En revanche, il est à craindre que la réforme structurelle envisagée, extrêmement centralisatrice, ne soit absolument pas la réponse adéquate aux défis qui se posent à la fiction. Si elle a retrouvé le chemin du succès depuis quelques années, elle doit encore poursuivre dans la voie du renouvellement, de la créativité, de la diversité et s’affranchir d’une logique éditoriale qui subit les impératifs d’audience auprès des publics les plus âgés.

Vouloir assurer, comme le souligne France Télévisions ” une plus grande complémentarité des offres et une accélération du renouveau du genre ” ne trouvera pas non plus de réponse dans une simple réforme de structure.

Au contraire, les réformes organisationnelles qui se sont succédé dans le service public ont toujours produit les mêmes conséquences négatives pour la création audiovisuelle : un arrêt complet de l’activité pendant plusieurs mois, des abandons de projets en cascade, des appels d’offres pour de nouvelles cases qui finissent par être abandonnés en rase campagne.

Aussi, dans un contexte déjà marqué par des annonces négatives pour le financement de la création audiovisuelle, dont le budget a été amputé de 10 millions d’euros par France Télévisions en 2018, malgré l’engagement du gouvernement en faveur du maintien des ressources affectées à la création, le Groupe 25 Images, la Guilde des Scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA interpellent France Télévisions et les pouvoirs publics.

Il est en effet essentiel que le groupe public puisse apporter des réponses urgentes et précises afin de garantir le maintien et le renforcement d’une politique de la fiction qui doit être un outil en faveur de la diversité, de l’innovation et de l’audace, tant pour les antennes hertziennes que pour le numérique où tout est à faire.

Au-delà, les organisations d’auteurs et de producteurs, qui attendent un plan d’envergure pour la fiction et la création patrimoniale française, s’interrogent sur la cohérence et la rapidité de cette réorganisation aussi stratégique pour France Télévisions et pour la création.

Alors qu’une réforme de grande ampleur de l’audiovisuel public, et notamment de son organisation et de sa gouvernance, fera l’objet de décisions prochaines de la part du gouvernement et du Parlement, il y a nécessité à ce que toutes les questions relevant de l’organisation du service public soient traitées en même temps.

***

Contacts presse :

La Guilde des scénaristes : Marie Barraco- 06 52 81 60 37 – marie@kandimari.com

Le Groupe 25 images : Michaël Morlon – 06 60 45 65 69- morlon.michael@gmail.com

SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr

SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

USPA : Stéphane Le Bars – 06 60 23 53 96 – s.lebars@uspa.fr

France Télévisions a annoncé mardi 30 janvier par voie de communiqué de presse la prochaine création d’une direction transverse de la fiction. Le Groupe 25 Images, la Guilde des Scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA prennent acte de cette annonce mais s’étonnent que cette organisation, déjà mise en œuvre au sein du service public en 2008-2009 et qui s’était conclue par un échec cuisant, retrouve grâce aujourd’hui aux yeux des dirigeants de France Télévisions. Lors de sa mise en place, celle-ci s’était traduite par un allongement démesuré des prises de décision, une déresponsabilisation dangereuse de tous les interlocuteurs des producteurs et des auteurs et au final, une contraction de la diversité néfaste pour les créateurs comme pour le public. Les organisations d’auteurs et de producteurs sont convaincues que, dans le cadre de ses missions de service public et de la réforme annoncée par le gouvernement, France Télévisions doit renforcer son rôle et sa responsabilité dans le financement, la diffusion et la promotion d’une création française diversifiée pour assurer une réelle différenciation vis-à-vis de la télévision commerciale et pour la faire rayonner dans un marché international en pleine effervescence. C’est d’ailleurs dans cet objectif que le Groupe 25 Images, la Guilde des Scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA appellent depuis plusieurs années à une nouvelle politique de la fiction pour : ” augmenter de façon importante le volume de production de la fiction française, afin de se rapprocher des standards des grands pays européens ; ” renforcer l’investissement dans l’écriture ; ” lutter contre l’uniformité en accroissant fortement la diversité des genres, des cases et des formats et en développant des fictions pour tous les publics et pour tous les écrans. France Télévisions a, par sa nature et par ses missions, un rôle moteur à jouer dans cette ambition collective. En revanche, il est à craindre que la réforme structurelle envisagée, extrêmement centralisatrice, ne soit absolument pas la réponse adéquate aux défis qui se posent à la fiction. Si elle a retrouvé le chemin du succès depuis quelques années, elle doit encore poursuivre dans la voie du renouvellement, de la créativité, de la diversité et s’affranchir d’une logique éditoriale qui subit les impératifs d’audience auprès des publics les plus âgés. Vouloir assurer, comme le souligne France Télévisions ” une plus grande complémentarité des offres et une accélération du renouveau du genre ” ne trouvera pas non plus de réponse dans une simple réforme de structure. Au contraire, les réformes organisationnelles qui se sont succédé dans le service public ont toujours produit les mêmes conséquences négatives pour la création audiovisuelle : un arrêt complet de l’activité pendant plusieurs mois, des abandons de projets en cascade, des appels d’offres pour de nouvelles cases qui finissent par être abandonnés en rase campagne. Aussi, dans un contexte déjà marqué par des annonces négatives pour le financement de la création audiovisuelle, dont le budget a été amputé de 10 millions d’euros par France Télévisions en 2018, malgré l’engagement du gouvernement en faveur du maintien des ressources affectées à la création, le Groupe 25 Images, la Guilde des Scénaristes, la SACD, le SPI et l’USPA interpellent France Télévisions et les pouvoirs publics. Il est en effet essentiel que le groupe public puisse apporter des réponses urgentes et précises afin de garantir le maintien et le renforcement d’une politique de la fiction qui doit être un outil en faveur de la diversité, de l’innovation et de l’audace, tant pour les antennes hertziennes que pour le numérique où tout est à faire. Au-delà, les organisations d’auteurs et de producteurs, qui attendent un plan d’envergure pour la fiction et la création patrimoniale française, s’interrogent sur la cohérence et la rapidité de cette réorganisation aussi stratégique pour France Télévisions et pour la création. Alors qu’une réforme de grande ampleur de l’audiovisuel public, et notamment de son organisation et de sa gouvernance, fera l’objet de décisions prochaines de la part du gouvernement et du Parlement, il y a nécessité à ce que toutes les questions relevant de l’organisation du service public soient traitées en même temps. *** Contacts presse : La Guilde des scénaristes : Marie Barraco- 06 52 81 60 37 – marie@kandimari.com Le Groupe 25 images : Michaël Morlon – 06 60 45 65 69- morlon.michael@gmail.com SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org USPA : Stéphane Le Bars – 06 60 23 53 96 – …

2 février 2018Actus-SPIactus-spi
Nomination Oscars & César 2018

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs nominations aux Oscars et aux César, qui témoignent de la qualité et de la vitalité de l’activité des producteurs indépendants français.

Pour leur nomination aux Oscars :

Visages, villages d’Agnès Varda et de JR, produit par Ciné-Tamaris

– Meilleur documentaire

L’insulte de Ziad Doueiri, produit par Tessalit Productions

– Meilleur film en langue étrangère

Faute d’amour d’Andrey Zvyagintsev, produit par Why Not Productions

– Meilleur film en langue étrangère

Negative Space de Max Porter et Ru Kuwahata, produit par Ikki Films

– Meilleur court métrage d’animation

Pour leur nomination aux César :

120 battements par minute, de Robin Campillo, produit par Les Films de Pierre

– Meilleure actrice dans un second rôle

– Meilleure acteur dans un second rôle

– Meilleur espoir masculin (X2)

– Meilleur scénario original

– Meilleure musique originale

– Meilleur son

– Meilleure photo

– Meilleur montage

– Meilleurs costumes

– Meilleurs décors

– Meilleur réalisateur

– Meilleur film

Grave de Julia Ducournau, produit par Petit Film

– Meilleur espoir féminin

– Meilleur scénario original

– Meilleure musique originale

– Meilleur son

– Meilleur premier film

– Meilleur réalisateur

L’Atelier de Laurent Cantet, produit par Archipel 35

– Meilleure actrice

Ava de Léa Mysius, produit par Trois Brigands Productions

– Meilleure actrice dans un second rôle

La Villa de Robert Guédiguian, produit par Agat Films & Cie

– Meilleure actrice dans un second rôle

Jeune femme de Léonor Serraille, produit par Blue Monday Productions

– Meilleur espoir féminin

– Meilleur premier film

Carré 35 d’Éric Caravaca, produit les Films du Poisson

– Meilleur documentaire

I am not your negro de Raoul Peck, produit par Velvet Film

– Meilleur documentaire

Visages, villages d’Agnès Varda et de JR, produit par Ciné-Tamaris

– Meilleure musique originale

– Meilleur documentaire

Faute d’amour d’Andrey Zvyagintsev, produit par Why Not Productions

– Meilleur film étranger

Noces de Stephan Streker, produit par Formosa Productions

– Meilleur film étranger

Les bigorneaux de Alice Vial, produit par Les Films du Cygne

– Meilleur court métrage

Le bleu blanc rouge de mes cheveux de Josza Anjembe, produit par Yukunkun Productions

– Meilleur court métrage

Debout Kinshasa ! de Sébastien Maître, produit par La Ruche Productions

– Meilleur court métrage

Marlon de Jessica Palud, produit par Punchline Cinéma

– Meilleur court métrage

Le jardin de minuit de Benoît Chieux, produit par Sacrebleu Productions

– Meilleur film d’animation – catégorie court métrage

Pépé le Morse de Lucrèce Andreae, produit par Caïmans Productions

– Meilleur film d’animation – catégorie court métrage

Paris, le 31 janvier 2018

Contact : Catherine BERTIN

Syndicat des Producteurs Indépendants

Tel . 01 44 70 70 44

Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs nominations aux Oscars et aux César, qui témoignent de la qualité et de la vitalité de l’activité des producteurs indépendants français. Pour leur nomination aux Oscars : Visages, villages d’Agnès Varda et de JR, produit par Ciné-Tamaris – Meilleur documentaire L’insulte de Ziad Doueiri, produit par Tessalit Productions – Meilleur film en langue étrangère Faute d’amour d’Andrey Zvyagintsev, produit par Why Not Productions – Meilleur film en langue étrangère Negative Space de Max Porter et Ru Kuwahata, produit par Ikki Films – Meilleur court métrage d’animation Pour leur nomination aux César : 120 battements par minute, de Robin Campillo, produit par Les Films de Pierre – Meilleure actrice dans un second rôle – Meilleure acteur dans un second rôle – Meilleur espoir masculin (X2) – Meilleur scénario original – Meilleure musique originale – Meilleur son – Meilleure photo – Meilleur montage – Meilleurs costumes – Meilleurs décors – Meilleur réalisateur – Meilleur film Grave de Julia Ducournau, produit par Petit Film – Meilleur espoir féminin – Meilleur scénario original – Meilleure musique originale – Meilleur son – Meilleur premier film – Meilleur réalisateur L’Atelier de Laurent Cantet, produit par Archipel 35 – Meilleure actrice Ava de Léa Mysius, produit par Trois Brigands Productions – Meilleure actrice dans un second rôle La Villa de Robert Guédiguian, produit par Agat Films & Cie – Meilleure actrice dans un second rôle Jeune femme de Léonor Serraille, produit par Blue Monday Productions – Meilleur espoir féminin – Meilleur premier film Carré 35 d’Éric Caravaca, produit les Films du Poisson – Meilleur documentaire I am not your negro de Raoul Peck, produit par Velvet Film – Meilleur documentaire Visages, villages d’Agnès Varda et de JR, produit par Ciné-Tamaris – Meilleure musique originale – Meilleur documentaire Faute d’amour d’Andrey Zvyagintsev, produit par Why Not Productions – Meilleur film étranger Noces de Stephan Streker, produit par Formosa Productions – Meilleur film étranger Les bigorneaux de Alice Vial, produit par Les Films du Cygne – Meilleur court métrage Le bleu blanc rouge de mes cheveux de Josza Anjembe, produit par Yukunkun Productions – Meilleur court métrage Debout Kinshasa ! de Sébastien Maître, produit par La Ruche Productions – Meilleur court métrage Marlon de Jessica Palud, produit par Punchline Cinéma – Meilleur court métrage Le jardin de minuit de Benoît Chieux, produit par Sacrebleu Productions – Meilleur film d’animation – catégorie court métrage Pépé le Morse de Lucrèce Andreae, produit par Caïmans Productions – Meilleur film d’animation – catégorie court métrage Paris, le 31 janvier 2018 Contact : Catherine BERTIN Syndicat des Producteurs Indépendants Tel . 01 44 70 70 …

31 janvier 2018Actus-SPIactus-spi
SRF-SPI : Lancement du “Guide de recommandations sur les relations réalisateur-trice / producteur-trice de courts métrages”

A l’occasion du 40ème Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, la SRF et le SPI sont heureux de vous convier au lancement du ” Guide de recommandations sur les relations réalisateur-trice / producteur-trice de courts métrages “

Mercredi 7 février 2018 à 12h15

En Salle de conférence du Marché du film court

Gymnase Jean & Honoré Fleury – rue Abbé-de-l’Épée à Clermont Ferrand

La SRF (Société des Réalisateurs de Films) et le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants) ont écrit ensemble un Guide des recommandations sur les relations entre réalisateurs et producteurs de courts métrages, en abordant l’ensemble des questions qui se posent lors de la fabrication d’un film, du développement du scénario au choix des techniciens, du contrat à la diffusion du film. Le guide rappelle l’ensemble des obligations légales et propose des conseils quant aux choix à effectuer.

La présentation du guide sera suivie d’un échange avec la salle.

Entrée libre sur accréditation.

Contact presse :

SRF – Société des Réalisateurs de Films – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 70

SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – Cyril Smet – 01 44 70 70 44

A l’occasion du 40ème Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, la SRF et le SPI sont heureux de vous convier au lancement du ” Guide de recommandations sur les relations réalisateur-trice / producteur-trice de courts métrages “ Mercredi 7 février 2018 à 12h15 En Salle de conférence du Marché du film court Gymnase Jean & Honoré Fleury – rue Abbé-de-l’Épée à Clermont Ferrand La SRF (Société des Réalisateurs de Films) et le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants) ont écrit ensemble un Guide des recommandations sur les relations entre réalisateurs et producteurs de courts métrages, en abordant l’ensemble des questions qui se posent lors de la fabrication d’un film, du développement du scénario au choix des techniciens, du contrat à la diffusion du film. Le guide rappelle l’ensemble des obligations légales et propose des conseils quant aux choix à effectuer. La présentation du guide sera suivie d’un échange avec la salle. Entrée libre sur accréditation. Contact presse : SRF – Société des Réalisateurs de Films – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 70 SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – Cyril Smet – 01 44 70 70 …

26 janvier 2018Actus-SPIactus-spi
Recherche Bureau à louer Paris 18/17/9ème

RECHERCHE BUREAU A LOUER
PARIS 18 / 17 / 9 ème
Surface : environ 10m²
Bureau fermé

contacter: Ysé Productions
Marie Agnély
marieagnely@yseproductions.fr

RECHERCHE BUREAU A LOUER PARIS 18 / 17 / 9 ème Surface : environ 10m² Bureau fermé contacter: Ysé Productions Marie Agnély …

19 janvier 2018Annoncesannonces
Le Syndicat des Producteurs Indépendants félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs films en compétition au 20ème anniversaire du Festival des Créations Télévisuelles de Luchon 2018

Dans la catégorie « Fiction »

Pour les unitaires

« Le temps des égarés » de Virginie SAUVEUR

Caroline ADRIAN – DELANTE PRODUCTIONS

et

« Parole contre parole » de Didier BIVEL

Sophie DELOCHE – ASTHARTÉ & COMPAGNIE

Pour les séries et miniséries

« Fiertés » de Philippe FAUCON

Cyrille PEREZ, Gilles PEREZ et Chantal FISCHER – 13 PRODUCTIONS en coproduction avec Joëy FARE – SCARLETT PRODUCTION

Dans la catégorie « documentaire »

« 39-45 La guerre des enfants » de Julien JOHAN

Jean LABIB et Fanny GLISSANT – COMPAGNIE DES PHARES et BALISES

« Allons enfants ! » de Sylvie PERRIN

Jérôme DUC-MAUGÉ – COCOTTESMINUTE PRODUCTIONS

« Itinéraire d’un enfant placé » de Ketty RIOS PALMA

Mélissa THEURIAU – 416 PRODUCTIONS

« La Bleuite, l’autre guerre d’Algérie » de Jean-Paul MARI

Christian LE PEUTREC et Hélène CHEVEREAU – MANO A MANO


Le 12 janvier 2018

Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel 01 44 70 70 44

Dans la catégorie « Fiction » Pour les unitaires « Le temps des égarés » de Virginie SAUVEUR Caroline ADRIAN – DELANTE PRODUCTIONS et « Parole contre parole » de Didier BIVEL Sophie DELOCHE – ASTHARTÉ & COMPAGNIE Pour les séries et miniséries « Fiertés » de Philippe FAUCON Cyrille PEREZ, Gilles PEREZ et Chantal FISCHER – 13 PRODUCTIONS en coproduction avec Joëy FARE – SCARLETT PRODUCTION Dans la catégorie « documentaire » « 39-45 La guerre des enfants » de Julien JOHAN Jean LABIB et Fanny GLISSANT – COMPAGNIE DES PHARES et BALISES « Allons enfants ! » de Sylvie PERRIN Jérôme DUC-MAUGÉ – COCOTTESMINUTE PRODUCTIONS « Itinéraire d’un enfant placé » de Ketty RIOS PALMA Mélissa THEURIAU – 416 PRODUCTIONS « La Bleuite, l’autre guerre d’Algérie » de Jean-Paul MARI Christian LE PEUTREC et Hélène CHEVEREAU – MANO A MANO Le 12 janvier 2018 Contact : Catherine BERTIN – Syndicat des Producteurs Indépendants – Tel 01 44 70 70 …

12 janvier 2018Actus-SPIactus-spi
Nouvelle coprésidence du BLOC

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 15 organisations professionnelles du cinéma représentant scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens a désigné ses deux coprésidents pour l’année 2018.

Catherine Corsini, membre du Conseil d’administration de la SRF, assurera la coprésidence au titre des réalisateurs. Elle a réalisé 11 longs métrages, dont notamment « La belle saison », sorti en 2015 et « Un amour impossible » qui sortira en salles cette année.

Bertrand Gore, membre du bureau long métrage du SPI, a été désigné comme coprésident au titre des producteurs. Il est le président de la société Blue Monday Productions, qui a récemment produit « Lola Pater » de Nadir Moknèche et « Jeune femme » de Léonor Serraille, qui a reçu la Caméra d’or au Festival de Cannes 2017.

En cette année 2018 aux nombreux enjeux pour l’avenir de la création et de la diffusion cinématographique indépendante, le BLOC continuera de défendre une politique culturelle ambitieuse et diversifiée, garante du rayonnement artistique national et international du cinéma français.

Contact presse

Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58

Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 44

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma), qui regroupe 15 organisations professionnelles du cinéma représentant scénaristes, réalisateurs, producteurs, distributeurs, éditeurs, exploitants, agents, artistes-interprètes et techniciens a désigné ses deux coprésidents pour l’année 2018. Catherine Corsini, membre du Conseil d’administration de la SRF, assurera la coprésidence au titre des réalisateurs. Elle a réalisé 11 longs métrages, dont notamment « La belle saison », sorti en 2015 et « Un amour impossible » qui sortira en salles cette année. Bertrand Gore, membre du bureau long métrage du SPI, a été désigné comme coprésident au titre des producteurs. Il est le président de la société Blue Monday Productions, qui a récemment produit « Lola Pater » de Nadir Moknèche et « Jeune femme » de Léonor Serraille, qui a reçu la Caméra d’or au Festival de Cannes 2017. En cette année 2018 aux nombreux enjeux pour l’avenir de la création et de la diffusion cinématographique indépendante, le BLOC continuera de défendre une politique culturelle ambitieuse et diversifiée, garante du rayonnement artistique national et international du cinéma français. Contact presse Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 …

10 janvier 2018Actus-SPIactus-spi
Le SPI, la SRF, l’ACID, la SACD, la SCAM, DIRE, le SDI, la Guilde des Scénaristes et le SCA remercient l’ensemble des sénateurs pour le vote de l’amendement déposé par la Sénatrice Catherine Dumas visant à assurer un accès effectif des films de réalisateurs émergents au crédit d’impôt

Le SPI, la SRF, l’ACID, la SACD, la SCAM, DIRE, le SDI, la Guilde des Scénaristes et le SCA remercient l’ensemble des sénateurs pour le vote de l’amendement déposé par la Sénatrice Catherine Dumas visant à assurer un accès effectif des films de réalisateurs émergents au crédit d’impôt

Pour un petit nombre de films souvent emblématiques en termes de création, l’application des règles d’intensité des aides publiques est devenue insoutenable, alors même qu’ils ont été choisis par des dispositifs particulièrement sélectifs, comme l’avance sur recettes et/ou les aides régionales.

Plus de 130 cinéastes se sont engagés sur le sujet dans une tribune parue il y a une dizaine de jours. Cet appel, relayé sur internet, a été soutenu par près de 2 000 signataires.

L’amendement voté le 8 décembre au Sénat, présenté initialement à l’Assemblée Nationale par madame la députée Brigitte Kuster, et défendu par Madame Catherine Dumas, vice-présidente de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication au Sénat, permettra enfin d’assurer une égalité des films face au crédit d’impôt. Les films concernés pourront se faire dans de meilleures conditions économiques et donc artistiques, et de mieux valoriser la politique de soutien à la création.

Il s’agit d’une étape cruciale pour la diversité de la création et l’émergence des jeunes talents, qui est l’essence même du cinéma français et en fait toute sa force, et qui assure également son rayonnement à l’étranger ainsi que dans les plus grands festivals internationaux.

Nous remercions chaleureusement Mesdames et Messieurs les sénateurs Catherine Dumas, Daniel Chasseing, Philippe Dallier, Catherine Di Folco, Antoine Lefèvre, Henri Leroy, Jean-François Longeot, Vivette Lopez, Colette Mélot, Philippe Mouiller, Olivier Paccaud, Philippe Paul, Cédric Perrin, Jackie Pierre, Michel Raison, Evelyne Renaud-Garabedian, Charles Revet, Michèle Vullien et Dany Wattebled, pour leur proposition de modification de la législation fiscale dans le cadre du projet de loi de finances.

Nous remercions également l’ensemble des Sénatrices et des Sénateurs et notamment Madame la sénatrice Sophie Taillé-Polian, pour ce vote décisif.

Nos organisations, représentant un grand nombre de cinéastes, scénaristes, producteurs et distributeurs appellent désormais la représentation nationale à confirmer ce vote dans les prochains jours à l’occasion de l’adoption définitive du projet de Loi de finances.

Contacts :

• ACID : Fabienne Hanclot – 01 44 89 99 74 – fabienne@lacid.org

• DIRE : Hugues Quattrone – 01 55 31 27 41 – hugues.quattrone@distributeurs-independants.org

• Guilde Française des Scénaristes : Denis Goulette – 09 53 65 92 59 -denis.goulette@guildedesscenaristes.org

• SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr

• SCA : Sabine Le Stum – 06 84 54 39 89 – sabinelestum@gmail.com

• SCAM : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05 – astrid.lockhart@scam.fr

• SDI : Christian Oddos – 01 30 71 50 92 – sdicine@free.fr

• SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

• SRF : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 – jlethiphu@la-srf.fr

Le SPI, la SRF, l’ACID, la SACD, la SCAM, DIRE, le SDI, la Guilde des Scénaristes et le SCA remercient l’ensemble des sénateurs pour le vote de l’amendement déposé par la Sénatrice Catherine Dumas visant à assurer un accès effectif des films de réalisateurs émergents au crédit d’impôt Pour un petit nombre de films souvent emblématiques en termes de création, l’application des règles d’intensité des aides publiques est devenue insoutenable, alors même qu’ils ont été choisis par des dispositifs particulièrement sélectifs, comme l’avance sur recettes et/ou les aides régionales. Plus de 130 cinéastes se sont engagés sur le sujet dans une tribune parue il y a une dizaine de jours. Cet appel, relayé sur internet, a été soutenu par près de 2 000 signataires. L’amendement voté le 8 décembre au Sénat, présenté initialement à l’Assemblée Nationale par madame la députée Brigitte Kuster, et défendu par Madame Catherine Dumas, vice-présidente de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication au Sénat, permettra enfin d’assurer une égalité des films face au crédit d’impôt. Les films concernés pourront se faire dans de meilleures conditions économiques et donc artistiques, et de mieux valoriser la politique de soutien à la création. Il s’agit d’une étape cruciale pour la diversité de la création et l’émergence des jeunes talents, qui est l’essence même du cinéma français et en fait toute sa force, et qui assure également son rayonnement à l’étranger ainsi que dans les plus grands festivals internationaux. Nous remercions chaleureusement Mesdames et Messieurs les sénateurs Catherine Dumas, Daniel Chasseing, Philippe Dallier, Catherine Di Folco, Antoine Lefèvre, Henri Leroy, Jean-François Longeot, Vivette Lopez, Colette Mélot, Philippe Mouiller, Olivier Paccaud, Philippe Paul, Cédric Perrin, Jackie Pierre, Michel Raison, Evelyne Renaud-Garabedian, Charles Revet, Michèle Vullien et Dany Wattebled, pour leur proposition de modification de la législation fiscale dans le cadre du projet de loi de finances. Nous remercions également l’ensemble des Sénatrices et des Sénateurs et notamment Madame la sénatrice Sophie Taillé-Polian, pour ce vote décisif. Nos organisations, représentant un grand nombre de cinéastes, scénaristes, producteurs et distributeurs appellent désormais la représentation nationale à confirmer ce vote dans les prochains jours à l’occasion de l’adoption définitive du projet de Loi de finances. Contacts : • ACID : Fabienne Hanclot – 01 44 89 99 74 – fabienne@lacid.org • DIRE : Hugues Quattrone – 01 55 31 27 41 – hugues.quattrone@distributeurs-independants.org • Guilde Française des Scénaristes : Denis Goulette – 09 53 65 92 59 -denis.goulette@guildedesscenaristes.org • SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr • SCA : Sabine Le Stum – 06 84 54 39 89 – sabinelestum@gmail.com • SCAM : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05 – astrid.lockhart@scam.fr • SDI : Christian Oddos – 01 30 71 50 92 – sdicine@free.fr • SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org • SRF : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 – …

12 décembre 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite très chaleureusement la société Maneki Films et sa productrice Didar Domehri pour l’attribution du Prix IFCIC de la jeune société de production.

Au nom de ses 420 entreprises de production adhérentes, le SPI félicite très chaleureusement la société Maneki Films et sa productrice Didar Domehri, pour l’attribution du 14ème Prix IFCIC de la jeune société de production indépendante.

Pour la septième année consécutive ce prix est remis à une société adhérente du SPI, ce qui démontre la force du tissu de producteurs indépendants dans l’émergence et l’accompagnement des cinéastes d’aujourd’hui et de demain.

Cette distinction récompense avant tout le travail d’une femme d’un très grand professionnalisme, engagée dans la défense de la création indépendante, et qui accompagne de jeunes auteurs français et de grands cinéastes internationaux.

L’audace, l’exigence et la qualité du travail de ses producteurs honorent notre syndicat. Le SPI salue le rôle des producteurs indépendants dans le renouveau de la création française. Ainsi, ils mettent en avant la richesse du patrimoine audiovisuel et cinématographique de notre pays et participent au rayonnement de la France dans le monde.

Paris, le 11 Décembre 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Au nom de ses 420 entreprises de production adhérentes, le SPI félicite très chaleureusement la société Maneki Films et sa productrice Didar Domehri, pour l’attribution du 14ème Prix IFCIC de la jeune société de production indépendante. Pour la septième année consécutive ce prix est remis à une société adhérente du SPI, ce qui démontre la force du tissu de producteurs indépendants dans l’émergence et l’accompagnement des cinéastes d’aujourd’hui et de demain. Cette distinction récompense avant tout le travail d’une femme d’un très grand professionnalisme, engagée dans la défense de la création indépendante, et qui accompagne de jeunes auteurs français et de grands cinéastes internationaux. L’audace, l’exigence et la qualité du travail de ses producteurs honorent notre syndicat. Le SPI salue le rôle des producteurs indépendants dans le renouveau de la création française. Ainsi, ils mettent en avant la richesse du patrimoine audiovisuel et cinématographique de notre pays et participent au rayonnement de la France dans le monde. Paris, le 11 Décembre 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

11 décembre 2017Actus-SPIactus-spi
Faire taire de dangereuses rumeurs

Depuis trois jours, une mauvaise polémique sur le service public de l’audiovisuel crée un malaise profond dans tout le secteur. Des propos étonnamment tranchés sont prêtés au Président de la République à l’encontre des opérateurs nationaux de radios et de télévision.

Le SPI s’inquiète de ces rumeurs et plus largement de la stigmatisation du secteur de l’audiovisuel autant que du service public.

Au moment où les nouveaux acteurs du numérique, dont les plateformes, mettent en difficulté le secteur de l’audiovisuel et exigent une concertation étroite entre les professionnels et les pouvoirs publics, cette polémique prend une dimension destructrice.

Le SPI témoigne d’un écosystème vertueux, qui crée des œuvres et assure la promotion de jeunes talents. Ce secteur a par ailleurs montré son dynamisme et sa faculté d’adaptation, de création d’emplois et de soutien à un tissu économique en expansion, porteur d’exportation et de rayonnement international. Il compte poursuivre activement le travail de transformation déjà engagé devant les enjeux de la diffusion numérique.

Les producteurs indépendants français sont reconnus dans le monde entier et distingués notamment dans les plus grands festivals internationaux pour la qualité et la singularité de leurs créations. Ils ont les structures adaptées à la recherche et au développement nécessaires au renforcement de l’innovation et de l’originalité de la création française et européenne. Ils plaident sans cesse pour une relation de confiance partagée et transparente, au service de la diversité culturelle.

Le SPI renouvelle sa demande d’audience avec la Ministre de la Culture, car son silence et le refus de recevoir les professionnels du secteur ne pourra dès lors que renforcer un sentiment de défiance délétère.

***

Paris, le 8 décembre 2017

***

Contacts presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – 01 44 70 70 44

Depuis trois jours, une mauvaise polémique sur le service public de l’audiovisuel crée un malaise profond dans tout le secteur. Des propos étonnamment tranchés sont prêtés au Président de la République à l’encontre des opérateurs nationaux de radios et de télévision. Le SPI s’inquiète de ces rumeurs et plus largement de la stigmatisation du secteur de l’audiovisuel autant que du service public. Au moment où les nouveaux acteurs du numérique, dont les plateformes, mettent en difficulté le secteur de l’audiovisuel et exigent une concertation étroite entre les professionnels et les pouvoirs publics, cette polémique prend une dimension destructrice. Le SPI témoigne d’un écosystème vertueux, qui crée des œuvres et assure la promotion de jeunes talents. Ce secteur a par ailleurs montré son dynamisme et sa faculté d’adaptation, de création d’emplois et de soutien à un tissu économique en expansion, porteur d’exportation et de rayonnement international. Il compte poursuivre activement le travail de transformation déjà engagé devant les enjeux de la diffusion numérique. Les producteurs indépendants français sont reconnus dans le monde entier et distingués notamment dans les plus grands festivals internationaux pour la qualité et la singularité de leurs créations. Ils ont les structures adaptées à la recherche et au développement nécessaires au renforcement de l’innovation et de l’originalité de la création française et européenne. Ils plaident sans cesse pour une relation de confiance partagée et transparente, au service de la diversité culturelle. Le SPI renouvelle sa demande d’audience avec la Ministre de la Culture, car son silence et le refus de recevoir les professionnels du secteur ne pourra dès lors que renforcer un sentiment de défiance délétère. *** Paris, le 8 décembre 2017 *** Contacts presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – 01 44 70 70 …

8 décembre 2017Actus-SPIactus-spi
Communiqué du SPI relatif à la réforme de l’agrément

Le SPI accueille avec satisfaction la modification des règles de l’agrément applicables à partir du 1er janvier 2018, qui modernise ce dispositif principalement afin de tenir compte d’un certain nombre d’évolutions technologiques.

Au cours de ce long travail de concertation, le SPI a eu à cœur de maintenir les objectifs politiques du dispositif, pivot de la politique culturelle du CNC.

Ainsi, le SPI a défendu le maintien de l’ouverture du dispositif français aux cinématographies du monde, qui reconnait de façon proportionnée toutes les coproductions avec les autres pays, en particulier ceux avec lesquels la France a conclu un accord de coproduction.

Concernant la relocalisation des tournages, et soucieux de ne pas confondre les objectifs du dispositif avec ceux du crédit d’impôt, le SPI a défendu l’idée que l’agrément participe à une plus grande localisation des différentes étapes du processus de production, dans le respect des contraintes artistiques et économiques de chaque film.

Enfin, dans l’objectif de mieux tenir compte de la spécificité du documentaire, des groupes de travail ont été annoncés, qui permettront de dégager des règles plus anticipables pour les producteurs.

Ainsi, le SPI considère que l’équilibre trouvé permettra de consolider l’ancrage culturel de la politique du CNC, tout en permettant la préservation et le développement des savoir-faire sur notre territoire.

Le SPI remercie le CNC pour le travail de concertation mené et sera particulièrement attentif dans les prochains mois au suivi de cette réforme, afin de pouvoir, le cas échéant, procéder aux ajustements nécessaires.

Cette réforme constitue une première étape dans une nécessaire réflexion globale pour améliorer le caractère redistributif du compte de soutien au profit du tissu de producteurs indépendants et de la diversité de la création, qui passe notamment par une évolution des règles d’intensité d’aides publiques.

Le SPI accueille avec satisfaction la modification des règles de l’agrément applicables à partir du 1er janvier 2018, qui modernise ce dispositif principalement afin de tenir compte d’un certain nombre d’évolutions technologiques. Au cours de ce long travail de concertation, le SPI a eu à cœur de maintenir les objectifs politiques du dispositif, pivot de la politique culturelle du CNC. Ainsi, le SPI a défendu le maintien de l’ouverture du dispositif français aux cinématographies du monde, qui reconnait de façon proportionnée toutes les coproductions avec les autres pays, en particulier ceux avec lesquels la France a conclu un accord de coproduction. Concernant la relocalisation des tournages, et soucieux de ne pas confondre les objectifs du dispositif avec ceux du crédit d’impôt, le SPI a défendu l’idée que l’agrément participe à une plus grande localisation des différentes étapes du processus de production, dans le respect des contraintes artistiques et économiques de chaque film. Enfin, dans l’objectif de mieux tenir compte de la spécificité du documentaire, des groupes de travail ont été annoncés, qui permettront de dégager des règles plus anticipables pour les producteurs. Ainsi, le SPI considère que l’équilibre trouvé permettra de consolider l’ancrage culturel de la politique du CNC, tout en permettant la préservation et le développement des savoir-faire sur notre territoire. Le SPI remercie le CNC pour le travail de concertation mené et sera particulièrement attentif dans les prochains mois au suivi de cette réforme, afin de pouvoir, le cas échéant, procéder aux ajustements nécessaires. Cette réforme constitue une première étape dans une nécessaire réflexion globale pour améliorer le caractère redistributif du compte de soutien au profit du tissu de producteurs indépendants et de la diversité de la création, qui passe notamment par une évolution des règles d’intensité d’aides …

8 décembre 2017Actus-SPIactus-spi
Le BLOC demande une véritable régulation de la programmation en salles

A la suite des courriers que le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) a adressés au CNC sur les Assises pour la diversité du cinéma et sur l’encadrement des cartes illimitées d’accès aux salles, et préalablement à la réunion de bilan sur la mise en oeuvre de l’accord du 13 mai 2016 sur les engagements de programmation et de diffusion, le BLOC vient d’envoyer un courrier à la Présidente du CNC pour revenir auprès d’elle sur les sujets
touchant à la régulation de l’exploitation des films en salles.

Tout d’abord, le BLOC a souhaité la remercier d’avoir annoncé lors du Congrès des exploitants, la mise en oeuvre prochaine de plusieurs propositions du rapport rendu en juin dernier par l’Inspection Générale des Finances et l’Inspection Générale des Affaires Culturelles intitulé : “Financement de la projection numérique en salle de cinéma” (arrêt des VPF, mise en place d’une veille technique et économique) et sa volonté de les prolonger par
une réflexion sur les mécanismes de soutien à l’exploitation, afin de renforcer la solidarité de ce secteur. En effet, les préconisations du rapport répondent aux objectifs qui lui avaient été fixés quant à l’analyse des effets de la transition numérique.

En revanche, le BLOC a désiré faire part à la Présidente du CNC de son souhait que les questions liées à l’exposition des oeuvres ne se limitent pas au suivi des conditions de programmation, sur la base des études statistiques produites par le CNC. Cette problématique lui semble en effet s’inscrire dans un ensemble plus large de questions relatives au secteur de l’exploitation et à la diffusion des oeuvres en salle, qui, comme le BLOC l’a rappelé dans plusieurs courriers, ne font plus l’objet d’aucune concertation depuis l’arrêt des Assises pour la diversité du cinéma il y un an, à la suite du retrait de la FNCF.

Le BLOC considère qu’il est nécessaire de définir un nouveau cadre de régulation afin de traiter collectivement l’ensemble de ces problématiques, considérées comme prioritaires pour l’ensemble de la filière.

Notamment, le BLOC appelle de ses voeux la désignation d’une instance indépendante pérenne, en mesure d’agir pour réguler effectivement le secteur de l’exploitation en salle. Cette régulation doit faire l’objet de mécanismes spécifiques, dont la mise en oeuvre suppose des pouvoirs et des moyens financiers propres. Le comité de concertation pour la diffusion numérique n’est pas adapté à cet égard.

Cette instance serait à même de reprendre une partie des travaux des Assises pour la diversité du cinéma en vue de cette régulation (maintien de la diversité d’exposition des films, engagements de diffusion, partage de la valeur, régulation de la promotion en salles – sur ce sujet, le BLOC rappelle qu’il est toujours dans l’attente du décret entérinant les mesures déjà actées –, régulation de la concentration…).

Le BLOC a en outre confirmé solliciter des informations préparatoires au premier bilan de l’accord du 13 mai 2016 prévu en cette fin d’année. En effet, les organisations qui en sont membres ont pu constater que l’application de l’accord n’était pas effective à de nombreux égards, notamment concernant la durée d’exposition des oeuvres européennes.

Enfin, le BLOC a réitéré sa vive surprise de constater il y a peu la suppression de la commission d’agrément des formules d’accès illimité au cinéma, ainsi que la baisse de 2,12% du prix de référence de la formule éditée par les cinémas Gaumont Pathé, ces deux décisions ayant été prises sans concertation préalable avec les représentants des ayants droit.

Il a sollicité une concertation en urgence sur cette baisse du prix de référence, avec laquelle il est en désaccord et qui va avoir un impact important sur la rémunération des ayants droit d’un grand nombre de films.

Il a souligné que, plus que jamais, se pose le problème de l’absence de toute contribution à la création cinématographique et de tout partage avec les ayants droit des recettes auxquelles ces formules servent de produit d’appel.

Contacts :

Julie Lethiphu – 01 44 89 62 58

Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30

A la suite des courriers que le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) a adressés au CNC sur les Assises pour la diversité du cinéma et sur l’encadrement des cartes illimitées d’accès aux salles, et préalablement à la réunion de bilan sur la mise en oeuvre de l’accord du 13 mai 2016 sur les engagements de programmation et de diffusion, le BLOC vient d’envoyer un courrier à la Présidente du CNC pour revenir auprès d’elle sur les sujets touchant à la régulation de l’exploitation des films en salles. Tout d’abord, le BLOC a souhaité la remercier d’avoir annoncé lors du Congrès des exploitants, la mise en oeuvre prochaine de plusieurs propositions du rapport rendu en juin dernier par l’Inspection Générale des Finances et l’Inspection Générale des Affaires Culturelles intitulé : “Financement de la projection numérique en salle de cinéma” (arrêt des VPF, mise en place d’une veille technique et économique) et sa volonté de les prolonger par une réflexion sur les mécanismes de soutien à l’exploitation, afin de renforcer la solidarité de ce secteur. En effet, les préconisations du rapport répondent aux objectifs qui lui avaient été fixés quant à l’analyse des effets de la transition numérique. En revanche, le BLOC a désiré faire part à la Présidente du CNC de son souhait que les questions liées à l’exposition des oeuvres ne se limitent pas au suivi des conditions de programmation, sur la base des études statistiques produites par le CNC. Cette problématique lui semble en effet s’inscrire dans un ensemble plus large de questions relatives au secteur de l’exploitation et à la diffusion des oeuvres en salle, qui, comme le BLOC l’a rappelé dans plusieurs courriers, ne font plus l’objet d’aucune concertation depuis l’arrêt des Assises pour la diversité du cinéma il y un an, à la suite du retrait de la FNCF. Le BLOC considère qu’il est nécessaire de définir un nouveau cadre de régulation afin de traiter collectivement l’ensemble de ces problématiques, considérées comme prioritaires pour l’ensemble de la filière. Notamment, le BLOC appelle de ses voeux la désignation d’une instance indépendante pérenne, en mesure d’agir pour réguler effectivement le secteur de l’exploitation en salle. Cette régulation doit faire l’objet de mécanismes spécifiques, dont la mise en oeuvre suppose des pouvoirs et des moyens financiers propres. Le comité de concertation pour la diffusion numérique n’est pas adapté à cet égard. Cette instance serait à même de reprendre une partie des travaux des Assises pour la diversité du cinéma en vue de cette régulation (maintien de la diversité d’exposition des films, engagements de diffusion, partage de la valeur, régulation de la promotion en salles – sur ce sujet, le BLOC rappelle qu’il est toujours dans l’attente du décret entérinant les mesures déjà actées –, régulation de la concentration…). Le BLOC a en outre confirmé solliciter des informations préparatoires au premier bilan de l’accord du 13 mai 2016 prévu en cette fin d’année. En effet, les organisations qui en sont membres ont pu constater que l’application de l’accord n’était pas effective à de nombreux égards, notamment concernant la durée d’exposition des oeuvres européennes. Enfin, le BLOC a réitéré sa vive surprise de constater il y a peu la suppression de la commission d’agrément des formules d’accès illimité au cinéma, ainsi que la baisse de 2,12% du prix de référence de la formule éditée par les cinémas Gaumont Pathé, ces deux décisions ayant été prises sans concertation préalable avec les représentants des ayants droit. Il a sollicité une concertation en urgence sur cette baisse du prix de référence, avec laquelle il est en désaccord et qui va avoir un impact important sur la rémunération des ayants droit d’un grand nombre de films. Il a souligné que, plus que jamais, se pose le problème de l’absence de toute contribution à la création cinématographique et de tout partage avec les ayants droit des recettes auxquelles ces formules servent de produit d’appel. Contacts : Julie Lethiphu – 01 44 89 62 58 Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 …

22 novembre 2017Actus-SPIactus-spi
Communiqué : Faisons le pari de la jeune création cinématographique !

Party Girl de Marie Amachoukeli, Samuel Theis et Claire Burger en 2014, Divines de Houda Benyamina en 2016, et cette année, Jeune femme de Léonor Serraille. En quatre ans, Cannes, le plus grand festival de cinéma du monde, a attribué trois fois la Caméra d’or (prix du meilleur premier film) au jeune cinéma français. Ces distinctions mettent en lumière le talent de ces jeunes auteurs et font rayonner la culture française au-delà de nos frontières.

Pourtant, ce sont justement les premières œuvres et les projets les plus audacieux, ceux sur lesquels il est le plus risqué de « parier », qui sont aujourd’hui grandement fragilisés, jusqu’au seuil de la précarité pour certains.

Année après année, les financements privés, principalement issus des chaînes de télévision, se sont raréfiés, se portant d’abord sur les auteurs déjà reconnus, les valeurs les plus sûres, les genres les plus porteurs.

Pour un petit nombre de films, aisément identifiables, et souvent emblématiques en termes de création, l’impact est redoutable. L’absence d’une chaîne de télévision en pré-financement – ou la faiblesse des montants proposés – génère presque automatiquement une majorité de financements publics, plafonnés à 60% pour les films à petit budget. L’absurdité du système pousse ces films à renoncer à certaines aides, notamment au crédit d’impôt.
_

Ce constat est inacceptable. Pourtant, la solution est simple : autoriser un maximum de 70 % d’aides publiques dans le budget de ces films. Rappelons à ce titre que la législation française est la plus dure d’Europe.

Il n’y aura pas d’« appel d’air », mais la modification de cette règle permettra juste aux œuvres de se faire dans de meilleures conditions. Son coût financier est marginal, au regard de son efficacité artistique et économique, d’autant que très peu de films sont concernés.

Pour les cinéastes émergents, dont les projets ont été choisis pour leurs qualités artistiques par des dispositifs extrêmement sélectifs (par exemple l’avance sur recettes du CNC), le plafonnement des aides publiques affecte violemment la fabrication, l’imaginaire, l’ambition artistique et visuelle des projets : équipes techniques réduites, figuration inexistante, temps de tournage de plus en plus contraints, scénarios élagués…Cette précarisation s’étend sans cesse et bride l’éclosion d’une nouvelle génération d’auteurs, d’acteurs, de techniciens.

L’engagement de Mme Françoise Nyssen aux côtés des créateurs est connu : elle affirmait encore récemment qu’« il n’y a jamais trop de création », que « ce dynamisme est une force dans un monde ouvert ».

Alors que les débats sur le projet de Loi de finances se poursuivent, l’occasion vous est donnée, Madame la Ministre, d’assurer une plus grande égalité entre les films face au crédit d’impôt, un dispositif fiscal qui devrait être ouvert à tous, sans aucune exception.
Nous attendons une action rapide et volontaire, pour mettre fin à ces années d’immobilisme sur le sujet.

Premiers Signataires (scénaristes, réalisateurs, producteurs) :

Marie AMACHOUKELI, Guillaume ANDRE, Nicolas ANTHOME, Rosa ATTAB, Jacques AUDIARD, Toufik AYADI, Olivier BABINET, Christophe BARRAL, Emmanuel BARRAUX, Jamal BELMAHI, Lucas BELVAUX, Laurent BENEGUI, Julie BERTUCCELLI, Sébastien BETBEDER, Mathieu BOMPOINT, Bertrand BONELLO, Pascal BONITZER, Florence BORELLY, Claudine BORIES, Guillaume BRAC, Jean BREHAT, Emilie BRISAVOINE, Cyril BRODY, Fanny BURDINO, Martine CASSINELLI, Pascal CAUCHETEUX, Patrice CHAGNARD, Malik CHIBANE, Patric CHIHA, Pierre CHOSSON, Catherine CORSINI, Bénédicte COUVREUR, Amélie COVILLARD, Sandra DA FONSECA, Eve DEBOISE, Claire DENIS, Tom DERCOURT, Fabianny DESCHAMPS, Thierry DE PERETTI, Agnès DE SACY, Alice DIOP, Didar DOMEHRI, Christine DORY, Bertrand FAIVRE, François FARELLACCI, Léa FEHNER, Philippe FERNANDEZ, Pascale FERRAN, Laurence FERREIRA BARBOSA, Sophie FILLIERES, Denis FREYD, Marielle GAUTHIER, Yann GONZALEZ, Olivier GORCE, Bertrand GORE, Diego GOVERNATORI, Emmanuel GRAS, Eugène GREEN, Robert GUEDIGUIAN, Katell GUILLOU, Joana HADJITHOMAS, Laurent HERBIET, Nathalie HERTZBERG, Raphaël JACOULOT, Agnès JAOUI, Thomas JENKOE, Cédric KLAPISCH, Svetlana KLINYSHKOVA, Héléna KLOTZ, Nadine LAMARI, Alexandre LANÇA, Laurent LARIVIERE, Sébastien LAUDENBACH, Guillaume LAURANT, Laurent LAVOLE, Pierre-Emmanuel LE GOFF, Benjamin LEGRAND, Marie-Ange LUCIANI, Gaëlle MACE, Lise MACHEBOEUF, Gladys MARCIANO, Tonie MARSHALL, Philippe MARTIN, Marie MASMONTEIL, Béatrice MAUDUIT, Edouard MAURIAT, Muriel MERLIN, Frédéric MERMOUD, Nathalie MESURET, Jonathan MILLET, Valérie MINETTTO, Nathalie NAJEM, Ioanis NUGUET, Mariana OTERO, Emmanuel PARRAUD, Héloïse PELLOQUET, Elisabeth PEREZ, Julie PEYR, Nicolas PHILIBERT, Sylvie PIALAT, Caroline POCHON, Miléna POYLO, Fabrice PREEL-CLEACH, Benoit QUAINON, Katell QUILLÉVÉRÉ, Lola QUIVORON, Frédéric RAMADE, Colas RIFKISS, Mathias RIFKISS, Vincent ROGET, Marcia ROMANO, Christian ROUAUD, Anna ROUSSILLON, Christophe RUGGIA, Gilles SACUTO, Pierre SALVADORI, Julien SAMANI, Régis SAUDER, Céline SCIAMMA, Idir SERGHINE, Marianne SLOT, Patrick SOBELMAN, Christian SONDEREGGER, Grégoire SORLAT, David THION, Anne-Louise TRIVIDIC, Cécile VARGAFTIG, Gérard VAUGEOIS, Florence VIGNON, Isabelle WOLGUST, Rebecca ZLOTOWSKI.

Paris, le 22 Novembre 2017

Party Girl de Marie Amachoukeli, Samuel Theis et Claire Burger en 2014, Divines de Houda Benyamina en 2016, et cette année, Jeune femme de Léonor Serraille. En quatre ans, Cannes, le plus grand festival de cinéma du monde, a attribué trois fois la Caméra d’or (prix du meilleur premier film) au jeune cinéma français. Ces distinctions mettent en lumière le talent de ces jeunes auteurs et font rayonner la culture française au-delà de nos frontières. Pourtant, ce sont justement les premières œuvres et les projets les plus audacieux, ceux sur lesquels il est le plus risqué de « parier », qui sont aujourd’hui grandement fragilisés, jusqu’au seuil de la précarité pour certains. Année après année, les financements privés, principalement issus des chaînes de télévision, se sont raréfiés, se portant d’abord sur les auteurs déjà reconnus, les valeurs les plus sûres, les genres les plus porteurs. Pour un petit nombre de films, aisément identifiables, et souvent emblématiques en termes de création, l’impact est redoutable. L’absence d’une chaîne de télévision en pré-financement – ou la faiblesse des montants proposés – génère presque automatiquement une majorité de financements publics, plafonnés à 60% pour les films à petit budget. L’absurdité du système pousse ces films à renoncer à certaines aides, notamment au crédit d’impôt. _ Ce constat est inacceptable. Pourtant, la solution est simple : autoriser un maximum de 70 % d’aides publiques dans le budget de ces films. Rappelons à ce titre que la législation française est la plus dure d’Europe. Il n’y aura pas d’« appel d’air », mais la modification de cette règle permettra juste aux œuvres de se faire dans de meilleures conditions. Son coût financier est marginal, au regard de son efficacité artistique et économique, d’autant que très peu de films sont concernés. Pour les cinéastes émergents, dont les projets ont été choisis pour leurs qualités artistiques par des dispositifs extrêmement sélectifs (par exemple l’avance sur recettes du CNC), le plafonnement des aides publiques affecte violemment la fabrication, l’imaginaire, l’ambition artistique et visuelle des projets : équipes techniques réduites, figuration inexistante, temps de tournage de plus en plus contraints, scénarios élagués…Cette précarisation s’étend sans cesse et bride l’éclosion d’une nouvelle génération d’auteurs, d’acteurs, de techniciens. L’engagement de Mme Françoise Nyssen aux côtés des créateurs est connu : elle affirmait encore récemment qu’« il n’y a jamais trop de création », que « ce dynamisme est une force dans un monde ouvert ». Alors que les débats sur le projet de Loi de finances se poursuivent, l’occasion vous est donnée, Madame la Ministre, d’assurer une plus grande égalité entre les films face au crédit d’impôt, un dispositif fiscal qui devrait être ouvert à tous, sans aucune exception. Nous attendons une action rapide et volontaire, pour mettre fin à ces années d’immobilisme sur le sujet. Premiers Signataires (scénaristes, réalisateurs, producteurs) : Marie AMACHOUKELI, Guillaume ANDRE, Nicolas ANTHOME, Rosa ATTAB, Jacques AUDIARD, Toufik AYADI, Olivier BABINET, Christophe BARRAL, Emmanuel BARRAUX, Jamal BELMAHI, Lucas BELVAUX, Laurent BENEGUI, Julie BERTUCCELLI, Sébastien BETBEDER, Mathieu BOMPOINT, Bertrand BONELLO, Pascal BONITZER, Florence BORELLY, Claudine BORIES, Guillaume BRAC, Jean BREHAT, Emilie BRISAVOINE, Cyril BRODY, Fanny BURDINO, Martine CASSINELLI, Pascal CAUCHETEUX, Patrice CHAGNARD, Malik CHIBANE, Patric CHIHA, Pierre CHOSSON, Catherine CORSINI, Bénédicte COUVREUR, Amélie COVILLARD, Sandra DA FONSECA, Eve DEBOISE, Claire DENIS, Tom DERCOURT, Fabianny DESCHAMPS, Thierry DE PERETTI, Agnès DE SACY, Alice DIOP, Didar DOMEHRI, Christine DORY, Bertrand FAIVRE, François FARELLACCI, Léa FEHNER, Philippe FERNANDEZ, Pascale FERRAN, Laurence FERREIRA BARBOSA, Sophie FILLIERES, Denis FREYD, Marielle GAUTHIER, Yann GONZALEZ, Olivier GORCE, Bertrand GORE, Diego GOVERNATORI, Emmanuel GRAS, Eugène GREEN, Robert GUEDIGUIAN, Katell GUILLOU, Joana HADJITHOMAS, Laurent HERBIET, Nathalie HERTZBERG, Raphaël JACOULOT, Agnès JAOUI, Thomas JENKOE, Cédric KLAPISCH, Svetlana KLINYSHKOVA, Héléna KLOTZ, Nadine LAMARI, Alexandre LANÇA, Laurent LARIVIERE, Sébastien LAUDENBACH, Guillaume LAURANT, Laurent LAVOLE, Pierre-Emmanuel LE GOFF, Benjamin LEGRAND, Marie-Ange LUCIANI, Gaëlle MACE, Lise MACHEBOEUF, Gladys MARCIANO, Tonie MARSHALL, Philippe MARTIN, Marie MASMONTEIL, Béatrice MAUDUIT, Edouard MAURIAT, Muriel MERLIN, Frédéric MERMOUD, Nathalie MESURET, Jonathan MILLET, Valérie MINETTTO, Nathalie NAJEM, Ioanis NUGUET, Mariana OTERO, Emmanuel PARRAUD, Héloïse PELLOQUET, Elisabeth PEREZ, Julie PEYR, Nicolas PHILIBERT, Sylvie PIALAT, Caroline POCHON, Miléna POYLO, Fabrice PREEL-CLEACH, Benoit QUAINON, Katell QUILLÉVÉRÉ, Lola QUIVORON, Frédéric RAMADE, Colas RIFKISS, Mathias RIFKISS, Vincent ROGET, Marcia ROMANO, Christian ROUAUD, Anna ROUSSILLON, Christophe RUGGIA, Gilles SACUTO, Pierre SALVADORI, Julien SAMANI, Régis SAUDER, Céline SCIAMMA, Idir SERGHINE, Marianne SLOT, Patrick SOBELMAN, Christian SONDEREGGER, Grégoire SORLAT, David THION, Anne-Louise TRIVIDIC, Cécile VARGAFTIG, Gérard VAUGEOIS, Florence VIGNON, Isabelle WOLGUST, Rebecca ZLOTOWSKI. Paris, le 22 Novembre …

22 novembre 2017Actus-SPIactus-spi
Table Ronde sur le Métier de Producteur

_

Table Ronde : Le METIER DE PRODUCTEUR

(ou tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le

métier de Producteur sans jamais oser le demander)

Mercredi 29 novembre 2017 à 15h30

à l’Amphithéâtre de la Verrière (Cité du livre Aix-en-Provence)

Ouverte à un large public, cette table ronde représente une occasion rare d’apporter un éclairage sur un métier finalement peu connu en questionnant quatre producteurs venus d’horizons différents : produire, ça veut dire quoi ? Comment devient-on producteur ? Pourquoi produire du court métrage ? Financement, diffusion, distribution… Aspects artistiques, juridiques, financiers ? Toutes les réponses seront apportées par nos quatre intervenants.

En présence de :

Modérateur : Richard Sidi, délégué général de la Maison du Film.

Jean-Laurent Csinidis commence à travailler dans le cinéma en 2006 en intégrant l’équipe d’Amour Fou (Autriche/Luxembourg). En 2010, il 
revient à Marseille et crée Films de Force Majeure, société de production spécialisée dans le cinéma documentaire et le court-métrage d’animation. Membre de différents réseaux européens (EAVE, Eurodoc, Emerging Producers), il est également élu au SPI et à LPA.

Elisabeth Pawlowski a produit plusieurs fictions et documentaires sélectionnés dans de nombreux festivals internationaux (Carne Viva de Jean-Charles Hue, L’hypothèse du Mokele Mbembé de Marie Voignier…). Fin 2012, elle crée Baldanders Films qui accompagne des formes audiovisuelles et cinématographiques qui s’inscrivent dans une démarche de recherche et d’expérimentation sans limite de genre ni de format.

Anaïs Bertrand a fondé Insolence Productions en 2012, qui démontre à travers des films singuliers, une vision cinématographique exigeante mais pas segmentante, moderne et audacieuse. Après quelques 500 sélections et 120 prix en festivals internationaux reçus grâce à ses courts métrages, Insolence Productions s’ouvre au long métrage et à la série télévisuelle.

Emmanuel-Alain Raynal fonde la société Miyu Productions en 2009, autour du cinéma d’animation. Il y produit des courts métrages et des documentaires et développe des projets de série et de longs métrages. Il est président du collège court métrage du Syndicat des Producteurs Indépendants et membre du comité d’administration de l’Association Française du Cinéma d’Animation.

Paris, le 20 Novembre 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

_ Table Ronde : Le METIER DE PRODUCTEUR (ou tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le métier de Producteur sans jamais oser le demander) Mercredi 29 novembre 2017 à 15h30 à l’Amphithéâtre de la Verrière (Cité du livre Aix-en-Provence) Ouverte à un large public, cette table ronde représente une occasion rare d’apporter un éclairage sur un métier finalement peu connu en questionnant quatre producteurs venus d’horizons différents : produire, ça veut dire quoi ? Comment devient-on producteur ? Pourquoi produire du court métrage ? Financement, diffusion, distribution… Aspects artistiques, juridiques, financiers ? Toutes les réponses seront apportées par nos quatre intervenants. En présence de : Modérateur : Richard Sidi, délégué général de la Maison du Film. Jean-Laurent Csinidis commence à travailler dans le cinéma en 2006 en intégrant l’équipe d’Amour Fou (Autriche/Luxembourg). En 2010, il 
revient à Marseille et crée Films de Force Majeure, société de production spécialisée dans le cinéma documentaire et le court-métrage d’animation. Membre de différents réseaux européens (EAVE, Eurodoc, Emerging Producers), il est également élu au SPI et à LPA. Elisabeth Pawlowski a produit plusieurs fictions et documentaires sélectionnés dans de nombreux festivals internationaux (Carne Viva de Jean-Charles Hue, L’hypothèse du Mokele Mbembé de Marie Voignier…). Fin 2012, elle crée Baldanders Films qui accompagne des formes audiovisuelles et cinématographiques qui s’inscrivent dans une démarche de recherche et d’expérimentation sans limite de genre ni de format. Anaïs Bertrand a fondé Insolence Productions en 2012, qui démontre à travers des films singuliers, une vision cinématographique exigeante mais pas segmentante, moderne et audacieuse. Après quelques 500 sélections et 120 prix en festivals internationaux reçus grâce à ses courts métrages, Insolence Productions s’ouvre au long métrage et à la série télévisuelle. Emmanuel-Alain Raynal fonde la société Miyu Productions en 2009, autour du cinéma d’animation. Il y produit des courts métrages et des documentaires et développe des projets de série et de longs métrages. Il est président du collège court métrage du Syndicat des Producteurs Indépendants et membre du comité d’administration de l’Association Française du Cinéma d’Animation. Paris, le 20 Novembre 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

20 novembre 2017Actus-SPIactus-spi
Financement de l’Audiovisuel public : la Commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée Nationale montre la voie de la réforme

La Commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée Nationale a adopté la semaine dernière le rapport pour avis de la mission médias, livres et industries culturelles et avances à l’audiovisuel public des députées Frédérique Dumas et Béatrice Piron (LREM).

L’ARP, le BLOC, la Guilde des scénaristes, le Groupe 25 images, la SACD, le SATEV, la SCAM, le SPECT, le SPFA, le SPI, l’USPA souhaitent apporter leur soutien aux principales conclusions de ce rapport sérieux et approfondi qui rappelle opportunément qu’à l’heure où des coupes sévères sont demandées au service public, des efforts de gestion importants ont déjà été engagés ces dernières années par les entreprises de l’audiovisuel public.

Les signataires du présent communiqué saluent la volonté des rapporteures que soit lancée sans tarder une réflexion sur la place et les missions qui doivent être celles du service public, en particulier au regard de la révolution numérique.

Cette redéfinition des objectifs stratégiques des entreprises publiques doit aller de pair avec une modernisation du financement de l’audiovisuel public pour répondre à ces nouveaux enjeux, à l’évolution et à la diversité des usages et des publics et à la nécessité de maintenir un engagement fort en faveur de la création audiovisuelle et cinématographique.

Dans ce cadre, les rapporteures ont raison de souligner l’inadéquation de l’actuelle contribution à l’audiovisuel public (CAP) avec la nouvelle donne technologique, numérique et concurrentielle que connaissent les entreprises du service public. C’est pourquoi, comme elles, les signataires sont convaincus que « l’universalisation » de la CAP, permettant de soumettre chaque foyer au versement d’une contribution, est la seule solution pour garantir un financement adéquat et pérenne de l’audiovisuel public et pour accompagner le développement de ces entreprises.

Les exemples européens cités dans le rapport, notamment l’Allemagne et la Finlande, fournissent l’illustration de réformes réussies, desquels la France pourrait utilement s’inspirer.

Enfin, les rapporteures soulignent à juste titre combien la visibilité et la stabilité sont essentielles à l’audiovisuel public. Les soubresauts budgétaires de ces dernières années, dont le dernier en date dans le cadre de la loi de finances 2018, témoignent de la nécessité de garantir un cadre financier rénové, pérenne aux entreprises de l’audiovisuel public en contrepartie de missions clairement définies.

Il est urgent d’agir sur ce dossier et de lancer ce chantier de refonte du financement de l’audiovisuel, qui aille au-delà d’une seule vision comptable.

Les organisations signataires forment des vœux pour que la ministre de la Culture, qui a affirmé sa volonté de réforme du financement de l’audiovisuel public lors de son audition à l’Assemblée Nationale le 7 novembre dernier, s’inscrive dans la voie ambitieuse et utile tracée par les parlementaires.

***

CONTACTS PRESSE :

ARP : Marc Legrand – 01 53 42 40 01 – mlegrand@larp.fr

BLOC : Julie Lethiphu – 01 44 89 62 58 – jlethiphu@la-srf.fr
Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – frederic.goldsmith@producteurscinema.fr

Guilde française des scénaristes : Marie Barraco – 06 52 81 60 37 – marie@kandimari.com

Groupe 25 images : Michaël Morlon – 06 60 45 65 69 – morlon.michael@gmail.com

SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr

SATEV : Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr

SCAM : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05- astrid.lockhart@scam.fr

SPECT : Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr

SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

USPA – SPFA : Stéphane Le Bars – 06 60 23 53 96 – s.lebars@uspa.fr

La Commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée Nationale a adopté la semaine dernière le rapport pour avis de la mission médias, livres et industries culturelles et avances à l’audiovisuel public des députées Frédérique Dumas et Béatrice Piron (LREM). L’ARP, le BLOC, la Guilde des scénaristes, le Groupe 25 images, la SACD, le SATEV, la SCAM, le SPECT, le SPFA, le SPI, l’USPA souhaitent apporter leur soutien aux principales conclusions de ce rapport sérieux et approfondi qui rappelle opportunément qu’à l’heure où des coupes sévères sont demandées au service public, des efforts de gestion importants ont déjà été engagés ces dernières années par les entreprises de l’audiovisuel public. Les signataires du présent communiqué saluent la volonté des rapporteures que soit lancée sans tarder une réflexion sur la place et les missions qui doivent être celles du service public, en particulier au regard de la révolution numérique. Cette redéfinition des objectifs stratégiques des entreprises publiques doit aller de pair avec une modernisation du financement de l’audiovisuel public pour répondre à ces nouveaux enjeux, à l’évolution et à la diversité des usages et des publics et à la nécessité de maintenir un engagement fort en faveur de la création audiovisuelle et cinématographique. Dans ce cadre, les rapporteures ont raison de souligner l’inadéquation de l’actuelle contribution à l’audiovisuel public (CAP) avec la nouvelle donne technologique, numérique et concurrentielle que connaissent les entreprises du service public. C’est pourquoi, comme elles, les signataires sont convaincus que « l’universalisation » de la CAP, permettant de soumettre chaque foyer au versement d’une contribution, est la seule solution pour garantir un financement adéquat et pérenne de l’audiovisuel public et pour accompagner le développement de ces entreprises. Les exemples européens cités dans le rapport, notamment l’Allemagne et la Finlande, fournissent l’illustration de réformes réussies, desquels la France pourrait utilement s’inspirer. Enfin, les rapporteures soulignent à juste titre combien la visibilité et la stabilité sont essentielles à l’audiovisuel public. Les soubresauts budgétaires de ces dernières années, dont le dernier en date dans le cadre de la loi de finances 2018, témoignent de la nécessité de garantir un cadre financier rénové, pérenne aux entreprises de l’audiovisuel public en contrepartie de missions clairement définies. Il est urgent d’agir sur ce dossier et de lancer ce chantier de refonte du financement de l’audiovisuel, qui aille au-delà d’une seule vision comptable. Les organisations signataires forment des vœux pour que la ministre de la Culture, qui a affirmé sa volonté de réforme du financement de l’audiovisuel public lors de son audition à l’Assemblée Nationale le 7 novembre dernier, s’inscrive dans la voie ambitieuse et utile tracée par les parlementaires. *** CONTACTS PRESSE : ARP : Marc Legrand – 01 53 42 40 01 – mlegrand@larp.fr BLOC : Julie Lethiphu – 01 44 89 62 58 – jlethiphu@la-srf.fr – Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – frederic.goldsmith@producteurscinema.fr Guilde française des scénaristes : Marie Barraco – 06 52 81 60 37 – marie@kandimari.com Groupe 25 images : Michaël Morlon – 06 60 45 65 69 – morlon.michael@gmail.com SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr SATEV : Florence Braka – 01 42 47 01 00 – f.braka@ffap.fr SCAM : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05- astrid.lockhart@scam.fr SPECT : Vincent Gisbert – 01 40 53 23 38 – vincentgisbert@spect.fr SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org USPA – SPFA : Stéphane Le Bars – 06 60 23 53 96 – …

16 novembre 2017Actus-SPIactus-spi
Bureaux à louer Paris 20ème

Bonjour,

Bureaux en open-space disponibles au rdc d’une maison en plein coeur du 20ème (M° Télégraphe) dans le quartier pavillonnaire

Plusieurs possibilités d’utilisations : Tout l’espace ou poste par poste, court ou long terme, bureaux de prépa ou pendant un tournage.

Dans une grande pièce de 35m2 donnant sur un patio extérieur de 8m2 4 bureaux en open-space disponibles immédiatement sans limite de temps.
et 1 bureau indépendant de 13m2, donnant lui aussi sur le patio. Disponible immédiatement sans limite de temps.

A disposition, si besoin : Imprimante, scanner, internet wifi.

Grande cuisine, micro-onde, frigo, cafetière…`

Partageons cet espace de travail pour créer une synergie, des échanges d’idées et pourquoi pas de projets.

Merci de me contacter par mail (l.kertekian@monagence.eu ou au 06.11.14.53.91).

Bonjour, Bureaux en open-space disponibles au rdc d’une maison en plein coeur du 20ème (M° Télégraphe) dans le quartier pavillonnaire Plusieurs possibilités d’utilisations : Tout l’espace ou poste par poste, court ou long terme, bureaux de prépa ou pendant un tournage. Dans une grande pièce de 35m2 donnant sur un patio extérieur de 8m2 4 bureaux en open-space disponibles immédiatement sans limite de temps. et 1 bureau indépendant de 13m2, donnant lui aussi sur le patio. Disponible immédiatement sans limite de temps. A disposition, si besoin : Imprimante, scanner, internet wifi. Grande cuisine, micro-onde, frigo, cafetière…` Partageons cet espace de travail pour créer une synergie, des échanges d’idées et pourquoi pas de projets. Merci de me contacter par mail (l.kertekian@monagence.eu ou au …

6 novembre 2017Annoncesannonces
Le BLOC appelle les pouvoirs publics à agir à la suite de la décision du Conseil constitutionnel sur la TST-E (taxe sur les éditeurs de services de télévision)

Les organisations membres du Bureau de liaison des organisations du cinéma (BLOC) ont pris acte de la décision rendue vendredi dernier par le Conseil constitutionnel de déclarer inconstitutionnelle une partie du texte instituant la taxe perçue par le CNC et acquittée par les chaînes de télévision sur leurs recettes publicitaires (TST-E).

Elles saluent la sagesse du Conseil d’avoir reporté les effets de sa décision au 1er juillet 2018, afin de permettre aux pouvoirs publics de sécuriser la taxe pour l’avenir et d’éviter tout risque portant sur les sommes déjà perçues.

Elles remercient la Ministre de la Culture d’avoir d’ores et déjà annoncé qu’une mesure de sécurisation de la TST-E serait présentée dans le projet de loi de finances rectificative qui sera déposé mi-novembre.

Elles rappellent l’importance de cette taxe qui contribue à financer l’ensemble de la création française à hauteur d’environ 290 millions d’euros par an, au sein des mécanismes de soutien gérés par le CNC, socles de notre exception culturelle.

Enfin, elles expriment leur profonde incompréhension face aux chaînes privées qui sont à l’origine de cette action en justice mettant en danger le système de financement du cinéma et de l’audiovisuel français, dont elles-mêmes bénéficient. Cette manœuvre violente de leur part, en remettant en cause le bien-fondé de cette taxe et en demandant un remboursement au CNC de plus de 500 M€ à ce titre, aurait pu mettre en péril toute la filière cinématographique et audiovisuelle, au détriment de la qualité et de la diversité des œuvres et de l’intérêt du public.

Contacts :

Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65

Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30

Les organisations membres du Bureau de liaison des organisations du cinéma (BLOC) ont pris acte de la décision rendue vendredi dernier par le Conseil constitutionnel de déclarer inconstitutionnelle une partie du texte instituant la taxe perçue par le CNC et acquittée par les chaînes de télévision sur leurs recettes publicitaires (TST-E). Elles saluent la sagesse du Conseil d’avoir reporté les effets de sa décision au 1er juillet 2018, afin de permettre aux pouvoirs publics de sécuriser la taxe pour l’avenir et d’éviter tout risque portant sur les sommes déjà perçues. Elles remercient la Ministre de la Culture d’avoir d’ores et déjà annoncé qu’une mesure de sécurisation de la TST-E serait présentée dans le projet de loi de finances rectificative qui sera déposé mi-novembre. Elles rappellent l’importance de cette taxe qui contribue à financer l’ensemble de la création française à hauteur d’environ 290 millions d’euros par an, au sein des mécanismes de soutien gérés par le CNC, socles de notre exception culturelle. Enfin, elles expriment leur profonde incompréhension face aux chaînes privées qui sont à l’origine de cette action en justice mettant en danger le système de financement du cinéma et de l’audiovisuel français, dont elles-mêmes bénéficient. Cette manœuvre violente de leur part, en remettant en cause le bien-fondé de cette taxe et en demandant un remboursement au CNC de plus de 500 M€ à ce titre, aurait pu mettre en péril toute la filière cinématographique et audiovisuelle, au détriment de la qualité et de la diversité des œuvres et de l’intérêt du public. Contacts : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 …

6 novembre 2017Actus-SPIactus-spi
Décision du Conseil constitutionnel sur la taxe sur les services de télévision affectée au CNC : éviter le pire

Le SPI prend connaissance ce jour de la décision du Conseil constitutionnel, censurant la taxe sur les services de télévision (TST-E) affectée au CNC et du sage aménagement reportant l’effet de cette décision à juillet 2018 afin de permettre au législateur de régulariser les dispositions contestées.

Une application immédiate aurait mis gravement en péril le CNC, reconnu dans le monde entier comme le modèle français du soutien au cinéma et à l’audiovisuel. Ses aides, ses interventions stratégiques soutiennent la création depuis des années.

Le CNC a pour mission de protéger et de développer un secteur construit historiquement comme un écosystème vertueux. Il est le partenaire de l’ensemble des acteurs de la filière, y compris des chaînes de télévision qui bénéficient directement et indirectement de la redistribution qu’il opère et du dynamisme de l’ensemble du secteur qu’il accompagne.

La mutualisation des ressources au profit de la création audiovisuelle et cinématographique est un des piliers de la politique culturelle de notre pays, au côté de l’indépendance des entreprises de production et des obligations de financement et d’exposition des œuvres par les chaînes.

Cette sanction toucherait par conséquent tout le secteur de la création audiovisuelle et cinématographique qui assure une promotion et un rayonnement culturel de la France dans le monde.

Le SPI exprime sa satisfaction mais aussi son inquiétude, et appelle les pouvoirs publics et les parlementaires à prendre des mesures immédiates permettant le maintien de l’intervention publique au bénéfice de la diversité d’un secteur professionnel reconnu dans le monde entier.

Paris, le 27 octobre 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Le SPI prend connaissance ce jour de la décision du Conseil constitutionnel, censurant la taxe sur les services de télévision (TST-E) affectée au CNC et du sage aménagement reportant l’effet de cette décision à juillet 2018 afin de permettre au législateur de régulariser les dispositions contestées. Une application immédiate aurait mis gravement en péril le CNC, reconnu dans le monde entier comme le modèle français du soutien au cinéma et à l’audiovisuel. Ses aides, ses interventions stratégiques soutiennent la création depuis des années. Le CNC a pour mission de protéger et de développer un secteur construit historiquement comme un écosystème vertueux. Il est le partenaire de l’ensemble des acteurs de la filière, y compris des chaînes de télévision qui bénéficient directement et indirectement de la redistribution qu’il opère et du dynamisme de l’ensemble du secteur qu’il accompagne. La mutualisation des ressources au profit de la création audiovisuelle et cinématographique est un des piliers de la politique culturelle de notre pays, au côté de l’indépendance des entreprises de production et des obligations de financement et d’exposition des œuvres par les chaînes. Cette sanction toucherait par conséquent tout le secteur de la création audiovisuelle et cinématographique qui assure une promotion et un rayonnement culturel de la France dans le monde. Le SPI exprime sa satisfaction mais aussi son inquiétude, et appelle les pouvoirs publics et les parlementaires à prendre des mesures immédiates permettant le maintien de l’intervention publique au bénéfice de la diversité d’un secteur professionnel reconnu dans le monde entier. Paris, le 27 octobre 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

30 octobre 2017Actus-SPIactus-spi
Le BLOC appelle Canal Plus à ne pas se tromper d’adversaire et à renforcer son partenariat avec le cinéma français dans sa diversité

Les organisations membres du Bureau de liaison des organisations du cinéma (BLOC) expriment leur étonnement et leur désaccord à la lecture de l’interview de Maxime Saada, Directeur général du groupe Canal Plus, dans le Figaro d’aujourd’hui.

Il y est indiqué que face à une situation financière tendue et surtout à l’émergence de Netflix, d’Amazon et d’Altice Studio, qui n’ont signé aucune obligation d’investissement dans le cinéma, « coup Canal + a décidé de remettre à plat ses relations avec le cinéma », en formulant un certain nombre de demandes nouvelles, incompatibles avec la réglementation actuelle et les accords professionnels le liant au cinéma jusqu’au 31 décembre 2019 qui lui confèrent un statut privilégié lui permettant notamment d’effectuer jusqu’à 50 multidiffusions assorties chacune d’une semaine de télévision de rattrapage.

Ces demandes remettraient en cause cette réglementation et ces accords, et aboutiraient toutes ensemble à abaisser encore plus drastiquement les investissements de Canal Plus dans le cinéma, qui ont déjà chuté lourdement en 2017, de 35 millions d’euros, ce qui est d’ores et déjà d’une grande gravité pour le secteur.

Les organisations du BLOC entendent rappeler que si Canal Plus annonce une telle baisse de ses investissements en préachat de films français et européens, c’est précisément parce que ses obligations ont pris en compte la baisse de son chiffre d’affaires.

Accroître encore cette baisse serait délétère pour la création cinématographique française, tout particulièrement la création indépendante, et se ferait au détriment de la diversité des films disponibles sur Canal Plus, alors qu’il s’agit de la première motivation d’abonnement à ce service.

Elles tiennent à souligner que la position de Netflix, d’Amazon et d’Altice ne justifient nullement la virulence de la réaction de Canal Plus à l’égard du cinéma français.

Tout d’abord, Netflix et Amazon étant des services de vidéo à la demande par abonnement, ils sont actuellement situés à 36 mois dans la chronologie des médias, alors que Canal Plus diffuse les œuvres à 10 mois après leur sortie nationale.

Ensuite, si Altice Studio avance qu’elle est basée au Luxembourg pour tenter de s’exonérer des obligations d’investissement dans le cinéma prévues par le droit français, l’ensemble des organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel n’en ont pas moins saisi le CSA car, selon leur analyse, cette chaîne est dans les faits à la fois basée en France et destinée au public français. Ce sujet est donc entre les mains de l’instance de régulation, dont la réponse est attendue par tous.

Enfin, la Ministre de la culture a nommé un médiateur sur la chronologie des médias, qui commence à peine ses auditions. Le BLOC rappelle à ce sujet qu’il milite pour la mise en place d’une différenciation plus marquée des fenêtres des opérateurs « vertueux » tels que Canal Plus par rapport à celles des opérateurs qui ne le sont pas.

Dans ces conditions, les demandes de Canal Plus sont contre-productives et ne reflètent nullement les efforts constants des organisations du BLOC, pour accompagner le groupe Canal Plus dans ses mutations et « faire bouger les lignes ».

Elles ne rendent pas justice aux positions prises par le BLOC auprès de l’Autorité de la concurrence pour redonner au Groupe Canal Plus l’exclusivité de distribution du bouquet Ciné Plus, pour assouplir l’interdiction de l’exclusivité qui lui était imposée en matière de vidéo à la demande et pour défendre le principe fondateur de l’auto-distribution.

Les reproches effectués à l’encontre de la filière en matière de lutte contre le piratage occultent le fait que ce sujet, prioritaire pour l’ensemble de la filière, est très largement entre les mains des pouvoirs publics et que, sans attendre une action enfin déterminée de ces derniers contre ce fléau, un certain nombre d’organisations du cinéma ont agi en justice pour obtenir le blocage d’accès et le déréférencement de dizaines de sites illicites.

Elles appellent donc Canal Plus à renforcer son partenariat avec le cinéma français dans sa diversité, qui est au cœur de l’attractivité de son offre pour le public.

Les organisations membres du Bureau de liaison des organisations du cinéma (BLOC) expriment leur étonnement et leur désaccord à la lecture de l’interview de Maxime Saada, Directeur général du groupe Canal Plus, dans le Figaro d’aujourd’hui. Il y est indiqué que face à une situation financière tendue et surtout à l’émergence de Netflix, d’Amazon et d’Altice Studio, qui n’ont signé aucune obligation d’investissement dans le cinéma, « coup Canal + a décidé de remettre à plat ses relations avec le cinéma », en formulant un certain nombre de demandes nouvelles, incompatibles avec la réglementation actuelle et les accords professionnels le liant au cinéma jusqu’au 31 décembre 2019 qui lui confèrent un statut privilégié lui permettant notamment d’effectuer jusqu’à 50 multidiffusions assorties chacune d’une semaine de télévision de rattrapage. Ces demandes remettraient en cause cette réglementation et ces accords, et aboutiraient toutes ensemble à abaisser encore plus drastiquement les investissements de Canal Plus dans le cinéma, qui ont déjà chuté lourdement en 2017, de 35 millions d’euros, ce qui est d’ores et déjà d’une grande gravité pour le secteur. Les organisations du BLOC entendent rappeler que si Canal Plus annonce une telle baisse de ses investissements en préachat de films français et européens, c’est précisément parce que ses obligations ont pris en compte la baisse de son chiffre d’affaires. Accroître encore cette baisse serait délétère pour la création cinématographique française, tout particulièrement la création indépendante, et se ferait au détriment de la diversité des films disponibles sur Canal Plus, alors qu’il s’agit de la première motivation d’abonnement à ce service. Elles tiennent à souligner que la position de Netflix, d’Amazon et d’Altice ne justifient nullement la virulence de la réaction de Canal Plus à l’égard du cinéma français. Tout d’abord, Netflix et Amazon étant des services de vidéo à la demande par abonnement, ils sont actuellement situés à 36 mois dans la chronologie des médias, alors que Canal Plus diffuse les œuvres à 10 mois après leur sortie nationale. Ensuite, si Altice Studio avance qu’elle est basée au Luxembourg pour tenter de s’exonérer des obligations d’investissement dans le cinéma prévues par le droit français, l’ensemble des organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel n’en ont pas moins saisi le CSA car, selon leur analyse, cette chaîne est dans les faits à la fois basée en France et destinée au public français. Ce sujet est donc entre les mains de l’instance de régulation, dont la réponse est attendue par tous. Enfin, la Ministre de la culture a nommé un médiateur sur la chronologie des médias, qui commence à peine ses auditions. Le BLOC rappelle à ce sujet qu’il milite pour la mise en place d’une différenciation plus marquée des fenêtres des opérateurs « vertueux » tels que Canal Plus par rapport à celles des opérateurs qui ne le sont pas. Dans ces conditions, les demandes de Canal Plus sont contre-productives et ne reflètent nullement les efforts constants des organisations du BLOC, pour accompagner le groupe Canal Plus dans ses mutations et « faire bouger les lignes ». Elles ne rendent pas justice aux positions prises par le BLOC auprès de l’Autorité de la concurrence pour redonner au Groupe Canal Plus l’exclusivité de distribution du bouquet Ciné Plus, pour assouplir l’interdiction de l’exclusivité qui lui était imposée en matière de vidéo à la demande et pour défendre le principe fondateur de l’auto-distribution. Les reproches effectués à l’encontre de la filière en matière de lutte contre le piratage occultent le fait que ce sujet, prioritaire pour l’ensemble de la filière, est très largement entre les mains des pouvoirs publics et que, sans attendre une action enfin déterminée de ces derniers contre ce fléau, un certain nombre d’organisations du cinéma ont agi en justice pour obtenir le blocage d’accès et le déréférencement de dizaines de sites illicites. Elles appellent donc Canal Plus à renforcer son partenariat avec le cinéma français dans sa diversité, qui est au cœur de l’attractivité de son offre pour le …

27 octobre 2017Actus-SPIactus-spi
ARP-BLOC-SACD-SCAM-USPA-SPFA-SPI : Financement de France Télévisions : une marche en arrière inquiétante

L’ARP, le BLOC, la SACD, la SCAM, le SPFA, le SPI et l’USPA sont surpris et déçus par la décision du groupe La République En Marche à l’Assemblée nationale de retoquer l’amendement déposé et voté en Commission des finances la semaine passée pour abonder les ressources de France Télévisions de 20 millions d’€ supplémentaires.

Alors qu’un effort de près de 50 millions d’€ a été demandé à France Télévisions dans le projet de loi de finances, le rapporteur général du budget, Joël Giraud, et la députée Frédérique Dumas avaient pris l’initiative de proposer une solution équilibrée, quasiment neutre pour les finances publiques et n’exonérant pas France Télévisions de son devoir d’économies.

Le retour en arrière du groupe En Marche inquiète vivement tous les créateurs et professionnels de l’audiovisuel et du cinéma. Le statu-quo actuel serait grave car il n’est pas le signe d’une ambition forte pour le service public qui est pourtant le pivot du financement et de la diffusion de la création en France.

Aussi, l’ARP, le BLOC, la SACD, la SCAM, le SPFA, le SPI et l’USPA interpellent le Parlement et plus largement les pouvoirs publics face à ce défi : comment s’assurer que les engagements de France Télévisions à l’égard de la création audiovisuelle et cinématographique pourront être effectivement tenus en 2018?

Contacts presse :

L’ARP : Marc Legrand – 01 53 42 40 01 – mlegrand@larp.fr

Le BLOC : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 – jlethiphu@la-srf.fr / Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – frederic.goldsmith@producteurscinema.fr

SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr

SCAM : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05- astrid.lockhart@scam.fr

SPFA – USPA : Stéphane Le Bars –06 60 23 53 96- s.lebars@uspa.fr

SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – cbertin@lespi.org

L’ARP, le BLOC, la SACD, la SCAM, le SPFA, le SPI et l’USPA sont surpris et déçus par la décision du groupe La République En Marche à l’Assemblée nationale de retoquer l’amendement déposé et voté en Commission des finances la semaine passée pour abonder les ressources de France Télévisions de 20 millions d’€ supplémentaires. Alors qu’un effort de près de 50 millions d’€ a été demandé à France Télévisions dans le projet de loi de finances, le rapporteur général du budget, Joël Giraud, et la députée Frédérique Dumas avaient pris l’initiative de proposer une solution équilibrée, quasiment neutre pour les finances publiques et n’exonérant pas France Télévisions de son devoir d’économies. Le retour en arrière du groupe En Marche inquiète vivement tous les créateurs et professionnels de l’audiovisuel et du cinéma. Le statu-quo actuel serait grave car il n’est pas le signe d’une ambition forte pour le service public qui est pourtant le pivot du financement et de la diffusion de la création en France. Aussi, l’ARP, le BLOC, la SACD, la SCAM, le SPFA, le SPI et l’USPA interpellent le Parlement et plus largement les pouvoirs publics face à ce défi : comment s’assurer que les engagements de France Télévisions à l’égard de la création audiovisuelle et cinématographique pourront être effectivement tenus en 2018? Contacts presse : L’ARP : Marc Legrand – 01 53 42 40 01 – mlegrand@larp.fr Le BLOC : Julie Lethiphu – 01 44 89 99 65 – jlethiphu@la-srf.fr / Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 – frederic.goldsmith@producteurscinema.fr SACD : Agnès Mazet – 01 40 23 45 11 – agnes.mazet@sacd.fr SCAM : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05- astrid.lockhart@scam.fr SPFA – USPA : Stéphane Le Bars –06 60 23 53 96- s.lebars@uspa.fr SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 – …

20 octobre 2017Actus-SPIactus-spi
Financement de France Télévisions : un premier pas

La Commission des Finances de l’Assemblée Nationale a adopté jeudi dernier un amendement dans le cadre du projet de loi de finances 2018 permettant d’abonder de 20 millions supplémentaires le budget de France Télévisions.

Les syndicats de producteurs audiovisuels tiennent à remercier Joël Giraud, rapporteur général du Budget, Frédérique Dumas, rapporteure pour la Commission Culture et Marie-Ange Magne, rapporteure pour la Commission des Finances, à l’initiative de cet amendement.

Cet abondement permet d’atténuer le coup de rabot de 47 millions d’euros imposé à France Télévisions dans le cadre de son budget 2018. Il acte un moratoire sur l’arrêt de la publicité jeunesse pour un an ainsi qu’une réaffectation d’une petite fraction de la taxe sur les opérateurs de communication électronique (TOCE), créée initialement pour financer l’arrêt de la publicité après 20h00 sur France Télévisions et qui vient abonder aujourd’hui majoritairement le budget de l’Etat.

Cette solution de compromis engage France Télévisions à participer à l’effort général d’économie mais souligne l’attachement des parlementaires au financement de l’audiovisuel public, acteur essentiel d’une grande société démocratique.

S’il donne la possibilité à France Télévisions de respecter ses engagements minima envers la création audiovisuelle et cinématographique, cet amendement sera néanmoins insuffisant à garantir la croissance des volumes d’investissement que permettait le Contrat d’Objectifs et de Moyens signé l’année dernière avec l’Etat et, plus largement, à maintenir l’ensemble de son offre de programmes.

C’est pourquoi les syndicats de producteurs audiovisuels souhaitent que l’examen du projet de loi de finances 2018 en séance publique soit l’occasion d’augmenter la part de TOCE réaffectée à France Télévisions au-delà des 3 M€ prévus. Des amendements initiaux prévoyaient ainsi de porter celle-ci jusqu’à 20 M€.

Il revient à l’Assemblée Nationale de s’interroger sur le juste niveau d’économies structurelles qui peut être demandé au groupe France Télévisions sans toucher à sa mission première : celle d’offrir la plus large palette possible de programmes ambitieux, distinctifs, culturels et éducatifs à tous les publics, sur tous les supports. A l’heure des grands bouleversements numériques, de la concurrence frontale qu’exercent les grands opérateurs américains sur les acteurs nationaux, la filière audiovisuelle a besoin d’un service public fort et ambitieux pour jouer un rôle majeur dans le concert international.

Ces soubresauts budgétaires témoignent de l’urgence à moderniser la contribution à l’audiovisuel public. Déjà résolument engagée dans de nombreux pays, cette transformation doit permettre de garantir un cadre financier rénové, pérenne aux entreprises de l’audiovisuel public en contrepartie de missions clairement définies. Il n’est plus temps de reculer une nouvelle fois sur ce dossier, il est désormais urgent d’agir.

Satev : Florence Braka, Déléguée générale – f.braka@ffap.fr

Spect : Vincent Gisbert, Délégué général – vincentgisbert@spect.fr

Spi : Catherine Bertin, Déléguée générale – cbertin@lespi.org

Spfa – Uspa : Stéphane Le Bars, Délégué général – s.lebars@uspa.fr

La Commission des Finances de l’Assemblée Nationale a adopté jeudi dernier un amendement dans le cadre du projet de loi de finances 2018 permettant d’abonder de 20 millions supplémentaires le budget de France Télévisions. Les syndicats de producteurs audiovisuels tiennent à remercier Joël Giraud, rapporteur général du Budget, Frédérique Dumas, rapporteure pour la Commission Culture et Marie-Ange Magne, rapporteure pour la Commission des Finances, à l’initiative de cet amendement. Cet abondement permet d’atténuer le coup de rabot de 47 millions d’euros imposé à France Télévisions dans le cadre de son budget 2018. Il acte un moratoire sur l’arrêt de la publicité jeunesse pour un an ainsi qu’une réaffectation d’une petite fraction de la taxe sur les opérateurs de communication électronique (TOCE), créée initialement pour financer l’arrêt de la publicité après 20h00 sur France Télévisions et qui vient abonder aujourd’hui majoritairement le budget de l’Etat. Cette solution de compromis engage France Télévisions à participer à l’effort général d’économie mais souligne l’attachement des parlementaires au financement de l’audiovisuel public, acteur essentiel d’une grande société démocratique. S’il donne la possibilité à France Télévisions de respecter ses engagements minima envers la création audiovisuelle et cinématographique, cet amendement sera néanmoins insuffisant à garantir la croissance des volumes d’investissement que permettait le Contrat d’Objectifs et de Moyens signé l’année dernière avec l’Etat et, plus largement, à maintenir l’ensemble de son offre de programmes. C’est pourquoi les syndicats de producteurs audiovisuels souhaitent que l’examen du projet de loi de finances 2018 en séance publique soit l’occasion d’augmenter la part de TOCE réaffectée à France Télévisions au-delà des 3 M€ prévus. Des amendements initiaux prévoyaient ainsi de porter celle-ci jusqu’à 20 M€. Il revient à l’Assemblée Nationale de s’interroger sur le juste niveau d’économies structurelles qui peut être demandé au groupe France Télévisions sans toucher à sa mission première : celle d’offrir la plus large palette possible de programmes ambitieux, distinctifs, culturels et éducatifs à tous les publics, sur tous les supports. A l’heure des grands bouleversements numériques, de la concurrence frontale qu’exercent les grands opérateurs américains sur les acteurs nationaux, la filière audiovisuelle a besoin d’un service public fort et ambitieux pour jouer un rôle majeur dans le concert international. Ces soubresauts budgétaires témoignent de l’urgence à moderniser la contribution à l’audiovisuel public. Déjà résolument engagée dans de nombreux pays, cette transformation doit permettre de garantir un cadre financier rénové, pérenne aux entreprises de l’audiovisuel public en contrepartie de missions clairement définies. Il n’est plus temps de reculer une nouvelle fois sur ce dossier, il est désormais urgent d’agir. Satev : Florence Braka, Déléguée générale – f.braka@ffap.fr Spect : Vincent Gisbert, Délégué général – vincentgisbert@spect.fr Spi : Catherine Bertin, Déléguée générale – cbertin@lespi.org Spfa – Uspa : Stéphane Le Bars, Délégué général – …

17 octobre 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs 16 films sélectionnés aux Oscars 2018, et salue le choix de « 120 Battements par minute » de Robin Campillo pour représenter la France à cette compétition

A l’occasion de l’annonce des films sélectionnés pour les Oscars 2018, le SPI félicite ses adhérents pour la production de 16 films retenus par les pays candidats à l’Oscar du Meilleur film en langue étrangère, et salue le choix de « 120 Battements par minute » de Robin Campillo pour représenter la France à cette compétition.

Ces sélections honorent notre syndicat et démontrent que la richesse du cinéma français passe par son tissu de producteurs indépendants qui accompagnent les réalisateurs et fédèrent les compétences pour porter des projets artistiquement ambitieux.

Alors que se prennent les derniers arbitrages sur la réforme de l’agrément, ces sélections démontrent, s’il en est besoin, la pertinence et l’efficacité des accords de coproduction et des soutiens du CNC dans le rayonnement du cinéma français à l’international.

[*Pour représenter la France :*]

« 120 Battements par minute » de Robin Campillo

[**Les Films de Pierre*]

[*Pour représenter l’Afrique du Sud :*]

« Les Initiés » de John Trengove

[**Deuxième Ligne Film*]s

[*Pour représenter l’Algérie :*]

« La Route d’Istanbul » de Rachid Bouchareb

[**3B Productions*]

[*Pour représenter l’Argentine :*]

« Zama » de Lucrecia Martel

[**MPM Film – Movie Partners in Motion Film*]

[*Pour représenter l’Italie :*]

« A Ciambra » de Jonas Carpignano

[**Haut et Court*]

[*Pour représenter le Liban :*]

« L’Insulte » de Ziad Doueiri

[**Tessalit Productions*]

[*Pour représenter la Lituanie :*]

« Frost » de Sharunas Bartas

[**KinoElektron*]

[*Pour représenter le Maroc :*]

« Razzia » de Nabil Ayouch

[**Unité de Production*]

[*Pour représenter le Mozambique :*]

« Le Train de sel et de sucre » de Licinio Azevedo

[**Les Films de l’Étranger*]

[*Pour représenter le Portugal :*]

« Saint Georges » de Marco Martins

[**Les Films de l’Après-Midi*]

[*Pour représenter la République tchèque :*]

« Ice Mother » de Bohdan Slama

[**Why Not Productions*]

[*Pour représenter la Roumanie :*]

« Fixeur » d’Adrian Sitaru

[**Petit Film*]

[*Pour représenter la Russie :*]

« Faute d’amour » d’Andreï Zviaguintsev

[**Why Not Productions*]

[*Pour représenter le Sénégal :*]

« Félicité » d’Alain Gomis

[**Andolfi*]

[*Pour représenter la Thaïlande :*]

« By the Time It Gets Dark » d’Anocha Suwichakornpong

[**Survivance*]

[*Pour représenter les Territoires palestiniens :*]

« Wajib » d’Annemarie Jacir

[**JBA Production*]

A l’occasion de l’annonce des films sélectionnés pour les Oscars 2018, le SPI félicite ses adhérents pour la production de 16 films retenus par les pays candidats à l’Oscar du Meilleur film en langue étrangère, et salue le choix de « 120 Battements par minute » de Robin Campillo pour représenter la France à cette compétition. Ces sélections honorent notre syndicat et démontrent que la richesse du cinéma français passe par son tissu de producteurs indépendants qui accompagnent les réalisateurs et fédèrent les compétences pour porter des projets artistiquement ambitieux. Alors que se prennent les derniers arbitrages sur la réforme de l’agrément, ces sélections démontrent, s’il en est besoin, la pertinence et l’efficacité des accords de coproduction et des soutiens du CNC dans le rayonnement du cinéma français à l’international. [*Pour représenter la France :*] « 120 Battements par minute » de Robin Campillo [**Les Films de Pierre*] [*Pour représenter l’Afrique du Sud :*] « Les Initiés » de John Trengove [**Deuxième Ligne Film*]s [*Pour représenter l’Algérie :*] « La Route d’Istanbul » de Rachid Bouchareb [**3B Productions*] [*Pour représenter l’Argentine :*] « Zama » de Lucrecia Martel [**MPM Film – Movie Partners in Motion Film*] [*Pour représenter l’Italie :*] « A Ciambra » de Jonas Carpignano [**Haut et Court*] [*Pour représenter le Liban :*] « L’Insulte » de Ziad Doueiri [**Tessalit Productions*] [*Pour représenter la Lituanie :*] « Frost » de Sharunas Bartas [**KinoElektron*] [*Pour représenter le Maroc :*] « Razzia » de Nabil Ayouch [**Unité de Production*] [*Pour représenter le Mozambique :*] « Le Train de sel et de sucre » de Licinio Azevedo [**Les Films de l’Étranger*] [*Pour représenter le Portugal :*] « Saint Georges » de Marco Martins [**Les Films de l’Après-Midi*] [*Pour représenter la République tchèque :*] « Ice Mother » de Bohdan Slama [**Why Not Productions*] [*Pour représenter la Roumanie :*] « Fixeur » d’Adrian Sitaru [**Petit Film*] [*Pour représenter la Russie :*] « Faute d’amour » d’Andreï Zviaguintsev [**Why Not Productions*] [*Pour représenter le Sénégal :*] « Félicité » d’Alain Gomis [**Andolfi*] [*Pour représenter la Thaïlande :*] « By the Time It Gets Dark » d’Anocha Suwichakornpong [**Survivance*] [*Pour représenter les Territoires palestiniens :*] « Wajib » d’Annemarie Jacir [**JBA …

11 octobre 2017Actus-SPIactus-spi
BLOC : Les organisations professionnelles du cinéma et de l’audiovisuel saisissent le CSA de la situation d’Altice Studio

L’ensemble des organisations du cinéma et de l’audiovisuel ont saisi le CSA sur la situation d’Altice Studio, le nouveau service de télévision proposé aux abonnés de SFR depuis le 29 août dernier.

Lors de la conférence de presse donnée pour le lancement de ce service de télévision payante consacré à la diffusion de séries TV et de films, les dirigeants d’Altice Studio ont affirmé qu’ils n’entendaient pas négocier d’accord avec les organisations du cinéma et ont indiqué qu’ils n’appliqueraient pas les obligations d’investissements prévues par le droit français, la chaîne étant émise depuis le Luxembourg. De même, Alain Weil a indiqué au Festival de la fiction de La Rochelle le 15 septembre dernier que les conditions n’étaient pas encore réunies pour négocier un accord avec les organisations de la production audiovisuelle.

Les organisations du cinéma et de l’audiovisuel ont indiqué qu’elles ne sauraient souscrire à cette analyse et ont donc saisi le CSA afin qu’il agisse pour faire respecter par Altice Studio ses obligations aux termes du droit français.

L’ensemble des organisations du cinéma et de l’audiovisuel ont saisi le CSA sur la situation d’Altice Studio, le nouveau service de télévision proposé aux abonnés de SFR depuis le 29 août dernier. Lors de la conférence de presse donnée pour le lancement de ce service de télévision payante consacré à la diffusion de séries TV et de films, les dirigeants d’Altice Studio ont affirmé qu’ils n’entendaient pas négocier d’accord avec les organisations du cinéma et ont indiqué qu’ils n’appliqueraient pas les obligations d’investissements prévues par le droit français, la chaîne étant émise depuis le Luxembourg. De même, Alain Weil a indiqué au Festival de la fiction de La Rochelle le 15 septembre dernier que les conditions n’étaient pas encore réunies pour négocier un accord avec les organisations de la production audiovisuelle. Les organisations du cinéma et de l’audiovisuel ont indiqué qu’elles ne sauraient souscrire à cette analyse et ont donc saisi le CSA afin qu’il agisse pour faire respecter par Altice Studio ses obligations aux termes du droit …

26 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
Les organisations du BLOC se mobilisent pour l’audiovisuel public

Les organisations du BLOC expriment leurs plus vives inquiétudes au sujet des baisses des crédits annoncées dans l’audiovisuel public et s’insurgent contre une communication qui ne reflète pas la réalité des coupes envisagées. En effet, si la Ministre de la Culture a évoqué une baisse de 36 M€, calculée par rapport au budget 2017 des entreprises de l’audiovisuel public, il ne s’agit là que de la partie émergée de l’iceberg. Les baisses envisagées représentent en réalité 80 M € (dont 50 M€ pour France Télévisions et 5 M€ pour Arte), si l’on compare les Contrats d’Objectifs et de Moyens signés en 2016 avec les annonces récentes du gouvernement.

Les organisations du BLOC déplorent cette annonce brutale qui affaiblirait à nouveau les capacités d’investissement dans la création de France Télévisions et d’Arte, pourtant indispensables à la préservation du cinéma français dans toute sa diversité, et appellent les pouvoirs publics à soutenir la création française.

Elles demandent également aux pouvoirs publics de présenter une réflexion d’ensemble sur les ressources de l’audiovisuel public et non de pratiquer une nouvelle politique aveugle de « coupes » budgétaires.

Les organisations du BLOC expriment leurs plus vives inquiétudes au sujet des baisses des crédits annoncées dans l’audiovisuel public et s’insurgent contre une communication qui ne reflète pas la réalité des coupes envisagées. En effet, si la Ministre de la Culture a évoqué une baisse de 36 M€, calculée par rapport au budget 2017 des entreprises de l’audiovisuel public, il ne s’agit là que de la partie émergée de l’iceberg. Les baisses envisagées représentent en réalité 80 M € (dont 50 M€ pour France Télévisions et 5 M€ pour Arte), si l’on compare les Contrats d’Objectifs et de Moyens signés en 2016 avec les annonces récentes du gouvernement. Les organisations du BLOC déplorent cette annonce brutale qui affaiblirait à nouveau les capacités d’investissement dans la création de France Télévisions et d’Arte, pourtant indispensables à la préservation du cinéma français dans toute sa diversité, et appellent les pouvoirs publics à soutenir la création française. Elles demandent également aux pouvoirs publics de présenter une réflexion d’ensemble sur les ressources de l’audiovisuel public et non de pratiquer une nouvelle politique aveugle de « coupes » …

21 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
Le BLOC exprime toutes ses réserves sur l’accord-cadre conclu entre OCS et UGC Images

Le BLOC a pris connaissance par la presse courant juillet de l’annonce par le Président d’Orange de la conclusion d’un accord-cadre entre OCS et UGC Images, dans le cadre de l’extension du partenariat déjà existant entre Orange et UGC concernant la distribution des films coproduits par Orange Studio.

Le BLOC a constamment défendu le rôle d’OCS, afin que ce service exerce sa liberté d’investissement dans les œuvres cinématographiques les plus diverses, ce qui a été le cas ces dernières années et ce dont il a régulièrement donné acte aux équipes d’OCS en saluant leur travail.

Il a donc été tout particulièrement surpris d’apprendre qu’Orange entendait désormais obliger OCS à réserver une part de ses investissements dans les films EOF à un seul acteur privé.

Le BLOC a fait part au Président d’Orange et au Président du CSA de sa vive inquiétude et de ses plus grandes réserves sur ce schéma contractuel, qui porte atteinte au bon accomplissement par OCS de ses obligations de préfinancement d’œuvres cinématographiques EOF, édictées au bénéfice du dynamisme de la création cinématographique et tout particulièrement de la diversité et de la création indépendante.

OCS se doit d’assurer l’égalité de traitement entre les producteurs cinématographique et de garantir des conditions de concurrence équitable entre ceux-ci.
La signature de cet accord-cadre représente un mouvement de concentration supplémentaire dans un contexte déjà très marqué par les phénomènes d’intégration verticale.

Le BLOC a pris connaissance par la presse courant juillet de l’annonce par le Président d’Orange de la conclusion d’un accord-cadre entre OCS et UGC Images, dans le cadre de l’extension du partenariat déjà existant entre Orange et UGC concernant la distribution des films coproduits par Orange Studio. Le BLOC a constamment défendu le rôle d’OCS, afin que ce service exerce sa liberté d’investissement dans les œuvres cinématographiques les plus diverses, ce qui a été le cas ces dernières années et ce dont il a régulièrement donné acte aux équipes d’OCS en saluant leur travail. Il a donc été tout particulièrement surpris d’apprendre qu’Orange entendait désormais obliger OCS à réserver une part de ses investissements dans les films EOF à un seul acteur privé. Le BLOC a fait part au Président d’Orange et au Président du CSA de sa vive inquiétude et de ses plus grandes réserves sur ce schéma contractuel, qui porte atteinte au bon accomplissement par OCS de ses obligations de préfinancement d’œuvres cinématographiques EOF, édictées au bénéfice du dynamisme de la création cinématographique et tout particulièrement de la diversité et de la création indépendante. OCS se doit d’assurer l’égalité de traitement entre les producteurs cinématographique et de garantir des conditions de concurrence équitable entre ceux-ci. La signature de cet accord-cadre représente un mouvement de concentration supplémentaire dans un contexte déjà très marqué par les phénomènes d’intégration …

18 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
France Télévisions, la Guilde des scénaristes, le Groupe 25 Images, la SACD, le SPI et l’USPA ont signé la Charte relative au développement de la fiction

A l’occasion du Festival de fiction TV de La Rochelle, France Télévisions, la Guilde des scénaristes, le Groupe 25 Images, la SACD, le SPI et l’USPA ont signé la Charte relative au développement de la fiction, avec pour objectif de développer davantage de projets de séries pour accompagner l’ambition du « Plan création » de France Télévisions.

Ce nouvel accord, qui prolonge et renouvelle la précédente Charte signée le 4 juillet 2011, témoigne de la volonté commune des auteurs (scénaristes et réalisateurs), des producteurs et de France Télévisions d’œuvrer en faveur d’une fiction française diverse, originale et de qualité.

Pour y parvenir, la nouvelle Charte, unique dans le paysage audiovisuel, met en place une procédure précise et formalisée d’accueil et de développement des projets de séries favorisant le dialogue entre France Télévisions, les auteurs et les producteurs tout en assouplissant les processus de développement.

Son objectif : développer plus de séries et accompagner ainsi l’ambition de France Télévisions dans la mise en œuvre de son « Plan création » doté de 420 millions d’€ par an et dont la fiction représente un pan essentiel.

Les signataires placent beaucoup d’espoir dans la mise en œuvre de cette nouvelle Charte qui s’inscrit autour des principes suivants :

  • Un rapport renouvelé entre auteurs, producteurs et équipes de France Télévisions : la Charte instaure une pratique de « pitch » oral du producteur et de l’auteur devant les équipes éditoriales de France Télévisions pour défendre leur projet ;
  • Une écriture directe d’un 1er épisode dialogué d’une série, sans aucune étape d’écriture intermédiaire avec France Télévisions ;
  • Un raccourcissement de l’ensemble des délais d’écriture, des phases de développement et des processus de décision ;
  • Une rémunération complémentaire des auteurs (bonification de 30%) pour l’écriture du 1er épisode dialogué en contrepartie d’un engagement prioritaire et de délais de livraison raccourcis (3 mois) ;
  • Une implication plus en amont du réalisateur ;
  • Une transparence accrue : France Télévisions s’engage à communiquer annuellement aux auteurs et producteurs la répartition du montant total des conventions d’écriture.

Au-delà de ces nouveaux principes, les signataires ont souhaité conforter et maintenir l’équilibre général de la Charte initiale. Il repose donc toujours sur une responsabilisation de chacune des parties, auteur, producteur et équipe éditoriale dans chacune des phases du développement, tout en maintenant la possibilité d’arrêter des projets aux moments adéquats.

La signature de cette Charte impliquant les auteurs, les producteurs et France Télévisions -qui représente aujourd’hui plus de 50% des investissements dans la création française- est une chance pour renforcer le dynamisme de la création, augmenter le volume de la production et l’emploi dans le secteur, accélérer la diversification de la fiction française et accompagner les talents.

Contacts presse :

France Télévisions : Muriel Attal / muriel.attal@francetv.fr / 01 56 22 67 09 & Véronique Provost / veronique.provost@francetv.fr / 01 56 22 23 53

Guilde des scénaristes : Marie Barraco / marie@kandimari.com / 06 52 81 60 37

Groupe 25 Images : Dominique Attal/ gr25images@orange.fr /01 42 50 64 30 / 06 07 78 97 60

SACD : Agnès Mazet / agnes.mazet@sacd.fr / 01 40 23 45 11

SPI : Catherine Bertin / cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44

USPA : Stéphane Le Bars / s.lebars@uspa.fr / 06 60 23 53 96

A l’occasion du Festival de fiction TV de La Rochelle, France Télévisions, la Guilde des scénaristes, le Groupe 25 Images, la SACD, le SPI et l’USPA ont signé la Charte relative au développement de la fiction, avec pour objectif de développer davantage de projets de séries pour accompagner l’ambition du « Plan création » de France Télévisions. Ce nouvel accord, qui prolonge et renouvelle la précédente Charte signée le 4 juillet 2011, témoigne de la volonté commune des auteurs (scénaristes et réalisateurs), des producteurs et de France Télévisions d’œuvrer en faveur d’une fiction française diverse, originale et de qualité. Pour y parvenir, la nouvelle Charte, unique dans le paysage audiovisuel, met en place une procédure précise et formalisée d’accueil et de développement des projets de séries favorisant le dialogue entre France Télévisions, les auteurs et les producteurs tout en assouplissant les processus de développement. Son objectif : développer plus de séries et accompagner ainsi l’ambition de France Télévisions dans la mise en œuvre de son « Plan création » doté de 420 millions d’€ par an et dont la fiction représente un pan essentiel. Les signataires placent beaucoup d’espoir dans la mise en œuvre de cette nouvelle Charte qui s’inscrit autour des principes suivants : Un rapport renouvelé entre auteurs, producteurs et équipes de France Télévisions : la Charte instaure une pratique de « pitch » oral du producteur et de l’auteur devant les équipes éditoriales de France Télévisions pour défendre leur projet ; Une écriture directe d’un 1er épisode dialogué d’une série, sans aucune étape d’écriture intermédiaire avec France Télévisions ; Un raccourcissement de l’ensemble des délais d’écriture, des phases de développement et des processus de décision ; Une rémunération complémentaire des auteurs (bonification de 30%) pour l’écriture du 1er épisode dialogué en contrepartie d’un engagement prioritaire et de délais de livraison raccourcis (3 mois) ; Une implication plus en amont du réalisateur ; Une transparence accrue : France Télévisions s’engage à communiquer annuellement aux auteurs et producteurs la répartition du montant total des conventions d’écriture. Au-delà de ces nouveaux principes, les signataires ont souhaité conforter et maintenir l’équilibre général de la Charte initiale. Il repose donc toujours sur une responsabilisation de chacune des parties, auteur, producteur et équipe éditoriale dans chacune des phases du développement, tout en maintenant la possibilité d’arrêter des projets aux moments adéquats. La signature de cette Charte impliquant les auteurs, les producteurs et France Télévisions -qui représente aujourd’hui plus de 50% des investissements dans la création française- est une chance pour renforcer le dynamisme de la création, augmenter le volume de la production et l’emploi dans le secteur, accélérer la diversification de la fiction française et accompagner les talents. Contacts presse : France Télévisions : Muriel Attal / muriel.attal@francetv.fr / 01 56 22 67 09 & Véronique Provost / veronique.provost@francetv.fr / 01 56 22 23 53 Guilde des scénaristes : Marie Barraco / marie@kandimari.com / 06 52 81 60 37 Groupe 25 Images : Dominique Attal/ gr25images@orange.fr /01 42 50 64 30 / 06 07 78 97 60 SACD : Agnès Mazet / agnes.mazet@sacd.fr / 01 40 23 45 11 SPI : Catherine Bertin / cbertin@lespi.org / 01 44 70 70 44 USPA : Stéphane Le Bars / s.lebars@uspa.fr / 06 60 23 53 …

18 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
Bureaux à partager (Châtelet)

Crescendo Media Films, société de production audiovisuelle située à Châtelet (rue des Halles, dans le 1er arrondissement) partage ses bureaux.

1 open space de 30m2 (4 postes) et un bureau fermé de 15m2 (2 postes) dans un ensemble de bureaux de 85 m2, cuisine et wc partagés.
Locaux au 1er étage, lumineux.
Possibilité d’accès à une salle de réunion.

Accès téléphone, internet et imprimante. Frais à partager.

Disponible dès maintenant, bail de sous location validé par le propriétaire.
2 000 euros HT / mois pour la location de l’open space de 30m2, un bureau fermé de 15m2 + cuisine et wc partagés.

Tel : 01 71 18 35 00 – Mail : mreynaud@crescendofilms.fr

Crescendo Media Films, société de production audiovisuelle située à Châtelet (rue des Halles, dans le 1er arrondissement) partage ses bureaux. 1 open space de 30m2 (4 postes) et un bureau fermé de 15m2 (2 postes) dans un ensemble de bureaux de 85 m2, cuisine et wc partagés.
Locaux au 1er étage, lumineux. Possibilité d’accès à une salle de réunion. Accès téléphone, internet et imprimante. Frais à partager. Disponible dès maintenant, bail de sous location validé par le propriétaire. 2 000 euros HT / mois pour la location de l’open space de 30m2, un bureau fermé de 15m2 + cuisine et wc partagés. Tel : 01 71 18 35 00 – Mail : …

13 septembre 2017Annoncesannonces
Budgets de l’audiovisuel public : une décision contre la croissance

Le gouvernement s’apprêterait à valider dans le cadre du projet de loi de finances 2018 une forte baisse des crédits affectés aux entreprises de l’audiovisuel public à hauteur de 80 M€ selon les informations parues hier dans la presse.

Les producteurs audiovisuels rassemblés au sein du SATEV, du SPECT, du SPFA, du SPI et de l’USPA tiennent à faire part de leur profonde inquiétude et consternation si jamais une telle décision devait être prise.

Cette annonce est une sombre nouvelle pour le service public, et plus largement pour toute la création, et ce quelques jours après un nouveau renvoi à une date ultérieure de la modernisation de la contribution à l’audiovisuel public.

En effet, elle constituerait un coup d’arrêt brutal pour la production française car l’expérience démontre malheureusement que les efforts demandés à France Télévisions, mais aussi à ARTE, pourraient affecter essentiellement l’investissement dans tous les genres de programmes, œuvres patrimoniales comme émissions de flux.

De manière contreproductive, elle entraînerait une réduction de la production française, des fermetures de PME, une diminution de l’emploi dans le secteur, une baisse des recettes induites pour l’Etat et casserait la dynamique de nos exportations.

Un tel coup de rabot frapperait donc de plein fouet la création française, au moment où elle doit par ailleurs faire face à de nombreuses incertitudes liées à l’irruption de nouveaux opérateurs qui refusent de jouer le jeu de la régulation et mettent en difficulté certains acteurs historiques qui, eux, contribuent au financement du secteur.

France Télévisions joue un rôle essentiel dans le soutien à la création française, aussi bien en matière d’animation, de documentaire, de fiction ou encore de spectacle vivant, avec plus de 50% des investissements des diffuseurs français. Le groupe public a d’ailleurs décidé de renforcer son offre et son attractivité auprès du public avec un plan Création validé il y a moins d’un an et qui prévoit de porter ses investissements à hauteur de 420 M€.

Une telle décision marquerait une nouvelle fois l’instabilité budgétaire chronique de l’audiovisuel public, le non-respect par l’Etat des Contrats d’Objectifs et Moyens et de ses engagements.

L’USPA, le SPI, le SPFA, le SPECT et le SATEV appellent donc les pouvoirs publics à respecter les plans d’affaires des entreprises de l’audiovisuel public, à engager une véritable réflexion de fond sur l’avenir de l’audiovisuel français et non à pratiquer des coupes aveugles sans vision stratégique.

Satev : Florence Braka, Déléguée générale – f.braka@ffap.fr

Spect : Vincent Gisbert, Délégué général – vincentgisbert@spect.fr

Spi : Catherine Bertin, Déléguée générale – cbertin@lespi.org

Spfa – Uspa : Stéphane Le Bars, Délégué général – s.lebars@uspa.fr

Le gouvernement s’apprêterait à valider dans le cadre du projet de loi de finances 2018 une forte baisse des crédits affectés aux entreprises de l’audiovisuel public à hauteur de 80 M€ selon les informations parues hier dans la presse. Les producteurs audiovisuels rassemblés au sein du SATEV, du SPECT, du SPFA, du SPI et de l’USPA tiennent à faire part de leur profonde inquiétude et consternation si jamais une telle décision devait être prise. Cette annonce est une sombre nouvelle pour le service public, et plus largement pour toute la création, et ce quelques jours après un nouveau renvoi à une date ultérieure de la modernisation de la contribution à l’audiovisuel public. En effet, elle constituerait un coup d’arrêt brutal pour la production française car l’expérience démontre malheureusement que les efforts demandés à France Télévisions, mais aussi à ARTE, pourraient affecter essentiellement l’investissement dans tous les genres de programmes, œuvres patrimoniales comme émissions de flux. De manière contreproductive, elle entraînerait une réduction de la production française, des fermetures de PME, une diminution de l’emploi dans le secteur, une baisse des recettes induites pour l’Etat et casserait la dynamique de nos exportations. Un tel coup de rabot frapperait donc de plein fouet la création française, au moment où elle doit par ailleurs faire face à de nombreuses incertitudes liées à l’irruption de nouveaux opérateurs qui refusent de jouer le jeu de la régulation et mettent en difficulté certains acteurs historiques qui, eux, contribuent au financement du secteur. France Télévisions joue un rôle essentiel dans le soutien à la création française, aussi bien en matière d’animation, de documentaire, de fiction ou encore de spectacle vivant, avec plus de 50% des investissements des diffuseurs français. Le groupe public a d’ailleurs décidé de renforcer son offre et son attractivité auprès du public avec un plan Création validé il y a moins d’un an et qui prévoit de porter ses investissements à hauteur de 420 M€. Une telle décision marquerait une nouvelle fois l’instabilité budgétaire chronique de l’audiovisuel public, le non-respect par l’Etat des Contrats d’Objectifs et Moyens et de ses engagements. L’USPA, le SPI, le SPFA, le SPECT et le SATEV appellent donc les pouvoirs publics à respecter les plans d’affaires des entreprises de l’audiovisuel public, à engager une véritable réflexion de fond sur l’avenir de l’audiovisuel français et non à pratiquer des coupes aveugles sans vision stratégique. Satev : Florence Braka, Déléguée générale – f.braka@ffap.fr Spect : Vincent Gisbert, Délégué général – vincentgisbert@spect.fr Spi : Catherine Bertin, Déléguée générale – cbertin@lespi.org Spfa – Uspa : Stéphane Le Bars, Délégué général – …

13 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI obstinément pour la réforme de la contribution à l’audiovisuel public (CAP)

Le cabinet du ministre de l’Action et des comptes publics, Gérald Darmanin, vient d’annoncer que la refonte de la contribution à l’audiovisuel public, la CAP, restera inchangée dans le projet de loi de finances pour 2018. Cette déclaration nous donne deux informations importantes. La première est que le taux de l’actuelle redevance restera inchangé, la seconde que la réforme en profondeur de ce vieil objet fiscal n’est encore pas pour aujourd’hui.

Le SPI milite depuis maintenant près de 10 ans pour la modernisation et la transformation de la CAP. A l’heure du numérique et de la généralisation des tablettes et lecteurs mobiles, la seule référence au poste de TV pour asseoir une taxe finançant le secteur de l’audiovisuel est largement dépassée et profondément inadaptée. Il y a pour nous une énigme à voir autant de refus d’avancer des services de Bercy, qui ne perçoivent pas eux-mêmes le rendement qu’une telle évolution donnerait à cette contribution, sans augmenter la pression fiscale pour les contribuables. Cette contribution serait aussi plus juste, car fonction des revenus des foyers. A rendement quasi constant, 65% des foyers paieraient une contribution inférieure au niveau actuel (137 euros).

Il faut donner les moyens à l’audiovisuel public de réaliser ses missions, de garantir la liberté de la création, et de favoriser le rayonnement d’une filière culturelle forte et diversifiée face aux acteurs mondiaux qui concentrent et industrialisent le secteur.

Le SPI mènera campagne pour la CAP, contre vents et marées, toujours en marche pour une réelle modernisation de l’audiovisuel français.

Rejoignez les positions du SPI après avoir visionné sur notre site www.lespi.org le CLIP sur la CAP

**

Paris, le 1er septembre 2017

**

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale –
SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants –
4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Le cabinet du ministre de l’Action et des comptes publics, Gérald Darmanin, vient d’annoncer que la refonte de la contribution à l’audiovisuel public, la CAP, restera inchangée dans le projet de loi de finances pour 2018. Cette déclaration nous donne deux informations importantes. La première est que le taux de l’actuelle redevance restera inchangé, la seconde que la réforme en profondeur de ce vieil objet fiscal n’est encore pas pour aujourd’hui. Le SPI milite depuis maintenant près de 10 ans pour la modernisation et la transformation de la CAP. A l’heure du numérique et de la généralisation des tablettes et lecteurs mobiles, la seule référence au poste de TV pour asseoir une taxe finançant le secteur de l’audiovisuel est largement dépassée et profondément inadaptée. Il y a pour nous une énigme à voir autant de refus d’avancer des services de Bercy, qui ne perçoivent pas eux-mêmes le rendement qu’une telle évolution donnerait à cette contribution, sans augmenter la pression fiscale pour les contribuables. Cette contribution serait aussi plus juste, car fonction des revenus des foyers. A rendement quasi constant, 65% des foyers paieraient une contribution inférieure au niveau actuel (137 euros). Il faut donner les moyens à l’audiovisuel public de réaliser ses missions, de garantir la liberté de la création, et de favoriser le rayonnement d’une filière culturelle forte et diversifiée face aux acteurs mondiaux qui concentrent et industrialisent le secteur. Le SPI mènera campagne pour la CAP, contre vents et marées, toujours en marche pour une réelle modernisation de l’audiovisuel français. Rejoignez les positions du SPI après avoir visionné sur notre site www.lespi.org le CLIP sur la CAP ** Paris, le 1er septembre 2017 ** Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

1 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
« Ko-production in Paris » : rencontre de coproduction franco-coréenne, les 19, 20 et 21 septembre 2017

Le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants) et le KOFIC (Korean Film Council) organisent conjointement un atelier de coproduction franco-coréen, qui aura lieu les 19, 20 et 21 septembre prochain.

Cette rencontre permettra à des professionnels français et coréens de nouer des relations afin de favoriser la coproduction de longs métrages entre ces deux pays.

Dans ce cadre, 5 projets coréens ont été sélectionnés par le KOFIC pour leur qualité artistique afin d’être présentés aux professionnels français (catalogue ci-joint). Des rendez-vous individuels auront lieu autour de ceux-ci.

Enfin, à l’occasion d’un déjeuner, les représentants du KOFIC et les représentants du SPI échangeront sur les enjeux du développement de la coproduction entre nos deux pays, et plus largement des enjeux auxquels sont confrontés nos cinématographies.

Les rencontres entre coproducteurs se tiendront toute la journée du 20 et la matinée du 21 à l’Hôtel Scribe. Les professionnels désireux de s’inscrire pour rencontrer les porteurs de projets sont priés d’adresser leurs demandes par courriel à Anne-Sophie Poirot (SPI) et Seung-hee SEO (KOFIC) : ko-production@lespi.org

Le SPI (Syndicat des Producteurs Indépendants) et le KOFIC (Korean Film Council) organisent conjointement un atelier de coproduction franco-coréen, qui aura lieu les 19, 20 et 21 septembre prochain. Cette rencontre permettra à des professionnels français et coréens de nouer des relations afin de favoriser la coproduction de longs métrages entre ces deux pays. Dans ce cadre, 5 projets coréens ont été sélectionnés par le KOFIC pour leur qualité artistique afin d’être présentés aux professionnels français (catalogue ci-joint). Des rendez-vous individuels auront lieu autour de ceux-ci. Enfin, à l’occasion d’un déjeuner, les représentants du KOFIC et les représentants du SPI échangeront sur les enjeux du développement de la coproduction entre nos deux pays, et plus largement des enjeux auxquels sont confrontés nos cinématographies. Les rencontres entre coproducteurs se tiendront toute la journée du 20 et la matinée du 21 à l’Hôtel Scribe. Les professionnels désireux de s’inscrire pour rencontrer les porteurs de projets sont priés d’adresser leurs demandes par courriel à Anne-Sophie Poirot (SPI) et Seung-hee SEO (KOFIC) : …

1 septembre 2017Actus-SPIactus-spi
Bureau à louer – Montmartre

Salle indépendante dans un grand bureau
> Lien photos

– Quartier Montmartre, beau bureau de 20m2 refait à neuf disponible dès maintenant.
– La salle est dans un grand bureau, l’ambiance est jeune et dynamique, familiale et chaleureuse.
– Nous produisons des contenus variés (melocotonfilms.com) et le sous-sol est occupé par des producteurs de musique.
– Au-delà des espaces communs, nous avons des salles de postproduction son et image.

Bureau :
– meublé
– 3 postes
– internet / wifi / ethernet
– accès rue

Espaces communs :
– salle de réunion / vidéo-projection
– cuisine / WC

– Type de contrat : mise à disposition.
– Prix : 950€ HT CC pour la salle entière ou 350€ / poste.
– Possibilité de location au mois.

Contact :
helene@melocotonfilms.com
09 51 53 48 39
06 60 16 95 07

Visite possible dès aujourd’hui.

Salle indépendante dans un grand bureau > Lien photos – Quartier Montmartre, beau bureau de 20m2 refait à neuf disponible dès maintenant. – La salle est dans un grand bureau, l’ambiance est jeune et dynamique, familiale et chaleureuse. – Nous produisons des contenus variés (melocotonfilms.com) et le sous-sol est occupé par des producteurs de musique. – Au-delà des espaces communs, nous avons des salles de postproduction son et image. Bureau : – meublé – 3 postes – internet / wifi / ethernet – accès rue Espaces communs : – salle de réunion / vidéo-projection – cuisine / WC – Type de contrat : mise à disposition. – Prix : 950€ HT CC pour la salle entière ou 350€ / poste. – Possibilité de location au mois. Contact : helene@melocotonfilms.com 09 51 53 48 39 06 60 16 95 07 Visite possible dès …

29 août 2017Annoncesannonces
RECHERCHE BUREAUX DE PREPA

Eaux Vives recherche des bureaux de prépa du 15 sept au 15 oct 2017. une ou deux pièces pour une surface totale allant de 35 à 50 m2 dans les quartiers suivants :
Bastille
place d’italie
gobelins
censier jussieu
bercy

Un grand merci par avance à ceux qui auraient une idée ou un contact ou même des bureaux 😉

Eaux Vives recherche des bureaux de prépa du 15 sept au 15 oct 2017. une ou deux pièces pour une surface totale allant de 35 à 50 m2 dans les quartiers suivants : Bastille place d’italie gobelins censier jussieu bercy Un grand merci par avance à ceux qui auraient une idée ou un contact ou même des bureaux …

21 août 2017Annoncesannonces
recherche bureaux

Nous recherchons, pour installer 3 salles de montage, un appartement ou des bureaux composés de 3 pièces cloisonnées et bien insonorisées dans le secteur de la mairie du 18ème ou dans un rayon de 15/20 minutes de marche à pied, avec ascenseur si les locaux sont situés au-delà du 2ème étage.
Période : du 28 novembre 2017 au 30 juin 2018
Budget : 2800€/mois
Surface : = ou > 60m2

Nous recherchons, pour installer 3 salles de montage, un appartement ou des bureaux composés de 3 pièces cloisonnées et bien insonorisées dans le secteur de la mairie du 18ème ou dans un rayon de 15/20 minutes de marche à pied, avec ascenseur si les locaux sont situés au-delà du 2ème étage. Période : du 28 novembre 2017 au 30 juin 2018 Budget : 2800€/mois Surface : = ou > …

26 juillet 2017Annoncesannonces
Le BLIC, le BLOC et L’ARP en soutien aux auteurs

Le BLIC, le BLOC et L’ARP souhaitent faire part de leur vive préoccupation quant au litige entre Canal + et les sociétés de perception et de répartition de droits d’auteur au sujet d’un non respect par la chaîne des accords qu’elle a conclus avec celles-ci.

Le BLIC, le BLOC et L’ARP souhaitent rappeler à cet égard que le droit d’auteur est un pilier fondamental de la diversité de la création, qu’il est intimement lié à l’existence même des oeuvres et que sa défense a toujours été une priorité pour l’ensemble de la filière en France. Plus largement, ils souhaitent rappeler l’importance du respect des accords professionnels et font part de toute leur vigilance à cet égard et de leur solidarité avec les créateurs.

Le BLIC, le BLOC et L’ARP saluent l’intervention récente de la Ministre de la Culture dans le dossier et espèrent qu’une issue positive sera rapidement trouvée.

Le BLIC, le BLOC et L’ARP souhaitent faire part de leur vive préoccupation quant au litige entre Canal + et les sociétés de perception et de répartition de droits d’auteur au sujet d’un non respect par la chaîne des accords qu’elle a conclus avec celles-ci. Le BLIC, le BLOC et L’ARP souhaitent rappeler à cet égard que le droit d’auteur est un pilier fondamental de la diversité de la création, qu’il est intimement lié à l’existence même des oeuvres et que sa défense a toujours été une priorité pour l’ensemble de la filière en France. Plus largement, ils souhaitent rappeler l’importance du respect des accords professionnels et font part de toute leur vigilance à cet égard et de leur solidarité avec les créateurs. Le BLIC, le BLOC et L’ARP saluent l’intervention récente de la Ministre de la Culture dans le dossier et espèrent qu’une issue positive sera rapidement …

18 juillet 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI salue le travail effectué par Kristina Zimmermann à la tête de Ciné+

Le SPI salue le travail effectué par Kristina Zimmermann à la tête de Ciné + depuis 2012, personnalité appréciée tant pour ses compétences professionnelles que pour ses qualités humaines.

Par une politique éditoriale ambitieuse et diversifiée, elle a su positionner ce service de façon complémentaire à celui de Canal +, et contribuer à la diversité de la création cinématographique par une politique de préachats spécifique, notamment en première fenêtre.

Le SPI sera particulièrement attentif au maintien de cette relation privilégiée entre Ciné + et la création cinématographique, à laquelle nous sommes profondément attachés. Elle passe notamment par le maintien de cette politique éditoriale qui lui est propre et qui a vocation à exister de façon indépendante et complémentaire à celle du bouquet Canal.

Paris, le 13 Juillet 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Le SPI salue le travail effectué par Kristina Zimmermann à la tête de Ciné + depuis 2012, personnalité appréciée tant pour ses compétences professionnelles que pour ses qualités humaines. Par une politique éditoriale ambitieuse et diversifiée, elle a su positionner ce service de façon complémentaire à celui de Canal +, et contribuer à la diversité de la création cinématographique par une politique de préachats spécifique, notamment en première fenêtre. Le SPI sera particulièrement attentif au maintien de cette relation privilégiée entre Ciné + et la création cinématographique, à laquelle nous sommes profondément attachés. Elle passe notamment par le maintien de cette politique éditoriale qui lui est propre et qui a vocation à exister de façon indépendante et complémentaire à celle du bouquet Canal. Paris, le 13 Juillet 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

13 juillet 2017Actus-SPIactus-spi
Extension des accords pour la mise en œuvre de la transparence dans la filière audiovisuelle

Les syndicats de producteurs (SATEV, SPECT, SPFA, SPI et USPA) ont signé le 6 juillet dernier deux accords majeurs sur la transparence avec l’ensemble des acteurs de la filière audiovisuelle, les éditeurs de services de télévision et les distributeurs d’une part, les organisations d’auteurs et les organismes de gestion collective d’autre part.

Ces accords s’inscrivent dans le cadre fixé par le législateur dans la loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine du 7 juillet 2016 et viennent compléter un premier accord signé par les organisations de producteurs, les diffuseurs et les distributeurs le 19 février 2016 et son avenant.

Ils permettront de partager des définitions (coût des œuvres, modalités d’amortissement et de calcul des recettes à repartir aux différents ayants droit) et des outils communs (les formes du compte de production et d’exploitation), répondant à la nécessité de transparence souhaitée par l’ensemble de la filière audiovisuelle dans un contexte de démultiplication des exploitations. Ils prévoient également de poursuivre des discussions afin de préciser le régime de certaines œuvres particulières, notamment destinées à des exploitations digitales.

Par ailleurs, l’accord signé avec les auteurs constitue une avancée essentielle pour le renforcement de la transparence et de leur droit à rémunération au titre des modes d’exploitation et territoires relevant de la gestion individuelle du producteur. Dès l’amortissement du coût de l’œuvre, les producteurs renoncent à se rembourser des minima garantis versés aux auteurs, permettant ainsi le versement effectif des rémunérations proportionnelles définies dans leurs contrats.

Les syndicats de producteurs ont donc largement dépassé le cadre fixé par la loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine, au bénéfice de tous les auteurs de tous les genres de la création patrimoniale.

A compter du mois de septembre, les discussions se poursuivront, visant notamment à définir des modalités complémentaires d’intéressement de certains auteurs de fiction au succès de leurs œuvres amorties, et à envisager les possibilités d’application de l’accord à certains documentaires de création ne relevant pas directement du champ fixé par la loi du 7 juillet 2016.

Les syndicats de producteurs se félicitent de ces accords qui contribuent à renforcer les liens de confiance entre les différents acteurs de la filière audiovisuelle et tiennent à remercier le ministère de la Culture, le CNC et Madame Mariani-Ducray pour les avoir accompagnés tout le long de ces discussions.

Paris le 12 juillet 2017

SATEV – 24 rue du Faubourg Poissonnière, 75010 Paris

SPI – 4 Cité Griset, 75011 Paris

USPA /SPECT / SPFA – 5 rue Cernuschi, 75017 Paris

Les syndicats de producteurs (SATEV, SPECT, SPFA, SPI et USPA) ont signé le 6 juillet dernier deux accords majeurs sur la transparence avec l’ensemble des acteurs de la filière audiovisuelle, les éditeurs de services de télévision et les distributeurs d’une part, les organisations d’auteurs et les organismes de gestion collective d’autre part. Ces accords s’inscrivent dans le cadre fixé par le législateur dans la loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine du 7 juillet 2016 et viennent compléter un premier accord signé par les organisations de producteurs, les diffuseurs et les distributeurs le 19 février 2016 et son avenant. Ils permettront de partager des définitions (coût des œuvres, modalités d’amortissement et de calcul des recettes à repartir aux différents ayants droit) et des outils communs (les formes du compte de production et d’exploitation), répondant à la nécessité de transparence souhaitée par l’ensemble de la filière audiovisuelle dans un contexte de démultiplication des exploitations. Ils prévoient également de poursuivre des discussions afin de préciser le régime de certaines œuvres particulières, notamment destinées à des exploitations digitales. Par ailleurs, l’accord signé avec les auteurs constitue une avancée essentielle pour le renforcement de la transparence et de leur droit à rémunération au titre des modes d’exploitation et territoires relevant de la gestion individuelle du producteur. Dès l’amortissement du coût de l’œuvre, les producteurs renoncent à se rembourser des minima garantis versés aux auteurs, permettant ainsi le versement effectif des rémunérations proportionnelles définies dans leurs contrats. Les syndicats de producteurs ont donc largement dépassé le cadre fixé par la loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine, au bénéfice de tous les auteurs de tous les genres de la création patrimoniale. A compter du mois de septembre, les discussions se poursuivront, visant notamment à définir des modalités complémentaires d’intéressement de certains auteurs de fiction au succès de leurs œuvres amorties, et à envisager les possibilités d’application de l’accord à certains documentaires de création ne relevant pas directement du champ fixé par la loi du 7 juillet 2016. Les syndicats de producteurs se félicitent de ces accords qui contribuent à renforcer les liens de confiance entre les différents acteurs de la filière audiovisuelle et tiennent à remercier le ministère de la Culture, le CNC et Madame Mariani-Ducray pour les avoir accompagnés tout le long de ces discussions. Paris le 12 juillet 2017 SATEV – 24 rue du Faubourg Poissonnière, 75010 Paris SPI – 4 Cité Griset, 75011 Paris USPA /SPECT / SPFA – 5 rue Cernuschi, 75017 …

13 juillet 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI salue la mise en place du Festival international Séries Mania Lille Hauts-de-France en avril 2018

Lancée en décembre 2015, la réflexion autour de la création d’un festival international des séries en France vient de se concrétiser par l’annonce de la tenue de la première édition de Séries Mania Lille Hauts-de-France en avril 2018, dirigée par Laurence Herszberg et accompagnée par l’équipe de Séries Mania Paris qui a su au fil des années acquérir une notoriété reconnue auprès des professionnels du monde entier.

Nous les en félicitons très chaleureusement.

Le Syndicat des producteurs indépendants est heureux de voir les acquis de Séries Mania consolidés pour développer un projet innovant et fédérateur, associant à la fois la ville de Lille, la région et se plaçant dans une perspective de rayonnement international.

Le SPI compte bien participer et accompagner activement la construction de ce projet ambitieux pour la fiction française et internationale. 

Paris, le 12 juillet 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Lancée en décembre 2015, la réflexion autour de la création d’un festival international des séries en France vient de se concrétiser par l’annonce de la tenue de la première édition de Séries Mania Lille Hauts-de-France en avril 2018, dirigée par Laurence Herszberg et accompagnée par l’équipe de Séries Mania Paris qui a su au fil des années acquérir une notoriété reconnue auprès des professionnels du monde entier. Nous les en félicitons très chaleureusement. Le Syndicat des producteurs indépendants est heureux de voir les acquis de Séries Mania consolidés pour développer un projet innovant et fédérateur, associant à la fois la ville de Lille, la région et se plaçant dans une perspective de rayonnement international. Le SPI compte bien participer et accompagner activement la construction de ce projet ambitieux pour la fiction française et internationale.  Paris, le 12 juillet 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

12 juillet 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI et l’UPC saluent la signature d’accords sur la transparence des comptes de production et sur la transparence des comptes d’exploitation dans le secteur cinématographique

A la suite de la tenue du premier volet des Assises pour la diversité du cinéma, dont les conclusions ont été transposées dans la loi du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine, le législateur a souhaité que les organisations professionnelles du cinéma concluent, dans le délai d’un an suivant sa publication, des accords interprofessionnels sur la transparence des comptes de production et des comptes d’exploitation.

Après de longues négociations, au cours desquelles le SPI et l’UPC ont montré leur volontarisme, deux accords ont été signés sous l’égide de Madame Françoise Nyssen, Ministre de la Culture, le 6 juillet 2017.

L’accord sur la transparence des comptes d’exploitation constitue une avancée dans la manière d’élaborer les décomptes rendus aux producteurs par les distributeurs, en établissant un niveau minimal d’informations transmises par ces derniers et en définissant une méthodologie de référence pour la reddition des comptes.

Après l’accord conclu en 2010 sur ce sujet concernant les relations entre auteurs et producteurs, l’inclusion des distributeurs constitue une étape de plus dans le processus en cours de formalisation de la transparence dans les relations entre partenaires au sein de la filière.

Le SPI et l’UPC remercient le CNC pour son engagement dans la conclusion de ces accords et comptent sur celui-ci pour que ce processus soit poursuivi à l’égard des autres maillons de la chaîne d’exploitation des films.

Paris, le 10 juillet 2017

Contact :

SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44

UPC : Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30

Discours de Françoise Nyssen, prononcé à l’occasion de la signature des accords sur la transparence dans le secteur cinématographique :

Madame la présidente du CNC, chère Frédérique Bredin,

Monsieur le directeur général délégué du CNC, cher Christophe Tardieu,

Mesdames et messieurs les représentants des organisations professionnelles du cinéma,

Chers tous,

C’est une grande joie de vous retrouver aujourd’hui pour cette cérémonie de signature des accords relatifs à la transparence des comptes de production et d’exploitation.

A travers cette signature, nous célébrons de belle manière (quoiqu’avec un jour d’avance) l’anniversaire de la loi « liberté de création, architecture, patrimoine », promulguée le 7 juillet 2016. La loi avait justement donné un an aux professionnels du cinéma pour signer les accords sur la transparence.

Mais nous célébrons aussi, et surtout, cette formidable capacité de la famille du cinéma à trouver des réponses communes aux enjeux du secteur.

C’est d’abord le résultat d’une méthode : la négociation d’accords professionnels par les organisations représentatives du cinéma, sous l’égide du CNC.

Derrière cette méthode, il y a une philosophie : l’Etat n’édicte pas la norme de manière unilatérale, il privilégie l’autorégulation, il accompagne les professionnels dans la définition des règles, et il n’intervient de manière régalienne qu’en dernier ressort.

Cette méthode est fructueuse, et a déjà permis de nombreux progrès par le passé.

Elle est certes exigeante ! Dans le cas des accords « transparence », il aura fallu plus de 65 heures de négociations plénières – et beaucoup d’échanges en coulisse !

Mais quel beau résultat !

Pour ce travail, je souhaite remercier toutes les parties prenantes : les auteurs, les agents, les producteurs, les distributeurs, les éditeurs de vidéo, les vendeurs internationaux, et je n’oublie pas les équipes du CNC.

Certes, on pourrait décrire les accords comme des textes strictement techniques. Ils donnent un modèle de présentation des comptes de production et des comptes d’exploitation, auxquels toute la filière devra se référer. Ils précisent les dépenses qui peuvent être opposées aux producteurs par les distributeurs. Ils précisent aussi les recettes qui doivent être réparties en faveur des producteurs et des auteurs.

Mais derrière cette technicité, il y a une amélioration décisive en faveur de la transparence dans la remontée des recettes, ce qui va créer un climat de confiance entre tous les acteurs de la chaine de valeur. C’est une excellente nouvelle pour les ayants droit, mais aussi pour les artistes interprètes et pour les techniciens, qui auront une meilleure connaissance des recettes tirées de l’exploitation de leurs œuvres. C’est une garantie de juste rémunération en cas de succès. C’est aussi une excellente nouvelle pour l’économie du cinéma, puisque le climat des affaires va grandement bénéficier de cette transparence accrue de la production et de l’exploitation. Il y aura plus de confiance, donc plus d’investissement, et surtout plus de solidarité entre les acteurs de la chaîne de valeur.

Ces accords sont le gage d’un meilleur modèle économique dans un monde numérique et globalisé. Ils sont le gage d’une création française riche et variée.

J’étais, mardi dernier, à la projection du film « 120 battements par minute ». Et je sais que, désormais, de très beaux films comme celui-là bénéficieront de meilleures conditions de réalisation et de diffusion grâce aux accords de transparence.

Tous ces efforts engagent donc positivement le cinéma français et je m’en réjouis.

Comme vous le savez, les organisations de la filière audiovisuelle ont également jusqu’à ce soir pour aboutir à des accords similaires de transparence sur les comptes de production et d’exploitation.

Même cas de figure dans le secteur de la musique, où se négocie un accord sur la garantie minimale de rémunération, qui pourrait aboutir à une avancée historique en matière de partage de la valeur.

Pensons à eux dans cette dernière ligne droite de négociation, et espérons les retrouver dans ces mêmes salons de la rue de Valois pour de nouvelles cérémonies de signature.

Je vous remercie de votre attention, et vous propose de passer à la signature des deux accords.

A la suite de la tenue du premier volet des Assises pour la diversité du cinéma, dont les conclusions ont été transposées dans la loi du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine, le législateur a souhaité que les organisations professionnelles du cinéma concluent, dans le délai d’un an suivant sa publication, des accords interprofessionnels sur la transparence des comptes de production et des comptes d’exploitation. Après de longues négociations, au cours desquelles le SPI et l’UPC ont montré leur volontarisme, deux accords ont été signés sous l’égide de Madame Françoise Nyssen, Ministre de la Culture, le 6 juillet 2017. L’accord sur la transparence des comptes d’exploitation constitue une avancée dans la manière d’élaborer les décomptes rendus aux producteurs par les distributeurs, en établissant un niveau minimal d’informations transmises par ces derniers et en définissant une méthodologie de référence pour la reddition des comptes. Après l’accord conclu en 2010 sur ce sujet concernant les relations entre auteurs et producteurs, l’inclusion des distributeurs constitue une étape de plus dans le processus en cours de formalisation de la transparence dans les relations entre partenaires au sein de la filière. Le SPI et l’UPC remercient le CNC pour son engagement dans la conclusion de ces accords et comptent sur celui-ci pour que ce processus soit poursuivi à l’égard des autres maillons de la chaîne d’exploitation des films. Paris, le 10 juillet 2017 Contact : SPI : Catherine Bertin – 01 44 70 70 44 UPC : Frédéric Goldsmith – 01 53 89 01 30 Discours de Françoise Nyssen, prononcé à l’occasion de la signature des accords sur la transparence dans le secteur cinématographique : Madame la présidente du CNC, chère Frédérique Bredin, Monsieur le directeur général délégué du CNC, cher Christophe Tardieu, Mesdames et messieurs les représentants des organisations professionnelles du cinéma, Chers tous, C’est une grande joie de vous retrouver aujourd’hui pour cette cérémonie de signature des accords relatifs à la transparence des comptes de production et d’exploitation. A travers cette signature, nous célébrons de belle manière (quoiqu’avec un jour d’avance) l’anniversaire de la loi « liberté de création, architecture, patrimoine », promulguée le 7 juillet 2016. La loi avait justement donné un an aux professionnels du cinéma pour signer les accords sur la transparence. Mais nous célébrons aussi, et surtout, cette formidable capacité de la famille du cinéma à trouver des réponses communes aux enjeux du secteur. C’est d’abord le résultat d’une méthode : la négociation d’accords professionnels par les organisations représentatives du cinéma, sous l’égide du CNC. Derrière cette méthode, il y a une philosophie : l’Etat n’édicte pas la norme de manière unilatérale, il privilégie l’autorégulation, il accompagne les professionnels dans la définition des règles, et il n’intervient de manière régalienne qu’en dernier ressort. Cette méthode est fructueuse, et a déjà permis de nombreux progrès par le passé. Elle est certes exigeante ! Dans le cas des accords « transparence », il aura fallu plus de 65 heures de négociations plénières – et beaucoup d’échanges en coulisse ! Mais quel beau résultat ! Pour ce travail, je souhaite remercier toutes les parties prenantes : les auteurs, les agents, les producteurs, les distributeurs, les éditeurs de vidéo, les vendeurs internationaux, et je n’oublie pas les équipes du CNC. Certes, on pourrait décrire les accords comme des textes strictement techniques. Ils donnent un modèle de présentation des comptes de production et des comptes d’exploitation, auxquels toute la filière devra se référer. Ils précisent les dépenses qui peuvent être opposées aux producteurs par les distributeurs. Ils précisent aussi les recettes qui doivent être réparties en faveur des producteurs et des auteurs. Mais derrière cette technicité, il y a une amélioration décisive en faveur de la transparence dans la remontée des recettes, ce qui va créer un climat de confiance entre tous les acteurs de la chaine de valeur. C’est une excellente nouvelle pour les ayants droit, mais aussi pour les artistes interprètes et pour les techniciens, qui auront une meilleure connaissance des recettes tirées de l’exploitation de leurs œuvres. C’est une garantie de juste rémunération en cas de succès. C’est aussi une excellente nouvelle pour l’économie du cinéma, puisque le climat des affaires va grandement bénéficier de cette transparence accrue de la production et de l’exploitation. Il y aura plus de confiance, donc plus d’investissement, et surtout plus de solidarité entre les acteurs de la chaîne de valeur. Ces accords sont le gage d’un meilleur modèle économique dans un monde numérique et globalisé. Ils sont le gage d’une création française riche et variée. J’étais, mardi dernier, à la projection du film « 120 battements par minute ». Et je sais que, désormais, de très beaux films comme celui-là bénéficieront de meilleures conditions de réalisation et de diffusion grâce aux accords de transparence. Tous ces efforts engagent donc positivement le cinéma français et je m’en réjouis. Comme vous le savez, les organisations de la filière audiovisuelle ont également jusqu’à ce soir pour aboutir à des accords similaires de transparence sur les comptes de production et d’exploitation. Même cas de figure dans le secteur de la musique, où se négocie un accord sur la garantie minimale de rémunération, qui pourrait aboutir à une avancée historique en matière de partage de la valeur. Pensons à eux dans cette dernière ligne droite de négociation, et espérons les retrouver dans ces mêmes salons de la rue de Valois pour de nouvelles cérémonies de signature. Je vous remercie de votre attention, et vous propose de passer à la signature des deux …

10 juillet 2017Actus-SPIactus-spi
Fermeture estivale du secrétariat et de la Commission Paritaire Dérogatoire

En raison de la période estivale, la Commission Paritaire Dérogatoire de l’annexe III ne se réunira pas entre le 1er et le 25 août 2017.
Le secrétariat sera également fermé durant cette période.

Aussi, la dernière Commission avant la fermeture est fixée au 24 juillet 2017 (dépôt des dossiers le 17 juillet).

Le secrétariat rouvrira le 28 août, date de dépôt des dossiers pour la Commission du 4 septembre.

Pour plus d’informations, nous vous invitons à lire le calendrier ci-joint ou à contacter directement le secrétariat au 01.44.70.70.44 ou par mail à commission.derogatoire.ccnpc@gmail.com.

Le secrétariat de la Commission Paritaire Dérogatoire

En raison de la période estivale, la Commission Paritaire Dérogatoire de l’annexe III ne se réunira pas entre le 1er et le 25 août 2017. Le secrétariat sera également fermé durant cette période. Aussi, la dernière Commission avant la fermeture est fixée au 24 juillet 2017 (dépôt des dossiers le 17 juillet). Le secrétariat rouvrira le 28 août, date de dépôt des dossiers pour la Commission du 4 septembre. Pour plus d’informations, nous vous invitons à lire le calendrier ci-joint ou à contacter directement le secrétariat au 01.44.70.70.44 ou par mail à commission.derogatoire.ccnpc@gmail.com. Le secrétariat de la Commission Paritaire …

10 juillet 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs prix au Festival International du Film d’Animation d’Annecy 2017

A l’occasion du Festival international du Film d’Animation d’Annecy 2017, le SPI félicite ses adhérents pour leurs nombreux prix.

**Mention du Jury

« L’Ogre » de Laurène Braibant

Papy 3D Productions – Richard Van Den Boom

**Prix du Public

« Pépé le Morse » de Lucrèce Andreae

Caïmans Productions – Jérôme Barthélemy & Daniel Sauvage

**Prix du « Off Limits »

« Dix Puissance moins quarante-trois seconde » de Francis

Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron

**Prix André-Martin pour un long métrage français produit en 2016

« La jeune fille sans mains »»  de Sébastien Laudenbach

Les Films Sauvages – L.F.P- Les Films Pelléas – Jean-Christophe Soulageon – Philippe Martin

**Mention spéciale André-Martin pour un court métrage français

« Negative Space » de Max Porter & Ru Kuwahata

Ikki Films – Edwina Liard et Nidia Santiago

**Prix André-Martin pour un court métrage français

« Nothing Happens » de Michelle & Uri Kranot

Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron

**Prix « CANAL+ aide à la création » pour un court métrage

« L’Ogre » de Laurène Braibant

Papy 3D Productions – Richard Van Den Boom

**Prix FIPRESCI

« Negative Space » de Max Porter & Ru Kuwahata

Ikki Films – Edwina Liard et Nidia Santiago

**Prix Festivals Connexion – Région Auvergne-Rhône-Alpes / En partenariat avec Lumières Numériques & Pilon Cinéma

« Nothing Happens » de Michelle & Uri Kranot

Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron

**Prix Export UniFrance

Les Films du Nord – Arnaud Demuynck

Paris, le 20 Juin 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

A l’occasion du Festival international du Film d’Animation d’Annecy 2017, le SPI félicite ses adhérents pour leurs nombreux prix. **Mention du Jury « L’Ogre » de Laurène Braibant Papy 3D Productions – Richard Van Den Boom **Prix du Public « Pépé le Morse » de Lucrèce Andreae Caïmans Productions – Jérôme Barthélemy & Daniel Sauvage **Prix du « Off Limits » « Dix Puissance moins quarante-trois seconde » de Francis Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron **Prix André-Martin pour un long métrage français produit en 2016 « La jeune fille sans mains »»  de Sébastien Laudenbach Les Films Sauvages – L.F.P- Les Films Pelléas – Jean-Christophe Soulageon – Philippe Martin **Mention spéciale André-Martin pour un court métrage français « Negative Space » de Max Porter & Ru Kuwahata Ikki Films – Edwina Liard et Nidia Santiago **Prix André-Martin pour un court métrage français « Nothing Happens » de Michelle & Uri Kranot Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron **Prix « CANAL+ aide à la création » pour un court métrage « L’Ogre » de Laurène Braibant Papy 3D Productions – Richard Van Den Boom **Prix FIPRESCI « Negative Space » de Max Porter & Ru Kuwahata Ikki Films – Edwina Liard et Nidia Santiago **Prix Festivals Connexion – Région Auvergne-Rhône-Alpes / En partenariat avec Lumières Numériques & Pilon Cinéma « Nothing Happens » de Michelle & Uri Kranot Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron **Prix Export UniFrance Les Films du Nord – Arnaud Demuynck Paris, le 20 Juin 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

20 juin 2017Actus-SPIactus-spi
locaux à louer

Dans bureaux en duplex, 1 pièce indépendante de 16 m2 calme et lumineuse sur cour arborée.
Métro La Chapelle/Marx Dormoy
Libre de suite.
Plus d’infos par téléphone auprès de Corentin 0613074748.

Dans bureaux en duplex, 1 pièce indépendante de 16 m2 calme et lumineuse sur cour arborée. Métro La Chapelle/Marx Dormoy Libre de suite. Plus d’infos par téléphone auprès de Corentin …

14 juin 2017Annoncesannonces
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections au Festival International du Film d’Animation d’Annecy 2017

A l’occasion du Festival international du Film d’Animation d’Annecy 2017, le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections.

Le SPI sera présent au MIFA dans le cadre de « France in shorts », une action collective de valorisation du court métrage d’animation français et de ses acteurs, coordonnée par l’AFCA, pour soutenir la production française de courts métrages.

**Courts Métrages en compétition

« Dix Puissance moins quarante-trois seconde » de Francis

Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron

« L’Ogre » de Laurène Braibant

Papy 3D Productions – Richard Van Den Boom

« La Licorne » de Remi Durin

Les Films du Nord – Arnaud Demuynck

« Lupus » de Carlos Gomez Salamanca

Ikki Films – Edwina Liard & Nidia Santiago

« Negative Space » de Max Porter & Ru Kuwahata

Ikki Films – Edwina Liard et Nidia Santiago

« Nothing Happens » de Michelle & Uri Kranot

Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron

« Pépé le Morse » de Lucrèce Andreae

Caïmans Productions – Jérôme Barthélemy & Daniel Sauvage

**Compétition Films de Télévision 

« Le Vent dans les Roseaux » de Arnaud Demuynck & Nicolas Luguori

Les Films du Nord – Arnaud Demuynck

**Projections en Plein Air

« Programme de courts métrages Sacrebleu Productions »

**VR@ANNECY

« Nothing Happens VR » de Michelle & Uri Kranot

Miyu Productions  – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron

Paris, le 13 Juin 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

A l’occasion du Festival international du Film d’Animation d’Annecy 2017, le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections. Le SPI sera présent au MIFA dans le cadre de « France in shorts », une action collective de valorisation du court métrage d’animation français et de ses acteurs, coordonnée par l’AFCA, pour soutenir la production française de courts métrages. **Courts Métrages en compétition « Dix Puissance moins quarante-trois seconde » de Francis Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron « L’Ogre » de Laurène Braibant Papy 3D Productions – Richard Van Den Boom « La Licorne » de Remi Durin Les Films du Nord – Arnaud Demuynck « Lupus » de Carlos Gomez Salamanca Ikki Films – Edwina Liard & Nidia Santiago « Negative Space » de Max Porter & Ru Kuwahata Ikki Films – Edwina Liard et Nidia Santiago « Nothing Happens » de Michelle & Uri Kranot Miyu Productions – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron « Pépé le Morse » de Lucrèce Andreae Caïmans Productions – Jérôme Barthélemy & Daniel Sauvage **Compétition Films de Télévision  « Le Vent dans les Roseaux » de Arnaud Demuynck & Nicolas Luguori Les Films du Nord – Arnaud Demuynck **Projections en Plein Air « Programme de courts métrages Sacrebleu Productions » **VR@ANNECY « Nothing Happens VR » de Michelle & Uri Kranot Miyu Productions  – Emmanuel-Alain Raynal & Pierre Baussaron Paris, le 13 Juin 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

14 juin 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les nombreux et prestigieux prix obtenus à l’occasion de la 70e édition du festival de Cannes :


**Grand Prix

120 Battements par minute

de Robin Campillo

[**Les Films de Pierre*]

**Caméra d’Or

Jeune femme

de Léonor Serraille

[**Blue Monday Productions*]

**Prix du Jury

Loveless (sans amour)

de Andreï Zvyaguintsev

[**Why Not Productions*]

**Prix du Scénario

You were never really here

de Lynne Ramsay

[**Why Not Productions*]

**Prix d’interprétation masculine (Joaquin Phoenix)

You were never really here

de Lynne Ramsay

[**Why Not Productions*]

**Palme d’or du court-métrage

A Gentle Night

de Qiu Yang

[**House on Fire*]

**Grand Prix – Semaine de la Critique

Makala

d’Emmanuel Gras

[**bathysphere*]

**Prix SACD – Semaine de la Critique

Ava

de Léa Mysius

[**Trois Brigands Productions*]

**L’œil d’Or

Visages, Villages

d’Agnès Varda et JR

[**Ciné-Tamaris*]

**Mention spéciale – L’œil d’Or

Makala

d’Emmanuel Gras

[**bathysphere*]

**Label Europa Cinémas

A Ciambra

de Jonas Carpignano

[**Haut et Court*]

**Prix FIPRESCI

120 Battements par minute

de Robin Campillo

[**Les Films de Pierre*]

**Queer Palm

120 Battements par minute

de Robin Campillo

[**Les Films de Pierre*]

**Grand Prix – Prix RTI – Prix Grand Action (Prix UniFrance du court-métrage)

Marlon

de Jessica Palud

[**Punchline Cinema*]

**Prix Movistar+ – Prix UR Sveriges (Prix UniFrance du court-métrage)

Negative Space

de Max Porter & Ru Kuwahata

[**Ikki Films*]

**Mention spéciale du jury (Prix UniFrance du court-métrage)

Les Bigorneaux

d’Alice Vial

[**Les Films du Cygne*]

Contact :

Catherine BERTIN, Déléguée générale

Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – _ Tel : 01 44 70 70 44

**Grand Prix 120 Battements par minute de Robin Campillo [**Les Films de Pierre*] **Caméra d’Or Jeune femme de Léonor Serraille [**Blue Monday Productions*] **Prix du Jury Loveless (sans amour) de Andreï Zvyaguintsev [**Why Not Productions*] **Prix du Scénario You were never really here de Lynne Ramsay [**Why Not Productions*] **Prix d’interprétation masculine (Joaquin Phoenix) You were never really here de Lynne Ramsay [**Why Not Productions*] **Palme d’or du court-métrage A Gentle Night de Qiu Yang [**House on Fire*] **Grand Prix – Semaine de la Critique Makala d’Emmanuel Gras [**bathysphere*] **Prix SACD – Semaine de la Critique Ava de Léa Mysius [**Trois Brigands Productions*] **L’œil d’Or Visages, Villages d’Agnès Varda et JR [**Ciné-Tamaris*] **Mention spéciale – L’œil d’Or Makala d’Emmanuel Gras [**bathysphere*] **Label Europa Cinémas A Ciambra de Jonas Carpignano [**Haut et Court*] **Prix FIPRESCI 120 Battements par minute de Robin Campillo [**Les Films de Pierre*] **Queer Palm 120 Battements par minute de Robin Campillo [**Les Films de Pierre*] **Grand Prix – Prix RTI – Prix Grand Action (Prix UniFrance du court-métrage) Marlon de Jessica Palud [**Punchline Cinema*] **Prix Movistar+ – Prix UR Sveriges (Prix UniFrance du court-métrage) Negative Space de Max Porter & Ru Kuwahata [**Ikki Films*] **Mention spéciale du jury (Prix UniFrance du court-métrage) Les Bigorneaux d’Alice Vial [**Les Films du Cygne*] Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – _ Tel : 01 44 70 70 …

29 mai 2017Actus-SPIactus-spi
Vers une Europe de la Culture

Un important Conseil européen des ministres de la Culture se tenait hier.
Deux mesures ont été adoptées dans le cadre d’une directive réglementant les services de médias audiovisuels. La première consiste à réserver une part des catalogues en ligne a 30% d’œuvres européennes, ce qui représente un bon départ. La seconde pose aux nouvelles plateformes une obligation de contribution financière à la création dans les pays où elles diffusent. 

Le SPI salue avec une grande satisfaction ces mesures pour lesquelles il milite depuis plusieurs années.
Ainsi, la Culture prend sa place dans l’ordre européen, dans le respect de ses acteurs, des créateurs et de la diversité.

Cette décision est le fruit d’une volonté politique sans faille de la France, qui a su défendre son modèle exemplaire. Elle est aussi la démonstration d’une capacité à construire dans la Culture des consensus politiques forts, face à la puissance des acteurs mondiaux de l’Internet.

Il est urgent désormais de traduire cette directive dans notre pays, où les nouvelles plateformes imposent des modèles et des pratiques qui déstabilisent le secteur.

Voilà un message d’espoir pour l’ensemble du cinéma et de l’audiovisuel, qui intervient au moment où le Festival international du film de Cannes célèbre son 70ème anniversaire.

Paris, le 24 mai 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale –
SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants –
4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Un important Conseil européen des ministres de la Culture se tenait hier. Deux mesures ont été adoptées dans le cadre d’une directive réglementant les services de médias audiovisuels. La première consiste à réserver une part des catalogues en ligne a 30% d’œuvres européennes, ce qui représente un bon départ. La seconde pose aux nouvelles plateformes une obligation de contribution financière à la création dans les pays où elles diffusent.  Le SPI salue avec une grande satisfaction ces mesures pour lesquelles il milite depuis plusieurs années. Ainsi, la Culture prend sa place dans l’ordre européen, dans le respect de ses acteurs, des créateurs et de la diversité. Cette décision est le fruit d’une volonté politique sans faille de la France, qui a su défendre son modèle exemplaire. Elle est aussi la démonstration d’une capacité à construire dans la Culture des consensus politiques forts, face à la puissance des acteurs mondiaux de l’Internet. Il est urgent désormais de traduire cette directive dans notre pays, où les nouvelles plateformes imposent des modèles et des pratiques qui déstabilisent le secteur. Voilà un message d’espoir pour l’ensemble du cinéma et de l’audiovisuel, qui intervient au moment où le Festival international du film de Cannes célèbre son 70ème anniversaire. Paris, le 24 mai 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

24 mai 2017Actus-SPIactus-spi
BUREAUX À LOUER

Les films du bélier propose en sous-location un bureau de 2 pièces (27m2 et 15m2) dans un bureau de 150 m2 partagé avec 3 sociétés de production.

Situé rue René Boulanger, entre République et Strasbourg Saint-Denis, au premier étage sur cour.
Le lieu dispose d’espaces communs: cuisine, 2 WC, et d’un espace de réunion de 15m2.

Loyer mensuel: entre 1830 et 2500€ selon la durée de la location.
Entretien / Imprimeur – photocopieur inclus

Si vous êtes intéressés, merci de nous contacter au
01 43 90 99 83
contact@lesfilmsdubelier

Les films du bélier propose en sous-location un bureau de 2 pièces (27m2 et 15m2) dans un bureau de 150 m2 partagé avec 3 sociétés de production. Situé rue René Boulanger, entre République et Strasbourg Saint-Denis, au premier étage sur cour. Le lieu dispose d’espaces communs: cuisine, 2 WC, et d’un espace de réunion de 15m2. Loyer mensuel: entre 1830 et 2500€ selon la durée de la location. Entretien / Imprimeur – photocopieur inclus Si vous êtes intéressés, merci de nous contacter au 01 43 90 99 83 …

24 mai 2017Annoncesannonces
Le SPI salue l’arrivée d’une femme de grande culture à la rue de Valois

Le SPI salue la nomination de Madame Françoise NYSSEN, aux fonctions de ministre de la Culture dans le nouveau gouvernement de Monsieur Edouard PHILLIPE.

Il salue également le choix politique du nouveau gouvernement de consacrer un ministère de plein exercice à la Culture, et elle seule. C’est un signe fort.

Une femme de grande culture entre rue de Valois. Femme de lettres, mais également cheffe d’entreprise, Madame NYSSEN a prouvé, avec la Maison du Méjan, son engagement pour les arts et lettres et sa constante exigence au service de la création artistique. Nous lui souhaitons pleine réussite dans cette mission d’une grande envergure.

Elle succède à Madame Audrey AZOULAY, qui a su notamment mener à bien la loi sur la création, l’architecture et le patrimoine. Toujours attentive aux créateurs, elle a conduit de difficiles négociations au niveau européen, en préservant la diversité culturelle de notre pays. Nous lui faisons part de notre gratitude.

Paris, le 18 mai 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale –
SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants –
4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Le SPI salue la nomination de Madame Françoise NYSSEN, aux fonctions de ministre de la Culture dans le nouveau gouvernement de Monsieur Edouard PHILLIPE. Il salue également le choix politique du nouveau gouvernement de consacrer un ministère de plein exercice à la Culture, et elle seule. C’est un signe fort. Une femme de grande culture entre rue de Valois. Femme de lettres, mais également cheffe d’entreprise, Madame NYSSEN a prouvé, avec la Maison du Méjan, son engagement pour les arts et lettres et sa constante exigence au service de la création artistique. Nous lui souhaitons pleine réussite dans cette mission d’une grande envergure. Elle succède à Madame Audrey AZOULAY, qui a su notamment mener à bien la loi sur la création, l’architecture et le patrimoine. Toujours attentive aux créateurs, elle a conduit de difficiles négociations au niveau européen, en préservant la diversité culturelle de notre pays. Nous lui faisons part de notre gratitude. Paris, le 18 mai 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

18 mai 2017Actus-SPIactus-spi
Festival de Cannes 2017 : Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents pour leurs 35 sélections

**SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Longs Métrages

120 Battements par Minute

de Robin Campillo

[**Les Films de Pierre*]

Une Femme Douce

de Sergei Loznitsa

[**Slot Machine*]

Loveless (Sans Amour)

de Andreï Zvyaguintsev

[**Why Not Productions*]

You Were Never Really Here

de Lynne Ramsay

[**Why Not Productions*]

**SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Courts Métrages

A Gentle Night

de Qiu Yang

[**House on Fire*]

Pépé le Morse

de Lucrèce Andreae

[**Caimans Productions*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Un Certain Regard

Après la Guerre

d’Annarita Zambrano

[**Cinéma Defacto / Sensito Films*]

En Attendant les Hirondelles

de Karim Moussaoui

[**LFP – Les Films Pelléas*]

Jeune Femme

de Léonor Serraille

[**Blue Monday Productions*]

L’Atelier

de Laurent Cantet

[**Archipel 35*]

La Cordillera

de Santiago Mitre

[**Maneki Films*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Film d’ouverture

Les Fantômes d’Ismaël

d’Arnaud Despleschin

[**Why Not Productions*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Séances Spéciales

Carré 35

d’Éric Caravaca

[**Les Films du Poisson*]

Les Films du Poisson

de Jude Ratnam

[**Sister Productions*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Séance Évènement 70e Anniversaire

24 Frames

d’Abbas Kiarostami

[**CG Cinéma*]

**SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Hors Compétition

Visages, Villages

de Agnès Varda et JR

[**Ciné-Tamaris*]

**LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS – longs métrages

A Ciambra

de Jonas Carpignano

[**Haut et Court*]

Alive in France

de Abel Ferrara

[**bathysphere*]

Frost

de Sharunas Bartas

[**KinoElektron*]

I Am Not a Witch

de Rungano Nyoni

[**Clandestine Films*]

Jeanette, l’Enfance de Jeanne d’Arc

de Bruno Dumont

[**3B Productions*]

Nothingwood

de Sonia Kronlund

[**Gloria Films*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Longs Métrages

Ava

de Léa Mysius

[**Trois Brigands Productions*]

Los Perros

de Marcela Said

[**Cinéma Defacto*]

Makala

de Emmanuel Gras

[**bathysphere*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – courts métrages

Le Visage

de Salvatore Lista

[**Mezzanine Films*]

Les Enfants Partent à l’Aube

de Manon Coubia

[**Offshore*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Séances Spéciales – Long métrage

Une Vie Violente

de Thierry de Peretti

[**Les Films Velvet*]

**LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – – Séances Spéciales – Court Métrage

Mauvais Lapin

de Carlos Conceição

[**Épicentre Films*]

**LA SELECTION ACID

Avant la Fin de l’Été

de Maryam Goormaghtigh

[**4 A 4 Productions*]

Belinda

de Marie Dumora

[**Gloria Films*]

Last Laugh

de Zhang Tao

[**House on Fire*]

Le Ciel Étoilé au-Dessus de ma Tête

d’Ilan Klipper

[**bathysphere*]

Sans Adieu

de Christophe Agou

[**Les Enragés*]

**LA SELECTION ACID – Séance spéciale

Pour le Réconfort

de Vincent Macaigne

[**CG Cinéma / Les Canards Sauvages*]

**SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Longs Métrages 120 Battements par Minute de Robin Campillo [**Les Films de Pierre*] Une Femme Douce de Sergei Loznitsa [**Slot Machine*] Loveless (Sans Amour) de Andreï Zvyaguintsev [**Why Not Productions*] You Were Never Really Here de Lynne Ramsay [**Why Not Productions*] **SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION – Courts Métrages A Gentle Night de Qiu Yang [**House on Fire*] Pépé le Morse de Lucrèce Andreae [**Caimans Productions*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Un Certain Regard Après la Guerre d’Annarita Zambrano [**Cinéma Defacto / Sensito Films*] En Attendant les Hirondelles de Karim Moussaoui [**LFP – Les Films Pelléas*] Jeune Femme de Léonor Serraille [**Blue Monday Productions*] L’Atelier de Laurent Cantet [**Archipel 35*] La Cordillera de Santiago Mitre [**Maneki Films*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Film d’ouverture Les Fantômes d’Ismaël d’Arnaud Despleschin [**Why Not Productions*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Séances Spéciales Carré 35 d’Éric Caravaca [**Les Films du Poisson*] Les Films du Poisson de Jude Ratnam [**Sister Productions*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Séance Évènement 70e Anniversaire 24 Frames d’Abbas Kiarostami [**CG Cinéma*] **SÉLECTION OFFICIELLE HORS COMPÉTITION – Hors Compétition Visages, Villages de Agnès Varda et JR [**Ciné-Tamaris*] **LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS – longs métrages A Ciambra de Jonas Carpignano [**Haut et Court*] Alive in France de Abel Ferrara [**bathysphere*] Frost de Sharunas Bartas [**KinoElektron*] I Am Not a Witch de Rungano Nyoni [**Clandestine Films*] Jeanette, l’Enfance de Jeanne d’Arc de Bruno Dumont [**3B Productions*] Nothingwood de Sonia Kronlund [**Gloria Films*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Longs Métrages Ava de Léa Mysius [**Trois Brigands Productions*] Los Perros de Marcela Said [**Cinéma Defacto*] Makala de Emmanuel Gras [**bathysphere*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – courts métrages Le Visage de Salvatore Lista [**Mezzanine Films*] Les Enfants Partent à l’Aube de Manon Coubia [**Offshore*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – Séances Spéciales – Long métrage Une Vie Violente de Thierry de Peretti [**Les Films Velvet*] **LA SEMAINE DE LA CRITIQUE – – Séances Spéciales – Court Métrage Mauvais Lapin de Carlos Conceição [**Épicentre Films*] **LA SELECTION ACID Avant la Fin de l’Été de Maryam Goormaghtigh [**4 A 4 Productions*] Belinda de Marie Dumora [**Gloria Films*] Last Laugh de Zhang Tao [**House on Fire*] Le Ciel Étoilé au-Dessus de ma Tête d’Ilan Klipper [**bathysphere*] Sans Adieu de Christophe Agou [**Les Enragés*] **LA SELECTION ACID – Séance spéciale Pour le Réconfort de Vincent Macaigne [**CG Cinéma / Les Canards …

13 mai 2017Actus-SPIactus-spi
Kaléidoscope d’une vie

Documentaire de long métrage 110mn
D’après le roman éponyme de et avec Serge Leautier
Informations:
Kaléidoscope

Documentaire de long métrage 110mn D’après le roman éponyme de et avec Serge Leautier Informations: …

13 mai 2017Actus-Adhérentsactus-adherents
Nouveau Comité Directeur du SPI – Elections du 19 avril 2017

Le nouveau Comité Directeur du SPI (élu lors de l’Assemblée générale du 28 mars 2017) s’est tenu le 19 avril 2017 pour élire son Président et son Trésorier.

Nous avons le plaisir de vous informer que :

Emmanuel Priou (Bonne Pioche) a été élu Président du SPI, et succède ainsi à Marie Masmonteil (Elzévir Films) qui est nommée Présidente d’honneur

Richard Magnien (Mat Productions) a été réélu Trésorier du SPI

Vous trouverez en pièce jointe la nouvelle composition du Comité Directeur du SPI pour 2017.

Catherine Bertin, Déléguée Générale du SPI – 01 44 70 70 44

Le nouveau Comité Directeur du SPI (élu lors de l’Assemblée générale du 28 mars 2017) s’est tenu le 19 avril 2017 pour élire son Président et son Trésorier. Nous avons le plaisir de vous informer que : Emmanuel Priou (Bonne Pioche) a été élu Président du SPI, et succède ainsi à Marie Masmonteil (Elzévir Films) qui est nommée Présidente d’honneur Richard Magnien (Mat Productions) a été réélu Trésorier du SPI Vous trouverez en pièce jointe la nouvelle composition du Comité Directeur du SPI pour 2017. Catherine Bertin, Déléguée Générale du SPI – 01 44 70 70 …

20 avril 2017Actus-SPIactus-spi
BLOC : Le Bloc salue la réforme de l’Art et Essai et rappelle l’importance de la régulation de l’exploitation en salle

_ Le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) prend acte de la réforme de l’Art et Essai présentée vendredi dernier par le CNC, à la suite du rapport de Patrick Raude, et se félicite des importantes avancées qu’elle propose, dans un souci de simplification, de modernisation et de renforcement du dispositif.

En premier lieu, le BLOC salue l’augmentation de 1,5 M€ par an du soutien financier à l’Art et Essai. Celle-ci devra notamment permettre de valoriser financièrement les différents labels et donc d’encourager les salles à une plus grande diversité de programmation.

Le BLOC se félicite également du renforcement des critères d’accès au soutien et des bonus prévus pour les petits établissements de 1 à 3 écrans, ainsi que pour ceux qui programment des films de recherche moins identifiés ou qui ont une politique particulièrement volontariste de diffusion de court-métrages.

En parallèle de cette réforme du soutien sélectif, il est primordial que l’accord du 13 mai 2016 sur les engagements de programmation et les engagements de diffusion soit pleinement mis en œuvre – à la fois dans la lettre et dans l’esprit –, avec notamment le maintien effectif des films en salles pendant au moins deux semaines d’exploitation en sortie nationale.

Le BLOC rappelle la nécessité d’instaurer une régulation dans la grande exploitation, afin de préserver la diversité des œuvres, de maintenir leur exposition dans la durée et d’assurer un partage de la valeur équilibré entre les différents acteurs de la filière. Le BLOC appelle à la poursuite du processus de discussion entamé en ce sens dans le cadre des Assises pour la diversité du cinéma.

Contact presse

Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58

Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 30

_ Le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) prend acte de la réforme de l’Art et Essai présentée vendredi dernier par le CNC, à la suite du rapport de Patrick Raude, et se félicite des importantes avancées qu’elle propose, dans un souci de simplification, de modernisation et de renforcement du dispositif. En premier lieu, le BLOC salue l’augmentation de 1,5 M€ par an du soutien financier à l’Art et Essai. Celle-ci devra notamment permettre de valoriser financièrement les différents labels et donc d’encourager les salles à une plus grande diversité de programmation. Le BLOC se félicite également du renforcement des critères d’accès au soutien et des bonus prévus pour les petits établissements de 1 à 3 écrans, ainsi que pour ceux qui programment des films de recherche moins identifiés ou qui ont une politique particulièrement volontariste de diffusion de court-métrages. En parallèle de cette réforme du soutien sélectif, il est primordial que l’accord du 13 mai 2016 sur les engagements de programmation et les engagements de diffusion soit pleinement mis en œuvre – à la fois dans la lettre et dans l’esprit –, avec notamment le maintien effectif des films en salles pendant au moins deux semaines d’exploitation en sortie nationale. Le BLOC rappelle la nécessité d’instaurer une régulation dans la grande exploitation, afin de préserver la diversité des œuvres, de maintenir leur exposition dans la durée et d’assurer un partage de la valeur équilibré entre les différents acteurs de la filière. Le BLOC appelle à la poursuite du processus de discussion entamé en ce sens dans le cadre des Assises pour la diversité du cinéma. Contact presse Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 …

14 avril 2017Actus-SPIactus-spi
ROC : La diffusion du court métrage mieux valorisée dans le travail “Art et essai” des salles de cinéma

La diffusion du court métrage mieux valorisée dans le travail « Art et essai » des salles de cinéma.

Le ROC salue la décision du CNC d’améliorer la prise en compte de la diffusion du court métrage dans le soutien aux salles de cinéma « Art et essai », telle qu’il l’a annoncé à l’occasion de la réforme du dispositif. Grâce à une dotation supplémentaire, les salles les plus actives en terme de diffusion du court métrage (que se soit par l’avant-séance, l’organisation d’événements ou l’exploitation de programmes) se verront attribuer un bonus forfaitaire complémentaire.

Le travail sur le court métrage est l’un des plus risqués commercialement et démontre un engagement fort des exploitants vis-à-vis du renouvellement de la création et des publics, ce qui est le cœur du travail « Art et essai ». Il était primordial que ce travail soit mieux reconnu et mieux valorisé.

Ce premier pas est fondamental : il ouvre le deuxième volet de la réforme des soutiens au court métrage, engagée à la suite de la publication du rapport d’Anne Bennet, Pistes de réflexion pour consolider la production et améliorer la diffusion du court métrage. Des discussions doivent désormais commencer pour inciter davantage encore une meilleure diffusion des œuvres courtes, sur l’ensemble des supports.

Paris, le 12 avril 2017.

Le ROC rassemble l’AFCA, l’Agence du court métrage, Carrefour des festivals, la Maison du film court, Sauve qui peut le court métrage, le SFA-CGT, le SPI, la SRF, et s’attache à garantir la pérennité et la diversité de la création et de la production des œuvres de format court, notamment en termes de financement et de diffusion.


Contact presse :

SPI – Cyril Smet – 01 44 70 70 44

SRF – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 70

La diffusion du court métrage mieux valorisée dans le travail « Art et essai » des salles de cinéma. Le ROC salue la décision du CNC d’améliorer la prise en compte de la diffusion du court métrage dans le soutien aux salles de cinéma « Art et essai », telle qu’il l’a annoncé à l’occasion de la réforme du dispositif. Grâce à une dotation supplémentaire, les salles les plus actives en terme de diffusion du court métrage (que se soit par l’avant-séance, l’organisation d’événements ou l’exploitation de programmes) se verront attribuer un bonus forfaitaire complémentaire. Le travail sur le court métrage est l’un des plus risqués commercialement et démontre un engagement fort des exploitants vis-à-vis du renouvellement de la création et des publics, ce qui est le cœur du travail « Art et essai ». Il était primordial que ce travail soit mieux reconnu et mieux valorisé. Ce premier pas est fondamental : il ouvre le deuxième volet de la réforme des soutiens au court métrage, engagée à la suite de la publication du rapport d’Anne Bennet, Pistes de réflexion pour consolider la production et améliorer la diffusion du court métrage. Des discussions doivent désormais commencer pour inciter davantage encore une meilleure diffusion des œuvres courtes, sur l’ensemble des supports. Paris, le 12 avril 2017. Le ROC rassemble l’AFCA, l’Agence du court métrage, Carrefour des festivals, la Maison du film court, Sauve qui peut le court métrage, le SFA-CGT, le SPI, la SRF, et s’attache à garantir la pérennité et la diversité de la création et de la production des œuvres de format court, notamment en termes de financement et de diffusion. Contact presse : SPI – Cyril Smet – 01 44 70 70 44 SRF – Bénédicte Hazé – 01 44 89 99 …

12 avril 2017Actus-SPIactus-spi
BLOC : Présidentielles 2017 : une société ne peut exister sans culture !

Le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) regroupe 14 organisations de réalisateurs, de scénaristes, de compositeurs, de producteurs, d’artistes-interprètes, d’agents artistiques, de techniciens, de distributeurs, d’exploitants cinématographiques et d’éditeurs vidéo indépendants français, qui représentent la filière cinématographique indépendante.

Alors que se dessine une vision de la France pour les cinq années à venir, nous tenons à exprimer notre inquiétude quant à l’absence patente de la culture au sein des débats présidentiels.

La culture véhicule les valeurs constitutives de notre société. Elle est le fondement de notre République. Elle est l’une des réponses aux grands défis de notre temps, en véritable garante du « vivre ensemble », dans le
respect mutuel et la diversité auxquels nous aspirons.

Un pays sans culture est une Nation sans créateurs, sans histoire et sans imaginaire. « La culture ne s’hérite pas, elle se conquiert », a dit André Malraux. Plus que jamais, cette conquête est indispensable.

Le cinéma, dans toute sa diversité, tient depuis ses débuts une place de choix dans le coeur des Français. Il est aussi le meilleur ambassadeur de la culture française à l’étranger. C’est pourquoi le BLOC souhaite rappeler aux candidats à l’élection présidentielle les principes fondamentaux d’une politique cinématographique ambitieuse.

Pour une création libre et indépendante

La création cinématographique tient sa force de sa liberté, de son dynamisme et de sa diversité : des valeurs sur lesquelles s’appuie toute politique culturelle.

Face aux puissants mouvements de concentration observés aujourd’hui dans le secteur, tant horizontalement que verticalement, il est impératif de renforcer les outils de régulation et d’incitation. Ces derniers permettent de garantir l’indépendance des acteurs économiques de la filière cinématographique et la diversité des oeuvres produites, essentielles notamment au renouvellement des talents et à l’innovation,
et de se préserver d’une bipolarisation du secteur.

Pour une éducation et un accès de tous les publics à la création

La culture n’a de sens que si elle est partagée.
La révolution des modes de diffusion numérique des oeuvres cinématographiques modifie les usages et bouleverse notre paysage culturel. Pour une meilleure exposition des oeuvres en salles et sur nos écrans, une modernisation de la chronologie des médias est nécessaire, ainsi que la mise en place d’une régulation de l’exploitation en salles permettant à tous les publics un accès à toutes les oeuvres. Les nouveaux acteurs du numérique doivent entrer dans le cercle vertueux de la régulation du secteur, notamment en contribuant au financement et à l’exposition effective de la création cinématographique.
Il est en outre nécessaire de renforcer l’éducation à l’image et le soutien à l’action culturelle territoriale.

Pour une défense du droit d’auteur et une lutte efficace contre le piratage

Le droit d’auteur est au centre du processus de création et sa défense constitue une priorité. Celle-ci passe notamment par une lutte engagée contre le piratage : mise en place de mesures dissuasives, engagement
des opérateurs numériques, développement des offres légales, éducation des publics, etc. Les moyens sont multiples et doivent être mis en oeuvre, dans l’objectif de protéger le droit d’auteur, pilier de la diversité de
la création.

Pour une Europe de la diversité culturelle

Consciente de sa place au coeur de l’Europe, la France contribue au rayonnement de celle-ci, dans sa capacité à proposer des oeuvres singulières et ambitieuses. Les enjeux traités au plan européen, liés
notamment à la pérennisation de la territorialité des droits, à la défense des droits d’auteur et au développement des soutiens au cinéma, sont incontournables et doivent être défendus.

Le cinéma français est à la fois un art et une industrie forte, créatrice de richesses multiples. Il ne s’est pas construit en un jour, et ce système complexe et performant, que tous les autres pays européens nous envient, est né avant tout de fortes volontés politiques.

Le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) regroupe 14 organisations de réalisateurs, de scénaristes, de compositeurs, de producteurs, d’artistes-interprètes, d’agents artistiques, de techniciens, de distributeurs, d’exploitants cinématographiques et d’éditeurs vidéo indépendants français, qui représentent la filière cinématographique indépendante. Alors que se dessine une vision de la France pour les cinq années à venir, nous tenons à exprimer notre inquiétude quant à l’absence patente de la culture au sein des débats présidentiels. La culture véhicule les valeurs constitutives de notre société. Elle est le fondement de notre République. Elle est l’une des réponses aux grands défis de notre temps, en véritable garante du « vivre ensemble », dans le respect mutuel et la diversité auxquels nous aspirons. Un pays sans culture est une Nation sans créateurs, sans histoire et sans imaginaire. « La culture ne s’hérite pas, elle se conquiert », a dit André Malraux. Plus que jamais, cette conquête est indispensable. Le cinéma, dans toute sa diversité, tient depuis ses débuts une place de choix dans le coeur des Français. Il est aussi le meilleur ambassadeur de la culture française à l’étranger. C’est pourquoi le BLOC souhaite rappeler aux candidats à l’élection présidentielle les principes fondamentaux d’une politique cinématographique ambitieuse. Pour une création libre et indépendante La création cinématographique tient sa force de sa liberté, de son dynamisme et de sa diversité : des valeurs sur lesquelles s’appuie toute politique culturelle. Face aux puissants mouvements de concentration observés aujourd’hui dans le secteur, tant horizontalement que verticalement, il est impératif de renforcer les outils de régulation et d’incitation. Ces derniers permettent de garantir l’indépendance des acteurs économiques de la filière cinématographique et la diversité des oeuvres produites, essentielles notamment au renouvellement des talents et à l’innovation, et de se préserver d’une bipolarisation du secteur. Pour une éducation et un accès de tous les publics à la création La culture n’a de sens que si elle est partagée. La révolution des modes de diffusion numérique des oeuvres cinématographiques modifie les usages et bouleverse notre paysage culturel. Pour une meilleure exposition des oeuvres en salles et sur nos écrans, une modernisation de la chronologie des médias est nécessaire, ainsi que la mise en place d’une régulation de l’exploitation en salles permettant à tous les publics un accès à toutes les oeuvres. Les nouveaux acteurs du numérique doivent entrer dans le cercle vertueux de la régulation du secteur, notamment en contribuant au financement et à l’exposition effective de la création cinématographique. Il est en outre nécessaire de renforcer l’éducation à l’image et le soutien à l’action culturelle territoriale. Pour une défense du droit d’auteur et une lutte efficace contre le piratage Le droit d’auteur est au centre du processus de création et sa défense constitue une priorité. Celle-ci passe notamment par une lutte engagée contre le piratage : mise en place de mesures dissuasives, engagement des opérateurs numériques, développement des offres légales, éducation des publics, etc. Les moyens sont multiples et doivent être mis en oeuvre, dans l’objectif de protéger le droit d’auteur, pilier de la diversité de la création. Pour une Europe de la diversité culturelle Consciente de sa place au coeur de l’Europe, la France contribue au rayonnement de celle-ci, dans sa capacité à proposer des oeuvres singulières et ambitieuses. Les enjeux traités au plan européen, liés notamment à la pérennisation de la territorialité des droits, à la défense des droits d’auteur et au développement des soutiens au cinéma, sont incontournables et doivent être défendus. Le cinéma français est à la fois un art et une industrie forte, créatrice de richesses multiples. Il ne s’est pas construit en un jour, et ce système complexe et performant, que tous les autres pays européens nous envient, est né avant tout de fortes volontés …

7 avril 2017Actus-SPIactus-spi
Renouvellement des accords d’investissement dans le documentaire et les captations de spectacles vivants de France Télévisions

Un partenariat avec le secteur de la production modernisé et renforcé jusqu’en 2020 pour les productions initiées sur l’ensemble du territoire

Le SPI vient de renouveler avec les autres organisations de producteurs et France Télévisions, la signature de deux accords majeurs pour les secteurs du documentaire et de l’adaptation audiovisuelle de spectacles vivants qu’il représente majoritairement.

Ces accords s’inscrivent dans l’engagement général fixé au Contrat d’objectifs et de moyens (COM) de France Télévisions (420 millions d’euros dans la création audiovisuelle destinée à des diffusions nationales), auquel il faut ajouter désormais 11,5M€ puis 12,2M€ à partir de 2018 consacrées aux productions documentaires initiées par les réseaux régional et ultra marin de France Télévisions.

L’objectif poursuivi par le SPI était de revaloriser l’engagement de France Télévisions dans ces deux secteurs, dans des proportions au moins égales à l’augmentation de 5% de son engagement dans la création. Le SPI voulait aussi que soit renforcée la diversité de l’offre et que ce nouveau cadre conventionnel intègre les exploitations délinéarisées des oeuvres audiovisuelles de spectacles vivants et des documentaires.

En documentaire :

L’engagement de France Télévisions est porté à 101 millions d’euros. Cette enveloppe inclue les web documentaires, les développements transmédias et les documentaires initiés régionalement y compris en Outre-mer. Ces derniers voient leur budget renforcé à la demande du SPI, pour atteindre 11,5M€ en 2017 puis 12,2M€ à partir de 2018 et jusqu’à 2020, alors qu’il était de 11M€ par an depuis 2014.

Dans ce cadre, l’enveloppe consacrée aux documentaires initiés par les Outre-mer sera augmentée de 800K€ à partir de 2018, soit un doublement du modeste budget affecté aux neuf antennes de plein exercice.

Le SPI a également obtenu un engagement du groupe public de généraliser la négociation de COM avec les différentes régions métropolitaines et ultra-marines afin de renforcer son investissement dans la création soutenue localement.

Ce nouvel accord sur le documentaire est assis sur un périmètre plus large, correspondant aux documentaires de créations déclarés au CSA. Il est assorti de nombreux indicateurs de suivi de la répartition des investissements de France Télévisions, garantissant ainsi une transparence importante de son engagement dans ce genre.

L’accord assure également un engagement en faveur de l’émergence et de la jeune création ainsi qu’une programmation diversifiée dans les différents genres du documentaire. France Télévisions a accepté d’ouvrir une case de documentaires singuliers en seconde partie de soirée demandée par le SPI depuis plus de 10 ans.

La promotion de la programmation documentaire sera également renforcée, notamment s’agissant des programmations régionales en manque de visibilité.

Enfin, le principe d’une valorisation spécifique par voie d’accord séparée des exploitations non linéaires, avec partage de recettes, a été réaffirmé. Une négociation spécifique concernant la rémunération de l’exploitation des œuvres sur la plateforme de SVoD de FTV doit s’ouvrir en avril 2017.

En spectacle vivant :

Le SPI poursuivait deux objectifs principaux :
– renforcer l’investissement de France Télévisions dans les adaptations audiovisuelles à vocation patrimoniale et doubler le budget de Culturebox ;
– mieux encadrer l’exploitation des oeuvres sur la plateforme Culturebox en fixant notamment un régime de droits indépendants qui n’existait pas pour les oeuvres webnatives.

A l’issue de trois mois de discussion, France Télévisions a accepté d’augmenter de façon significative le budget de Culture box, porté à 1,75M€ en 2017 et en 2018, puis à 2M€ par an à compter de 2019. Cette augmentation s’inscrit en pleine cohérence avec ses choix de production puisqu’une majorité des captations sont aujourd’hui produites pour l’offre délinéarisée du groupe.

Ce budget s’inscrit dans une enveloppe bi-annuelle de 31,5M€ au lieu de 29M€ précédemment.

L’exploitation des oeuvres sur culturebox ou les plateformes de FTV est géobloquée et limitée territorialement. Comme pour l’accord sur le documentaire, un principe d’acceptation par France Télévisions de fenêtres d’exploitation pour des cofinanceurs est prévu.

L’étendue des droits cédés pour les exploitations des oeuvres web natives est fixée par principe à 12 mois à titre non exclusif sur la plateforme Culturebox, sauf dérogation et sous réserve de l’accord des ayants-droits.

Les signataires de cet accord ont voulu par ailleurs renforcer la diversité de l’offre de captations de spectacles vivants ouverte désormais au Cirque et à tous types de concerts ou récitals.
En cohérence, l’engagement de programmation du spectacle vivant en soirée prévu au cahier des charges de France Télévisions fera l’objet d’une concertation spécifique.

Les producteurs indépendants ont également souhaité poursuivre un dialogue régulier avec les équipes de la filière de production de France Télévisions.

Enfin l’accord renforce aussi l’engagement de transparence de FTV sur ses investissements dans ce secteur.

***

Ces deux accords viennent renforcer et garantir l’investissement du groupe public dans la création patrimoniale de spectacle vivant et de documentaire jusqu’à 2020. Ils réaffirment un dialogue régulier entre les producteurs indépendants et France Télévisions, en pleine responsabilité, face aux évolutions du secteur audiovisuel.

Paris, le 3 avril 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale
SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants
4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Un partenariat avec le secteur de la production modernisé et renforcé jusqu’en 2020 pour les productions initiées sur l’ensemble du territoire Le SPI vient de renouveler avec les autres organisations de producteurs et France Télévisions, la signature de deux accords majeurs pour les secteurs du documentaire et de l’adaptation audiovisuelle de spectacles vivants qu’il représente majoritairement. Ces accords s’inscrivent dans l’engagement général fixé au Contrat d’objectifs et de moyens (COM) de France Télévisions (420 millions d’euros dans la création audiovisuelle destinée à des diffusions nationales), auquel il faut ajouter désormais 11,5M€ puis 12,2M€ à partir de 2018 consacrées aux productions documentaires initiées par les réseaux régional et ultra marin de France Télévisions. L’objectif poursuivi par le SPI était de revaloriser l’engagement de France Télévisions dans ces deux secteurs, dans des proportions au moins égales à l’augmentation de 5% de son engagement dans la création. Le SPI voulait aussi que soit renforcée la diversité de l’offre et que ce nouveau cadre conventionnel intègre les exploitations délinéarisées des oeuvres audiovisuelles de spectacles vivants et des documentaires. En documentaire : L’engagement de France Télévisions est porté à 101 millions d’euros. Cette enveloppe inclue les web documentaires, les développements transmédias et les documentaires initiés régionalement y compris en Outre-mer. Ces derniers voient leur budget renforcé à la demande du SPI, pour atteindre 11,5M€ en 2017 puis 12,2M€ à partir de 2018 et jusqu’à 2020, alors qu’il était de 11M€ par an depuis 2014. Dans ce cadre, l’enveloppe consacrée aux documentaires initiés par les Outre-mer sera augmentée de 800K€ à partir de 2018, soit un doublement du modeste budget affecté aux neuf antennes de plein exercice. Le SPI a également obtenu un engagement du groupe public de généraliser la négociation de COM avec les différentes régions métropolitaines et ultra-marines afin de renforcer son investissement dans la création soutenue localement. Ce nouvel accord sur le documentaire est assis sur un périmètre plus large, correspondant aux documentaires de créations déclarés au CSA. Il est assorti de nombreux indicateurs de suivi de la répartition des investissements de France Télévisions, garantissant ainsi une transparence importante de son engagement dans ce genre. L’accord assure également un engagement en faveur de l’émergence et de la jeune création ainsi qu’une programmation diversifiée dans les différents genres du documentaire. France Télévisions a accepté d’ouvrir une case de documentaires singuliers en seconde partie de soirée demandée par le SPI depuis plus de 10 ans. La promotion de la programmation documentaire sera également renforcée, notamment s’agissant des programmations régionales en manque de visibilité. Enfin, le principe d’une valorisation spécifique par voie d’accord séparée des exploitations non linéaires, avec partage de recettes, a été réaffirmé. Une négociation spécifique concernant la rémunération de l’exploitation des œuvres sur la plateforme de SVoD de FTV doit s’ouvrir en avril 2017. En spectacle vivant : Le SPI poursuivait deux objectifs principaux : – renforcer l’investissement de France Télévisions dans les adaptations audiovisuelles à vocation patrimoniale et doubler le budget de Culturebox ; – mieux encadrer l’exploitation des oeuvres sur la plateforme Culturebox en fixant notamment un régime de droits indépendants qui n’existait pas pour les oeuvres webnatives. A l’issue de trois mois de discussion, France Télévisions a accepté d’augmenter de façon significative le budget de Culture box, porté à 1,75M€ en 2017 et en 2018, puis à 2M€ par an à compter de 2019. Cette augmentation s’inscrit en pleine cohérence avec ses choix de production puisqu’une majorité des captations sont aujourd’hui produites pour l’offre délinéarisée du groupe. Ce budget s’inscrit dans une enveloppe bi-annuelle de 31,5M€ au lieu de 29M€ précédemment. L’exploitation des oeuvres sur culturebox ou les plateformes de FTV est géobloquée et limitée territorialement. Comme pour l’accord sur le documentaire, un principe d’acceptation par France Télévisions de fenêtres d’exploitation pour des cofinanceurs est prévu. L’étendue des droits cédés pour les exploitations des oeuvres web natives est fixée par principe à 12 mois à titre non exclusif sur la plateforme Culturebox, sauf dérogation et sous réserve de l’accord des ayants-droits. Les signataires de cet accord ont voulu par ailleurs renforcer la diversité de l’offre de captations de spectacles vivants ouverte désormais au Cirque et à tous types de concerts ou récitals. En cohérence, l’engagement de programmation du spectacle vivant en soirée prévu au cahier des charges de France Télévisions fera l’objet d’une concertation spécifique. Les producteurs indépendants ont également souhaité poursuivre un dialogue régulier avec les équipes de la filière de production de France Télévisions. Enfin l’accord renforce aussi l’engagement de transparence de FTV sur ses investissements dans ce secteur. *** Ces deux accords viennent renforcer et garantir l’investissement du groupe public dans la création patrimoniale de spectacle vivant et de documentaire jusqu’à 2020. Ils réaffirment un dialogue régulier entre les producteurs indépendants et France Télévisions, en pleine responsabilité, face aux évolutions du secteur audiovisuel. Paris, le 3 avril 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

3 avril 2017Actus-SPIactus-spi
Offre d’emploi Comptable – Paie Mezzanine Admin : Groupement d’Employeurs culturels

Description de la structure :

Mezzanine Admin est un groupement d’employeurs culturels au statut associatif à but non lucratif, qui regroupe environ 50 structures oeuvrant dans le champ du Cinéma indépendant et du Spectacle Vivant. Nous mutualisons auprès de nos adhérents des emplois de comptables et de gestionnaire de paie.
Dans le cadre du départ de deux salariés, nous recrutons deux comptables pour rejoindre notre équipe.

Description du poste :
La personne sera amenée à travailler dans une dizaine de structures, de tailles diverses, parmi nos adhérents, au sein desquelles les missions pourront légèrement varier en fonction des spécificités de chaque structure. La personne recrutée sera ainsi l’interlocutrice principale de ces 10 adhérents pour les questions de comptabilité et de paie et de leurs experts comptables respectifs.

Profil :

 Organisé(e), rigoureux(se), autonome
 Bon relationnel
 Grande capacité d’adaptation
 Sens des responsabilités et bonne gestion du stress
 Goût pour le cinéma indépendant et le spectacle vivant
 Désir de travailler dans la culture et d’acquérir des compétences spécifiques à ce secteur d’activité
 Intérêt pour l’Economie Sociale et Solidaire et les modèles de coopération

Description des tâches

 Saisie des écritures comptables, rapprochements bancaires, lettrage
 Déclarations de TVA
 Gestion de la paie des permanents et des intermittents
 Déclaration des charges sociales
 Autres tâches de gestion administrative (ordres de virement, classement, archivage)

Compétences requises :

 Maîtrise des outils bureautiques, Outlook ou Thunderbird,Excel, et environnement PC
 Maîtrise des règles de base en comptabilité
 Connaissance pratique d’au moins un logiciel de comptabilité (la personne sera amenée à travailler sur les logiciels Ciel, Louma et Studio de Xotis)
 Formation comptable minimum Bac +2 ou équivalent – Les profils issus de la Production Cinéma, sans expérience notable de comptabilité, sont également les bienvenus
Connaissance de la paie des intermittents appréciée, mais formation en interne possible

Accompagnement :

Une passation d’environ un mois est prévue. La personne bénéficiera d’une formation continue, notamment grâce au suivi de nos deux tuteurs, et participera avec le reste de l’équipe à des formations internes mensuelles, afin de lui permettre d’acquérir de nouvelles connaissances et de rester informée des actualités qui concernent le secteur ou ses missions.

Type de contrat

CDD long ou CDI – Temps plein 35h par semaine
Salaire selon expérience et grille de convention collective – Entre 1600 € et 2000 € brut + Tickets restau
Eligible CUI-CAE et RQTH bienvenu
Lieux d’intervention : Mobilité chez nos adhérents dans le nord-est parisien (10e, 18e, 19e, 20e)

Plus d’infos http://www.mezzanineadmin.fr Pour postuler contact@mezzanineadmin.fr

Description de la structure : Mezzanine Admin est un groupement d’employeurs culturels au statut associatif à but non lucratif, qui regroupe environ 50 structures oeuvrant dans le champ du Cinéma indépendant et du Spectacle Vivant. Nous mutualisons auprès de nos adhérents des emplois de comptables et de gestionnaire de paie. Dans le cadre du départ de deux salariés, nous recrutons deux comptables pour rejoindre notre équipe. Description du poste : La personne sera amenée à travailler dans une dizaine de structures, de tailles diverses, parmi nos adhérents, au sein desquelles les missions pourront légèrement varier en fonction des spécificités de chaque structure. La personne recrutée sera ainsi l’interlocutrice principale de ces 10 adhérents pour les questions de comptabilité et de paie et de leurs experts comptables respectifs. Profil :  Organisé(e), rigoureux(se), autonome  Bon relationnel  Grande capacité d’adaptation  Sens des responsabilités et bonne gestion du stress  Goût pour le cinéma indépendant et le spectacle vivant  Désir de travailler dans la culture et d’acquérir des compétences spécifiques à ce secteur d’activité  Intérêt pour l’Economie Sociale et Solidaire et les modèles de coopération Description des tâches  Saisie des écritures comptables, rapprochements bancaires, lettrage  Déclarations de TVA  Gestion de la paie des permanents et des intermittents  Déclaration des charges sociales  Autres tâches de gestion administrative (ordres de virement, classement, archivage) Compétences requises :  Maîtrise des outils bureautiques, Outlook ou Thunderbird,Excel, et environnement PC  Maîtrise des règles de base en comptabilité  Connaissance pratique d’au moins un logiciel de comptabilité (la personne sera amenée à travailler sur les logiciels Ciel, Louma et Studio de Xotis)  Formation comptable minimum Bac +2 ou équivalent – Les profils issus de la Production Cinéma, sans expérience notable de comptabilité, sont également les bienvenus Connaissance de la paie des intermittents appréciée, mais formation en interne possible Accompagnement : Une passation d’environ un mois est prévue. La personne bénéficiera d’une formation continue, notamment grâce au suivi de nos deux tuteurs, et participera avec le reste de l’équipe à des formations internes mensuelles, afin de lui permettre d’acquérir de nouvelles connaissances et de rester informée des actualités qui concernent le secteur ou ses missions. Type de contrat CDD long ou CDI – Temps plein 35h par semaine Salaire selon expérience et grille de convention collective – Entre 1600 € et 2000 € brut + Tickets restau Eligible CUI-CAE et RQTH bienvenu Lieux d’intervention : Mobilité chez nos adhérents dans le nord-est parisien (10e, 18e, 19e, 20e) Plus d’infos http://www.mezzanineadmin.fr Pour postuler …

29 mars 2017Annoncesannonces
Le SPI et les élections présidentielles de 2017

Nous trouverez ci-joint la plaquette que le SPI édite à l’occasion des élections présidentielles d’avril prochain.

Cette plaquette rappelle, dans une première partie, les valeurs que défendent le syndicat et ses adhérents.

La seconde partie liste les 20 questions que nous posons aux candidats, qui nous paraissent résumer les enjeux du secteur dans les mois et années à venir.

Nous trouverez ci-joint la plaquette que le SPI édite à l’occasion des élections présidentielles d’avril prochain. Cette plaquette rappelle, dans une première partie, les valeurs que défendent le syndicat et ses adhérents. La seconde partie liste les 20 questions que nous posons aux candidats, qui nous paraissent résumer les enjeux du secteur dans les mois et années à …

29 mars 2017Actus-SPIactus-spi
Pour une Chronologie des médias tournée vers l’avenir : la SRF, le SPI et l’UPC s’associent

A l’occasion du bilan annuel des investissements de Canal Plus dans le cinéma qui a été présenté aujourd’hui, la Société des Réalisateurs de Films (SRF), le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et l’Union des Producteurs de Cinéma (UPC) s’expriment en tant que représentants du couple réalisateur-producteur, maillon central et essentiel de la création indépendante :

« Nous portons la voix de 300 cinéastes et de la grande majorité des producteurs indépendants qui œuvrent chaque jour pour le rayonnement et la diversité du cinéma. Les films de la création indépendante sont chaque année distingués en France et au-delà de nos frontières, dans les plus grands festivals internationaux.

Canal Plus est depuis plus de 30 ans le partenaire privilégié du cinéma français et européen. Cette relation forte et durable, nous l’avons construite ensemble. La passion est au cœur de nos métiers, de l’écriture à la fabrication des films, partagée par nos partenaires distributeurs, diffuseurs et exploitants.

L’histoire de Canal Plus est intrinsèquement liée à celle du cinéma français, à cette exception culturelle à laquelle nous sommes corps et âme attachés. Canal Plus a, depuis l’origine, joué un rôle fondamental en soutenant le cinéma sous toutes ses formes et s’impose sans conteste comme le premier partenaire de la création indépendante, portant avec nous le destin du cinéma de demain.

Aujourd’hui, la relation qu’a nouée Canal Plus avec le cinéma suscite des inquiétudes. La situation économique du groupe nous préoccupe à travers l’évolution de son chiffre d’affaires, qui conditionne l’avenir du préfinancement, tout comme la baisse des montants des préachats, ainsi que celle des achats, que nous avons constatées récemment.

Au-delà des enjeux industriels sur lesquels nous ne pouvons agir, nous vous proposons aujourd’hui de renforcer le dynamisme du cinéma alors que les usages se sont profondément modifiés et que Canal Plus doit en épouser les changements.

Les discussions actuelles sur la chronologie des médias sont pour nous une occasion unique de donner un cadre favorable au paysage audiovisuel de demain

Le souhait de Canal Plus de pouvoir diffuser les œuvres à 6 mois, nous voulons l’accompagner.

Nous pensons que Canal Plus peut ainsi avoir les moyens de retrouver une ambition forte, en s’adaptant à son environnement concurrentiel et en continuant à être l’acteur majeur et privilégié du cinéma français.

Mais cette avancée pour votre groupe doit avoir des contreparties pour l’avenir du cinéma et la préservation de toute sa diversité :

  • permettre un accès continu aux œuvres en vidéo à la demande, à travers le dégel, pour favoriser une offre légale numérique et une politique publique efficace de lutte contre le piratage,
  • inscrire dans le temps notre partenariat en prolongeant nos derniers accords jusqu’en 2022, y compris pour nos amis distributeurs,
  • permettre, dans des conditions négociées, l’avancement de fenêtres de diffusion des œuvres lorsque qu’un film n’a fait l’objet d’aucune offre d’acquisition pendant une séquence de la chronologie.

Cher Monsieur Bolloré, nous vous avons entendu en juillet dernier. Vous avez placé, au cœur de votre discours, le cinéma comme une priorité de Canal Plus. Nous avons à cœur qu’elle le reste et que vous continuiez à accompagner son ambition. »

Contacts presse :

Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58

Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 44

Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 30

A l’occasion du bilan annuel des investissements de Canal Plus dans le cinéma qui a été présenté aujourd’hui, la Société des Réalisateurs de Films (SRF), le Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et l’Union des Producteurs de Cinéma (UPC) s’expriment en tant que représentants du couple réalisateur-producteur, maillon central et essentiel de la création indépendante : « Nous portons la voix de 300 cinéastes et de la grande majorité des producteurs indépendants qui œuvrent chaque jour pour le rayonnement et la diversité du cinéma. Les films de la création indépendante sont chaque année distingués en France et au-delà de nos frontières, dans les plus grands festivals internationaux. Canal Plus est depuis plus de 30 ans le partenaire privilégié du cinéma français et européen. Cette relation forte et durable, nous l’avons construite ensemble. La passion est au cœur de nos métiers, de l’écriture à la fabrication des films, partagée par nos partenaires distributeurs, diffuseurs et exploitants. L’histoire de Canal Plus est intrinsèquement liée à celle du cinéma français, à cette exception culturelle à laquelle nous sommes corps et âme attachés. Canal Plus a, depuis l’origine, joué un rôle fondamental en soutenant le cinéma sous toutes ses formes et s’impose sans conteste comme le premier partenaire de la création indépendante, portant avec nous le destin du cinéma de demain. Aujourd’hui, la relation qu’a nouée Canal Plus avec le cinéma suscite des inquiétudes. La situation économique du groupe nous préoccupe à travers l’évolution de son chiffre d’affaires, qui conditionne l’avenir du préfinancement, tout comme la baisse des montants des préachats, ainsi que celle des achats, que nous avons constatées récemment. Au-delà des enjeux industriels sur lesquels nous ne pouvons agir, nous vous proposons aujourd’hui de renforcer le dynamisme du cinéma alors que les usages se sont profondément modifiés et que Canal Plus doit en épouser les changements. Les discussions actuelles sur la chronologie des médias sont pour nous une occasion unique de donner un cadre favorable au paysage audiovisuel de demain Le souhait de Canal Plus de pouvoir diffuser les œuvres à 6 mois, nous voulons l’accompagner. Nous pensons que Canal Plus peut ainsi avoir les moyens de retrouver une ambition forte, en s’adaptant à son environnement concurrentiel et en continuant à être l’acteur majeur et privilégié du cinéma français. Mais cette avancée pour votre groupe doit avoir des contreparties pour l’avenir du cinéma et la préservation de toute sa diversité : permettre un accès continu aux œuvres en vidéo à la demande, à travers le dégel, pour favoriser une offre légale numérique et une politique publique efficace de lutte contre le piratage, inscrire dans le temps notre partenariat en prolongeant nos derniers accords jusqu’en 2022, y compris pour nos amis distributeurs, permettre, dans des conditions négociées, l’avancement de fenêtres de diffusion des œuvres lorsque qu’un film n’a fait l’objet d’aucune offre d’acquisition pendant une séquence de la chronologie. Cher Monsieur Bolloré, nous vous avons entendu en juillet dernier. Vous avez placé, au cœur de votre discours, le cinéma comme une priorité de Canal Plus. Nous avons à cœur qu’elle le reste et que vous continuiez à accompagner son ambition. » Contacts presse : Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 Catherine Bertin – SPI – 01 44 70 70 44 Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 …

29 mars 2017Actus-SPIactus-spi
Déprogrammation du film « Chez nous » : le BLOC dénonce une atteinte à la liberté d’expression

Le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) dénonce fermement l’atteinte à la liberté d’expression que constitue la déprogrammation du film de Lucas Belvaux « Chez nous » par le maire FN de la commune de Luc-en-Provence, Pascal Verrelle.

Cette déprogrammation fait suite à une attaque contre ce film sur les réseaux sociaux, dès la diffusion de sa bande annonce et alors que personne n’avait encore vu le film.

Le BLOC rappelle que la liberté de création est un pilier de notre démocratie, d’autant plus nécessaire en cette période qu’il permet la nécessaire distanciation par rapport à une accélération de l’information.

Le BLOC demande aux pouvoirs publics d’agir et, alors que les échéances électorales à venir seront déterminantes pour la création, à chacun des candidats à l’élection présidentielle de faire part de son engagement de garantir la liberté de création et de programmation des œuvres.

Contact presse :

Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58

Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 30

Le Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma (BLOC) dénonce fermement l’atteinte à la liberté d’expression que constitue la déprogrammation du film de Lucas Belvaux « Chez nous » par le maire FN de la commune de Luc-en-Provence, Pascal Verrelle. Cette déprogrammation fait suite à une attaque contre ce film sur les réseaux sociaux, dès la diffusion de sa bande annonce et alors que personne n’avait encore vu le film. Le BLOC rappelle que la liberté de création est un pilier de notre démocratie, d’autant plus nécessaire en cette période qu’il permet la nécessaire distanciation par rapport à une accélération de l’information. Le BLOC demande aux pouvoirs publics d’agir et, alors que les échéances électorales à venir seront déterminantes pour la création, à chacun des candidats à l’élection présidentielle de faire part de son engagement de garantir la liberté de création et de programmation des œuvres. Contact presse : Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 …

21 mars 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI est fier et félicite très chaleureusement La COMPAGNIE DES PHARES ET BALISES pour le Prix PROCIREP du producteur français de documentaire de l’année

A l’occasion de la cérémonie de remise des 23ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 13 mars 2017, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement

La COMPAGNIE DES PHARES ET BALISES

POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE DE L’ANNÉE

Ce prix récompense les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions et le savoir faire d’une production libre et indépendante.

Le SPI félicite également l’ensemble de ses adhérents, tous nominés à la 23ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée :

  • En documentaire : 13 PRODUCTIONS, BONNE PIOCHE, LES FILMS DU BALIBARI, LES FILMS DU POISSON et QUARK PRODUCTIONS
  • En fiction : DIAPHANA FILMS et MASCARET FILMS
  • En animation : JE SUIS BIEN CONTENT

Les producteurs indépendants s’illustrent par une constante recherche d’originalité et de mise en avant d’une pluralité des regards d’auteurs. Leur travail au service de la diversité culturelle française nous honore. Ils défendent en pleine responsabilité, le pluralisme des points de vue et la liberté de création, si essentiels au fonctionnement de notre société démocratique.

Paris, le 14 mars 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale –

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants –

4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

A l’occasion de la cérémonie de remise des 23ème Prix du producteur français de télévision organisée par la Procirep le 13 mars 2017, le Syndicat des Producteurs Indépendants est fier et félicite très chaleureusement La COMPAGNIE DES PHARES ET BALISES POUR LE PRIX PROCIREP DU PRODUCTEUR FRANÇAIS DE DOCUMENTAIRE DE L’ANNÉE Ce prix récompense les choix éditoriaux, la diversité, la qualité des productions et le savoir faire d’une production libre et indépendante. Le SPI félicite également l’ensemble de ses adhérents, tous nominés à la 23ème édition du Prix du producteur français de télévision pour la richesse, la qualité de leur travail et leur exigence au service d’une création originale renouvelée : En documentaire : 13 PRODUCTIONS, BONNE PIOCHE, LES FILMS DU BALIBARI, LES FILMS DU POISSON et QUARK PRODUCTIONS En fiction : DIAPHANA FILMS et MASCARET FILMS En animation : JE SUIS BIEN CONTENT Les producteurs indépendants s’illustrent par une constante recherche d’originalité et de mise en avant d’une pluralité des regards d’auteurs. Leur travail au service de la diversité culturelle française nous honore. Ils défendent en pleine responsabilité, le pluralisme des points de vue et la liberté de création, si essentiels au fonctionnement de notre société démocratique. Paris, le 14 mars 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale – SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants – 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

14 mars 2017Actus-SPIactus-spi
Bureaux à louer

Loue
1 ou 2 postes de travail
ou
bureau entier pour périodes déterminées, au mois ou à la semaine (bureaux de prépa, bureau de réunion, etc.)


Bureau rue d’Enghien (métro Strasbourg Saint-Denis, Château d’eau)
25 m2
4 à 5 postes de travail disponibles.
Le bureau est aujourd’hui occupé par deux personnes, nous cherchons soit à sous-louer sur des périodes restreintes, soit à partager sur un plus ou moins long terme le bureau avec des indépendants. Possibilité de mi-temps.

Tarif :
Poste de travail : 250 euros/mois (par poste, accès internet inclus)
Bureau entier (4 à 5 postes de travail) : 1200 euros/mois (ligne téléphonique et accès internet inclus)

Contact :
info@sisterprod.com
01 45 23 41 87

Loue 1 ou 2 postes de travail ou bureau entier pour périodes déterminées, au mois ou à la semaine (bureaux de prépa, bureau de réunion, etc.) – Bureau rue d’Enghien (métro Strasbourg Saint-Denis, Château d’eau) 25 m2 4 à 5 postes de travail disponibles. Le bureau est aujourd’hui occupé par deux personnes, nous cherchons soit à sous-louer sur des périodes restreintes, soit à partager sur un plus ou moins long terme le bureau avec des indépendants. Possibilité de mi-temps. – Tarif : Poste de travail : 250 euros/mois (par poste, accès internet inclus) Bureau entier (4 à 5 postes de travail) : 1200 euros/mois (ligne téléphonique et accès internet inclus) Contact : info@sisterprod.com 01 45 23 41 …

8 mars 2017Annoncesannonces
Cinélite, Agence de réalisateurs et de techniciens dans l’audiovisuel loue des bureaux à Paris 11ème (Bastille)

Cinélite, Agence de réalisateurs et de techniciens dans l’audiovisuel loue des bureaux à Paris 11ème, au pied du métro Bastille, dans bel emplacement sur cour pavée.

Métros lignes 1, 5 et 8

2 accès possibles : 2, rue de la Roquette ou 21, rue du Faubourg Saint Antoine.
2 bureaux fermés de 45 m2 et 20 m2 dans un ensemble de bureaux de 110 m2, Kitchenette / bar et wc partagés.

Locaux en étage, lumineux, donnant sur cour intérieure très calme. Possibilité Connexion internet haut débit et ligne téléphonique.

Disponibles au 30 juin 2017, bail de sous location de 3 ans validé par le propriétaire. 3 mois de loyers H.T en dépôt de garantie, demandés.
1 974 euros Hors Taxe / mois, hors charges, hors impôt CFE.

Possibilité de location d’un seul bureau (priorité donnée à la location des 2 bureaux ensembles)
Possibilité de convention de mise à disposition, tarif en fonction.

Nous contacter, Tél : 01 40 09 09 40 – Mail : buroparisbastille@gmail.com

Cinélite, Agence de réalisateurs et de techniciens dans l’audiovisuel loue des bureaux à Paris 11ème, au pied du métro Bastille, dans bel emplacement sur cour pavée.
 Métros lignes 1, 5 et 8
 2 accès possibles : 2, rue de la Roquette ou 21, rue du Faubourg Saint Antoine. 2 bureaux fermés de 45 m2 et 20 m2 dans un ensemble de bureaux de 110 m2, Kitchenette / bar et wc partagés.
 Locaux en étage, lumineux, donnant sur cour intérieure très calme. Possibilité Connexion internet haut débit et ligne téléphonique. Disponibles au 30 juin 2017, bail de sous location de 3 ans validé par le propriétaire. 3 mois de loyers H.T en dépôt de garantie, demandés. 1 974 euros Hors Taxe / mois, hors charges, hors impôt CFE.
 Possibilité de location d’un seul bureau (priorité donnée à la location des 2 bureaux ensembles) Possibilité de convention de mise à disposition, tarif en fonction. Nous contacter, Tél : 01 40 09 09 40 – Mail : …

6 mars 2017Annoncesannonces
Le SPI félicite chaleureusement ses producteurs pour les Prix obtenus à l’occasion de la 42ème cérémonie des César et de la 67ème Berlinale

_ Pour les Prix obtenus à l’occasion de la dernière cérémonie des César :

« Divines » d’Houda Benyamina»

Easy Tiger – Marc-Benoît Créancier

• César du Meilleur Premier Film

• César de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle

• César du Meilleur Espoir Féminin

« Diamant noir » d’Arthur Harari

Les Films Pelléas – Philippe Martin, David Thion

• César du Meilleur Espoir Masculin

« L’effet aquatique » de Sólveig Anspach

Ex Nihilo – Patrick Sobelman

• César du Meilleur Scénario Original

« Merci Patron ! » de François Ruffin

Mille et une Productions – Anne-Cécile Berthomeau, Edouard Mauriat

• César du Meilleur Film Documentaire

« Moi, Daniel Blake » de Ken Loach

Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat

• César du Meilleur Film Etranger

Pour les Prix obtenus à l’occasion du dernier Festival de Berlin :

« Félicité » de Alain Gomis

Andolfi – Arnaud Dommerc

• Grand Prix du jury

« Ana, Mon Amour » de Calin Peter Netzer

Sophie Dulac Productions – Sophie Dulac, Michel Zana
• Ours d’Argent de la Meilleure contribution artistique

Paris, le 27 Février 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

_ Pour les Prix obtenus à l’occasion de la dernière cérémonie des César : « Divines » d’Houda Benyamina» Easy Tiger – Marc-Benoît Créancier • César du Meilleur Premier Film • César de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle • César du Meilleur Espoir Féminin « Diamant noir » d’Arthur Harari Les Films Pelléas – Philippe Martin, David Thion • César du Meilleur Espoir Masculin « L’effet aquatique » de Sólveig Anspach Ex Nihilo – Patrick Sobelman • César du Meilleur Scénario Original « Merci Patron ! » de François Ruffin Mille et une Productions – Anne-Cécile Berthomeau, Edouard Mauriat • César du Meilleur Film Documentaire « Moi, Daniel Blake » de Ken Loach Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat • César du Meilleur Film Etranger Pour les Prix obtenus à l’occasion du dernier Festival de Berlin : « Félicité » de Alain Gomis Andolfi – Arnaud Dommerc • Grand Prix du jury « Ana, Mon Amour » de Calin Peter Netzer Sophie Dulac Productions – Sophie Dulac, Michel Zana • Ours d’Argent de la Meilleure contribution artistique Paris, le 27 Février 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

27 février 2017Actus-SPIactus-spi
A l’occasion du 39e Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix

A l’occasion du 39e Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix :

La Luna Productions

Prix Procirep du producteur de court métrage

Kidam

Pour « Le Film de l’été » de Emmanuel Marre

• Grand Prix

Sésame Films

Pour « Féfé limbé » de Julien Silloray

• Prix Spécial du Jury,

• Prix ADAMI d’interprétation, Meilleur Comédien
_

Takami Productions

Pour « Panthéon Discount » de Stéphan Castang

• Prix du Public

• Prix Etudiant de la Jeunesse

Sedna Films

Pour « Dirty South » de Olivier Strauss

• Prix Meilleure 1ère Œuvre de Fiction (SACD)

Les Films Velvet

Pour « Chasse royale » de Romane Gueret, Lise Akoka

• Prix ADAMI d’interprétation, Meilleure Comédienne

Les Films du Nord

Pour « Totems » de Paul Jadoul

• Prix du Meilleur Film d’Animation francophone SACD

Méroé Films

Pour « Herculanum » de Arthur Cahn

• Prix de la Presse Télérama
_

Sacrebleu Productions

Pour « Permission » de Martin Razy et Joël Petitjean

• Bourse des festivals au 39e festival international du court métrage de Clermont-Ferrand

La Ruche Productions

Pour « Debout Kinshasa » de Sébastien Maitre

• Mention spéciale du Jury France Télévisions

Yukunkun Productions

Pour « Le Bleu Blanc Rouge de mes cheveux » de Josza Anjembe

• Prix d’interprétation Féminine France Télévisions

Films Grand Huit et Offshore

Pour « Et toujours nous marcherons » de Jonathan Millet

• Prix d’interprétation masculine France Télévisions

Bilan de la table ronde :

« Vers de nouvelles politiques régionales en matière de soutien au court métrage ? »

Les politiques régionales de soutien au court métrage sont absolument centrales dans l’aménagement culturel du territoire, tant pour la production que la diffusion des œuvres. La nouvelle dynamique territoriale devrait permettre de renforcer le rôle des nouvelles régions, en collaboration avec le CNC.

Les derniers mois ont été marqués par une réflexion sur le sens et les modalités de ces politiques, qui ont un véritable effet d’entraînement pour la filière. Les objectifs culturels doivent être prépondérants dans l’élaboration de ces dispositifs, en lien avec un ancrage territorial qui ne peut s’inscrire que dans une dynamique de création. Les talents locaux doivent pouvoir circuler, être promus, “projetés” sur tous les territoires, en étant accompagné le cas échéant par des crédits économiques.

La concertation est une nécessité absolue dans le processus de décision, et plusieurs intervenants évoquent la co-construction des politiques publiques de la culture. En Finistère, la récente annonce de la suppression des aides au court métrage sans concertation préalable est très préoccupante. Sans concertation, une décision politique n’a pas de légitimité.

Enfin, le rôle d’impulsion et de régulation du CNC doit jouer pleinement dans le cadre de ces politiques, sur les volets de l’écriture, de la production et de la diffusion des œuvres, afin que ces politiques nationales et territoriales conservent leur cohérence et leur complémentarité.

Le SPI remercie chaleureusement le Festival de Clermont-Ferrand pour son accueil, ainsi que pour leur participation : Julien Neutres (CNC), Philippe Germain (CICLIC- Région Centre-Val-de-Loire), Catherine Puthod (Région Auvergne-Rhône-Alpes), Pierre Da Silva (Région Nouvelle Aquitaine), et Jean-Laurent Csinidis (Films de Force Majeure).

Paris, le 13 Février 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

A l’occasion du 39e Festival de Clermont-Ferrand, le SPI félicite ses adhérents pour leurs films sélectionnés et tout particulièrement pour leurs prix : La Luna Productions Prix Procirep du producteur de court métrage Kidam Pour « Le Film de l’été » de Emmanuel Marre • Grand Prix Sésame Films Pour « Féfé limbé » de Julien Silloray • Prix Spécial du Jury, • Prix ADAMI d’interprétation, Meilleur Comédien _ Takami Productions Pour « Panthéon Discount » de Stéphan Castang • Prix du Public • Prix Etudiant de la Jeunesse Sedna Films Pour « Dirty South » de Olivier Strauss • Prix Meilleure 1ère Œuvre de Fiction (SACD) Les Films Velvet Pour « Chasse royale » de Romane Gueret, Lise Akoka • Prix ADAMI d’interprétation, Meilleure Comédienne Les Films du Nord Pour « Totems » de Paul Jadoul • Prix du Meilleur Film d’Animation francophone SACD Méroé Films Pour « Herculanum » de Arthur Cahn • Prix de la Presse Télérama _ Sacrebleu Productions Pour « Permission » de Martin Razy et Joël Petitjean • Bourse des festivals au 39e festival international du court métrage de Clermont-Ferrand La Ruche Productions Pour « Debout Kinshasa » de Sébastien Maitre • Mention spéciale du Jury France Télévisions Yukunkun Productions Pour « Le Bleu Blanc Rouge de mes cheveux » de Josza Anjembe • Prix d’interprétation Féminine France Télévisions Films Grand Huit et Offshore Pour « Et toujours nous marcherons » de Jonathan Millet • Prix d’interprétation masculine France Télévisions Bilan de la table ronde : « Vers de nouvelles politiques régionales en matière de soutien au court métrage ? » Les politiques régionales de soutien au court métrage sont absolument centrales dans l’aménagement culturel du territoire, tant pour la production que la diffusion des œuvres. La nouvelle dynamique territoriale devrait permettre de renforcer le rôle des nouvelles régions, en collaboration avec le CNC. Les derniers mois ont été marqués par une réflexion sur le sens et les modalités de ces politiques, qui ont un véritable effet d’entraînement pour la filière. Les objectifs culturels doivent être prépondérants dans l’élaboration de ces dispositifs, en lien avec un ancrage territorial qui ne peut s’inscrire que dans une dynamique de création. Les talents locaux doivent pouvoir circuler, être promus, “projetés” sur tous les territoires, en étant accompagné le cas échéant par des crédits économiques. La concertation est une nécessité absolue dans le processus de décision, et plusieurs intervenants évoquent la co-construction des politiques publiques de la culture. En Finistère, la récente annonce de la suppression des aides au court métrage sans concertation préalable est très préoccupante. Sans concertation, une décision politique n’a pas de légitimité. Enfin, le rôle d’impulsion et de régulation du CNC doit jouer pleinement dans le cadre de ces politiques, sur les volets de l’écriture, de la production et de la diffusion des œuvres, afin que ces politiques nationales et territoriales conservent leur cohérence et leur complémentarité. Le SPI remercie chaleureusement le Festival de Clermont-Ferrand pour son accueil, ainsi que pour leur participation : Julien Neutres (CNC), Philippe Germain (CICLIC- Région Centre-Val-de-Loire), Catherine Puthod (Région Auvergne-Rhône-Alpes), Pierre Da Silva (Région Nouvelle Aquitaine), et Jean-Laurent Csinidis (Films de Force Majeure). Paris, le 13 Février 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

13 février 2017Actus-SPIactus-spi
Le BLOC salue la publication du décret sur la classification

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma) a pris connaissance du décret relatif à la classification des films publié aujourd’hui.

Conformément aux conclusions de la mission qui avait été confiée à Jean-François Mary, ce texte supprime l’automaticité de l’interdiction aux moins de 18 ans.

Il établit par ailleurs une plus grande progressivité des décisions de la Commission de classification, en les proportionnant « aux exigences tenant à la protection de l’enfance et de la jeunesse, au regard de la sensibilité et du développement de la personnalité propre à chaque âge ». Le décret rétablit
ainsi la libre appréciation de la Commission de classification dans l’exercice de sa mission.

Le texte rappelle enfin que le parti pris esthétique et le procédé narratif du film doivent faire partie intégrante de l’analyse et réaffirme ainsi la spécificité des oeuvres.

Le BLOC salue la publication de ce texte, qui clarifie les règles de classification, au bénéfice de la liberté de création et de diffusion des oeuvres cinématographiques.

Paris, le 9 février 2017.

Contact presse :

Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58

Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 30

Le BLOC (Bureau de Liaison des Organisations du Cinéma) a pris connaissance du décret relatif à la classification des films publié aujourd’hui. Conformément aux conclusions de la mission qui avait été confiée à Jean-François Mary, ce texte supprime l’automaticité de l’interdiction aux moins de 18 ans. Il établit par ailleurs une plus grande progressivité des décisions de la Commission de classification, en les proportionnant « aux exigences tenant à la protection de l’enfance et de la jeunesse, au regard de la sensibilité et du développement de la personnalité propre à chaque âge ». Le décret rétablit ainsi la libre appréciation de la Commission de classification dans l’exercice de sa mission. Le texte rappelle enfin que le parti pris esthétique et le procédé narratif du film doivent faire partie intégrante de l’analyse et réaffirme ainsi la spécificité des oeuvres. Le BLOC salue la publication de ce texte, qui clarifie les règles de classification, au bénéfice de la liberté de création et de diffusion des oeuvres cinématographiques. Paris, le 9 février 2017. Contact presse : Julie Lethiphu – SRF – 01 44 89 62 58 Frédéric Goldsmith – UPC – 01 53 89 01 …

10 février 2017Actus-SPIactus-spi
A l’annonce du palmarès de l’édition 2017, le SPI félicite très chaleureusement ses producteurs pour les Prix obtenus à l’occasion du 19ème Festival des Créations Télévisuelles de Luchon

Dans le cadre du Prix de la meilleure interprétation féminine, Mention spéciale du jury Fiction à Romane Bohringer, Naidra Ayadi, Marie Denarnaud et Marie-Sohna Condé

Héroïnes 
de Audrey Estrougo et Nathalie Saugeon –
ELZÉVIR FILMS

Prix du jury Fiction du meilleur espoir féminin à Adeline d’Hermy

Oblomov 
de Frédérique Moreau et Guillaume Gallienne –
AGAT FILMS & Cie

Prix spécial du jury Documentaire

La belle vie 
de Marion Gervais –
QUARK PRODUCTIONS

Mention spéciale du jury Documentaire et
Prix du public du meilleur documentaire

Nous, ouvriers 
de Claire Feinstein et Gilles Perez –
13 PRODUCTIONS

Paris, le 7 février 2017

Contact :
Catherine BERTIN, Déléguée générale
Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 44

Dans le cadre du Prix de la meilleure interprétation féminine, Mention spéciale du jury Fiction à Romane Bohringer, Naidra Ayadi, Marie Denarnaud et Marie-Sohna Condé Héroïnes 
de Audrey Estrougo et Nathalie Saugeon – ELZÉVIR FILMS Prix du jury Fiction du meilleur espoir féminin à Adeline d’Hermy Oblomov 
de Frédérique Moreau et Guillaume Gallienne – AGAT FILMS & Cie Prix spécial du jury Documentaire La belle vie 
de Marion Gervais – QUARK PRODUCTIONS Mention spéciale du jury Documentaire et Prix du public du meilleur documentaire Nous, ouvriers 
de Claire Feinstein et Gilles Perez – 13 PRODUCTIONS Paris, le 7 février 2017 Contact : Catherine BERTIN, Déléguée générale – Syndicat des Producteurs Indépendants – 4 Cité Griset – 75011 Paris – Tel : 01 44 70 70 …

7 février 2017Actus-SPIactus-spi
RECHERCHE BUREAUX A LOUER / PARTAGER

URGENT
RHEA FILMS et CRISTAL PUBLISHING recherchent pour une durée indéterminée, idéalement, une sous location de 3 bureaux SEPARES avec coin cuisine à partager et possibilité d’accéder à une salle de réunion 4/5 fois par an.
Rhéa Films / Yves Lombard : 06 82 79 47 90 / rheafilms@yahoo.fr
Cristal Publishing / Eric Debègue : 06 07 49 40 45 / 05 46 44 96 48 / eric.debegue@cristalgroupe.com

URGENT RHEA FILMS et CRISTAL PUBLISHING recherchent pour une durée indéterminée, idéalement, une sous location de 3 bureaux SEPARES avec coin cuisine à partager et possibilité d’accéder à une salle de réunion 4/5 fois par an. Rhéa Films / Yves Lombard : 06 82 79 47 90 / rheafilms@yahoo.fr Cristal Publishing / Eric Debègue : 06 07 49 40 45 / 05 46 44 96 48 / …

3 février 2017Annoncesannonces
Accord entre le Groupe M6 et les organisations de producteurs

Le Groupe M6, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA ont signé ce jour au Ministère de la Culture et de la Communication en présence de Madame la Ministre un accord qui réaffirme les engagements du groupe M6 en matière de production audiovisuelle.

A travers cet accord, le Groupe M6 et les organisations de producteurs confirment leur volonté de travailler dans un climat de confiance avec l’ambition de s’adapter aux nouveaux enjeux du secteur audiovisuel français et de soutenir la diversité de la création audiovisuelle.

Neuilly sur Seine, le 02/02/2017

Le Groupe M6, le SATEV, le SPECT, le SPFA, le SPI et l’USPA ont signé ce jour au Ministère de la Culture et de la Communication en présence de Madame la Ministre un accord qui réaffirme les engagements du groupe M6 en matière de production audiovisuelle. A travers cet accord, le Groupe M6 et les organisations de producteurs confirment leur volonté de travailler dans un climat de confiance avec l’ambition de s’adapter aux nouveaux enjeux du secteur audiovisuel français et de soutenir la diversité de la création audiovisuelle. Neuilly sur Seine, le …

2 février 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite chaleureusement ses adhérents récompensés hier soir pour leur excellence par le Syndicat Français de la Critique de cinéma et de films de télévision
  • Les Films du Poisson, Laetitia Gonzalez, Yaël Fogiel et Nathalie Vallet,
    pour le
    Prix Télévision de la Meilleure fiction française
    pour le film « Le Passe-Muraille » de Dante Desarthe,
    d’après l’oeuvre de Marcel Aymé, diffusion Arte France.
  • 13 Productions en co-production avec France Télévisions, Cyrille
    Perez, Gilles Perez et Alexandre Cazeres, pour le
    Prix Télévision du Meilleur documentaire français
    pour « Nous, ouvriers » de Claire Feinstein et Gilles Perez,
    diffusion France 3 Régions.
  • Les Films Pelléas, Philippe Martin et David Thion, pour le
    Prix Cinéma du Meilleur premier film français
    pour le film « Diamant noir » d’Arthur Harari.
  • Alfama Films en co-production avec Arte France Cinéma, Paulo
    Branco, pour le
    Prix Cinéma du Film Singulier francophone
    pour le film « La forêt de Quinconces » de Grégoire Leprince-Ringuet.
  • Why Not Productions avec la participation d’Arte France, Mélissa
    Malinbaum, pour le
    Prix Cinéma du Meilleur court métrage français
    pour le film « L’âge des sirènes » de Héloïse Pelloquet, diffusion Arte.
  • Why Not Productions, Pascal Caucheteux et Grégoire Sorlat, pour le
    Prix Meilleur DVD / Blu-ray récent
    pour le film d’animation « La Tortue rouge » de Michael Dudok de Wit
    (Wild Side).

Les Prix du Syndicat Français de la Critique de Cinéma et des films de
Télévision récompensent le meilleur des ouvrages littéraires et DVDs de
cinéma ainsi que les meilleures productions télévisuelles et
cinématographiques de l’année.

Ces prix récompensent l’exigence, la qualité du travail de ces
sociétés de production toutes indépendantes, la singularité
des oeuvres et honorent notre syndicat.

Paris, le 31 janvier 2017

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 44

Les Films du Poisson, Laetitia Gonzalez, Yaël Fogiel et Nathalie Vallet, pour le Prix Télévision de la Meilleure fiction française pour le film « Le Passe-Muraille » de Dante Desarthe, d’après l’oeuvre de Marcel Aymé, diffusion Arte France. 13 Productions en co-production avec France Télévisions, Cyrille Perez, Gilles Perez et Alexandre Cazeres, pour le Prix Télévision du Meilleur documentaire français pour « Nous, ouvriers » de Claire Feinstein et Gilles Perez, diffusion France 3 Régions. Les Films Pelléas, Philippe Martin et David Thion, pour le Prix Cinéma du Meilleur premier film français pour le film « Diamant noir » d’Arthur Harari. Alfama Films en co-production avec Arte France Cinéma, Paulo Branco, pour le Prix Cinéma du Film Singulier francophone pour le film « La forêt de Quinconces » de Grégoire Leprince-Ringuet. Why Not Productions avec la participation d’Arte France, Mélissa Malinbaum, pour le Prix Cinéma du Meilleur court métrage français pour le film « L’âge des sirènes » de Héloïse Pelloquet, diffusion Arte. Why Not Productions, Pascal Caucheteux et Grégoire Sorlat, pour le Prix Meilleur DVD / Blu-ray récent pour le film d’animation « La Tortue rouge » de Michael Dudok de Wit (Wild Side). Les Prix du Syndicat Français de la Critique de Cinéma et des films de Télévision récompensent le meilleur des ouvrages littéraires et DVDs de cinéma ainsi que les meilleures productions télévisuelles et cinématographiques de l’année. Ces prix récompensent l’exigence, la qualité du travail de ces sociétés de production toutes indépendantes, la singularité des oeuvres et honorent notre syndicat. Paris, le 31 janvier 2017 Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris – Tél. 01 44 70 70 …

31 janvier 2017Actus-SPIactus-spi
Le SPI félicite ses adhérents pour leurs sélections aux César 2017

Les films sélectionnés de nos adhérents sont :

« Au bruit des clochettes » de Chabname Zariab

Les Films du Bal – Judith Lou-Lévy

• César du Meilleur Film de Court Métrage

« Baccalauréat » de Cristian Mungiu

Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat

• César du Meilleur Film Etranger

« Café Froid » de François Leroy et Stéphanie Lansaque

Je Suis Bien Content – Perrine Capron, Marc Jousset

• César du Meilleur Film d’Animation – Court Métrage

« Chasse Royale » de Lise Akoka et Romane Gueret

Les Films Velvet – Marine Alaric, Frédéric Jouve

• César du Meilleur Film de Court Métrage

« Dernières nouvelles du cosmos » de Julie Bertuccelli

Les Films du Poisson – Yaël Fogiel, Laetitia Gonzalez

• César du Meilleur Film Documentaire

« Diamant noir » d’Arthur Harari

Les Films Pelléas – Philippe Martin, David Thion

• César du Meilleur Premier Film

• César du Meilleur Espoir Masculin

« Divines » d’Houda Benyamina

Easy Tiger – Marc-Benoît Créancier

• César du Meilleur Film

• César du Meilleur Premier Film

• César de la Meilleure Réalisation

• César du Meilleur Scénario Original

• César de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle

• César du Meilleur Espoir Féminin

• César du Meilleur Montage

« Fuocoammare, par-delà Lampedusa » de Gianfranco Rosi

Les Films d’ici – Camille Laemlé, Serge Lalou

• César du Meilleur Film Documentaire

« Irréprochable » de Sébastien Marnier

Avenue B Productions – Caroline Bonmarchand

• César de la Meilleure Actrice

« La fille de Brest » d’Emmanuelle Bercot

Haut et Court – Simon Arnal, Caroline Benjo, Barbara Letellier, Carole Scotta

• César de la Meilleure Adaptation

• César de la Meilleure Actrice

« La fille inconnue » de Jean-Pierre et Luc Dardenne

Archipel 35 – Denis Freyd

• César du Meilleur Film Etranger

« La jeune fille sans mains » de Sébastien Laudenbach

Les Films Sauvages – Jean-Christophe Soulageon

• César du Meilleur Film d’Animation – Long Métrage

« La tortue rouge » de Michael Dudok de Wit

Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat

• César du Meilleur Film d’Animation – Long Métrage

« L’effet aquatique » de Sólveig Anspach

Ex Nihilo – Patrick Sobelman

• César du Meilleur Scénario Original

« Le fils de Jean » de Philippe Lioret

Fin Août Productions – Marielle Duigou, Philippe Lioret

• César du Meilleur Acteur

• César du Meilleur Acteur dans un Second Rôle

« Ma Loute » de Bruno Dumont

3B Productions – Jean Bréhat, Rachid Bouchareb, Muriel Merlin

• César du Meilleur Film

• César de la Meilleure Réalisation

• César du Meilleur Scénario Original

• César du Meilleur Acteur

• César de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle

• César du Meilleur Espoir Féminin

• César de la Meilleure Photo

• César des Meilleurs Costumes

• César des Meilleurs Décors

« Médecin de campagne » de Thomas Lilti

31 Juin Films – Emmanuel Barraux, Agnès Vallée

• César du Meilleur Acteur

« Merci Patron ! » de François Ruffin

Mille et une Productions – Anne-Cécile Berthomeau, Edouard Mauriat

• César du Meilleur Film Documentaire

« Moi, Daniel Blake » de Ken Loach

Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat

• César du Meilleur Film Etranger

« Planetarium » de Rebecca Zlotowski

Les Films Velvet – Frédéric Jouve

• César des Meilleurs Décors

« Réparer les vivants » de Katell Quillévéré

Les Films du Bélier – Justin Taurand

Les Films Pelléas – Philippe Martin, David Thion

• César de la Meilleure Adaptation

« Rosalie Blum » de Julien Rappeneau

CG Cinéma – Charles Gillibert

• César du Meilleur Premier Film

« Swagger » d’Olivier Babinet

Kidam – Alexandre Perrier

• César du Meilleur Film Documentaire

« Une vie » de Stéphane Brizé

TS Productions – Miléna Poylo, Gilles Sacuto

• César de la Meilleure Actrice

• César des Meilleurs Costumes

Paris, le 30 Janvier 2017.

Contact Presse :

Catherine BERTIN – Déléguée Générale

SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants

4, Cité Griset 75011 Paris

Tél 01 44 70 70 44

Les films sélectionnés de nos adhérents sont : « Au bruit des clochettes » de Chabname Zariab Les Films du Bal – Judith Lou-Lévy • César du Meilleur Film de Court Métrage « Baccalauréat » de Cristian Mungiu Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat • César du Meilleur Film Etranger « Café Froid » de François Leroy et Stéphanie Lansaque Je Suis Bien Content – Perrine Capron, Marc Jousset • César du Meilleur Film d’Animation – Court Métrage « Chasse Royale » de Lise Akoka et Romane Gueret Les Films Velvet – Marine Alaric, Frédéric Jouve • César du Meilleur Film de Court Métrage « Dernières nouvelles du cosmos » de Julie Bertuccelli Les Films du Poisson – Yaël Fogiel, Laetitia Gonzalez • César du Meilleur Film Documentaire « Diamant noir » d’Arthur Harari Les Films Pelléas – Philippe Martin, David Thion • César du Meilleur Premier Film • César du Meilleur Espoir Masculin « Divines » d’Houda Benyamina Easy Tiger – Marc-Benoît Créancier • César du Meilleur Film • César du Meilleur Premier Film • César de la Meilleure Réalisation • César du Meilleur Scénario Original • César de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle • César du Meilleur Espoir Féminin • César du Meilleur Montage « Fuocoammare, par-delà Lampedusa » de Gianfranco Rosi Les Films d’ici – Camille Laemlé, Serge Lalou • César du Meilleur Film Documentaire « Irréprochable » de Sébastien Marnier Avenue B Productions – Caroline Bonmarchand • César de la Meilleure Actrice « La fille de Brest » d’Emmanuelle Bercot Haut et Court – Simon Arnal, Caroline Benjo, Barbara Letellier, Carole Scotta • César de la Meilleure Adaptation • César de la Meilleure Actrice « La fille inconnue » de Jean-Pierre et Luc Dardenne Archipel 35 – Denis Freyd • César du Meilleur Film Etranger « La jeune fille sans mains » de Sébastien Laudenbach Les Films Sauvages – Jean-Christophe Soulageon • César du Meilleur Film d’Animation – Long Métrage « La tortue rouge » de Michael Dudok de Wit Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat • César du Meilleur Film d’Animation – Long Métrage « L’effet aquatique » de Sólveig Anspach Ex Nihilo – Patrick Sobelman • César du Meilleur Scénario Original « Le fils de Jean » de Philippe Lioret Fin Août Productions – Marielle Duigou, Philippe Lioret • César du Meilleur Acteur • César du Meilleur Acteur dans un Second Rôle « Ma Loute » de Bruno Dumont 3B Productions – Jean Bréhat, Rachid Bouchareb, Muriel Merlin • César du Meilleur Film • César de la Meilleure Réalisation • César du Meilleur Scénario Original • César du Meilleur Acteur • César de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle • César du Meilleur Espoir Féminin • César de la Meilleure Photo • César des Meilleurs Costumes • César des Meilleurs Décors « Médecin de campagne » de Thomas Lilti 31 Juin Films – Emmanuel Barraux, Agnès Vallée • César du Meilleur Acteur « Merci Patron ! » de François Ruffin Mille et une Productions – Anne-Cécile Berthomeau, Edouard Mauriat • César du Meilleur Film Documentaire « Moi, Daniel Blake » de Ken Loach Why Not Productions – Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat • César du Meilleur Film Etranger « Planetarium » de Rebecca Zlotowski Les Films Velvet – Frédéric Jouve • César des Meilleurs Décors « Réparer les vivants » de Katell Quillévéré Les Films du Bélier – Justin Taurand Les Films Pelléas – Philippe Martin, David Thion • César de la Meilleure Adaptation « Rosalie Blum » de Julien Rappeneau CG Cinéma – Charles Gillibert • César du Meilleur Premier Film « Swagger » d’Olivier Babinet Kidam – Alexandre Perrier • César du Meilleur Film Documentaire « Une vie » de Stéphane Brizé TS Productions – Miléna Poylo, Gilles Sacuto • César de la Meilleure Actrice • César des Meilleurs Costumes Paris, le 30 Janvier 2017. Contact Presse : Catherine BERTIN – Déléguée Générale SPI – Syndicat Des Producteurs Indépendants 4, Cité Griset 75011 Paris Tél 01 44 70 70 …

30 janvier 2017Actus-SPIactus-spi
Poste Secrétaire à pourvoir

Nous sommes à la recherche d’un(e) secrétaire polyvalent(e) à temps plein 35H.
Il s’agit d’un CDD d’une durée de 3 mois pouvant déboucher sur un CDI. Le poste est à pourvoir dès à présent.

Sous la responsabilité de l’assistante de production et sans que cette liste soit exhaustive, la/le secrétaire sera chargé(e) de :

– l’accueil physique et téléphonique

– des tâches administratives courantes (établissement de chèques, saisie et mise en page de documents word/excel)

– du suivi des litiges et relance fournisseurs

– de la gestion du courrier et des coursiers

– du classement, archivage de documents physique et numérique

– de l’enregistrement des stocks matériel

– de la gestion et du suivi des demandes aux réalisateurs (festivals, masterclass)

– de la gestion des voyages (hébergements, déplacements)

– de la gestion et suivi de la programmation catalogue et circulation des copies films

Si vous êtes intéressé par ce poste, merci d’envoyer vos CV et lettre de motivation à contact@3b-productions.com

Nous sommes à la recherche d’un(e) secrétaire polyvalent(e) à temps plein 35H. Il s’agit d’un CDD d’une durée de 3 mois pouvant déboucher sur un CDI. Le poste est à pourvoir dès à présent. Sous la responsabilité de l’assistante de production et sans que cette liste soit exhaustive, la/le secrétaire sera chargé(e) de : – l’accueil physique et téléphonique – des tâches administratives courantes (établissement de chèques, saisie et mise en page de documents word/excel) – du suivi des litiges et relance fournisseurs – de la gestion du courrier et des coursiers – du classement, archivage de documents physique et numérique – de l’enregistrement des stocks matériel – de la gestion et du suivi des demandes aux réalisateurs (festivals, masterclass) – de la gestion des voyages (hébergements, déplacements) – de la gestion et suivi de la programmation catalogue et circulation des copies films Si vous êtes intéressé par ce poste, merci d’envoyer vos CV et lettre de motivation à …

19 janvier 2017Annoncesannonces
Chargé(e) d’Administration des Productions

Bonne Pioche Télévision cherche un(e) Chargé(e) d’Administration des Productions.

Missions :
– Gestion auprès du CNC :
– pilotage/optimisation du Fond de Soutien Audiovisuel (ex-COSIP)
– dossiers de demande d’AP/AD
– relation régulière avec notre chargée de compte CNC
– Réalisation et suivi des dossiers de demande de Subventions : CNC (nouveaux médias etc.), Procirep/Angoa, Régions, Creative Europe (Media)
– Scan et Enregistrement des factures fournisseurs dans tableau de suivi des fournisseurs
– Inscriptions ISAN / Saisie droits d’auteur pour les diffuseurs
– Suivi des droits voisins avec notre agent de collecte
– Déclarations diverses (douane etc.)
– Veille régulière sur les évolutions du secteur et du cadre règlementaire de l’activité de production et distribution audiovisuelle

Profil :
– Minimum 3 années d’expérience dans le secteur audiovisuel, et notamment la production
– Bonne connaissance du fonctionnement du CNC (audiovisuel)
– Autonomie : excellente capacité d’organisation / gestion des deadlines et priorités
– Bonne capacité à s’affirmer pour obtenir les éléments nécessaires en temps et en heure
– Culture générale en comptabilité
– Rigueur / réactivité / adaptabilité / initiative

Contact candidatures :

Pascal Guerrin
Directeur Général / Bonne Pioche
p.guerrin@bonnepioche.fr

Kali Ligertwood
Directrice des Productions / Bonne Pioche Télévision
ligertwood@bonnepioche.fr

Bonne Pioche Télévision cherche un(e) Chargé(e) d’Administration des Productions. Missions : – Gestion auprès du CNC : – pilotage/optimisation du Fond de Soutien Audiovisuel (ex-COSIP) – dossiers de demande d’AP/AD – relation régulière avec notre chargée de compte CNC – Réalisation et suivi des dossiers de demande de Subventions : CNC (nouveaux médias etc.), Procirep/Angoa, Régions, Creative Europe (Media) – Scan et Enregistrement des factures fournisseurs dans tableau de suivi des fournisseurs – Inscriptions ISAN / Saisie droits d’auteur pour les diffuseurs – Suivi des droits voisins avec notre agent de collecte – Déclarations diverses (douane etc.) – Veille régulière sur les évolutions du secteur et du cadre règlementaire de l’activité de production et distribution audiovisuelle Profil : – Minimum 3 années d’expérience dans le secteur audiovisuel, et notamment la production – Bonne connaissance du fonctionnement du CNC (audiovisuel) – Autonomie : excellente capacité d’organisation / gestion des deadlines et priorités – Bonne capacité à s’affirmer pour obtenir les éléments nécessaires en temps et en heure – Culture générale en comptabilité – Rigueur / réactivité / adaptabilité / initiative Contact candidatures : Pascal Guerrin Directeur Général / Bonne Pioche p.guerrin@bonnepioche.fr Kali Ligertwood Directrice des Productions / Bonne Pioche Télévision …

19 janvier 2017Annoncesannonces